LIBERTE - INDIFFERENCE - ATTACHEMENT
LIBERTE – INDIFFERENCE - ATTACHEMENT
L’ECRITURE EST LE MEILLEUR MOYEN DE S’EXPRIMER… SANS ÊTRE DERANGER.
"Ne pas communiquer signifie exactement la nécessité sanglante de communiquer."
Georges .Bataille
« Il voit s'agiter vainement le tumulte des passions, des familles et des empires, il voit les énigmes insolubles des malentendus déchaîner des désordres sans nom et sans remèdes, quand il suffirait bien souvent d'un seul mot, d'une syllabe pour tout dénouer… »
La mesure du [langage] ne dit pas tout, au contraire, elle dissimule ce qu’elle est incapable de dire.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années.
On devient vieux parce que l’on a déserté son idéal.
Vous êtes aussi jeune que votre enthousiasme, vos désirs, vos souhaits, votre bienveillance, vos attentions et votre belle curiosité, aussi vieux que votre air désabusé, votre morne attitude, vos certitudes conformistes, votre malveillance intergénérationnelle.
Nous sommes aussi jeunes que notre confiance en nous et aussi vieux que notre abattement, nos peurs, notre refus d’analyse et notre acceptation d’ostracisme.
« Le meilleur système démocratique est une ethnosociologie Cultura-économique privilégiant une politique philosophique par l’assassinat virtuel »
DROITS DE L’HOMME, DE LA FEMME ET DE L’ENFANCE
Dans le respect des lois de la Démocratie Républicaine sans distinction de couleur, de morphisme catégoriel, de croyance ou non croyance religieuse, d’ethnie et d’opinions politiques.
« Les experts en intelligence sont-ils devenus espèce à sang froid ? La politique, la religion et la monnaie sont-elles, pour certains clans, un résultat de pouvoir divisionnaire inique ?
Ce qui est certain, c’est que les trois veillent et entretiennent le néo – ordo – ultra – libéralisme social-économique et le capitalisme financier impérieux » […]
Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ; or il est de plus en plus inhumain, déséquilibré et irrationnel.
Les yeux de l’homme ne réussissent à percevoir les choses que par la… ; connaissance de leur superficialité.
Pourtant l’intelligence humaine a les ressources pour donner forme à leur essentialité.
M.A
- Maudit censeur ! Te tairas-tu ?
Ne saurais-je achever mon conte ?
C’est un dessein très dangereux
Que d’entreprendre de te plaire. ‘’
Les délicats sont malheureux :
Rien de saurait les satisfaire.
Jean de La Fontaine
Le principal fléau de l’humanité n’est pas l’ignorance,
Mais le refus de savoir.
Simone de Beauvoir
« N'espérez jamais trouver votre sûreté dans les armes de la fortune. » Sénèque. Nelson Mandela disait : ‘’Une population instruite, éclairée et informée est une des façons les plus sûres de promouvoir la bonne santé de la démocratie…’’. Et Benjamin Franklin : ‘’Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’un, ni l’autre et finit par perdre les deux’’.
80 MILLIONS DE PAUVRES EN EUROPE… EN 2019.
‘’C'est la guerre qui est le moteur des institutions et de l'ordre : la paix, dans le moindre de ses rouages, fait sourdement la guerre. Autrement dit, il faut déchiffrer la guerre sous la paix : la guerre, c'est le chiffre même de la paix. Nous sommes donc en guerre les uns contre les autres ; un front de bataille traverse la société tout entière, continûment et en permanence, et c'est ce front de bataille qui place chacun de nous dans un camp ou dans un autre. Il n'y a pas de sujet neutre. On est forcément l'adversaire de quelqu'un.’’
Michel Foucault
La démocratie devient-elle une technocratie gérée par des politiques et leurs alliés ne voulant plus faire analyse juste et sensée envers une véritable économie sociale de marché ; ayant réelle attention envers une Démocratie Républicaine attachée à la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice sociale-économique… ? Et aller, hop, encore une révolution pédagogique structurée au conformisme déficient et incapable de se libérer dans la création, mais assurément compulsés par des étiquetages d’une technocrature politique prostrée au désir incommensurable de se donner en spectacle pour l’unique vacance désuète de ses membres envers un démiurge binaire, entre tout ou rien… Comment espérez-vous, dans cette errance sociale-économique, qu’il puisse exister, en ces temps troublés, un intelligible vecteur attentionné autorisant la génération des 16 – 25 ans à pouvoir faire choix sensé et rationnel quant à leur future existence communautaire, dans un monde totalement individualiste, surtout lorsque l’enseignement, la retransmission des connaissances, la pédagogie et les apprentissages sont devenus formalisation prédatrice dans une vision dénuée de factions équilatérales ; et tout cela dans un système de bien(s) et services marchant vers une rentabilité exponentielle et creusant ainsi le tombeau d’un autre secteur économique, non prolixe, et ignorant par-là même ; les circonvolutions d’un machiavélisme philosophico-politique dénué de toute attention en sollicitudes… ???
Dans un monde terrestre, fini.
A quelles aberrations éducatives serait-il propre de leur nature qu’elles n’en fussent point incorrigibles à marcher vers un abîme qui mène formes et styles en reniement de dignité et destitutions en conservation du bien commun… ; au nom d’une guerre économico-financière entre possédés(es) et possédants(es)…
Dans les années 80, l’éducation mit en place l’apprentissage linguistique par mémorisation… ; nous en dissertons, sans mal de tête intransigeant, le résultat actuel… Tous ces experts, docteurs et spécialistes en ressources humaines ; ont-ils oublié que la MEMOIRE est chose aléatoire, subjective et ne possède en aucun cas facultés illimitées ; attachées aux mécanismes cognitifs du mammifère-humanoïde… Ont-ils, sont-elles ; et réciproquement, dans une omission (volontaire ?) théorique stipulant qu’en toute matière les bases de la connaissance pluridisciplinaire sont essentielles à l’élargissement du champ des possibles… ???
