HISTOIRE GAULOISE
MISSIVE GAULOISE A LA MACRONIE PRETENTIEUSE, CYNIQUE & DEFICIENTE.
Les yeux de l’homme ne réussissent à percevoir les choses que par la… ; connaissance de leur superficialité.
Pourtant l’intelligence humaine a les ressources pour donner forme à leur essentialité.
Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ; or il est de plus en plus inhumain, déséquilibré et irrationnel.
TOI, L’ENNEMI…
Oui, celui qui est caché sous les voiles de ta vile conscience, régie par le prosélytisme des cités antiques, qui a l’avantage de confondre le cultuel et l’amour des lois ‘’humaines’’, mais qui est exclusif et intolérant et avec lequel tu essaies d’en faire la pire thésaurisation, tel un retour à des privilèges, lois, et règles de castes datant de temps impérieux affectés à l’herméneutique stoïcien.
Celle qui donne deux lois, deux maîtres, impose des devoirs, tant à l’une et l’autre, qu’à l’un et l’autre, et par conséquent est intrinsèquement contradictoire et oppose, sans réflexion, les contraintes au lieu d’additionner les véritables solidarités. Oui, n’en soit pas outragé ; ait au moins la décence d’assumer cette dialectique affichée par guides, mentors, prêtres ET/OU gouvernances en gestion anti-démocratique, antirépublicaine et anti-laïque, néfaste à l’unité sociale et qui subordonne l’état naturel, de l’homme et la femme, à cette théocratie de sombres valeurs… ; bien commode pour les idéaux de ton groupe en politique filoutée à l’ancienne garde des Césars, Satrapes et autres empruntés(es) aux services de mauvaise psychologie et néfaste physiologie en entrées de l’entrejambe déculturé aux cités babyloniennes mortifères…
Oui, c’est toi le véritable ennemi, associé à vil détournement de docte Benthamien en postulats d’autres falsificateurs de Mammon, s’appropriant l’usure de leurs enfants, frères et sœurs.
Oui, celui cerclé à la pudibonderie de ta conscience de clans, en affligeante correspondance de petits hommes sans prestance, auditionnée par tes ascendants ignorants des causes mêmes par lesquelles ils ont été tout aussi clandestinement fermé par des sources ayant suffisamment de sectarisme intellectuel pour formater ton esprit à la législation d’une politique économico-financière pernicieuse, en précession infligée par déni du réel sens affecté à l’ordre naturel des covalences sociologiques, sans intérêt autre que celui de ne pas croire que le génuflecteur, en dépit de sa position théologique, se soucie plus du ciel que de la terre, et donc EST par essence, antisociale, et obligatoirement fractale, dans le réel espace-temps économico-socio-culturel, des territoires du monde….
D’Est en Ouest, petit homme, sans efficience, tu voudrais, dans la posture médiatique de tes bras ouverts, laisser penser à tes congénères sollicités aux circuits des assentiments louables, qu’il t’a été fait don d’une compréhension, telle qu’elle t’eût laissé croire que toutes les différences culturelles et sociologiques ne puissent entamer ton ‘’hystérographie’’ en gouvernance d’hommes et de femmes sans mémoire, régentée par une pédagogie en lois d’une philosophie-politique templière déféquée dans la vacuité d’un discours entre les sciences et les arts relégué, sans intelligence utile à collectivisme communautaire, aux sonorités suceuses de petits potentats… ???
Que les nouveaux échanges réseaux n’y puissent apportés quelques lumières dans le pesant brouillard en malveillance de nouvelles vérités… ; colorées aux néo-scientistes flottant aux vents d’une métaphysique en sollicitude de bas contes… ?
Que n’est-il pas en cet endomorphisme, une exégèse ontologique tout aussi dissuasive que celle des philosophes tatoués au nombril de leur monde… ?
Une servitude benoite ?
Ou un excès de népotisme en verticalité ?
Dans écosystèmes en fourberies de vie émancipatrice ?
Le nouveau coaching social-économique, n’y saurait apporter entente suffisante, qu’à la condition d’y trouver les vertueuses raisons, affichées à véritables causes sociologiques en pragmatisme équilatéral de bonnes devises économiques, autorisant l’essence même des communautés à croire que la vie n’est pas une longue désuétude, en inoculation de poisons injectés par doctes piqués aux croyances théologiques de monothéistes en défiscalisation des réelles usures, mais existences biophysiques humainement acceptable…
M.A
DECENTRALISATION - DU MYTHE A LA PAGAILLE.
