ENTROPIE - THERMODYNAMIQUE - GES
FONTE DES GLACES + AUGMENTATION DES TEMPERATURES = + DE CHALEUR LATENTE DANS L'ATMOSPHERE
DONC AUGMENTATION DE CETTE PHENOMENOLOGIE CLIMATIQUE EXTRÊME DANS DES ZONES GEOGRAPHIQUES PROPICES AUX ECARTS IMPORTANTS ET RAPIDES ENTRE PHENOMENES ANTI-CYCLONIQUES ET DEPRESSIONS, AVEC POUR RESULTATS PLUS OU MOINS DESASTREUX FONCTIONS DE L'ETAT DE RESISTANCE ET DE RESILIENCE DES STRUCTURES ET INFRASTRUCTURES, MATERIELLES, ORGANIQUES ET VEGETALES DE LA ZONE DE VIES CONSIDEREE.
LES GAZ A EFFET DE SERRE (GES) – ANTROPIE’N – ENTROPIE ET THERMODYNAMIQUE
22 500 Giga tonnes en 1990 > 35 600 000 000 000 tonnes en 2014 > 36 800 giga tonnes en 2017
Les émissions de CO2 ont stagné dans le monde en 2016 et ont représenté 36,4 milliards de tonnes (GT gigatonnes), 3ème année consécutive de stagnation, en grande partie due au léger recul du charbon et à la croissance forte des énergies renouvelables un peu partout dans le monde.
Selon le bilan annuel du global carbone publié le 14 novembre 2017, à la veille de la réunion des chefs d'État à la conférence climatique de Marrakech (COP 22), des émissions de gaz à effet de serre sont restées quasiment stables en 2016 par rapport à 2015. Le bilan montre que les effets positifs de la diminution de la consommation de charbon en Chine commencent à se faire sentir. En revanche les émissions de CO2 en Inde augmentent fortement.
Les émissions de CO2 dues à la déforestation.
Le bilan annuel ne prend pas en compte les émissions de CO2 du au changement d'affectation des sols et notamment l'impact de la déforestation. Il faut donc ajouter 4,8 giga tonnes de CO2 sur 10 ans.
La concentration de CO2 dans l’atmosphère en 2017 : 405,5 ppm
Selon l’organisation météorologique mondiale (OMM), c’est un niveau record jamais atteint depuis des millions d’années : 46 %
La concentration de CO2 atmosphérique en 2018 est 46 % plus élevée qu’avant 1750, à l’époque préindustrielle
Concentration de CO2 dans l’atmosphère en 2016 : 403,3 ppm
Concentration de CO2 dans l’atmosphère en 2015 : 400,1 ppm
Les vagues de chaleur recensées depuis 1947 à l’échelle nationale ont été deux fois plus nombreuses au cours des 34 dernières années que sur la période antérieure. Cette évolution se matérialise aussi par l’occurrence d’événements plus forts (durée, intensité globale) ces dernières années. Ainsi, les 4 vagues de chaleur les plus longues et 3 des 4 plus intenses se sont produites après 1981. La canicule observée en France du 2 au 19 août 2003 est de loin l’événement le plus marquant sur la période d’observation.
CO2: dioxyde de carbone ;
N2O : protoxyde d’azote ;
CH4: méthane ;
HFC : hydrofluorocarbures ;
PFC : perfluorocarbures ;
SF6: hexafluorure de soufre
Les émissions des six gaz à effet de serre couverts initialement par le protocole de Kyoto ont augmenté de plus de 80 % depuis 1970 et de 45 % depuis 1990 pour atteindre 54 Gt CO2éq. en 2013 contre 49 Gt CO2éq. en 2010.
Le pouvoir de réchauffement global (PRG) est le rapport entre l’énergie renvoyée vers le sol en 100 ans par 1 kg de gaz et celle que renverrait 1 kg de CO2. Il dépend des concentrations et des durées de vie des gaz. Par exemple, 1 kg de CH4 réchauffera autant l’atmosphère que 28 à 30 kg de CO2 au cours du siècle qui suit leur émission. Si le CO2 est le gaz qui a le plus petit pouvoir de réchauffement global, il est celui qui a contribué le plus au réchauffement climatique depuis 1750, du fait des importantes quantités émises.
Quatre grands réservoirs permettent de stocker le carbone sous différentes formes :
- atmosphère : CO2 gazeux ;
- biosphère : matière organique issue des êtres vivants dont la forêt ;
- océan : calcaire, CO2dissous ;
- sous-sol : roches, sédiments, combustibles fossiles.
