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S’intéresser au monde dans lequel nous vivons, n’est-il pas un prérequis pour que nous puissions y trouver la société idéale dans laquelle nous souhaiterions vivre ?
Participer à sa mise en place n’est-il pas le meilleur moyen d’y parvenir ?
L’expression libre et la même importance que revêt chaque citoyen de par son droit de vote, ne constituent-elles pas de belles opportunités pour construire une société dans laquelle il fait bon vivre ?
‘’Notons que penser à l’ordre idéal comme écart entre l’économie et la monnaie revient à dire que la monnaie est une imperfection dans une démarche uniquement économique dématérialisée de sa fonction sociale où l’attrait mobilisateur envers le refus social ne saurait être autre que celui d’avoir les moyens individualistes nécessaires à exister hors de ce même système social-économique délétère et fractal envers la légitimité de la communauté de bien(s)… Avec ou sans ‘’s’’ !
C’est pourtant facile de voir les choses sous cet angle !
De les ‘’percevoir’’ ?... Indubitablement. Mais plus difficile dans et par l’application de statuts plus avenants, ou tout du moins plus équilibrés et teintés à la pluridisciplinarité de meilleures thésaurisations, envers l’objet-sujet économico-financier, car ce salopard d’égo revient à chaque fois à la charge, et il n’entend pas la petite voix lui murmurant : ‘’Arrêtes tes conneries, tu sers à rien, et maintenant tu te calmes !’’…
- Début 2015…
Il avait compris qu’aucune réponse concernant ses questionnements épistémologiques, ontologiques, éthiques, philosophiques et peut-être poétiques, séides des échanges entre ces entités humanoïdes présentes dans les différentes zones, contrées ou régions politico-socio-économico-culturelles ne sauraient être validées. Avec particularité en celle que nul culte ne puisse être admis en tant que certitude, mais seulement en tant que questionnement logique envers les contradictions et paradoxes déontologiques au rapport des réalités de la condition humaine … Dans le monde des vivants… Avec pour singularité proche de le penser tel Marx édictant : ‘’La religion est l’opium du peuple’’, et notablement inflationniste, par, dans et avec les infortunes personnelles sensiblement méconnues, lorsque… ; apparaissent conflits sociétaux et crises socio-identitaires et culturelles, ou peut-être humoristiques telle la sémiologie ‘’vidéolistique’’ visionnaire de la farce cinématographique des Marx Brother : ‘’La monnaie de singes’’ ou, plus tragique la ‘’Z’’ sémiotique dictatoriale. (Film Z avec Yves Montant). Pour lui, cette évolution avait été induite par le fonctionnement de ces grandes métropoles, banlieues et autres lieux grégaires, conflictuels ou ‘’guerriers’’, où les habitants étaient devenus des inconnus(es) pour et par la vraie raison de vivre, et avec lesquels, lui-même avait petitement et inconsciemment participé dans cet ancien espace-temps de précaires échanges désaccordés aux voix de l’incompréhension violente trop souvent teintées aux couleurs tristes et discours galvanisés à l’individualisme opportuniste, sociologiquement inintelligible.
