JSE - POUR NE PAS SOMBRER
N’y aurait-il pas un problème dans ce système de recrutement atteint d’une sévère incompréhension en ce qui concerne une véritable sociale-économie respectueuse des lois de la Démocratie Républicaine sans distinction de couleur, de morphisme catégoriel, de croyance ou non croyance religieuse, d’ethnie et d’opinions politiques… ???
Ainsi que dans cette forme de recrutement délétère envers les moins de 25 ans et les plus de 50 ans ?
Les premiers sont-ils ''bon à rien'' et les seconds ''mauvais à tout''... ?
En France, 24% des moins de 25 ans et 25% des seniors sont au chômage.
Nombre conséquent d’entreprises, de par leur services de Ressources Humaines ont exclu les plus de 55 ans de leurs offres demploi !
Ne serait-ce pas là une forme de ségrégationnisme alliée à lois du marché ?
Dans le cadre de ma recherche d’emploi, fin du mois de février 2019, après avoir répondu à une offre d’emploi de technico-commercial, la réponse qui me fut formulée lors d’un entretien téléphonique, après m’avoir demandé mon âge – depuis quelques temps je ne le spécifiais plus sur mon C.V – me donna, même si je le percevais déjà, certitude en ce principe de ségrégation instruit par des sociétés sans déontologie, ni éthique sociale-économique.
Mémoire d'un RSA-YSTE sénior devenu auteur en 2021
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Les experts en intelligence sont-ils devenus espèce à sang froid ?
La politique, la religion et la monnaie sont-elles, pour certains clans, un résultat de pouvoir divisionnaire inique ?
Ce qui est certain, c’est que les trois veillent et entretiennent le néo – ordo – ultra – libéralisme social-économique et le capitalisme financier impérieux » […]
Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ; or il est de plus en plus inhumain, déséquilibré et irrationnel.
Qu’est-ce que l’Europe ? Un acharnement de voisins qui se battent… Ecrit ainsi, le philosophe et mathématicien, Leibniz (1646-1716).
- En Allemagne, les phases d’expansion des droits civiques et sociaux (L’unité allemande ou les réformes de Willy Brandt) se produisent en période de croissance. La montée du nazisme dans les années trente ou la recrudescence des pulsions anti immigrés se produisent au cours de sévères phases de récession… Le monde est clos et le désir infini - Daniel Cohen.
Et pour encore plus mauvaise vision dans le système social-économique français (et autres) en celle d’imaginer la nouvelle possible évolution post-industrielle comme une désintégration communautaire par décret en faveur de la déconsidération identito-culturelle où le plus néfaste schéma d’incompréhension se trouve assurément proche des liens moribonds entre : Le corporatisme paroxysmique > Le déclin social-économique > La prédation territoriale > Le sectarisme culturel > L’anti-laïcité > Le populisme intransigeant > Le nationaliste exacerbé > Les peurs dans la zone non-sécuritaire > L’obscurantisme > Le nihilisme > La radicalisation > Le fascisme > Etc… ; et pour vecteur novateur à partir de la fin des années 1970, celui de l’avènement de l’outil informatique, permettant de créer d’autres classifications, grâce aux langages algorithmiques où les mathématiques en autorisent la création des bases de données et autres compositions sujettes à confinements incohérents, dont le pire est d’avoir oublié dans cette histoire à tendance déshumanisante, la pensée profonde de la propre existence ontologique singulière du mammifère-humanoïde.
On connait la célèbre définition qu’a donnée Kant de la dignité : « Dans le règne des fins tout a un PRIX ou une DIGNITE. Ce qui a un prix peut être aussi bien remplacé par quelque chose d’autre à titre équivalent ; au contraire ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n’admet pas d’équivalent, c’est ce qui a une dignité. La dignité, étant ‘’supérieure à tout prix’’, échappe par définition au calcul économique. A ce premier inconvénient, elle en ajoute un second : en tant qu’impératif catégorique, elle constitue un devoir, et pas seulement un droit individuel »
La science économique postule une juxtaposition d’individus RATIONNELS, appelé : ‘’homo œconomicus’’, qui visent donc à maximiser leur utilité individuelle par des choix souscrivant aux Droits et Devoirs dans une société respectueuse de la préservation du bien commun, ainsi que des dignités de chacun et chacune, refusant d’induire sciemment toute forme d’ostracisme pour des valeurs individuelles en thésaurisation inique de Groupes, Gouvernances et Etats fallacieux. Quelles instances Démocratiques Républicaines sont-elles à même de cerner les postulats et axiomes de cette RATIONALITE.
L’expression libre et la même importance que revêt chaque citoyen de par son droit de vote, ne constituent-elles pas de belles opportunités pour construire une société dans laquelle il fait bon vivre ?
JUSTICE SOCIALE-ECONOMIQUE – LIBERTE – EGALITE – FRATERNITE
Lorsque qu’après 36 ans de travail et d’activités professionnelles diverses, après avoir été un bon ‘’petit soldat’’ tant au niveau familial, fraternel, économique et social, bien sûr accompagné par quelques personnes de belles attentions et que vous vous retrouvez avec le statut de ‘’chômeur de longue durée’’, associé à celui affilié au RSA, je puis vous assurer que vous avez intérêt, pour votre santé psychique, à trouver un contre poison intellectuel ET/OU physique, sinon vous n’y survivriez qu’avec dommages irréparables. Et cela, en ou hors de ce système sociétal, que vous avez servi du mieux possible, depuis vos 17 ans, puis avoir été exclu de votre lieu de vie à 54, et être sans emploi depuis plus de 5 années, du reste de votre vie ‘’active’’.
Qui plus est quand vous résidez en milieu rural où votre seul lien culturel restant est celui d’une connexion internet, bien évidemment, si vous y avez accès avec possibilité de régler l’abonnement mensuel. Car avec 480€ par mois, tout n’est pas simple, et parfois une forme de colère peut apparaître vis-à-vis de vos congénères et communautés éloignées de vos sincères sensibilités en échanges sociaux ; où par ce lien réseau, quelques docteurs en psychologie, savants en bien-être, manipulateurs en bonté, manipulatrices en bienfaits et autres pseudos amis(es) virtuels(les) vous proposent des invitations pour participer à des réunions, débats, symposiums et spéculations de groupes, en salles éloignées de vos possibilités matérielles et financières, vous autorisant en ‘’temps normal’’, d’accéder à ces lieux d’échanges en réseaux biophysiques, psychologiques, culturels, scientifiques, sociologiques, voire physiologiques, par moyens de mobilité suffisants, et souhaits en diversité pluridisciplinaire, hors uniques échanges en ambiance virtuelle, souvent veule…
Tous ces individus fallacieux et fourbes, doivent être gens de peu d’attentions envers ces ‘’choses de la vie’’ communautaires.
