BAC D'ENTREE OU BAC DE SORTIE...
BAC D’ARRIVEE – DE DEPART… OU ; BAC D’ENTREE OU DE SORTIE… ???
Est-ce ou fut-il temps…, de connaitre le TÎTRE avant de commencer à écrire sur le SUJET ?
Je crois malheureusement que chez certaines inconsciences et néfastes consciences, l’esprit des temps immémoriaux des Lumières est définitivement mort… Ou alors est-ce le scélératisme qui habite la philosophie politique, l’angle social-économique et les asthénies intellectuelles qui formatent la pensée antihumaniste acculturée… ; à la déficience et l’inattention ???
« Le meilleur système démocratique est une ethnosociologie Cultura-économique privilégiant une politique philosophique par l’assassinat virtuel »
Bonjour, les curieuses, y tout, les curieux
Sachant que les peurs, l’inconscience ou les certitudes individuelles, quant à ces choses de la vie n’ont et ne sauveront jamais personne. Mais sait-on que taire toutes relations en échange de savoirs quant à la réalité d’un présent interactif ne saurait, en aucune orthodoxie – us & coutumes – engendrer imaginaire attractif autorisant étude du véritable sens d’une curiosité utile à penser le libre-arbitre comme une dissertation entre liberté d’être et accords en attachement d’une historiographie bordée au courant d’un potentiel futur respectueux du temps des actions concertées, voire attentionnées…
Je souhaite, en cette fin de manuscrit, soumettre à l’analyse, de celles et ceux ayant réussi à accéder au baccalauréat, ainsi qu’à autres, n’ayant pas eu, pour ‘’X ET/OU Y’’ raisons, causes et devises, possibilités pour entrer ou facultés à y arriver. Le sujet de réflexion est défini à la fin du paragraphe suivant. Il va de soi, pour celles et ceux n’ayant pas réussi à concourir pour éventuelle accession ; à autres flux d’apprentissages grâce à un bac, scientifique, littéraire, technologique… ; etcétéra… – j’en fais partie – qu’aucune différence de classe ne les notera, en entrée de civilités, comme, étant toutes et tous, des cancres ignorant ces choses de la vie et du monde naturel du et des vivants… Etant défini, en premier abord, qu’il en fut, pour nombre non négligeable, d’un utilitarisme de positions circonstancielles, une nécessité de retransmission népotique, envers cet objet servant les portes de procuration, au nom de nouveaux horizons, intellectuels et matériels, que les apparatchiks, n’ont souvent, eux-mêmes, pas réussi à franchir… ; pour arriver à se rapprocher de ce qu’il en est d’un bonheur particulier, dont le but collectif ne fut jamais défini. J’en serai, donc, aise à pouvoir lire dissertations quant à propres conditions liées aux avantages pragmatiques accoquinés à ce passeport pour l’avenir… ; continuellement incertain. Sachant, également que nos savoirs personnels, entre voies innées et voix d’acquisition ont commencé dans le bac à sable, puis pour les plus songeurs, le bac à fleurs…
Pour mes partitions cheminâtes ; ainsi qu’aux soins de mes divers apprentissages, après ces deux bacs, j’ai lu et goûté Bacon et Bacchus, à meilleures perceptions Baccarat des villes, notamment dans la grande (ï) cité lyonnaise à cheval sur deux fleuves, moindres connaissances, à l’époque, envers les bacs-à-rats des champs, entrevu, plus tard, Bakou (la ville la plus sale du monde) : https://www.courrierinternational.com/breve/2008/02/29/bakou-la-ville-la-plus-sale-du-monde , entendu Bacri (scénariste et dramaturge français) et Bacqué (grand reporter), mais, réellement, pas vraiment connus… ; et Bach, que je ne connaitrai jamais, sauf par l’écoute de sa musique… Plus imprévus ; les bas-comptes, bas-coups, et bas contes firent, ou, peut-être ; contribuèrent, déjà, en fond de seconde technologique, près du radiateur, à me ratatouiller contre les murs des retransmissions bâclées, ou tout du moins, pas, toujours, en phase avec les souhaits des étudiants(es), apprentis(es)…, et une société en continuelle évolution, tant au niveau ethnosociologique, épistémologique et technologique, qu’en les diverses et différentes dimensions ontologiques. Bon, quoiqu’il en fut de mon passé, et en est de mon cas personnel, maintenant, revenons à l’objet du sujet essentiel, à savoir ce thème apparenté à la philosophie et formulé par les questions suivantes, dont les réponses pluridisciplinaires, n’en ajoutèrent que points de vue voués à formes subjectives en dévoiement d’objectifs mutualistes et souvent marqués à insincérité de diffusions :
- Qu’envisagez-vous quant à votre future position, personnelle, professionnelle et sociologique, d’ici à cinq ans… ?
- Quels sont les moyens et outils imaginés pour réussir à réaliser vos souhaits… ?
Vous avez cinq ans et un de plus pour envoyer vos conclusions à l’Académie de votre circonscription qui transmettra vos données personnelles au Ministère de l’éducation…, qui, lui ; se chargera d’évaluer les futurs programmes, tel que vous CROYVEZ – si, si ; l’Académie Française en accepte, depuis peu, l’accord textuel – au nom qu’ils, elles s’eussent été affichés(es), envers génuflexions, chéries, chéris, à vie… ; formalisés(es) à conformisme béat.
Nous ne sommes pas, esprit-libres, soumis à cet ordre de la servitude, volontaire… ; en opportunismes iniques…
Je suis, etc. ; etcétéra, etcétéra…
Je crois malheureusement que chez certaines inconsciences et néfastes consciences, l’esprit des temps immémoriaux des Lumières est définitivement mort… Ou alors est-ce le scélératisme qui habite la philosophie politique, l’angle social-économique et les asthénies intellectuelles qui formatent la pensée antihumaniste acculturée… ; à la déficience et l’inattention ???