En l’occurrence ; pour la morphosyntaxique du langage humain – c’est l’alphabet qui autorise la composition de syllabes, mots, phrases, etcétéra… ; textes et lemmes explicatifs, voire compréhensibles… Et cela, non pas pour en faire, ‘’grâce’’ au langage politicien une rhétorique rendant vraisemblables les mensonges, crédibles les tricheries, respectables les ‘’petits meurtres entre amis(es)’’ ; et ainsi donner solidité à ce qui n’est que vil ‘’manège enchanté’’ farci aux bals des hypocrites prétentieusement comblés par un existentialisme perdu dans les profondeurs d’esprits sans vitalité, desquels n’y pourrait surgir aucun jaillissement autre que la duperie en tickets d’entrée chers payés ; envers une société sans embase.
Qui plus est, lorsque la valse entrepreneuriale, productive, technologique & commerciale des sociétés est soumise au machiavélisme défiscalisé par le prisme social-économique d’élites de pacotilles qui, majoritairement, seront à la retraite professionnelle, voire institutionnelle, tels des sages, qui ainsi dans leur sérénissime savoir auront encore quelques solutions viables quant à ethnosociologie justifiable de justiciables en déconstruction reproductive non soluble avec le principe de subsidiarité entre sociologie de tempérance et économie de pragmatisme… Avant que la génération d’après y réussisse à étudier les quelques conneries philosophico-politico-ontologiques de celles d’avant, où les moins férus(es) en pluridisciplinarité furent désaxés par une thésaurisation sociologique, humainement inacceptable et souvent inintelligible pour autoriser une recherche des liens et accords du discours entre les sciences et les arts, suffisamment éloignée des temps immémoriaux des Lumières pour laisser croire aux ignorants(es) et adeptes de la servitude volontaire que le retour à la pensée unique édictée en paralogismes politico-philosophiques modernes serait la solution mondiale, valable, viable et sûre telle une pensée ethnosociologique devant être acceptée sans débat en liberté d’expressions… ? Et donc d’appartenance en artéfacts élitistes et reliques incontestables ?
Si certains de mes congénères à esprit étriqué s’autorisent à croire que je suis un fainéant à statut ‘’RSAyste’’, et autres à penser que je suis atteint d’un anthropocentrisme intrinsèquement narcissique, dénaturé de toute forme de compréhension, juste curiosité et lucide intéressement envers leur propre attachement assujetti à parfois étranges covalences, consacrées par un symbolisme affilié à atavisme inique, alors, je les laisse à leur triste, incohérent, versatile et déficient savoir, proliférant plus la soustraction des bons savoirs faire et la division des utiles savoirs être que la véritable analyse linguistique, didactique, épistémologique, philosophique, sociologique, économique, géo-historique et culturelle par le langage de la logique humainement acceptable… Des communautés à CULTURES, pensées, intentions, sens, orthodoxies, actions, causes, réactions et devises louables ?
Que faisons-nous maintenant de cette interrogation ontologique, physiologique et intellectuelle ???
Et autres connaissances ajoutées… Dans les dimensions existentialistes et matérialistes à réseaux humanistes ?
La PAIX, ou la GUERRE… ?
Ou nous essayons de définir syllogismes, paralogismes, métaphores et analogies… ???
Dans un échange textuel ou verbal, si la dialectique émise est en perceptible décodage de ce que représente une réelle et véritable covalence intelligible, voire un lien d’amitié, notamment par une notification ou un partage empreint du langage de la logique humainement acceptable ou de la contradiction prévenante, pertinente, objective et constructive ; alors la notion de sincère inclination délicate est en potentiel de véritable existence. L’espace physiquement touchable n’en perturbe pas l’intendance du langage de l’amitié, de l’attention, de la juste curiosité et du respect mutuel, affiché aux bulles textuelles partagées dans l’instant présent. Les limites sans les lumières d’autres ; temps, contrées, savoirs et cultures, jamais n’indiqueront le juste équilibre ; entre essentialisme et matérialisme. L’intérêt personnel n’a nulle convenance envers les évanescences de l’espace sensiblement touchant, sauf lorsqu’il devient obsolescence matérialiste programmée par l’accaparement et/ou l’individualisme incertain. L’égocentrisme en est l’épreuve absolue et inabordable dans le monde naturel des véritables savoirs être. N’aurait-il pas mieux valu en considérer le sens avant la fin… ? Tous les esprits libres, sensés et valorisés à l’intelligence bienveillante savent cela. Ils, elles comprennent également que sur l’ouvrage, avec passion, il faut s’entendre. Si l’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude, alors la raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité…
M.A
‘’Le propre de la vraie forme c'est que l'esprit se dégage d'elle immédiatement, instantanément, tandis que la forme défectueuse le retient comme un mauvais miroir et ne nous rappelle rien qu'elle-même.’’
Kleist
Si la pauvreté est la mère des crimes, le défaut d’esprit en est le père.
Jean de La Bruyère
Par ces postulats, il ne devrait donc y avoir, en ces temps troublés, aucune possibilité d’ordre politique transcendant ; donnant à l’art des gens, cette qualité de juste compréhension envers la totalité du système Socio-Economico-Culturel… Dans les zones de production, d’échange et de valorisation de bien(s) et services représentées, dans et ; par la République Française Démocratique à tendances Laïques… Dans les civilisations individualistes l’ensemble communautaire rationnel n'a plus aucune identité sociologique spécifique – Il est donc incohérent de la part des corporatismes à statuts conformistes béats de contracter avec lui. Peut-être parce que les orthodoxies séculaires ont peur du miroir des contre-évidences. En conséquence de cela, ne rendons toutefois pas, par déni d’attentions, d’analyses et de compréhension, l’autre intrinsèquement responsable de n’avoir su ou réussi à répondre à tous nos besoins insatisfaits et sentiments inassouvis… Où en ces états sensibles, lorsque l’acte de mauvaise intendance est réellement avéré alors, il ne reste plus que la liberté de partir vers de possibles meilleurs horizons… Accepter l’infortune du moment, devenir aphone, écrire ou, se rebeller… S’indigner, Résister… Mais contre qui et au nom de quoi… ???