Que la sociologie la plus récente rencontre quelques sagesses anciennes, cela serait une bonne nouvelle.
Mais même cela ne peut démontrer que l’intelligence humaine et la modernité sont une folie.
Qu’il existe dans le présent, un réel toujours plus fort, refusant de croire que rien d’autre n’est à connaitre, que plus rien n’est à aimer… ; est vrai.
Que le changement ne serait qu’une histoire sans défis dans un flot d’évènements, de rencontres et d’échanges aseptisés, apeurés par l’incertitude des croisements multiples et dépassements accentogènes, dans un monde d’asthénie psychologiques, de fourvoiements physiologiques et malentendus métaphysiques… ; est faux.
Mais que le monde, ainsi versé dans les commodités des zones de confort pressantes, semblerait d’une tristesse infinie pour qui préfère la danse à milles temps notée aux accords des désirs et souhaits sensibles scindées à jeux épars, où le verbe des amitiés et des amours serait teinté aux puissances de la verve des temps passés, dans un présent, riche des traits de lumière, réfléchissant à la couleur des feuilles mortes, tourbillonnant encore au sens de vigoureuses tourmentes… ; pour qui aime à flirter au vent des émois ; est une évidence humainement acceptable.
Quand j’en compris, bien tard il est vrai, les opportunismes patents de mes congénères, j’y crû entrevoir bien d’autres maux de controverse qui furent en intendance suffisante pour soumettre à mon questionnement ce qui pouvait être en improbité de sincérité afin de me laisser penser que l’amitié était chose trop hasardeuse pour y adhérer sans observance en ordonnance de méfiance…
- Mais, s’il y a prépondérance à méfiance, il ne saurait exister amitié particulière véritable ; me diriez-vous…
J’en suis bien d’accord avec vous, mais plus qu’à vouloir, à tout prix, amitié en seul échange de lissage fourbe, controverses inexpressives, lâcheté de déréliction textuelle et didactique, ou sélection en voyeurisme simiesque au nom d’ébats funestes souscrits à néfastes barons, potentats et roitelets de pissotière, j’y consens à accepter de ne plus être en contact physique avec ces positionnements en accord de statuts vidés de l’essence primordiale, sans autres intérêts que celui d’une médisance en vile curiosité farcie aux chevrotines d’inculture, dans une flétrissure falsifiée par calomniateurs et calomniatrices à défrichement de bas compte.
Faudrait-il, toutes et tous œuvrer pour un monde totalement aseptisé et conforme à une norme sociale édictée par une ou autre intelligence éructant souvent sa vérité sans autres ressources que la suffisance de ses consultations sectorielles, ou bien à essayer de prendre temps utile à quelques précieux moments de réflexion en débat de partage et contradictions constructives au nom d’une attentive thèse en bien commun, voire pour les plus fervents une recherche en amélioration multidisciplinaire ?
Cette démarche en installation de conformité n’est-elle point une volonté d’ignorer sujets trop éloignés de nos facultés personnelles ?
Un refus de savoirs ?
Un déni de sollicitude ?
Ou pire une filiation particulière autorisant l’individu à ne plus essayer de changer ces choses de l’infamie envers autres que soi et ‘’étants’’ insuffisamment proches de notre dimension touchable ?
Hors de notre zone de confort, justifiable, en légitimité d’acquis ?
Ou encore une forme d’asthénie intellectuelle atrophiée par une satisfaction matérialiste suffisante à l’inaction envers autres congénères, tout aussi justifiables à disposer de l’essentiel vital ?
Un abandon au profit d’un isolationniste de circonstance ?
Une pénitence en acceptation d’existences mornes ?
Une dichotomie en reconnaissance de népotisme défiscalisé d’affiliation en humanisme ?
Ou tout simplement un ‘’je m’en foutisme’’ généralisé, tant en ascendance qu’en descendance ?
Enfin ! Songez-vous toutes et tous, ainsi, avec toutes sortes de camouflets, que personne ne saurait mesurez vos impostures et calomnies cachées sous les voiles du politiquement correct et/ou la pudibonderie en toutes différences culturelles que vous en ayez suffisance en cette vertu pour vous-même et les vôtres, dans cette prétention que vos dons ne sauraient m’irritez, moins de les retransmettre sans analyses autres que la béatitude en prédécesseurs grisés aux voix de l’impénétrable, pour les moins nocifs, qu’une marche en colonie d’élus aux incertitudes des grâces et vierges, pour les plus déficients en défrichage de voies terrestres ?
Mais en toute évidence en procession de terrorisme intellectuel pour les deux clans en écoute de falsification d’outrages portée aux oreilles de prostrés(es) se souciant plus des cieux que de la Terre des hommes, des femmes et des enfants…
Je crois malheureusement que ces consciences grossières ont une chose en commun, formellement, proche d’un mécanisme cognitif logo-atomisé par négociants en spiritualité, guides en reliques cultuelles, despotes, potentats et autres dévots ayant réussi à faire gober les plus ravageurs illogismes au rapport de leur déconsidération envers la condition échangiste naturelle humaine… Et dans ce paralogisme datant de la naissance de la conscience et des intelligences, concomitantes au mammifère humanoïde, le plus néfaste attribut est, sans doute, l’apparition depuis quelques décennies d’une espèce de scientisme immature indexé en vulgaire marchandising par souscription d’opérateurs en flux d’omission (volontaire ?) d’étude et analyses logiques envers le sujet ontologique au rapport de l’objet physique…
Dans le monde naturel du et des vivants…
Comme le disait Descartes: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’. Si je ne suis que partiellement d'accord avec lui, à la seule différence, de penser que la liberté est une notion définie par chaque conscience, et par conséquent, elle peut être représentée par autre quelque chose, en temps qu'autre degré d’indépendance envisagé par cette conscience individuelle et proche du libre arbitre sensibilisé par une autre forme d’attachement envers l’expression d’une autre liberté, sensiblement partagée.
