PAGE 17
« Chez ces gens-là, monsieur, on ne cause pas : on compte »
La « science » économique est un discours dogmatique dont l’usage est d’être invoqué par les financiers pour opacifier les débats. Pourtant elle suppose que l’économie soit constituée d’une juxtaposition d’individus rationnels qui visent à maximiser leur utilité personnelle par des choix rationnels entre les ressources naturelles, matières rares et conceptualisation des objets envers les sujets économiquement viables.
Il semblerait, depuis l’avènement de l’industrialisation au XIXème siècle, suivi par la mise en place de la monnaie scripturale, au XXème que les POLITIQUES ECONOMIQUES deviennent de moins en moins rationnelles, tout du moins au niveau des meilleures formes de collectivisme, et tout au plus pour le formalisme économico-financier des génies de l’usure, mais dans les deux cas dans des paradoxes dignes des pires scénarios en ressources d’intelligence artificielle défiscalisée de celle ‘’HUMANISANTE’’…
L’économie politique, dont Adam Smith en fut un des plus célèbres représentants a précédé la science économique née au XIXème siècle. Elle considérait que les individus se distinguent en appartenances de classes différentes, qui jouent chacune leur rôle propre dans l’économie et dont les intérêts entrent, la plupart du temps, en conflit.
François Quesnay (1694 – 1774) soulignait dans son fameux TABLEAU ECONOMIQUE de la France (1758 : 31 ans avant la révolution française) les intérêts divergents des « classes LABORIEUSES » et des « classes OISIVES ».
Karl Marx, dont LE CAPITAL (1867) est sous-titré « CRITIQUE DE L’ECONOMIE POLITIQUE », affirme avec Friedrich Engels dans le Manifeste communiste (1848) : « l’histoire de toutes les sociétés jusqu’ici a été l’histoire de la lutte des classes. »
Il est évident que toute politique économique est en conséquence et en aucune manière NEUTRE et APOLITIQUE…
Et donc démontrer ‘’scientifiquement’’ : lorsque les coûts de transaction sont nuls, qu’il est toujours plus efficient de traiter le problème d’EXTERNALITES [négatives] en ayant recours à des ARRANGEMENTS PRIVES plutôt qu’à la loi ou aux règlements attachés au PRINCIPE DE PRECAUTION ne saurait être qu’une VASTE DUPERIE. Le problème de fonds se posant, de plus en plus depuis les facilités du commerce international et par conséquent la complexité des règlements, est celui posé en termes de DROITS CONCURENTIELS plutôt qu’en termes de RESPONSABILITE DELICTUELLE. Et dans ce cadre-là, voir également la mise en place des DROITS A POLLUER par différents Etats du monde, ainsi que ceux du ''vieux continent''.
« Chez ces gens-là, monsieur, on ne cause pas : on compte »
PAGE 17
Les yeux de l’homme ne réussissent à percevoir les choses que par la… ; connaissance de leur superficialité. Pourtant l’intelligence humaine a les ressources pour donner forme à leur essentialité.
« N'espérez jamais trouver votre sûreté dans les armes de la fortune. » Sénèque. Nelson Mandela disait : ‘’Une population instruite, éclairée et informée est une des façons les plus sûres de promouvoir la bonne santé de la démocratie…’’. Et Benjamin Franklin : ‘’Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’un, ni l’autre et finit par perdre les deux’’.
« Le meilleur système démocratique est une ethnosociologie Cultura-économique privilégiant une politique philosophique par l’assassinat virtuel »
LE SALAUD
Le salaud a-t-il des représentations dans toutes les couches de la société ?
En politique, en économie, en philosophie aussi ?
La salope est-elle l’égale du salaud ?
Le salaud, c’est celui qui est prêt à sacrifier autrui à soi, à son propre intérêt, à ses propres désirs, ses uniques envies de possession, d’accaparement, voire exigences fétichistes au nom d’idéaux souvent voués aux passions médiocres, telles la jalousie, la tricherie, le mensonge, avec pour particularité, en celle d’utiliser tous les outils et moyens affichés à la perversité narcissique, doublée d’un ‘’je m’en foutisme’’ notoire envers toutes zones d’existence proches ou un peu plus éloignées de celles de ses congénères, tant au niveau des communes rurales, cités, départements, régions affiliées à un territoire national, voire un continent, tel celui européen.
Cela rejoint, en quelques points, la pensée de Sartre qui fit du salaud une catégorie philosophique. Le salaud au sens sartrien du terme, c’est celui qui se croit, qui se prend au sérieux, celui qui oublie sa propre contingence, sa propre responsabilité, sa propre liberté, celui qui est persuadé de son bon droit, de sa bonne foi et c’est la définition même pour Sartre, de la mauvaise.
Le salaud, au fond, c’est celui qui se prend pour une entité idéique supérieure, ou qui est persuadé qu’un quelconque dieu, (ou l’Histoire, ou la Vérité) est dans son camp, et couvre, comme on dit dans certains corps intermédiaires, ou autorise, ou justifie, tout ce qu’il se croit tenu d’accomplir.
