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LE BAN
Les grands impurs furent chassés de la ville ; quelques-uns étaient soupçonnés parce qu’ils n’aimaient point ouvrir la bouche ; il en était même qui n’avait jamais pensé qu’il leur fut nécessaire de dire mot et dont on ignorait la voix ; d’autres ne sortaient jamais de chez eux les jours de réjouissance publique : ils étaient objets de scandale ; un plus petit nombre estimait décent de publier des ouvrages que nul n’ouvrait ; ils ne s’en affectaient pas, c’était dans l’ordre, leur attitude soulevait une réprobation universelle ; tel fut le sort des grands impurs ; ils partirent avec indifférence ; l’un d’eux parut s’amuser du cours des choses ; il était jeune, un peu naïf encore : l’indifférence n’était cependant pas loin.
Roger Kowalski
PAGE 75 : http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/sciences-sociales/page-75.html
DE LA REALITE PHYSIQUE A LA DECONNEXION VIRTUELLE & RECIPROQUEMENT
Je crois malheureusement que chez certaines inconsciences et néfastes consciences, la renaissance de l’esprit des temps immémoriaux des lumières est définitivement compromise… Ou alors est-ce le scélératisme qui habite la philosophie politique, et les asthénies intellectuelles qui formatent la pensée antihumaniste… ???
CHAPITRE 18
Des certitudes aux doutes
L’ESSENTIEL N’EST PAS DE CONVAINCRE ; MAIS DE DONNER A REFLECHIR
[…] La seule certitude présente dans sa pensée, était celle des doutes, qui devaient être majoritairement plus présents par leur quantité que la certitude, qui elle ne devait physiquement ‘’n'être’’ de par son nombre (n) de (I), proche de (0), ne serait-ce parce qu'il était impossible à partir de n'importe quel morceau de matière défini physiquement par uniquement sa distance horizontale et sa dimension verticale visuellement perçues comme telles, même en laissant la ‘’profondeur’’ à ce morceau de matière, avec pour particularité en celle que son épaisseur soit supérieure à zéro (0) ; telle une feuille de papier, ou autre référentiel ‘’matériel’’, afin d'en conserver en notre force faible le nécessaire en sa potentielle propriété, de réussir à faire de cet objet, une ‘’sphère’’ parfaite, sauf par adjonction de matière à partir d'une particule existante et utilisée comme forme de départ pour en constituer celle finale, ou à ôter de la matière à un objet plus volumineux, où l'objet final sera d'une masse inférieure à cause de la modification de volume massique, ou encore, à injecter une force extérieure, à l'intérieur permettant une expansion de l'objet originel en fonction de sa résistance à l'être…
[...]
La poésie à cette extraordinaire mixité autorisant la ponctualité de présence ou sa livrée complète en une seule traite… Et toute lecture est un traitement consistant en cet axiome, valable pour tout Sujet-Objet: ''Avec l'observation de l'ouvrage il faut, en lecture, y revenir, de temps en temps''... Encore faut-il réussir à ne pas passer outre les calomniateurs convaincus et ne pas recourir à leurs maximes sans analyses des paralogismes particuliers et syllogismes divers, afin que la flétrissure généralisée ne soit plus une fragrance à en adopter le verbiage, sans attention ni étude envers la divagation ahurissante.
Ne serait-ce pas en cette thématique, son reniement choisi ou une adhésion intrinsèque envers reliques en formulation de différence, physico-ontologique, sans preuves véritables… ; autre que celle édictée par un corporatisme inique, en postulats de paradoxes, tout aussi incertain… ???
En l’occurrence si un ou une différente en voudrait établir quelque autre attachement, hors robe, chaire, pair, pompes et intérêts empruntés à doctes en prescription d’adhérence supposée, il et/ou elle, en seraient-ils immédiatement taxés de simples d’esprit ou hérétiques… ?
Que pouvons-nous répondre, par quelques rhétoriques sensées, à tous ces calomniateurs et calomniatrices, infectés(es) par les ‘’choses’’ sans preuves formellement établies, accusant autres de leurs congénères, sexués, sans logique didactique évidente, au rapport d’une sociologie humainement acceptable ? Qu’ils en bâtissent leurs trésors par une forme clandestine approvisionnée à leur état d’insincérité ? Que doit-on étudier, de même, à tous ces discours vagues de cette sorte, qui se trouvent dans leurs livres des restitutions réduisant les créanciers humanistes en une usure à ruissellement de lentigos proches de la porte, usée, entrouverte aux germes des imprécations sans foi, ni lois… ? Ou à pratiquer un suivi circonstanciel, plus à même d’emprunter les ressemblances destructrices d’une colonie munie de pics d’incertitude, au détriment d’actions en construction d’une philosophie-politique et sociologique moins absconse… ? En attribution du prix des accords privilégiés proches du discours entre les sciences, les arts et la poésie… ???