Les flux de carbone entre ces réservoirs constituent le cycle naturel du carbone, déréglé par les émissions anthropiques de CO2qui modifient les flux échangés ou en créent de nouveaux comme la combustion des réserves de carbone organique fossile. Au cours des années 2000, sur les 32,6 Gt de CO2 libérées en moyenne par an par les activités humaines, l’atmosphère en a absorbé 14,7, les réservoirs terrestres (biosphère et sols) 9,5 et les océans 8,4. L’atmosphère est le réservoir le plus affecté par les activités anthropiques : la quantité de carbone absorbée a augmenté de près de 40 % par rapport à l’ère préindustrielle.
Les secteurs responsables des émissions de CO2 dans le monde – 2014
– le logement (chauffage et électricité) : 30 %
– l'élevage : 15,5 %
– le transport : 15 %
– l'industrie et le BTP : 13 %
– les autres consommations de carburant : 9 %
– autres : 18 %
La forêt est le plus important réservoir terrestre de carbone. Elle séquestre 9,2 Gt d’émissions nettes de CO2par an, l’équivalent de 33 % des émissions de GES mondiales. La déforestation entraîne des émissions de GES par la combustion et la décomposition des matières organiques. Ces émissions brutes représentent environ 11 % des sources anthropiques annuelles de GES dans le monde (source : Van der Werf et co-auteurs, 2009, Nature Géoscience). En France, la séquestration nette de carbone dans la biomasse des forêts est estimée à environ 70 Mt CO2, soit 15 % des émissions nationales de carbone fossile (Citepa, 2016).
"Même si nous pouvions stopper du jour au lendemain toute nouvelle émission, la concentration actuelle continuera à avoir des effets pendant des siècles."
Le changement climatique, en l’absence d’adaptation, devrait avoir une incidence négative sur la production des principales cultures (blé, riz, maïs et soja) dans les régions tropicales et tempérées. La probabilité d’un impact négatif sur les rendements s’accroît avec le temps et l’intensité du réchauffement climatique. Après
2050, cette baisse des rendements moyens devrait s’accompagner d’une hausse graduelle de la variabilité interannuelle des rendements dans plusieurs régions.
GAZ A EFFET DE SERRE : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gaz_%C3%A0_effet_de_serre
Les gaz à effet de serre (GES) sont des composants gazeux qui absorbent le rayonnement infrarouge émis par la surface terrestre et contribuent ainsi à l'effet de serre. L'augmentation de leur concentration dans l'atmosphère terrestre est l'un des facteurs à l'origine du réchauffement climatique. Un gaz ne peut absorber les rayonnements infrarouges qu'à partir de trois atomes par molécule, ou à partir de deux si ce sont deux atomes différents.
PLANETOSCOPE – STATISTIQUES : https://www.planetoscope.com/co2/261-emissions-mondiales-de-co2-dans-l-atmosphere.html
ANTROPIE : Le principe anthropique est un principe épistémologique selon lequel les observations de l'univers doivent être compatibles avec la présence d'un observateur étant une entité biologique douée de conscience. Cette contrainte pourrait permettre d'orienter l'heuristique de la recherche scientifique fondamentale.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_anthropique
L'heuristique : (du grec ancien ε?ρ?σκω, eurisko, « je trouve »1), parfois orthographiée euristique, est un terme de didactique qui signifie « l'art d'inventer, de faire des découvertes » En sociologie, l’heuristique est la « discipline qui se propose de dégager les règles de la recherche scientifique3 ». Le terme heuristique désigne d'une manière courante une méthode de résolution d'un problème qui ne passe pas par l'analyse détaillée du problème mais par son appartenance ou adhérence à une classe de problèmes donnés déjà identifiés.
ENTROPIE : Thermodynamique – Le terme entropie a été introduit en 1865 par Rudolf Clausius à partir d'un mot grec signifiant « transformation ». Fonction de l’état macroscopique d’un système caractérisant son degré de « désordre ». Elle caractérise le degré de désorganisation, ou d'imprédictibilité du contenu en information d'un système. Elle permet d’évaluer la dégradation de son énergie. L’entropie d’un système isolé reste constante au cours d’une transformation réversible, alors qu’elle augmente nécessairement pour une transformation réelle.