Saloperie des inquisiteurs. Saloperie des croisés. Saloperie du « socialisme scientifique ». Saloperie du « Reich de mille ans ». Saloperie, aussi bien, du bon bourgeois tranquille, qui vit la richesse comme son essence et le capitalisme comme un destin. Saloperie de la droite, disait Sartre (« de droite, pour moi, ça veut dire salaud »), ce qui illustre assez bien une saloperie de gauche.
Le salaud, c’est celui qui est sûr d’avoir bonne conscience. C’est ‘’l’ayant-droit’’, comme dit François Georges dans ses ‘’Deux études sur Sartre’’, autrement dit, celui qui est convaincu de sa propre nécessité, de sa propre légitimité, de sa propre attitude, de la validité de ses propres pragmatismes, facultés et aptitudes. C’est pourquoi, aucun salaud ne se croit tel : ‘’Tous les salauds sont de mauvaises foi et néfastes intendances, qui ne cessent de se trouver des excuses ou des justifications’’…
Qu’est-ce qu’un salaud, et une colonie de salauds… ???
C’est un égoïsme qui à bonne conscience, persuadé d’être un type bien, et que le salaud, en conséquence c’est l’autre…
C’est pourquoi il s’autorise le pire, au nom du meilleur de soi, ou celui de son clan – d’autant plus salaud qu’il croit avoir justification à l’être, et pense donc être dans son bon droit à ne pas l’être, voire à l’exprimer par l’étendard du népotisme déifié.
Les hommes ne sont pas méchants ; ils sont mauvais et médiocres, et se croient doter d’une bonne foi émancipatrice.
Saloperie : égoïsme de bonne conscience et de mauvaise foi.
Les salauds, leurs adorateurs et adoratrices sont convaincus de leur innocence.
Mieux vaudrait un égoïste lucide et se sachant responsable de ce qu’il a été et est, de ce qu’il fait et conscient de ce qu’il a fait, qu’un égoïste satisfait de soi et convaincu de son bon droit.
En langage sartrien : ‘’MIEUX VAUT UN EGOÏSTE AUTHENTIQUE QU’UN VRAI SALAUD’’
Mais le seul égoïste authentique, le seul égoïste insatisfait, c’est celui qui ne se résigne pas à l’être.
Le salaud, dit un jour l’auteur de ‘’La Nausée’’, « c’est le gros plein d’être ».
Anthropocentrique vaniteux ?
Et le contraire cette saloperie du moi, c’est la conscience, qui est néant, qui est impossible coïncidence de soi à soi, qui est exigence, attachement, liberté, responsabilité, mais aussi questionnement perpétuel quant à la responsabilité de ‘’l’être humain’’.
Culpabilité, mauvaise conscience ?
Celle de la dénégation ?
Ou la confirmation ?
C’est quoi la bonne position sociologique, philosophique et économique ?
L’être-humain lucide, sincère et authentique, comme dirait Sartre, celui qui assume sa propre liberté, sa propre solitude, sa propre gratuité, son propre altruisme.
C’est ce qui peut, dans, par et avec la LINGUISTIQUE HUMANISTE, être nommé la CONSCIENCE ETHIQUE, et au sens large la DEONTOLOGIE ATTACHEE AU BIEN COMMUNU ; et c’est le CONTRAIRE de la saloperie.
Le goût de vivre - ACS
« Le meilleur système démocratique est une ethnosociologie Cultura-économique privilégiant une politique philosophique par l’assassinat virtuel »
Dans le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfance et le respect des lois de la Démocratie Républicaine sans distinction de couleur, de morphisme catégoriel, de croyance ou non croyance religieuse, d’ethnie et d’opinions politiques.
« Les experts en intelligence sont-ils devenus espèce à sang froid ? La politique, la religion et la monnaie sont-elles, pour certains clans, un résultat de pouvoir divisionnaire inique ?
Ce qui est certain, c’est que les trois veillent et entretiennent le néo – ordo – ultra – libéralisme social-économique et le capitalisme financier impérieux » […]
Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ; or il est de plus en plus inhumain, déséquilibré et irrationnel.
Les yeux de l’homme ne réussissent à percevoir les choses que par la… ; connaissance de leur superficialité.
Pourtant l’intelligence humaine a les ressources pour donner forme à leur essentialité.
M.A
- Maudit censeur ! Te tairas-tu ?
Ne saurais-je achever mon conte ?
C’est un dessein très dangereux
Que d’entreprendre de te plaire. ‘’
Les délicats sont malheureux :
Rien de saurait les satisfaire.
Jean de La Fontaine
Le principal fléau de l’humanité n’est pas l’ignorance,
Mais le refus de savoir.
Simone de Beauvoir
80 MILLIONS DE PAUVRES EN EUROPE… EN 2019.
La démocratie devient-elle une technocratie gérée par des politiques et leurs alliés ne voulant plus faire analyse juste et sensée envers une véritable économie sociale de marché ; ayant réelle attention envers une Démocratie Républicaine attachée à la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice sociale-économique… ? Et aller, hop, encore une révolution pédagogique structurée au conformisme déficient et incapable de se libérer dans la création, mais assurément compulsés par des étiquetages d’une technocrature politique prostrée au désir incommensurable de se donner en spectacle pour l’unique vacance désuète de ses membres envers un démiurge binaire, entre tout ou rien…
Comment espérez-vous, dans cette errance sociale-économique, qu’il puisse exister, en ces temps troublés, un intelligible vecteur attentionné autorisant la génération des 16 – 25 ans à pouvoir faire choix sensé et rationnel quant à leur future existence communautaire, dans un monde totalement individualiste, surtout lorsque l’enseignement, la retransmission des connaissances, la pédagogie et les apprentissages sont devenus formalisation prédatrice dans une vision dénuée de factions équilatérales ; et tout cela dans un système de bien(s) et services marchant vers une rentabilité exponentielle et creusant ainsi le tombeau d’un autre secteur économique, non prolixe, et ignorant par-là même ; les circonvolutions d’un machiavélisme philosophico-politique dénué de toute attention en sollicitudes… ??? Dans un monde terrestre, fini.