Cela, lui était devenu insupportable. Il n’arrivait plus à appréhender les raisons de ce fonctionnement égoïste, narcissique, cupide et voué à la prédation, où les notions d’inattention, déconsidération et insensibilités envers l’organisme naturel vivant et l’irrespect envers les bons arbitrages étaient devenus des anachronismes au rapport de la liberté de croire, d’aimer, d’imaginer et de s’apparenter aux extraordinaires et merveilleux logogrammes féconds. Avec pour ineptie envers la nature et l’animal, celle d’oublier de faire comprendre à nos enfants toutes les beautés du monde, sauf à les emmener parfois en quelques salons agricoles, certes plus propices à les éloigner des subjectivités des nouveaux parcs d’attraction à thèmes d’échanges de monnaie scripturale inutiles à leurs apporter ouverture d’esprit suffisante et nécessaire à l’analyse de l’interprétation économico-financière, et foncièrement corporatiste ; tout comme cette morose détermination vers d’autres petits horizons gris tout aussi désuets consistant à leurs faire parcourir les allées des anciennes prisons-zoos, heureusement depuis quelques années, remplacées par des zones d’habitats, un peu moins grégaires appelés ‘’Espaces Naturels Protégés’’, et plus à même d’y apporter quelques biens être animal… Où le ‘’Mammifère-Humanoïde’’ possédait parfois de par certains bons côtés quelques aptitudes à pouvoir créer des zones de meilleur confort acceptable, nécessaires, essentielles et utiles pour lui et ses congénères…
Depuis quelques années il ressentait cet état socio-économico-culturel présent dans la ‘’cité moderne’’, totalement chaotique et foncièrement inadapté au sens profond de l’être. Ce sens magique originel qui souvent réduisait les croyances en la seule, possédant le lien de toucher cette merveilleuse ‘’force d’attraction’’, celle qui transforme les êtres, les rend créatifs en leurs laissant imaginer certaines réalités plus hospitalières, qui, lorsqu’elles sont teintées des couleurs de l’arc en ciel, leurs donnent facultés d’être capable de comportements assez extraordinaires, mais où ces systèmes sociétaux pressurisés aux tendances mégalo-politico-économico-asociales rendaient trop de zones de vies, rapidement vides de toutes énergies avec pour postulat naissant ; le tarissement même de la source naturelle de la « Vie », où l’espace communautaire était depuis plusieurs décennies en train de bifurquer vers des formes proches du corporatisme identitaire, avec pour particularité à ce que le prochain tournant de l’humanité soit invectivé vers celui de l’individualisme sécuritaire alimenté par le refus de visualisation et déni de compréhension envers l’inéluctable changement des territoires habitables, où la plus mauvaise porte restant à ouvrir en ces états d’incertitudes géopolitiques et de divisions communautaires sera celle du retour à l’obscurantisme post laïque fermé et l’antihumaniste, avec tous les dégâts qu’il est possible d’imaginer, accentués par les phénomènes de pollution et le réchauffement climatique, inhérents en grande partie au consumérisme endiablé et à l’industrialisation non régulée…
Avec, dans cette incompréhension notoire les flux monétaires…
En l’état actuel de son parcours, sa perception sensible, encore ‘’vivante’’ lui avait permis d’entendre le léger murmure d’un ruisseau de survie au milieu des tourbillons des grands fleuves dont le lit de certains était déjà tari ou en cours d’assèchement par des courants ‘’énergétiquement’’ dispendieux, alors que d’autres réussissaient encore à rejoindre leur lieu d’origine dans un état chargé de mauvais éléments, au milieu des méandres dont la VIE n’était plus la ‘’belle créatrice’’. Tout cela accompagné par la croyance que ce ‘’petit morceau de vie’’ doté de la pensée cognitive avait la capacité de façonner violemment l’endroit où il résidait, avec impérieuse main-forte au lieu d’essayer de l’agencer avec celle de cœur et de raison, à fin minimum de le laisser au moins aussi beau qu’à son arrivée, et à maximum pouvoir espérer laisser cette extraordinaire TERRE suffisamment confortable pour tous ceux et celles d’après, où les espaces Naturels du Vivant seraient assujettis à attentions suffisantes et utiles à vaincre le despotisme territorial, népotisme identitaire et culturel fractal décrit depuis longtemps dans leurs grandes lignes par quelques philosophes, théologiens et poètes où les origines sont historiquement beaucoup plus anciennes et assignées à certains comportements humains irrationnels, voire insensés, dont quelques causes probables ont été démontrées par autres théoriciens, logiciens, anthropologues, épistémologues et analystes Aristotéliciens, Bergsoniens, Cartésiens, Darwiniens, Euclidiens, Freudiens, Gordiens, Kantiens, Leibniziens, Pascaliens, Booléiens, etc…
Et intrinsèquement terriens; dans leurs évolutions de types sociologiques, philosophiques, corporatistes et migratoires d’espèces biophysiques, soumises à aptitudes et attitudes souvent psychotiques en et envers les écosystèmes et autres lieux d’habitation du genre humain à tendances communautaires. Où en ces temps troublés, la juste transmission des connaissances et savoirs de ceux et celles d’avant, par celles et ceux de maintenant, et pour après, s’exécutaient trop souvent de façons impropres à maintenir quelques belles universalités. La porte qui pour lui venait de s’ouvrir était celle de l’exclusion de ce continuum espace-temps asocial et grégaire dans lequel il avait résidé quelques décennies.
