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« Il y a toujours une chose qu'un Français respecte plus que sa maîtresse, c'est sa vanité. »
« Ce que j'aime dans les voyages, c'est l'étonnement du retour. »
Stendhal
Les Français enferment quelques fous dans des maisons pour persuader celles et ceux qui sont dehors de ne pas l’être.
Montesquieu – Lettres Persanes
LA CONFIANCE ; C’EST LORSQU’ELLE EST RECIPROQUE QU’ELLE FONCTIONNE.
Le vrai n'a pas la notion du bien ou du mal, et pourtant il est nécessaire au rapport de vérité entre les individus. Il est le point de départ de cette vérité, et la confiance en est le point d'arrivée.
Cette confiance née de cette vérité disparaît lorsque les actes faits, ne sont plus considérés comme en phase avec ce qui a été pensé, dit, crû, et surtout en covalence, voire harmonie avec cet ordre des choses édité par cette vie, dont ses codes, symboles, lemmes et signes sont souvent compliqués à déchiffrer, ou lorsque dans ce langage d'incompréhensions, l'inacceptable, l’absence de sincérité et le refus apparaissent, alors, les doutes et les peurs s'installeront s'en suivront la défiance, la colère, voire le silence, ou parfois l'image de la trahison apparait dans cette conscience, viendront alors tous les autres ressentiments, marqueurs de la rancœur, la haine, ou autres vecteurs d’actes visant à combler le désir de vengeance, par l'espérance inutile de croire que nous avons le pouvoir de remplir le vide par la destruction, qui n'est juste dans notre ‘’REEL’’, qu'une croyance en une possible annihilation de la pensée, voire de la matière pour rendre notre propre espace vide des éléments que nous croyons nocifs, à tort pour certains, ou à raison par d'autres et réciproquement, pour la seule préservation de notre propre existence, de celles et ceux que nous pensons aimer, ce qui est physiquement d'une totale ineptie, car comme le disait, Albert Einstein: ‘’Rien ne se créer, tout se transforme’’… Et nous savons que l'espace vide, n'existe pas, car il y demeurera au moins, toujours la solitude, et la solitude, c’est ‘’quelque chose’’.
Donc, essayons d'abord de connaitre, d’analyser, d’expérimenter, de comprendre et de faire connaître les différentes pensées nées de l’imagination au nom du savoir, le pourquoi et le comment de notre propre existence en ce monde, avant d'appliquer tout déterminisme, dont ses deux réponses ne sont que OUI ou NON, et, où le PEUT-ÊTRE est, peut-être, une méconnaissance existentielle ou incertitude temporelle. Ce qui en langage mathématique peut se traduire par 1 chance sur deux d'avoir raison, ou 50% de malchance d'avoir tort, et inversement, et, je pense parfois que certains de nos actes, résultant de nos pensées égoïstes, cupides, narcissiques et perfides, souvent cachées sous les voiles des besoins insatisfaits, intérêts égocentriques ou ‘’vérité de clans iniques’’, au détriment de la pensée partagée sont empreints de trop de conséquences importantes pour se permettre d'en déterminer les choix avec de simples lancers de dés, surtout s'ils sont lancés par un nombre inférieur à deux, n'en permettant pas la perception de la trace d'une possible véracité, hormis celle édictée par le lanceur de dés, qui à ce moment-là n'est plus une trace, mais le risque de son diktat ; où l’ignorance ne serait, en ce cas, que le déni de compréhension envers le paradoxe entre le corps et l’esprit, n’autorisant plus l’allégeance entre l’attachement et la liberté…
Peut-être par oubli de cet extraordinaire discours entre les sciences et les arts.
Alors oui, soyons lucide qu'il y a dans la conscience un mystère, non élucidé…
‘’Toute valeur ajoutée homogène se définie par tous ces citoyens et citoyennes proches de la juste conscience intelligible lorsqu’elle est exercée avec lucidité, sincérité, honnêteté, accompagnée par tout l’amour et la déontologie des savoirs faire afin qu’ils, elles, puissent aspirer à ce que cela devienne un art de vivre… Pour les générations arrivantes !... Et celles en partances…
L’entreprise ne fait pas les femmes et les hommes !
Ceux sont les écosystèmes sociétaux de ceux et celles d’avant et de maintenant qui les éduquent, les imaginent, les composent, les ordonnent et les font vivre, afin qu’ils, elles participent par l’addition de leurs savoirs faire et compétences particulières à l’évolution de la belle sensibilité socio-économico-culturelle du savoir être dans les sociétés et entreprises du Monde.
Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que ceux du désespoir… De la rancœur…
Et de l’indifférente violence… Psychologique…
Où celle physique risque parfois malheureusement d’apparaître…
L'introspection (du latin « introspectus ») désigne l'activité mentale que l'on peut décrire métaphoriquement comme l'acte de « regarder à l'intérieur » de soi, par une forme d'attention portée à ses propres sensations ou états. Il s'agit en psychologie de la connaissance intérieure que nous avons de nos perceptions, actions, émotions, connaissances, différente en ce sens de celle que pourrait avoir un spectateur extérieur.
Sitôt que j’ai eu acquis quelques notions générales touchant les sciences et les arts, et que, commençant à les éprouver en diverses difficultés particulières, j’ai remarqué jusqu’où elles peuvent conduire, et combien elles diffèrent des principes dont on s’est servi jusqu’à présent, j’ai cru que je ne pouvais les tenir dissimulées, sans offusquer grandement les lois de la transmission et règles de l’attention qui nous oblige à procurer, autant qu’il est en nous, le bien général. Car elles m’ont fait voir qu’il est possible de parvenir à des connaissances qui soient fort utiles à la vie, et qu’au lieu de cette philosophie spéculative, qu’on enseigne dans les écoles, on en peut trouver une pratique, par laquelle, connaissant la force et les actions du feu, de l’eau, de l’air, de la matière, des énergies et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connaissons les divers métiers de nos artisans et entrepreneurs, nous pourrions les employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme gardiens et gardiennes, en bienveillance, de la Nature.
Ce qui n’est pas seulement à désirer pour une infinité d’artifices, qui feraient qu’on jouirait, sans aucune peine, des fruits de la terre et de toutes les commodités qui s’y trouvent, mais principalement aussi pour conservation de la santé, laquelle est sans doute le premier bien et le fondement de tous les autres biens en l’élan de toute vie ; car même l’esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps que, s’il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu’ils n’ont été jusqu’à présent, je crois que c’est dans les sciences de la nature, us et coutumes louables, orthodoxies en pragmatisme humain, les technologies et techniques, la biologie et la médecine qu’on doit, en ces épistémologies essentielles, le chercher.
Il est vrai que celles en usage superficiel contiennent peu de choses dont l’utilité soit si remarquable ; mais, sans que je n’ai aucun dessein de les mépriser tant en leur faction scientifique et technologique, qu’en celle ontologique, ou inversement, mais plus à même d’y pratiquer quelques incursions analytiques, tout en m’assurant qu’il n’y a personne, même de ceux qui en font profession en un domaine particulier, qui n’avoue que tout ce qu’on y sait n’est presque rien, à comparaison de ce qui reste à y savoir, et qu’on se pourrait exempter de multiples petites affections, tant du corps que de l’esprit, et même aussi de l’alanguissement de la vieillesse, si on avait assez de connaissance de leurs causes, et de tous les remèdes dont la Nature nous a pourvus.
Or, ayant dessein d’employer toute ma vie à la recherche d’une science si nécessaire, et ayant rencontré un chemin qui me semble tel qu’on doit infailliblement la trouver, en le suivant, si ce n’est qu’on en soit empêché, ou par la brièveté de la vie, ou par le défaut des expériences, je jugeais qu’il n’y avait point de meilleur remède contre ces deux empêchements que de communiquer fidèlement au public tout le peu que j’aurais trouvé, et de convier les intelligences raisonnables à tâcher de passer plus outre, en contribuant, chacun et chacune pour son inclination et son pouvoir, aux expériences qu’il faudrait faire, et communiquant aussi au public toutes les choses qu’ils apprendraient, afin que les derniers commençant où les précédents auraient achevé, et ainsi, joignant les vies et les travaux de plusieurs, nous allassions tous ensemble beaucoup plus loin que chacun et/ou chacune… ; et ainsi par-dessus les engoncements de position y chercher parutions estimables…
Mais enfin, le logis n’est-il pas chose utile au même titre que la nourriture nécessaire à l’action et au mouvement ?
Quant à la présence de l’eau, n’est-ce pas là aussi évidence essentielle à l’existence du vivant ?