Deux expressions de l'entropie résultent simplement de deux points de vue différents, selon que l'on considère le système thermodynamique au niveau macroscopique ou au niveau microscopique. Plus récemment, le concept d'entropie a été généralisé, et étendu à de nombreux domaines, tels que par exemple :
- L'entropie de Shannon dans le cadre de la théorie de l'information en informatique ;
- L'entropie topologique, ainsi que l'entropie métrique de Kolmogorov-Sinaï, dans le cadre de la théorie des systèmes dynamiques en mathématiques.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Entropie_(thermodynamique)
Le mot entropie a été inventé par Clausius qui justifie son choix dans Sur diverses formes des équations fondamentales de la théorie mécanique de la chaleur (1865) :
« Je préfère emprunter aux langues anciennes les noms des quantités scientifiques importantes, afin qu'ils puissent rester les mêmes dans toutes les langues vivantes ; je proposerai donc d'appeler la quantité {\displaystyle S} S l'entropie du corps, d'après le mot grec η τροπη une transformation. C'est à dessein que j'ai formé ce mot entropie, de manière qu'il se rapproche autant que possible du mot énergie ; car ces deux quantités ont une telle analogie dans leur signification physique qu'une analogie de dénomination m'a paru utile. »
L’augmentation de la concentration atmosphérique de GES par les émissions anthropiques accroît le renvoi d’énergie vers le sol, entraînant un déséquilibre du système et provoquant l’élévation de la température terrestre. La modification par rapport à une année de référence de la radiation induite par un élément est appelée forçage radiatif. Un forçage radiatif positif indique une contribution positive au réchauffement climatique. L’ensemble du forçage radiatif d’origine anthropique s’élève à + 2,55 (± 1,1) W/m² en 2013 par rapport à 1750.
En 2012, les émissions moyennes par habitant en Amérique du Nord sont plus de huit fois plus élevées qu’en Inde. Par ailleurs, ces valeurs ne reflètent pas les disparités qu’il peut y avoir dans une zone géographique (par exemple, au Moyen-Orient, les émissions par tête sont de plus de 50 t CO2éq par habitant au Qatar et de moins de 2 t CO2éq/habitant au Yémen), ou au sein d’un même pays. L’intensité carbone du PIB (émissions de GES divisées par le PIB) est plus de quatre fois plus élevée en Afrique que dans l’UE, ce qui signifie que quatre fois plus de GES y sont émis par unité de richesse produite.
En 2014, les émissions mondiales de CO2hors UTCF (Utilisation des Terres leur Changement et la Forêt) atteignent 35,7 milliards de tonnes. Près de 42 % de ces émissions sont liées à la combustion du charbon, contre 31 % pour le pétrole et 18 % pour le gaz naturel. Quant aux émissions liées aux procédés industriels comme la fabrication de ciment (hors combustion d’énergie), elles représentent 10 % du total.
En 2014, près de 30 % des émissions mondiales incombent à la Chine, le premier pays émetteur devant les États-Unis (15,0 %), l’UE-28 (9,6 % du total mondial si l’UE est considérée dans son ensemble) et l’Inde (6,6 %). Entre 1990 et 2014, les émissions mondiales de CO2ont progressé de 58 %. Parmi les principaux émetteurs, la Chine affiche la plus forte croissance : les émissions ont été multipliées par plus de 4 sur la période. Quant aux États-Unis, leurs émissions de CO2ont augmenté de 7 % depuis 1990. Par rapport à 1990, les émissions de l’UE à 28 ont diminué de 21 %, celles de la France de 16 %.
Chiffres clés du climat – France et Monde – ÉDITION 2017
Format PDF – 80 Pages A4 : Chiffres cles du climat edition2017 2016 12 05 fr (9.24 Mo)
DIFFRACTION DES ONDES LUMINEUSES
Pensez-vous que la pollution atmosphérique puisse être un écran au flux solaire et ondes lumineuses ?
Un photon d’un diamètre d’environ 10P-29 m peut-il être dévié par un atome de 10P-15 m… ?