A quelles aberrations éducatives serait-il propre de leur nature qu’elles n’en fussent point incorrigibles à marcher vers un abîme qui mène formes et styles en reniement de dignité et destitutions en conservation du bien commun… ; au nom d’une guerre économico-financière entre possédés(es) et possédants(es)…
Dans les années 80, l’éducation mit en place l’apprentissage linguistique par mémorisation… ; nous en dissertons, sans mal de tête intransigeant, le résultat actuel… Tous ces experts, docteurs et spécialistes en ressources humaines ; ont-ils oublié que la MEMOIRE est chose aléatoire, subjective et ne possède en aucun cas facultés illimitées ; attachées aux mécanismes cognitifs du mammifère-humanoïde… Ont-ils, sont-elles ; et réciproquement, dans une omission (volontaire ?) théorique stipulant qu’en toute matière les bases de la connaissance pluridisciplinaire sont essentielles à l’élargissement du champ des possibles… ???
En l’occurrence ; pour la morphosyntaxique du langage humain – c’est l’alphabet qui autorise la composition de syllabes, mots, phrases, etcétéra… ; textes et lemmes explicatifs, voire compréhensibles… Et cela, non pas pour en faire, ‘’grâce’’ au langage politicien une rhétorique rendant vraisemblables les mensonges, crédibles les tricheries, respectables les ‘’petits meurtres entre amis(es)’’ ; et ainsi donner solidité à ce qui n’est que vil ‘’manège enchanté’’ farci aux bals des hypocrites prétentieusement comblés par un existentialisme perdu dans les profondeurs d’esprits sans vitalité, desquels n’y pourrait surgir aucun jaillissement autre que la duperie en tickets d’entrée chers payés ; envers une société sans embase.
Qui plus est, lorsque la valse entrepreneuriale, productive, technologique & commerciale des sociétés est soumise au machiavélisme défiscalisé par le prisme social-économique d’élites de pacotilles qui, majoritairement, seront à la retraite professionnelle, voire institutionnelle, tels des sages, qui ainsi dans leur sérénissime savoir auront encore quelques solutions viables quant à ethnosociologie justifiable de justiciables en déconstruction reproductive non soluble avec le principe de subsidiarité entre sociologie de tempérance et économie de pragmatisme… Avant que la génération d’après y réussisse à étudier les quelques conneries philosophico-politico-ontologiques de celles d’avant, où les moins férus(es) en pluridisciplinarité furent désaxés par une thésaurisation sociologique, humainement inacceptable et souvent inintelligible pour autoriser une recherche des liens et accords du discours entre les sciences et les arts, suffisamment éloignée des temps immémoriaux des Lumières pour laisser croire aux ignorants(es) et adeptes de la servitude volontaire que le retour à la pensée unique édictée en paralogismes politico-philosophiques modernes serait la solution mondiale, valable, viable et sûre telle une pensée ethnosociologique devant être acceptée sans débat en liberté d’expressions… ? Et donc d’appartenance en artéfacts élitistes et reliques incontestables ?
Si certains de mes congénères à esprit étriqué s’autorisent à croire que je suis un fainéant à statut ‘’RSAyste’’, et autres à penser que je suis atteint d’un anthropocentrisme intrinsèquement narcissique, dénaturé de toute forme de compréhension, juste curiosité et lucide intéressement envers leur propre attachement assujetti à parfois étranges covalences, consacrées par un symbolisme affilié à atavisme inique, alors, je les laisse à leur triste, incohérent, versatile et déficient savoir, proliférant plus la soustraction des bons savoirs faire et la division des utiles savoirs être que la véritable analyse linguistique, didactique, épistémologique, philosophique, sociologique, économique, géo-historique et culturelle par le langage de la logique humainement acceptable… Des communautés à CULTURES, pensées, intentions, sens, orthodoxies, actions, causes, réactions et devises louables ?
Que faisons-nous maintenant de cette interrogation ontologique, physiologique et intellectuelle ??? Et autres connaissances ajoutées… Dans les dimensions existentialistes et matérialistes à réseaux humanistes ?
La PAIX, ou la GUERRE… ? Ou nous essayons de définir syllogismes, paralogismes, métaphores et analogies… ???