En 1981, lorsque les socialistes ont dans le sillage de l’élection de F. Mitterrand à la présidence de la République, obtenu une majorité parlementaire qui leur permettait toute les audaces, l’organisation des pouvoirs politiques territoriaux résultait, pour l’essentiel, de lois centenaires, elles-mêmes d’héritage napoléonien. L’occasion était belle de fonder, par une révolution, de nouvelles libertés qui marqueraient le siècle.
Des lois et des décrets multiples et complexes, échafaudés dans la fièvre et les clameurs de victoire, ont alors épaissi le corpus juridique. Avec l’assentiment complice d’une opposition exsangue, incrédule et impatiente de remonter les marches du pouvoir, fût-ce en repartant de tout en bas, l’articulation nouvelle des pouvoirs locaux a pris sa place sans heurt. Les commissaires de la République nouvellement institués avaient, dans un sursaut corporatiste, réussi à sauver leur grade de préfet et leurs logements de fonction, en se soumettant à une toquade ministérielle toute symbolique pour un intitulé de charge conforme au vocabulaire de la mythologie révolutionnaire.
Ils ont accompagné cette évolution d’un œil morne.
Tout le monde attendait depuis longtemps, mais sans trop oser y toucher, que la structure territoriale soit, rénovée. Les textes fondateurs s’étaient dégradés. Leurs stipulations étaient manifestement en retrait de la pratique quotidienne. Malgré l’interdiction formelle de la loi, les collectivités cherchaient, par diverses subterfuges et souvent au risque et détriment de leurs contribuables, à s’immiscer dans des choix d’entreprises en subventionnant des localisations industrielles.
Le général de Gaulle avait échoué à imposer par référendum une modeste évolution institutionnelle qui heurtait les intérêts des notables. Georges Pompidou, président de la République, avait, à sa manière cauteleuse, installé une région molle et timide, mais étayée par une première personnalité juridique. Chacun sentait bien qu’elle progressait vers plus d’ampleur et de puissance.
Enfin les socialistes et leurs alliés communistes, passaient un nouveau pas, instituaient pour les départements et les régions, des exécutifs élus indépendants de l’état, affranchissaient les actes des collectivités de la tutelle de l’état. Prudemment toutefois, pour ne pas perdre la main sur la ‘’légalité’’, ils concédaient aux préfets et sous-préfets un rôle ambigu, de contrôle à postériori sur les actes des collectivités.
Cette surveillance vague et craintive tolérera, sans gloire, l’éclosion de la corruption, et les débordements budgétaires et fiscaux. La République s’était fortifiée avec les notables. Elle venait de donner naissance à des roitelets.
Quelques-uns deviendront des potentats…
Personne dans l’opposition parlementaire d’alors certes, (et de maintenant ?) ; mais aussi peu lucide (pareil qu’aujourd’hui ?), n’a mesuré les coûts, l’impact sur la moralité publique de ces réformes à la hussarde.
Et peut-être en train de réapparaitre, en cette période de ‘’renouveau’’ politico-stratégique trouble ?
La France avait crû, après 1968, pouvoir inhaler un air plus sain, et y avait pris goût dans le coup de frais giscardien.
Elle étouffait encore.
Elle s’est alors offert l’euphorie d’inspirer de plus grandes bouffées. Pendant que le gouvernement de la gauche, d’une main enserrait l’économie, par des nationalisations d’entreprises dont la seule utilité fut de pouvoir obtenir plus tard un produit budgétaire, de l’autre il donnait leur ‘’liberté’’ aux collectivités locales, ou plutôt à leurs barons. Ce qui restait de la droite comptait bien faire de ce nouveau dispositif le point d’appui de sa reconquête politique – Recyclage politicien constructif ou progressiste ?
Tous les gouvernements se sont, depuis, entêtés à prétendre porter encore plus haut la flamme de la décentralisation : une intention d’efficacité. Le plus ardent à pousser les feux pour accéder à une nouvelle phase a été, dès son retour au pouvoir, le gouvernement d’une droite convertie à la religion de la décentralisation. Ses initiatives se sont enluminées d’une vertueuse obstination et de belles envolées dans le langage parlementaire. Mais soit que les compromis aient obscurcis le contenu, soit que les idées aient pu être confuses pour paraître audacieuses, lorsque Jean-Pierre Raffarin, Premier ministre, eut achevé son ouvrage, la pagaille était mémorable.