Ne suis-je pas libre de ma vie ?
En quoi et pourquoi croire à une protection où la dignité et le respect, de toute existence organique, en sont absents ?
Avec pour singularité, en ce Monde de déraisons, faussetés, tricheries et inconscience, en celle de croire que le monothéisme de l’inorganique serait une défense interindividuelle dans celui Naturel du Vivant ?
Ou pour particularité, en celle d’y entendre, pour les chaires phalliques et leurs dévots, se souciant plus des cieux que de la Terre, quelques accointances en perversité narcissique ?
Mais qu’est-ce donc cette liberté, demanda-t-il, à qui n’a jamais le choix… ???
Attachement envers une figure rassurante ?
Une présence uniquement guidée par la voix de son maître ?
Image moderne d’iconographies sans charges passées, courbées à l’hystérie d’une starisation en branlette intellectuelle, dans un ajustement sans souvenir autre que celui d’un moment d’oubli du réel sens de la conservation du bien commun ?
Quel est ce choix d’exister dans un lieu où la sociologie n’est que celle des ardents défenseurs du snobisme ?
Dans un entre soi de petits garçons levant les yeux devant de vieilles reines sur le déclin et un entre-suit de courbettes de palais, en patrimoine de château de cartes fissurés au soin des spécialistes en malversations.
Quel est cette façon de penser ses rêves comme seule défense envers des autocraties absconses, stimulées par un népotisme de vils contes ?
Quelles sont ces dissidences s’interrogeant sur la complétude des intérêts d’une thésaurisation monétaire en usure d’une sociologie démutualisée, pour les moins nocifs, qu’analyses insensées, quant à véritables Droits et Devoirs d’une Démocratie Républicaine ayant oublié le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, et se fourvoyant avec les fantômes de la liberté, de l’égalité et de la fraternité dans les immondices d’une justice dépassée par les clandestinités mafieuses… ???
Quelle est cette culture des moins émancipatrices quant à une politique culturelle, éliminant tout ce qui n’est pas conforme à la ligne du clan inique ou du corporatisme conformisme ?
Si certains de mes congénères à esprit étriqué s’autorisent à croire que je suis un fainéant à statut ‘’RSAyste’’, et autres à penser que je suis atteint d’un anthropocentrisme intrinsèquement narcissique, dénaturé de toute forme de compréhension, juste curiosité et lucide intéressement envers leur propre attachement assujetti à parfois étranges covalences, consacrées par un symbolisme affilié à atavisme inique, alors, je les laisse à leur triste, incohérent, versatile et déficient savoir, proliférant plus la soustraction des bons savoirs faire et la division des utiles savoirs être que la véritable analyse linguistique, didactique, épistémologique, philosophique, sociologique, économique, géo-historique et culturelle par le langage de la logique humainement acceptable… Des communautés à CULTURES, pensées, intentions, sens, orthodoxies, actions, causes, réactions et devises louables ?
Que faisons-nous maintenant de cette interrogation ontologique, physiologique et intellectuelle ???
Et autres connaissances ajoutées… Dans les dimensions existentialistes et matérialistes à réseaux humanistes… ???
La PAIX, ou la GUERRE… ?
Ou nous essayons de définir syllogismes, paralogismes, métaphores et analogies… ???
Dans un échange textuel ou verbal, si la dialectique émise est en perceptible ‘’décodage’’ de ce que représente une réelle et véritable covalence intelligible, voire un lien d’amitié, notamment par une notification ou un partage empreint du langage de la logique humainement acceptable ou de la contradiction prévenante, pertinente, objective et constructive ; alors la notion de sincère inclination délicate est en potentiel de véritable existence. L’espace ’’physiquement touchable’’ n’en perturbe pas l’intendance du langage de l’amitié, de l’attention, de la juste curiosité et du respect mutuel, affiché aux ‘’bulles’’ textuelles partagées dans l’instant présent. Les limites sans les lumières d’autres ; temps, contrées, savoirs et cultures, jamais n’indiqueront le juste équilibre ; entre essentialisme et matérialisme.
L’intérêt personnel n’a nulle convenance envers les évanescences de l’espace sensiblement touchant, sauf lorsqu’il devient obsolescence matérialiste programmée par l’accaparement et/ou l’individualisme incertain. L’égocentrisme en est l’épreuve absolue et inabordable dans le monde naturel des véritables savoirs être. N’aurait-il pas mieux valu en considérer le sens avant la fin… ?
Tous les esprits libres, sensés et valorisés à l’intelligence bienveillante savent cela. Ils, elles comprennent également que sur l’ouvrage, avec passion, il faut s’entendre. Si l’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude, alors la raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité…
S’intéresser au monde dans lequel nous vivons, n’est-il pas un prérequis pour que nous puissions y trouver la société idéale dans laquelle nous souhaiterions vivre ?
Participer à sa mise en place n’est-il pas le meilleur moyen d’y parvenir ?
Si la passivité des citoyens est compréhensible dans des dictatures, où toute forme d’expression contradictoire au pouvoir peut entraîner une condamnation à mort, qu’en penser dans les pays démocratiques ?
L’expression libre et la même importance que revêt chaque citoyen de par son droit de vote, ne constituent-elles pas de belles opportunités pour construire une société dans laquelle il fait bon vivre ?
Dans les civilisations individualistes soporifiques l’ensemble communautaire rationnel n'a plus aucune identité sociologique spécifique – il est donc incohérent de la part des corporatismes à statuts conformistes béats de contracter avec lui – peut-être parce que les orthodoxies séculaires ont peur du miroir des contre-évidences.
L’intérêt personnel n’a nulle convenance envers les évanescences de l’espace sensiblement touchant, sauf lorsqu’il devient obsolescence matérialiste programmée par l’accaparement ET/OU l’individualisme incertain. L’égocentrisme en est l’épreuve absolue et inabordable dans le monde naturel des véritables savoirs être. N’aurait-il pas mieux valu en considérer le sens avant la fin… ?
NEPOTISME DE POSITIONS SECURES
Sécure : Le latin securus a donné le français Sûr. Et, si l’on trouve dans un texte du XIVe siècle « La securissime cité de Capue (Capoue) », il s’agit d’un latinisme qui transcrit le superlatif securissima. Les formes Sécure et Insécure sont des anglicismes que l’on ne doit pas employer pour Sûr, de confiance ou dangereux, qui n’est pas sûr.
