2019 - TEMPS DE CONFIANCE... ???
2019 - TEMPS DE CONFIANCE… ???
Silence des justes combats,
Ostentation sur lignes désuètes,
Tautologie aux langues sournoises,
Ségrégationnisme en partitions poussives,
Vociférations surbookées par une dialectologie en prémices de sujets diligentés aux seules aptitudes de funestes pertes, l’aiguille transperce les marignanaises embrigadées aux articles bidons, structures sans charmes.
Que de l’oubli de ce qui n’a jamais existé, nous resterons debout, face aux productions faxés par les gestes d’une amnésie cernée aux obligations des imprécations vaseuses ; en marigots suspects.
Amphitryons en branlette cognitive,
Intelligence de petits narcissiques,
Caricatures d’un guide de pacotille,
Divagations nationales filtrées aux séquences des ordonnateurs de schismes, calques en sémio-centrismes du roi ‘’buzzique’’, balbutiements d’une veule prestance frappée aux doigts d’honneur d’adolescents incultes.
Coqs de basses coures,
Absurdités aux ordres Gendres,
Trottine en paternalisme hagard,
Révolte livresque d’une présidence larguée par sphères en practices de ghettoïsation sociologique, Intérieur en fourberies d’un castagneur au raz d’un éloge mafieux, porte-parole d’une philosophie-politique aux pieds d’argile, casse instituée par destruction anti-créatrice.
Détournement des sources hydriques, essence taxée aux volontés d’un bricolage écologique sans vitalités homogènes, virulence de gouvernances cinglées aux censures en horizon d’effort au nom de césures sous encres sympathiques.
Caches en pleurs sans méthode,
Arabesques sur toiles falsifiées,
Triolisme aux écueils planifiés,
Quelle est cette alarme silencieuse qui n’eut ; aux besoins arborés de cris refugiés sous bruyères, que solistes en vague idée d’une ordonnance empruntée à l’imaginaire structurée au piètre bellicisme sans issue ?
Fiancée configurée dans plus hautes sphères d’un gratte-ciel surdimensionné aux ignorances des pointes en rêves jaunis, sans courbures, le regard n’atteint plus que les zones tendues aux services des crépuscules sans mémoire.
Le bon sens ne s’émeut point,
Instrumentalisation accaparatrice,
Défilements de prostrées(es),
Offrandes en éventaires figés,
Médias en cache misère, l’image des mains travailleuses s’est mue consumérisme sans arborescences utiles, la voie ainsi tracée aux maux déjà castrés de l’alchimie vitale, le néo-scientisme éviscère les ventres mous.
Qu’est-ce donc en cet Etat ?
Colonie des pics perdus dans les méandres d’un combat marqueté par les outils robotisés, automatismes liés aux prémices d’un langage entravé aux nombres ciselés par quatrain en triangulation porteuse de sang neuf ?
Débat-piège aux postiches d’abbesses fiduciaires ?
Paradoxe sans soins à misère,
Appâts pour vers soyeux,
Perspectives en esprits surnaturels,
Ethologie d’émoticônes déshumanisés,
Le conformisme d’actions déséquilibrées s’est pris dans les rets d’un filet maillé aux règles d’une éthique sans conservation, Droits et Devoirs n’ont plus que l’apparence de statues disloquées aux membres factices,
Les minorités viles se sont immiscées aux records des majorités coites, politiques des villes et naturalité circulaire des champs ; la confiance, c’est uniquement lorsqu’elle est réciproque, qu’elle fonctionne.
JUSTICE SOCIALE-ECONOMIQUE – LIBERTE – EGALITE – FRATERNITE SUR :
https://lamarante-des-artisans-francais.com/
POLITIQUES DE FIGURINES
J’aimerais beaucoup connaitre la véritable définition du TRAVAIL, ainsi que le réel déterminant d’une ACTIVITE à juste valeur ajoutée, dans le monde des actions, réactions, mouvements, mobilités, savoirs faire et savoirs être, de même que la notion d’EMPLOI rémunéré au rapport de l’utilité et l’essentialité dans la sphère, d’échanges de bien(s) et services, marchande, notamment par la dialectique assujettie à ces savants en toutes matières épistémologues, philosophes, théologiens, théoriciens, politiciens, experts de tous ORDRES, génies des sciences économiques et financières, ET/OU sorciers de L’USURE.
Lorsque qu’après 36 ans de travail et d’activités professionnelles diverses, après avoir été un bon ‘’petit soldat’’ tant au niveau familial, fraternel, économique et social, bien sûr accompagné par quelques personnes de belles attentions et que vous vous retrouvez avec le statut de ‘’chômeur de longue durée’’, associé à celui affilié au RSA, je puis vous assurer que vous avez intérêt, pour votre santé psychique, à trouver un contre poison intellectuel ET/OU physique, sinon vous n’y survivriez qu’avec dommages irréparables. Et cela, en ou hors de ce système sociétal, que vous avez servi du mieux possible, depuis vos 17 ans, puis avoir été exclu de votre lieu de vie à 54, et être sans emploi depuis plus de 5 années, du reste de votre vie ‘’active’’.