Alors, à moins d’être en capacité de construire un gîte, de pouvoir cueillir, faire pousser, de réussir à chasser ou élever animaux et enfin connaitre les processus utiles à générer cultures vivrières, je ne saurai voir autres facultés utiles à pratiques nourricières et structures protectrices des corps vivants, que celles de l’échange et la transmission des savoirs, dans la société des hommes, des femmes et des enfants…
Je ne peux me constituer qu’en ces quelques maximes afin que je puisse m’exposer en la raison d’obéir à ces lois de la nature… ; que toutes contestations envers elles ne résulteraient que du produit d’un refus administré par des régences sans provisions quant à la ritualité d’une éthique de conservation et de protection pour tous.
Si toutes autres coutumes en mon pays, retiennent constamment les instructions données par des opinions modérées, telles qu’elles ne fussent en pratiques d’us séculaires que celles de mots affiliés à d’incommensurables reliques abasourdies par des prises de garde sans attentions envers les différences de modes partagés, alors je crains que la médisante sécularisation n’y vienne défigurer quelques vivacités suffisamment éloignées des excès d’opportunistes pour que je n’y puisse point trouver inclination sensée près d’une appartenance avec laquelle j’aurais à vivre en contrées françaises, ainsi qu’en l’éventualité d’y partager quelques effervescences textuelles, d’ici ou d’ailleurs, auquel d’aucun cas qui ne puisse m’engager à ne pas croire aux bienfaits des expositions, pour que j’hume volonté de justesse à l’affection inspiratrice, afin de les modeler avec bienséance, par-delà les ombres fermées aux sensibilités des échanges de groupes, ouverts à pluridisciplinarité et intéressement envers ces choses de la nature et du vivant…
RESILIENCES DIDACTIQUES
La justice n’est pas aux politiques,
L’école n’est ni du public, ni du privé ;
Comme ;
L’intérêt général n’est pas aux généraux
Et, le bien commun n’est pas de la commune,
Ils sont à minimal une représentation d’ordre national
La valeur n’est pas exclusivité de l’usurier,
Chose à tout prix n’est pas toujours juste prise,
Prix Nobel d’économie n’est pas neutralité,
L’affront d’unité est de laisser les experts se couronner
Ils sont à minimal de collusions en agios clandestins.
La raison n’est pas source inclusive des sciences, dures ;
Devises ne sont pas, toujours, postulats en causes utiles,
Optimisation n’est pas principe de mutualisation,
Collectivisme ne s’immisce plus aux mains travailleuses.
Ils sont à minimum livrés aux forces des chaires impérieuses
Rémunération n’est pas concession à obscurs alliés,
L’avenir n’est pas que membres versés à braderie,
Le civisme n’est pas qu’acceptation de résultat,
Les coûts humains ne peuvent être déconsidérés.
Ils sont dans un déni, maximal, de déontologie.
Privilèges ne sauraient être que situation de rente,
Perspective quantitative se doit de s’associer au qualitatif,
Minimalisation des ressources humaines n’est pas que Direction,
Fragilisation d’estimations n’est pas syncrétisme en réceptions sonnantes.
Compréhension des écosystèmes est préservation des biosystèmes.
Les temporaires ne peuvent payer pour les riens,
Les trébuchants ne peuvent assurer les précaires,
Les classes moyennes les moyennes supérieures,
Les moyennes supérieures en dévotion financière,
Les riches rattachés aux puissances du Veau – d’Or…
Bellicisme intégral est devenu marche en éminence argentière…
Et tout cela n’est pas une péripétie en suite de faits divers…
PRAGMATISME
Vers quel nombre tendre par moins disant
A faire une nouvelle opération soustractive
Envers devenu cher à contribution
A oublier sujet intégralement présenté
Au soin d’autres dissidences bâclées
Plutôt qu’à persister dans l’analyse
Inutile aux angoisses des flux contrariés
Chiffrage des amertumes clandestines
Suffit à décider des gibiers de potence
A vies exsangues aux bastions de l’ancienne garde
Le masque cynique des aptitudes savantes
Ni apposa que la symbolique sans partition
Aux sciences inhumaines ex-machina contribuera
Sans aucun scintillement à l’amplitude de l’action
La vaseline des suppositoires multiplie les têtes de cul
La thèse pragmatique n’est que contre-valeurs suceuses
Les figurines frappées au sceau scriptural
Ont déposé la monnaie de singes.
Michel ASTI
Date de dernière mise à jour : 03/07/2019
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