« Les experts en intelligence sont-ils devenus espèce à sang froid ? La politique, la religion et la monnaie sont-elles, pour certains clans, un résultat de pouvoir divisionnaire inique ?
Ce qui est certain, c’est que les trois veillent et entretiennent le néo – ordo – ultra – libéralisme social-économique et le capitalisme financier impérieux » […]
Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ; or il est de plus en plus inhumain, déséquilibré et irrationnel.
Les yeux de l’homme ne réussissent à percevoir les choses que par la… ; connaissance de leur superficialité. Pourtant l’intelligence humaine a les ressources pour donner forme à leur essentialité.
80 MILLIONS DE PAUVRES EN EUROPE… EN 2019.
La démocratie devient-elle une technocratie gérée par des politiques et leurs alliés ne voulant plus faire analyse juste et sensée envers une véritable économie sociale de marché ; ayant réelle attention envers une Démocratie Républicaine attachée à la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice sociale-économique… ?
Et aller, hop, encore une révolution pédagogique structurée au conformisme déficient et incapable de se libérer dans la création, mais assurément compulsés par des étiquetages d’une technocrature politique prostrée au désir incommensurable de se donner en spectacle pour l’unique vacance désuète de ses membres envers un démiurge binaire, entre tout ou rien… Comment espérez-vous, dans cette errance sociale-économique, qu’il puisse exister, en ces temps troublés, un intelligible vecteur attentionné autorisant la génération des 16 – 25 ans à pouvoir faire choix sensé et rationnel quant à leur future existence communautaire, dans un monde totalement individualiste, surtout lorsque l’enseignement, la retransmission des connaissances, la pédagogie et les apprentissages sont devenus formalisation prédatrice dans une vision dénuée de factions équilatérales ; et tout cela dans un système de bien(s) et services marchant vers une rentabilité exponentielle et creusant ainsi le tombeau d’un autre secteur économique, non prolixe, et ignorant par-là même ; les circonvolutions d’un machiavélisme philosophico-politique dénué de toute attention en sollicitudes… ???
Dans un monde terrestre, fini.
A quelles aberrations éducatives serait-il propre de leur nature qu’elles n’en fussent point incorrigibles à marcher vers un abîme qui mène formes et styles en reniement de dignité et destitutions en conservation du bien commun… ; au nom d’une guerre économico-financière entre possédés(es) et possédants(es)…
Dans les années 80, l’éducation mit en place l’apprentissage linguistique par mémorisation… ; nous en dissertons, sans mal de tête intransigeant, le résultat actuel… Tous ces experts, docteurs et spécialistes en ressources humaines ; ont-ils oublié que la MEMOIRE est chose aléatoire, subjective et ne possède en aucun cas facultés illimitées ; attachées aux mécanismes cognitifs du mammifère-humanoïde… Ont-ils, sont-elles ; et réciproquement, dans une omission (volontaire ?) théorique stipulant qu’en toute matière les bases de la connaissance pluridisciplinaire sont essentielles à l’élargissement du champ des possibles… ???
En l’occurrence ; pour la morphosyntaxique du langage ‘’humain’’ – c’est l’alphabet qui autorise la composition de syllabes, mots, phrases, etcétéra… ; textes et lemmes explicatifs, voire compréhensibles… Et cela, non pas pour en faire, ‘’grâce’’ au langage politicien ; une rhétorique rendant vraisemblables les mensonges, crédibles les tricheries, respectables les ‘’petits meurtres entre amis(es)’’ ; et ainsi donner solidité à ce qui n’est que vil ‘’manège enchanté’’ farci aux bals des hypocrites prétentieusement comblés par un existentialisme perdu dans les profondeurs d’esprits sans vitalité, desquels n’y pourrait surgir aucun jaillissement autre que la duperie en tickets d’entrée chers payés ; envers une société sans embase…
Qui plus est, lorsque la valse entrepreneuriale, productive, technologique & commerciale des sociétés est soumise au machiavélisme défiscalisé par le prisme social-économique d’élites de pacotilles qui seront, majoritairement ; à la ‘’retraite’’, professionnelle, voire institutionnelle, tels des ‘’sages’’, qui ainsi dans leur sérénissime savoir auront ‘’encore’’ quelques solutions viables quant à ethnosociologie justifiable de justiciables… ; en déconstruction reproductive… non soluble avec le principe de subsidiarité entre sociologie de tempérance et économie de pragmatisme ??? Avant que la génération d’après y réussisse à étudier les quelques ‘’conneries’’ philosophico-politico-ontologiques de celles d’avant, où les moins férus(es) en pluridisciplinarité furent désaxés par une thésaurisation sociologique ; humainement inacceptable et souvent inintelligible pour autoriser une recherche des liens et accords du discours entre les sciences et les arts, suffisamment éloignée des temps immémoriaux des Lumières, pour laisser croire aux ignorants(es) et adeptes de la servitude volontaire ; que le retour à la pensée unique édictée en paralogismes philosophico-financiers ‘’modernes’’ serait la solution mondiale, valable, viable et sûre…
Qu’est-ce que l’Europe ? Un acharnement de voisins qui se battent… Ecrit ainsi, le philosophe et mathématicien, Leibniz (1646-1716).
- En Allemagne, les phases d’expansion des droits civiques et sociaux (L’unité allemande ou les réformes de Willy Brandt) se produisent en période de croissance. La montée du nazisme dans les années trente ou la recrudescence des pulsions anti immigrés se produisent au cours de sévères phases de récession… Le monde est clos et le désir infini - Daniel Cohen.