A qui point ne s’émeut au « bon sens » par études des lois naturelles avant d’y faire actions qui n’auraient d’autres atours circonstanciels que ceux du refus d’une entente de raison dans une langue dont ils ont été instruits par les précepteurs de leur enfance qui n’eussent pour seule ambition que celles d’envoyer la génération d’après aux combats qu’eux-mêmes n’eurent aucun courage à mener ne peuvent être d’aucun jugement en leurs insuffisances à pouvoir expliquer les éléments narratifs constitutifs d’une période socio-anthropologique qui aurait conduit celles et ceux qui avaient emplois honorables aux traitement de la terre, des eaux, de l’air et de la nature à se révolter contre les pouvoirs d’une régence prostrée envers croissance infinie dans un monde fini par prescription d’un népotisme intellectuel conformiste qui n’ayant pour volonté que l’instrumentalisation de la génération future au profit de leurs uniques accaparements matériels corporatistes dont ils ne sauraient faire positions souveraines de leur propre vieillesse sans observance de leurs acquis, dont ils ne sauraient, en cette temporalité, jouir ; n’ont aucune efficience de préemption morale sur ces révoltés(es) soumis à l’inique diktat d’un pouvoir en gouvernances de divisions des utiles savoirs faire par sanctions équivoques envers justes causes et essentiels savoirs être en souhaits versés à une potentielle vision équilatérale du partage des richesses suffisantes, essentielles et nécessaires aux labeurs positionnés au respect des règles de conservation des lois de l’éthique du monde naturel du vivant.
Vivrions-nous, individuellement, mille ans que cela nous délivrerait de cette attitude destructive attisée par l’édiction pleine et sans remords autorisant sans analyse particulière de se dire : « Après moi le déluge »…
Je n’en suis pas certain sachant que la faculté de l’être humain est généralement en celle de l’oubli de l’histoire passée, précédente à la personnification de la sienne, associée à un anthropocentrisme de position filmé dans l’impossibilité à se projeter psychologiquement et intellectuellement plus loin que sa posture arbitraire lui donnant révélation intrinsèque qu’il est à l’abri de tout évènement extérieur à son existence en usure d’un présent lasse ou agité, mais souvent irrationnel… : comme si dans cette sémiotique en déni de réalité il s’accommoderait de la souffrance de ses congénères.
Être obsédé par les règles sans le sens revient à étudier la grammaire en espérant comprendre la poésie.
Les limites sans les lumières, d’autres temps, contrées et cultures, jamais n’indiqueront le juste chemin…
Toute valeur ajoutée homogène se définie par tous ces citoyens et citoyennes proches de la juste conscience intelligible lorsqu’elle est exercée avec lucidité, sincérité, honnêteté, accompagnée par tout l’amour des savoirs-être et la déontologie des savoirs faire afin qu’ils, elles, puissent aspirer à ce que cela devienne un art de vivre…; pour les générations arrivantes...; et celles en partances…
L’entreprise ne fait pas les femmes et les hommes !
Ceux sont les écosystèmes sociétaux de ceux et celles d’avant et de maintenant qui les éduquent, les imaginent, les composent, les ordonnent et les font vivre, afin qu’ils, elles participent par l’addition de leurs savoirs faire et compétences particulières à l’évolution de la belle sensibilité socio-économico-culturelle du savoir être dans les sociétés et entreprises du Monde.
Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que ceux du désespoir… De la rancœur…Et de l’indifférente violence… Psychologique… Où celle physique risque parfois malheureusement d’apparaître…
Or dans tous systèmes naturels vivants dotés de la conscience peu importe leurs fonctionnements et pragmatismes, l’analyse sera intrinsèquement soumise à l’étude historique, sociologique, éthique, morale de l’axiome suivant : ‘’Toute valeur ajoutée se définie par actions d’utilité, de nécessité, d’essentialité ou de superflu… Dans la dimension sociale-économique individuelle ou communautaire, culturelle et ontologique attachée au mammifère-humanoïde pensant, présent dans l’écosystème…
Mais pourquoi, pour qui, pour quoi, où, quand et comment…’’ ?
Là sont les questions ! Où les deux réponses soumises elles-mêmes à études, analyses et théories philosophiques, sociologiques, mutationnistes, anthropologiques, culturelles, théologiques, morphosyntaxiques, sémiotiques, philologiques et psychologiques ne sauraient être que celles de comprendre le bon sens du faste et du néfaste dans l’aire communautaire, ou l’intérêt est majoritairement lié à la nécessité d’exister par l’anthropocentrisme, hors d’une potentielle compréhension des notions de justice et d’équité… Et des liens interindividuels… Avec pour présomption primaire, souvent celle d’une forme mégalomaniaque de soi ; par l’argent et le désir névrotique de possessivité, et d’accaparement.
Il se doit pour tout à chacun et chacune ; et réciproquement de faire quelques introspections sur l’HISTORIOGRAPHIE CIVILISATIONNELLE des Peuples, Nations, Pays, Régions, Contrées et Communautés Humaines dans une pluridisciplinarité éditoriale encline à traiter tous SUJETS-OBJETS cultura-identitaires ; sociaux-communautaires ; économico-financiers ; géo-historiques, chronologies biographiques, études épistémologiques et ontologiques par une PHILOSOPHIE-POLITIQUE digne du respect des différences ethnologiques, dignités personnelles et covalences intellectuelles respectueuses de la PRESERVATION du et des biens communs avec une POSOLOGIE HUMANISTE réglée à la DIVERSITE des BIOSYSTEMES & ECOSYSTEMES du et des VIVANTS… ; dans un système d’échanges représenté par l’ensemble (E) des ‘’machines humaines’’ en tant d’ÊTRE-HUMAINS conscients des IDEOLOGIES versées aux seuls BENEFICES de CORPORATISMES politico-financiers courbées aux uniques lois de l’ACCAPAREMMENT intrinsèque sans ATTENTIONS LOUABLES envers l’efficience du PARTAGE des SAVOIRS et CONNAISSANCES en ENGAGEMENT d’une potentielle réelle REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE CITOYENNE…
Quelle circonscription serait-elle en probabilité suffisante de croire que le consensus ne fut pas une naturalité d’effervescences sans comptes – d’Us & Savoirs – partagés au nom d’une utile évolution pluridisciplinaire ? Les sots et simples d’esprit ? Les suffisants en anathèmes ? Les poujadismes en dissidences primaires ? Une présomption en échanges clandestins ? Une inopérante thésaurisation usurière ? Une dissolution pluridisciplinaire au profit de corporatismes inefficients ?
