Atticus - Le Prince, la Cour, Le Peuple
Atticus – Le Prince, la Cour, le Peuple
Compétences, entre embrouillamini, escroquerie et autonomie.
Reformer la structure des collectivités territoriales reviendrait à refondre toute l’architecture de la puissance publique. Transférer des compétences d’une collectivité à une autre implique de transfuser des ressources fiscales. Sans cette contrepartie, ce qu’on appelle la réforme est une ESCROQUERIE.
Eh bien croyez-le ou pas, tous ces transferts de compétences réalisés par l’Etat vers les collectivités locales ont été des escroqueries. Certes, il se trouverait, en sens inverse, quelques transactions de dupe. Quand l’Etat a repris des missions aux collectivités locales ou s’est donné des missions nouvelles que ces collectivités auraient pu remplir, les effets n’ont pas été anodins. On a dans ce cas, vu se propager non pas des transferts concrets mais des extensions progressives à la charge de l’Etat, de missions, que précédemment, les collectivités locales assuraient en quelque sorte implicitement. L’hébergement et le secours aux personnes, le droit au logement, une partie de la sécurité civile sont, par exemple, devenus petit à petit, des charges de l’Etat, lourdes désormais.
Certaines de ses missions, sont aujourd’hui, moins bien exercées que jadis, lorsque leur responsabilité était, formellement ou non, locale. Le législateur d’Etat, parfois le simple gestionnaire politique s’est, lui-même, infligé le poids de ses fardeaux. Les collectivités auraient obtenu, pensaient-on par erreur, de moins bons résultats. Cette tragédie démontre l’inanité de la prétention sociale de l’Etat.
Lorsque l’Etat veut transférer des compétences vers les collectivités, l’escroquerie est d’abord camouflée par une dotation de ressources promise pour appâter le volontariat. La loyauté du montant initial de la dotation prévue prête souvent à soupçon. Devant une réticence à l’accueil de charges nouvelles, une négociation permet de faire évoluer les termes de l’accord, parfois associé à conflit d’intérêt. C’est pourtant bien qu’il existait des marges de manœuvre pour un compromis préservant quelques intentions honnêtes. Traiter avec un partenaire public ou privé est une réalité de tous les jours. Bien entendu, dans le cas du public, la subvention ou a dotation compensatoire, ou même le transfert de potentiel fiscal, selon la forme retenue pour habiller la couverture financière du transfert de compétences, tarde à être versé. Parfois l’inscription budgétaire est omise dans l’exercice qui suit l’accord. La trésorerie de la collectivité porte la charge de transition. Le montant de la compensation, avec le temps s’érode. Son principe originel peut être oublié. Sa contrepartie budgétaire vient à être noyée dans une dotation globale qui, elle-même, devra finalement rétrécir dans les goulets du rétablissement de l’équilibre budgétaire de l’Etat. Pour masquer le leurre, dont l’élaboration et la gestion nourrissent une direction générale des ministères de la République, on le plie et on le repasse avec des formules de calcul absconses.
Les délégations de compétences ne sont pas équitablement réparties sur le territoire national. Organisation politique du territoire et organisation de la représentation politique sur le territoire sont les deux faces d’une même pièce. En les séparant on fait offense à l’intelligence politique des électeurs.
Atticus – Le Prince, la Cour, le Peuple.
LE PARALOGISME ENTRE SYSTEME ECONOMIQUE ET SOCIAL EST-IL INSOLUBLE, OU EST-CE UNE ASSOCIATION DE MALFAITEURS… ???
N’est-ce pas Mesdames et Messieurs les gestionnaires de rentabilité, dirigeants des ressources humaines, administrations et politiques de tous bords possédant savoirs et capacités d’analyses des systèmes socio-économiques, zones d’activités, entreprises industrielles, sociétés commerciales, d’échanges de biens et services privés et publiques, tout cela, bien évidemment accompagné de la compréhension ontologique suffisante et la juste philosophie envers vos ’’semblables‘’…???