Avec pour encore plus mauvaise vision dans le système social-économique français (et autres) en celle d’imaginer la nouvelle possible évolution post-industrielle comme une désintégration communautaire par décret en faveur de la déconsidération cultura-identitaire nationale où le plus néfaste schéma d’incompréhension se trouve assurément proche des liens moribonds entre : Le corporatisme paroxysmique » Le déclin social-économique » La prédation territoriale » Le sectarisme culturel » L’anti-laïcité » Le populisme intransigeant » Le nationaliste exacerbé » Les peurs dans la zone non-sécuritaire » L’obscurantisme » Le nihilisme » La radicalisation » Le fascisme » Etc… ; et pour vecteur novateur à partir de la fin des années 1970, l’avènement de l’outil informatique, permettant de créer d’autres classifications, grâce aux langages algorithmiques où les mathématiques en autorisent la création des bases de données et autres compositions sujettes à confinements incohérents, dont le pire est d’avoir oublié dans cette histoire à tendance déshumanisante, la pensée profonde de la propre existence ontologique singulière du mammifère-humain.
L’HUMANITE EN PENTE GLISSANTE
L’homme n’apprend rien de ses erreurs.
Une erreur, de ‘’casting’’ ou autres, quelle, soient-elles, est un évènement qui, normalement, se produit une seule fois. Lorsque cette même erreur arrive une seconde fois, c’est une faute.
Nous vivons aujourd’hui aux crochets des générations futures et nous leurs léguons une poubelle explosive très chère à entretenir, tout en ne leur procurant plus les moyens de vivre de leur travail. Le COURT-TERMISME est, parait-il, inscrit dans les règles de politiques seulement et uniquement comptables…
Auparavant, l’individu était une personne morale à valeurs de dignité supérieure aux prix fixés à l’objet de consommation. Le glissement de cette dignité – certes inexistante chez les individus soumis à la tricherie, l’ignominie, l’infamie et l’insincérité patente – part de la personne physique en respect des valeurs éthiques et déontologiques dans le cadre des Droits et Devoirs inscrits dans une société de justiciables et justifiables en tant que personnes physiques morales. Cette personne physique, dotée d’un patrimoine, a été transposée au statut d’entreprise morale, en tant qu’entité fonctionnelle – machine non-humaine – puis fut réalignée, aux Etats-Unis, au milieu du XIXème siècle, par sa mise en place au statut de ‘’personne morale’’, désignée plus tard sous le patronyme de ‘’TRUST’’ - « la Fiducie » de droit anglo-saxon (pays considéré comme le plus grand colonisateur à partir du XVIIème siècle). Cela permit aux individus, personnes physiques de pouvoir s’inscrire dans le sillage de personnes ‘’morales’’ et bénéficier ainsi du pouvoir démultiplié des sphères patrimoniales et de l’influence de l’avènement industriel au cours du XIXème siècle, auquel les individus accédèrent grâce à l’héritage, à la transmission, filiale, à tiers personne ou groupes d’intérêts particuliers – à l’immortalité du trust – qui était désormais garantie par la société morale de l’entreprise capitalistique, anglo-saxonne, américaine, etc… ; suivies par la mise en place du système de circulation mondialisé des marchandises et capitaux…
Ne faut-il pas penser, dans cette évolution de la société ‘’morale’’ une « ruse de la raison » au sens hégélien ?
Et tenter de pouvoir dire que les lois du commerce international sont une parodie de néfastes valeurs collectivistes, corporatistes et communautaires, voire agencés par des groupes de prédation.
Quand une mise en œuvre des principes du marché ultralibéral provoque une crise écologique et idéologique précédée par des crises économiques et financières, sévères au cours du XIX et XXème siècle, puis la première véritable crise financière mondiale en 2008, trouvant sa source aux Etats-Unis, que peut-on penser de ce système politico-social-économique ultralibéral ? Qu’il est celui des plus forts ou plus nantis ? Les banques et organismes financiers ont-ils appris de leurs erreurs ?
Nous allons rendre le système économico-financier plus fiable, ont-ils dit. Le résultat de ce système où l’attitude asociale brutale de l’économiste et du comptable a pris le pas sur le prix de toute dignité, en tant que constituante d’une Démocratie Républicaine, dans le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, serait-il devenu un jeu de dupes, à produit négatif et dommages collatéraux funestes pour encore proportion trop importante de l’humanité ?
Qu’il en soit plus qu’il en est de nos raisonnements qui n’eussent d’autres horizons que ceux de nos romances particulières en oubliant que chaque histoire singulière n’autorise en aucune manière de fustiger tout à chacun à propos de chacune ; et réciproquement, dans leurs propres désirs de refuser un démiurge insincère qui n’aurait pas ses fondements dans les lois d’un combat vif dicté par les pensées qui n’ont de vérité qu’à se rencontrer en celles d’observances éveillées ; plutôt qu’en nos rêves tournant trop souvent aux cauchemars entre possédants(es) & possédés(es).
Nous ne sommes pas tant parfaits et satisfaits par ce qu’il en devrait sortir de nos échanges composés en égal attachement envers ces ‘’choses de la vie’’ qui ne puissent contenter nos propres expressions de la liberté en défaut d’attentions véhiculées par précieux et suffisants(es) pour ce qu’il en retourne des différences de compositions entre les dissonances en dimensions touchables et celles de l’espace sensiblement touchant.
Il n’est de plus imprévisible plume que celle si piquante qu’elle en est dans le paradoxe d’une dureté si tranchante dressée sur ses lignes que d’une souplesse surprenante bordée à composition prévenante et, ainsi ; versée aux courbures des mots engagés. Les feuilles piquées aux sensibilités textuelles des
nuits glaçantes s’opposent à potron-minet en effusion de pensées matinales se chauffant aux lueurs des horizons fiers, sans orgueil.