La vie l’avait emmené là !
En 2013… Lors de sa 54ème année…
Il a respecté ce qu’elle voulait lui montrer, et il se mit alors à chercher les clés ouvrant les quelques portes où derrière il réussirait peut-être à trouver quelques signes et comprendre les différentes expressions, accords et définitions ‘’d’Harmonie’’, aux fins de lui donner petite possibilité de s’approcher encore une fois ‘’d’Elle’’, grâce à ces extraordinaires armes de vie ; que sont l’attention, l’utile curiosité envers toutes ces ‘’choses de l’existence’’ ; présentes en ce Monde et la considération de l’espace touchable, et sensiblement touchant.
Il s’était déjà désisté depuis quelques temps, de ces belles et surprenantes sensations affiliées aux étonnants échanges entre le féminin et le masculin, avec pour première singularité, celle proche de l’insaisissable équilibre entre la liberté et l’attachement… Il pensait que cette merveilleuse force était toujours présente alentour, telle la particularité d’un élastique ayant propriété à se tendre et se détendre en fonction d’attractions inconnues, qui lui donneraient à nouveau petite liberté d’entendre quelques beaux accords émis par la ‘’petite voix’’ du bon sens de la vie, tout cela avec cette sensation d’être depuis longtemps relié à cette voie ‘’vibratile’’ tangible, autorisant en chaque zone géographique, la potentielle vision d’un juste et acceptable ‘’vivre ensemble’’… Et même s’il était quelque peu inquiet, voire triste de et par ce qu’il réussissait à percevoir et ressentir des comportements, actes et pensées primaires émanant de certains de ses congénères, il avait cette petite certitude optimiste lui autorisant à croire que l’éveil des justes consciences, par nombre grandissant, permettra tôt ou tard de transformer les étourdis(es) et inconscients(es), afin d’évincer les néfastes idéaux des malfaisants(es) et malveillants(es)… Permettant peut-être d’engendrer quelques espaces-temporels teintés de quelques meilleures lumières et extraordinaires sons enchanteurs…
M.A – AU DELA DES QUARANTE MALENCONTREUSES
“Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres, et à donner l’apparence de la solidité à ce qui n’est que vent.”
Orwell
‘’ ECRIRE POUR NE PAS SOMBRER & DEVENIR FOU ‘’ - 150 pages format 15x21
Format PDF – Pour accéder à la lecture, voir sur lien : http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/politiques-particulieres/ecrire-pour-ne-pas-sombrer.html
Lorsque qu’après 36 ans de travail et d’activités professionnelles diverses, après avoir été un bon ‘’petit soldat’’ tant au niveau familial, fraternel, économique et social, bien sûr accompagné par quelques personnes de belles attentions et que vous vous retrouvez avec le statut de ‘’chômeur de longue durée’’, associé à celui affilié au RSA, je puis vous assurer que vous avez intérêt, pour votre santé psychique, à trouver un contre poison intellectuel ET/OU physique, sinon vous n’y survivriez qu’avec dommages irréparables. Et cela, en ou hors de ce système sociétal, que vous avez servi du mieux possible, depuis vos 17 ans, puis avoir été exclu de votre lieu de vie à 54, et être sans emploi depuis plus de 5 années, du reste de votre vie ‘’active’’.