Elle fut exacerbée sous Nicolas Sarkozy, dans la tension et l’impatience qui ont caractérisé son règne, par des prétentions méprisantes et irréalistes, enterrées après les élections de 2012, mais prêtes à renaitre, tel un ‘’millefeuille’’ territorial institué par un Etat National, et composé délibérément par une technocratie absconse envers toutes pensées moins corporatistes, voire paradoxalement trop proches des audaces intellectuelles clandestines… Par signalisations ‘’séculières’’ définissant quelques politiques-templières… ???
Ou autres religiosités-politiciennes hermétiques à une véritable philosophie-politique autorisant moindre fracture sociale-économique… ?
Et stigmatisation identito-culturelle… ?
Entrainant assurément division et conflits communautaires…
En outre une réforme fiscale sert un intérêt fiscal, pas un objectif institutionnel.
Et ce n’est pas un levier de réforme DANS l’Etat…
Atticus – Le Prince, la Cour, le Peuple
LETTRE AUX MEPHISTOPHELES
Ne croyez-vous pas, Mesdames, Messieurs en tâche de gouvernances, que la plupart des gens se voyant tromper dans leur espérance, par les simulacres d’une exhibition politique, excluant territoires et habitants, non soluble avec la photo de famille gouvernementale sollicitée par des cadreurs de censure, n’y trouvent plus raisons suffisantes à attendre votre lente mise en application envers justice sociale, mais plutôt à trouver forces restantes et suffisantes à réparation ? J’en serai fort aise, à y trouver nombre d’indignés(es) suffisant à organiser une nouvelle armée des justes, officiant aux chemins d’une plèbe à dissidence intelligible. Au nom d’un contrat social, entre les lignes des anciennes barricades, du rouge teinté au sang des innocents, n’en reste-t-il pas quelques gouttes invisibles aux yeux des biens garnis… Tiraillés entre la maladie du blé jaune, le virus d’un sarrasin envers la liberté d’une sarrasine, la mélasse, le voilage et le plumage, le néo-ordo-libéralisme, la franc-maçonnerie, les partisanneries cultuelles iniques, la soumission liberticide, les intérêts corporatistes antisociaux, le néo-scientisme, la culture anthropocentrique de l’entre-suit, le conformisme béat, la starisation politico-médiatique, le marketing et Mammon…
N’y voit-on pas là quelques éboulements d’échafaudages, auparavant structurés par la présomption phallique de chaires institutionnelles, à ce qu’elle n’y puisse contenir autres imminences grises que celles des religiosités-politiciennes ruisselantes d’inefficacité accostées par des politiques-templières, vouées à l’ordre de l’accaparement, au nom d’une vénalité inique ? Suceurs de position en sont assurément les plus fieffées gardiens d’étals…
A nul doute, d’un côté à compter pièces d’or et de l’autre, symboles à foutres. La différence y est insignifiante ; de même prosternation, la position en est effarante. Pour l’une, il est d’évidence action, en compte de pièces, le Veau - d’Or à engraisser, et de l’autre à attendre que l’animal en vomisse quelques onces. A la magie des incertitudes, vociférâtes les inutilités aplaties, pour qu’en cette réunion, au cours des jours saints, la prière, de sept en sept, honore la fourberie et apaise les prémices suspicieuses de la condition humaine. C’est, sûr, celle-ci pousse tant d’imprécations qui s’y trouvent dans les prédicats de cette censure, que je n’ose en croire les possibilités d’une inversion décidable aux abords de la loi du marché.
