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‘’ Les opinions, les théories, les systèmes, passent tour à tour sur la meule du temps, qui leur donne d'abord du tranchant et de l'éclat, et qui finit par les user ’’.
Rivarol
Dès lors que ces objets sociaux échangeables sont présents, accessibles dans leur utile nécessité et perçus en tant que bien(s) et services communautaires, l'acceptation de la monnaie ne pose plus aucun problème. Leur seule présence conduit chaque agent à accepter la monnaie. Comme tous les agents agissent de même, les croyances qui ont permis ce choix se trouvent validées ; l'acceptation généralisée qu'elle présupposait se réalise effectivement. Le sens commun voit dans ces croyances et dans les comportements qu'elles produisent une suspension des facultés critiques individuelles. L'adhésion à la règle monétaire qui s'y manifeste, que ce soit sous la forme de l'habitude, de la confiance ou de la foi, procède plus d'un assujettissement mécanique que d'un calcul raisonné. La stratégie holiste ne consiste pas à reprendre à son compte cette analyse, mais pourvoir, dans cette éclipse temporaire de la raison, à l'effet d'une puissance sociale, autonomisée par rapport aux volontés individuelles en leur imposant ses finalités propres :
« La collectivité elle-même en tant qu'entité autonome ».
En effet, aux yeux de la conception holiste, la communauté ne se résume pas à la simple agrégation statistique et inflationniste des comportements individuels ; elle est dotée d'une identité spécifique qui commande aux sujets privés. C'est par son action que s'impose la primauté des finalités collectives, parfois sans valorisation individuelle intrinsèque, en termes d’échanges monétaires. Ce type d'approche a principalement été utilisé pour rendre compte de la manière dont les sociétés traditionnelles appréhendent l'ordre collectif. Celui-ci y est conçu comme fondé en un lointain passé religieux, dans une tradition immémoriale qui échappe aux actes individuels et s'impose à eux. La société s'institue en établissant une coupure absolue entre le temps des origines et les possibilités humaines présentes.
Par conséquent ce mythe soustrait ses règles de fonctionnement à la critique des hommes, et par là même à l’histoire de l’humanité, à la philosophie & l’épistémologie des amphitryons, la culture, la psychologie, la sémantique, la sémiologie, la politique et les autres concepts communautaires édités dans tout langage affilié à la sociologie anthropologique de l’être-humain ‘’conscient’’.
Elle se pose dans une situation d'altérité radicale par rapport aux personnes, les dépossédant en partie de leur être collectif pour doter celui-ci d'une identité spécifique. Assurément, la vision holiste des relations sociales peut prétendre fournir .une image satisfaisante du phénomène monétaire… Sémiotique allégorique selon laquelle, dans la monnaie, se manifeste une réalité d'essence collective, l'adhésion unanime des sociétaires, qui, au travers des croyances qu'elle impose à la conscience des agents, modifie leurs comportements et, ce faisant, garantit sa reproduction et l’habitude dans et par la circularité des échanges.
C'est cette conception qu'on trouve exprimée sous la plume d'anthropologues lorsqu'ils écrivent : « II n'y a pas de monnaie sans un ordre transcendant qui lui donne cette qualité d'être une matérialisation de la totalité sociale ». Et donc de par ce postulat et en l’état de compréhension du système sociétal actuel, il ne devrait donc, y avoir aucune possibilité d’ordre politique transcendant ; donnant à l’art des gens, cette qualité de juste analyse envers la totalité Socio-Economico-Culturelle… Même dans la zone de production et d’échange de biens et services représentée par République à options Démocratiques et Laïques…
Le corporatisme intrinsèque en est l’épreuve…
Pour qui : « Il n'y a plus rien d'ontologiquement réel au-dessus de l'être particulier ». Et pourtant l’épistémologie ontologique devrait édicter : ‘’Les groupes de population que nous pouvons visualiser comme un nombre communautaire strictement supérieur à deux, capables de faire évoluer un espace de vies, social économique harmonieux, sont ceux et celles qui ont la vision philosophique, humaine, sociale, culturelle, économique et financière la plus objective et la moins spoliatrice possible, accompagnée du respect permanent de la vie, de la liberté et de la propriété, afin d’en atteindre avec raison et amour, la sagesse et l’équilibre.’’
Mais par l’image, le mensonge politique a conquis sa pleine légitimité. L’image ment ! Mais peu importe. Car ce n’est pas toujours le politique qui ment, c’est surtout l’image. Ce n’est pas l’acteur qui est pris en flagrant délit de tromperie, c’est l’image qui ment.
Qui fait mentir l’image ?