Qui plus est quand vous résidez en milieu rural où votre seul lien culturel restant est celui d’une connexion internet, bien évidemment, si vous y avez accès avec possibilité de régler l’abonnement mensuel. Car avec 480€ par mois, tout n’est pas simple, et parfois une forme de colère peut apparaître vis-à-vis de vos congénères et communautés éloignées de vos sincères sensibilités en échanges sociaux ; où par ce lien réseau, quelques docteurs en psychologie, savants en bien-être, manipulateurs en bonté, manipulatrices en bienfaits et autres pseudos amis(es) virtuels(les) vous proposent des invitations pour participer à des réunions, débats, symposiums et spéculations de groupes, en salles éloignées de vos possibilités matérielles et financières, vous autorisant en ‘’temps normal’’, d’accéder à ces lieux d’échanges en réseaux biophysiques, psychologiques, culturels, scientifiques, sociologiques, voire physiologiques, par moyens de mobilité suffisants, et souhaits en diversité pluridisciplinaire, hors uniques échanges en ambiance virtuelle, souvent veule…
I : POUVOIRS et CONTRE-POUVOIRS – Page 22
II : TRAVAIL - ACTIVITES – EMPLOIS – Page 44
III : THESAURISATION & SCIENCES HUMAINES – Page 65
IV : MISSIVES AUX PÔLES DESASTRES – Page 89
V – LA VOLONTE DE CONNAITRE EST-ELLE ILLUSOIRE… ? – Page 106
VI – RENTREE 2015 – Page 131
LIBERTE D’EXPRESSIONS : http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/theories/liberte-d-expressions.html
Qu’il en soit plus qu’il en est de nos raisonnements qui n’eussent d’autres horizons que ceux de nos romances particulières en oubliant que chaque histoire singulière n’autorise en aucune manière de fustiger tout à chacun à propos de chacune ; et réciproquement, dans leurs propres désirs de refuser un démiurge insincère qui n’aurait pas ses fondements dans les lois d’un combat vif dicté par les pensées qui n’ont de vérité qu’à se rencontrer en celles d’observances éveillées ; plutôt qu’en nos rêves tournant trop souvent aux cauchemars entre possédants(es) & possédés(es).
Nous ne sommes pas tant parfaits et satisfaits par ce qu’il en devrait sortir de nos échanges composés en égal attachement envers ces ‘’choses de la vie’’ qui ne puissent contenter nos propres expressions de la liberté en défaut d’attentions véhiculées par précieux et suffisants(es) pour ce qu’il en retourne des différences de compositions entre les dissonances en dimensions touchables et celles de l’espace sensiblement touchant.
Il n’est de plus imprévisible plume que celle si piquante qu’elle en est dans le paradoxe d’une dureté si tranchante dressée sur ses lignes que d’une souplesse surprenante bordée à composition prévenante et, ainsi ; versée aux courbures des mots engagés. Les feuilles piquées aux sensibilités textuelles des nuits glaçantes s’opposent à potron-minet en effusion de pensées matinales se chauffant aux lueurs des horizons fiers, sans orgueil.
LE ROI – L’INSTITUTON – LA CITOYENNETE & FIDUCIE
« La folie, c’est de faire tout le temps la même chose et de s’attendre à un résultat différent »
« Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire.
Il ne convient pas que chaque contemporain se contente d’attendre et de critiquer. Il doit servir la cause aussi bien qu’il le peut »
Albert Einstein
I : POUVOIRS ET CONTRE-POUVOIRS
La science économique postule une juxtaposition d’individus RATIONNELS, appelé : ‘’homo œconomicus’’, qui visent donc à maximiser leur utilité individuelle par des choix souscrivant aux Droits et Devoirs dans une société respectueuse de la préservation du bien commun, ainsi que des dignités de chacun et chacune, refusant d’induire sciemment toute forme d’ostracisme pour des valeurs individuelles en thésaurisation inique de Groupes, Gouvernances et Etats fallacieux.
Quelles instances Démocratiques Républicaines sont-elles à même de cerner les postulats et axiomes de cette RATIONALITE…
UN CLAN POUR REGNER SE DOIT DE DIVISER AUTRES & TOUT POUVOIR REJETTE TOUT DISCOURS METHODIQUE HUMAINEMENT ACCEPTABLE…
Il faut souligner les liens étroits existants entre, POLITIQUES, ECONOMISTES & FINANCIERS.
Le prix Nobel d’économie fut créé par la volonté d’économistes ultra-libéraux contre les thèses de la société du Mont-Pèlerin, avec pour particularité commune à ces deux thésaurisations, en celle d’avoir oublié – volontairement – que la science économique est en aucun cas NEUTRE et APOLITIQUE.
Le petit-fils Alfred Nobel dénonça en 2001, cette contrefaçon concernant la création du prix d’économie, estimant que ‘’la banque royale de Suède avait déposé son œuf dans le nid d’un autre oiseau’’.