Soit une différence de taille 14 fois inférieure pour le Photon au rapport de l’Atome, où les photons sont vecteurs de l’onde lumineuse, dans le spectre des ondes électromagnétiques…
Ce susdit a été le sujet de discussion dans les domaines de la physique, l'astronomie et la cosmologie pendant des décennies avec l’aide des mathématiques et le langage de la logique. Au tournant du XIXème siècle, les physiciens ont commencé à explorer la relation entre l'énergie et la structure de matière. Ce faisant, la croyance qu'un univers matériel physique, Newtonien qui était au cœur même du savoir scientifique a été délaissé par la conception édictant que la matière n'est rien qu'une partie du réel connu, et l'a partiellement vérifié. Les scientifiques ont commencé à reconnaître que majeure partie dans l'Univers est soumise aux lois de l’ENERGIE et des Ondes Electromagnétique, dont la lumière visible (au même titre que le son) est une composante, oscillant entre 400 et 770 THz (Téra hertz = 10?² Hertz). Les physiciens quantiques ont découvert que les atomes physiques sont composés de vortex d'énergie, qui sont en perpétuelle vibration (Ondes), chaque rayonnement à sa propre signature d'énergie unique. Cela est également connu comme définition du ‘’Vide’’ ou ’’Champ de Point zéro’’.
Ceci a été expérimentalement confirmé quand Casimir Effect a illustré le point zéro ou l'énergie à vide d'état, qui prévoit que deux assiettes métalliques s'attirent de façon rapprochée en raison d'un déséquilibre dans les fluctuations quantiques (la source). En envisageant la nature de notre réalité et ce que nous percevons, comme étant notre dimension physique, aucun point (aucune raison) n'est plus central que ceci, cet espace n'est en aucune façon vide, c'est la place (le siège) de la physique la plus violente.
2015, L’ANNEE LA PLUS CHAUDE, ET DE LOIN…
Pierre Le Hir
Le Monde - mercredi 20 janvier 2016
L’annonce était pressentie. Elle est désormais officielle. L’année 2015 a été – et de loin – la plus chaude de l’histoire moderne. L’Agence océanique et atmosphérique américaine (NOAA) et l’Agence spatiale américaine (NASA), qui tiennent toutes les deux le registre des températures de la planète, l’ont confirmé conjointement, mercredi 20janvier.
Les températures moyennes à la surface des terres et des océans ont été les plus hautes depuis le début des mesures en1880, excédant de 0,9°C la moyenne du XXème siècle et surpassant de 0,16°C le précédent pic atteint en2014, indique la NOAA. Le mois de décembre lui-même a battu tous les records, dépassant de 1,11°C la moyenne du siècle passé. L’année 2015 se classe ainsi largement en tête des années les plus torrides, devant, dans l’ordre, 2014, 2010, 2013, 2005, 2009 et 1998.
Des températures hors normes ont été enregistrées presque partout dans le monde, ajoute l’agence américaine. C’est notamment le cas de l’Amérique centrale, de la moitié nord de l’Amérique du Sud, d’une partie de l’Europe du Nord, du Sud et de l’Est, jusqu’à l’ouest de l’Asie, ainsi que de régions de l’est et du sud de l’Afrique.
Dans l’Hexagone, avait déjà indiqué Météo-France, 2015, avec une température moyenne supérieure de 1°C à la normale, se classe au troisième rang des années les plus chaudes depuis 1990, derrière 2014 (+ 1,2°C) et 2011 (+ 1,1°C). Une douceur hors normes a prévalu une grande partie de l’année (à l’exception des mois de février, septembre et octobre), avec deux épisodes caniculaires en juillet et un début d’hiver exceptionnellement clément. Dans le même temps, la quasi-totalité du territoire a souffert d’un déficit de pluies.
Episode El Niño particulièrement intense
Le record mondial de températures de l’année écoulée s’explique, pour beaucoup, par un épisode El Niño particulièrement intense, comparable à celui de 1997-1998. Ce phénomène naturel cyclique, qui revient à un rythme de trois à sept ans, se caractérise par un fort réchauffement des eaux de surface du Pacique équatorial et une inversion des alizés, dont résultent, par le jeu des courants océaniques et atmosphériques, des bouleversements météorologiques de grande ampleur à l’échelle du globe. L’épisode en cours, après s’être graduellement renforcé depuis le printemps 2015, va progressivement décliner mais devrait continuer à se faire sentir jusqu’à l’été, ce qui présage d’un début d’année 2016 lui aussi plus chaud que la normale.
Mais El Niño ne fait que renforcer la tendance de fond au réchauffement global de la planète, dû aux émissions de gaz à effet serre d’origine humaine. Et la mesure des températures à la surface des terres n’en est qu’un indicateur très partiel. En effet, rappelle le climatologue français Jean Jouzel, ancien vice-président du groupe scientifique du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), l’essentiel – plus de 90% – de la chaleur additionnelle due aux gaz à effet de serre va dans les océans, et 1% seulement dans l’atmosphère.