Dans un échange textuel ou verbal, si la dialectique émise est en perceptible décodage de ce que représente une réelle et véritable covalence intelligible, voire un lien d’amitié, notamment par une notification ou un partage empreint du langage de la logique humainement acceptable ou de la contradiction prévenante, pertinente, objective et constructive ; alors la notion de sincère inclination délicate est en potentiel de véritable existence. L’espace physiquement touchable n’en perturbe pas l’intendance du langage de l’amitié, de l’attention, de la juste curiosité et du respect mutuel, affiché aux bulles textuelles partagées dans l’instant présent. Les limites sans les lumières d’autres ; temps, contrées, savoirs et cultures, jamais n’indiqueront le juste équilibre ; entre essentialisme et matérialisme. L’intérêt personnel n’a nulle convenance envers les évanescences de l’espace sensiblement touchant, sauf lorsqu’il devient obsolescence matérialiste programmée par l’accaparement et/ou l’individualisme incertain. L’égocentrisme en est l’épreuve absolue et inabordable dans le monde naturel des véritables savoirs être. N’aurait-il pas mieux valu en considérer le sens avant la fin… ? Tous les esprits libres, sensés et valorisés à l’intelligence bienveillante savent cela. Ils, elles comprennent également que sur l’ouvrage, avec passion, il faut s’entendre. Si l’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude, alors la raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité…
‘’Le propre de la vraie forme c'est que l'esprit se dégage d'elle immédiatement, instantanément, tandis que la forme défectueuse le retient comme un mauvais miroir et ne nous rappelle rien qu'elle-même.’’
Kleist
Si la pauvreté est la mère des crimes, le défaut d’esprit en est le père.
Jean de La Bruyère
Par ces postulats, il ne devrait donc y avoir, en ces temps troublés, aucune possibilité d’ordre politique transcendant ; donnant à l’art des gens, cette qualité de juste compréhension envers la totalité du système Socio-Economico-Culturel… Dans les zones de production, d’échange et de valorisation de bien(s) et services représentées, dans et ; par la République Française Démocratique à tendances Laïques…
Dans les civilisations individualistes l’ensemble communautaire rationnel n'a plus aucune identité sociologique spécifique – Il est donc incohérent de la part des corporatismes à statuts conformistes béats de contracter avec lui. Peut-être parce que les orthodoxies séculaires ont peur du miroir des contre-évidences. En conséquence de cela, ne rendons toutefois pas, par déni d’attentions, d’analyses et de compréhension, l’autre intrinsèquement responsable de n’avoir su ou réussi à répondre à tous nos besoins insatisfaits et sentiments inassouvis… Où en ces états sensibles, lorsque l’acte de mauvaise intendance est réellement avéré alors, il ne reste plus que la liberté de partir vers de possibles meilleurs horizons… Accepter l’infortune du moment, devenir aphone, écrire ou, se rebeller… S’indigner, Résister… Mais contre qui et au nom de quoi… ???
Il meurt lentement celui qui devient esclave de l’habitude, refaisant tous les jours les mêmes chemins, celui qui ne change jamais de repère, ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements, ou qui ne parle jamais à un inconnu, celui qui évite la passion, celui qui ne change pas de cap, celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves, celui qui pas une seule fois dans sa vie, n’a fui les conseils sensés. Il meurt, lentement, celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas rire de lui-même. Sans ferveur et passion la vie s’écoule tristement…
Pablo Neruda
A la perdition, vanité fit jeux homolatéraux
La prescription se crût synopsis des grâces morales
La presqu’île de lemme s’y fige sous les oboles
La manie nie coquine, les aiguilles piquent au vif
Je te fiche mon billet qu’idolâtrie est mesquine
Aux envies abasourdies, hermine fuit justice fortuite
Sans lèche vitrine, les psalmodies s’amollissent sous ruine
Vies inutiles dans la city dépriment la composition cynique
Bien caché sous les buis, les fleurs de liberté se terrent
Qu’est-ce que l’Europe ? Un acharnement de voisins qui se battent… Ecrit ainsi, le philosophe et mathématicien, Leibniz (1646-1716).
- En Allemagne, les phases d’expansion des droits civiques et sociaux (L’unité allemande ou les réformes de Willy Brandt) se produisent en période de croissance. La montée du nazisme dans les années trente ou la recrudescence des pulsions anti immigrés se produisent au cours de sévères phases de récession…
Le monde est clos et le désir infini - Daniel Cohen.
Avec pour encore plus mauvaise vision dans le système social-économique français (et autres) en celle d’imaginer la nouvelle possible évolution post-industrielle comme une désintégration communautaire par décret en faveur de la déconsidération cultura-identitaire nationale où le plus néfaste schéma d’incompréhension se trouve assurément proche des liens moribonds entre : Le corporatisme paroxysmique » Le déclin social-économique » La prédation territoriale » Le sectarisme culturel » L’anti-laïcité » Le populisme intransigeant » Le nationaliste exacerbé » Les peurs dans la zone non-sécuritaire » L’obscurantisme » Le nihilisme » La radicalisation » Le fascisme » Etc… ; et pour vecteur novateur à partir de la fin des années 1970, l’avènement de l’outil informatique, permettant de créer d’autres classifications, grâce aux langages algorithmiques où les mathématiques en autorisent la création des bases de données et autres compositions sujettes à confinements incohérents, dont le pire est d’avoir oublié dans cette histoire à tendance déshumanisante, la pensée profonde de la propre existence ontologique singulière du mammifère-humain.
