LE POÊME
POETES & POETESSES - Format PDF : Poetes poetesses (1.14 Mo)
LE POEME
Le barde, la poétesse et le poète écrivent leurs mots sur le mur de l’indifférence. A défaut d’utiliser un marteau et un burin, ils se contentent d’une craie. Les aiguilles de glace ne comblent pas les courbes de leur horizon.
Ils font feu de tout bois, les joutes textuelles, les confidences mesurées, ils en font la teinte de leurs desseins.
Le plus léger murmure au pas d’une langue intelligible, sur les grandes plaines des amertumes, ils sondent la transparence du silence.
Ils, elles vous entendent sourire.
Parfois sous le poids des récusations.
Mais ces Idéols(es) refusent la fatalité usurpant les vocalises de vos désirs.
En suspension d’incertitudes, ils savent que chaque clé forgée au souhait d’ouvrir une nouvelle galerie est une clarté tiraillée aux délices du chant entre la colombe et le faucon.
Ils savent écrire avec des mots oubliés
Dans une langue des moissons pleines
Où le temps n'est plus un danger
Les fruits sont muris aux lumières du soleil
Gorgés des gouttes cristallines
Des messagers de la pluie
Le temps travaille sous l'herbe tendre
Les ruisseaux s'adonnent à la terre
Epousent les crues des fleuves et rivières
Avant que leur ami chaleureux
Demande à l'eau de leur berceau
De reprendre un peu de hauteur
Afin qu’à la mer, elle parvienne
Ils savent aussi que parfois,
Les mots sont trahis par des lèvres
Aux sons des peurs récalcitrantes
A l'humble sincérité de l’apparence
Pour qui peut se souvenir
De l'accent des affranchis(es)
Et de la couleur du verbe
Aux murmures de sa transparence
Ils n’échangent qu’à bon escient entre aurores et crépuscules. Ils savent que vos silences marquent souvent un rêve trop lourd, une absence éclatée où l’œil des sentiments les plus clairs n’y perçoit plus que la mort du cygne, dans un vol de poussière criblant le miroir des évidences en contre-mesure des fleurs de liberté.
Mais ils savent que l’inextinguible pensée attend toujours aux portes des songes, et que le temps n’est plus l’ennemi.
- Qu’êtes-vous devenus(es) Chères et Chers Idéols(es)… ??? Et où êtes-vous ?
- Ils, elles, sont devenus(es) ces petits peintres, artistes, poètes et messagers du temps, tentant de mettre leur petite touche de couleur à ce grand tableau qu'est la vie. Ils, elles savent la difficulté de trouver les bons mots, les belles couleurs, ces expressions justes, ces merveilleuses teintes chaudes et pleines de lumière. Ils, elles pensent que d'apprendre le mélange des formes et des couleurs est un art difficile et parfois lorsque, autres regardent, en ne voyant que le noir et le gris, alors parfois, l'incompréhension devient silence ou déception. Mais ils, elles ont confiance, leurs aspirations et leurs intuitions leurs permettent de croire que le gris du tableau sera comme le nuage qui laissera, tôt ou tard, sa place au beau, au bleu, au bien et au bon sens du vent. Ils, elles espèrent que leur amour de cette fabuleuse et extraordinaire ‘’maîtresse’’, qu’est la VIE, leurs permettra d'apporter un tout petit peu d’éclaircissements en ces endroits sombres. Et même s'il peut leurs arriver de douter, ils, elles sont comme l'enfant qui apprend à marcher, tombe et se relève, et ne se décourage pas, en essayant encore et encore, jusqu'à ce qu'ils, elles maîtrisent l'art du discours entre les sciences et les arts. Le temps n'a plus grande importance pour eux. Il est uniquement fait de ces instants additionnés permettant de croire que ce continuum espace-temps à une texture. Ces esprits libres savent que cette texture deviendra de plus en plus douce et harmonieuse.