Les connaissances, la culture et le savoir sont le sel de la vie. Les sincères amitiés et la réelle fraternité en sont le sucre. Tout cela fait la ferveur et l’évanescence de l’humanité et… fera l’équilibre du Monde
Les nouvelles découvertes scientifiques, depuis le XIXème siècle, suivies par des sciences nouvelles, ayant amenées, grâce à l’invention de nouveaux outils et moyens, des recherches tant dans les dimensions de l’infiniment petit (physique quantique) et l’infiniment grand (astrophysique et cosmologie) que dans le développement de la mécanique ‘’classique’’ et l’étude des rapports ‘’Corpuscules-Energies’’ ou [Onde-Corpuscule], permet de penser que l’évolution des connaissances et savoirs est ‘’chose’’, de l’intelligence humaine, non aboutie, et ne saurait être momentanément stoppée que par les lois d’un refus d’imagination ou un déni d’étude de l’historiographie des civilisations ET/OU toute certitude transmise par des croyances iniques, non déterminables épistémologiquement et ontologiquement. Il suffit, notamment par étude des civilisations précédentes, qui arrivées à l’apogée de leurs sciences et technologiques ont sombré dans les méandres d’obscurs discours promettant les bienfaits d’irréels et inatteignables paradigmes en données invérifiables sur notre référentiel terrestre, sphère tournant sur elle-même et autour de notre Soleil, appartenant à un système solaire composé de planètes orbitant autour de ce même astre, comme autres corps stellaires en cycles elliptiques. Dans notre système stellaire – et certainement autres agencements astronomiques ; toutes ces planètes – sauf les astéroïdes et les comètes venant de plus loin dans le cosmos – gravitent par périodes orbitales autour d’une étoile. Ces systèmes intersidéraux sont inclus dans notre galaxie, nommée : LA VOIE LACTEE…
Alors, sachant déjà cela, les apôtres du créationniste, arrêtez d’emmerder les athées, agnostiques et non-croyants, par vos reliques CULTU(R)ELLES à dissidence nulle, envers le véritable sens de l’existence du et des vivants dans le monde naturel dans lequel le ‘’mammifère humain’’, comme autres animaux, est le locataire de cette extraordinaire planisphère nommée : TERRE, GAÏA, TERRA, EARTH, ERDE, ?????, ??,TIERRA, ????, ?????, que sais-je encore, mais en tout cas, établi par les observations et les syllogismes de la logique didactique intelligible humainement acceptable et vérifiable, notre seul référentiel connu, abritant les conditions du VIVANT ! Donc pour le moment avec cette réelle certitude, et non véritables preuves en d’autres paradigmes, il n’est pas utile d’y consacrer toute l’énergie intellectuelle et physique, sauf en certaines formes d’éthologie dignes de la conservation, rationnelle, des espèces et du monde naturel du et des vivants.
[…]Je ne réussissais plus à dire quoi qu'il fût… Je venais juste de percevoir le réel attachement que j'avais pour lui, malgré que parfois il devienne, particulièrement agaçant par sa façon de m'exprimer ses pensées.
Il comprit mon regard et me dit:
- Vas quelques instants à l'extérieur afin de voir toutes les représentations de sa beauté, malgré que tu ne réussisses pas toujours à la comprendre.
Profites en, car au rythme où tes amis (es) s'en occupent, j'éprouve quelques craintes pour ‘’Elle’’.
Doutes: Evolution du conscient par analyses, études et potentielles résolutions attachées aux liens du discours entre les sciences et les arts…
Certitudes: Evolution de la conscience par conformisme, sectarisme, déni d’études épistémologiques et refus de l’imaginaire …???...
EINOMHRA
La nature a bien des moyens d’atteindre un même objectif. Telle une vague dans le monde matériel, dans l’océan infini du substrat qui imprègne tout, ainsi dans le monde des organismes, dans le vivant, une impulsion entama sa progression vers l’avant…
Par moment, peut-être à la vitesse de la lumière, par moment, de nouveau, si lentement que pendant des éons et des éons, il semblait ne pas y avoir de mouvements. Passant par des processus d’une complexité inconcevable à l’Homme, mais qui dans toutes ses formes, à chacun de ses stages, a son énergie toujours et pour toujours intégralement présente. Un unique rayon de lumière issu d’une étoile lointaine atteignant l’œil d’un tyran des temps passés peut avoir altéré le déroulement de sa vie, peut avoir changé le destin de nations, peut avoir transformé la surface du globe, si complexes, si inconcevables sont les processus de la Nature.
Le meilleur moyen que nous avons pour appréhender l’époustouflante grandeur de la Nature, c’est en considérant qu’en accord avec la loi de conservation de l’énergie, dans l’infini tout entier, les forces sont en équilibre parfait, et par conséquent l’énergie d’une simple pensée, peut déterminer le mouvement d’un ‘’univers’’…
NIKOLA TESLA
‘’ Il n'est pas de sentiment qui jette dans l'exubérance avec plus de force que celui du néant. ‘’
‘’ Ne pas communiquer signifie exactement la nécessité sanglante de communiquer.’’
Georges .Bataille
L’addition des compétences et les échanges interprofessionnels font l’évolution de tous systèmes sociaux-économiques et culturels
Aucune interprétation géo-politico-sociale-économique humaine à tendance équilibrée ; respectueuse de l’individu, de la nature et du vivant ne saurait exister sans compréhension de cet adage :
« L’économie de marché moderne n’est pas l’économie de marché libre des flibustiers libéraux d’une guerre économico-financière révolue ; mais une économie de marché à engagement social qui permet à l’individu de s’épanouir, qui accorde la priorité à la valeur de la personnalité et qui récompense la performance avec un rendement à juste et équitable valorisation ; dans un système collectiviste à réseaux humains nommé : DEMOCRATIE REPUBLICAINE ».
EDITO
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années. On devient vieux parce que l’on a déserté son idéal. Vous êtes aussi jeune que votre enthousiasme, vos désirs, vos souhaits, votre bienveillance, vos attentions et votre belle curiosité, aussi vieux que votre air désabusé, votre morne attitude, vos certitudes conformistes, votre malveillance intergénérationnelle. Nous sommes aussi jeunes que notre confiance en nous et aussi vieux que notre abattement, nos peurs, notre refus d’analyse et notre acceptation d’ostracisme.
L’autorité est toujours de trop là où la raison seule suffirait au sens d’une vérité incontestable qui prouve son principe dans les conditions mêmes explicitant que la subjectivité de l’esprit ne saurait être confiée à un seul qui de cet Etat arbitraire en voudrait soumettre tous les autres à la seule sienne au nom du seul sujet qui n’eusse de fondements que dans l’inexpressivité de la liberté.