Mammipho-humanoïdes…
Et surtout disposez des compétences nécessaires à définir les règles et lois de la division sociale afin d’y maintenir le règne des possédants addictifs, dont sa constituante principale est en la seule pensée d’exister uniquement par l’avoir et non par l’être. Ce qui est un total paradoxe communautaire, et social sauf pour les inconscients et inconscientes, déterminés(es) à appliquer ce concept des avoirs par refus d’attention, d’étude sociologique, analyses épistémologiques, et philosophiques dénuées de la juste compassion envers des formes de vies toutes aussi honorables et dignes, désirant juste le nécessaire à y accéder par leur ‘’travail’’ empreint de la déontologie des savoirs faire, accompagnée par l’éthique des savoirs être… Dont vous êtes assurément très éloignés des zones d’exercices réelles de ces ’’formes’’ de vie conscientes, et par voies de conséquence assez ignorant quant à leurs codes de fonctionnement, circonvolutions, covalences, convergences, intérêts et autres concessions entre les différents protagonistes de ces zones sociales économiques à ’’réseaux’’ humains, dont leur but de rentabilité reste quand même empreint d’une certaine réelle et juste valorisation manuelle et intellectuelle, en permettant la visualisation et la reconnaissance d’une possible juste équité. Alors que votre enjeu principal, dont vous pouvez aisément en percevoir les ’’magnificences’’, puisqu’il est omniprésent dans vos zones d’échanges de biens et de services dont ils en sont les ’’piliers’’, à savoir, définir le prix des prestations de vente au maximum de leur valeur financière absolue, tout en y appliquant la valeur ajoutée au minimum de son prix de revient (sauf pour les produits de ‘’luxe’’, réservés à pouvoir financier suffisant) avec pour la partie main d’œuvre productive déconsidérée, le minimum admissible (devenant aujourd’hui souvent maximum de son inadmissibilité), pour chaque zone géographique dans laquelle elle est exercée au minimum des quotas économiques et sociaux, bien évidemment facilités par le développement des transports permettant, si les coûts de production ne sont pas assez bas ’’ici’’, d’aller trouver ’’ailleurs’’ de plus petites mains moins chères, vous autorisant, bien évidemment, sans aucun état d’âme quant à l’exploitation ’’anarchique’’ des hommes par l’Homme, voire des enfants, d’en laisser la marge financière maximale à l’acte de vente du produit, invectivée par son potentiel à être objet ‘’essentiel’’, ‘’nécessaire’’ ou ‘’superflu’’ avec comme particularités à ces trois sujets d’incertaines obsolescences, en celles que le premier n’ai aucun besoin à être appuyé par l’offre, le troisième obligatoirement invectivé par l’offre, alors que le deuxième se doit d’être tantôt soutenu par la ’’demande’’ et tantôt assujetti à ‘’l’offre’’, pour la simple raison que le nécessaire n’a pas même signification suivant la projection que se font les pensées et imagination chez ’’l’être humain’’, de l’essentiel quand il le possède et du superflu lorsqu’il le désir, où dans ce système le référentiel en est assurément la ‘’Monnaie’’.
Heureusement pour vous, que majorité a toujours du mal à fixer le degré de ‘’l’utile’’, surtout lorsqu’il est ’’martelé’’ par les outils du marketing logo-médiatisant.
Et autres réseaux publicitaires à sémiologie ‘’médicamenteuse’’, dont leurs particularités en sont le ‘’formatage’’ des pensées et la ‘’logo-atomisation’’ de l’imaginaire… Je pense pourtant que vous devriez savoir que la gestion de ressources humaines demande par définition, quelques notions de philosophie, d’histoire, de psychologie, sociologie, ontologie, voire anthropologie adaptées à traiter convenablement ’’l’objet’’ et le ‘’sujet’’ attachés à l’exercice de compréhension, par la logique ‘’humainement’’ acceptable et respectueuse de tous labeurs, besognes et travaux, ainsi que de toutes vies, où les langages phoniques, expressions formelles, impressions logarithmiques, mathématiques, informatiques et alphanumériques, n’en sont qu’une partie de la possible et potentielle compréhension, et se doivent obligatoirement d’être accompagnés par quelques langages poétiques et romantiques, institués par quelques attentions humainement acceptables… Car dans le cas contraire, cette appréhension attachée à la dualité ‘’corps-esprit’’, ne saurait en aucune façon être approchée, et encore moins unifiée ; en tant que complémentarité essentielle à bienséance.