La société du Mont-Pèlerin fut créée en 1947 grâce au soutien du patronat suisse ; son objectif affirmé était de contrer l’influence des travaux de Keynes, et de prôner vigoureusement le laisser faire en matière d’économie. L’école de Chicago, foyer intellectuel de l’ultralibéralisme, s’est illustrée en particulier par son soutien militant au régime d’Augusto PINOCHET durant la dictature militaire au Chili. Il est aisé de percevoir tartuferies intellectuelles et duplicités déontologiques chez les individus qui n’ont de par leurs édictions textuelles ; lorsque l’on dispose du temps utile et suffisant à l’analyse du verbiage sémio-centrique posé sur les feuilles de leur individualisme, comme il en est de personnes physiques qui n’ayant que peu de sincérité envers autres conditions peu proches de leurs pensées formatées au conformisme ; de groupes, clans et partis ; fourvoyé à la division comportementale et sociologique de mammifère-humains en culture restreinte, disruptive, voire répressive ; s’y croient comme les gardiens d’une philologie-philosophique trainée au seul SUJET qui leur importe quotidiennement, i.e. LA POSSESSION… ; de l’OBJET vilipendé à leur certitudes courbées aux paroles du MAÎTRE de leur paradigme sans comptes férir autres que celui d’une USURE des règles du VIVANT en soumission des essentialités versées aux sonates trébuchantes d’un démiurge comblé aux dissonances envers et contre toutes lois suffisantes à la NATURALITE anthropologique d’une sociologie en ‘’ESPRITS LIBRES’’….
Cependant le délit de NON-INITIE(ES) à leurs PARALOGISMES de façades, ne saurait en aucune façon TEMPOREELLE calmer les théoriciens, théoriciennes et attracteurs(es) cherchant inlassablement EQUILARITES civiles, civiques et biophysique éligibles à covalences digne d’une VERITABLE justice-sociale… ; en contre-mesures d’une prescription dressée aux frontons de palais d’ors, de chaires et de robes construits sur le sang des révolutions d’un peuple refusant de croire aux versatilités actées par une République verticale sans OBJET au rapport d’une Démocratie horizontale qui n’aurait pour SUJET que l’accession à chaires d’une Académie en posture de sentences anti-pluridisciplinaires privilégiant le discours d’une pensée unique conforme à leur prescriptions EDICTOLOGIQUES en désunion des verves prédisposée à DIALECTOLOGIES humanistes pensant les SYLLOGISMES comme le PRAGMATISME d’une recherche universelle entre ATTACHEMENTS à l’objet du désir et la liberté d’EXPRESSION envers les SUJETS respectueux de l’ATTENTION éclairée…
Il existait de bien vaillants combattants et marquantes amazones, sur la toile, comme des suffisamment serviles au programme de désengagement social-économique servi par des experts, guides et autres dévots voués à l’ordre d’une pagnolade de caves. Mais cette infertilité intellectuelle associée à rupture de beau, de bleu, de bien pour autres qu’eux, ne faisait nul ombrage à mon souhait, de dénicher ces poltrons, malveillants et autres empruntés(es) aux sceaux des tristes caches, cérusés en ronds-de-jambes aux abords des vents mauvais…
Que ne sont-elles, parfois, ridicules ces ‘’têtes bien faîtes’’ à tomber dans des extravagances telles que mêmes les meilleurs docteurs, experts en toutes matières et magiciens de nos romans n’y puissent les rendre réels, pour tout le monde, mais que les prétentions des promus d’écoles d’administration normale et celles de haute volée d’affaires, de commerce et de flux monétaires en fiducie de clandestinités sucée aux seins de vils usuriers pensent pouvoir donner suffisance en solde de comptes truqués ; afin d’y conceptualiser leur thésaurisation de Méphistophélès envers dessein des lumières versées aux vocalises des justes qui passent très largement au-dessus des facultés de leur perfide gestion classificatoire et que les restes de leurs propriétés culturelles népotiques n’y suffisent pas en la clarté de leur discours d’orgueil.