L’HUMANITE EN PENTE GLISSANTE
L’homme n’apprend rien de ses erreurs.
Une erreur, de ‘’casting’’ ou autres, quelle, soient-elles, est un évènement qui, normalement, se produit une seule fois. Lorsque cette même erreur arrive une seconde fois, c’est une faute.
Nous vivons aujourd’hui aux crochets des générations futures et nous leurs léguons une poubelle explosive très chère à entretenir, tout en ne leur procurant plus les moyens de vivre de leur travail. Le COURT-TERMISME est, parait-il, inscrit dans les règles de politiques seulement et uniquement comptables…
Auparavant, l’individu était une personne morale à valeurs de dignité supérieure aux prix fixés à l’objet de consommation. Le glissement de cette dignité – certes inexistante chez les individus soumis à la tricherie, l’ignominie, l’infamie et l’insincérité patente – part de la personne physique en respect des valeurs éthiques et déontologiques dans le cadre des Droits et Devoirs inscrits dans une société de justiciables et justifiables en tant que personnes physiques morales. Cette personne physique, dotée d’un patrimoine, a été transposée au statut d’entreprise morale, en tant qu’entité fonctionnelle – machine non-humaine – puis fut réalignée, aux Etats-Unis, au milieu du XIXème siècle, par sa mise en place au statut de ‘’personne morale’’, désignée plus tard sous le patronyme de ‘’TRUST’’ - « la Fiducie » de droit anglo-saxon (pays considéré comme le plus grand colonisateur à partir du XVIIème siècle). Cela permit aux individus, personnes physiques de pouvoir s’inscrire dans le sillage de personnes ‘’morales’’ et bénéficier ainsi du pouvoir démultiplié des sphères patrimoniales et de l’influence de l’avènement industriel au cours du XIXème siècle, auquel les individus accédèrent grâce à l’héritage, à la transmission, filiale, à tiers personne ou groupes d’intérêts particuliers – à l’immortalité du trust – qui était désormais garantie par la société morale de l’entreprise capitalistique, anglo-saxonne, américaine, etc… ; suivis par la mise en place du système de circulation mondialisé des marchandises et capitaux…
Ne faut-il pas penser, dans cette évolution de la société ‘’morale’’ une « ruse de la raison » au sens hégélien ?
Et tenter de pouvoir dire que les lois du commerce international sont une parodie de néfastes valeurs collectivistes, corporatistes et communautaires, voire agencés par des groupes de prédation.
Quand une mise en œuvre des principes du marché ultralibéral provoque une crise écologique et idéologique précédée par des crises économiques et financières, sévères au cours du XIX et XXème siècle, puis la première véritable crise financière mondiale en 2008, trouvant sa source aux Etats-Unis, que peut-on penser de ce système politico-social-économique ultralibéral ?
Qu’il est celui des plus forts ou plus nantis ?
Les banques et organismes financiers ont-ils appris de leurs erreurs ?
Nous allons rendre le système économico-financier plus fiable, ont-ils dit. Le résultat de ce système où l’attitude asociale brutale de l’économiste et du comptable a pris le pas sur le prix de toute dignité, en tant que constituante d’une Démocratie Républicaine, dans le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, serait-il devenu un jeu de dupes, à produit négatif et dommages collatéraux funestes pour encore proportion trop importante de l’humanité ?
LA LOI DU MARCHE AVANT LA BIENVEILLANCE… ?
Le XIXème siècle fut celui de l’avènement industriel initialisé par les premières découvertes scientifiques de la fin du XVIIIème, après la Renaissance au XVIIème. La technologie, les sciences et la création de nouveaux outils, matériels, matériaux, moyens techniques, dispositifs de communication et facultés humaines, nécessaires à indexer l’évolution des sociétés, prennent une ampleur extraordinaire, jusqu’à nos jours. Une partie de notre « modernité » commençât véritablement au début du XIXème siècle. Les nouvelles idéologies aussi. Les paradoxes de la philosophie-politique également. Ce siècle de l’avènement industriel vît, sur l’ancien continent la chute des monarchies. La fin de la révolution d’octobre en Russie enclencha une nouvelle ‘’guerre’’ entre le modèle capitaliste anglo-saxon, émancipé à plus grande échelle outre Atlantique, notamment en Amérique du Nord, et le communisme soviétique induit par la face autocratique, voire despotique de Lénine et Staline, avec les deux plus meurtrières guerres au XXème siècle.
L’histoire n’avance que par son mauvais côté, disait Marx.
Il est intéressant de voir que l’histoire de l’ancien au rapport du nouveau continent affichée par le nouveau monde des Amériques est en train de réapparaitre, telle une forme simiesque d’un passé sombre. Certes la modernité a apporté ses bienfaits. Notamment dans les domaines des transports, de l’alimentation, des normes de sécurité, l’hygiène, la médecine, les connaissances, la retransmission de l’information, la rapidité des échanges commerciaux… ; etc… Mais tout cela n’a pas suffi à diminuer, proportionnellement à l’évolution démographique, les inégalités entre les hommes, les femmes et les enfants, l’iniquité sociale-économique, les conflits territoriaux, la fracture culturelle, le refuge identitaire et communautaire. L’accessibilité aux biens essentiels est de plus en plus compliquée, même dans nos sociétés occidentales. Ces dernières décennies l’incompréhension intellectuelle entre systèmes d’échanges de biens et services des villes, où sont concentrées les richesses, et régions rurales, en déficit d’emplois, s’est accentuée. La fête s’est terminée à la fin des années 80, après les ‘’trente glorieuses’’.