L’entreprise communautaire ne s’élèvera qu’en avertisseur d’intransigeances, le jour gratifié du nombre suffisant, d’avoir réussi à investir les vestiges d’amphitryon fourrés aux inepties des commandements privés de toutes institutions collectivistes abasourdies par le brouillamini des courbettes de fonds… Que d’une laïcité sortie des procédures d’assouvissement, le problème n’y résistera, qu’en la discontinuité d’incompréhension des termes partisans affichés aux sourdines du multiculturalisme pervers abonné aux poisons d’anathème, d’exécration et d’hérésie, promulgués aux expressions d’horreur transmises par la parabole des virus d’assomption, s’imaginant proposer une nouvelle hystérèse ignorante des soubassements de la détestation, envers les exégèses d’experts en toutes doctes, génies de l’économie-financière et autres sorciers de l’usure promis en avenir de façadiers sans éthique et morale, mais assurément avec posture propre à bande de fieffés Méphistophélès …
Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ; or il est plus en plus inhumain, irrationnel et déséquilibré. A l’ère de l’information, l’ignorance est un choix… ; à moins que ce soit un déni de réalité ou un refus de meilleure attention en échange de bonnes intentions… ?
REPRESENTATION ET INTROSPECTION
L’Homme est un mammifère : VRAI
Tous les hommes et toutes les femmes sont des mammifères : VRAI
L’Homme est un bipède humanoïde : VRAI
Tous les hommes et toutes les femmes sont des êtres-humains cultivés, rationnels et intelligents : FAUX
L’Homme est un animal grégaire à actions répétitives et réactions désordonnées existant dans un système sociétal multiculturel à conformisme béat et consumérisme endiablé : PEUT-ÊTRE…
Que peut-il rester d’un réalisme ordinaire si le réalisme de la mesure est réduit à néant par un antiréalisme inspiré par la seule préséance de la pensée mathématique sur la pensée analogique?
Et tout particulièrement dans la pensée unique ?
Qu’adviendrait-il du pragmatisme ordinaire ?
Quelle échelle de représentation autoriserait l’une ou l’autre, sans l’une et l’autre – i.e. la pensée analogique sur la pensée mathématique et inversement – dans un ensemble (E)… ???
Encore faut-il réussir à ne pas passer outre les calomniateurs convaincus et ne pas recourir à leurs maximes sans analyse des paralogismes particuliers et syllogismes divers, afin que la flétrissure culturelle, sémiologique, sémantique et didactique généralisée ne soit plus une fragrance à en adopter le verbiage, sans attention ni étude envers la divagation ahurissante. Ne serait-ce pas en cette thématique, son reniement choisi ou une adhésion intrinsèque envers reliques en formulation de différence, physico-ontologique, sans preuves véritables… ; autre que celle édictée par un corporatisme inique, en postulats de paradoxes, tout aussi incertain… ???
En l’occurrence si un ou une différente en voudrait établir quelque autre attachement, hors robe, chaire, pair, pompes et intérêts empruntés à doctes en prescription d’adhérence supposée, il et/ou elle, en seraient-ils immédiatement taxés de simples d’esprit ou hérétiques… ?
Que pouvons-nous répondre, par quelques rhétoriques sensées, à tous ces calomniateurs et calomniatrices, infectés(es) par les ‘’choses’’ sans preuves formellement établies, accusant autres de leurs congénères, sexués, sans logique didactique évidente, au rapport d’une sociologie humainement acceptable ? Qu’ils en bâtissent leurs trésors par une forme clandestine approvisionnée à leur état d’insincérité ? Que doit-on étudier, de même, à tous ces discours vagues de cette sorte, qui se trouvent dans leurs livres des restitutions réduisant les créanciers humanistes en une usure à ruissellement de lentigos proches de la porte, usée, entrouverte aux germes des imprécations sans foi, ni lois… ?
Ou à pratiquer un suivi circonstanciel, plus à même d’emprunter les ressemblances destructrices d’une colonie munie de pics d’incertitude, au détriment d’actions en construction d’une philosophie-politique et sociologique moins absconse… ?
En attribution du prix des accords privilégiés proches du discours entre les sciences, les arts et la poésie… ???
Afin d’imaginer pouvoir faire quelques introspections sur ces sujets, il se doit, en premier lieu, et à minimum, de comprendre Syllogisme et Paralogisme…
SYLLOGISME
Un syllogisme est un raisonnement où, certaines choses étant prouvées, une chose autre que celles qui ont été accordées se déduit nécessairement des choses qui ont été accordées.
La proposition mineure d’un syllogisme est établie, soit par une induction, soit par une hypothèse, soit par une évidence, soit par des syllogismes. Un syllogisme permet de mettre en lien une conclusion à deux termes :
1 – Le majeur
2 – Le mineur
Par un ordre de moyens termes, dans une table de vérité…
Le majeur et le mineur ne doivent apparaître qu'une fois chacun dans les prémisses, le moyen terme est présent dans chaque prémisse (puisqu'il permet la mise en rapport des deux autres termes) tandis que la conclusion expose le rapport entre le majeur et le mineur, de sorte que le syllogisme est un « rapport de rapports » (expression de Renouvier, Traité).