Cette société veut à toute chose un coupable, mais on ne saurait dire en l’espèce qui est coupable : le cadreur, le journaliste, le monteur, le rédacteur en chef, le producteur, le décorateur, le diffuseur, le communicant, l’impresario, le réalisateur ou le législateur, le calcul démocratique ou les dévots cultuels ? On le sait d’autant moins que l’image est mensongère par ce qu’elle suggère, plus par ce qu’elle est. Le spectateur devient complice du mensonge à cause de l’évidence de l’image. Le mensonge qui progresse est de plus en plus facile et de plus en plus innocent. A cause de l’imperfection du langage, il y a toujours quelque chose de vilain, voire d’avilissant, dans .l’exhibition de la vérité toute nue. Recourir à l’image qui fait rêver, plutôt qu’à l’écrit qui fait penser, est l’ultime espièglerie de la communication politique. Le mensonge a gagné. La fausse authenticité de l’image s’est substituée à l’imperfection du langage.
‘’Les hommes naissent égaux et libres’’, répétaient-ils sûrs d’eux. ! Pfffff… Copie à revoir… Où dans cette cacophonie généralisée, la culture des temps immémoriaux des lumières, s’est quelque peu assombrie…. De sorte qu'après tant d'épreuves de leur incompétence ils ont jugé plus à propos et plus facile de censurer que de repartir, parce qu'il leurs est bien plus aisé de trouver des fidèles à leurs veules raisons, que semer alentours théories équilibrées…
M.A
La nature a bien des moyens d’atteindre un même objectif. Telle une vague dans le monde matériel, dans l’océan infini du substrat qui imprègne tout, ainsi dans le monde des organismes, dans le vivant, une impulsion entama sa progression vers l’avant… Par moment, peut-être à la vitesse de la lumière, par moment, de nouveau, si lentement que pendant des éons et des éons, il semblait ne pas y avoir de mouvements. Passant par des processus d’une complexité inconcevable à l’Homme, mais qui dans toutes ses formes, à chacun de ses stages, a toujours son énergie et pour toujours intégralement présente.
Un unique rayon de lumière issu d’une étoile lointaine atteignant l’œil d’un tyran des temps passés peut avoir altéré le déroulement de sa vie, peut avoir changé le destin de nations, peut avoir transformé la surface du globe, si complexes, si inconcevables sont les processus de la Nature.
Le meilleur moyen que nous avons pour appréhender l’époustouflante grandeur de la Nature, c’est en considérant qu’en accord avec la loi de conservation de l’énergie, dans l’infini tout entier, les forces sont en équilibre parfait, et par conséquent l’énergie d’une simple pensée, peut déterminer le mouvement de notre ‘’UN(Ï)VERS’’…
Nicolas TESLA
Enfin ! Songez-vous toutes et tous, ainsi, avec toutes sortes de camouflets, que personne ne saurait mesurez vos impostures et calomnies cachées sous les voiles du politiquement correct et/ou la pudibonderie en toutes différences culturelles que vous en ayez suffisance en cette vertu pour vous-même et les vôtres, dans cette prétention que vos dons ne sauraient m’irritez, moins de les retransmettre sans analyses autres que la béatitude en prédécesseurs grisés aux voix de l’impénétrable, pour les moins nocifs, qu’une marche en colonie d’élus aux incertitudes des grâces et vierges, pour les plus déficients en défrichage de voies terrestres ?
Mais en toute évidence en procession de terrorisme intellectuel pour les deux clans en écoute de falsification d’outrages portée aux oreilles de prostrés(es) se souciant plus des cieux que de la Terre des hommes, des femmes et des enfants…
Je crois malheureusement que ces consciences grossières ont une chose en commun, formellement, proche d’un mécanisme cognitif logo-atomisé par négociants en spiritualité, guides en reliques cultuelles, despotes, potentats et autres dévots ayant réussi à faire gober les plus ravageurs illogismes au rapport de leur déconsidération envers la condition échangiste naturelle humaine… Et dans ce paralogisme datant de la naissance de la conscience et des intelligences, concomitantes au mammifère humanoïde, le plus néfaste attribut est, sans doute, l’apparition depuis quelques décennies d’une espèce de scientisme immature indexé en vulgaire marchandising par souscription d’opérateurs en flux d’omission (volontaire ?) d’étude et analyses logiques envers le sujet ontologique au rapport de l’objet physique… Dans le monde naturel du et des vivants…
Faudrait-il, toutes et tous œuvrer pour un monde totalement aseptisé et conforme à une norme sociale édictée par une ou autre intelligence éructant souvent sa vérité sans autres ressources que la suffisance de ses consultations sectorielles, ou bien à essayer de prendre temps utile à quelques précieux moments de réflexion en débat de partage et contradictions constructives au nom d’une attentive thèse en bien commun, voire pour les plus fervents une recherche en amélioration multidisciplinaire ?
Cette démarche en installation de conformité n’est-elle point une volonté d’ignorer sujets trop éloignés de nos facultés personnelles ?
Un refus de savoirs ?
Un déni de sollicitude ?
Ou pire une filiation particulière autorisant l’individu à ne plus essayer de changer ces choses de l’infamie envers autres que soi et ‘’étants’’ insuffisamment proches de notre dimension touchable ?
Hors de notre zone de confort, justifiable, en légitimité d’acquis ?