Il meurt lentement celui qui devient esclave de l’habitude, refaisant tous les jours les mêmes chemins, celui qui ne change jamais de repère, ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements, ou qui ne parle jamais à un inconnu, celui qui évite la passion, celui qui ne change pas de cap, celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves, celui qui pas une seule fois dans sa vie, n’a fui les conseils sensés. Il meurt, lentement, celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas rire de lui-même. Sans ferveur et passion la vie s’écoule tristement…
Pablo Neruda
A la perdition, vanité fit jeux homolatéraux
La prescription se crût synopsis des grâces morales
La presqu’île de lemme s’y fige sous les oboles
La manie nie coquine, les aiguilles piquent au vif
Je te fiche mon billet qu’idolâtrie est mesquine
Aux envies abasourdies, hermine fuit justice fortuite
Sans lèche vitrine, les psalmodies s’amollissent sous ruine
Vies inutiles dans la city dépriment la composition cynique
Bien caché sous les buis, les fleurs de liberté se terrent
Michel ASTI
Qu’est-ce que l’Europe ? Un acharnement de voisins qui se battent… Ecrit ainsi, le philosophe et mathématicien, Leibniz (1646-1716).
- En Allemagne, les phases d’expansion des droits civiques et sociaux (L’unité allemande ou les réformes de Willy Brandt) se produisent en période de croissance. La montée du nazisme dans les années trente ou la recrudescence des pulsions anti immigrés se produisent au cours de sévères phases de récession… ??Le monde est clos et le désir infini - Daniel Cohen.
Avec pour encore plus mauvaise vision dans le système social-économique français (et autres) en celle d’imaginer la nouvelle possible évolution post-industrielle comme une désintégration communautaire par décret en faveur de la déconsidération cultura-identitaire nationale où le plus néfaste schéma d’incompréhension se trouve assurément proche des liens moribonds entre : Le corporatisme paroxysmique » Le déclin social-économique » La prédation territoriale » Le sectarisme culturel » L’anti-laïcité » Le populisme intransigeant » Le nationaliste exacerbé » Les peurs dans la zone non-sécuritaire » L’obscurantisme » Le nihilisme » La radicalisation » Le fascisme » Etc… ; et pour vecteur novateur à partir de la fin des années 1970, l’avènement de l’outil informatique, permettant de créer d’autres classifications, grâce aux langages algorithmiques où les mathématiques en autorisent la création des bases de données et autres compositions sujettes à confinements incohérents, dont le pire est d’avoir oublié dans cette histoire à tendance déshumanisante, la pensée profonde de la propre existence ontologique singulière du mammifère-humain.
L’HUMANITE EN PENTE GLISSANTE
L’homme n’apprend rien de ses erreurs.
Une erreur, de ‘’casting’’ ou autres, quelle, soient-elles, est un évènement qui, normalement, se produit une seule fois. Lorsque cette même erreur arrive une seconde fois, c’est une faute.
Nous vivons aujourd’hui aux crochets des générations futures et nous leurs léguons une poubelle explosive très chère à entretenir, tout en ne leur procurant plus les moyens de vivre de leur travail. Le COURT-TERMISME est, parait-il, inscrit dans les règles de politiques seulement et uniquement comptables…
Auparavant, l’individu était une personne morale à valeurs de dignité supérieure aux prix fixés à l’objet de consommation. Le glissement de cette dignité – certes inexistante chez les individus soumis à la tricherie, l’ignominie, l’infamie et l’insincérité patente – part de la personne physique en respect des valeurs éthiques et déontologiques dans le cadre des Droits et Devoirs inscrits dans une société de justiciables et justifiables en tant que personnes physiques morales. Cette personne physique, dotée d’un patrimoine, a été transposée au statut d’entreprise morale, en tant qu’entité fonctionnelle – machine non-humaine – puis fut réalignée, aux Etats-Unis, au milieu du XIXème siècle, par sa mise en place au statut de ‘’personne morale’’, désignée plus tard sous le patronyme de ‘’TRUST’’ - « la Fiducie » de droit anglo-saxon (pays considéré comme le plus grand colonisateur à partir du XVIIème siècle). Cela permit aux individus, personnes physiques de pouvoir s’inscrire dans le sillage de personnes ‘’morales’’ et bénéficier ainsi du pouvoir démultiplié des sphères patrimoniales et de l’influence de l’avènement industriel au cours du XIXème siècle, auquel les individus accédèrent grâce à l’héritage, à la transmission, filiale, à tiers personne ou groupes d’intérêts particuliers – à l’immortalité du trust – qui était désormais garantie par la société morale de l’entreprise capitalistique, anglo-saxonne, américaine, etc… ; suivis par la mise en place du système de circulation mondialisé des marchandises et capitaux…
Ne faut-il pas penser, dans cette évolution de la société ‘’morale’’ une « ruse de la raison » au sens hégélien ?
Et tenter de pouvoir dire que les lois du commerce international sont une parodie de néfastes valeurs collectivistes, corporatistes et communautaires, voire agencés par des groupes de prédation.
Quand une mise en œuvre des principes du marché ultralibéral provoque une crise écologique et idéologique précédée par des crises économiques et financières, sévères au cours du XIX et XXème siècle, puis la première véritable crise financière mondiale en 2008, trouvant sa source aux Etats-Unis, que peut-on penser de ce système politico-social-économique ultralibéral ? Qu’il est celui des plus forts ou plus nantis ? Les banques et organismes financiers ont-ils appris de leurs erreurs ? Nous allons rendre le système économico-financier plus fiable, ont-ils dit. Le résultat de ce système où l’attitude asociale brutale de l’économiste et du comptable a pris le pas sur le prix de toute dignité, en tant que constituante d’une Démocratie Républicaine, dans le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, serait-il devenu un jeu de dupes, à produit négatif et dommages collatéraux funestes pour encore proportion trop importante de l’humanité ?