Ils sont assurément gens compétents, à ce qu’en disent leurs maîtres et professeurs, en leur domaine de spécialisation ; mais la faiblesse de leur curiosité envers autres doctes ne leurs permet plus examens et études épistémologiques utiles à n’être autre que de petits commerciaux marchand derrière un idéal de pacotilles, et par certains groupes logos-instrumentalisés, s’alignant benoitement en se souciant plus de leurs cieux que de l’extraordinaire imminence des cycles terrestres et du monde naturel du et des vivants…
Je ne souhaitais, pour l’instant, n’émettre rien de plus envers leur philosophie-politique tatouée au nombril de leur monde, car il m’y faudrait consacrer trop d’humeur touchant les cabinets de leurs présomptions vaniteuses, et en toutes vraisemblances à essayer de discerner le vrai du faux ne suffirait à mon extrême désir de trouver un contre poison à leur vilénie troublante et pour les moins mauvaisement lotis une contre mesure à leurs clowneries désuètes agencées en retransmissions défiscalisée aux soins d’une élite régentée par un conformisme ruisselant d’orthodoxies soumises à ordres pyramidaux de néo-scientistes… ; et assurément très éloignée des potentiels accords du discours entre les sciences et les arts.
PROGRESSISME A LA FRANCAISE
Avec Sarkozy, on a eu une République libérale sans véritable réaction Démocratique. Avec Hollande, on a eu une Démocratie libérale sans véritable réaction Républicaine.
Avec Macron, on a une Démocratie Herméneutique Ordo-libérale avec des Républicains réactionnaires liberticides…
Hou la là, mes aïeux, nous ne sommes pas sortis de la mauvaise auberge. Je vous le dis : la véritable République Démocratique Citoyenne n’est pas prête d’advenir…
Le seul propos des GOUVERNANCES, depuis 1948, avec élans de renouveau en 1968, 1974, 1981, puis 1995, 2005, 2014 et 2017 est d’envisager les CHOSES du seul POINT de VUE COMMERCIAL & PROFITS INTRINSEQUES MAXIMUMS.
En 1933 déjà, l’économiste anglais Maynard Keynes (1883-1946) dénonçait dans « National Self-Sufficiency », une allocution prononcée à Dublin, notre incapacité à traiter les problèmes de société cruciaux auxquels nous sommes confrontés autrement que dans une perspective du « COMBIEN CELA RAPPORTE »
« Le XIXème siècle a promu jusqu’à la caricature le critère que l’on appellera, pour faire bref, les ‘’résultats financiers’’, comme test permettant de déterminer si une politique doit être recommandée et entreprise dans le cadre d’une initiative d’ordre privé ou public. Le destin personnel s’est transformé en une parodie du cauchemar d’un comptable.
Au lieu d’utiliser leurs ressources techniques et matérielles désormais plus vastes pour construire une cité idéale, les hommes du XIXème siècle construisirent des taudis, et ils pensèrent que bâtir des taudis était la chose juste et recommandable, parce que les taudis, à l’aune de l’entreprise privée, ‘’CELA RAPPORTE’’, alors que la cité idéale aurait été, selon eux un acte fou d’extravagance, qui aurait, dans le vocabulaire imbécile du monde financier : ‘’ une HYPOTHEQUE sur l’AVENIR’’ » (Keynes [1933] 1982 : 241).
L'homme, par son égoïsme trop peu clairvoyant pour ses propres intérêts, par son penchant à jouir de tout ce qui est à sa disposition, en un mot, par son insouciance pour l'avenir et pour ses semblables, semble travailler à l'anéantissement de ses moyens de conservation et à la destruction même de sa propre espèce. En détruisant partout les grands végétaux qui protégeaient le sol, pour des objets qui satisfont son avidité du moment, il amène rapidement à la stérilité du sol qu'il occupe, donne lieu au tarissement des sources, en écarte les animaux qui y trouvaient leur subsistance ; et fait que de grandes parties du globe, autrefois très fertiles et peuplées à tous égards, sont maintenant nues, stériles, inhabitables et désertes. En négligeant toujours les conseils de l'expérience pour s'abandonner à ses passions, il est perpétuellement en guerre avec ses semblables, les détruit de toutes parts et sous tous prétextes ; en sorte qu'on voit ses populations, autrefois forts grandes, s'appauvrir de plus en plus. On dirait qu'il est destiné à s'exterminer lui-même après avoir rendu le globe inhabitable.