Qui plus est quand vous résidez en milieu rural où votre seul lien culturel restant est celui d’une connexion internet, bien évidemment, si vous y avez accès avec possibilité de régler l’abonnement mensuel. Car avec 480€ par mois, tout n’est pas simple, et parfois une forme de colère peut apparaître vis-à-vis de vos congénères et communautés éloignées de vos sincères sensibilités en échanges sociaux ; où par ce lien réseau, quelques docteurs en psychologie, savants en bien-être, manipulateurs en bonté, manipulatrices en bienfaits et autres pseudos amis(es) virtuels(les) vous proposent des invitations pour participer à des réunions, débats, symposiums et spéculations de groupes, en salles éloignées de vos possibilités matérielles et financières, vous autorisant en ‘’temps normal’’, d’accéder à ces lieux d’échanges en réseaux biophysiques, psychologiques, culturels, scientifiques, sociologiques, voire physiologiques, par moyens de mobilité suffisants, et souhaits en diversité pluridisciplinaire, hors uniques échanges en ambiance virtuelle, souvent veule…
Tous ces individus fallacieux et fourbes, doivent être gens de peu d’attention envers ces ‘’choses de la vie’’ sortant de leur anthropocentrisme de groupes fermés ; voire secret… ?
Me semble-t-il…
Que la sociologie la plus récente rencontre quelques sagesses anciennes, cela serait une bonne nouvelle.
Mais même cela ne peut démontrer que l’intelligence humaine et la modernité sont une folie.
Qu’il existe dans le présent, un réel toujours plus fort, refusant de croire que rien d’autre n’est à connaitre, que plus rien n’est à aimer… ; est vrai.
Que le changement ne serait qu’une histoire sans défis dans un flot d’évènements, de rencontres et d’échanges aseptisés, apeurés par l’incertitude des croisements multiples et dépassements accentogènes, dans un monde d’asthénie psychologiques, de fourvoiements physiologiques et malentendus métaphysiques… ; est faux.
Mais que le monde, ainsi versé dans les commodités des zones de confort pressantes, semblerait d’une tristesse infinie pour qui préfère la danse à milles temps notée aux accords des désirs et souhaits sensibles scindées à jeux épars, où le verbe des amitiés et des amours serait teinté aux puissances de la verve des temps passés, dans un présent, riche des traits de lumière, réfléchissant à la couleur des feuilles mortes, tourbillonnant encore au sens de vigoureuses tourmentes… ; pour qui aime à flirter au vent des émois ; est une évidence humainement acceptable.
Faudrait-il, toutes et tous œuvrer pour un monde totalement aseptisé et conforme à une norme sociale édictée par une ou autre intelligence éructant souvent sa vérité sans autres ressources que la suffisance de ses consultations sectorielles, ou bien à essayer de prendre temps utile à quelques précieux moments de réflexion en débat de partage et contradictions constructives au nom d’une attentive thèse en bien commun, voire pour les plus fervents une recherche en amélioration multidisciplinaire ?
Cette démarche en installation de conformité n’est-elle point une volonté d’ignorer sujets trop éloignés de nos facultés personnelles ?
Un refus de savoirs ?
Un déni de sollicitude ?
Ou pire une filiation particulière autorisant l’individu à ne plus essayer de changer ces choses de l’infamie envers autres que soi et ‘’étants’’ insuffisamment proches de notre dimension touchable ?
Hors de notre zone de confort, justifiable, en légitimité d’acquis ?
Ou encore une forme d’asthénie intellectuelle atrophiée par une satisfaction matérialiste suffisante à l’inaction envers autres congénères, tout aussi justifiables à disposer de l’essentiel vital ?
Un abandon au profit d’un isolationniste de circonstance ?
Une pénitence en acceptation d’existences mornes ?
Une dichotomie en reconnaissance de népotisme défiscalisé d’affiliation en humanisme ?
Ou tout simplement un ‘’je m’en foutisme’’ généralisé, tant en ascendance qu’en descendance ?
Enfin ! Songez-vous toutes et tous, ainsi, avec toutes sortes de camouflets, que personne ne saurait mesurez vos impostures et calomnies cachées sous les voiles du politiquement correct et/ou la pudibonderie en toutes différences culturelles que vous en ayez suffisance en cette vertu pour vous-même et les vôtres, dans cette prétention que vos dons ne sauraient m’irritez, moins de les retransmettre sans analyses autres que la béatitude en prédécesseurs grisés aux voix de l’impénétrable, pour les moins nocifs, qu’une marche en colonie d’élus aux incertitudes des grâces et vierges, pour les plus déficients en défrichage de voies terrestres ?
