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LE MONDE EST UNE RESONNANCE QUI INVENTE LA DISSERTATION

LE MONDE EST UNE RESONNANCE QUI INVENTE LA DISSERTATION

S'intéresser au monde dans lequel nous vivons, n’est-il pas un prérequis pour que nous puissions y trouver la société idéale dans laquelle nous souhaiterions vivre ? Participer à sa mise en place n’est-il pas le meilleur moyen d’y parvenir ? Si la passivité des citoyens est compréhensible dans des dictatures, où toute forme d’expression contradictoire au pouvoir peut entraîner une condamnation à mort, qu’en penser dans les pays démocratiques ?

« Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - « Que les gens sont absurdes ! Ils ne se servent jamais des libertés qu'ils possèdent, mais réclament celles qu'ils ne possèdent pas ; ils ont la liberté de pensée, ils exigent la liberté de parole.» - « L’humoriste, comme le fauve, va toujours seul.» Sören Kierkegaard

Tout l’agrément de la vie est fondé sur un retour régulier des choses extérieures. L’alternance du jour et de la nuit, des saisons, des erreurs et des fruits, et toutes les autres choses qui viennent à notre rencontre périodiquement afin que nous puissions et devions en jouir, voilà les véritables ressorts de la vie terrestre. Plus nous sommes ouverts à ces jouissances, et plus nous nous sentons heureux. Goethe, Poésie et Vérité (Livre XIII)

Les uns disent que non, les autres disent que oui ; et moi je dis que oui et non. (Sganarelle, sur une difficile question de médecine) – Molière ‘’Médecin malgré lui’’.

« Ce qui importe par-dessus tout dans une œuvre d'art, c'est la profondeur vitale de laquelle elle a pu jaillir. » Joyce

Le potier hait le potier, l’architecte l’architecte, le mendiant fuit le mendiant et le chanteur le chanteur. Heliode

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PAGE 113 - DE TEMPS EN TEMPS

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LA CONFIANCE ; C’EST LORSQU’ELLE EST RECIPROQUE QU’ELLE FONCTIONNE…

 

« Nos croyances deviendront nos pensées

Nos pensées deviendront nos mots

Nos paroles deviendront nos actions

Nos actions deviendront nos habitudes

Nos habitudes deviendront nos valeurs

Nos valeurs deviendront notre destinée »…

Et si malheureusement nos croyances s’avéraient fausses notre destinée le sera aussi.

 

DE TEMPS EN TEMPS

 

  • Arrivé à la soixantaine, lorsque vous n’attendez rien de particulier en l’autre, tant de par l’espace virtuel quand celui physique.
  • Quand vous percevez l’existence d’une saine forme d’équilibre chez vos enfants, tant de par leur zone de confort matérielle qu’en celle émotionnelle.
  • Que vous avez été confronté à des contraintes, affecté par des veules tendances, voire souffrances personnelles et communes actées par de lancinants pics de traitrise.
  • Que vous disposez, depuis vos 54 ans, de par l’attention de quelque bonne volonté, d’un toit.
  • Que vous pouvez encore vous procurez nourritures vivrières essentielles et nécessaires.
  • Qu’il vous est, encore possible de temps en temps, de vous accorder quelques joies simples et plaisants moments.
  • Et qu’enfin vous ne craignez pas la solitude due à formalisme d’exclusion citadine, intervenu et accepté –  non sans quelques observations en inadéquations de postures présomptueuses –, après 40 ans d’activité dans la grande (Ï) cité lyonnaise à cheval sur deux fleuves.

Alors, le risque du ressentiment de la trahison devient quasi inexistant.

Tout simplement car vous avez réussi à vous éloigner de ces veules pathos de ramage...

 

VIE – TESTS

 

Il est des pertes qui ne vous pèsent

Des accompagnements qui vous allègent

Des rencontres qui vous grandissent

Des regards qui vous troublent

Des lectures qui vous marquent

Des attentions qui vous obligent

Des manques que vous ne comblerez jamais.

 

Il est des rentrées qui ne vous alourdissent

Des sorties qui vous inquiètent

Des comptes qui vous affaiblissent

Des mesquineries qui vous blessent

Des nombres qui vous manquent

Des rendez-vous qui vous agacent

Des absences que vous accepterez toujours.