De l’énigme de la nature, accepter le mot précieux, tout ce que sans retour ce mot fait perdre de valeur aux profits de vos dieux, vous le gagnerez avec usure ; et tout ce qu’y perdent les lois, ce frein honteux pour vous dont ce mot vous dégage, les mœurs, libres du joug des prêtres et des rois le gagnent davantage. « Le meilleur système démocratique est une ethnosociologie économico-financière privilégiant une politique philosophique par les connaissances des liens entre le savoir des sciences, des technologies, des arts et de la culture » Dans le respect des lois de la Démocratie Républicaine sans distinction de couleur, de morphisme catégoriel, de croyance ou non croyance religieuse, d’ethnie, d’opinions politiques et de classes socio-financières.
Le pouvoir législatif inaliénable n’appartient qu’au souverain, c’est-à-dire au peuple qui ne saurait s’en démettre. Le gouvernement est l’exécutif, i.e. un pouvoir subordonné qui doit rendre des comptes de sa gestion. Il tiendra également compte des conditions géographiques, historiques et économiques, dans le cadre des droits et devoirs afférant à tous les citoyens et citoyennes de la Nation.
La magistrature et l’administration doivent pencher dans le sens de l’exercice de la transparence et de la justice, malgré les écarts des pouvoirs privés et publics, malgré l’intolérance du nombre de leurs membres. L’équité du parlement doit offrir plus de garanties que celles des officiers de l’Etat. Cette séparation de pouvoirs se doit de s’exercer sans autre pression que celle d’une Démocratie de Responsabilité et de Concertation Citoyenne.
Les outils de notre époque le permettent et cela peut être un des moyens pour calmer les passions excitées par des géodes communautaristes en sphères de vils comptes pliés sous l’avidité de leurs maitres, ainsi que du joug des prêtres et des rois, sans discernement, dans leurs privilèges fourmillant de prosélytismes sans foi ni loi.
Un peuple, qui sans observance de certaines pratiques liberticides, se plie sous son propre sort est un peuple qui meurt ; mais un peuple qui s’oublie, qui s’ouvre indéfiniment aux influences extérieures, néfastes... ; ainsi qu'aux brassages sans éthique, ni morale citoyenne, meurt aussi. Ni l’un ni les autres ne peuvent atteindre ce qui est juste, comme de réussir à penser que la loi du plus fort fut, et soit, encore, la plus juste…
Michel Asti : https://www.facebook.com/michel.asti
CHAPITRE 19
De l’amour à la haine
L’amour est né de la vie, tous les « mauvais comportements » sont résultat du dénie « d’elle » et de « lui » par « l’inconscient » et « l’inconsciente ».
L’amour :
De l’attachement
De l’attention
De la liberté…
Et,
Est
Faite
Géniale
Harmonie, par « si », par « là », en « sol » « do ré », Do, mi ou
Ré, mi, là ?
La, mi sol si do, ré !
Si Sol Doré, là
Dodo là… ? Si… Si… !
OH ! C’est vrai ?
Peut-être…, par si, par là…fa, ci’l ; l’A Mi (e) ;…
Ha !
Vi… HI HI Hi Hi hi hi é où ?
Là avec Harmonie
Avec qui ?
Par Amour d’ELLE
IDIOT ; …
Tu ne vas pas recommencer, j’espère ?
Je pense que ça suffit !
Tu as assez fait de conneries !
Espèce d’inconscient !
Croyance :
Trop d’attachement
Peu d’attention
Peu de liberté
Possession :
Trop de désir
Trop de convoitise
Trop d’égoïsme
Déception :
Trop de certitudes
Trop de soi
Peu de compréhension
La colère :
Trop d’ignorance
Trop de refus
Peu d’acceptation
La rancœur :
Trop de colère
Trop de dénis
Plus de libertés
La haine : …
… Si la « croyance » devient « possession et obsession », elle entraînera tôt ou tard déception et colère, puis, la rancœur possédera, sans la plus petite once d’amour, le roi des animaux, car son combat pour sa croyance d’être le seul roi à avoir le pouvoir de gouverner les « prosélytismes », aura pris fin, et à ce moment-là, si la petite once est chassée par ses serviteurs ne croyant plus en « elle », alors, apparaîtra la « haine » présente, proche des lumières de la Lune brune, par son ‘’ombre’’ « n » fois puissance de lui-même… Sauf si L’indifférence, en tant que ‘’protection’’ de soi, n’est pas devenue le plus bas degré de l’attention…
CHAPITRE 20
De la souffrance à la sérénité
Souffrance: Trop d'elle
Sérénité: Peu d'elle
?????
CHAPITRE 21
De l’obscur à la lumière
L'obscur: Trop de lui.
Évolution du négatif par notion d'indifférence
La lumière: Trop peu d'elle
Évolution d’ELLE, par observation de voies communes et entente des voix envers l’observance attentionnée…
CHAPITRE 22
De l'Unité à la Destruction
De la Destruction à l'Unicité
Ils allaient partir tous les deux pour une semaine à la mer. De son vrai nom ‘’H²O’’. Ils aimaient beaucoup ces lieux où elle était présente en grande quantité, au même titre qu'ils adoraient la montagne où cette eau venue du ‘’ciel’’ recouvrait de sa douce texture toute cette autre matière figée, par notion de temps long, alors ‘’qu'elle’’, venait périodiquement, comme pour recouvrir d’un beau et doux manteau, cette matière n'ayant pas cette faculté de se transformer rapidement, le temps qui leurs était imparti.