On ne vous a pas appris cela à l’école de la vie ?
Mais bon, le ‘’sujet’’ humain que je suis, ne vous en veux pas. Vous êtes seulement devenus des recruteurs et administrateurs à la solde de quelques chefs et autres dirigeants doués de mauvaises natures, ou dépassés par les évènements du moment, où le plus important de vos désirs et les leurs, sont votre identité anthropocentrique et vos ’’petits pouvoirs’’ exercés par trop d’indécisions et mauvaises perceptions, qui par la mienne me permet de vous visualiser tels des ’’fantômes’’ de la gestion des ressources humaines, administrations économiques et sociétales, qui devraient par ailleurs commencer, très tôt, par l’apprentissage, l’éducation et la retransmission des savoirs et connaissances additionnées à l’histoire de chaque ’’évolution générationnelle’’, avec dans une de ses définitions quelques oublis inconscients de votre part pour ses parfois mauvais cycles et effets, qu’autres grands dirigeants, hommes politiques et modulateurs médiatiques, n’ont bien évidemment pas oublié et surtout n’ont pas omis d’y exercer quelques actions sur ces trois leviers que sont donc, ’’l’essentiel’’, le ‘’nécessaire’’ et le ‘’superflu’’, pour des désirs personnels que vous entreverrez peut-être en lisant mes ‘’mots dits écrits’’, et informations objectives et logiques éditées également sur autres supports… Ailleurs… Accompagnées par quelques extraordinaires consciences… Où les déterminantes justifiables, l’équité, la fraternité et l’humanisme possèdent encore leurs réelles et belles définitions universelles.
Hou la là, la conscience humaine!
Qu’elle est perfide parfois et trop souvent proche de l’inconscience … Et je n’édicte rien quant aux inconscients(es) qui ne souhaitent ou ne veulent plus se faire ‘’soigner’’.
Sujet trop vaste… Atteint par trop de prosélytismes de mauvaises croyances infondées. Car encore cloisonné par trop d’incompréhensions philosophiques ou teinté de trop de volontarismes liés à la soumission néo-liberticide, envers le sujet ‘’humain’’ et autres organismes vivants… Dépeints dans l’inconscience ontologique… Bordel, ’’Gente’’ de bonne conscience, réveillez-vous ! Et faites travailler votre imagination et vos méninges, par la vraie logique de vos sens! Car, sur ce thème particulier des ’’savoirs faire‘’ et ’’savoirs être‘’, en tant que déterminants de la redevenue nouvelle asociale économie en générale, travail rémunéré à la juste valeur de son exercice particulier et conceptualisation de milieux sociétaux vivables, je ne comprends plus grand chose, tant dans les comportements que dans les bases indispensables, utiles et nécessaires, tel un triptyque attribuable au genre humain, dont les trois ‘’piliers’’ essentiels en seraient « l’affectif, le travail et l’outil » nécessaire aux échanges, à savoir : ‘’La monnaie’’ ; en tant que référentiel utile à la visualisation fiduciaire des énergies humaines, matières premières, biens et objets transformés…
Mais par contre, je m’aperçois pour le premier, qu’il est relégué en troisième position après l’argent et derrière le travail, tandis que pour ce dernier, le temps pour accéder à la retraite augmente, l’âge du ‘’sujet’’, lui permettant de commencer à être considéré comme compétent afin de pouvoir entrer dans le secteur du travail rémunéré se décale, la période où nous sommes considérés comme performant diminue. Il me semble malheureusement entrevoir une mauvaise rythmique dans tout cela, pour disposer de quelques menues monnaies…
Les ’’jeunes’’ commencent à recevoir un salaire soumis à cotisations ’’pleines’’ en moyenne vers 23 ans, et à partir de 54 ans, voir avant (c‘était mon âge en 2013), nous sommes soit disant insuffisamment compétitifs pour continuer cette activité professionnelle, qui nous a permis d’exister dans ce ’’système’’ en tant que lien social-économique. Si je compte bien, cela fait environ trente et une années de cotisations, alors qu’il nous faut dans notre pays, plus de 41 annuités en permettant les versements ’’normaux’’ proportionnels à une ’’réelle activité’’ rémunérée exercée au juste montant ’’absolu’’ en tant que déterminant des prélèvements nécessaires à l’obtention d’une retraite par répartition à taux ‘’plein‘’ en adéquation avec des normes de vie acceptables pour ceux et celles en activité, au même titre que les retraités(es) bénéficiant uniquement de cette ‘’rente‘’, me semble-t-il ?