Mais en toute évidence en procession de terrorisme intellectuel pour les deux clans en écoute de falsification d’outrages portée aux oreilles de prostrés(es) se souciant plus des cieux que de la Terre des hommes, des femmes et des enfants…
Je crois malheureusement que ces consciences grossières ont une chose en commun, formellement, proche d’un mécanisme cognitif logo-atomisé par négociants en spiritualité, guides en reliques cultuelles, despotes, potentats et autres dévots ayant réussi à faire gober les plus ravageurs illogismes au rapport de leur déconsidération envers la condition échangiste naturelle humaine… Et dans ce paralogisme datant de la naissance de la conscience et des intelligences, concomitantes au mammifère humanoïde, le plus néfaste attribut est, sans doute, l’apparition depuis quelques décennies d’une espèce de scientisme immature indexé en vulgaire marchandising par souscription d’opérateurs en flux d’omission (volontaire ?) d’étude et analyses logiques envers le sujet ontologique au rapport de l’objet physique…
Dans le monde naturel du et des vivants…
Comme le disait Descartes: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’. Si je ne suis que partiellement d'accord avec lui, à la seule différence, de penser que la liberté est une notion définie par chaque conscience, et par conséquent, elle peut être représentée par autre quelque chose, en temps qu'autre degré d’indépendance envisagé par cette conscience individuelle et proche du libre arbitre sensibilisé par une autre forme d’attachement envers l’expression d’une autre liberté, sensiblement partagée.
Ne suis-je pas libre de ma vie ?
En quoi et pourquoi croire à une protection où la dignité et le respect, de toute existence organique, en sont absents ?
Avec pour singularité, en ce Monde de déraisons, faussetés, tricheries et inconscience, en celle de croire que le monothéisme de l’inorganique serait une défense interindividuelle dans celui Naturel du Vivant ?
Ou pour particularité, en celle d’y entendre, pour les chaires phalliques et leurs dévots, se souciant plus des cieux que de la Terre, quelques accointances en perversité narcissique ?
Mais qu’est-ce donc cette liberté, demanda-t-il, à qui n’a jamais le choix… ???
Attachement envers une figure rassurante ?
Une présence uniquement guidée par la voix de son maître ?
Image moderne d’iconographies sans charges passées, courbées à l’hystérie d’une starisation en branlette intellectuelle, dans un ajustement sans souvenir autre que celui d’un moment d’oubli du réel sens de la conservation du bien commun ?
Quel est ce choix d’exister dans un lieu où la sociologie n’est que celle des ardents défenseurs du snobisme ?
Dans un entre soi de petits garçons levant les yeux devant de vieilles reines sur le déclin et un entre-suit de courbettes de palais, en patrimoine de château de cartes fissurés au soin des spécialistes en malversations.
Quel est cette façon de penser ses rêves comme seule défense envers des autocraties absconses, stimulées par un népotisme de vils contes ?
Quelles sont ces dissidences s’interrogeant sur la complétude des intérêts d’une thésaurisation monétaire en usure d’une sociologie démutualisée, pour les moins nocifs, qu’analyses insensées, quant à véritables Droits et Devoirs d’une Démocratie Républicaine ayant oublié le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, et se fourvoyant avec les fantômes de la liberté, de l’égalité et de la fraternité dans les immondices d’une justice dépassée par les clandestinités mafieuses… ???
Quelle est cette culture des moins émancipatrices quant à une politique culturelle, éliminant tout ce qui n’est pas conforme à la ligne du clan inique ou du corporatisme conformisme ?
L’addition des compétences, savoirs faire et savoirs être, fait l’évolution de tout système social-économique & culturel…
Si certains de mes congénères à esprit étriqué s’autorisent à croire que je suis un fainéant à statut ‘’RSAyste’’, et autres à penser que je suis atteint d’un anthropocentrisme intrinsèquement narcissique, dénaturé de toute forme de compréhension, juste curiosité et lucide intéressement envers leur propre attachement assujetti à parfois étranges covalences, consacrées par un symbolisme affilié à atavisme inique, alors, je les laisse à leur triste, incohérent, versatile et déficient savoir, proliférant plus la soustraction des bons savoirs faire et la division des utiles savoirs être que la véritable analyse linguistique, didactique, épistémologique, philosophique, sociologique, économique, géo-historique et culturelle par le langage de la logique humainement acceptable… Des communautés à CULTURES, pensées, intentions, sens, orthodoxies, actions, causes, réactions et devises louables ?
Que faisons-nous maintenant de cette interrogation ontologique, physiologique et intellectuelle ???