Vaillance aux abords des adjectifs colorés ; le complément circonstanciel en usage restreint n’y trouvait pas toujours places voyageuses postées aux débordements des fontaines à souhaits. Tiraillé entre une position, là… ; bercée aux analogues d’antécédents sans protection, l’humble sollicitude de caractères se fond dans les tourments des occurrences malmenées aux vergues soufflées sous tisons frissons.
En retour de participes passés, l’expression interrogative des rencontres insoupçonnées surveille un futur anticipant l’incertitude des non-dits cachés sous les voiles des mots sans son. L’impression languissante sous verbes taxés aux prémices d’ouvertures soupçonneuses s’immisce aux émissions des volcans chauffés à blanc. Aux abords du cratère les gardiens d’éruption surveillent les assises voyeuses compromises par l’article tant souhaité, sous les silences des contre-verses ardentes.
Que les teintes du désir sous-jacent s’immolent aux jets brûlants des anamorphoses pointées aux exigences consentantes que de cette plume n’y affleure plus les chatoyantes colorations du temps des encres violines s’octroyant tempérances entre les notes bleues des harmonies voluptueuses et les accords rouge vermeils de la passion débarrassée des habits de convenances…
J’estimais fort la contre-mesure des mots… ; étais amoureux de l’essaimage poétique et pensais que ces deux compositions pouvaient être bien utiles à la compréhension de toutes ces choses du monde, tant dans leur dimension touchable qu’en celles sensiblement touchantes ; proches de ma zone de quiétude ou un peu plus éloignées de ma lucarne des discernements…
VAGABONDS DE MOTS
S’ils ne t’ont pas tout dit
Si leurs mots ne t’ont pris
Entre tristesse et joie
Tels les ombres du silence
Semant quelques cailloux
Entre chênes et roseaux
N’oublie pas leurs brûlots ;
S’ils t’ont craché du feu
Comme des dragons furieux
Soufflant sur tes douleurs
Figures de démons nus
Corps tremblant de peur
Cœurs percés de tisons
N’oublie pas leurs brûlures ;
S’ils se sont affaiblis
Par trop de rêves perdus
Sous des pulsions vides
Dans l’ondée piquante
Sur des versants gelés
Avec les oiseaux du vent ;
Si tu les pensais fous
N’oublie pas les mots dits
Ceux des poètes vagabonds…
Merci à tous ces sincères amis(es) réseaux, merveilleux messagers, auteurs(es), poètes & poétesses, idéols(es), attracteurs(es), artistes, épistémologues tendres, décorti-cœurs affables, attentionnés(es), et autres amoureux(ses) des signes-mots… Ainsi qu’à toutes les sensibilités affétées à la sémiotique des dimensions sensiblement touchantes…
Si certains de mes congénères à esprit étriqué s’autorisent à croire que je suis un fainéant à statut ‘’RSAyste’’, et autres à penser que je suis atteint d’un anthropocentrisme intrinsèquement narcissique, dénaturé de toute forme de compréhension, juste curiosité et lucide intéressement envers leur propre attachement assujetti à parfois étranges covalences, consacrées par un symbolisme affilié à atavisme inique, alors, je les laisse à leur triste, incohérent, versatile et déficient savoir, proliférant plus la soustraction des bons savoirs faire et la division des utiles savoirs être que la véritable analyse linguistique, didactique, épistémologique, philosophique, sociologique, économique, géo-historique et culturelle par le langage de la logique humainement acceptable…
Des communautés à CULTURES, pensées, intentions, sens, orthodoxies, actions, causes, réactions et devises louables ?
Que faisons-nous maintenant de cette interrogation ontologique, physiologique et intellectuelle ???
Et autres connaissances ajoutées… ; dans les dimensions existentialistes et matérialistes à réseaux humanistes… ???
La PAIX, ou la GUERRE… ?
Ou nous essayons de définir syllogismes, paralogismes, métaphores et analogies… ???
ICI… ; Seul, les « REELS-LES » nous interpellent…
Michel Asti
‘’Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres, et à donner l’apparence de la solidité à ce qui n’est que vent.’’ « Parler de liberté n'a de sens qu'à condition que ce soit la liberté de dire aux gens ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre. »
Orwell
On peut identifier deux grands nouveaux défis :
1- L’immense écart entre les très pauvres et les très riches. C’est une innovation du XXème et XXIème siècles.
2 - Les droits de l’homme et l’état de la planète. J’ai eu la chance de participer à la rédaction de la Déclaration des droits de l’homme adoptée par l’Organisation des Nations Unies, le 10 décembre 1948, à Paris au Palais de Chaillot. C’est au titre de chef de cabinet de Henri Laugier, secrétaire général adjoint de l’ONU, et secrétaire de la commission des Droits de l’homme que j’ai, avec d’autres, été amené à collaborer à la rédaction de cette déclaration. Je ne saurais oublier, dans son élaboration, le rôle de René Gassin, commissaire national à la Justice et à l’Education du gouvernement de la France libre, à Londres, en 1941, qui fut prix Nobel de la paix en 1968, ni celui de Pierre Mendès France au sein du Conseil économique et social à qui les textes que nous élaborions étaient soumis avant d’être examinés par la Troisième commission de l’assemblée générale en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles. Cette déclaration universelle doit beaucoup à la REVULSION universelle envers le nazisme, le fascisme, le totalitarisme, et même, par notre présence, à l’ESPRIT de la RESISTANCE.
Stéphane Hessel – INDIGNEZ-VOUS !
Or, comme dit cet ancien Poëte chez Plutarque, point ne se faut courroucer aux affaires. Il ne leur chaut de toutes nos choleres. Mais nous ne dirons jamais assez d'injures au desreglement de nostre esprit.