Réchauffement des mers
C’est donc le réchauffement des mers qui est le meilleur indice du changement climatique. Précisément, une étude américaine, publiée lundi 18janvier dans la revue Nature Climate Change, rapporte que la moitié de la chaleur absorbée par les océans depuis le début de l’ère industrielle l’a été au cours des deux dernières décennies.
Pour autant, le bilan climatique des années à venir n’affichera pas nécessairement des niveaux de mercure sans cesse plus élevés. La variabilité naturelle du climat, ainsi que des phénomènes cycliques comme El Niño et son contraire La Niña, se traduiront probablement par des années un peu plus ou un peu moins chaudes. Mais une chose est certaine: du fait de la persistance des gaz à effet de serre dans l’atmosphère, de l’accumulation de chaleur dans les océans et, plus globalement, de l’inertie de la machine climatique, la planète va continuer –même dans l’hypothèse d’une réduction drastique des émissions anthropiques– à se réchauffer dans les prochaines décennies.
CES CLIMATO-SCEPTIQUES DU FROID
Les climato sceptiques Nordistes, niant le réchauffement climatique, car ils vivent dans des zones où les températures hivernales sont froides, voire très froides sont – soient des imbéciles, soient des scientistes ignorants, ou alors des inconscients intellectuellement infertiles.
Les sciences, la thermodynamique et l’étude des transferts d’énergie apportent quelques compréhensions, quant aux fonctionnements de la phénoménologie terrestre :
1 – L’augmentation des températures en différentes zones climatiques est définie mathématiquement par une moyenne générale. Une moyenne est une somme de relevés en différents points divisée par le nombre de relevés. Par conséquent, en ce cas, les températures les plus hautes ou celles les plus basses ont une incidence non négligeable sur la résultante globale, positive ou négative, de cette moyenne, au rapport de la tendance établie sur Terre.
2 – La TERRE fonctionne comme un système entropique.
Pour celles et ceux ignorant la définition de ce terme, ils n’ont qu’à faire des recherches sur tous supports de connaissances et savoir visualisables.
3 – Cette même planète à une atmosphère d’environ 976 millibars, soit environ 1 bar, ou une atmosphère, et son climat fonctionne au rapport des différentes zones géographiques, habitées ou pas, telle un système ‘’fermé’’, avec apport calorifique apporté par notre étoile, le Soleil. Notre satellite la Lune, joue également un rôle.
4 – Aucun système ne produit de ‘’froid’’. On peut juste ôter de la chaleur (énergie) dans un système fermé, tel un réfrigérateur, un congélateur, ou un espace tridimensionnel de confort, par son conditionnement, à l’aide de chauffage à énergies fossiles, électriques ou encore de Pompes à chaleur (PAC).
5 – Les différentes zones terrestres sont soumises à différentes pressions et dépressions atmosphériques suivant la composition géographique de ces mêmes zones, ainsi que leur taux d’hygrométrie (pourcentage d’eau dans l’air. Ce que l’on nomme la tension superficielle de l’air).
Par conséquent cette ‘’tension superficielle’’ est soumises aux conditions atmosphériques, et cela permet les transferts de chaleur, sachant également que la chaleur spécifique + la chaleur latente de l’eau est nettement supérieure à celle de l’air. Plus il y d’eau dans l’air à température fixe, plus la possibilité d’emmagasiner de la chaleur, pour la diffuser ailleurs, est importante. Et de percevoir l’augmentation de la force des éléments telle celle du vent et des ouragans en quelques zones géographiques terrestres. Voire également la fonte des glaces aux Pôle Nord et Sud.
Tous ces éléments et paramètres font, par des cycles ‘’normaux’’, les saisons sur notre extraordinaire Terre, où malheureusement, depuis l’avènement de l’ère industrielle au début du XIXème siècle, jusqu’à nos jours, l’activité non régulée de l’Homme, a produit, en grande partie, une dérégulation des zones naturelles végétales, biosystèmes et écosystèmes du Vivant.
Si rien n’est fait pour essayer d’endiguer ce phénomène, celles et ceux qui seront aptes à subir ces changements climatiques, dus également à la pollution, seront les individus qui auront réussi à trouver des zones de confort suffisamment tempérées pour y survivre le temps suffisant à la modification du genre humain restant… ; au rapport de celui du climat et de l’atmosphère.
CLASSES DEFIGUREES
La tâche géographique à chaque allaire démentie,
Les lieux d’incidences en multiplication divisionnaire,
Par l’inattention d’experts en toutes matières,
L’effet indésirable sacrifié à l’aubaine médiatique ;
L’exutoire terne de cette classe n’y fit suffisance.