 

Il est des causes qui ne vous perturbent

Des devises que vous supportez

Des raisons qui vous accommodent

Des peurs qui vous violentent

Des certitudes qui vous mènent

Des attachements qui vous oppressent

Des expressions que vous chercherez longtemps

 

Il est des portes qui ne s’ouvriront

Des clés qui ne se refusent

Des sons qui vous hérissent

Des murmures qui vous interrogent

Des contacts qui vous échaudent

Des amitiés qui vous déçoivent

Des solitudes que vous trouverez salutaires.

 

DISCERNEMENT

 

A qui, n’en, croire sincère intéressement

Pour nul s’en fasse figure guerrière,

Aux objets en structure inconsistante

Sans sujets à marteler,

Aux officines, enchères, déchues.

 

Par épistémologie à rivets compensatoires,

Avec versatiles en commodités viscérales,

Les fils du tissage en irritations,

Rien n’en fit ostensibles conditions,

Aux consultations des ridules appointées.

 

Avec romance sans passage captivant,

Sous présages des crépuscules énamourés

En sursis des condensats aseptisés,

Les promiscuités d’quintessences censurées,

Sues les soubresauts en filigranes,

Aux résistances des circonspections affables.

 

Sans se soucier des vues ravagées,

Ici, en contrées d’évasion,

Aux sens des dissidences inhabituelles,

Les vocalises en finitude, sans intolérances,

S’accordèrent moment pausé aux frontons malicieux ;

Au nom des discernements sans raisons précipitées…

 

« Le texte, la peinture, la sculpture, la musique sont des représentations symboliques de notre propre perception quant au sens de l’expression sémantique affichée à l’interprétation personnelle du monde intérieur – que nous essayons de définir – arc-bouté devant le structuralisme du monde extérieur, proche et/ou un peu plus éloigné de nos facultés d’analyse et de compréhension des formes sémiotiques au rapport de nos positions entre [corps-ontologie] & temps… »

 

Quelle circonscription serait-elle en probabilité suffisante de croire que le consensus ne fut pas une naturalité d’effervescences sans comptes – d’Us & Savoirs –  partagés au nom d’une utile évolution pluridisciplinaire ?

Les sots et simples d’esprit ?

Les suffisants en anathèmes ?

Les poujadismes en dissidences primaires ?

Une présomption en échanges clandestins ?

Une inopérante thésaurisation usurière ?

Une dissolution pluridisciplinaire au profit de corporatismes inefficients ?

Trinôme d’injonctions en reliques politico-philosophico-culturelles ?

 

Quelle est cette raison ? 

Cette faculté qui nous est donnée pour nous permettre de déterminer quelle chose peut nous faire du bien et quelle autre du mal, et cela en fonction de la dose de plaisir ou de peine reçue.

Ce n’est là point un bon calcul pour déterminer la raison puisqu’elle ne peut être variable qu’en fonction de l’acceptation de chacun envers chacune et réciproquement.

 

Y va-t-il d’une raison acceptable par tous ?

 

Il ne peut y avoir de consensus puisqu’elle est déterminée par ce que nos sens nous procurent à ressentir de la souffrance que nous voulons fuir et du plaisir que nous recherchons. En inoculation d’idéal libertaire, qu’elle est cette croyance en nos convictions individualistes consistant à avoir certitude qu’elles ne sauraient s’arrêter là où commence la liberté pour l’autre d’en avoir d’autres… ?

Ne sommes-nous pas les gestionnaires de nos sentiments ?

Si telle est la pensée attentionnée, alors ne rendons pas l’autre intrinsèquement responsable même s’il n’a su ou réussi à combler dans l’instant tous nos besoins insatisfaits.

Pauvres ou riches...

 

L’essentiel n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir…

                                                                      

TEMPS DE VILS VISAGES

 

Apparence bien agencée,

Lissage aux pourtours des avenacés,

Emancipation des sombres intérieurs,

Combien d’expressions irrationnelles courent sous ta peau où la nuit ne saigne ?

