PAGE 121 - LETTRE OUVERTE
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C’est un malheur, que les hommes ne puissent d’ordinaire posséder aucun talent sans avoir quelque envie d’abaisser les autres. S’ils ont la finesse, ils décrient la force ; s’ils sont géomètres ou physiciens, ils écrivent contre la poésie et l’éloquence ; et les gens du monde qui ne pensent pas que ceux qui ont excellé dans quelque genre jugent mal d’un autre talent, se laissent prévenir par leurs décisions. Ainsi quand la métaphysique ou l’algèbre est à la mode, ce sont des métaphysiciens et des algébristes qui font la réputation des poètes et des musiciens; ou tout au contraire ; l’esprit dominant assujettit les autres à son tribunal, et la plupart du temps à ses erreurs.
Vauvenargues
C’est la profonde ignorance qui inspire le ton dogmatique.
La Bruyère
L’existentialisme est un humanisme
Sartre
LETTRE OUVERTE AUX MAIRES DE FRANCE - Juillet 2015
Mme, Mr le Maire
Suite à la lecture de votre lettre aux habitants concernant la ‘’réforme territoriale’’, je me permets par ces écrits, de vous communiquer ma petite vision attachée à cet édifice social économique en train de se fissurer, où malheureusement certains des élus nationaux affectés à la gestion de la République Française à, soit disant, prépondérances fraternelles et laïques, qui, comme vous le laisser entrevoir par vos écrits, détruisent méthodiquement depuis plus de quatre décennies, les fondements mêmes de la démocratie dont les bases, sont me semble-t-il, en train de voler en éclats par la mise en place de cette réforme territoriale, qui si elle passe dans la totalité de ses termes et échéances, les formes originelles de la République ne deviendront que les ‘’fantômes’’ de celle-ci, pour la simple raison qu’elle bifurquera vers un système à prépondérance théocratique, en ôtant à la démocratie, toute sa meilleure partie en tant que constituantes de la liberté, l’égalité, la fraternité et surtout la justice sociale économique encore présente dans ces zones géographiques, nommées départements, et communes, avec pour particularité en ce mauvais état de refonte territoriale, à ce que les communautés de communes et autres intercommunalités ne deviennent que majoritairement gérer en corrélation étroite avec ce système étatique trop éloigné de ces belles valeurs… ; affichées par une certaine vision humaniste du ‘’monde’’ agricole, proche de la nature, pourtant encore résidente en premier lieu dans les communes rurales, voire certains départements, avec à partir de la métropole, puis des régions, une particulière déstructuration envers les gens du cru, liée en première évidence à l’envie frénétique d’atteindre la ‘’porte’’ d’entrée permettant pour leurs élus et autres aficionados aux subterfuges de la soustraction et de la division, d’envisager le fort potentiel d’accès au pouvoir national, par prétentions de croire que seuls les habitants de la grande (Ï) cité, en auraient capacités et facultés, par oubli que beaucoup de personnes sensées sont originaires des zones de bonnes valeurs terrestres.
Il est possible de détecter les égocentrismes de ces ‘’entités’’ d’augures politiques démocratiques et laïques discutables, en s’y intéressant, étudiant et analysant le système géo-politico-économico-asocial français, afin d’en approcher certaines incohérences m’autorisant malheureusement à envisager, que la perspective d’une possible fracture sociale économique, pourtant encore soutenable en ces lieux affiliés aux ‘’petites’’ communes sera assurément consommée, après qu’elles eussent été vidées de leurs meilleures ‘’essences’’, par ce système administratif impropre à la juste décentralisation. Afin de donner un peu de consistance à mes pensées, permettez-moi, Mr le Maire, de-vous conter en quelques lignes les raisons de ma venue en août 2013 dans cette commune où ces deux années m’ont permis de percevoir toutes ses belles particularités, suffisamment éloignées des complots politico-économico-financiers, assurément présents en ces grandes villes, métropoles et autres mégapoles… Où la notion d’humanisme est en train de se dissoudre dans ces états de déliquescence… Avec pour les plus paradoxales, les mauvaises obédiences médiatiques, souvent éditées par des ‘’entités’’ de néfastes conformismes corporatistes… Et pour les plus virulentes, une incompatibilité notoire avec les belles valeurs de la République Française. Et pourtant, si ces ‘’élus’’ nationaux, arrivaient à entrevoir que le système social-économique est arrivé à bout de souffle, notamment par les déclassements révoqués de l’art des gens au profit du tout argent, bien qu’il se doit de rester un potentiel ‘’bel outil’’, dont son pragmatisme devrait permettre de revenir à quelque ‘’chose’’ de supportable et acceptable par et pour le genre humain français en ses zones géographiques.
Mais pour commencer à entrevoir cette voie, derrière quelques brouillards encore présents à l’horizon, il serait souhaitable de revenir aux bases essentielles nécessaires et minimales à l’existence honorable de l’être humain, à savoir se nourrir, s’abriter, se vêtir avec dignité et surtout mettre en place les conditions adéquates pour nos ‘’petites et petits devenirs… Où le premier fondement se trouve invariablement dans les communes rurales’…
Et la deuxième constituante essentielle, nécessaire et utile, s’envisage sans équivoque proche de la retransmission des justes connaissances épistémologiques et savoirs déontologiques et éthiques par celles et ceux d’avant, et ceux de maintenant, pour les vies d’après… Dans toutes les communes.
Par conséquent, par mes écrits je tiens à faire savoir que j’ai toujours soutenu et soutiendrai encore sans aucune restriction ces deux indispensables… Ce qui me permit par ce continuel apprentissage de la Vie, grâce à quelques formes de solitude et de méditation, d’approcher et analyser les illogismes asphyxiants assignés à cette société civile républicaine devenue quelque peu négligente et surtout particulièrement individualiste à mon goût ; en particulier dans sa dimension sociale économique établie législativement par les corporatismes de la mégapole et pour les autres, amalgamés aux grandes métropoles et clientélismes territoriaux. Mais assurément avec beaucoup moins d’allégeances envers les petites communes et autres insignifiantes intercommunalités…
La politique, de la grande cité, frappée au mur des incertitudes sociale-économiques, à aigreurs politiciennes a induit beaucoup trop d’anciens espaces de travail utiles et emplois rémunérés à leur justes exercices, vers le déclassement, la sous-évaluation, la ghettoïsation et la division communautaire…
Petite notification : En 1992, j’étais technicien SAV en froid et climatisation, j’avais par conséquent 33 ans, mon salaire net était en équivalent euros d’environ : 2 000€ net par mois. Chercher l’erreur, actuellement à même fonction le salaire net est compris entre 1500 et 1800€ suivant les sociétés et les compétences personnelles. En 27 ans, où est passée toute cette valorisation manuelle, technique et obligatoirement intellectuelle ? Elle a été thésaurisée par ces gestionnaires de produits économico-financiers, pour leurs gueules ? Ou alors est-ce, les mauvais comportements économico-financiers invectivés par des politiques individualistes, ou les dogmatismes impropres à toutes formes sociales-économiques à réseaux européens et nationaux ; patriotiques… ???