Montaigne
« Travailler le visible pour servir l’invisible – voilà ce qu’est la vie du poète… Il faut tendre à l’extrême sa vision extérieure pour rendre visible l’invisible. »
Tsvetaieva
« Aucun récit ne saurait jamais avoir part à la vérité s'il ne jette un regard vers l'abîme où sombre le langage qui voudrait s'effacer lui-même dans le nom et l'image. »
T W Adorno
« Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter. »
« Les hommes moyens dont l'esprit est surexcité mais incapable de se libérer dans la création, éprouvent le désir de se donner en spectacle. »
"Qu'est-ce donc que nos actes, sinon une terreur nerveuse de n'être rien : à commencer par les divertissements qui n'en sont pas, qui ne sont que du vacarme, un caquetage encourageant pour tuer le temps parce qu'une obscure certitude nous dit qu'il finira par nous tuer, pour aboutir aux inventions enchérissant l'une sur l'autre, aux absurdes montagnes d'argent qui tuent l'esprit (qu'on soit écrasé ou porté par elles), aux modes anxieusement changeantes de l'esprit, aux vêtements sans cesse modifiés, au meurtre, à l'assassinat, à la guerre, en quoi se décharge une profonde méfiance à l'égard de ce qui dure et du créé ; qu'est-ce tout cela, sinon l'agitation d'un homme empêtré jusqu'au genou dans une tombe dont il essaie de se dégager mais à laquelle il n'échappera jamais, d'un être qui ne se dérobe jamais au néant, qui, se précipitant avec angoisse dans toutes sortes de figures, n'en demeure pas moins, en quelque point secret de lui-même à peine deviné, caducité et néant ? "
Robert Von Musil
"A part le comédien, le prince et l'évêque, il est un homme à la fois prince et comédien, un homme revêtu d'un magnifique sacerdoce, le Poète qui semble ne rien faire et qui néanmoins règne sur l'Humanité quand il a su la peindre."
Balzac
« Le meilleur système démocratique est une ethnosociologie Cultura-économique privilégiant une politique philosophique par l’assassinat virtuel »
LA LOI DU MARCHE AVANT LA BIENVEILLANCE… ?
Le XIXème siècle fut celui de l’avènement industriel initialisé par les premières découvertes scientifiques de la fin du XVIIIème, après la Renaissance au XVIIème. La technologie, les sciences et la création de nouveaux outils, matériels, matériaux, moyens techniques, dispositifs de communication et facultés humaines, nécessaires à indexer l’évolution des sociétés, prennent une ampleur extraordinaire, jusqu’à nos jours. Une partie de notre « modernité » commençât véritablement au début du XIXème siècle. Les nouvelles idéologies aussi. Les paradoxes de la philosophie-politique également. Ce siècle de l’avènement industriel vît, sur l’ancien continent la chute des monarchies. La fin de la révolution d’octobre en Russie enclencha une nouvelle ‘’guerre’’ entre le modèle capitaliste anglo-saxon, émancipé à plus grande échelle outre Atlantique, notamment en Amérique du Nord, et le communisme soviétique induit par la face autocratique, voire despotique de Lénine et Staline, avec les deux plus meurtrières guerres au XXème siècle.
L’histoire n’avance que par son mauvais côté, disait Marx.
Il est intéressant de voir que l’histoire de l’ancien au rapport du nouveau continent affichée par le nouveau monde des Amériques est en train de réapparaitre, telle une forme simiesque d’un passé sombre. Certes la modernité a apporté ses bienfaits. Notamment dans les domaines des transports, de l’alimentation, des normes de sécurité, l’hygiène, la médecine, les connaissances, la retransmission de l’information, la rapidité des échanges commerciaux… ; etc… Mais tout cela n’a pas suffi à diminuer, proportionnellement à l’évolution démographique, les inégalités entre les hommes, les femmes et les enfants, l’iniquité sociale-économique, les conflits territoriaux, la fracture culturelle, le refuge identitaire et communautaire. L’accessibilité aux biens essentiels est de plus en plus compliquée, même dans nos sociétés occidentales. Ces dernières décennies l’incompréhension intellectuelle entre systèmes d’échanges de biens et services des villes, où sont concentrées les richesses, et régions rurales, en déficit d’emplois, s’est accentuée. La fête s’est terminée à la fin des années 80, après les ‘’trente glorieuses’’. Elles ne reviendront jamais, soyez en certain. Il faudrait que les sociétés modernes se réinventent en fonction de leurs évolutions technologiques, économiques et culturelles, si elles veulent s’émanciper des carcans sociétaux, de l’ignorance inflationniste installée par de néfastes corpus sociaux-économiques et culturels fracturant les communautés, territoires, pays et nations inconscientes du drame en déclin civilisationnel. Après la liesse faisant suite à la fin de la deuxième guerre mondiale et le renouveau de la construction européenne les démons affectés à l’anthropocentrisme de l’homme et des clans ressurgirent. Les fantômes de l’ancien monde réapparaissent. Les peurs, les incertitudes, la pression économico-socio-financière et les dogmatismes des nouveaux paradigmes culturels affichés aux néo-scientistes s’installent patiemment, au nom des lois et règles de marchés des « changes », soient disant inédits… ???
Mais bienveillants, parait-il…
Quand l’histoire se répète, disait Marx, la deuxième fois c’est une farce.