Et cela, même si cette matière froide venue du ciel, arrive parfois en certains paysages, avec violence naturelle, par sa présence elle atténue les bruits alentours et s'en va avec un son différent de celui avec lequel elle était arrivée, en laissant sa trace dans la matière qu'elle avait recouverte, à fin de rejoindre son élément originel, avant que la chaleur de son ‘’ami’’, lui suggère de reprendre un peu de hauteur pour déverser ses bienfaits alentours, malgré sa grande dépression exprimée parfois avec fracas. Tout cela faisant le cycle de l’eau et des saisons sur TERRE, dans le mouvement de notre planète autour de notre étoile : le SOLEIL.
Il me disait: ‘’Tu sais pourquoi, Normahrie et moi aimons tant la mer et la montagne ?’’.
La première fois qu'il m'avait posé la question, je lui avais bien sûr répondu: ‘’Non, Einomhra’’.
- A la montagne, nous pouvons danser sur sa douce texture sans effort et avec joie, je ne te précise pas la position, si celle-ci est couchée, assis ou debout, pour rester sur elle.
Il ne va pas recommencer, me dis-je en le regardant avec un sourire, qu'il avait compris.
- A la mer nous avons la faculté de rester à sa surface sans trop de difficulté, et nous pouvons entrer en elle, le temps qui nous est imparti. Nous avons tellement pris l'habitude, de vivre avec elle ; elle en nous, et nous en elle, sous sa forme aérienne et liquide que nous en avons oublié combien elle est importante pour le végétal et l’organique, par tout ce beau, ce bien et ce bon qu'elle nous donne, même sous sa forme solide extérieure à notre corps. À savoir ses effets sources de ses forces aux pôles Nord et Sud, ressentis sur toute la surface de notre sphère, et, notamment de par son courant liquide – le ‘’Gulf Stream’’ ; et aérien – le ‘’Jet Stream’’… Et, une chose qui me fait actuellement peur pour tous celles et ceux qui vont arriver ‘’ici’’, c'est certaines propriétés humaines, invasives ; dont le nombre, s'il augmente de façon trop importante, en perturbe son intimité originelle dans des zones où elle est matière solide glacée depuis longtemps, avec le risque de la faire se transformer en des énergies liquides ou aériennes, telles qu'elle ne serait plus détentrice de cette ‘’force tranquille’’, à l'origine de l'équilibre terrestre né de ses trois minimums états propres à sa belle nature, que sont ses facultés solide, liquide, et gazeuse en H²O.
- Et là, je lui ai répondu, en lui souhaitant bonnes vacances, ainsi qu'à Normahrie, par son intermédiaire : ‘’Merci à tous les deux pour ce que vous me montrez de votre vision et compréhension du monde du Vivant, ses biosystèmes, écosystèmes, ainsi que les possibles connexions entre les communautés, non falsifiées par quelques esprits de mauvaise intelligence et néfaste nature’’ …
Il partit en souriant.
J’espérai le revoir bientôt, même si parfois il m’agaçait par ces mots dits, écrits, expressions, théories et histoires…
[…] Nous étions assis tous les deux sur ce sable chauffé par le soleil en regardant la mer et l'endroit où le ciel s'unissait avec ‘’Elle’’. Ils attendaient, le moment où leur ami commun viendrait les rejoindre. Il les avait déjà prévenus qu'il viendrait, grâce à sa lumière pleine de couleurs, qu'eux seuls comprenaient. Ils n'étaient qu'eux, à l'horizon, depuis que le soleil s'était approché de cet espace que formaient sa lumière, le ciel et la mer, quand tout à coup, je vis une forme très éloignée de nous. J'avais l'impression qu'un ‘’autre quelque chose’’ était en train d'entrer dans leur arrangement et cela ressemblait à un bateau. Je naviguais dans mes pensées lorsque j'entendis le son harmonieux de la voix de ‘’Normahrie’’, elle me disait:
- A quoi, penses-tu, ‘’Einomhra’’ ?
- Oh, à plein de choses inconnues qui font parties de ce monde et que j'aimerai tellement connaître.
- Moi aussi, tu sais !
- Ah, que oui, je le sais. Je souhaite te poser une question.
- Tu peux me poser toutes ces questions, expressions de ta pensée. Même si, en et par leurs émissions, elles peuvent paraître parfois incompréhensibles, je fais confiance à ta sincérité, ton attention et ta juste curiosité…
- Pourquoi, lorsque je vois, dans tout ce que ma perception sensible peut entrevoir, et notamment ce que je peux discerner en la magnifique beauté de la nature, qui m'entoure, j'ai toujours peur, qu'autres ‘’quelques choses’’ de mauvaises augures ou néfastes fonctions, viennent la perturber, au nom de desseins obscurs, dont je ne vois pas la finalité dans l'objet de leurs désirs à remodeler, ce qui me semble déjà beau. Et cela bien souvent sans essayer d’entrevoir les effets de ces modifications à long terme, où certaines sont pourtant parfois bénéfiques, mais souvent au nom de quelques opportunismes iniques, dont la finalité me semble par trop éloignée du réelle bien commun.
- Même si nous ne la comprenons pas, c'est une des lois de notre monde et certainement de l'univers, et même si nous avons la certitude, n'avoir aucun pouvoir sur ce dernier, préservons du mieux que nous le pouvons, tout ce qui est potentiellement accessible à notre perception sensorielle, voire extra-sensorielle, en nos espaces naturels touchables et touchants… Et là, elle prit une brindille posée sur le sable, et inscrivit quelques ‘’signes’’ sur ce support afin d’en exécuter ce dessin, entre les ‘’petits grains de sable’’
- Nous pouvons continuer de la façon dont nous ‘’la’’ désirons ou la voulons, tant que H²O est proche de nous à le toucher, le Temps qui nous est imparti en tant qu'existant dans tout notre monde réel et potentiellement vivable avec (H) et (O), et non celui déjà connu, ni celui inconnu ; juste celui que nous aimons, aux fins de ne ‘’qu'être’’ au nom de l'amour de cette Vie, dont sa présence est dans tout ‘’celles et ceux’’ qui nous entourent, en tant que compositions des liens ou forces nous permettant d'imaginer l'unicité comme concept universel du vivant par ces deux-là.