J’avoue que ma pensée penche malheureusement pour l’addition délétère de ces trois mauvaises causes… Avec pour particularité à ce que ces chemins mèneront invariablement vers le chaos et la destruction, si les bonnes solutions ne sont pas appliquées tant aux inconscients, qu’aux néfastes consciences, ou autres opportunistes de systèmes à vacations prédatrices…
J’espère seulement que mes écrits auront peut-être apportés quelques petits indices positifs, paradoxalement à cette vision particulièrement négative que j’ai au rapport des fonctionnements étatiques envers ce beau pays France où certains de ses habitants, sont encore respectueux de ces belles valeurs attachées aux justes et équitables systèmes sociologiques à réseaux ‘’humanisant’’, dont quelques-unes sont trop souvent floutées par le 4ème pouvoir dans et par son côté obscur, où la plus néfaste expression en est assurément la logo-médiatisation des termes tendancieux impropres à une juste culture démocratique… Destituée de quelques formes de justice, d’égalité et de fraternité, autorisant pourtant par effet contraire la perception de potentiels signes annonciateurs de quelques salvatrices petites libertés d’expressions propres aux lieux d’existence de l’être humanoïde dans le monde des vivants. Qui ne sauraient être imaginées hors d’un équitable et juste ordre géo-politico-socio-économico-culturel soucieux de la totalité des énergies naturels et celles affichées par tous ces petits morceaux de matière organique doués des meilleures pensées cognitives et extraordinaires imaginations accompagnées par les bonnes consciences attentives aux nécessaires savoirs être et utiles savoirs faire, dans le cadre des droits de l’homme, de la femme et de l’enfance.
Que n’est-il point pire maux qu’en celui d’instruire nos enfants au fait que la plus sûre des actions y serait de se mouvoir dans une agitation sociétale de tous les instants, tout en ayant la certitude que tous ces vas et viens, allers retours, sans pause, y serait chose du corpus UNIVERSALYS propice à vaincre les notions de l’ESPACE-TEMPOREEL TERRESTRE et ainsi en cette disposition s’assurer d’une vie remplie de biens et d’acquisitions, comme il en serait d’une fonction propre à un MET fabuleux.
Cordialement
Michel Asti – RSA-YSTE
TEMPS DE PÔLES DES-ASTRES
Soyez prévenus, jeunes et vieillards,
Les portes se ferment sous édiction sans convictions,
Vous ne pourrez même plus tirez à la courte paille,
Ghettoïsation, catégorisation, le processus est entamé,
Actions solidaires, ils auront, sans douleur, votre peau.
Combats parisiens, aux pôles de l’abscons débat,
Le marchand de capital frappera, encore,
Préparez vos homards et belles en cuisses,
Et vous, joyeux ahuris(es), sortez vos mouchoirs.
Les têtes de culs ne vous jetteront pas de bouées,
Leurs mémoires sont tombés sous langues mortes.
Pour prendre parti, rugissez derrière vos pupitres rasibus,
Le soir venu, rendez hommage, à la matière tricolore,
Celle que seuls vous, en traquenard, pouvez absorber,
Ne comptez, bien sûr, pas les raisins de la colère,
Débattez des travaux en cours, au soir tombé,
Entre deux blagues sur les riens et les fainéants,
Après avoir rendu hommage à la raison d’Etat,
Et au matin, allez faire, marchés, pour glanez sourire.
Vous êtes à la ramasse, de la tête aux pieds.
Spectateurs vous reveniez de la grande revue,
Par le tunnel blafard du grand métropolitain,
Dans vos banlieues, hors de la seconde couronne,
C’est là que vous descendez, naufragés des transports,
Station de reproduction fournie aux lis des étants moribonds,
Tels des animaux auxquels on ouvre sur arrière-cour sans vue.
A la fenêtre du XVIème, le bourgeois vous souhaite bonne nuit,
Sa bourgeoise vient de recevoir son coup du mois,
Ils ne pensent pas aux compagnons des mauvais jours,
Les phoques, les ours blancs, la crucifixion animale,
Après cette soirée où personne ne s’est reconnu,
Ils s’en foutent, l’adversaire doit périr, nu et sans tristesse.
Les rondpoints, pour eux, ce n’est pas assez carré,
Les vertes prairies, à être tondues sans discernements,
La méticuleuse abeille, le papillon ; ça sert, à rien et c’est con,
Le paysan qui pense à la saison prochaine,
L’agronome qui ne sait plus quelles graines planter,
L’essentiel, est que l’élitisme souverain puisse bouffer sans retenue.
Pas mieux, de l’autre côté du Rhin, chez le cousin germain,
Plus grandes les bâtisses à viande pour les panses allemandes,
Bœufs et cochons parqués, ils ne bougent pas de trop,
Les produits frelatés, d’Est en Ouest, eux…, et ben, ils voyagent.
Tandis que la peau de vache, continue de trembler,
La grande monnayeuse, invitée à la mascarade des macarons,
Et l’idiot commercial international à glousser comme un dindon jaune.
Une de mes maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l'ordre du monde; et généralement, de m'accoutumer à croire qu'il n'y a rien qui soit entièrement en notre pouvoir, que nos pensées, en sorte qu'après que nous avons fait notre mieux, touchant les choses qui nous sont extérieures, tout ce qui manque de nous réussir est, au regard de nous, absolument impossible. Et ceci seul me semblait être suffisant pour m'empêcher de rien désirer à l'avenir que je n'acquisse, et ainsi pour me rendre content. Car notre volonté ne se portant naturellement à désirer que les choses que notre entendement lui représente en quelque façon comme possibles, il est certain que, si nous considérons tous les biens qui sont hors de nous comme également éloignés de notre pouvoir, nous n'aurons pas plus de regrets de manquer de ceux qui semblent être dus à notre naissance, lorsque nous en serons privés sans notre faute, que nous avons de ne pas posséder les royaumes de la Chine ou du Mexique; et que faisant, comme on dit, de nécessité vertu, nous ne désirerons pas davantage d'être sains, étant malades, ou d'être libres, étant en prison, que nous faisons maintenant d'avoir des corps d'une matière aussi peu corruptible que les diamants, ou des ailes pour voler comme les oiseaux.
Mais j'avoue qu'il est besoin d'un long exercice, et d'une méditation souvent réitérée, pour s'accoutumer à regarder de ce biais toutes les choses; et je crois que c'est principalement en ceci que consistait le secret de ces philosophes, qui ont pu autrefois se soustraire de l'empire de la fortune et, malgré les douleurs et la pauvreté, disputer de la félicité avec leurs observances. Car, s'occupant sans cesse à considérer les bornes qui leur étaient prescrites par la nature, ils se persuadaient si parfaitement que rien n'était en leur pouvoir que leurs pensées, que cela seul était suffisant pour les empêcher d'avoir aucune affection pour d'autres choses; et ils disposaient d'elles si absolument, qu'ils avaient en cela quelque raison de s'estimer plus riches, et plus puissants, et plus libres, et plus heureux, qu'aucun des autres hommes qui, n'ayant point cette philosophie, tant favorisés de la nature et de la fortune qu'ils puissent être, ne disposent jamais ainsi de tout ce qu'ils veulent.