Trinôme d’injonctions en reliques politico-philosophico-culturelles ?
Quelle est cette raison ?
Cette faculté qui nous est donnée pour nous permettre de déterminer quelle chose peut nous faire du bien et quelle autre du mal, et cela en fonction de la dose de plaisir ou de peine reçue.
Ce n’est là point un bon calcul pour déterminer la raison puisqu’elle ne peut être variable qu’en fonction de l’acceptation de chacun envers chacune et réciproquement.
III : THESAURISATION & SCIENCES HUMAINES
Ce n’est que par un effet de rhétorique que l’on peut arriver à faire croire que la vérité MATHEMATIQUE en économie INCOMPLETE a autorité SUPRÊME, en terme de CROISSANCE INFINIE dans un MONDE FINI, comme si toute VERITE pouvait s’émanciper de l’utilité d’un PRAGMATISME d’échelle présent, pour ensuite venir la justifier, en s’émancipant d’une autre THESAURISASION, en prémices ordonnées et subordonnées à un passé volontairement rendu VALORISANT, au profit de POSTULATS en futur PARTICULIER… Au nom d’INTERÊTS pour seuls clans de chaires, d’ors, de robes, de notables, de pompes et autre empruntés(es) en COMPTES de valeurs ajoutées, falsifiés… Marketing de lobbies, néo-scientistes ou PARAPHEURS en PARADIGME de faux-culs… ; se foutant CYNIQUEMENT de leurs CONGENERES… ???
Le CAPITALISME n’a plus besoin d’intelligences antithétiques à partir du moment où sa BASE devient uniquement MECANISTIQUE. Tout écosystème HUMANOÏDE arrivé à ce stade se contente comme AVOIRS que de disposer d’une armée soumise à l’impérialité du POUVOIR DIRIGEANT… ; où les oppositions PHILOSOPHICO-POLITIQUES se doivent d’être abolies par l’AUTORITE de commandements, endoctrinées par tous MOYENS physiques ou corrompues par les OUTILS de la FIDUCIE MONETAIRE affichée à l’ELITE financière supérieure ; et OPPORTUNISMES en recherche impérative de POSITIONS NOTABLES… A ce moment-là le PEUPLE d’une NATION n’a plus la LIBERTE DE CHOIX, et par conséquent le système devient une AUTOCRATURE SOCIETALE, voire PIRE…Avec pour encore plus mauvaise vision dans le système social-économique français (et autres) en celle d’imaginer la nouvelle possible évolution post-industrielle comme une désintégration communautaire par décret en faveur de la déconsidération cultura-identitaire nationale où le plus néfaste schéma d’incompréhension se trouve assurément proche des liens moribonds entre : Le corporatisme paroxysmique » Le déclin social-économique » La prédation territoriale » Le sectarisme culturel » L’anti-laïcité » Le populisme intransigeant » Le nationaliste exacerbé » Les peurs dans la zone non-sécuritaire » L’obscurantisme » Le nihilisme » La radicalisation » Le fascisme » Etc… ; et pour vecteur novateur à partir de la fin des années 1970, l’avènement de l’outil informatique, permettant de créer d’autres classifications, grâce aux langages algorithmiques où les mathématiques en autorisent la création des bases de données et autres compositions sujettes à confinements incohérents, dont le pire est d’avoir oublié dans cette histoire à tendance déshumanisante, la pensée profonde de la propre existence ontologique singulière du mammifère-humain. Auparavant, l’individu était une personne morale à valeurs de dignité supérieure aux prix fixés à l’objet de consommation.
Le glissement de cette dignité – certes inexistante chez les individus soumis à la tricherie, l’ignominie, l’infamie et l’insincérité patente – part de la personne physique en respect des valeurs éthiques et déontologiques dans le cadre des Droits et Devoirs inscrits dans une société de justiciables et justifiables en tant que personnes physiques morales. Cette personne physique, dotée d’un patrimoine, a été transposée au statut d’entreprise morale, en tant qu’entité fonctionnelle – machine non-humaine – puis fut réalignée, aux Etats-Unis, au milieu du XIXème siècle, par sa mise en place au statut de ‘’personne morale’’, désignée plus tard sous le patronyme de ‘’TRUST’’ - « la Fiducie » de droit anglo-saxon.
TOUT SYSTEME SOCIAL-ECONOMIQUE ORGANISE PAR UNIQUE GESTION COMPTABLE ET/OU CORPORATISME INDIVIDUALISTE QUI N’AYANT AUCUNE NOTION DE SCIENCES SOCIALES ET AINSI FAISANT, SANS TEMPS D’ANALYSES JUDICIEUSES ; UN DENI DE RESSOURCES HUMAINES PLURIDISCIPLINAIRES EST A TERME VOUE A SA PROPRE DESTRUCTION…
Nous vivons aujourd’hui aux crochets des générations futures et nous leurs léguons une poubelle explosive très chère à entretenir, tout en ne leur procurant plus les moyens de vivre de leur travail. Le COURT-TERMISME est, parait-il, inscrit dans les règles de politiques seulement et uniquement comptables…
Il serait, entre autres changements de politique économique ; pourtant tout à fait possible d’augmenter le SMIC à 1800 € Brut De n’avoir aucune retraite au-dessous de 1 000 € Net mensuel.
D’avoir un Revenu Minium Social Individuel (RMSI) de 650 € mensuel hors APL. Soit 170 euros de plus que le RSA actuel avec une gestion comptable nationale au lieu d’être actuellement départementale.
Demande du RMSI, partiel ou complet ; possible pour tout jeune de plus de 18 ans sans premier emploi ou en cursus d’études supérieures au BAC, en fonction des revenus du parent célibataire ou ressources des deux parents.
Par contre, cela ; et afin d’obtenir une efficacité sociale-économique notable, utile et quantifiable, demanderait une volonté politique de grande envergure en commençant par l’étude et l’analyse des 25 points suivants :
- Arriver à une réelle égalité des salaires hommes-femmes dans toutes les branches d’activités professionnelles
- Individualisation de l’impôt sur le revenu
- Revoir le système des Allocations Familiales, notamment en fonction du revenu individuel et du quotient familial.