 

Signes battants sous les tempes des obscurs soubresauts d’un gouvernail spéculé au nombre falsifié des faux contes…

Sophisme en vol de traquenards… ; le vent glacial des parias du jour ferment les paupières des sans voix sous les pas ternis à l’ombre des émotions flagorneuses, des néfastes sires.

 

Asthénie des actions sûres,

Pastiche des coucous de circonstance,

Affabulation des mots affaiblis,

Tacles des courses en paris cauchemardesques

 

Evanescence distanciée du réel sens des journées sans songes où le film de ta vie est devenu la chasse des inutiles travaux d’un hercule déglingué aux soins des docteurs en élevage d’insolvabilité…

Quel gibier-vente puisse-t-il apaisé le chemin tissé sous les voiles de l’imposture, que d’une résonnance fermée aux cris des inacceptations lissées aux angles des pointes de l’ardeur des échanges flamboyants ?

 

Revêtements des sentiers troubadour,

Anoméisme des discours d’assujettis(es)

Tabloïdes mystifiés aux figurines désuètes,

 

Fruits de l’amer, les grands-ducs se sont réfugiés sur les hautes branches du plus grand chêne de la forêt de Brocéliande ; voir le premier lever de soleil succédant aux machiavéliques fortitudes des placiers de grabuge.

Les yeux perçant de l’aigle cher aux rêves des tribus sioux, s’agacent des petitesses de l’homme du monde des gratte-ciels, où les migrateurs se fracassent aux lignes des frontons sans murmures.

 

Oreillers des poètes tristes,

Syncrétisme de vies sans passion,

Aseptisations conquièrent pénates chaleureuses,

 

L’hexagone des peuples de la terre fut pris dans les rets d’un filet sensibilisé aux mailles des contractuels de l’usure commissionnée aux scénographies d’un comptable sourcilleux du piètre gage.

Les mains travailleuses en souplesse de syllogismes entendus s’étiolent dans l’incompréhension des modes sans notes essentielles poussant les fleurs du mal loin des soupçons des bourgeons naissants sur buis des libertés insatisfaites…

 

Lèvres gercées sous délices plaintifs,

Estaminets aux solitudes commerçantes,

Simagrées sous billets fortuits,

Tensions des attentes solitaires,

 

Les hurlements de la vieille louve en attentions envers sa progéniture n’y trouvent plus la prestance joueuse des grandes plaines ; les horizons, patte de velours en agonie de griffes sévères ferment le combat.

En ce lieu ignoré les sangliers traçaient parfois des voies bouleversées, recherche des glands tombés au pied d’arbres centenaires, les anciens dires s’époumonent sous écritures longées aux abords des routes sans reflets

 

Les aiguilles de la prouesse,

Aux langues des appels éveillées,

Simulacres de ton discours apathique,

 

Papillons de l’enfance dans les prairies vallonnées, les oiseaux moqueurs sifflent, sans échos ; les notes voyeuses aux elliptiques de la danse des abeilles, la ruche se meurt sous obsolescence programmée.  

La grande (Ï) Cité s’est mut reine des parcours de vestibules ternes, les hangars de néons blafards emplissent les déshérences de genre, les incertitudes apeurées réitèrent la casse sous la cendre des feux de joie ; des anciennes paillardises…

 

Lysiane, écoute aux portes des clairières subtiles que nulles chaînes n’y puissent prendre la peine des maux sous le visage des lieux où naissent les univers en bruissements des gardiens silencieux… Les attentions se meurent sous psalmodies sans fiers magisters…

 

Précèdes-moi dans les lianes de cette jungle où nuls corps ne s’ébrouent plus sous les coups des prémices de l’ombrage criblé de luminescences séductrices…

 

DE TEMPS EN TEMPS

 

Rien ne change vraiment,

Une idée, d’aventure, c’est enthousiasmant,

Mais pour aller où ? Avec qui… Et quand ?

 

Vingt ans, le moment à pleine dent,

Demandez l’impossible, en vous souvenant :

Combien d’arguments eurent révolution gagnante ?

 

Trente ans, c’est un peu moins flippant,

Ne cours plus camarade, l’utopie est une passante.

Quidam ton slogan est un encombrant.

 

Quarante ans, la descendance est prenante,

Nouvel essai, c’est marrant les lois du marché

La rose et le poing, la démocratie, c’est encore stimulant ?