A moins d’avoir réussi à cotiser à quelques fonds de pensions où caisses de retraite complémentaires… ? Encore une fois, me serais-je trompé, ai-je été trompé, maintenant, ou en d’autres temps et par de mauvaises intelligences dont la justice sociale n’est pas le cœur de leurs problèmes ?
Mais, comme souvent en des cas problématiques, je m’aperçois que les réelles définitions de la liberté, de l’égalité et de la fraternité ont été dans notre pays, comme en beaucoup trop d’autres, quelques peu oubliées, ou bafouées tels des arbrisseaux desséchés, présents aux bords des chemins, dont leurs graines réensemencées de façon inadéquate, n’ont assurément pas reçu les attentions nécessaires à leurs belles pousses, et aujourd’hui remplacées par de mauvais germes, dont l’expansion de leurs aires de développement me semble être générée par l’expropriation voire l’élimination des petites cultures et ’’autres insignifiances’’… Et remplacer par des produits de mauvaises influences, fausses factures et néfastes consommations…
Physiques et Intellectuelles… ??? Après ‘’Big Brother’’, ‘’Little Uber’’ sera-t-il le ‘’grand frère’’ du XXIème siècle ?...
Je pense que le développement de toutes ces ’’grandes’’ applications risque malheureusement d’être en celui d’y avoir quelques problèmes supplémentaires d’ici quelques années, pour une grosse partie des générations suivantes à la mienne, en dehors de ceux existants à l’heure actuelle consistant majoritairement dans nos pays modernes à essayer de vendre de ‘’l’intelligence grise’’ pas toujours adaptée à nos systèmes de vies, en perpétuelles mutations, où la vraie réalité sociale économique est pourtant bien en celle de certaines de ses belles entités, proches de l’appareil créateur et générateur de produits manufacturés marchands, mais trop souvent destituées de leurs fonctions logiques par quelques mauvais génies de la finance et autres sorciers de l’économie peu scrupuleux, et sûrs de savoir comment gagner de l’argent par d’autres principes virtuels dénués d‘une quelconque petite éthique, leurs permettant de conserver le contrôle des flux financiers à fin d’augmenter leurs réserves monétaires, ainsi que la croissance de leurs biens matériels, sans considération pour les quelques ’’entités’’ atteintes d’autres souhaits sociologiquement plus engageants ; ainsi que pour le fondement de l’appareil des savoirs techniques exécutables par les savoirs faire manuels et intellectuels, en tant que valeurs ajoutées, apportées par tous ces ’’savoirs’’ pourtant indissociables les uns des autres, se trouvant dans la création, la conceptualisation, la réalisation, la fabrication, la distribution et l’acquisition de ‘’l’objet’’ utile, nécessaire, essentiel, souhaité, désiré… ; jetable, etcétéra, ‘’rejeté’’,…
Néo mieux, néo vieux, néo jeunes, nouvelle économie, nouvelle évolution, que sais-je encore…
Plus, mieux, bien ? Pour quoi, pour qui ?...