- Augmentation de l’assiette de l’impôt sur le REVENU – 3% à partir de 18000 € de revenus annuels avec augmentation de 1% par tranche de 6 000 € jusqu’à 102 000 € annuels. 20% au-dessus de 114 000 € et 25% à partir d 120 001 €. 33% sur les revenus supérieurs à 200 000 € annuels, 40% à partir de 500 001 € et 50% au-dessus de 1 000 000 d’euros.
- Suppression des NICHES fiscales. Adapter celles concernant les investissements dans l’outil industriel, l’artisanat ; les technologies affectées aux énergies renouvelables, la transition énergétique, l’élevage, l’agriculture et les cultures vivrières biologiques.
- Plan d’investissement important pour la réfection des logements et économies d’énergie, notamment par une banque d’investissements digne de ce nom.
- Contrôle des loyers avec modification de l’imposition sur les sociétés immobilières
- Mise en place d’une grille d’IMPÔTS FONCIERS différente en fonction de l’habitation principale, la secondaire et les autres biens immobiliers particuliers ; à partir du troisième.
- Faciliter par défiscalisation les lègues tant financiers, mobiliers, qu’immobiliers et transmissions d’héritage du vivant
- Augmentation des taxes sur les dividendes financiers au profit des réinvestissements monétaires dans l’outil de TRAVAIL, les nouvelles technologies, l’EMPLOI et la formation scientifique…
- Campagne de sensibilisation afin de privilégier l’achat de produits français et les circuits courts
- Contrôler efficacement l’utilisation des fonds et la dépense publics
- Lutter contre les sociétés ne respectant pas la législation du commerce et du travail
- Contrôler et limiter par tous moyens l’évasion fiscale
- Traquer le travail non déclaré et cerner efficacement le dumping économique capitalistique, tant dans l’imposition, les transactions financières inutiles au développement ; que dans l’emploi.
- Conserver et adapter les aides à la transition énergétique ainsi que celles affiliées à mobilité individuelle et collective.
- Couverture internet sur tous les territoires.
- Favoriser le télétravail dans la mesure des possibilités de chaque branche d’activité
- Mettre en place une RELLE politique parlementaire, sénatoriale et législative CITOYENNE, notamment en rééditant la représentation constitutionnelle et référendaire.
- Retour au septennat avec élection législative à mi-mandat.
- Modification du système de Référendum d’Initiative Populaire de 2008 (trop contraignant).
- Réduire le nombre de postes dans la fonction d’Administration Centrale d’Etat
- Induire les moyens pour les Etudiants des Grandes Ecoles, HEC, ESSEC, l’ENA… Etc ; à participer aux campagnes sociales et stages en organismes d’aides et de causes humanitaires…
- Mettre en œuvre une réelle, pragmatique et efficace Décentralisation Territoriale
- Editer une loi permettant de déposer plainte directement auprès de la justice, pour le fait : Organismes publics, sociétés et entreprises privées ayant abusé d’une position dominante à l’encontre d’une personne individuelle en situation précaire, aux fins d’y avoir soustrait dividendes, agios, intérêts et toutes sommes ; sans établissement, au préalable d’une étude permettant de comprendre et établir formellement assujettissement à contraintes financières supplémentaires au regard d’une situation déjà difficile du ou de la requérante.
Ex : en 2017 les banques ont facturé 6 milliards d’€ d’agios et d’intérêts sur incidents bancaires. Ce n’est assurément pas les mieux lotis(es) qui ont subi ces contributions financières forcées.
‘’Notons que penser à l’ordre idéal comme écart entre l’économie et la monnaie revient à dire que la monnaie est une imperfection dans une démarche uniquement économique dématérialisée de sa fonction sociale où l’attrait mobilisateur envers le refus social ne saurait être autre que celui d’avoir les moyens individualistes nécessaires à exister hors de ce même système social-économique délétère envers la légitimité de la communauté de bien(s)…’’. Avec ou sans ‘’s’’ !
Il est tout à fait exceptionnel qu’une seule étude nous force soudain à nous représenter l’univers qui nous est familier d’une manière tout à fait différente de ce qui prévalait jusqu’à présent.
On évoque alors un changement de paradigme.
‘’Ce qui m'intéresse est une économie où la monnaie n'a pas de valeur intrinsèque et est universellement acceptée dans les échanges‘’…
LE PARALOGISME ENTRE SYSTEME ECONOMIQUE ET SOCIAL EST-IL INSOLUBLE, OU EST-CE UNE ASSOCIATION DE MALFAITEURS… ???
N’est-ce pas Mesdames et Messieurs les gestionnaires de rentabilité, dirigeants des ressources humaines, administrations et politiques de tous bords possédant savoirs et capacités d’analyses des systèmes socio-économiques, zones d’activités, entreprises industrielles, sociétés commerciales, d’échanges de biens et services privés et publiques, tout cela, bien évidemment accompagné de la compréhension ontologique suffisante et la juste philosophie envers vos ’’semblables‘’…???
Mammifère-humanoïdes… De type bipède…
Et surtout disposez des compétences nécessaires à définir les règles et lois de la division sociale afin d’y maintenir le règne des possédants addictifs, dont sa constituante principale est en la seule pensée d’exister uniquement par l’avoir et non par l’être. Ce qui est un total paradoxe communautaire, et social sauf pour les inconscients et inconscientes, déterminés(es) à appliquer ce concept des avoirs par refus d’attention, d’étude sociologique, analyses épistémologiques, et philosophiques dénuées de la juste compassion envers des formes de vies toutes aussi honorables et dignes, désirant juste le nécessaire à y accéder par leur travail empreint de la déontologie des savoirs faire, accompagnée par l’éthique des savoirs être… Dont vous êtes assurément très éloignés des zones d’exercices réelles de ces formes de vie conscientes, et par voies de conséquence assez ignorant quant à leurs codes de fonctionnement, circonvolutions, covalences, convergences, intérêts et autres concessions entre les différents protagonistes de ces zones sociales économiques à ’’réseaux’’ humains, dont leur but de rentabilité reste quand même empreint d’une certaine réelle et juste valorisation manuelle et intellectuelle, en permettant la visualisation et la reconnaissance d’une possible juste équité.