L'amour n'a pas de prix et surtout pas celui des mauvais sentiments. Si nous voulons lui en fixer un, il s'éloigne. Il vient de l'intérieur et se diffuse à l'extérieur dans toutes les directions. Nous pouvons parcourir ce chemin avec lui, mais nous pouvons nous en approcher à le toucher seulement lorsque nous rencontrons son ‘’double’’, alors, ils, elles graviront ensembles ces chemins escarpés, parsemés d'obstacles, afin de créer ’’EST’’, et à cet instant, ils, elles le sauront, car les mots inavoués et les actes inachevés n'auront plus guère d'importance, et dans cette harmonie, ils, elles se regarderont dans les yeux, chacun(e) verra les accords de l’espace sensiblement touchant, et de leur yeux couleront des larmes de joie et de vie. Les chemins sont multiples, mais ils ont tous le même but, découvrir le meilleur qui est en nous, et le diffuser dans toutes les directions, et particulièrement envers les êtres qui pensent, croient et ressentent avec leur cœur, et qui passent à portée de nous.
Vous avez pensé, crû ou dit qu'il était trop tôt ou trop tard, pour lui il ne sera jamais trop tard, il ne vous en veut pas, même si vous n'avez réussi à aller au bout de ce que vous souhaitiez au fond de votre être, et n'avez su, avec les croyances, les doutes, les peurs et les souffrances n'utiliser que le silence. Il sait que vous avez du vous battre pour conquérir ce qui vous permet d'avoir ce sentiment de liberté et ce qui fait ou a fait vivre, cet et ces êtres nés de vos certitudes, jusqu'aux moments où ils auront acquis la liberté de voler de leurs propres ailes, vers d’autres espaces, un peu plus loin que les vôtres.
Son plus grand souhait est de s'envoler vers d'autres contrées, tout doucement, sans faire de bruit, afin de chercher les autres clés que sa merveilleuse maîtresse la ‘’VIE’’, voudra bien lui montrer, en espérant que vos blessures et souffrances sont ou vont guérir, que vous réussirez à vaincre vos peurs et qu'enfin vous puissiez trouver ce que vous cherchez depuis longtemps, grâce à ‘’l’art’’ de l’attention… Et la juste curiosité…
À tous ces anges désenchantés, ceux qui trop tôt ont rencontré sans comprendre, le combat pour la vie, alors que leur armure n'était pas assez épaisse, leur épée trop lourde et leur bouclier peu solide, il leurs souhaite le Beau, le Bleu et le Bon sens du vent.
Dans certains ‘’lieux’’, lorsque qu’il n’a plus rien, trop tôt dans la vie d'un ‘’petit être’’, de ne lui apporter ‘’rien’’, hormis ces mots (maux) qui font mal, ne le faîte pas, car dans ce cas, il lui faudra un contre poison puissant, et, lorsqu’il ne lui reste parfois presque plus rien, sauf l’amour de cette vie, c'est à cet instant que nous pouvons parfois percevoir le syndrome des 3B, émanant de certains êtres, que cette vie nous présente.
Pourquoi faut-il en arriver là pour entrevoir cette douce lumière ?
‘’ La première des leçons dans la vie est d'apprendre à aimer. L'amour est si fort qu'il ne peut être brisé, et pourtant il est intangible. Tu peux le reconnaitre, tu peux le sentir et pourtant tu ne peux le retenir, car au moindre essai il t'échapperait comme du mercure.
L'amour ne peut être possédé, il est libre comme le vent et il va où il veut, suis le, dès que tu le sens. L'amour est unité et globalité, l'amour ne connaît aucune limitation et aucune barrière. Avec l'amour vient la liberté.
C'est la peur qui enchaîne et limite une âme, c'est l'amour qui rend libre et brise toutes les chaînes. L'amour ouvre toutes les portes, change des vies et fait fondre le plus dur des cœurs. L'amour est créatif, il grandit et engendre beauté, harmonie et unité.
Il travaille pour et non contre quoi que ce soit. L'amour apporte une telle joie qu'il ne peut être réprimé. Il danse et chante à travers la vie. Y’a-t’ ; il de l'amour dans ton cœur ? De l'amour pour chacun ? Il commence en toi et gagne de proche en proche’’.