Nouveaux sujets… ???
Pour croire que nous avons pouvoir d’assertion équitable ?…
Ou d’asservissement … ?
Par la servitude démystifiée ?
Pour les principes, us et coutumes retransmis par ceux et celles d’avant ?
Ou au nom de quelques croyances infondées ?
Ou plutôt à imaginer d’autres systèmes de ’’vies’’ plus respectueux de ‘’l’être vivant’’ ?
Et du monde naturel… ???
Où ce dernier est assurément notre référant existentiel !
Ma génération et celles d’avant ont quand même majoritairement, sacrément foutu la pagaille, vectorisée par l’inconscience d’être pratiquement sûr de n’avoir engendré ni désordre, ni individualisme, qui pourtant, même sans y prêter une attention exacerbée proche du ’’mal de tête’’, sont assez facilement décelables en certains milieux socio-économiques, où la ‘’machine’’ est devenue suffisamment complexe pour ne réussir à en définir uniquement les réponses humainement inacceptables, éloignées des ’’vraies’’ réalités dont leurs ‘’états intelligents’’ sont pourtant statistiquement dotés de solutions convenables, si elles étaient réellement visualisées et comprises, surtout par ceux et celles existants par ‘’ailleurs’’, ne voulant opter pour aucune autre ‘’logique’’, anticonformiste au rapport de leur présent matérialiste et pourtant, par juste rétribution, indispensable à la belle évolution générale…
Ont-ils, ont elles peur que ces changements non propices à leurs croyances et certitudes fortement cloisonnées, défiscalisées ou endettées, aient quelques incidences sur leurs bonnes conditions de ‘’vie’’, où pour certaines, le nécessaire a largement dépassé l’essentiel à l’existence d’une ‘’seule‘’, qui par leurs omissions, peut-être volontaires, ont oublié que l’analyse objective et la conceptualisation associative d’autres possibles ‘’états’’ fonctionnels affétés à la belle évolution ‘’humanisante’’ en permettraient le juste éclaircissement de certaines alternatives sociétales plus adaptées aux ‘’espaces temps’’ du moment, où le privilège serait le véritable ‘’bien-être’’ légitime avant le ‘’tout avoir’’ absolu… ???
Mais malheureusement, cela est trop utopique pour l’instant, l’humanité en tant qu’entité, n’est pas encore prête, même si certains ’’mammipho-humanoïdes’’ le sont… Où le vecteur commun à toutes ces conceptualisations est bien évidemment en l’attrait de la ‘’nouveauté’’, indexée par de belles évolutions ’’technologiques’’, mais maintenant bien souvent établies au détriment des modifications ethnologiques et sociétales ; aujourd’hui humainement inacceptables en certains lieux, car empreintes de trop de ce corporatisme qui lorsque sa définition est appréciée comme insuffisamment communautaire se rapprochera inéluctablement des frontières du sectarisme, où l’effet de ce ’’mauvais élément’’ ne saurait entrainer autres opérations que celle de la division avec toutes les conséquences applicables à ce pandémique phénomène .
Par lequel trop ’’d’entités’’ de ce monde se donnent autorisation à se foutre de tout ce, celles et ceux qui se trouvent hors de leurs zones de confort ou champ de possibilités à justes, honorables et dignes accessions par différents ’’d’eux’’, sauf pour les objets et sujets fonctions d’acceptables covalences envers et entre les ‘’possédants‘’, ou autres, ’’très proches’’, dont les ‘’amis(es) ne sont considérés comme tel, que si, ‘’ils’’ ou ‘’elles’’ (les humains), ont possibilité à être touchés(es), accaparés(es) ou, pour ceux et celles non conformes à la norme sociale-économique, évincés(es)… ; en oubliant qu’autres ressemblants ont également le potentiel à être touchant, où ce sentiment est trop souvent oublié hors de notre champ émotionnel, sauf en quelques visions d’autres corps meurtris, dévalorisés, dénaturés, gravement détruits ’’psychologiquement’’, ou encore trop endommagés physiquement, ainsi que trop de laissés(es) pour compte dans des ‘’no man land’’ ou zones de non-vie, au nom d’intérêts esclavagistes procédant à trop de cruautés envers les femmes et les enfants de tous pays…
Pourquoi faut-il en arriver à de telles visions extrêmes pour percevoir l’obscur manichéisme déstructurant de ce monde de folies et d’inconscience ?