Lamark : Système analytique des connaissances positives de l'homme – 1820
Par lequel trop ’’d’entités’’ de ce monde se donnent autorisation à se foutre de tout ce, celles et ceux qui se trouvent hors de leurs zones de confort ou champ de possibilités à justes, honorables et dignes accessions par différents ’’d’eux’’, sauf pour les objets et sujets fonctions d’acceptables covalences envers et entre les possédants, ou autres, ’’très proches’’, dont les amis(es) ne sont considérés comme tel, que si, ils ou elles (les humains), ont possibilité à être touchés(es), accaparés(es) ou, pour ceux et celles non conformes à la norme sociale-économique, évincés(es)… ; en oubliant qu’autres ressemblants ont également le potentiel à être touchant, où ce sentiment est trop souvent oublié hors de notre champ émotionnel, sauf en quelques visions d’autres corps meurtris, dévalorisés, dénaturés, gravement détruits psychologiquement, ou encore trop endommagés physiquement, ainsi que trop de laissés(es) pour compte dans des ‘’no man’s land’’ ou zones de non-vie, au nom d’intérêts esclavagistes procédant à trop de cruautés envers les femmes et les enfants de tous pays…
Pourquoi faut-il en arriver à de telles visions extrêmes pour percevoir l’obscur manichéisme déstructurant de ce monde de folies et d’inconscience ?
L’être humain serait-il devenu aveugle et sourd ?
Utilise-t-il ses facultés et propriétés au nom de la convoitise, de l’accaparement, du narcissisme et de la cupidité ? ...
Ou alors est-il maintenu dans le filoutage et les peurs suffisantes et utiles à engendrer l’asthénie intellectuelle et physique … ???
L’autre monde existant, étant bien évidemment celui des exclus du système sociétal établi… Où ils, elles, eux (et autres espèces vivantes), n’ont apparemment plus aucune utilité, propriété ou faculté, qu’elles soient touchables ou touchantes, sauf celle d’être considéré et affilié à des incapables, bons à rien, donc inutiles, obsolètes, incompatibles et forcément atteints d’instabilités et de déraisons… Et donc susceptibles d’être stabilisé par une ordonnance de vie proche d’une certaine forme légère d’eugénisme dans le paradigme virtuel communiquant et souvent psychologiquement lobotomisant…
Conclusion – Par définition du sujet-objet, lorsqu’il est établi proche de l’indifférence, du refus, de l’exclusion, de l’ostracisme, ou du déni, ne peut devenir à terme, qu’exclusion du système établi par règles et lois, sans en avoir l‘absolue certitude, que toutes soient adaptées pour l’ensemble des acteurs et actrices vivant dans la zone gérée, depuis un temps supérieur à celui d’une génération, où une partie de la suivante ne souhaite, trop souvent, que le conformisme modifié par la puissance des nouvelles technologies, alors que la précédente par peur de pertes d’acquis refuse tout changement socio-économico-culturel, où les réelles sensibilités sont oubliées, par préférence corporatiste ou, et cultuelle… Certains esprits sont parfois un peu inconscients ou dramatiquement engagés au demiurge démoniaque dans la conceptualisation de fonctionnements politico-socio-culturels illogiques, uniquement hors de leurs concepts et portées imaginées trop souvent inflexiblement corporatistes ou électoralistes, et parfois tordues déontologiquement par des programmes logiquement indispensables aux développements de leurs intérêts lobbyistes, à tendance particulièrement unilatérale, invectivée par quelques sources dysfonctionnelles nécessaires à l’acquisition du tout avoir, tel une prosternation devant le dieu de la possession plutôt qu’un alléluia envers la déesse de la sagesse, où la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice n’ont plus que l’apparence de statures disloquées. Hou la là, que de sujets indélicats et épineux car insensiblement dépourvu de ce que je nomme: l’Intelligence de Raison Humainement Acceptable…
Et malheureusement, j’ai bien l’impression dans ce système sociétal, que le fonctionnement primaire est bien en celui des baiseurs et des baisés, où les premiers se doivent de dépenser une énergie phénoménale s’ils ne souhaitent pas faire partie de la deuxième catégorie, et où dans toute cette agitation, ceux qui ont le vrai pouvoir ‘’enculent’’ tous les autres… Mêmes celles et ceux croyant en avoir un petit… De pouvoir…Tout cela en évinçant les potentielles meilleures formes de la liberté d’expression, ou la plus névrosée est celle de faire un déni d’analyses et d’études envers de potentielles meilleures compréhensions. Où en ces temps troublés, je réussis souvent à percevoir cette capacité assez particulière, affichée par certaines ‘’entités humanoïdes’’ leur laissant supposer qu’elles détiennent la ‘’vérité’’ par leurs croyances en certains évènements survenus bien avant leur présence sur cette belle planète verte et bleue nommée ‘’TERRE’’.