Cela nous laisse à penser que notre propre conceptualisation est intrinsèquement liée à l’existence commune de toutes ces infimes particules de matière, leurs diverses forces, puissance et énergie. L’addition des compétences, le développement des savoirs faire et savoirs être de chacun et chacune donnera les codes pour meilleur avenir. A l’homme de comprendre le bon sens du vent, grâce à ses propres facultés intellectuelles et propriétés manuelles, par lesquelles nous arrivons parfois à ressentir notre propre réalité dans ce monde réel et parfois irréel où nous existons, mais que nous rendons souvent incompréhensible par notre manque d’attentions, ou déni d’analyses.
- Tu veux me faire comprendre que notre propre existence est liée à tout ce qui nous a créé en tant que réalité de maintenant, par notion de temps exercé par toutes ces forces et énergies servant de ‘’liants’’ et ‘’d’accords’’ invisibles à notre perception, et dont la présence se fait ressentir tant dans les dimensions de ‘’l'infiniment petit’’, que dans celles de ‘’l'infini grand lointain’’, et surtout celles proches de nos espaces touchables et sensiblement touchant…?
- Oui, me fit elle d'un hochement de la tête, comme si toute sa pensée se trouvait dans ce ‘’signe’’.
Tout à l'heure, tu regardais un espace à deux dimensions perçues par ta vision, représenté par l'eau et le ciel, où l'eau est constituée d'atomes, dont les forces les liant, permettent à l'eau d'avoir cette consistance que tu vois et touches. L'air que tu respires est également constitué d'atomes existants sous une forme différente, qu'une énergie par ses effets a faîte pour que tu puisses sentir et respirer cet air, existant bien avant ta présence et celles de tes congénères. Ces deux espaces que sont l'eau et l'air ont un atome commun qui est l’hydrogène, même s’il est pour quantité inférieure à l’oxygène dans le cas de notre atmosphère respirable et ainsi que dans celui de l’eau. Il est la plus petite particule de matière connue dont son noyau ne possède qu’un seul proton et, n'a pour l'instant pu être déterminé et défini qu’en trois autres éléments, encore partiellement inconnus en leurs propriétés et facultés, comme autres indivisibles nommés en l'état de nos connaissances bosons et quarks … Et cet élément appelé ¹H, ²H, ³H, puis par fission de H : He (Hélium) est le lien physique, chimique et mathématique, permettant de penser qu'il est l'élément universel présent dans tout l'univers partiellement connu, voire inconnu, de l'infini petit connu à l'infini grand imaginé par les théories. Cet élément est présent par lui-même de par sa propre dimension, et cela dans tous les espaces, ne serait-ce que de par sa faculté d’être l’élément premier connu dans la création des ‘’étoiles’’, même si je pense qu’il ne doit pas être seul, ou du moins, ne pas l’avoir été très longtemps depuis la nucléosynthèse primordiale…
- Je savais que tu ne pouvais que me formuler ce type de réponses, et je t'en remercie infiniment.
- Juste une dernière chose, si tu veux bien François-Mickaël.
- Oui
- Avant notre conversation, tu regardais l'horizon formé par le ciel et l'eau, en tant qu’espace à deux dimensions que tes sens te laissent percevoir, comme tel, grâce à la lumière du soleil en tant que dimension éloignée des deux que tu voyais, afin que ta pensée, par l'intermédiaire de ta connaissance implantée dans ton conscient te permettant de considérer comme ‘’concept d'espace en trois dimensions’’, mais dépourvu de la propriété de ‘’contact’’ par ton sens physique que tu connais en le phénomène du toucher, et pourtant H²O entoure ta dimension et toutes celles que tu ne peux toucher que de par cette faculté, et en celle du percevoir aussi, ces ‘’quelques choses’’ de ta propre dimension, accompagnés par celles et ceux que tu ne peux que percevoir par ‘’liens’’ énergétiques sensibles… Où le temps est le dénominateur commun, dans ce continuum espace-temps…
- Je commence à avoir un peu de mal à te suivre, Normahrie.
- Je disais donc que tu regardais cet espace à trois dimensions formé à l'horizon par l'eau et l'air.
- Oui
- Et à un certain moment est apparue une forme ressemblant à un bateau que j'ai dessiné sur le sable, et dans les deux cas, tu le voyais en deux dimensions alors que la réalité du navire que tu as perçu au loin était en trois dimensions réelles, et pouvant de par ce fait, être considéré comme étant son propre espace mobile en trois dimensions physiques réelles.
- Je peux le concevoir comme tel, mais je ne vois pas où tu veux en venir
- Attends un peu, s'il te plaît.
Je voulais juste te laisser penser, que cet objet en trois dimensions matérielles nommé bateau ou navire venait d’entrer dans un espace à trois dimensions physiques minimales, visualisé en deux dimensions réelles et existantes par le lien entre ta vision et la lumière du soleil, et existantes réellement en trois dimensions à l'instant considéré. Plus (+) une quatrième que nous pourrions nommer ‘’Temps’’. Les atomes dont les noyaux sont formés de protons en tant que constituants ‘’premiers’’ des éléments de matière et les électrons composants avec les neutrons et peut être autres, sont les gardiens de l'énergie, inclus dans tous les ‘’quelques choses’’ représentés par des formes physiquement tridimensionnelles, dont l'énergie représentante des forces connues et inconnues permettent à toutes ces formes de ‘’c0-exister’’ dans cet ordre des choses, afin de pouvoir maintenir sans trop de dégâts, notre propre espace de mobilité, souvent atteint de manque d’équilibre, existant pourtant, lui aussi dans un espace-temps équilibré physiquement, même si parfois cet ordre des choses potentiellement connu, semble nous faire encore apparaître quelques incompréhensions dans son déroulement physique, métaphysique et logique éloigné de notre compréhensible acceptation, en l'état actuelle de notre évolution. Et, de par l'entrée dans l’espace-temps, du navire, nous pouvons en imaginer de nouvelles propositions potentiellement vraies, mais nombreuses, liées à l'arrivée de cet ‘’inconnu’’, qu'est le nouveau ‘’connu’’, perçu dans la forme du bateau en tant qu'espace existant par sa propre forme tridimensionnelle, pouvant être élément perturbateur de l'espace initial par l’arrivée de ce nouvel objet (Navire) caractérisée en le seul concept réel de sa présence activée grâce à ses énergies autorisant le mouvement et la mobilité…
- Je te remercie, Normahrie pour toute l'attention que tu portes à me faire comprendre tes pensées, même si parfois, j'ai un peu de mal à te suivre.