La Petite Voix… Eileen CADDY.
Encore une fois, malgré toute cette incompréhension, et en dépit de toutes ces choses qui peuvent nous donner la sensation d'avoir mal à l'âme, et après avoir compris, que l'art d'essayer d'ôter le mal des ‘’corps’’, était celui demandant la plus grande connaissance avec les meilleurs ‘’outils’’ possibles et imaginables, en leur appliquant la plus belle des utilisations, sans certitude de succès…
Il pensera toujours que la recherche du respect de soi, autres, de la liberté, avec considération, attention, sincérité, douceur et amour de tous (tes) ces inconnus (es), potentiellement atteints (es) du syndrome des ‘’3B’’, tout en connaissant la difficulté et les contraintes de ce lieu, peuvent nous faire rencontrer de temps en temps ‘’harmonie’’. Et même si, après n'avoir pas commis l'erreur des suppositions, l'absence des mots, la peur de faire, la réponse n'est pas celle souhaitée, ou est inexistante, laissons à autre, la liberté d'aimer, de croire ou de partir ailleurs, tant que l'objet de sa possible déraison n'est qu'effet causal pour lui-même, et souhaitons-lui le meilleur, en faisant de notre mieux pour que nous ne soyons pas soumis à quelques autres mauvaises intelligences connues ou inconnues, nés de notre incompréhension et de notre refus, et sont souvent signes de calamité, chaos et destruction consciente ou inconsciente de ce rêve.
De sortes qu’après les temps immémoriaux des lumières, il leurs fut plus facile de trouver des serviteurs à leurs veules dogmatismes, plutôt qu’à faire don de justes connaissances et extraordinaires savoirs…
Il tenait beaucoup par ces mots écrits à exprimer à l'extérieur ce qu'il pouvait ressentir à l'intérieur. Il est allé par cette écriture au bout de ce qu'il pensait, disait et croyait, et s'il était trop tôt ou trop tard pour vous, pour lui, il ne sera jamais trop tôt ni trop tard, car, le passé n'est plus et le futur pas encore, seul existe le présent avec sa merveilleuse maîtresse la ‘’Vie’’. Et la vie, c'est vous, lui et tous ces grains de matière organiques doués des belles pensées et de bonne conscience, alors au nom de cela, et si vous le souhaitez, posez de temps en temps quelques belles pensées, en quelques endroits de la ‘’toile’’, afin qu’autres puissent encore croire au syndrome des 3B. (Le Beau, le Bleu et le Bien)…
C'est une sensation, dont l'utilisation peut être merveilleuse pour la découverte de beaux et belles inconnues, et parfois pour la connaissance de ‘’SOI’’, ‘’TOI’’ avec ‘’EUX’’ par le véritable sens des mots entre les discours des arts et des sciences, teintés aux verves de la poésie et du romantisme… Afin que les extraordinaires messagers(es) de l’<<UN>>Ï<<ON>> puissent espérer que vous avez, ou puissiez encore trouver une clé vous permettant d'ouvrir la porte d'après ou derrière se trouve peut-être ce que vous cherchez depuis longtemps… Après l'air, l'eau, la terre et la lumière, c'est le cinquième élément nécessaire à ‘’petit grain de matière organique sensible’’ en ce lieu, mais le seul nécessaire à la conscience des justes et des innocents. Et même si vous n'êtes pas à vous voir, vous entendre, vous toucher, il aura toujours ces belles pensées pour vous, vous, vous, vous .......... et vous, par lesquelles il vous souhaite le beau, le bleu, le bien et le bon sens du vent. Il sait que les pensées ne sont pas soumises au temps et surtout pas à l'espace ‘’vide’’, elles sont justes libres, par leurs forces, de combler quelques liens manquants, tout en composant les accords utiles à faire taire les plus néfastes...
Il remercie tous ces anges désenchantés ou non, qui lui ont et lui montrerons peut être encore le bon sens du vent…
Il sait que l'inaccessible étoile se manifeste dans tout ce qui l'entoure.