Enfin, pour conclusion de cette morale, je m'avisai de faire une revue sur les diverses occupations qu'ont les hommes en cette vie, pour tâcher à faire choix de la meilleure; et sans que je veuille rien dire de celles des autres, je pensai que je ne pouvais mieux que de continuer en celle-là même où je me trouvais, c'est-à-dire, que d'employer toute ma vie à cultiver ma raison, et m'avancer, autant que je pourrais, en la connaissance de la vérité, suivant la méthode que je m'étais prescrite.
J'avais éprouvé de si extrêmes contentements, depuis que j'avais commencé à me servir de cette méthode, que je ne croyais pas qu'on en pût recevoir de plus doux, ni de plus innocents, en cette vie; et découvrant tous les jours par son moyen quelques vérités, qui me semblaient assez importantes, et communément ignorées des autres hommes, la satisfaction que j'en avais remplissait tellement mon esprit que tout le reste ne me touchait point. Outre d’autres maximes qui n'étaient fondées que sur le dessein que j'avais de continuer à m'instruire : car la VIE nous ayant donné à chacun et chacune quelque lumière pour discerner le vrai d'avec le faux, je n'eusse pas cru me devoir contenter des opinions d'autrui un seul moment, si je ne me fusse proposé d'employer mon propre jugement à les examiner, lorsqu'il serait temps; et je n'eusse su m'exempter de scrupule, en les suivant, si je n'eusse espéré de ne perdre pour cela aucune occasion d'en trouver de meilleures, en cas qu'il y en eût.
Et enfin, je n'eusse su borner mes désirs, ni être content, si je n'eusse suivi un chemin par lequel, pensant être assuré de l'acquisition de toutes les connaissances dont je serais capable, je le pensais être, par même moyen, de celle de tous les vrais biens qui seraient jamais en mon pouvoir, d'autant que, notre volonté ne se portant à suivre ni à fuir aucune chose, que selon que notre entendement « la » lui représente bonne ou mauvaise, il suffit de bien juger pour bien faire, et de juger le mieux qu'on puisse pour faire aussi de tout son mieux, c'est-à-dire pour acquérir toutes les vertus, et ensemble tous les autres biens qu'on puisse acquérir; et lorsqu'on est certain que cela est, on ne saurait manquer d'être content.
Après m'être ainsi assuré de ces maximes, et les avoir mises à part, avec les vérités de l’existence, qui ont toujours été les premières en ma créance, je jugeai que, pour tout le reste de mes opinions, je pouvais librement entreprendre de m'en défaire. Et d'autant que j'espérais en pouvoir mieux venir à bout, en conversant avec les hommes, qu'en demeurant plus longtemps renfermé dans le poêle où j'avais eu toutes ces pensées, l'hiver n'était pas encore bien achevé que je me remis à voyager. Et en toutes les neuf années suivantes, je ne fis autre chose que rouler çà et là dans le monde, tâchant d'y être spectateur plutôt qu'acteur en toutes les comédies qui s'y jouent; et faisant particulièrement réflexion, en chaque matière, sur ce qui la pouvait rendre suspecte, et nous donner occasion de nous méprendre, je déracinais cependant de mon esprit toutes les erreurs qui s'y étaient pu glisser auparavant.
Non que j'imitasse pour cela les sceptiques, qui ne doutent que pour douter, et affectent d'être toujours irrésolus : car, au contraire, tout mon dessein ne tendait qu'à m'assurer, et à rejeter la terre mouvante et le sable, pour trouver le roc ou l'argile. Ce qui me réussissait, ce me semble, assez bien, d'autant que, tâchant à découvrir la fausseté ou l'incertitude des propositions que j'examinais, non par de faibles conjectures, mais par des raisonnements clairs et assurés, je n'en rencontrais point de si douteuses, que je n'en tirasse toujours quelque conclusion assez certaine, quand ce n'eût été que cela même qu'elle ne contenait rien de certain.
Et comme, en abattant un vieux logis, on en réserve ordinairement les démolitions pour servir à en bâtir un nouveau, ainsi, en détruisant toutes celles de mes opinions que je jugeais être mal fondées, je faisais diverses observations et acquérais plusieurs expériences, qui m'ont servi depuis à en établir de plus certaines. Et, de plus, je continuais à m'exercer en la méthode que je m'étais prescrite; car, outre que j'avais soin de conduire généralement toutes mes pensées selon ses règles, je me réservais de temps en temps quelques heures, que j'employais particulièrement à la pratiquer en des difficultés de mathématique, ou même aussi en quelques autres que je pouvais rendre quasi semblables à celles des mathématiques, en les détachant de tous les principes des autres sciences que je ne trouvais pas assez fermes, comme vous verrez que j'ai fait en plusieurs qui sont expliquées en ce volume.
Et ainsi, sans vivre d'autre façon, en apparence, que ceux qui, n'ayant aucun emploi qu'à passer une vie douce et innocente, s'étudient à séparer les plaisirs des vices, et qui, pour jouir de leur loisir sans s'ennuyer, usent de tous les divertissements qui sont honnêtes, je ne laissais pas de poursuivre en mon dessein, et de profiter en la connaissance de la vérité, peut-être plus que si je n'eusse fait que lire des livres, ou fréquenter des gens de lettres.
Toutefois, ces neuf ans s'écoulèrent avant que j'eusse encore pris aucun parti, touchant les difficultés qui ont coutume d'être disputées entre les doctes, ni commencé à chercher les fondements d'aucune philosophie plus certaine que la vulgaire. Et l'exemple de plusieurs excellents esprits, qui, en ayant eu ci-devant le dessein, me semblaient n'y avoir pas réussi, m'y faisait imaginer tant de difficulté, que je n'eusse peut-être pas encore sitôt osé l'entreprendre, si je n'eusse vu que quelques-uns faisaient déjà courir le bruit que j'en étais venu à bout. je ne saurais pas dire sur quoi ils fondaient cette opinion; et si j'y ai contribué quelque chose par mes discours, ce doit avoir été en édictant plus ingénument ce que j'ignorais, que n'ont coutume de faire ceux qui ont un peu étudié, et peut-être aussi en faisant voir les raisons que j'avais de douter de beaucoup de choses que les autres estiment certaines, plutôt qu'en me vantant d'aucune doctrine.
Mais ayant le cœur assez bon pour ne vouloir point qu'on me prît pour autre que je n'étais, je pensai qu'il fallait que je tâchasse, par tous moyens, a me rendre digne de la réputation qu'on me donnait; et il y a justement huit ans, que ce désir me fit résoudre à m'éloigner de tous les lieux où je pouvais avoir des connaissances, et à me retirer ici, en un pays où la longue durée de la guerre a fait établir de tels ordres, que les armées qu'on y entretient ne semblent servir qu'à faire qu'on y jouisse des fruits de la paix avec d'autant plus de sûreté, et où parmi la foule d'un grand peuple fort actif, et plus soigneux de ses propres affaires que curieux de celles d'autrui, sans manquer d'aucune des commodités qui sont dans les villes les plus fréquentées, j'ai pu vivre aussi solitaire et retiré que dans les déserts les plus écartés.