L’être humain serait-il devenu aveugle et sourd ?
Utilise-t-il ses facultés et propriétés au nom de la convoitise, de l’accaparement, du narcissisme et de la cupidité ? ...
Ou alors est-il maintenu dans le filoutage et les peurs suffisantes et utiles à engendrer l’asthénie intellectuelle et physique … ???
L’autre monde existant, étant bien évidemment celui des ’’exclus (es)’’ du système sociétal établi… Où ils, elles, eux (et autres espèces vivantes), n’ont apparemment plus aucune utilité, propriété ou faculté, qu’elles soient ’’touchables’’ ou ‘’touchantes‘’, sauf celle d’être considéré et affilié à des incapables, bons à rien, donc inutiles, obsolètes, incompatibles et forcément atteints d’instabilités et de déraisons… Et donc susceptibles d’être ‘’stabilisé’’ par une ordonnance de vie proche d’une certaine forme légère d’eugénisme dans le paradigme virtuel et psychologiquement lobotomisant…
Conclusion, par définition de ‘’ce’’ qui est établi proche de l’indifférence, du refus ou du déni, ne peut devenir à terme, ‘’qu’exclusion’’ du système établi par règles et lois, sans en avoir l‘absolue certitude, que toutes soient adaptées pour l’ensemble des acteurs et actrices vivant dans la zone ‘’gérée’’, depuis un temps supérieur à celui d’une génération, où une partie de la suivante ne souhaite, trop souvent, que le conformisme modifié par la puissance des nouvelles technologies, alors que la précédente par peur de pertes d’acquis refuse tout changement socio-économico-culturel, où les réelles sensibilités sont oubliées, par préférence corporatiste ou, et cultuelle… Certains esprits sont parfois un peu ‘’inconscients’’ dans la conceptualisation de fonctionnements politico-socio-culturels illogiques, uniquement hors de leurs concepts et portées imaginées trop souvent inflexiblement corporatistes ou électoralistes, et parfois tordues déontologiquement par des programmes logiquement indispensables aux développements de leurs intérêts lobbyistes, à tendance particulièrement unilatérale, invectivée par quelques sources dysfonctionnelles nécessaires à l’acquisition du tout avoir, tel une prosternation devant le dieu de la possession plutôt qu’un alléluia envers la déesse de la sagesse, où la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice n’ont plus que l’apparence de statures disloquées.
Michel Asti – Au-delà des quarante malencontreuses.