LA LOI DU MARCHE AVANT LA BIENVEILLANCE… ?
Le XIXème siècle fut celui de l’avènement industriel initialisé par les premières découvertes scientifiques de la fin du XVIIIème, après la Renaissance au XVIIème. La technologie, les sciences et la création de nouveaux outils, matériels, matériaux, moyens techniques, dispositifs de communication et facultés humaines, nécessaires à indexer l’évolution des sociétés, prennent une ampleur extraordinaire, jusqu’à nos jours. Une partie de notre « modernité » commençât véritablement au début du XIXème siècle. Les nouvelles idéologies aussi. Les paradoxes de la philosophie-politique également. Ce siècle de l’avènement industriel vît, sur l’ancien continent la chute des monarchies. La fin de la révolution d’octobre en Russie enclencha une nouvelle ‘’guerre’’ entre le modèle capitaliste anglo-saxon, émancipé à plus grande échelle outre Atlantique, notamment en Amérique du Nord, et le communisme soviétique induit par la face autocratique, voire despotique de Lénine et Staline, avec les deux plus meurtrières guerres au XXème siècle.
L’histoire n’avance que par son mauvais côté, disait Marx.
Il est intéressant de voir que l’histoire de l’ancien au rapport du nouveau continent affichée par le nouveau monde des Amériques est en train de réapparaitre, telle une forme simiesque d’un passé sombre. Certes la modernité a apporté ses bienfaits. Notamment dans les domaines des transports, de l’alimentation, des normes de sécurité, l’hygiène, la médecine, les connaissances, la retransmission de l’information, la rapidité des échanges commerciaux… ; etc… Mais tout cela n’a pas suffi à diminuer, proportionnellement à l’évolution démographique, les inégalités entre les hommes, les femmes et les enfants, l’iniquité sociale-économique, les conflits territoriaux, la fracture culturelle, le refuge identitaire et communautaire. L’accessibilité aux biens essentiels est de plus en plus compliquée, même dans nos sociétés occidentales. Ces dernières décennies l’incompréhension intellectuelle entre systèmes d’échanges de biens et services des villes, où sont concentrées les richesses, et régions rurales, en déficit d’emplois, s’est accentuée. La fête s’est terminée à la fin des années 80, après les ‘’trente glorieuses’’. Elles ne reviendront jamais, soyez en certain. Il faudrait que les sociétés modernes se réinventent en fonction de leurs évolutions technologiques, économiques et culturelles, si elles veulent s’émanciper des carcans sociétaux, de l’ignorance inflationniste installée par de néfastes corpus sociaux-économiques et culturels fracturant les communautés, territoires, pays et nations inconscientes du drame en déclin civilisationnel. Après la liesse faisant suite à la fin de la deuxième guerre mondiale et le renouveau de la construction européenne les démons affectés à l’anthropocentrisme de l’homme et des clans ressurgirent. Les fantômes de l’ancien monde réapparaissent. Les peurs, les incertitudes, la pression économico-socio-financière et les dogmatismes des nouveaux paradigmes culturels affichés aux néo-scientistes s’installent patiemment, au nom des lois et règles de marchés des « changes », soient disant inédits… ??? Mais bienveillants, parait-il…
Quand l’histoire se répète, disait Marx, la deuxième fois c’est une farce.
« La monnaie doit se donner pour légitime et cette légitimité ne peut se construire sur la base de la seule conscience qu'auraient les agents financiers du nécessaire recours à des objets conventionnels. Or, seule cette conception de la légitimité répond aux exigences et naturalités des thèses individualistes. Techniquement, c'est au travers de l'hypothèse d'anticipations rationnelles qu'elle se trouve formalisée dans les modèles socio-économico-culturels. En effet, cette hypothèse signifie que les représentations des agents sont identiques au vrai modèle de l'économie. A contrario, la légitimité suppose la croyance en une certaine matérialité des symboles…»
Aussi est-elle contemporaine d'un certain délitement ou déni d’évolution collectiviste, voire mutualiste des sociétaires, acteurs, actrices, réalisateurs, imprésarios, agents et échangistes des scènes nationales et internationales, perceptibles en et par les dysfonctionnements géo-politico-socio-économiques, devenus aujourd’hui divisions communautaires, où en certains lieux de conflits géo-politico-financiers, la valeur immanente est en ces états, indubitablement, ‘’ARMEE’’…
Au détriment de toutes ’’cultures’’…
Où le temps de la potentielle entente sera invariablement utopie.
Dimension qui ne peut être en aucun cas désolidarisée de tous objets symboliques, matérialisés par leurs essentialités, utilités, nécessités, disponibilités ou toute autre sensibilité en tant que sujet porté à son propre pouvoir, sur soi ou autres par l’effet de cette symbolique affective, devise sécuritaire, liberté attractive, attachement séculaire, immanence séculière, causes plaisantes, passion communautaire raisonnable, raisonnée… ; ou alors individuellement déraisonnable… ???
LETTRE AUX MEPHISTOPHELES
Ne croyez-vous pas, Mesdames, Messieurs en tâche de gouvernances, que la plupart des gens se voyant tromper dans leur espérance, par les simulacres d’une exhibition politique, excluant territoires et habitants, non solubles avec la photo de famille gouvernementale sollicitée par des cadreurs de censure, n’y trouvent plus raisons suffisantes à attendre votre lente mise en application envers justice sociale, mais plutôt à trouver forces restantes et suffisantes à réparation ?