Alors que votre enjeu principal, dont vous pouvez aisément en percevoir les magnificences, puisqu’il est omniprésent dans vos zones d’échanges de biens et de services dont ils en sont les piliers, à savoir, définir le prix des prestations de vente au maximum de leur valeur financière absolue, tout en y appliquant la valeur ajoutée au minimum de son prix de revient (sauf pour les produits de ‘’luxe’’, réservés à pouvoir financier suffisant) avec pour la partie main d’œuvre productive déconsidérée, le minimum admissible (devenant aujourd’hui souvent maximum de son inadmissibilité), pour chaque zone géographique dans laquelle elle est exercée au minimum des quotas économiques et sociaux, bien évidemment facilités par le développement des transports permettant, si les coûts de production ne sont pas assez bas ’’ici’’, d’aller trouver ailleurs de plus petites mains moins chères, vous autorisant, bien évidemment, sans aucun état d’âme quant à l’exploitation anarchique des hommes par l’Homme, voire des enfants, d’en laisser la marge financière maximale à l’acte de vente du produit, invectivée par son potentiel à être objet essentiel, nécessaire ou superflu ; avec comme particularités à ces trois sujets d’incertaines obsolescences, en celles que le premier n’ai aucun besoin à être appuyé par l’offre, le troisième obligatoirement invectivé par l’offre, alors que le deuxième se doit d’être tantôt soutenu par la demande et tantôt assujetti à l’offre, pour la simple raison que le nécessaire n’a pas même signification suivant la projection que se font les pensées et imagination chez ’’l’être humain’’, de l’essentiel quand il le possède et du superflu lorsqu’il le désir, où dans ce système le référentiel en est assurément la ‘’Monnaie’’.
Heureusement pour vous, que majorité a toujours du mal à fixer le degré de l’utile, surtout lorsqu’il est martelé par les outils du marketing logo-médiatisant. Et autres réseaux publicitaires à sémiologie ‘’médicamenteuse’’, dont leurs particularités en sont le formatage des pensées et la ‘’logo-atomisation’’ du réel positivisme échangiste… Je pense pourtant que vous devriez savoir que la gestion de ressources humaines demande par définition, quelques notions de philosophie, d’histoire, de psychologie, sociologie, ontologie, voire anthropologie adaptées à traiter convenablement l’objet et le sujet attachés à l’exercice de compréhension, par la logique humainement acceptable et respectueuse de tous labeurs, besognes et travaux, ainsi que de toutes vies, où les langages phoniques, expressions formelles, impressions logarithmiques, mathématiques, informatiques et alphanumériques, n’en sont qu’une partie de la possible et potentielle compréhension, et se doivent obligatoirement d’être accompagnés par quelques langages poétiques et romantiques, institués par quelques attentions, analyses objectives et études intelligibles… Car dans le cas contraire, cette appréhension attachée à la dualité ‘’corps-esprit’’, ne saurait en aucune façon être approchée, et encore moins unifiée ; en tant que complémentarité essentielle à bienséance.
On ne vous a pas appris cela à l’école de la vie ?
Mais bon, le ‘’sujet’’ humain que je suis, ne vous en veux pas. Vous êtes seulement devenus des recruteurs et administrateurs à la solde de quelques chefs et autres dirigeants doués de mauvaises natures, ou dépassés par les évènements du moment, où le plus important de vos désirs et les leurs, est votre identité anthropocentrique et vos ’’petits pouvoirs’’ exercés par trop d’indécisions et mauvaises perceptions, qui par la mienne me permet de vous visualiser tels des ’’fantômes’’ de la gestion des ressources humaines, administrations économiques et sociétales, qui devraient par ailleurs commencer, très tôt, par l’apprentissage, l’éducation et la retransmission des savoirs et connaissances affichées à l’histoire de chaque ’’évolution générationnelle’’, avec dans une de ses définitions quelques oublis inconscients de votre part pour ses parfois mauvais cycles et effets, qu’autres grands dirigeants, hommes politiques et modulateurs médiatiques, n’ont bien évidemment pas oublié et surtout n’ont pas omis d’y exercer quelques actions sur ces trois leviers que sont donc, l’essentiel, le nécessaire et le superflu, pour des désirs personnels que vous entreverrez peut-être en lisant mes ‘’mots dits écrits’’, et informations objectives et logiques éditées également sur autres supports… Ailleurs… Accompagnées par quelques extraordinaires consciences… Où les déterminantes justifiables que sont l’équité, la fraternité, la justice et l’humanisme possèdent encore leurs réelles et belles définitions universelles, dans une véritable République Démocratique affichée au Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, et respectueuse d’accords interindividuels, honorables.
Hou la là, la conscience humaine!
Qu’elle est perfide parfois et trop souvent proche de l’inconscience.
Et je n’édicte rien quant aux irresponsables et absurdes qui ne souhaitent ou ne veulent plus se faire ‘’soigner’’.
Sujet trop vaste…
Atteint par trop de prosélytismes de mauvaises croyances infondées. Car encore cloisonné par trop d’incompréhensions philosophiques ou teinté de trop de volontarismes liés à la soumission néo-liberticide, envers le sujet humain et autres organismes vivants… Dépeinte dans l’inconscience ontologique…
Bordel… ; Gente de bonne conscience, réveillez-vous !
Et faites travailler votre imagination et vos méninges, par la vraie logique de vos sens! Car, sur ce thème particulier des ’’savoirs faire‘’ et ’’savoirs être‘’, en tant que déterminants de la redevenue nouvelle asociale économie en générale, travail rémunéré à la juste valeur de son exercice particulier et conceptualisation de milieux sociétaux vivables, je ne comprends plus grand chose, tant dans les comportements que dans les bases indispensables, utiles et nécessaires, tel un triptyque attribuable au genre humain, dont les trois piliers essentiels en seraient « l’affectif, le travail et l’outil » nécessaire aux échanges, à savoir : ‘’La monnaie’’ ; en tant que référentiel utile à la visualisation fiduciaire des énergies humaines, matières premières, biens et objets transformés… Mais par contre, je m’aperçois pour le premier, qu’il est relégué en troisième position après l’argent et derrière le travail, tandis que pour ce dernier, le temps pour accéder à la retraite augmente, l’âge du sujet, lui permettant de commencer à être considéré comme compétent afin de pouvoir entrer dans le secteur du travail rémunéré se décale, la période où nous sommes considérés comme performant diminue. Il me semble malheureusement entrevoir une mauvaise rythmique dans tout cela, pour disposer de quelques menues monnaies…
Les ’’jeunes’’ commencent à recevoir un salaire soumis à cotisations pleines en moyenne vers 23 ans, et à partir de 54 ans, voir avant (c‘était mon âge en 2013), nous sommes soit disant insuffisamment compétitifs pour continuer cette activité professionnelle, qui nous a permis d’exister dans ce système d’échanges en tant que lien social-économique. Si je compte bien, cela fait environ trente et une années de cotisations, alors qu’il nous faut dans notre pays, plus de 41 annuités en permettant les versements normaux proportionnels à une réelle activité, utilement rémunérée et exercée au juste montant de valeurs relatives en tant que déterminant des prélèvements nécessaires à l’obtention d’une retraite par répartition à taux plein en adéquation avec des normes de vie acceptables pour ceux et celles en activité, au même titre que les retraités(es) bénéficiant uniquement de cette ‘’rente‘’, me semble-t-il ?