LA QUETE – Jacques Brel
Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Bruler d'une possible fièvre
Partir où personne ne part
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer même trop, même mal
Tenter sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile
Tel est sa quête
Suivre l'étoile
Peu importe ses chances
Peu importe le temps
Ou sa désespérance
Et puis lutter toujours
Sans réponses ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour
Il ne sait s'il sera ce héros
Mais son cœur serait tranquille
Si ce lieu s'éclaboussait de…
Bleu…
Parce qu'un malheureux
Brûle encore, bien qu'ayant tout
Brûlé…
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler \°/
Pour attendre l'inaccessible étoile *…
Il s'arrêtait là…
Car même si sa vision pouvait entrevoir l'existence d'une trace, physiquement existante, entre lui et son espace plus que lui, jusqu'à l'infini grand lointain en la perception des sons et lumières.
Et s'il avait soupçonné l'existence d'une porte, logiquement et potentiellement, existante entre son espace-temps, lui et autres dimension, visuellement et sensiblement touchantes.
Il ne croyait pas non plus comme irréaliste de penser qu'il existait un chemin potentiellement et éthiquement vrai touchable, ayant propriétés logiques et physiques en tant que lien entre lui et l'espace plus que lui, jusqu'à l'infini loin touchant… Cela lui donnait l'espoir qu'il existe dans un autre lieu, ce lien potentiellement et logiquement incompressible, existant physiquement et ethniquement entre elle, lui , eux et autres, afin de croire à cet existant comme lien entre lui et cette méconnue, lui permettant de rêver à cette contrée, où persiste cette réalité, qui lui permettrait de rencontrer l'accord universel, afin de percevoir de tous ses sens la merveilleuse beauté d’Harmonie...
Et, ils, elles reprirent leur chemin sur les nouveaux réseaux sidérant de pluridisciplinarité où le plus difficile est de trouver l’équilibre sur la toile des phénoménologies…
Heureusement pour moi, ma belle maitresse la ‘’VIE’’, m’a donné la certitude des belles rencontres passées, et la joie de celles d’aujourd’hui, triées, je l’avoue par quelques incertitudes sacrifiées sur l’autel de l’inconscience ‘’humaine’’, tout en ayant entendu les accords proches des bonnes natures, où la perception des belles et suffisantes présomptions charmeuses, m’a souvent autorisé à explorer les chemins de l’exaltation, sans quoi… ; j’aurai me semble-t-il déjà franchi le portique des illusions désamorcées…
INEXTINGUIBLE
Tant de fois je souhaitais te sortir de ce lieu
Sans force, mais juste avec précaution utile
Afin de t’indiquer un avenir moins sombre
Un beau lieu pour toi, et les êtres que tu aimes
Cette porte si dure à ouvrir par trop de clés jetées
Tu n’y crois plus depuis trop de profondes blessures
Le pessimisme est devenu depuis tant de temps
Ton compagnon de grisaille et de désespoir
Ne peux-tu pas ou ne veux-tu plus imaginer
Qu’il existe une douce et paisible clairière
Où cours au milieu une eau tranquille et limpide
Afin que je puisse enfin me poser près de toi
Pour te murmurer que la vie est une opportune
Qu’elle attend toujours des nuits et des jours meilleurs
Que mon optimisme t’indiquera le bon passage
Afin de voir et ressentir le bon sens du vent
Et tu entendras au loin les sons de la défaite
Car ton optimisme retrouvé les effacera
Le pouvoir de l’esprit brillera à nouveau
En toi et autour, tu envisageras le mieux
Tu verras que l’optimisme engendre l’optimisme
Tout ce qui se ressemble en ce lieu, s’assemble
Et lorsque ton regard sur la vie sera juste
Il créera le beau, le bon et le bien tout autour
Et s’il est entouré d’espoir et d’attention
Cette minuscule étincelle s’embrasera
Grandira, grandira jusqu’à ce que tu brûles
Du feu de l’esprit qui, lui est inextinguible
MIchel Asti : https://www.facebook.com/michel.asti
Date de dernière mise à jour : 18/10/2018
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