J’en serai fort aise, à y trouver nombre d’indignés(es) suffisant à organiser une nouvelle armée des justes, officiant aux chemins d’une plèbe à dissidence intelligible. Au nom d’un contrat social, entre les lignes des anciennes barricades, du rouge teinté au sang des innocents, n’en reste-t-il pas quelques gouttes invisibles aux yeux des biens garnis… Tiraillés entre la maladie du blé jaune, le virus d’un sarrasin envers la liberté d’une sarrasine, la mélasse, le voilage et le plumage, le néo-ordo-libéralisme, la franc-maçonnerie, les partisanneries cultuelles iniques, la soumission liberticide, les intérêts corporatistes antisociaux, le néo-scientisme, la culture anthropocentrique de l’entre-suit, le conformisme béat, la servitude, les possessivités vénères, la starisation politico-médiatique, le marketing et Mammon…
N’y voit-on pas là quelques éboulements d’échafaudages, auparavant structurés par la présomption phallique de chaires institutionnelles, à ce qu’elles n’y puissent contenir autres imminences grises que celles des religiosités-politiciennes ruisselantes d’inefficacité accostées par des politiques-templières, vouées à l’ordre de l’accaparement, au nom d’une vénalité d’intendances ?
Suceurs de position en sont assurément les plus fieffées gardiens d’étals… A nul doute, d’un côté à compter pièces d’or et de l’autre, symboles à foutres. La différence y est insignifiante ; de même prosternation, la position en est effarante. Pour l’une, il est d’évidence action, en compte de pièces, le Veau - d’Or à engraisser, et de l’autre à attendre, que l’animal en vomisse quelques onces. A la magie des incertitudes, vociférâtes les inutilités aplaties, pour qu’en cette réunion, au cours des jours saints, la prière, de sept en sept, honore la fourberie et apaise les prémices suspicieuses de la condition humaine.
C’est, sûr, celle-ci pousse tant d’imprécations qui s’y trouvent dans les prédicats de cette censure, que je n’ose en croire les possibilités d’une inversion décidable aux abords de la loi du marché. L’entreprise humaine ne s’élèvera qu’en avertisseur d’intransigeances, le jour gratifié du nombre suffisant, d’avoir réussi à investir les vestiges d’amphitryon fourrés aux inepties des commandements privés de toutes institutions collectivistes abasourdies par le brouillamini des courbettes de fonds… Que d’une laïcité sortie des procédures d’assouvissement, le problème n’y résistera qu’en la discontinuité d’incompréhension des termes partisans affichés aux sourdines du multiculturalisme pervers abonné aux poisons d’anathème, d’exécration et d’hérésie, promulgués aux expressions d’horreur transmises par la parabole des virus d’assomption, s’imaginant proposer une nouvelle hystérèse ignorante des soubassements de la détestation, envers les exégèses d’experts en toutes doctes, génies de l’économie-financière et autres sorciers de l’usure promis en avenir de façadiers sans éthique et morale, mais assurément avec posture propre à bande de fieffés Méphistophélès …
Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ; or il est plus en plus inhumain, irrationnel et déséquilibré. A l’ère de l’information, l’ignorance est un choix… ; à moins que ce soit un déni de réalité ou un refus de meilleure attention en échange de bonnes intentions… ?
DETERMINISME ET HERMENEUTIQUE
Le texte est au minimum conçu comme une suite d’énoncés. Il est entendu par texte une séquence d’énoncés qui s’emploie dans une communication linguistique cohérente, suivie, pragmatique et sociologiquement acceptable par majorité des membres d’une communauté.
Denys le Thrace définissait déjà la phrase (logos) comme une ‘’ composition en prose qui manifeste une pensée complète ‘’…
Pourquoi donc se contenter de la prose ; i.e. dans l’esprit de Denys de Thrace et littéralement :
‘’ L’énoncé pédestre ‘’.
Certains scolastiques ont argué que la prose représente le langage sans apprêt, naturel. Cette limitation peut sembler n’être qu’une dialectique sans raisons grammaticales, mais reprenant certainement une définition d’ordre stoïcien, qui pour les besoins d’un format de logique, plus partisan qu’universel ; furent attachés au rigorisme du déterminisme sophistique de l’époque qui faisait du logos un énoncé strictement normé. Cette pédagogie scolastique n’était qu’une façon d’empêcher les travestissements rhétoriques qui auraient réussi à mettre en difficultés la sémantique attachée à l’herméneutique stoïcienne. L’énoncé fait donc choix assertif et l’on ne saurait s’étonner que l’observance pluridisciplinaire puisse entrevoir ; notamment par la pensée Aristotélicienne, le renvoi des énoncés non-assertifs à la poétique et la rhétorique. Les tenants de la sémantique au rapport des conditions véritables – VERICONDITIONNEL – procèdent aujourd’hui de façon comparable ; en renvoyant ces énoncés au pragmatisme sociologique qui s’est substitué à l’unique rhétorique des classes sociales supérieures, notamment à partir de la fin du XXème siècle, avec l’apparition de l’outil informatique source du développement des réseaux sociaux ‘’virtuels’’ associés à l’argumentation diversifiée et l’augmentation des échanges informatifs. Toutefois ce progrès technologique se doit de ne pas repousser, extrinsèquement ; les règles du langage de la logique intelligible énoncées par une grammaire évolutive, tant dans l’étude des restrictions dominantes millénaires qu’avec analyse linguistique de la phrase la plus déclarative et la plus banale….
La limitation de la linguistique à l’espace confiné de la phrase indique une situation de fait et non de droit. Elle témoigne donc du poids de la logique et de l’analogisme sur la condition même de l’évolution de la morphosyntaxique sociologique dans les énoncés syllogistiques aux conditions mêmes de la métaphore libérée des paralogismes ordonnés dans une destitution de la naturalité émancipatrice, dont la phrase, en tout énoncé ; est l’unité la plus grande.
SARTRE : L’EXISTENTIALISME EST UN HUMANISME
Du passé ne faisons pas table rase, ou alors nos rêves d’un futur bienfaisant, n’auront que l’apparence d’un voile cachant la présence d’un essentialisme à billets de bas compte, où les nouveaux jeunes seront assurément incapables d’y percevoir quelques extraordinaires expressions, proches d’un existentialisme à réelle bienséance intergénérationnelle.