PRAGMATISME
Vers quel nombre tendre par moins disant
A faire une nouvelle opération soustractive
Envers devenu cher à contribution
A oublier sujet intégralement présenté
Au soin d’autres dissidences bâclées
Plutôt qu’à persister dans l’analyse
Inutile aux angoisses des flux contrariés
Chiffrage des amertumes clandestines
Suffit à décider des gibiers de potence
A vies exsangues aux bastions de l’ancienne garde
Le masque cynique des aptitudes savantes
Ni apposa que la symbolique sans partition
Aux sciences inhumaines ex-machina contribuera
Sans aucun scintillement à l’amplitude de l’action
La vaseline des suppositoires multiplie les têtes de cul
La thèse pragmatique n’est que contre-valeurs suceuses
Les figurines frappées au sceau scriptural
Ont déposé la monnaie de singes
LE CLAN, LE ROI, LE PRINCE ET LES ADORATEURS
Des signes éclairés aux foudres du ciel
Du feu sorti des entrailles de la Terre
Le nouveau prince se senti pousser des ailes
Et par cette ignorance de la nature et des hommes
Il s’autoproclama messager du grand ordonnateur
A l’éloge de son père, petit bourgeois de province
La louange fut sienne et par là même, la chose engagée
Le discours encore confus, il s’en alla déterminer
Prêt à lire philosophes et engager conversation usurière
Et par autres voix chercha Sophia, fille de Vénus et Simonide
Ceux sont là bien des maximes bonnes et valorisantes
Auxquels nous voudrions en porter ferveurs et allégeances
Rousseau n’en dit pas moins, et quant à moi y souscrit
Mais l’homme moderne n’en est pas moins un génuflecteur
Adorateurs, adoratrices, néanmoins il mange, boit, dort et aime
La sélection naturelle l’a fait robuste et agile
La maladie, l’existentialisme humaniste, la mort il veut s’en décharger
Il n’a même pas conscience de son activité grégaire chancelante
Ses sens communs sont d’une extrême vivacité accaparante
Sa sensibilité n’est souvent que réflexion matérialiste
Son objectivé s’arrête aux frontières de la cour des contre-mesures
Par son dieu, il construit les suspicions aux abords des politiques templières
Il se souci plus de la voûte céleste que du monde des vivants
Le beau prince par narcisse envoya bordée d’échos à droite et à gauche
Oubliant que peuple ne peut s’abouter à justes devises sans réelle bienfaisance
Que bienséance ne se résume pas à transmission inique sectorisée
Si les convives ne sont choisis qu’aux abords des guéridons du clan
Si peur de perdre dû, n’est que gré de la louange du roi
Alors Festine et Bacchus de votre table de mauvaises humeurs
Ne riront, mangeront, boiront et ne festoieront point
Le prince par vénalité absconse, par la sottise et l’injustice ajoutées
Son aveuglement et abus, exemptèrent le juste contrat social
Serviteurs s’y fourvoyèrent avec les oboles du riche charitable
Par soumission et idolâtrie envers reines de Saba et rois de Pique
Adorateurs furent incapables de s’afficher à la cour des reines de cœur et poètes esthètes
Les chevaliers des temps modernes sous couverture des nouvelles amazones
Prirent voies vers la presqu’ile de Lemme
Et sans perdre le prix des vers, avertirent le clan des domestiques
Sous les pendules des justes et des innocents d’antan
Que le discours des nouveaux adorateurs du prince,
Associés aux chants falsifiés des sirènes du souverain d’éloquence
Ne pourront empêcher, par temps faire, dans les conspirations du pouvoir
Que cette maison, dans les oubliettes du château, ne sombre à l’envers.
Pourtant jadis, l’Olympe et le mont Parnasse avaient frères et bons amis(es)
A contre-courant de la mondanité libertine
Dans le silence de Port Royal, au pinacle de l’austère
Des solitaires aux ordres de l’abbesse Angélique, Pascal
Par les lettres de Louis de Montalte, provincial de ses amis
Pestèrent reliquats symboliques, aux grâces divines entre Jésuites et Jansénistes
Adossées à disputations des soixante et onze docteurs de la Sorbonne.
L’échange fut grandiose, à examiner ce qu’il y avait de faux ou de réel
Epanchement exercé par la véritable conscience des uns et des autres
Dans ce qu’il y avait de bon en dieu, ou de mauvais chez les hommes
Ne surent rien, avec certitude définir, même pas leur portée
Vide de l’esprit flirtant aux accords enchanteurs entre charnel et extase
Au présent des commissures entre attachement et liberté
Les coercitions des anciens, à l’attention des connexions nouvelles
Les néo-jeunes ne purent s’affranchir des nouvelles vacuités cessibles
Emancipées aux évasions virtuelles, où flottent encore quelques vagues à l’âme.
Michel Asti - https://www.facebook.com/michel.asti
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