« La monnaie doit se donner pour légitime et cette légitimité ne peut se construire sur la base de la seule conscience qu'auraient les agents financiers du nécessaire recours à des objets conventionnels. Or, seule cette conception de la légitimité répond aux exigences et naturalités des thèses individualistes. Techniquement, c'est au travers de l'hypothèse d'anticipations rationnelles qu'elle se trouve formalisée dans les modèles socio-économico-culturels. En effet, cette hypothèse signifie que les représentations des agents sont identiques au vrai modèle de l'économie. A contrario, la légitimité suppose la croyance en une certaine matérialité des symboles…»
Aussi est-elle contemporaine d'un certain délitement ou déni d’évolution collectiviste, voire mutualiste des sociétaires, acteurs, actrices, réalisateurs, imprésarios, agents et échangistes des scènes nationales et internationales, perceptibles en et par les dysfonctionnements géo-politico-socio-économiques, devenus aujourd’hui divisions communautaires, où en certains lieux de conflits géo-politico-financiers, la valeur immanente est en ces états, indubitablement, ‘’ARMEE’’…
Au détriment de toutes ’’cultures’’…
Où le temps de la potentielle entente sera invariablement utopie.
Dimension qui ne peut être en aucun cas désolidarisée de tous objets symboliques, matérialisés par leurs essentialités, utilités, nécessités, disponibilités ou toute autre sensibilité en tant que sujet porté à son propre pouvoir, sur soi ou autres par l’effet de cette symbolique affective, devise sécuritaire, liberté attractive, attachement séculaire, immanence séculière, causes plaisantes, passion communautaire raisonnable, raisonnée… ; ou alors individuellement déraisonnable… ???
M.A – AU DELÂ DES QUARANTE MALENCONTREUSES
L’ECRITURE
L’écriture est la représentation matérielle extérieure de tout ce que nous avons à l'intérieur, il ne sert donc à rien de sortir les armes lourdes contre la craie, le crayon ou les touches du clavier de l'ordinateur, le feu, les balles et l’acier tranchant pour annihiler une pensée mise en mots, car ils n’ont pas ce pouvoir, ils ne coexistent pas dans le même lieu, la même dimension, le même espace-temps attaché à la pluridisciplinarité intelligible. Quelle ineptie, résultat de notre misérable condition qui consiste à enfermer la pensée infinie dans un morceau de matière pétri de croyances, de subjectivités et d’incertitudes, alors qu’elle est beaucoup mieux posée sur quelques feuilles ; ou autres supports solides, où sa trace peut en être conservée plus longtemps, afin d’avoir temps suffisant pour une possible juste compréhension, au rapport de l’émission… Alors même, si nous considérons cette pensée déraisonnable, confrontons, la, à autres par l'expression écrite de préférence, elle est toujours plus compréhensible que la parole à partir du moment où le langage écrit a été assimilé par la pensée, ne serait-ce de par la possibilité d'y revenir autant de fois que nous le souhaitons. Et peut-être à terme, cette pensée déraisonnable, en fera une scénographie plus raisonnable… Et surtout, exprimons la de cette façon, juste comme nous la ressentons, par ces mots écrits, peu importe l'ordre dans lequel ils sont mis, il y aura toujours, tôt ou tard, autres pour en réceptionner les impressions, et comprendre qu'elles sont bien souvent l'expression de notre ignorance et de notre incompréhension sur la raison de notre existence ici.
Alors oui, exprimons les signes et symboles représentants, de nos convictions, de nos peurs, de nos souffrances, de notre déraison, de nos incertitudes, plutôt que de les transfigurer par certains de nos mauvais actes et fausses certifications, en étant conscient que si nous ne le faisons pas de cette façon, par nature, de toutes ces pensées nées de la partie noire de notre conscience, surgira parfois, un monstre qu'aucune raison extérieure ne pourra apaiser, et dans ce cas d’extrême résurgence sombre, la seule moins mauvaise solution serait ‘’d’annihiler’’ ou de mettre la ‘’bête’’ dans un espace dans lequel nous aurions la certitude de la non propagation de ses actes, mais pas de la mauvaise pensée et autres néfastes augures, car ceux-ci ne sont pas non plus soumis à l'espace, ni au temps…
En conclusion, exprimons ce que nous pensons, croyons et ressentons avec ces mots écrits, même, si cela est la représentation de notre incompréhension, de nos mauvais sentiments, ou fausses croyances, et ne laissons pas en nous s'installer secrètement nos suppositions, elles deviendront notre vérité, nos valeurs, voire notre destinée et si ces suppositions s'avèrent fausses, notre vérité le sera obligatoirement.
Oh, bien sûr, il y a d'autres arts efficients en tant qu’autant de merveilleuses passerelles d'échange entre les êtres humains, mais cette écriture que j'essaie de mettre en ordre, à ce bienfait de pouvoir être approchée par nombre plus important, à partir du moment où la transmission de ce langage a été possible, grâce à la retransmission des justes connaissances épistémologiques, ainsi que les bons et utiles savoirs ontologiques et philosophiques, par les langages essentiels aux échanges et à la communication… Rationnelle… En analyse et compréhension du discours entre les sciences et les arts, malheureusement souvent caché sous les voiles de l’Attachement séculaire éloigné de la véritable et Louable Liberté d’Expression…
Avez-vous remarquez la chose suivante ?