René Descartes
LA SOCIALE ECONOMIE DE MARCHE ALLEMANDE ET L’ECONOMIE SOCIALE DE MARCHE FRANCAISE…
La France est, me semble-t-il devenue une basse-cour de la sociale économie de marché, où ceux et celles sonnant le chant du ‘’coq’’ ont pour essentiel désir à se battre pour retrouver la poule aux œufs d’or, en oubliant que les ‘’rôtisseurs’’ d’avant l’ont déjà déplumée et envoyé ses restes aux quatre coins du poulailler. C’est à mon avis, en principal, le refus de ce démembrement corporatiste, et la non pratique par ses sphères de gouvernances, de pouvoirs et de gestion économique qui ont permis à l’Allemagne d’avoir une balance commerciale positive et en second lieu en ayant privilégié, après-guerre les apprentissages et savoirs faire techniques, technologiques et industriels.
Cela a assurément permis à cette Allemagne d’avant et d’après-guerre, d’engendrer son évolution économique globalement positive et son équilibre commercial statutaire dominateur au sein de l’Europe. Quitte aujourd’hui parfois, à faire déchanter le marché des ‘’coqs criards’’ et ‘’poulets’’ cuisinés aux aigreurs, qui pour quelques-uns, sont pourtant enchantés d’acheter et devenir propriétaires de certains biens industriels, matériels, cultures et aliments produits par ce pays avec l’aide de travailleurs détachés payés moins que le tarif ‘’marché’’, en favorisant par cet effet de concurrence en phase avec les lois amorales de la mondialisation, le PNB allemand et soutenant son revenu par habitant évalué en tant que composant du peuple germanique, oubliant parfois le lien de ‘’cousin germain’’. Et pendant que d’autres coqs européens s’égosillent sur les infertilités sociales-économiques de l’ultra-libéralisme divisionnaire et ghettoïsant, de l’ordo-libéralisme à idéologie déficiente, du capitalisme antisocial outrancier et du communisme d’antan inopérant, sans réussir à proposer de réelles et véritables solutions acceptables par majorité des ‘’paons’’ européens vocalisant leurs égos, le ‘’chat physique’’ de Schrödinger joue avec ses amis financiers et danse sur cette pseudo sociale économie de marché au classement frappé du sceau de l’inégalité rafistolée au déterminisme du protestantisme Luthérien, et aujourd’hui, à la croisée des chemins, celui de la division Cultura-identitaire…
Coqs, paons et petits poulets aveuglés… Méfiez-vous des états à pensées iniques et de la capacité des félidés à retomber sur leurs pattes. Le ‘’chat’’ allemand ronronne ; et pour l’instant il veut bien continuer à écouter la valse émanant des salons feutrés parisiens, et même si après avoir effectué quelques pas de Flamenco, il n’a plus envie de danser le Sirtakis, tout en refusant de chanter quelques notes de la Traviata ; ne pas oublier l’histoire des pays du vieux continent, même si cette contrée germanique à influences romanes chevauchant mers du Nord et Baltique a réussi, après destruction du mur de la honte, à construire un certain modèle d’unification malgré le difficile exercice, en composant avec les différentes formes de sensibilités sociales, libertés économiques, perturbations sociétales, ainsi que les intérêts et discordances liées à certains mauvais corporatismes politico-économico-asociaux trop liberticides envers quelques flux, marquant la monnaie impérieuse et l’échange de biens et services marchand pourtant nécessaire et utile dans et par sa juste partie et indispensable à une véritable économie sociale de marché, composant avec argent et art des gens. Alors qu’auparavant certains penseurs eussent été incapables de se résoudre à l’idée que les seules principes potentiellement viables en termes de politique économique sont à réaliser dans le cadre d’un ordre économique de marchés assujettis au concept originel du socialisme démocratique, et non à une politique ordo-libérale séculaire inapte à néologisme habile…
‘’Kel Mère’’ ce ‘’chat’’ Teuton… Et à se dévoyer avec des états à institutions cultuelles de peu de considérations envers les mammifère-humanoïdes adeptes du respect de la femme, de l’enfant, et de la liberté d’expression, alors que ces clans mensongers prétendent ne pas vouloir convertir la liberté d’exister à leur vérité spirituelle obscure. J’ai quelques doutes… Avec l’empire Ottomaniaque… Et, quelques désaccords d’interprétation du point d’équilibre de la sociale-économie entre le pragmatisme patriotique de la physicienne, à peu de philosophie politique, et les quelques résistances de son danseur préféré, lui envoyant en certains cas compliqués quelques aficionados, afin qu’ils apprennent à danser la Salsa du démon de Francfort, tandis que le monocle à chapeau melon, entra par pas chassés dans la chorale européenne, et sortira à reculons de l’EU, certainement pour cause de devises communautairement inaptes à l’individualisme, mais toutefois toujours révérencieux par l’exercice de statures telles celles propres à l’imposture , en chantant ‘’I’m just a gigolo’’…
Tout en écoutant au loin à l’Ouest de la finance londonienne datant des accords de Brettons-Wood et du plan Marshall l’irrésistible complainte à masque fraternel ordonnatrice, édictant: ‘’Je suis le fondateur du néo-libéralisme adopte le schiste, c’est l’indépendance énergétique et le commerce Kafkaïen, à défaut d’une sociale-économie Européenne défaillante’’. Où à l’Est du nouvel Eden, lorsque les puits d’énergies fossiles auront fini de cracher leurs dernières liquidités noires, les hymnes nationaux des anciens régimes autocratiques auront cessé d’émettre les mauvais accords impropres à une possible synchronique socio-culturelle, et que le petit homme sage drapé d’un sarrau blanc, avec un regard malicieux chaussé d’une paire de lunettes rondes, se sera définitivement détourné de la route du sel, car il aura compris que la destruction de celui de la vie est engendré par les 14 milliards de pieds avançant toujours avec frénésie vers plus de consommation devenue compulsion consumériste anarchique envers Dame Nature.