PARALOGISME
Un paralogisme est un raisonnement faux qui apparaît comme rigoureux et où le locuteur est de bonne foi, contrairement au sophisme qui est un argument fallacieux, c'est-à-dire destiné à tromper.
Le paralogisme est un antonyme de syllogisme.
Dans la Critique de la raison pure, Kant a identifié les paralogismes comme étant des illusions de la raison.
On peut distinguer deux types de paralogismes : les paralogismes formels et les paralogismes informels.
John Stuart Mill montre dans A System of Logic que le syllogisme classique est lui-même un paralogisme : aucune vérité particulière ne peut être inférée de principes généraux puisque c'est au contraire l'ensemble des premières qui doivent être démontrées pour garantir la validité des secondes :
« [...] Il est irréfutablement avancé par les adversaires du syllogisme que la proposition, Socrate est mortel, est présupposée dans l'hypothèse plus générale : Tous les hommes sont mortels ; que nous ne pouvons être assurés de la mortalité de tous les hommes, à moins d'être déjà certains de la mortalité de chaque homme individuel ; que s'il reste douteux si Socrate, ou tout homme que nous souhaitons citer, est mortel ou non, le même degré d'incertitude doit peser sur l'affirmation – Tous les hommes sont mortels – que le principe général, au lieu d'être donné comme preuve du cas particulier, ne peut lui-même être tenu pour vrai sans exception, avant que toute ombre de doute qui pourrait affecter quelque cas qu'il inclue ne soit dissoute depuis une autre source ; et alors que reste-t-il à prouver au syllogisme ?
Que, en bref, aucun raisonnement du général vers le particulier ne peut, en soi, prouver quoi que ce soit : puisque depuis un principe général nous ne pouvons inférer aucun [cas] particulier, sinon ceux que le principe lui-même présuppose connu. »
Mills nous dit ici que, lorsque nous prétendons avec un syllogisme parler de la réalité (ou de toute situation concrète), alors le principe général posé comme point de départ du raisonnement repose en fait lui-même sur une autre affirmation à propos de chaque cas particulier concerné
Les métaphores propres aux mathématiques (théories), lorsqu’elles ne sont pas démontrées scientifiquement, demeurent des métaphores, c’est-à-dire, qu’elles sont des instruments d’interprétation du réel qui peuvent nous tromper utilement.
Conclusion partielle :
Ce n’est que par un effet de rhétorique que l’on peut arriver à faire croire que la vérité mathématique en économie incomplète a autorité suprême, comme si toute vérité pouvait s’émanciper de l’utilité d’un pragmatisme d’échelle présent, pour ensuite venir la justifier, en s’émancipant d’une autre thésaurisation, en prémices ordonnées et subordonnées à un passé volontairement rendu valorisant, au profit de postulats en futur particulier… En intérêts pour seuls clans de chaires, d’ors, de robes, de notables, de pompes et autre empruntés(es) en comptes de valeurs ajoutées, falsifiés…
Ou marketing de lobbies et néo-scientistes ?
Rien n’est plus incertain que la conscience
La sagesse maitresse par ses mots affiliés
Murmura aux oreilles de son estudiantin(e) :
‘’ Nous nous laissons souvent séduire,
Et sans fondement sur la belle vision,
Comme tout à chacun et chacune,
D’une certitude nouvellement née,
Croyons fort aisément,
A ce que nous craignons des plus grands désastres
Et désirons du plus grand des plaisirs’’.
Le temps ne s’impose pas en ennemi intérieur, mais il est une composition particulière par l’énergie extérieure des choses de la vie… M.A – La Clé du Temps des Murmures.
On connait la célèbre définition qu’a donnée Kant de la dignité :
- Dans le règne des fins, tout a un PRIX ou une DIGNITE. Ce qui a un prix peut être aussi bien remplacé par quelque chose d’autre à titre équivalent ; au contraire ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n’admet pas d’équivalent, c’est ce qui a une dignité. La dignité, étant supérieure à tout prix, échappe par définition au calcul économique. A ce premier inconvénient, elle en ajoute un second : en tant qu’impératif catégorique, elle constitue un devoir, et pas seulement un droit individuel... Dans le cadre de la pensée primitive, la personne humaine est constituée de l’ensemble des choses où sa présence est perceptible par autrui […].