REPRESENTATION ET INTROSPECTION
L’Homme est un mammifère : VRAI
Tous les hommes et toutes les femmes sont des mammifères : VRAI
L’Homme est un bipède humanoïde : VRAI
Tous les hommes et toutes les femmes sont des êtres-humains cultivés, rationnels et intelligents : FAUX
L’Homme est un animal grégaire à actions répétitives et réactions désordonnées existant dans un système sociétal multiculturel à conformisme béat et consumérisme endiablé : PEUT-ÊTRE…
Que peut-il rester d’un réalisme ordinaire si le réalisme de la mesure est réduit à néant par un antiréalisme inspiré par la seule préséance de la pensée mathématique sur la pensée analogique?
Et tout particulièrement dans la pensée unique ? Qu’adviendrait-il du pragmatisme ordinaire ? Quelle échelle de représentation autoriserait l’une ou l’autre, sans l’une et l’autre – i.e. la pensée analogique sur la pensée mathématique et réciproquement – dans un ensemble (E)… ???
Encore faut-il réussir à ne pas passer outre les calomniateurs convaincus et ne pas recourir à leurs maximes sans analyse des paralogismes particuliers et syllogismes divers, afin que la flétrissure culturelle, sémiologique, sémantique et didactique généralisée ne soit plus une fragrance à en adopter le verbiage, sans attention ni étude envers la divagation ahurissante.
Ne serait-ce pas en cette thématique, son reniement choisi ou une adhésion intrinsèque envers reliques en formulation de différence, physico-ontologique, sans preuves véritables… ; autre que celle édictée par un corporatisme inique, en postulats de paradoxes, tout aussi incertain… ???
En l’occurrence si un ou une différente en voudrait établir quelque autre attachement, hors robe, chaire, pair, pompes et intérêts empruntés à doctes en prescription d’adhérence supposée, il et/ou elle, en seraient-ils immédiatement taxés de simples d’esprit ou hérétiques… ?
Que pouvons-nous répondre, par quelques rhétoriques sensées, à tous ces calomniateurs et calomniatrices, infectés(es) par les ‘’choses’’ sans preuves formellement établies, accusant autres de leurs congénères, sexués, sans logique didactique évidente, au rapport d’une sociologie humainement acceptable ?
Qu’ils en bâtissent leurs trésors par une forme clandestine approvisionnée à leur état d’insincérité ?
Que doit-on étudier, de même, à tous ces discours vagues de cette sorte, qui se trouvent dans leurs livres des restitutions réduisant les créanciers humanistes en une usure à ruissellement de lentigos proches de la porte, usée, entrouverte aux germes des imprécations sans foi, ni lois… ?
Ou à pratiquer un suivi circonstanciel, plus à même d’emprunter les ressemblances destructrices d’une colonie munie de pics d’incertitude, au détriment d’actions en construction d’une philosophie-politique et sociologique moins absconse… ? En attribution du prix des accords privilégiés proches du discours entre les sciences, les arts et la poésie… ???
Afin d’imaginer pouvoir faire quelques introspections sur ces sujets, il se doit, en premier lieu, et à minimum, de comprendre Syllogisme et Paralogisme…
SYLLOGISME
Un syllogisme est un raisonnement où, certaines choses étant prouvées, une chose autre que celles qui ont été accordées se déduit nécessairement des choses qui ont été accordées.
La proposition mineure d’un syllogisme est établie, soit par une induction, soit par une hypothèse, soit par une évidence, soit par des syllogismes. Un syllogisme permet de mettre en lien une conclusion à deux termes :
1 – Le majeur
2 – Le mineur
Par un ordre de moyens termes, dans une table de vérité…
Le majeur et le mineur ne doivent apparaître qu'une fois chacun dans les prémisses, le moyen terme est présent dans chaque prémisse (puisqu'il permet la mise en rapport des deux autres termes) tandis que la conclusion expose le rapport entre le majeur et le mineur, de sorte que le syllogisme est un « rapport de rapports » (expression de Renouvier, Traité).
PARALOGISME
Un paralogisme est un raisonnement faux qui apparaît comme rigoureux et où le locuteur est de bonne foi, contrairement au sophisme qui est un argument fallacieux, c'est-à-dire destiné à tromper. Le paralogisme est un antonyme de syllogisme.
Dans la Critique de la raison pure, Kant a identifié les paralogismes comme étant des illusions de la raison.
On peut distinguer deux types de paralogismes : les paralogismes formels et les paralogismes informels.
John Stuart Mill montre dans A System of Logic que le syllogisme classique est lui-même un paralogisme : aucune vérité particulière ne peut être inférée de principes généraux puisque c'est au contraire l'ensemble des premières qui doivent être démontrées pour garantir la validité des secondes :
« [...] Il est irréfutablement avancé par les adversaires du syllogisme que la proposition, Socrate est mortel, est présupposée dans l'hypothèse plus générale : Tous les hommes sont mortels ; que nous ne pouvons être assurés de la mortalité de tous les hommes, à moins d'être déjà certains de la mortalité de chaque homme individuel ; que s'il reste douteux si Socrate, ou tout homme que nous souhaitons citer, est mortel ou non, le même degré d'incertitude doit peser sur l'affirmation – Tous les hommes sont mortels – que le principe général, au lieu d'être donné comme preuve du cas particulier, ne peut lui-même être tenu pour vrai sans exception, avant que toute ombre de doute qui pourrait affecter quelque cas qu'il inclue ne soit dissoute depuis une autre source ; et alors que reste-t-il à prouver au syllogisme ? Que, en bref, aucun raisonnement du général vers le particulier ne peut, en soi, prouver quoi que ce soit : puisque depuis un principe général nous ne pouvons inférer aucun [cas] particulier, sinon ceux que le principe lui-même présuppose connu. » Mills nous dit ici que, lorsque nous prétendons avec un syllogisme parler de la réalité (ou de toute situation concrète), alors le principe général posé comme point de départ du raisonnement repose en fait lui-même sur une autre affirmation à propos de chaque cas particulier concerné. Les métaphores propres aux mathématiques (théories), lorsqu’elles ne sont pas démontrées scientifiquement, demeurent des métaphores, c’est-à-dire, qu’elles sont des instruments d’interprétation du réel qui peuvent nous tromper utilement ; ou fallacieusement ?