Elles ne reviendront jamais, soyez en certain.
Il faudrait que les sociétés modernes se réinventent en fonction de leurs évolutions technologiques, économiques et culturelles, si elles veulent s’émanciper des carcans sociétaux, de l’ignorance inflationniste installée par de néfastes corpus sociaux-économiques et culturels fracturant les communautés, territoires, pays et nations inconscientes du drame en déclin civilisationnel. Après la liesse faisant suite à la fin de la deuxième guerre mondiale et le renouveau de la construction européenne les démons affectés à l’anthropocentrisme de l’homme et des clans ressurgirent. Les fantômes de l’ancien monde réapparaissent. Les peurs, les incertitudes, la pression économico-socio-financière et les dogmatismes des nouveaux paradigmes culturels affichés aux néo-scientistes s’installent patiemment, au nom des lois et règles de marchés des « changes », soient disant inédits… ??? Mais bienveillants, parait-il…
Quand l’histoire se répète, disait Marx, la deuxième fois c’est une farce.
« La monnaie doit se donner pour légitime et cette légitimité ne peut se construire sur la base de la seule conscience qu'auraient les agents financiers du nécessaire recours à des objets conventionnels. Or, seule cette conception de la légitimité répond aux exigences et naturalités des thèses individualistes. Techniquement, c'est au travers de l'hypothèse d'anticipations rationnelles qu'elle se trouve formalisée dans les modèles socio-économico-culturels. En effet, cette hypothèse signifie que les représentations des agents sont identiques au vrai modèle de l'économie. A contrario, la légitimité suppose la croyance en une certaine matérialité des symboles…»
Aussi est-elle contemporaine d'un certain délitement ou déni d’évolution collectiviste, voire mutualiste des sociétaires, acteurs, actrices, réalisateurs, imprésarios, agents et échangistes des scènes nationales et internationales, perceptibles en et par les dysfonctionnements géo-politico-socio-économiques, devenus aujourd’hui divisions communautaires, où en certains lieux de conflits géo-politico-financiers, la valeur immanente est en ces états, indubitablement, ‘’ARMEE’’…
Au détriment de toutes ’’cultures’’…
Où le temps de la potentielle entente sera invariablement utopie.
Dimension qui ne peut être en aucun cas désolidarisée de tous objets symboliques, matérialisés par leurs essentialités, utilités, nécessités, disponibilités ou toute autre sensibilité en tant que sujet porté à son propre pouvoir, sur soi ou autres par l’effet de cette symbolique affective, devise sécuritaire, liberté attractive, attachement séculaire, immanence séculière, causes plaisantes, passion communautaire raisonnable, raisonnée… ; ou alors individuellement déraisonnable… ???
LETTRE AUX MEPHISTOPHELES
Ne croyez-vous pas, Mesdames, Messieurs en tâche de gouvernances, que la plupart des gens se voyant tromper dans leur espérance, par les simulacres d’une exhibition politique, excluant territoires et habitants, non solubles avec la photo de famille gouvernementale sollicitée par des cadreurs de censure, n’y trouvent plus raisons suffisantes à attendre votre lente mise en application envers justice sociale, mais plutôt à trouver forces restantes et suffisantes à réparation ?
J’en serai fort aise, à y trouver nombre d’indignés(es) suffisant à organiser une nouvelle armée des justes, officiant aux chemins d’une plèbe à dissidence intelligible. Au nom d’un contrat social, entre les lignes des anciennes barricades, du rouge teinté au sang des innocents, n’en reste-t-il pas quelques gouttes invisibles aux yeux des biens garnis… Tiraillés entre la maladie du blé jaune, le virus d’un sarrasin envers la liberté d’une sarrasine, la mélasse, le voilage et le plumage, le néo-ordo-libéralisme, la franc-maçonnerie, les partisanneries cultuelles iniques, la soumission liberticide, les intérêts corporatistes antisociaux, le néo-scientisme, la culture anthropocentrique de l’entre-suit, le conformisme béat, la servitude, les possessivités vénères, la starisation politico-médiatique, le marketing et Mammon…
N’y voit-on pas là quelques éboulements d’échafaudages, auparavant structurés par la présomption phallique de chaires institutionnelles, à ce qu’elles n’y puissent contenir autres imminences grises que celles des religiosités-politiciennes ruisselantes d’inefficacité accostées par des politiques-templières, vouées à l’ordre de l’accaparement, au nom d’une vénalité d’intendances ?
Suceurs de position en sont assurément les plus fieffées gardiens d’étals…
A nul doute, d’un côté à compter pièces d’or et de l’autre, symboles à foutres. La différence y est insignifiante ; de même prosternation, la position en est effarante. Pour l’une, il est d’évidence action, en compte de pièces, le Veau - d’Or à engraisser, et de l’autre à attendre, que l’animal en vomisse quelques onces. A la magie des incertitudes, vociférâtes les inutilités aplaties, pour qu’en cette réunion, au cours des jours saints, la prière, de sept en sept, honore la fourberie et apaise les prémices suspicieuses de la condition humaine. C’est, sûr, celle-ci pousse tant d’imprécations qui s’y trouvent dans les prédicats de cette censure, que je n’ose en croire les possibilités d’une inversion décidable aux abords de la loi du marché.