[…] La personne, c’est son corps, son ombre, toutes les représentations qui peuvent être faites d’elle (photos, enregistrement de sa voix, etc…), les rognures de ses ongles, les mèches de ses cheveux, ses vêtements, la trace de ses pas au sol, voire, dans la pensée rationnelle chinoise, les caractères la représentant dans la langue écrite, etc… Tous ces éléments sont en effet susceptibles d’évoquer à autrui sa présence ; Lévy-Bruhl les appelle les appartenances de la personne.
Chaque mammifère-humain est enfant de la connexion d’un individu mâle et d’une femelle. Nous sommes enfants d’une rencontre, et parents d’enfants pour la plus grande partie des adultes. Nous sommes affiliés à une origine terrestre dont nous ne connaissons pas encore exactement la date de notre apparition en tant qu’espèce d’hominidés, mais avant tout nous sommes des êtres-vivants de type mammifère-bipède appartenant au genre humain doués des capacités cognitives suffisantes à l’analyse de toute situation constituée de sujets-objets positionnés dans notre zone d’existence. La retransmission de nos valeurs en tant qu’« adultes sensés » est d’une importance capitale pour la, voire les générations suivantes, et ces apprentissages, tant manuels qu’intellectuels ne sauraient être soumis à dogmes particuliers, uniquement individualistes, au nom de prosélytismes n’ayant à cœur que l’expression complotasse d’une thèse en partisannerie sectaire, n’alimentant que les feux de la division générale…
Toutes ces définitions de la personne opèrent, dès qu’elles sont assimilées à leur réelle fonction sociale, philosophique et culturelle attachée à la pensée partagée et à l’idée du débat démocratique, alors les intérêts individuels alimentant les corporatismes délétères ne sauraient résister au pouvoir émancipateur du collectivisme…
Ces aptitudes d’échanges, d’attention et de respect orientent universellement, au sens où elles valent pour tout individu et dans toutes communautés et sociétés, y compris pour celui dont il est question : de la même manière qu’autrui peut considérer comme étant variations associatives pour tout ce qui évoque pour lui, ma propre représentation de ce qu’est ma personne comme même : l’ensemble des choses qui évoquent ma présence à autrui et, réciproquement, comme ces choses d’autrui envers ma présence.
Au sein des sociétés, le domaine du Moi s’étend bien au-delà de l’image du corps propre à travers de nombreuses ramifications qui nous paraissent excessives, à nous les individus lucides, dont la perception du Moi est beaucoup plus ramassée autour de l’image covalente, du miroir interactif.
Ce domaine du Moi au-delà du corps propre correspond aux « APPARTENANCES ».
Pourtant, la propriété privée exacerbée dans nos sociétés contemporaines hyper-médiatisées, étend le domaine de nos appartenances de manière pléthorique, multipliant les moyens par lesquels les autres, et les objets eux-mêmes, ont une emprise sur nous.
Souvent dans l’imposition liberticide plus que dans la réflexion et l’humilité.
Lorsque qu’après 36 ans de travail et d’activités professionnelles diverses, après avoir été un bon ‘’petit soldat’’ tant au niveau familial, fraternel, économique et social, bien sûr accompagné par quelques personnes de belles attentions et que vous vous retrouvez avec le statut de ‘’chômeur de longue durée’’, associé à celui affilié au RSA, je puis vous assurer que vous avez intérêt, pour votre santé psychique, à trouver un contre poison intellectuel ET/OU physique, sinon vous n’y survivriez qu’avec dommages irréparables. Et cela, en ou hors de ce système sociétal, que vous avez servi du mieux possible, depuis vos 17 ans, puis avoir été exclu de votre lieu de vie à 53, et être sans emploi depuis plus de 5 années, du reste de votre vie ‘’active’’.