Ces êtres doués de ce langage tel La Fontaine, Molière, Diderot, Jean-Jacques Rousseau, Voltaire, Proust, Jules Verne, Aragon, Apollinaire, Victor Hugo, Rimbaud, Verlaine, Baudelaire, Jules Renard, Edgar Allan Poe (Poète américain, dont quelques textes furent traduits par Baudelaire), Edmond Rostand, Simone Weil, De Beauvoir, Duras, Hannah Arendt, Albert Camus, Jacques Prévert, et bien d’autres encore, philosophes, écrivains, poètes et autres amoureux(ses) des signes-mots… ; compris pour celles et ceux à qui il va être enseigné, par ceux et celles qui vont l'enseigner, par activité de reproduction ; il a été raconté et bien souvent admis par raison de nécessité, puisque c'est la seule raison qu'ils, elles penserons pouvoir interpréter, car cette raison d'avant sera forcément celle d'après , peut être légèrement modifiée, par association d'appartenance, sauf à qui ce langage transmis ne serait plus la reproduction exacte ou légèrement modifiée de cet apprentissage, par volonté d'un exprimer un autre étonnamment, originalement et intimement différent, né d'une pensée d'un autre ‘’ailleurs’’, où la force principale serait celle qui perle parfois de nos yeux tels des signes d'eau, marqueurs de notre tristesse, mais signes de joie lorsque ces gouttes invisibles de loin, se retrouvent accompagner par tous ces rires espiègles, et malicieux, colportés par leurs sons émis avec douceur, réceptionnés avec attentions et renvoyés avec cette douceur, qui permet d'en faire une petite symphonie, et où le nombre de musiciens ne peut être inférieur à deux, afin que ces quelques possibles belles notes émises et justes accords perceptibles soient écoutés par plus, et renvoyés par toujours plus.
Ces mots écrits ont toutefois cette force négative, certes moins importante que les mots dits, opposés à la force positive que je viens d'évoquer. De cette force opposée, naît la formulation d'une certaine violence, qui a son apogée par ses serviteurs en, avec et par la haine, engendrée par l'incompréhension, le refus et la rancœur. Cette violence paraît atténuer dans l'écriture, car majoritairement, les mots ajoutés les uns aux autres le sont dans le cadre d'une certaine réflexion, possible par notion de temps plus long et par ces moments de solitude, empreints d'un peu plus de passion raisonnable, afin d'exprimer ce que nous ressentons avec le moins de cette violence possible, lors de rendez-vous avec nous même, alors que les mots dits, sont souvent émis dans des lieux où il ne peut régner cette sensation de calme et possible écoute, ne serait-ce de par la propre émission sonore de la parole, empreinte de toutes ces passions et émotions, bonnes ou mauvaises, exprimées dans l'instant et renvoyées par leur écho souvent déformé, de tous ses sens premiers, où le temps de l’analyse objective ne saurait en aucun cas être celui du moment lié à la seule invective émotionnelle, l’obscurantisme psychologique, le libre arbitre de groupes iniques ou la soumission physiologique…
Encore une fois d'autres arts ont cette faculté à être exprimée dans ces quelques moments d'harmonie avec nous même, et autres, afin d'en retransmettre à l'extérieur tout ce que nous avons à l'intérieur, mais malheureusement, leur compréhension n'est abordable que par nombre moindre, peut-être par manque d'intérêt, difficulté d'en appréhender tout le sens et la teneur, ou par autres priorités. Il existe un art sortant un peu de ce cadre, c'est la parole chantée, elle est émise par voie sonore, est écoutée et son écho renvoyé voudra toujours être son ‘’jumeau’’, et s'il n'était pas émis, en tant que désir de ressemblance, il deviendrait silence, ou son différent, sans certitude qu’il ne devienne pas dans ce cas-là, assourdissant. Cette parole émise par ‘’ondes sonores vocales’’, présente depuis longtemps a voulu être mise en forme, en ordre, en accord, en musique, telle une histoire.
Cette histoire, pouvait être entendue par grand nombre, mais interprétée seulement par petit nombre, réussissant à écouter ses innombrables variances. Donc, elle a été mise en langage écrit, afin qu'elle ne soit plus seulement entendue, mais, également vue, avec l'espoir qu'elle soit mieux comprise, grâce à l'action conjuguée de l'ouïe et de la vue. Ce nouveau langage créé, dont la propriété commune était la parole… ; dite, et… ; écrite, et les deux forces celle émise et celle réceptionnée, permettait, maintenant, de ne plus seulement entendre, mais aussi voir, cette parole devenue histoire écrite. Cette nouvelle histoire avait cette faculté de pouvoir être appréhendée par nombre plus important, par transmission sonore, ou visuelle, mais pas les deux en même temps, sauf pour celui ou celle la lisant à voix haute. Cela a duré très longtemps, plein d'histoires ont été racontées et écrites, mais au fur et à mesure que nombres d’attachés(es) essayaient de raconter ou écrire cette histoire, chacun avec son utilisation propre des outils créés par notion de temps, afin d’en graver et garder les traces sur un support, augmentait, plus le nombre de ceux espérant déchiffrer les diverses et bénéfiques périodes de l’historiographie des hommes et du monde ; diminuait. Cette situation a encore durée longtemps sans grands changements, depuis la découverte du papier, puis de l’imprimerie, avant que quelques autres, appartenant au genre humain, trouvent un lien permettant d'accorder peut être avec harmonie, les sons entendus et l'image vue, dans un nouvel espace.
Ce nouvel espace créé, était : « l'espace audiovisuel » …
C'est devenu un espace extraordinaire, car il possédait cette propriété née des facultés de la lumière et propriétés du son, qui mises en commun, permettaient de percevoir un peu mieux l'infiniment petit ‘’proche’’ et l'infini grand ‘’lointain’’, en tant que dimensions inconnues et éloignées de nos possibilités affiliées à nos cinq sens connus. Mais ce merveilleux espace audio-visuel, plein de vertus, grâce à certains de ses beaux usages, a seulement une vilaine faculté en celle de nous éloigner de notre propre zone sensible par imagination d'autres potentiellement porteuses d'autres réalités, virtuellement accessibles rapidement, mais intouchables, et pourtant, souvent touchantes, après avoir découvert tout le merveilleux potentiel en l'expression de leurs belles émissions… Mais, il a espoir que cet extraordinaire outil sera utilisé, par notion de temps, de la plus belle des façons, pour la simple raison que ce nouvel ‘’espace audio-visuel’’ est devenu interactif par nombre plus important pour y poser tous ces ‘’quelques choses’’ présents(es) à l'intérieur, afin de les diffuser à l'extérieur. Et cela peut rester merveilleux temps que le plus bas degré de la liberté, ne devient pas désir du non-respect de l'expression liée à son attachement, livrer, par non désir de lui, à la voie de l'addiction, puis envoyer dans l'arène du voyeurisme, inconscient de son effet non consenti, en étant conscient, dans ce cas-là, qu’il y aura forcément un endroit dans la ‘’fosse aux lions’’, où régnera la représentation d'une possible destruction.