L’entreprise humaine ne s’élèvera qu’en avertisseur d’intransigeances, le jour gratifié du nombre suffisant, d’avoir réussi à investir les vestiges d’amphitryon fourrés aux inepties des commandements privés de toutes institutions collectivistes abasourdies par le brouillamini des courbettes de fonds… Que d’une laïcité sortie des procédures d’assouvissement, le problème n’y résistera qu’en la discontinuité d’incompréhension des termes partisans affichés aux sourdines du multiculturalisme pervers abonné aux poisons d’anathème, d’exécration et d’hérésie, promulgués aux expressions d’horreur transmises par la parabole des virus d’assomption, s’imaginant proposer une nouvelle hystérèse ignorante des soubassements de la détestation, envers les exégèses d’experts en toutes doctes, génies de l’économie-financière et autres sorciers de l’usure promis en avenir de façadiers sans éthique et morale, mais assurément avec posture propre à bande de fieffés Méphistophélès …
Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ; or il est plus en plus inhumain, irrationnel et déséquilibré.
A l’ère de l’information, l’ignorance est un choix… ; à moins que ce soit un déni de réalité ou un refus de meilleure attention en échange de bonnes intentions… ?
Etre dans une pure logique du calcul c'est donc reconnaître la pleine conventionalité des objets élus, sans analyse particulière, autre que celle thésaurisée par la valeur mathématique de l’objet ou de l’ensemble (E) validé par la somme des objets matériels et sujets virtuels, et inversement ; symboliquement reconnus comme seul pouvoir capitalistique ostracisé dans l’activité économico-financière, et uniquement celui-là.
L’effet holistique du système collectiviste humain se veut en cette contingence économique, sociale et politique intrinsèquement obérer. La question qui est alors posée est de déterminer l’effet en retour de ce savoir sur la stabilité de la convention.
Ce point est central. Selon la réponse qu'on lui apporte, ce sont deux perspectives d'analyse divergentes qui s'ouvrent à nous :
1 – La confiance en la réalisation d’une véritable sphère démocratique citoyenne
2 – La défiance envers les gouvernances politico-socio-économiques représentantes de l’hyper-sphère
Michel Asti – AU DELA DES QUARANTE MALENCONTREUSES
ECOLOGIE : http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/ecologie/
- ENTROPIE - THERMODYNAMIQUE - GES
- LA PRIVATISATION DES SEMENCES
- DES ENERGIES ET DES HOMMES
- LES ECO - TARTUFFES
- LES CLIMATO-SCEPTIQUES DU FROID & DU CHAUD
- Territoires, cité et ruralité
Je dégustai d'un bon appétit une tartiflette aux trois fromages préparée par mes soins.
Je l'avais accompagnée d'une salade verre et d'un peu de Chardonnay.
Je me sentais bien... ; lorsque l'apparition d'un documentaire télévisuel concernant le Vendredi noir, DARK FRIDAY en anglais, m'interpella.
Je me ressaisis, en me disant : ‘’ Nous sommes dimanche, la température est fraiche, le temps beau et le soleil présent. Le vendredi noir est terminé, et en tous cas, où je réside, il n'y a aucun risque à être atteint par le syndrome du consumérisme endiablé affiché par l'homo-économicus, imbécile, notamment quant à sa fonction COMPULSIVE de possédants(es)-possédés(es) par l’objet du désir absolu…
Je pris mon assiette et mon verre de vin ; et m'installa devant le poste de télévision, afin de regarder et écouter le documentaire.
Mes yeux ont failli sortir de leur orbite, lorsque je vis un retraité se faire livrer un téléviseur gigantesque. Je sus par la suite, que ce couple en possédait déjà quatre de bonne dimension. Lorsque la compagne de ce monsieur, vit l’OBJET, je crus qu’elle allait DISJONCTER.
Mais non. Pour se venger elle alla acheter une nouvelle paire de chaussure.
Un autre couple de même génération, était parti pour acquérir un réfrigérateur... Ils sont revenus avec un canapé payé 1 670 euros, au lieu de 2 200 €. Une bien belle affaire. Mais ont-ils été soucieux, ou simplement attentionnés à sa provenance et se sont-ils intéressés à son mode de fabrication, ainsi qu’à la composition des matières premières utiles à sa conceptualisation… ???
Il parait, même, en ce jour de ‘’Black Friday'’’, qu'un individu serait mort dans une bousculade,...
Cette fièvre acheteuse est-elle devenue la panacée de groupes de moutons ignorants ou mammifères humanoïdes déculturés, quant aux problèmes du Monde Naturel, des biosystèmes, écosystèmes et SUJETS attachés à contrées sociales-économiques respectueuses du et des VIVANTS... ???
Je crois, malheureusement, que cela est ainsi.
Mais le pire est peut-être l'utilisation, incohérente, des nouvelles technologies dans le SYSTEME de BIEN(S) et SERVICES MARCHAND.