Et qui plus est quand vous résidez en milieu rural où votre seul lien culturel restant est celui d’une connexion internet, bien évidemment, si vous y avez accès avec possibilité de régler l’abonnement mensuel. Car avec 480€ par mois, tout n’est pas simple, et parfois une forme de colère peut apparaître vis-à-vis de vos congénères et communautés éloignées de vos sensibilités personnelles, où, par ce lien réseau, quelques docteurs en psychologie, savants en bien-être, manipulateurs en bonté, manipulatrices en bienfaits et autres pseudos amis(es) virtuels(les) vous proposent des invitations pour participer à des réunions, débats, symposiums et spéculations de groupes, en salles éloignées de vos possibilités matérielles et financières, vous autorisant en ‘’temps normal’’, d’accéder à ces lieux d’échanges en réseaux biophysiques, psychologiques, culturels, scientifiques, épistémologiques, sociologiques, voire physiologiques, par moyens de mobilité suffisants, et souhaits en diversité pluridisciplinaire, hors uniques échanges en ambiance virtuelle, souvent veule…
Tous ces individus fallacieux et fourbes, doivent être gens de peu d’attention envers ces ‘’choses de la vie’’ sortant de leur anthropocentrisme de groupes fermés ; voire secret… ?
Me semble-t-il…
M.A
Chaque être humain pris isolément a participé dans son enfance aux souvenirs de ses grands-parents, et, devenu vieillard, participe aux espoirs de ses petits-enfants ; il embrasse ainsi cinq générations, soit entre cent et cent vingt ans.
On est autant de personnes différentes qu’on a été de fois disciple. Il faut juger doublement de l’expérience : dans la mesure où elle exalte la conscience de soi, et selon le degré auquel elle la réprime.
Jean de la Bruyère
La pensée fait-elle le langage ou le langage fait-il la pensée ?
Ne serait-il pas temps de considérer les échanges inter-linguistiques, épistémologiques et culturels comme source de la pensée multidisciplinaire ?
Par discours en utile covalence entre les arts et les sciences…
La confiance, même ; ne saurait exister dans les intérêts particuliers dénudés de toutes attentions en sollicitude…
PRAGMATISME
Vers quel nombre tendre par moins disant
A faire une nouvelle opération soustractive
Envers devenu cher à contribution
A oublier sujet intégralement présenté
Au soin d’autres dissidences bâclées
Plutôt qu’à persister dans l’analyse
Inutile aux angoisses des flux contrariés
Chiffrage des amertumes clandestines
Suffit à décider des gibiers de potence
A vies exsangues aux bastions de l’ancienne garde
Le masque cynique des aptitudes savantes
Ni apposa que la symbolique sans partition
Aux sciences inhumaines ex-machina contribuera
Sans aucun scintillement à l’amplitude de l’action
La vaseline des suppositoires multiplie les têtes de cul
La thèse pragmatique n’est que contre-valeurs suceuses
Les figurines frappées au sceau scriptural
Ont déposé la monnaie de singes.
Les yeux de l’homme ne réussissent à percevoir les choses que par la… ; connaissance de leur superficialité.
Pourtant l’intelligence humaine a les ressources pour donner forme à leur essentialité.
Michel Asti
Les hommes politiques ne connaissent la misère que par les statistiques.
On ne pleure pas devant des chiffres
L’abbé Pierre
Si la pauvreté est la mère des crimes…
Le défaut d’esprit en est le père.
Jean de La Bruyère
Par ces postulats, il ne devrait donc y avoir, en ces temps troublés, aucune possibilité d’ordre politique transcendant ; donnant à l’art des gens, cette qualité de juste compréhension envers la totalité du système Socio-Economico-Culturel… Dans les zones de production, d’échange et de valorisation de bien(s) et services représentée dans et par la République Française Démocratique à tendances Laïques…
M.A
Une population instruite, éclairée et informée est une des façons les plus sûres de promouvoir la bonne santé de la démocratie…
Nelson Mandela
Dans les civilisations individualistes l’ensemble communautaire rationnel n'a plus aucune identité sociologique spécifique – Il est donc incohérent de la part des corporatismes à statuts conformistes béats de contracter avec lui. Peut-être parce que les orthodoxies séculaires ont peur du miroir des contre-évidences.
En conséquence de cela, ne rendons toutefois pas, par déni d’attentions, d’analyses et de compréhension, l’autre intrinsèquement responsable de n’avoir su ou réussi à répondre à tous nos besoins insatisfaits et sentiments inassouvis… Où en ces états sensibles, lorsque l’acte de mauvaise intendance est réellement avéré alors, il ne reste plus que la liberté de partir vers de possibles meilleurs horizons… Accepter l’infortune du moment, devenir aphone, écrire ou, se rebeller… S’indigner, Résister… Mais contre qui et au nom de quoi… ???