 

Cinquante ans, une voie vers un poste vacant…

Qu’eus-tu cru ? Intérêt n’est point intéressement !

La messe est dite, parfaitement, absolument, régulièrement.

 

Soixante ans, une dédicace tranquille, c’est insouciant,

Changer la vie, c’est encore enthousiasmant,

Peut-être nulle part, mais avec la force du moment.

 

Soixante-dix ans, au loin les canons de Navarone,

C’est bruyant, les changements sans temps morts,

Il est temps de se remettre en conditions…

 

Quatre-vingt ans, les souvenirs s’estompent,

La philosophie, la sagesse, le malheur, l’inattention,

Ils se sont bien tenus ; les illusions aussi…

 

Comme ses passants et passantes, sans mémoire.

Les démons, les merveilles, les étapes perdantes,

Les grandes causes, les mauvaises raisons…

 

Les folles promesses sans belles devises, vous saluent…

De temps en temps…

 

VAGABONDS DE MOTS

 

S’ils ne t’ont pas tout dit

Si leurs mots ne t’ont pris

Entre tristesse et joie

 

Telles les ombres du silence

Semant quelques cailloux

Entre chênes et roseaux

 

N’oublie pas leurs brûlots ;

 

S’ils t’ont craché du feu

Comme des dragons furieux

Soufflant sur tes douleurs

 

Figures de démons nus

Corps tremblant de peur

Cœurs percés de tisons

 

N’oublie pas leurs brûlures ;

 

S’ils se sont affaiblis

Par trop de rêves perdus

Sous des pulsions vides

 

Dans l’ondée piquante

Sur des versants gelés

Avec les oiseaux du vent ;

 

Si tu les pensais fous

N’oublie pas les mots dits

Ceux des poètes vagabonds…

 

Si la liberté humaine qui tend à décider du bien, n'est qu'une oscillation de la pensée humaine en fonction de ce qu'elle considère comme bien.

Si la liberté humaine qui tend à considérer le vrai, n'est que le degré de connaissance humaine en fonction de ce qu'elle a acquis comme vrai.

Alors l'être-humain qui tend à acquérir le "bien-vrai" ou le "vrai-bien" est une tendance de notre conscience en fonction de ce que notre corps peut accepter comme contraintes.

Et la pensée humaine qui tend à imaginer la liberté, est peut être juste la volonté de notre inconscient en fonction de ce qu'il peut exprimer de vrai et de bien, par la conscience en son lieu d'existence. En conclusion, partielle, la liberté ne peut se côtoyer, que par l'action d'exprimer, de rechercher sans cesse, sans peur et sans immobilisme, en tant que nécessité de notre propre compréhension, au nom de la liberté d'existence par non annexion consciente de l'objet conscient et non annexion inconsciente de la conscience. De l'innée au devenir, de l'attachement à la liberté, de l'essentiel au superflu, des passions à la raison, des pulsions au plaisir, du réel à l'imaginaire, du faux au vrai, du mal au bien, de la peur au courage, de la lâcheté à la vanité, de soi à autres, des certitudes aux doutes, de l'amour à la haine, de la souffrance à la sérénité, de l'obscur à la lumière, de la destruction à l'unité, de l'existence à la disparition, du rien au tout, de l'ignorance à la connaissance, de la connaissance à la sagesse, de l'unité à l'union, de ET à EST…

 

Quels sont les chemins à parcourir, afin de parvenir à cette conscience qui fera qu'un jour ce petit morceau de matière sera en harmonie avec tout ce qui l'entoure, respectera toutes les conscience de ce lieu, à partir du moment où les incertaines n'auront pas commis actes de destruction dictés par intérêts obscurs, convictions égoïstes ou déraisons inacceptables bien souvent nés des premières croyances, peurs et souffrances et ; où le temps d'ici n'aura d'importance que par l'addition des beaux instants présents s’écoulant avec joie, afin que ce temps d’ici ait une texture de plus en plus douce, permettant, ce jour-là, d'avoir la sensation qu'ils auront commencé à percevoir la présence durable d'une petite harmonie héritière de la belle vie et du bon temps...

Michel Asti

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Date de dernière mise à jour : 06/08/2020

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