Conclusion partielle :
Ce n’est que par un effet de rhétorique que l’on peut arriver à faire croire que la vérité mathématique en économie incomplète a autorité suprême, comme si toute vérité pouvait s’émanciper de l’utilité d’un pragmatisme d’échelle présent, pour ensuite venir la justifier, en s’émancipant d’une autre thésaurisation, en prémices ordonnées et subordonnées à un passé volontairement rendu valorisant, au profit de postulats en futur particulier… En intérêts pour seuls clans de chaires, d’ors, de robes, de notables, de pompes et autre empruntés(es) en comptes de valeurs ajoutées, falsifiés… Marketing de lobbies, néo-scientistes ou PARAPHEURS en paradigme de faux-culs ?
Le capitalisme n’a plus besoin d’intelligences antithétiques à partir du moment où sa base devient uniquement mécanique. Tout écosystème HUMANOÏDE arrivé à ce stade se contente comme AVOIRS que de disposer d’une armée soumise à l’impérialité du pouvoir dirigeant… ; où les oppositions philosophico-politiques se doivent d’être abolies par l’autorité de commandements, endoctrinées par tous moyens physiques ou corrompues par les outils de la FIDUCIE MONETAIRE…
A ce moment-là le PEUPLE d’une NATION n’a plus la LIBERTE DE CHOIX, et par conséquent le système devient une AUTOCRATURE, voire PIRE…
MESURES DU LANGAGE
La mesure du [langage] ne dit pas tout, au contraire, elle dissimule ce qu’elle est incapable de dire. Plusieurs philosophes ne réalisent pas que toute nouvelle mesure, tout nouveau calcul, toute nouvelle théorie naît avec un lot inséparable de métaphores qui n’ont rien de vrai, mais qui sont indispensables à leur usage. Seule compte ici l’utilité. Et cette utilité est concomitante de la technologie ou de la technique qui crée un nouveau domaine d’expériences. Cela implique que des analogies et des métaphores meurent et se fossilisent au gré du déclin de l’usage et de la popularité des technologies qui les alimentent.
Les premières théories d’une, possible ; langue universelle allant de pair avec une classification conceptuelle exhaustive par catégories fait encore débat à différents niveaux. Michel Foucault pensait qu’une telle classification devait être subjective, citant comme exemple la classification fictive des animaux établie par Jorge Luis Borges, la Celestial Emporium of Benevolent Knowledge's Taxonomy. Quelques synthèses philosophico-dialectologiques ont également relié à l’écologie du système l’intérêt que Leibniz portait à l’ingénierie de l’environnement. On avait déjà proposé la langue de l’écologie comme forme moderne de la caractéristique universelle de Leibniz. Cette langue a été utilisée dans le développement de systèmes de vue d’ensemble économiques et écologiques des paysages, des technologies et des pays.
En conséquence, il semble que le projet de Leibniz au siècle des Lumières est toujours poursuivi et est exécuté à l’échelle mondiale afin d’améliorer le processus de développement durable. Le terme de langue universelle fait référence à une langue hypothétique ou historique parlée et comprise par l’ensemble, ou presque, de la population mondiale. Dans certains contextes, cette résolution fait référence à un moyen de communication considéré comme compréhensible par tous les mammifère-humanoïdes. Ce terme peut rejoindre la notion de langue auxiliaire internationale, utilisée par des groupes de personnes de langue maternelle différente pour communiquer entre eux. D’un autre point de vue, il peut s’agir de la langue principale de tous ses locuteurs, ou bien la seule langue qui existe. Selon certaines traditions mythologiques ou religieuses, il existait autrefois une langue unique et universelle parlée par tous et partagée par les être-humains, et d’après les anciennes écritures avec des entités surnaturelles. Cependant il n’en existe aucune preuve historique, hormis le fait anthropologique que l’hominidé trouve son origine en un seul lieu terrestre. Homo-sapiens marchât, ensuite ; sur le monde. Dans d’autres traditions, on porte un intérêt moindre à la dialectologie, ou de manière générale, elle est détournée.
Diffusion de l’anglais dans le monde
L’anglais reste la langue dominante dans les domaines du commerce international et de la communication internationale du fait de l’influence des médias mondiaux et de l’ancien Empire britannique qui a instauré l’utilisation de l’anglais dans des régions du monde entier comme en Amérique du Nord, en Inde, en Afrique, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Cependant, l’anglais n’est pas la seule langue utilisée dans les organisations mondiales telles que l’Union européenne et l'Organisation des Nations unies, car beaucoup de PAYS ne reconnaissent pas l’ANGLAIS comme langue universelle.
On connait la célèbre définition qu’a donnée Kant de la dignité :
- Dans le règne des fins, tout a un PRIX ou une DIGNITE. Ce qui a un prix peut être aussi bien remplacé par quelque chose d’autre à titre équivalent ; au contraire ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n’admet pas d’équivalent, c’est ce qui a une dignité. La dignité, étant supérieure à tout prix, échappe par définition au calcul économique. A ce premier inconvénient, elle en ajoute un second : en tant qu’impératif catégorique, elle constitue un devoir, et pas seulement un droit individuel... Dans le cadre de la pensée primitive, la personne humaine est constituée de l’ensemble des choses où sa présence est perceptible par autrui […].
- […] La personne, c’est son corps, son ombre, toutes les représentations qui peuvent être faites d’elle (photos, enregistrement de sa voix, etc…), les rognures de ses ongles, les mèches de ses cheveux, ses vêtements, la trace de ses pas au sol, voire, dans la pensée rationnelle chinoise, les caractères la représentant dans la langue écrite, etc… Tous ces éléments sont en effet susceptibles d’évoquer à autrui sa présence ; Lévy-Bruhl les appelle les appartenances de la personne.