Et tout cela au nom du dieu de la possession au lieu d’un alléluia envers la divinité de la sagesse, où les enfants d’Irène, déesse Grecque de l’équilibre et de la réconciliation, n’auront eût que peu de persuasion à ce que la descendance de Caïn, puisse faire un déni du dogme du père leurs ayant édicté : ‘’L'infernale convoitise pousse les enfants de Caïn à s'emparer de tout ce qui est à leur portée, et comme si ce n'était pas assez qu'un seul accapare ce qui suffisait à des milliers de ses semblables, il voudrait s'y établir, lui et toute sa couvée pour toute l'éternité’’. Par conséquent : « L’économie de marché moderne n’est pas l’économie de marché libre des flibustiers ordo et néo libéraux d’une guerre économico-financière révolue ; mais une économie de marché à engagement social qui permet à l’individu de s’épanouir, qui accorde la priorité à la valeur de la personnalité et qui récompense la performance avec un rendement mérité et communautairement gratifiant. »
Après 36 ans d’activité professionnelle, dont 33 dans les domaines de l’industrie et du bâtiment, j’avais acquis le statut de ‘’chômeur de longue durée’’. Adhérent au ‘’Pôle Emploi’’ à partir de janvier 2013, pendant toutes les années suivantes ; ma recherche d’emploi est restée vaine et non à venue. La seule proposition d’emploi, fut celle d’Agent Technique auprès des Services Municipaux de St Bonnet le Château. Après ce travail de six mois effectué dans le cadre d’un Contrat Emploi Aidé, même avec toutes mes recherches, mes échanges avec différents organismes ; ainsi que ma bonne volonté à collaborer aux Prestations de Services internes et externes au Pôle Emploi, j’étais redevenu ‘’RSA-YSTE’’ à plein temps. Bien évidemment, cette période sans emploi ne m’a pas permis de suffisamment cotiser aux Caisses de Retraite. J’ai donc décidé, au deuxième trimestre 2019, après analyse de ma propre situation sociale-économique au rapport de mon âge, peut-être, conséquent à n’avoir réussi à réintégrer le milieu économico-professionnel, ainsi qu’autres antériorités quelques peu compliquées ; de demander ma retraite anticipée. Outre cette possibilité, de la législation sur les retraites ; au rapport de ma ‘’carrière longue’’, je ne percevais autre solution à meilleures conditions de vie. En effet, par quelle fonctionnalité, il y aurait nouvelle EDICTOLOGIE m’autorisant à trouver un emploi, à rémunération digne, sachant que depuis plus de six ans je n’ai eu aucune offre d’emploi en convergence avec mes compétences professionnelles, voire celles personnelles de chômeur-senior de très longue durée au statut du Revenu de Solidarité Actif – RSA…
Et quelle phénoménologie serait en intendance d’apparaitre, pour ne pas penser que le système social-économique n’est pas devenu totalement incohérent… ?
Je fis donc recherches nécessaires et utiles afin de vérifier cette possibilité afférente à mon cas…
Il me fut signifié réponse négative. Je devais donc attendre 2 ans.
N’y aurait-il pas un problème dans ce système de recrutement atteint d’une sévère incompréhension en ce qui concerne une véritable sociale-économie respectueuse des lois de la Démocratie Républicaine sans distinction de couleur, de morphisme catégoriel, de croyance ou non croyance religieuse, d’ethnie et d’opinions politiques… ???
En France, les proportionnalités des personnes inscrites au Pôle Emploi sont représentées par 24% pour les moins de 25 ans et 25% des seniors. Plus d’un million de personnes sont au RSA. Elles étaient 600 000 en 2014. Nombre conséquent de sociétés et entreprises, de par leur service de Ressources Humaines, ont fait en sorte que dans leurs offres d’emploi pour les plus de 55 ans ne soient plus véritablement représentés. Sans compter les offres d’emplois sans réel fondement professionnelle ou obsolètes. Ces citoyennes et citoyens sont-ils devenus incompétents ?
N’ont-ils plus de perspectives dans ce système social-économique et culturel… ???
Ne serait-ce pas là une forme de ségrégationnisme alliée à lois paradoxales du système de bien(s) et services marchand ; allié à BANDES DE MEPHISTOPHELES frappés au sceau d’un eugénisme INTELLECTUEL ?
Dans le cadre de ma recherche d’emploi, fin du mois de février 2019, après avoir répondu à une offre d’emploi de technico-commercial, la réponse qui me fut formulée lors d’un entretien téléphonique, après m’avoir demandé mon âge – depuis quelques temps je ne le spécifiais plus sur mon C.V – me donna certitude en ce principe de ghettoïsation instruit, depuis quelques années, par des corporatismes fallacieux, sociétés et entreprises dénuées de réel sens déontologique ; n’ayant aucune éthique sociale-économique communautaire, sauf envers les membres de leur clan de falsificateurs et vils opportunistes.
S’intéresser au monde dans lequel nous vivons, n’est-il pas un prérequis pour que nous puissions y trouver la société idéale dans laquelle nous souhaiterions vivre ?
Participer à sa mise en place n’est-il pas le meilleur moyen d’y parvenir ?
Si la passivité des citoyens est compréhensible dans des dictatures, où toute forme d’expression contradictoire au pouvoir peut entraîner une condamnation à mort, qu’en penser dans les pays démocratiques ?
L’expression libre et la même importance que revêt chaque citoyen de par son droit de vote, ne constituent-elles pas de belles opportunités pour construire une société dans laquelle il fait bon vivre ?
Lorsque qu’après 36 ans de travail et d’activités professionnelles diverses, après avoir été un bon ‘’petit soldat’’ tant au niveau familial, fraternel, économique et social, bien sûr accompagné par quelques personnes de belles attentions et que vous vous retrouvez avec le statut de ‘’chômeur de longue durée’’, associé à celui affilié au RSA, je puis vous assurer que vous avez intérêt, pour votre santé psychique, à trouver un contre poison intellectuel ET/OU physique, sinon vous n’y survivriez qu’avec dommages irréparables. Et cela, en ou hors de ce système sociétal, que vous avez servi du mieux possible, depuis vos 17 ans, puis avoir été exclu de votre lieu de vie à 54, et être sans emploi depuis plus de 6 années, du reste de votre vie ‘’active’’. Qui plus est quand vous résidez en milieu rural où votre seul lien culturel restant est celui d’une connexion internet, bien évidemment, si vous y avez accès avec possibilité de régler l’abonnement mensuel. Car avec 480€ par mois, tout n’est pas simple, et parfois une forme de colère peut apparaître vis-à-vis de vos congénères et communautés éloignées de vos sincères sensibilités en échanges sociaux ; où par ce lien réseau, quelques docteurs en psychologie, savants en bien-être, manipulateurs en bonté, manipulatrices en bienfaits et autres pseudos amis(es) virtuels(les) vous proposent des invitations pour participer à des réunions, débats, symposiums et spéculations de groupes, en salles éloignées de vos possibilités matérielles et financières, vous autorisant en ‘’temps normal’’, d’accéder à ces lieux d’échanges en réseaux biophysiques, psychologiques, culturels, scientifiques, sociologiques, voire physiologiques, par moyens de mobilité suffisants, et souhaits en diversité pluridisciplinaire, hors uniques échanges en ambiance virtuelle, souvent veule…
Tous ces individus fallacieux et fourbes, doivent être gens de peu d’attention envers ces ‘’choses de la vie’’ sortant de leur anthropocentrisme de groupes fermés ; voire secret… ?
Me semble-t-il…
Si certains de mes congénères à esprit étriqué s’autorisent à croire que je suis un fainéant à statut ‘’RSAyste’’, et autres à penser que je suis atteint d’un anthropocentrisme intrinsèquement narcissique, dénaturé de toute forme de compréhension, juste curiosité et lucide intéressement envers leur propre attachement assujetti à parfois étranges covalences, consacrées par un symbolisme affilié à atavisme inique, alors, je les laisse à leur triste, incohérent, versatile et déficient savoir, proliférant plus la soustraction des bons savoirs faire et la division des utiles savoirs être que la véritable analyse linguistique, didactique, épistémologique, philosophique, sociologique, économique, géo-historique et culturelle par le langage de la logique humainement acceptable… Des communautés à CULTURES, pensées, intentions, sens, orthodoxies, actions, causes, réactions et devises louables ?
Que faisons-nous maintenant de cette interrogation ontologique, physiologique et intellectuelle ???