Maintenant que le soleil est presque passé de l'autre côté… Ho, pardon, que nous avons changé de position par rapport à lui, j'aimerais que nous laissions ce magnifique endroit, que nous avons maintenant un peu de difficulté à percevoir de par la disparition de la lumière de ce soleil. Il a, sûrement, été éclairé quelques autres lieux. J’ai très envie que nous rentrions à l'hôtel nous préparer puis irons, nous restaurer dans un endroit que j'adore, et après, si tu le souhaites, nous continuerons de fêter cette merveilleuse journée passée ensemble.
- Oh oui, je veux bien, cela me plaît. Mais avant de partir j’aimerais te poser une question.
- Oui Normahrie, tu peux me poser toutes les questions que tu souhaites…
- Au début que nous nous sommes rencontrés tu m’as parlée d’une de tes pensées et tu m’avais dit que tu me raconterais plus tard. Cela concernait une force universelle dont les effets seraient ressentis dans toutes les dimensions proches ou éloignées de nous.
- Ah oui, je me souviens. J’ai effectivement parlé d’une force universelle à l’époque sans spécification autre que celle-là.
Je pense qu’elle existe toujours dans notre univers connu en tant que puissance dotée de merveilleux pouvoirs, mais cependant accompagnée par une autre force indéfinissable qui est présente dans ce lieu où nous existons, de par notre propre réalité consciente, dont nous avons tous propriétés à différents degrés et où ses multiples facettes en sont autant de dimensions d’expressions et caractéristiques de notre propre espace-temps sociologique, existant de par cette multiplicité de dimensions qui, sont le fondement de notre existence personnelle à chacun de nous ‘’petits morceaux de matière organiques’’ dotés de la pensée, et dont l’assemblage de tous ces éléments de matière et facultés énergétiques, nés(es) de notre univers physique et biophysique ont fait que nous représentons ce que nous sommes maintenant, avec toutes nos petites différences individuelles nées de, et après notre ‘’venue’’ dans ce monde. Dont nous pouvons en appliquer le mode de : ‘’conscience intelligible’’. Et que notre évolution fera peut-être bifurquée vers le bon sens de nous et celui proche de la meilleure représentation pluridisciplinaire de la Nature et du Vivant présent ‘’Ici’’… Car ce lieu physiquement existant nommé TERRE, et nous servant de référentiel est juste pour nous l’essentiel, l’utile, le nécessaire et l’indispensable nous servant d’élément physique premier à notre propre existence de réalité, et uniquement celle-là, car notre conditionnement corporel ne nous permet pas de vivre sur autres sphères-cosmologiques de type :’’planisphère’’, pour l’instant. Alors écoutons ses Murmures…
Je vais essayer de te retransmettre ma pensée maintenant du mieux que je puisse, car depuis, je pense avoir trouvé quelques inconnus(es) manquants(es) pour en démontrer une petite logique, et même s’il en existe encore quelques-uns(es), je peux te raconter à toi, aujourd'hui.
- Il y a fort longtemps, depuis que les pensées cognitives et la conscience sont apparues chez certains êtres vivants, en l’occurrence ‘’nous’’ qui pensons être au sommet de la pyramide, alors que moi je préfère me situer à la base afin de vérifier si les fondations sont solides, et peut être en autres esprits pensant, la plus grande quête a été et est toujours, le désir de compréhension du lieu où nous existons en tant qu’espace de notre propre réalité, afin de connaitre les possibles raisons ontologiques de ‘’nous’’.
Les physiciens, les mathématiciens, les philosophes, scientifiques, épistémologues, historiens, archéologues, paléontologues, biophysiciens, biologistes, chimistes, astrophysiciens, cosmologistes, sociologues, psychologues, linguistes, sémiologues et autres ‘’décortiqueurs’’ plus ou moins adaptés à cette logique et acceptable compréhension ont disséqué la matière et l’esprit jusqu’à des dimensions infinitésimales, grâce à toutes sortes d’outils inventés par le génie de certains hôtes de ces lieux, et celui inné en la pensée cognitive et l’imaginaire. Nous avons réussi à toucher les dimensions mécaniques, voir celles microscopiques, mettre en lumière celles quantiques, ainsi que percevoir certaines dimensions beaucoup plus grandes que notre propre espace de vie, et même, grâce à la compréhension des forces électromagnétiques, gravitationnelles, thermodynamiques et autres énergies attractives, découvert d’autres espaces potentiellement existants lointains, et en avons même imaginés d’autres en dénombrant leurs éléments de matière grâce à la physique quantique, relativiste, l’astrophysique, l’astronomie et les différentes longueurs d’ondes de la lumière. Ils, elles ont analysé, disséqué, appris, compris pour partie les forces qui permettaient d’unir différentes formes entre elles, notamment celles qui souscrivaient à la découverte de quelques espaces inconnus où résidait peut-être une petite harmonie physiquement… ; … décelable. Ils ont réussi à diagnostiquer les forces unifiant les espaces dimensionnels plus petits que le nôtre en les forces électromagnétiques, fortes et faibles, par la physique, la chimie, la biologie, les mathématiques et définitions logiques, et celles en les espaces astronomiques par la force gravitationnelle.