Chaque mammifère-humain est enfant de la connexion d’un individu mâle et d’une femelle. Nous sommes enfants d’une rencontre, et parents d’enfants pour la plus grande partie des adultes. Nous sommes affiliés à une origine terrestre dont nous ne connaissons pas encore exactement la date de notre apparition en tant qu’espèce d’hominidés, mais avant tout nous sommes des êtres-vivants de type mammifère-bipède appartenant au genre humain doués des capacités cognitives suffisantes à l’analyse de toute situation constituée de sujets-objets positionnés dans notre zone d’existence. La retransmission de nos valeurs en tant qu’« adultes sensés » est d’une importance capitale pour la, voire les générations suivantes, et ces apprentissages, tant manuels qu’intellectuels ne sauraient être soumis à dogmes particuliers, uniquement individualistes, au nom de prosélytismes n’ayant à cœur que l’expression complotasse d’une thèse en partisannerie sectaire, n’alimentant que les feux de la division générale…
Toutes ces définitions de la personne ; dès qu’elles sont assimilées à leur réelle fonction sociale, philosophique, éducative et culturelle ; attachée à la pensée partagée et à l’idée du débat démocratique, opèrent les commissions individualistes et tendances ségrégationnistes alimentant les corporatismes délétères qui ne sauraient, à terme ; en cette pluridisciplinarité échangiste résister au pouvoir émancipateur du collectivisme…
Ces aptitudes d’échanges, d’attention et de respect orientent universellement, au sens où elles valent pour tout individu et dans toutes communautés et sociétés, y compris pour celui dont il est question : de la même manière qu’autrui peut considérer comme étant variations associatives pour tout ce qui évoque pour lui, ma propre représentation de ce qu’est ma personne comme même : l’ensemble des choses qui évoquent ma présence à autrui et, réciproquement, comme ces choses d’autrui envers ma présence.
Au sein des sociétés, le domaine du Moi s’étend bien au-delà de l’image du corps propre à travers de nombreuses ramifications qui nous paraissent excessives, à nous les individus lucides, dont la perception du Moi est beaucoup plus ramassée autour de l’image covalente du « réel » prisme interactif. Ce domaine du Moi, au-delà du corps propre ; correspond aux associations en « APPARTENANCES ». Pourtant, la propriété privée exacerbée dans nos sociétés contemporaines hyper-médiatisées, étend le domaine de nos appartenances de manière pléthorique, voire incohérentes, multipliant les moyens par lesquels les autres, et les objets eux-mêmes, ont une emprise sur nous. Souvent dans l’imposition liberticide plus que dans la réflexion et l’humilité.
CLASSES DEFIGUREES
La tâche géographique à chaque allaire démentie,
Les lieux d’incidences en multiplication divisionnaire,
Par l’inattention d’experts en toutes matières,
L’effet indésirable sacrifié à l’aubaine médiatique ;
L’exutoire terne de cette classe n’y fit suffisance.
Par l’hystérographie versée aux désillusions,
L’abîme des individualismes par vacuité ;
Chez les sommités en commissions déchirantes
Aucun gisement de crise n’y eut intensité ;
Uniformes vestibulaires, dans cette classe, n’y firent acte.
Actifs de ségrégation, discriminations cumulées,
Aux clans des quotidiennetés, capacité de mèche
Avec communes simplistes, par harangue de distinctions
En retardateurs d’éruptions, le stock vulcanise ;
Prévention sécuritielle par cette classe n’y fit qu’implosion.
Guéridons en files à succès, camp de base satisfait,
Ô frénésies de reconnaissance, éruptions secondaires,
Les places de privilège, en stock-options généreuses,
Les parodies moyennes songent aux marches détaxées ;
En marketing de faveurs, cette classe promut cauchemar.
Les autres, en logo-atomisation d’images
Avec l’espérance d’une partition moins pauvre,
Par les statuts d’une phénoménologie triste,
Au nombre des illusions par troupes divisées
S’y fourvoyèrent dans des chantiers incendiaires ;
En inculture télécommandée, cette classe n’y fit qu’exode.
Michel Asti
« Il voit s'agiter vainement le tumulte des passions, des familles et des empires, il voit les énigmes insolubles des malentendus déchaîner des désordres sans nom et sans remèdes, quand il suffirait bien souvent d'un seul mot, d'une syllabe pour tout dénouer. Il éprouve en lui-même les tristesses et les joies de chaque destinée humaine. Tandis que l'homme de ce monde, dévoré de mélancolie à la suite d'un grand malheur, traîne ses jours, ou, dans un transport de joie, s'élance au-devant de son destin, l'âme perméable et sensible du poète s'avance de la nuit vers le jour, tel le soleil dans sa course, et par de subtiles modulations, il accorde sa lyre au diapason de la joie et de la douleur. […] et tandis que le reste des hommes rêvent éveillés et que, terrorisés, ils sont la proie des monstrueuses illusions de leurs sens, lui vit tout éveillé le rêve de la vie, et l'événement le plus singulier est à ses yeux tout ensemble passé et avenir. Et c'est ainsi que le poète est à la fois maître, prophète, ami des dieux et des hommes. Comment veux-tu qu'il s'abaisse aux mesquineries d'un métier de rapport ? Lui qui est fait comme l'oiseau pour planer au-dessus du monde, pour bâtir son nid sur les cimes, pour demander sa nourriture aux bourgeons et aux fruits, passant, agile, de branche en branche, devrait-il donc, en même temps, tirer la charrue comme un boeuf, s'habituer, comme le chien, à suivre une piste, ou encore la chaîne au cou, dans quelque métairie, monter la garde en aboyant ? »
J. W. Goethe, Les années d'apprentissage de Wilhelm Meister
"Personne n'écrit pour s'assurer la célébrité qui est quelque chose de transitoire, autrement dit une illusion d'immortalité. Avant tout, nous écrivons pour satisfaire quelque chose à l'intérieur de nous-même, non pour les autres. Évidemment, si ces autres approuvent notre effort, cela contribue à augmenter notre satisfaction intérieure, mais malgré tout c'est surtout pour obéir à une compulsion interne que nous écrivons. "
Freud
Date de dernière mise à jour : 24/06/2019
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