Et autres connaissances ajoutées… Dans les dimensions existentialistes et matérialistes à réseaux humanistes… ???
La PAIX, ou la GUERRE… ?
Ou nous essayons de définir syllogismes, paralogismes, métaphores et analogies… ???
Dans un échange textuel ou verbal, si la dialectique émise est en perceptible ‘’décodage’’ de ce que représente une réelle et véritable covalence intelligible, voire un lien d’amitié, notamment par une notification ou un partage empreint du langage de la logique humainement acceptable ou de la contradiction prévenante, pertinente, objective et constructive ; alors la notion de sincère inclination délicate est en potentiel de véritable existence. L’espace ’’physiquement touchable’’ n’en perturbe pas l’intendance du langage de l’amitié, de l’attention, de la juste curiosité et du respect mutuel, affiché aux ‘’bulles’’ textuelles partagées dans l’instant présent. Les limites sans les lumières d’autres ; temps, contrées, savoirs et cultures, jamais n’indiqueront le juste équilibre ; entre essentialisme et matérialisme.
L’intérêt personnel n’a nulle convenance envers les évanescences de l’espace sensiblement touchant, sauf lorsqu’il devient obsolescence matérialiste programmée par l’accaparement et/ou l’individualisme incertain. L’égocentrisme en est l’épreuve absolue et inabordable dans le monde naturel des véritables savoirs être. N’aurait-il pas mieux valu en considérer le sens avant la fin… ?
Tous les esprits libres, sensés et valorisés à l’intelligence bienveillante savent cela.
Ils, elles comprennent également que sur l’ouvrage, avec passion, il faut s’entendre.
Toute valeur ajoutée homogène se définie par tous ces citoyens et citoyennes proches de la juste conscience intelligible lorsqu’elle est exercée avec lucidité, sincérité, honnêteté, accompagnée par tout l’amour des savoirs-être et la déontologie des savoirs faire afin qu’ils, elles, puissent aspirer à ce que cela devienne un art de vivre…; pour les générations arrivantes...; et celles en partances…
L’entreprise ne fait pas les femmes et les hommes !
Ceux sont les écosystèmes sociétaux de ceux et celles d’avant et de maintenant qui les éduquent, les imaginent, les composent, les ordonnent et les font vivre, afin qu’ils, elles participent par l’addition de leurs savoirs faire et compétences particulières à l’évolution de la belle sensibilité socio-économico-culturelle du savoir être dans les sociétés et entreprises du Monde.
Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que ceux du désespoir… De la rancœur…Et de l’indifférente violence… Psychologique… Où celle physique risque parfois malheureusement d’apparaître…
Or dans tous systèmes naturels vivants dotés de la conscience peu importe leurs fonctionnements et pragmatismes, l’analyse sera intrinsèquement soumise à l’étude historique, sociologique, éthique, morale de l’axiome suivant : ‘’Toute valeur ajoutée se définie par actions d’utilité, de nécessité, d’essentialité ou de superflu… Dans la dimension sociale-économique individuelle ou communautaire, culturelle et ontologique attachée au mammifère-humanoïde pensant, présent dans l’écosystème…
Mais pourquoi, pour qui, pour quoi, où, quand et comment…’’ ? Là sont les questions !
MISSIVE D’UN ‘’CHÔMEUR DE LONGUE DUREE’’ EN COLERE…
Automne 2014 : Ce n’était pas dans mon tempérament principal d’émettre quelques velléités envers certaines instances publiques de gestion administrative et économique, ou autres de mes congénères dotés de la pensée cognitive, mais j’avoue qu’à cette époque de changement, j’étais quelque peu ‘’remonté’’ envers certains d’entre eux, dopés à l’esprit sociologiquement décoloré!
J’avais perdu ce travail essentiel à faire vivre décemment mon ‘’corps’’ dans sa zone de confort social économique, afin de lui procurer l’énergie suffisante et nécessaire à une vie digne et honorable, accompagnée des utilités indispensables à retrouver quelques rémunérations, en complément à cette activité d’écriture véritablement commencée début 2013, lorsque légèrement avant la perte de mon travail, cet état m’eut permis d’entrevoir les potentiels bénéfices du temps devenu, après avoir passé plusieurs décennies à essayer de le vaincre, plus respectueux des limitations de vitesse du mien. Depuis le mois de janvier de l’année 2013, je m’étais inscrit comme demandeur d’emploi auprès du ‘’Pôle des Astres’’, qui avait me semblait-il pour fonction première d’en retrouver un pour ses adhérents, avec pour la mienne, le souhait évident de retrouver une activité rémunératrice dans mon domaine professionnel.
Après avoir égrené les premières années de ma vie à essayer d’appliquer les règles et théories éducatives destinées à toutes et tous dans le système socio-économico-culturel démocratique, puis avoir exercé mon métier pendant plus de 34 ans, je souhaitais me sortir de ce statut de chômeur bénéficiant uniquement du RSA, asservi à quelques avantages sociaux, où avant cet état d’assistanat économique, j’étais encore un professionnel du bâtiment avec pour spécialisation celle propre aux énergies, dont maintenant la principale était d’éditer mes compétences et mon cursus par cette suite chronologique nécessaire à l’établissement de mon profil, pour les professionnels du recrutement et les ressources humaines.
A savoir pour moi : Naissance le 21 mars 1959 à Bobo-Dioulasso au Burkina Faso. Au bout de ces trois années, nous revenions en France, ma mère, mon frère et moi, alors que notre père nous rejoignait tous les ans pour deux mois, lors des vacances estivales. Nous avons vécu de cette façon tous les trois jusqu’à l’été 1969. Cette année nous allions nous rapprocher de notre père. Notre lieu de destination était Pointe-Noire au Congo… Eté 1972, retour en France.
- Education scolaire jusqu'en seconde technologique.
- Entrée dans le monde du travail en 1975 (confiserie - chocolaterie). Et oui, cela ne correspondait pas à mon apprentissage scolaire, mais je souhaitais travailler rapidement à cette époque.
- 1979, armée dans les transmissions pendant un an, mariage, et premier enfant en 1980 – Apprentissage du métier de plombier - chauffagiste en CFPA, puis 2 ans d'intérim dans ce secteur d’activité.
- 1982, embauche dans une société exerçant dans ce domaine plus celui du froid et de la climatisation. Exercice du métier de plombier - chauffagiste, plus cours du soir pendant deux ans afin d'apprendre théorie et pratique de celui de frigoriste-climaticien.
- Fin 1984, changement de société afin de faire évoluer ma carrière, deuxième enfant.
- Eté 1986, accès à un poste de technicien SAV en froid climatisation, troisième fille.
A partir de 1986, j'exerce différents postes dans le secteur de l'énergie en tant que technicien SAV, puis metteur au point d’installations, jusqu'en 1992. Je crée mon entreprise cette année-là, mais malheureusement ne possédant pas de réseaux commerciaux suffisamment denses, ainsi que des capitaux propres trop faibles et pourtant nécessaires à la création d’une entreprise, cela n'a pas été couronné du succès que j'escomptais. Mais cette période m'a permis d’analyser et comprendre certains éléments constitutifs et nécessaires à la gestion d’une société. Quoiqu'il en soit après être retourné en 1997 dans le secteur salarial en y exerçant diverses fonctions telles que, chargé d’affaires, responsable d’agence, responsable technique, j'ai continué ma carrière professionnelle en tant qu’employé jusqu'au printemps 2005. Après une association ratée, et certains travers de la vie, j’ai intégré en 2008 une période sabbatique. Puis afin d’essayer de palier à cette situation assez difficile financièrement, j’ai exercé mon activité dans le cadre d’un statut d’autoentrepreneur à partir de 2009, jusqu’en 2012.