Malgré tous ces efforts, ce temps passé et cette énergie dépensée pour trouver un lien permettant de comprendre l’équilibre physique constaté dans toutes ces dimensions, il manquait toujours ‘’un’’ (I) ; (1), quelque chose « Inconnu » ; permettant de croire que cette force, appelons là comme cela, consentait à comprendre et accepter cet équilibre attractif et gravitationnel, qui dans notre monde pouvait être assimilé à une composition ‘’tempo-réelle’’ telle une fonction [Onde-Corpuscule] existante par le décalage entre sa période et celle des autres dimensions. Mon imagination un peu loufoque me laisse parfois penser que dans notre espace ; elles seraient très nombreuses, ces forces ondulatoires, et autres énergies essentielles au fonctionnement du Monde. Les deux originelles seraient communes à toutes les autres grâce à cette force, pour que nous puissions exister avec les facultés des liens, des trois secondes dérivées des deux originelles, où le temps serait le dénominateur physique commun déjà présent dans toutes les dimensions nés de l’instant ‘’O+’’, et uniquement celui-là déjà codé, de par l’existence de cette physique microscopique, macroscopique, cosmologique, ainsi que cette alchimie biophysique propre au vivant et au genre ‘’mammifère-humanoïde’’…
- Mais qu'est-ce que c'est ce ‘’zéro plus’’ (0+) ? Me demanda-t-elle
- Oh, çà, c'est une autre histoire que je te raconterai plus tard, si tu veux ?
- D'accord !
Donc, je disais : ‘’l’espace’’… ; d’existence de notre composition biophysique et chimique serait accompagné par cette force d’attraction universelle, existante à degrés infinis et indéfinis dans, et autour de toutes les dimensions que nous pouvons constater grâce à tous nos sens liés au potentiel équilibre de notre matrice terrestre, et pressenties existantes en leurs effets ressentis par notre perception consciente et inconsciente, le temps de notre réalité physique, qui dans notre conscient à nous, est employée sous la définition d’énergie attractive plutôt que d’attraction énergétique dans notre inconscient. Alors, que pour toutes formes de vie telles que nous les concevons, l’essentiel est bien dans l’attraction énergétique de H²O qui nous permet d’être organisme vivant conscient en expansion, constructeur avec intéressement, attention, curiosité, analyse multidisciplinaire ou destructeur avec possession et accaparement, illimité par avidité, narcissisme, convoitise, anthropocentrisme impérieux et cupidité entre possédants(es) et possédés(es).
A l’heure actuelle, la connaissance appliquée à certaines théories, notamment celles des ‘’Cordes’’, et du ‘’Multivers’’ permettent de penser que cette énergie attractive et tempo-réelle existe dès la plus petite expression de la matière physique et, est la pierre angulaire de toute cette belle construction dont nous pouvons percevoir depuis longtemps toute la beauté, encore présente sur notre ‘’Terre’’, en certains des recoins de son jardin, mais, devenant malheureusement de moins en moins nombreux, ou désistés de tout équilibre physique originellement logique, telle une belle composition harmonieuse, et quelque peu imaginée illogique parfois, par notre incompréhension ou déni de réalité, en l’expression de certaines pensées inconscientes ou incohérentes… Et pour l’instant nous n’avons pas encore inventé d’outils suffisamment rapides pour aller nombreux voir si elle existe ailleurs. Je me demande d’ailleurs pourquoi vouloir aller dans des lieux aussi lointains maintenant, alors que nous n’avons pas encore compris notre propre espace d’existence le plus ‘’touchant’’ et ‘’touchable’’, au détriment du plus proche de nos sensations, par, et, en notre système d’existence dont ses éléments sont essentiels à l’équilibre gravitationnel de cet ensemble de planètes, orbitant autour de cette étoile, le ‘’soleil’’, et autour desquelles gravitent également d’autres objets, dont un extraordinaire, où nous sommes posés à sa surface. Mais bon, je pense que nous sommes majoritairement des insensés, sauf à envoyer à notre place des avis de recherche permettant d’améliorer notre connaissance des inconnus(es) par ce, celles et ceux qui nous entourent plus ou moins proches, éloignés ou lointains, aux fins de peut-être comprendre que le meilleur, est certainement, pour le moment, ici en différents endroits touchants, et que c’est à nous, et à nous seul, tous ensemble de les unifier, aux quatre coins de notre monde, qui même sans nous peut continuer à tourner rond pour quelques milliers d’années. Fort de ce constat, et en ayant présence d’esprit à penser que les réponses suffisantes et nécessaires étaient à portée de mes sens, j’ai essayé, moi aussi de chercher avec mes petits outils à moi, et ceux dont j’avais réussi à en comprendre leurs maniements, ce lien que j’imaginais assimilable à une onde gravitationnelle originelle, qui de par sa définition imaginée, ne peut être qu’attractive, et qui avec le temps aurait dissipé ses forces dans tout son, et notre espace d’existence, parfois cachées sous, sur, dans ou entre de très nombreuses formes dimensionnelles, détectables ou non, telles des ondes lumineuses et sonores, représentantes des différentes teintes renvoyées en une multitude de directions depuis son espace originel, tel un Crystal aux milliers de facettes, dont ses effets originels immenses auraient, malgré les distances insensibles, encore des retentissements, dans tous nos espaces d’existence, tel un petit murmure de vie lointain, qui un jour va s’éteindre complètement à notre perception, dans le Monde Naturel.