Je m'explique :
- Une entreprise exerçant dans le domaine de la pisciculture, certainement pour raisons solvables vouées à l'extraordinaire marchandising mercantiliste, a proposé à ses internautes, 30 tonnes de crabes, langoustes, homards, coquilles Saint-Jacques et autres crustacés (environ 70 000 pièces).
Tout fut vendu, acheminer, et livrer en trois jours.
FORMIDABLE, dit le directeur de l'entreprise. Nous avons augmenté, notre chiffre d'affaire de 30% par rapport au précédent ‘’Black Friday’’. (Eh oui, il faut bien une base, en tant que référentiel, à tout échange ECONOMICO-COMMERCIAL, en saisine de l’acte en MARCHANDISING d’ACHAT-VENTE), puis de 50% cette année.
Cet homme était assurément fier de lui, de sa société de pisciculture et de son site internet.
Il a toutefois avoué qu'il avait vendu les 30 tonnes de nourriture à prix de REVIENT, mais était content d'avoir augmenté le nombre de ses ADHERENTS(ES) à son site de vente par internet.
La CONNERIE HUMAINE n'a décidemment aucune limite, pensais-je.
ALBERT EINSTEIN a écrit : « Aucun problème ne peut être résolu sans changer le niveau de conscience qui l’a engendré »…
ET GANDHI :
« Nos croyances deviendront nos pensées
Nos pensées deviendront nos mots
Nos paroles deviendront nos actions
Nos actions deviendront nos habitudes
Nos habitudes deviendront nos valeurs
Nos valeurs deviendront notre destinée »…
ET SI MALHEUREUSEMENT NOS CROYANCES S’AVERAIENT FAUSSES… ;
NOTRE DESTINEE LE SERA AUSSI…
TEMPS DE CONFIANCE…
Silence des justes combats,
Ostentation sur lignes désuètes,
Tautologie aux langues sournoises,
Ségrégationnisme en partitions poussives,
Vociférations surbookées par une dialectologie en prémices de sujets diligentés aux seules aptitudes de funestes pertes, l’aiguille transperce les marignanaises embrigadées aux articles bidons, structures sans charmes.
Que de l’oubli de ce qui n’a jamais existé, nous resterons debout, face aux productions faxés par les gestes d’une amnésie cernée aux obligations des imprécations vaseuses ; en marigots suspects.
Amphitryons en branlette cognitive,
Intelligence de petits narcissiques,
Caricatures d’un guide de pacotille,
Divagations nationales filtrées aux séquences des ordonnateurs de schismes, calques en sémio-centrismes du roi ‘’buzzique’’, balbutiements d’une veule prestance frappée aux doigts d’honneur d’adolescents incultes.
Coqs de basses coures,
Absurdités aux ordres Gendres,
Trottine en paternalisme hagard,
Révolte livresque de présidences larguées par sphères en practices de ghettoïsation sociologique. Intérieur en fourberies d’un castagneur au raz d’un éloge mafieux, porte-parole d’une philosophie-politique aux pieds d’argile, casse instituée par destruction anti-créatrice.
Détournement des sources hydriques, essence taxée aux volontés d’un bricolage écologique sans vitalités homogènes, virulence de gouvernances cinglées aux censures en horizon d’effort au nom de césures sous encres sympathiques.
Caches en pleurs sans méthode,
Arabesques sur toiles falsifiées,
Triolisme aux écueils planifiés,
Quelle est cette alarme silencieuse qui n’eut ; aux besoins arborés de cris refugiés sous bruyères, que solistes en vague idée d’une ordonnance empruntée à l’imaginaire structurée au piètre bellicisme sans issue ?
Fiancée configurée dans plus hautes sphères d’un gratte-ciel surdimensionné aux ignorances des pointes en rêves jaunis, sans courbures, le regard n’atteint plus que les zones tendues aux services des crépuscules sans mémoire.
Le bon sens ne s’émeut point,
Instrumentalisation accaparatrice,
Défilements de prostrées(es),
Offrandes en éventaires figés,
Médias en cache misère, l’image des mains travailleuses s’est mue consumérisme sans arborescences utiles, la voie ainsi tracée aux maux déjà castrés de l’alchimie vitale, le néo-scientisme éviscère les ventres mous.
Qu’est-ce donc en cet état de sens de conservation du bien commun ?
Colonie des pics perdus dans les méandres d’un combat marqueté par les outils robotisés, automatismes liés aux prémices d’un langage entravé aux nombres ciselés par quatrain en triangulation porteuse de sang neuf ?
Débat-piège aux postiches d’abbesses fiduciaires ?
Paradoxe sans soins à misère,
Appâts pour vers soyeux,
Perspectives en esprits surnaturels,
Ethologie d’émoticônes déshumanisés,
Le conformisme d’actions déséquilibrées s’est pris dans les rets d’un filet maillé aux règles d’une éthique sans conservation, Droits et Devoirs n’ont plus que l’apparence de statues disloquées aux membres factices,
Les minorités viles se sont immiscées aux records des majorités coites, politiques des villes et naturalité circulaire des champs ; la confiance, c’est uniquement lorsqu’elle est réciproque, qu’elle fonctionne.
Michel Asti
Date de dernière mise à jour : 04/08/2019
Ajouter un commentaire