Enfin, pour des raisons d’ordre privées, mais pouvant être divulguées en d’autres circonstances, je suis venu m’installer à Montméal (42), et, je recherche depuis plus de cinq ans un emploi dans le secteur d’activité de la construction, la gestion technique d'opérations ou le développement et le suivi d'affaires dans le secteur énergétique de l'habitat et notamment en celles d’installations de systèmes de chauffage, climatisation, frigorifiques, ventilation, plomberie, électricité, ainsi que toute la synergie nécessaire à leurs mises en œuvre, techniques d’entretien et de dépannage avec comme spécifié par mon cursus professionnel, une expérience de 34 années, me permettant de prétendre à l’exercice d’un poste de chargé d’affaire, conducteur de travaux, responsable d’agence, ou technico-commercial. Sans bien sûr pour le moment, avoir obtenu une quelconque réponse positive, m’autorisant rémunération honorable et décente…
Je suis peut-être trop vieux ?
Mes compétences professionnelles et personnelles sont-elles mal vues… ???
Considérées comme instabilités ?
Inappropriées au système d’échange de biens et services marchand ?
Ou alors cela tient-il à des causes que j’ignore, et peut-être assujetties à un système socio-politico-économique quelque peu hermétique à certains sujets… ; pragmatiquement trop qualifiés, mais dénués de diplômes validant ‘’hautes’’ études ou peut-être exagérément ouvert à concept universel permettant, en les imaginations tordues de la nébuleuse des ressources humaines de croire que les cadres et petits chefs n’auraient qu’une faible emprise envers ce type d’individus éclectique, et de par les illogismes intellectuels et suppositions vénères des politiques sociales-économiques pouvoir, sans analyse individuelle, prétendre que ces gens sortant du ‘’cursus standardisé’’ seraient obligatoirement ingérables ou alors de par les manichéismes corporatistes obsessionnels… Ont-ils peur des confrontations quant aux véritables professionnels du monde de l’emploi et du travail… Hors asservissement clientéliste, ‘’ubérisation exaltée’’, productivisme despotique ou dumping social déficient.
En conséquence, pour finir ma présentation, en parallèle à cette recherche d'un emploi rémunéré, j'exerce une autre activité, qu'il m'était difficile de pratiquer avant, par manque de temps, à savoir l'écriture. Aujourd'hui j'ai écrit trois manuscrits, dont pour chacun d’entre eux, j'ai eu joie à constater des propositions de publications positives, mais malheureusement, je n'ai réussi à trouver les ‘’accords’’ nécessaires et utiles à la diffusion de mes écrits avec un éditeur, notamment mon impossibilité à abonder à la participation financière demandée par les maisons d’édition ‘’classiques’’ (Variant de 1500 à 6000 € suivant les contrats de publication). J’ai travaillé deux ans avec une maison d’édition dite ‘’alternative’’ m’ayant répondu favorablement, en août 2013, pour mon premier manuscrit, et avec laquelle je pensais qu’il m’aurait été possible d’envisager un juste partenariat utile à la diffusion de mes écrits, notamment par le fait que cet éditeur ne demandait pas de participation financière, hormis celle nécessaire aux corrections dont je n’avais autres utilités que de réussir à les faire moi-même. Au bout de deux ans, nous allions rompre notre collaboration, pour des causes évoquées dans : ‘’Le journal du sot inconnu dans le milieu éditorial’’. Ce qui me permettra de recouvrer l’intégralité de mes droits intellectuels, pour mon premier manuscrit : ‘’La clé du temps des murmures’’.
Cela m’avait paru souhaitable, au regard de leur manque de considération envers l’auteur(e) inconnu(e), déjà partiellement entrevu dans leur contrat de publication, charte d’éditeur et une certaine forme de refus du format du futur livre déterminé par leur logique éditoriale, et auquel je ne souhaitais adhérer, le trouvant trop petit. Avec un prix de vente prohibitif, inadapté au juste montant de ce manuscrit… Car 76 € pour 425 pages, cela me semble totalement impropre à engendrer quelques ventes pour un premier livre, écrit par un apprenti écrivain et concepteur néophyte ; bien que paradoxalement cette éditeur ‘’alternatif’’ permet l’accès à diffusion d’écrits d’auteurs(es) inconnus(es) pour un montant proche de la gratuité…
Ont-ils pour des raisons, que j’ignore, pas voulu aller au bout du processus de publication… ?
Ou alors ont-ils voulu par ce prix prohibitif, donner contraintes supplémentaires à diffusion de mes écrits, notifications, statuts et expressions… ???
Bon, il est vrai ; ce n'est pas un milieu facile que celui de la publication éditoriale ‘’médiatisée’’, surtout pour un auteur inconnu de 54 ans, apolitique et agnostique, en désaccord avec certains protectionnismes fermés à l’addition des meilleures attitudes et justes aptitudes, comme par ailleurs nombre de sociétés ‘’corporatistes’’ présentes dans beaucoup de secteurs géo-économico-sociaux, où le milieu éditorial en fait aussi partie, et souvent affilié à quelques viles politiques-élitistes.
Je n’avais évidemment pas en ce début d’exercice d’écriture, toutes les connaissances et compétences nécessaires à en réaliser une composition suffisamment cohérente pour en imaginer la possibilité qu’elle puisse devenir un livre proche du désir subtil de la lecture. Mais au lieu d’évoquer des stratégies impropres à la diffusion d’un ‘’objet’’ non abouti, j’aurais préféré qu’il me soit signifié que mon manuscrit l’était aussi…
Outre la ferveur envers l’activité textuelle m’autorisant encore à écrire aujourd’hui, surtout en étant un inconnu dans la sphère livresque, je me dis que c’est en forgeant que l’on devient forgeron, avec pour fondement principal donnant pour l’instant, impossibilité à édition et diffusion de mes manuscrits, celle de ne toujours pas avoir les finances nécessaires et indispensables à souscrire à un contrat de publication, auprès des professionnels reconnaissables dans la jungle de l’édition traditionnelle ou alternative… ; sérieux et compétents, mettant un œuvre une certaine forme de véritable et sincère partenariat avec l’auteur(e) non médiatisé(e)… Entre aujourd’hui et le commencement de cet exercice d’écriture, outre les deux ouvrages déjà réalisés, j’en ai un en finition, un en structuration et un en projet et celui-ci en cours d’écriture. Cette activité facilitée en termes de temps disponible, initialisée en partie par le statut de chômeur de longue durée que je suis devenu permet à mon ‘’esprit’’, par transmissions des informations présentes sur les différentes chaînes médiatiques, encadrées par quelques recherches complémentaires et autres lectures, accompagnées par d’excellents et enrichissants échanges rédactionnels sur les différents réseaux sociaux, d’entrevoir les mauvais et néfastes comportements de ces entités politico-économico-financières considérant certaines classes sociales, catégories, genres comme éléments dotés d‘incapacités de travail, voire socialement inutiles, et dont l’amalgame est de penser que tous leurs représentants sans emploi sont des crétins, sots et incultes profitant de l’assistanat social, auxquels pourtant, certains, avant d‘en bénéficier y ont cotisés quelques années…
Mais de cet état sociétal, certaines entités, corporatismes, organismes civils d’Etats, Administrations et corps intermédiaires, s’en fichent me semble-t-il ?