J’ai donc demandé à ma pensée, ma conscience et ma mémoire de m’aider dans cette recherche. Je me suis associé au temps, car il était disponible en ce moment pour moi. Et grâce à eux trois, j’avais un petit bagage pour partir à sa recherche, mais cela était encore insuffisant. Ma pensée travaillait dans l’instant, et ma mémoire avait ses limites qui étaient justes celles restantes inoccupées par des informations nouvelles non encore stockées… Je savais que je ne pourrai pas tout ranger en elle. Alors je me suis mis à employer d’autres outils permettant le stockage de toutes ses informations, tels feuilles quadrillées ou non de différents formats, crayons à papier, de couleurs, stylos, feutres, compas, règles, équerres, gommes, ciseaux, cutter, colle, scotch, et surtout un outil extraordinaire par ses capacités de stockage des informations via internet, en l’ordinateur, et en sa capacité de travail fulgurante, puisqu’il, effectue les tâches à la vitesse de la lumière. Il n’a qu’un seul inconvénient, c’est que son langage est limité au oui (I), ou au non (0), avec la conséquence que le ‘’peut-être’’ est exclu de sa conversation, donc c’était à moi de décortiquer tout ce qui avait été mis entre ces deux termes, afin d’espérer pouvoir, m’approcher de l’un ou de l’autre par notions vraies, réelles, et potentiellement existantes. J’ai également découvert un autre outil assez extraordinaire, car il travaille lui aussi grâce aux ondes électromagnétiques – l’imprimante – qui en plus m’a permis de figer certains évènements dont j’avais quelques difficultés à constater avec ma vision, ou, tout du moins à les poser durablement sur un référentiel stable.
Donc à partir de ce moment-là, j’avais tout ce qu’il me fallait pour partir à la recherche de cette fabuleuse force d’attraction. Mon seul associé et en fin de compte mon boulet pour cette démarche, était mon corps, en tant que ‘’véhicule de transport’’ auquel il fallait apporter de l’énergie, l’abriter des éléments extérieurs et l’entretenir. Ce qui avait un coût financier, non négligeable pour moi, vu que je n’avais à cette époque, plus que de faibles rentrées financières. Mais bon, je me suis dit, avec l’aide de quelques êtres proches qui avaient perçus ma démarche, je m’en accommoderai, l’essentiel était pour moi de m’accaparer toutes les connaissances nécessaires à cette recherche, sans bien sûr, en ôter ne serait-ce qu’une à autrui.
- Excuses-moi, mais la nuit vient de tomber. Tu en as encore pour longtemps à me raconter ton histoire ?
- Je crains que oui, hihihi… Mais ce que je vais faire, car si je continue comme cela, nous risquons malheureusement de manger sur des ‘’chevaux de bois’’, c’est de finir ce chapitre et après, nous irons diner.
Cela te va ?
- Ok, ça me va très bien, car je commence à avoir une petite faim.
- Moi aussi d’ailleurs.
J’ai lu la physique, les mathématiques, la philosophie, l’histoire, les documentaires sur la nature et la vie, un peu de chimie et de biologie, l’astronomie par études épistémologiques, analysé les différentes formes dans l’espace, et autres documents nécessaires à ma recherche. J’ai regardé, écouté, lu et ressenti afin de comprendre un minimum tous ces langages, mathématiques, physiques, chimiques, alphanumériques, logiques, littéraires, historiques, biographiques, poétiques, romantiques et tous autres nécessaires à mon désir de savoir, d’où, de quand, de comment, et surtout pourquoi je ne pouvais rester proche d’harmonie. Et plus je lisais, plus je souhaitais poser des ‘’signes mots’’ sur mes supports à moi. Plus le temps passait, plus je souhaitais aller plus loin, plus j’aimais faire et exprimer mes idées, même si j’étais toujours ignorant où tout cela allait m’emmener…
A moments donnés, je n’avais même plus la notion de l’espace-temps où j’existais, et alors, mon imagination a commencé à manifester sa présence, en me laissant supposer que des liens existaient et qu’il me fallait trouver les inconnus(es) aux bouts de ces attaches, quitte à en retrouver des connus(es), afin qu’ensemble, nous puissions faire une belle histoire connectée, même si je savais qu’elle allait être forcément incomplète, car harmonie ne reste pas très longtemps en certains lieux.
Elle doit avoir la bougeotte…
Mais cela ne me décourageait pas, c’était ma façon à moi de soustraire momentanément quelques grains de sable, me permettant d’effectuer la déconstruction partielle de mon château de sable. En effet, je trouvais que certaines parties de celui-ci ne convenaient pas à mon imaginaire, et même si beaucoup de proches ne me comprenaient pas, ou autres conscients également, j’ai continué à faire ce que je pensais bien, et peut-être utile pour moi, et autres… Pourtant nombre a dit que je vivais dans un château hanté, mais ils, elles ne savaient pas que dans ce lieu, j’entendais la petite voix d’Harmonie. Hihihi ; iii… ((((((^_^))))))…
Voilà, j’arrête pour l’instant, nous pouvons aller manger.
- Ha ! Enfin, je meure de faim. Allez, on est parti.
Emmènes-moi dans cet endroit dont tu m’as vanté les bienfaits, tout à l’heure, et où les habitants font bien à manger.
- D’accord, allons-y, moi aussi j’ai un petit creux. Je te raconterai, la suite une autre fois, si tu veux bien.
- Ho oui, je veux bien, cela me plaît.
- Bon, si tu le souhaites, alors suis-moi… Et allons passer un bon moment…
Ensemble.
AVANT DE DIRE QU’UNE IDEE EST UTOPIQUE… ; PENSEZ A TOUTES CELLES QUI PARAISSAIENT IRREALISABLES ET FONT PARTIE DU QUOTIDIEN
Date de dernière mise à jour : 04/05/2020
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