Quoiqu'il en soit, vous avez assurément compris que la parole, particulièrement, celle écrite était pour lui devenue essentielle.
D'ailleurs, avec le temps, il avait appris qu'il était préférable, d'exprimer ces paroles considérées comme importantes, par mots écrits, si le temps, par non obligation d'une réponse souhaitée immédiate, le permettait. Malheureusement, bien souvent de par la priorité de rapidité, qui tend à vouloir vaincre les contraintes du temps dans l'expression de la réalisation immédiate du désir, rend l'échange, aussi bien dans sa demande qu’en sa réponse, parfois, totalement incompréhensible, et par voie de conséquence, souvent rendue stérile par une apparente attention reléguée loin des importances matérialistes personnelles. Ce souhait d'écriture, qu'il avait en lui depuis longtemps, était à l'état léthargique, il écrivait uniquement à un seul être à la fois, celui de ces beaux instants, un peu magiques.
Comme le disait Descartes: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’. Et s'il n'est que partiellement d'accord avec lui, à la seule différence, de penser que la liberté est une notion définie par chaque conscience, et par conséquent, elle peut être représentée par autre ‘’quelque chose’’, en temps qu'autre degré d’indépendance envisager par cette conscience individuelle proche d’un potentiel libre arbitre sensibilisé par une autre forme d’attachement en et par l’expression de la liberté.
Il consacrera un chapitre à ces notions de désir de… ; en, par, avec et pour ‘’quelque chose’’ ou ‘’quelque autre’’, un peu plus loin…
Bergson, lui, disait: ‘’la vrai liberté n'est pas la liberté d'indifférence, mais la libération de notre plus intime et originale préférence’’.
Même s'il ne le disait pas à tous vents, il aimait mieux la deuxième définition, car il lui semblait qu'elle était teintée d'un peu plus de poésie que la première, qui, elle était dotée de beaucoup trop de cette logique parfois illogique pour son acceptable compréhension envers les échanges interindividuels... A réseaux ‘’humanisant’’.
Liberté d'aimer, liberté de croire, liberté de partir.
Trop tôt ou trop tard ?
Le passé n'est plus et le futur pas encore.
Seuls existent ces précieux instants vécus avec amour et sincérité, et même s'ils ne sont plus, ou ne seront plus, peu importe les raisons, gardons les en nous, car ce qui a existé de beau, ne peut totalement être détruit, et s'ils ne sont plus que des existants incorporels, gardons les comme persistants présents dans notre mémoire, car à eux seuls, ils ont le pouvoir de nous empêcher d'aller vers le côté obscur.
AU MARAIS DES PSYCHEDELICES
A tous ces godillots de terres brulées
Exorciseurs de manche à balais tordus
Massacreurs d’images à jeux
Sonneurs à déficience mentale
Briseurs de communautés et d’espoirs
Suceurs de micros maniaques
Je vous le dis tout haut
Vous n’aurez plus ma voix
De vous savoir là est un problème,
Comme le destin, l’inattention et la servitude
La droite à bigots et la gauche défroquée
Les mises sur cheval de mauvaise close
Les chantres de coffres à blé noir
La laïcité, la justice et les coups de pieds au cul
La démobilisation des anges de la liberté
Sont des problèmes à cire glissante
L’homme à cervelle vide comme un bidon
La jeune fille en verve au mur des magazines
Miroir de la belle dame aux appâts mûrs
Psychologues en habits de conversion
Philosophes tatoués au nombril de leur monde
Usuriers des flux migratoires
Marchands du sang des affaires
Vendeurs de sexe à chimères désunies
A celles des cœurs battants de peur
Tout cela n’est pas un problème dans le marais des psychédélices…
Mais à la pensée des idéoles, il n’y a pas pléthore indigente
La lumière des matins arrose les sourires
Le brouillard des songes écarquillent les yeux
Au doigt du réel, la rosée devient tendresse
Et sous les hauts-vent, les murmures se pausent
Tels des feuilles venues de la forêt d’allégeances
Les placiers de grabuges ont déserté le portique des cultures
Bien leurs en a pris,
Je n’en ai plus de nouvelles
Et cela me sied à merveille.
Mais vous, Chères et Chers Idéols(es)
Comment allez-vous… ?
LE LIVRE
Le LIVRE s'ouvre sur un poème testament : DEMAIN...
Le vent du lendemain lèvera les ombres ;
Tu souviendras-tu des aubes s'illuminant au film de tes nuits ;
Pour le jour à ne pas baisser ta garde,
A t'efforcer de ne pas défaillir
Lorsque tu tentes de pénétrer dans l'aiguille par la pointe ;
A tourner autour de ces baraques de cendres et de feux ;
Après que la cause n'eut laissé que meurtrissures,
Que les devises de la grande pute républicaine,
Royalties en servitudes clandestines, furent défigurées ;
Abasourdies par les symboles d'un dieu mort-né,
A ne pas condamner la porte à paumelles rouillées
Où le temps n'est que reflet des hurlements lugubres ;
A mon chevet, sous mes feuilles, gardez un visage humain
Illuminons un lieu d’un langage aux reflets des étoiles
Sur la mer, aux vagues de son lit, pareilles aux songes…
Michel Asti – LE RSA-YSTE
Date de dernière mise à jour : 11/06/2019
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