Par l’hystérographie versée aux désillusions,
L’abîme des individualismes par vacuité ;
Chez les sommités en commissions déchirantes
Aucun gisement de crise n’y eut intensité ;
Uniformes vestibulaires, dans cette classe, n’y firent acte.
Actifs de ségrégation, discriminations cumulées,
Aux clans des quotidiennetés, capacité de mèche
Avec communes simplistes, par harangue de distinctions
En retardateurs d’éruptions, le stock vulcanise ;
Prévention sécuritielle par cette classe n’y fit qu’implosion.
Guéridons en files à succès, camp de base satisfait,
Ô frénésies de reconnaissance, éruptions secondaires,
Les places de privilège, en stock-options généreuses,
Les parodies moyennes songent aux marches détaxées ;
En marketing de faveurs, cette classe promut cauchemar.
Les autres, en logo-atomisation d’images
Avec l’espérance d’une partition moins pauvre,
Par les statuts d’une phénoménologie triste,
Au nombre des illusions par troupes divisées
S’y fourvoyèrent dans des chantiers incendiaires ;
En inculture télécommandée, cette classe n’y fit qu’exode.
Le sens fuit les mots.
Les mots ne sont que des passages du sens.
Le sens est ce qui ne cesse de fuir, comme la vie, comme le temps…
‘’Toute juste valeur ajoutée se définie par tous ces citoyens et citoyennes proches de la juste conscience lorsqu’elle est exercée avec lucidité, sincérité, honnêteté, accompagnée par tout l’amour et la déontologie des savoirs faire afin qu’ils, elles, puissent aspirer à ce que cela devienne un ‘’art’’ de vivre… Pour les générations arrivantes !... Et celles en partances…
L’entreprise ne fait pas les femmes et les hommes !
Ceux sont les écosystèmes sociétaux de ceux et celles d’avant et de maintenant qui les éduquent, les imaginent, les composent, les ordonnent et les font vivre, afin qu’ils, elles participent par l’addition de leurs savoirs faire et compétences particulières à l’évolution de la belle sensibilité socio-économico-culturelle du savoir être dans les sociétés et entreprises du Monde.
Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que ceux du désespoir… De la rancœur…
Et de l’indifférente violence… Psychologique… Où celle physique risque malheureux d’apparaitre.
Michel Asti
" Présente dans sa divinité, la Nature
N'a pas besoin de parole ; et jamais elle ne vous
Laissera plus seuls, vous ayant une fois approchés.
Car ineffaçable est l'instant qui reste
D'elle, à travers tous les temps il œuvre et triomphe,
Versant avec l'âme d'en haut son feu céleste."
Hölderlin, Empédocle
« Vois-tu maintenant qu’étant poètes nous ne pouvons être ni sages, ni dignes ?
Qu’il nous faut nécessairement errer, nécessairement être dissolus, et demeurer des aventuriers du sentiment.
La maîtrise de notre style est mensonge et duperie ; notre gloire, les honneurs qu’on nous rend, une farce ; la confiance de la foule en nous, ridicule à l’extrême ; l’éducation du peuple et de la jeunesse par l’art, une entreprise risquée qu’il faut interdire.
Car à quelle éducation serait-il propre celui que sa nature, incorrigiblement, incline vers l’abîme ?
L’abîme, nous le renierions volontiers pour nous rendre dignes. Mais où que nous nous tournions, il nous attire. C’est à l’abîme que mènent forme et style : eux aussi à l’abîme. »
Thomas Mann
“Les hommes moyens dont l'esprit est surexcité mais incapable de se libérer dans la création, éprouvent le désir de se donner en spectacle."
R M
« Ce qui importe par-dessus tout dans une œuvre d'art, c'est la profondeur vitale de laquelle elle a pu jaillir. »
Joyce
"Il y a ce que nul n'a vu ni connu sauf celui qui cherche dans le tourment des mots à traduire le secret que sa mémoire lui refuse."
Des Forêts
"Mais l’ambition la plus haute du spectaculaire intégré, c’est encore que les agents secrets deviennent des révolutionnaires, et que les révolutionnaires deviennent des agents secrets".
G Debord
Or, comme dit cet ancien Poëte chez Plutarque, point ne se faut courroucer aux affaires. Il ne leur chaut de toutes nos choleres. Mais nous ne dirons jamais assez d'injures au desreglement de nostre esprit.
Montaigne
Date de dernière mise à jour : 04/10/2020
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