Et autres connaissances ajoutées… Dans les dimensions existentialistes et matérialistes à réseaux humanistes… ???
La PAIX, ou la GUERRE… ?
Ou nous essayons de définir syllogismes, paralogismes, métaphores et analogies… ???
Dans un échange textuel ou verbal, si la dialectique émise est en perceptible ‘’décodage’’ de ce que représente une réelle et véritable covalence intelligible, voire un lien d’amitié, notamment par une notification ou un partage empreint du langage de la logique humainement acceptable ou de la contradiction prévenante, pertinente, objective et constructive ; alors la notion de sincère inclination délicate est en potentiel de véritable existence. L’espace ’’physiquement touchable’’ n’en perturbe pas l’intendance du langage de l’amitié, de l’attention, de la juste curiosité et du respect mutuel, affiché aux ‘’bulles’’ textuelles partagées dans l’instant présent. Les limites sans les lumières d’autres ; temps, contrées, savoirs et cultures, jamais n’indiqueront le juste équilibre ; entre essentialisme et matérialisme.
L’intérêt personnel n’a nulle convenance envers les évanescences de l’espace sensiblement touchant, sauf lorsqu’il devient obsolescence matérialiste programmée par l’accaparement et/ou l’individualisme incertain. L’égocentrisme en est l’épreuve absolue et inabordable dans le monde naturel des véritables savoirs être. N’aurait-il pas mieux valu en considérer le sens avant la fin… ?
Tous les esprits libres, sensés et valorisés à l’intelligence bienveillante savent cela. Ils, elles comprennent également que sur l’ouvrage, avec passion, il faut s’entendre. Si l’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude, alors la raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité…
Plutôt qu’à m’attacher à ce qu’ils proposaient, je préférais prendre garde à ce qu’ils faisaient. Non seulement parce que les actions qu’ils proposaient n’étaient pas en phase avec la réelle idée d’un collectivisme communautaire, mais surtout car à l’extérieur de leur parti, groupe, communauté et clan, ils oubliaient ce qu’ils n’avaient exprimé pour rendre la chose cohérente et omettaient ce qu’ils avaient récité, auparavant, en circonstances simiesques. Particularités qu’ont tous les politiciens envers les experts en toutes doctes et réciproquement, m’a toujours laissé dans la même interjection, que celle d’un simulacre de façade orientée vers toutes opérations falsifiées aux obsécrations théologiennes se prétendant être au-dessus de la condition humaine du moment. Leur première loi est d’obéir aux coutumes du maitre des savoirs retenant en tout enseignement religieusement templier les conditions mêmes par lesquelles ils furent élus par leurs disciples pour les grâces suffisantes d’être instruit par un de leurs prosélytes…
N’est-il pas là perversité maligne à laisser croire choses indéfinissables, à celles et ceux qui dans leur propre existence ont déjà quelques jugements douteux dans la raison qui ferait qu’une orthodoxie soit, sans agitation de consciences, meilleure que de se laisser aller de sa propre inconstance à décider des choses, sans affection ni attention particulière, à ce qu’ils en prescrivent la valeur usurière de leurs congénères… ???
A qui point ne s’émeut au « bon sens » par études des lois naturelles avant d’y faire actions qui n’auraient d’autres atours circonstanciels que ceux du refus d’une entente de raison dans une langue dont ils ont été instruits par les précepteurs de leur enfance qui n’eussent pour seule ambition que celles d’envoyer la génération d’après aux combats qu’eux-mêmes n’eurent aucun courage à mener ne peuvent être d’aucun jugement en leurs insuffisances à pouvoir expliquer les éléments narratifs constitutifs d’une période socio-anthropologique qui aurait conduit celles et ceux qui avaient emplois honorables aux traitement de la terre, des eaux, de l’air et de la nature à se révolter contre les pouvoirs d’une régence prostrée envers croissance infinie dans un monde fini par prescription d’un népotisme intellectuel conformiste qui n’ayant pour volonté que l’instrumentalisation de la génération future au profit de leurs uniques accaparements matériels corporatistes dont ils ne sauraient faire positions souveraines de leur propre vieillesse sans observance de leurs acquis, dont ils ne sauraient, en cette temporalité, jouir ; n’ont aucune efficience de préemption morale sur ces révoltés(es) soumis à l’inique diktat d’un pouvoir en gouvernances de divisions des utiles savoirs faire par sanctions équivoques envers justes causes et essentiels savoirs être en souhaits versés à une potentielle vision équilatérale du partage des richesses suffisantes, essentielles et nécessaires aux labeurs positionnés au respect des règles de conservation des lois de l’éthique du monde naturel du vivant.
Michel ASTI – RSA-YSTE DEPUIS 72 mois…
Date de dernière mise à jour : 16/01/2019
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