Ou encore une forme d’asthénie intellectuelle atrophiée par une satisfaction matérialiste suffisante à l’inaction envers autres congénères, tout aussi justifiables à disposer de l’essentiel vital ?
Un abandon au profit d’un isolationniste de circonstance ?
Une pénitence en acceptation d’existences mornes ?
Une dichotomie en reconnaissance de népotisme défiscalisé d’affiliation en humanisme ?
Ou tout simplement un ‘’je m’en foutisme’’ généralisé, tant en ascendance qu’en descendance ?
Enfin ! Songez-vous toutes et tous, ainsi, avec toutes sortes de camouflets, que personne ne saurait mesurez vos impostures et calomnies cachées sous les voiles du politiquement correct et/ou la pudibonderie en toutes différences culturelles que vous en ayez suffisance en cette vertu pour vous-même et les vôtres, dans cette prétention que vos dons ne sauraient m’irritez, moins de les retransmettre sans analyses autres que la béatitude en prédécesseurs grisés aux voix de l’impénétrable, pour les moins nocifs, qu’une marche en colonie d’élus aux incertitudes des grâces et vierges, pour les plus déficients en défrichage de voies terrestres ?
Mais en toute évidence en procession de terrorisme intellectuel pour les deux clans en écoute de falsification d’outrages portée aux oreilles de prostrés(es) se souciant plus des cieux que de la Terre des hommes, des femmes et des enfants…
Je crois malheureusement que ces consciences grossières ont une chose en commun, formellement, proche d’un mécanisme cognitif logo-atomisé par négociants en spiritualité, guides en reliques cultuelles, despotes, potentats et autres dévots ayant réussi à faire gober les plus ravageurs illogismes au rapport de leur déconsidération envers la condition échangiste naturelle humaine… Et dans ce paralogisme datant de la naissance de la conscience et des intelligences, concomitantes au mammifère humanoïde, le plus néfaste attribut est, sans doute, l’apparition depuis quelques décennies d’une espèce de scientisme immature indexé en vulgaire marchandising par souscription d’opérateurs en flux d’omission (volontaire ?) d’étude et analyses logiques envers le sujet ontologique au rapport de l’objet physique… Dans le monde naturel du et des vivants…
Comme le disait Descartes: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’. Si je ne suis que partiellement d'accord avec lui, à la seule différence, de penser que la liberté est une notion définie par chaque conscience, et par conséquent, elle peut être représentée par autre quelque chose, en temps qu'autre degré d’indépendance envisagé par cette conscience individuelle et proche du libre arbitre sensibilisé par une autre forme d’attachement envers l’expression d’une autre liberté, sensiblement partagée.
Ne suis-je pas libre de ma vie ?
En quoi et pourquoi croire à une protection où la dignité et le respect, de toute existence organique, en sont absents ? Avec pour singularité, en ce Monde de déraisons, faussetés, tricheries et inconscience, en celle de croire que le monothéisme de l’inorganique serait une défense interindividuelle dans celui Naturel du Vivant ? Ou pour particularité, en celle d’y entendre, pour les chaires phalliques et leurs dévots, se souciant plus des cieux que de la Terre, quelques accointances en perversité narcissique ?
« Si Dieu existe, disait Marc Aurèle, tout est bien ; si les choses vont au hasard, ne te laisse pas aller, toi aussi, au hasard. »
Bergson – Lui – disait: « la vrai liberté n'est pas la liberté d'indifférence, mais la libération de notre plus intime et originale préférence. »
Même si je ne le disais à tous vents, j’aimais mieux cette dernière définition, car il me semblait qu'elle était teintée d'un peu plus de poésie que la première, qui, elle était dotée de beaucoup trop de cette logique parfois illogique pour mon acceptable compréhension envers les échanges interindividuels & intergénérationnels ; affiliés à mes congénères ; en tant qu’étant : MAMMIFERE-HUMAIN.
Quel est ce choix d’exister dans un lieu où la sociologie n’est que celle des ardents défenseurs du snobisme ?
Dans un entre soi de petits garçons levant les yeux devant de vieilles reines sur le déclin et un entre-suit de courbettes de palais, en patrimoine de château de cartes fissurés au soin des spécialistes en malversations.
Quel est cette façon de penser ses rêves comme seule défense envers des autocraties absconses, stimulées par un népotisme de vils contes ?
Quelles sont ces dissidences s’interrogeant sur la complétude des intérêts d’une thésaurisation monétaire en usure d’une sociologie démutualisée, pour les moins nocifs, qu’analyses insensées, quant à véritables Droits et Devoirs d’une Démocratie Républicaine ayant oublié le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, et se fourvoyant avec les fantômes de la liberté, de l’égalité et de la fraternité dans les immondices d’une justice dépassée par les clandestinités mafieuses… ???
Quelle est cette culture des moins émancipatrices quant à une politique culturelle, éliminant tout ce qui n’est pas conforme à la ligne du clan inique ou du corporatisme conformisme ?
Michel ASTI
Date de dernière mise à jour : 02/07/2019
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