A moins d’avoir réussi à cotiser à quelques fonds de pensions où caisses de retraite complémentaires, de plus en plus coûteuses… ?
Encore une fois, me serais-je trompé, ai-je été trompé, maintenant, ou en d’autres temps et par de mauvaises intelligences dont la justice sociale n’est pas le cœur de leurs problèmes ?
Mais, comme souvent en des cas problématiques, je m’aperçois que les réelles définitions de la liberté, de l’égalité et de la fraternité ont été dans notre pays, comme en beaucoup trop d’autres, quelques peu oubliées, ou bafouées tels des arbrisseaux desséchés, présents aux bords des chemins, dont leurs graines réensemencées de façon inadéquate, n’ont assurément pas reçu les attentions nécessaires à leurs belles pousses, et aujourd’hui remplacées par de mauvais germes, dont l’expansion de leurs aires de développement me semble être générée par l’expropriation voire l’élimination des petites cultures et ’’autres insignifiances’’… Et remplacés par des produits de mauvaises influences, fausses factures et néfastes consommations…
Physiques ET/OU Intellectuelles… ???
Après ‘’Big Brother’’, ‘’Little Uber’’ sera-t-il le ‘’grand frère’’ du XXIème siècle ?...
Je pense que le développement de toutes ces ’’grandes’’ applications risque malheureusement d’être en celui d’y avoir quelques problèmes supplémentaires d’ici quelques années, pour une grosse partie des générations suivantes à la mienne, en dehors de ceux existants à l’heure actuelle consistant majoritairement dans nos pays modernes à essayer de vendre de ‘’l’intelligence grise’’ pas toujours adaptée à nos systèmes de vies, en perpétuelles mutations, où la vraie réalité sociale économique est pourtant bien en celle de certaines de ses belles entités, proches de l’appareil créateur et générateur de produits manufacturés marchands, mais trop souvent destituées de leurs fonctions logiques par quelques mauvais génies de la finance et autres sorciers de l’économie peu scrupuleux, et sûrs de savoir comment gagner de l’argent par d’autres principes virtuels dénués d‘une quelconque petite éthique, leurs permettant de conserver le contrôle des flux financiers à fin d’augmenter leurs réserves monétaires, ainsi que la croissance de leurs biens matériels, sans considération pour les quelques ’’entités’’ atteintes d’autres souhaits sociologiquement plus engageants ; ainsi que pour le fondement de l’appareil des savoirs techniques exécutables par les savoirs faire manuels et intellectuels, en tant que valeurs ajoutées, apportées par tous ces ’’savoirs’’ pourtant indissociables les uns des autres, se trouvant dans la création, la conceptualisation, la réalisation, la fabrication, la distribution et l’acquisition de ‘’l’objet’’ utile, nécessaire, essentiel, souhaité, désiré… ; jetable, etcétéra, ‘’rejeté’’,…
Néo mieux, néo vieux, néo jeunes, nouvelle économie, nouvelle évolution, que sais-je encore…
Plus, mieux, bien ? Pour quoi, pour qui ?...
Nouveaux sujets… ???
Pour croire que nous avons pouvoir d’assertion équitable ?…
Ou d’asservissement … ? Par la servitude mystifiée ?
Pour les principes, us et coutumes retransmis par ceux et celles d’avant ? Ou au nom de quelques croyances infondées ?
Ou plutôt à imaginer d’autres systèmes de vies plus respectueux de ‘’l’être vivant’’ ? Et du monde naturel… ??? Où ce dernier est assurément notre référant existentiel !
Ma génération et celles d’avant ont quand même majoritairement, sacrément foutu la pagaille, vectorisée par l’inconscience d’être pratiquement sûr de n’avoir engendré ni désordre, ni individualisme, qui pourtant, même sans y prêter une attention exacerbée proche du mal-de-tête, sont assez facilement décelables en certains milieux socio-économiques, où la ‘’machine’’ est devenue suffisamment complexe pour ne réussir à en définir uniquement les réponses humainement inacceptables, éloignées de certaines réalités territoriales dont ‘’L’Etat intelligent’’ est pourtant statistiquement dotés de solutions convenables, si elles étaient réellement visualisées et comprises, surtout par celles et ceux existants par ailleurs, ne voulant opter pour aucune autre logique, anticonformiste au rapport de leur présent matérialiste et pourtant, par juste rétribution, indispensable à la belle évolution générale…
Ont-ils, ont elles peur que ces changements non propices à leurs croyances et certitudes fortement cloisonnées, défiscalisées ou endettées, aient quelques incidences sur leurs bonnes conditions de vie, où pour certaines, le nécessaire a largement dépassé l’essentiel à l’existence d’une seule, qui par leurs omissions, peut-être volontaires, ont oublié que l’analyse objective et la conceptualisation associative d’autres possibles thésaurisations en états fonctionnels affétées à la belle évolution humanisante en permettraient le juste éclaircissement de certaines alternatives sociétales plus adaptées aux espaces temps du moment, où le privilège serait le véritable ‘’bien-être’’ légitime avant le ‘’tout avoir’’ absolu… ???
[…] Encore faut-il réussir à ne pas passer outre les calomniateurs convaincus et ne pas recourir à leurs maximes sans analyses des paralogismes particuliers et syllogismes divers, afin que la flétrissure généralisée ne soit plus une fragrance à en adopter le verbiage, sans attention ni étude envers la divagation ahurissante de la diversité.
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Date de dernière mise à jour : 16/09/2024
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