M.A
Il meurt lentement celui qui devient esclave de l’habitude, refaisant tous les jours les mêmes chemins, celui qui ne change jamais de repère, ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements, ou qui ne parle jamais à un inconnu, celui qui évite la passion, celui qui ne change pas de cap, celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves, celui qui pas une seule fois dans sa vie, n’a fui les conseils sensés.
Il meurt, lentement, celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas rire de lui-même.
Pablo Neruda
Sans ferveur et passion la vie s’écoule tristement…
A la perdition, vanité fit jeux homolatéraux
La prescription se crût synopsis des grâces morales
La presqu’île de lemme s’y fige sous les oboles
La manie nie coquine, les aiguilles piquent au vif
Je te fiche mon billet qu’idolâtrie est mesquine
M.A
Qu’est-ce que l’Europe ?
Un acharnement de voisins qui se battent… Ecrit ainsi, le philosophe et mathématicien, Leibniz (1646-1716).
- En Allemagne, les phases d’expansion des droits civiques et sociaux (L’unité allemande ou les réformes de Willy Brandt) se produisent en période de croissance. La montée du nazisme dans les années trente ou la recrudescence des pulsions anti immigrés se produisent au cours de sévères phases de récession…
Le monde est clos et le désir infini - Daniel Cohen.
Avec pour encore plus mauvaise vision dans le système social-économique français (et autres), en celle d’imaginer la nouvelle possible évolution post-industrielle, comme une désintégration communautaire, par décret en faveur de la déconsidération identito-culturelle, où le plus néfaste schéma d’incompréhension se trouve assurément proche des liens moribonds entre : Le corporatisme paroxysmique > Le déclassement social-économique > La prédation territoriale > Le sectarisme culturel > L’anti-laïcité > Le populisme intransigeant > Le nationaliste exacerbé > Les peurs dans la zone non-sécuritaire > L’obscurantisme > Le nihilisme > La radicalisation > Le fascisme > Etc…
Et pour vecteur ‘’novateur’’ à partir de la fin des années 1970, celui de l’avènement de l’outil informatique, permettant de créer d’autres classifications, grâce aux langages algorithmiques où les mathématiques en autorisent la création des bases de données et autres compositions sujettes à confinements incohérents, dont le pire est d’avoir oublié dans cette histoire à tendance ‘’déshumanisante’’, la pensée profonde de la propre existence ontologique singulière de l’être humain…
« La monnaie doit se donner pour légitime et cette légitimité ne peut se construire sur la base de la seule conscience qu'auraient les agents financiers du nécessaire recours à des objets conventionnels. Or, seule cette conception de la légitimité répond aux exigences et naturalités des thèses individualistes. Techniquement, c'est au travers de l'hypothèse d'anticipations rationnelles qu'elle se trouve formalisée dans les modèles socio-économico-culturels. En effet, cette hypothèse signifie que les représentations des agents sont identiques au vrai modèle de l'économie. A contrario, la légitimité suppose la croyance en une certaine matérialité des symboles…»
Aussi est-elle contemporaine d'un certain délitement ou déni d’évolution collectiviste, voire mutualiste des sociétaires, acteurs, actrices, réalisateurs, imprésarios, agents et échangistes des scènes nationales et internationales, perceptibles en et par les dysfonctionnements géo-politico-socio-économiques, devenus aujourd’hui divisions communautaires, où en certains lieux de conflits géo-politico-financiers, la valeur immanente est en ces états, indubitablement, ‘’ARMEE’’…
Au détriment de toutes ’’cultures’’…
Où le temps de la potentielle entente sera invariablement utopie.
Dimension qui ne peut être en aucun cas désolidarisée de tous objets symboliques, matérialisés par leurs essentialités, utilités, nécessités, disponibilités ou toute autre sensibilité en tant que sujet porté à son propre pouvoir, sur soi ou autres par l’effet de cette symbolique affective, devise sécuritaire, liberté attractive, attachement séculaire, immanence séculière, causes plaisantes, passion communautaire raisonnable, raisonnée… ; ou alors individuellement déraisonnable… ???
Michel Asti
Date de dernière mise à jour : 30/08/2018
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