Ou alors sont-ils dans d’autres schémas plus proches de l’intendance dissidente incohérente, voire de l’obscurantisme servile… Dont cette priorité est obligataire pour intérêts corporatistes particulièrement attachés à l’homme inculte, de covalences sectaires ou d’éducation discutable.
Vous avez raison, gente de mauvaises raisons et néfastes devises, continuez à prendre ‘’petites gens’’ pour des lapin-crétins de trois semaines ou poussins de trois jours !
Comme autres de vos aficionados aiment à y collaborer !
Où votre passe-temps favori est de jongler avec les médias, pour des raisons évidentes d’égocentrisme, de cupidité… Et de ‘’filoutage’’ nécessaire à faire disparaitre les bons esprits, lanceurs d’alerte et autres entités humainement justifiables, dans le système sociétal des justiciables…
Eh oui, chers(es) amis(es), par quelques aléas de la vie, je suis devenu chômeur de longue durée, depuis trop longtemps à mon goût, et cela me met parfois en colère contre ce système teinté de trop d’injustices alimentées par le mensonge et la tricherie présents chez les mauvais joueurs et ‘’autres’’ inconscients d’effets collatéraux… Et pourtant, je vous assure mon expérience professionnelle me permettrai logiquement d’accéder à un emploi dans mon ancien domaine d’activité, à savoir, le bâtiment avec toutes les spécialités attribuables aux énergies, et pour les miennes actuellement, ‘’celles’’ utiles à retrouver un emploi rémunéré au réel savoirs faire, source d’une vie honorable lorsque l’on ne possède que cette rente financière, en tant qu’attribution liée à l’exercice de son ’’travail ’’, rétribué à sa juste valeur considérée. Je n’ai pas écrit de bêtises, j’espère ?
Mais, je suis peut-être devenu trop incompétent, ou pas assez rentable pour en assumer ‘’un‘’, avec cette pensée proche de celles des ’’esprits recruteurs’’, leurs laissant croire que le professionnel arrivé à un moment de sa vie n’a plus capacité de productivité, au même titre que la disparition des expériences, savoirs faire, et bien-sûr en celle d’avoir la certitude qu’il était impossible pour quelqu’un tel que ’’moi’’ de pratiquer ou retransmettre ses compétences, voire en acquérir d’autres en adéquation avec ses capacités professionnelles et personnelles, et tout cela avec déni de cette possibilité de flexibilité m’autorisant pourtant à exercer en d’autres lieux géographiques…
Depuis 82 mois au statut de ‘’RSAyste’’… Super expérience… ?
La droite a écrasé petites gens, étouffée la classe moyenne, et la gauche a fait le baiser de Judas au peuple de France, au nom d’un déni de réalité fractale. ‘’Les hommes naissent égaux et libres’’, répétaient-ils sûrs d’eux. ! Pfffff… Copie à revoir…
Où dans cette cacophonie généralisée, la culture des temps immémoriaux des lumières, s’est quelque peu assombrie…. De sorte qu'après tant d'épreuves de leur faiblesse, ils ont jugé plus à propos et plus facile de censurer que de repartir, parce qu'il leurs est bien plus aisé de trouver des fidèles à leurs veules raisons, que semer alentours belles et justes pensées… Où le premier fondement sociologique, voire philosophique, se trouve invariablement dans les communes rurales, proposant cultures à tailles animales et humaines ; et supportables par le juste bien-être….
Et la deuxième constituante essentielle, nécessaire et utile, s’envisage sans équivoque proche de la retransmission des justes connaissances et savoirs par celles et ceux d’avant, et ceux et celles de maintenant, pour les vies d’après…
Dans toutes les communautés de communes, départements, régions, territoires, cités et contrées…
Par conséquent, par mes écrits je tiens à faire savoir que j’ai toujours soutenu et soutiendrai encore sans aucune restriction ces deux ‘’indispensables’’…
Petite notification : En 1992, j’avais 33 ans, j’étais technicien SAV en froid et climatisation, mon salaire était en équivalent euros d’environ 2 000€ net par mois. Chercher l’erreur…
Actuellement, à même fonction le salaire net est compris entre 1300 et 1 600 €. Alors qu’il me semble bien que les conditions de vies sociales-économiques ont quelque peu changé depuis 1989, après la chute du mur de Berlin, puis le changement de monnaie où la valeur de l'euro est vectorisée par les sorciers de la finance à 6,55957 Francs en janvier 2002… Soit une multiplication de l’argent ‘’Franc’’ par plus de 6
Du jour au lendemain.
Irréalité monétaire, prétention économique européenne ou machiavélisme financier ?
En 24 ans, où est passée toute cette valorisation nationale manuelle, technique et obligatoirement intellectuelle ?
Déficience de l’EU… ?
Dumping social économique par le déclassement des savoirs faire… ?
Incompétences et défaillances politiciennes en matière de sciences économiques… ?
Elle a été thésaurisée par ces gestionnaires de produits économico-financiers, uniquement pour leur gueule ? Par destitution de meilleurs savoirs être… ???
Dans la fantasmagorie de la monnaie scripturale…
Où la pluridisciplinarité, autorisant les accords entre les discours des sciences et des arts est devenue le culte de l’inattention philosophique et ontologique, avec pour singularité, en celle que la curiosité envers la sémiologie didactique des imprésarios de la dramaturgie communautaire est une triste farce dopée à l’inculture économique et sociale des mauvais imprésarios, des incompétents et de la starisation politicienne… Avec pour particularité, en celle que la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice ne sauraient qu’être destituées, par les cyniques fantômes des droits de l’homme, de la femme, de l‘enfant… Assujettis à obscurs et néfastes esprits citoyens…
Enfin, j’aimerais beaucoup connaitre la véritable définition du TRAVAIL, ainsi que le réel déterminant d’une ACTIVITE à juste valeur ajoutée, dans le monde des actions, réactions, mouvements, mobilités, savoirs faire et savoirs être, de même que la notion d’EMPLOI rémunéré au rapport de l’utilité et l’essentialité dans la sphère, d’échanges de bien(s) et services, marchande, notamment par la dialectique assujettie à ces savants en toutes MATIERES, épistémologues, philosophes, voire théologiens, théoriciens, politiciens, experts de tous ORDRES, génies des sciences économiques et financières, ET/OU sorciers de L’USURE…
Michel Asti – Chômeur Senior au statut du RSA, depuis février 2013… Soit jusqu’en 2021, 8 années sans cotisations de retraites…
Date de dernière mise à jour : 18/08/2019
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