Au nom de je ne sais quelle propriété physique ou immatérielle dont ils en seraient les détenteurs, les autorisant à prétendre savoir interpréter les mots, signes et codes venus d’autres époques où les conditions générales d’existence de majorité de ces petits grains de matière organique inconscients n’étaient qu’effrois, anxiétés, dénuements, incertitudes démiurgiques quant aux fonctionnements physiques de la Matière, des Energies de la Nature et du Vivant, où les moins septiques réussissaient à émettre quelques théories qui s’avèreront vraies, alors que les ‘’autres’’ trouveront de par leurs incapacités d’analyse et défaut de compréhension a seulement y accoler les mots miracles ou magies. Et depuis des siècles d’évolutions scientifiques et technologiques, l’espèce humaine n’a réussi que petitement à indexer certains dogmes, vers d’autres possibles vérités plus proches du ‘’vrai’’ sens ontologique de la représentation de l’être physique… Qui est pourtant juste celui d’essayer de comprendre ses espaces touchables et touchant, où cette deuxième ‘’dimension’’ ne peut commencer à être perceptible que grâce à ‘’l’Intelligence de cœur et de raison’’…
Ici ! Là ! Maintenant ! Au nom de nos petits et petites devenirs…
Et pour comprendre cela, il n’y a aucun besoin d’invoquer certains paradigmes, que nous n’avons de toutes façons, en l’état de nos connaissances, savoirs, et compositions biophysiques aucun pouvoir à approcher ! Alors que pourtant ; depuis longtemps les plus beaux espaces temps se trouvent assurément en certains merveilleux jardins existants, encore en quelques petits recoins, de cette belle ‘’sphère’’ bleue teintée aux couleurs de l’arc en ciel, devenant malheureusement de plus en plus rares, où le principal vecteur à ce phénomène de déstructuration, engendré par l’inconscience et l’égocentrisme, en est sans aucun doute, encore aujourd’hui le ‘’facteur humain’’, trop souvent volontairement hermétique à penser que certains de ses objectifs et intérêts corporatistes ne sont que sources de chaos lorsque les zones de ‘’libertés’’ apprêtées aux meilleurs savoirs être et utiles savoirs faire se réduisent comme peau de chagrin, où encore en trop d’Etats ces ‘’fous’’ de croyances spéculatives envers d’irréels modèles, ont dévié le véritable sens sémiologique des écritures par leurs incultures épistémologiques, philosophiques, éthiques, biophysiques, anthropologiques, paléontologiques, spirituelles, philologiques, au détriment de laisser liberté à croire en d’autres pensées et cultures beaucoup plus logiques et réelles, et assurément plus proches du respect de la Nature, du Vivant et des belles théories…
Plusieurs années avant nous ‘’l’Homme’’ ne comprenait rien aux éclipses, ni aux autres phénomènes physiques saisonniers, circonvolutions astrophysiques et autres transformations, covalences ou évolutions inexplicables à l’époque, qu’elles soient assignées à notre Terre, notre Système Solaire, ou plus loin dans l’Univers… Ils, elles croyaient que les dieux et les déesses étaient les auteurs(es) responsables de ces fonctionnements. Et depuis la révolution industrielle liée aux avancées scientifiques et technologiques devancées par quelques génies et théoriciens des sciences physiques et chimiques des temps immémoriaux des lumières ; puis grâce aux découvertes initiées par quelques Chercheurs-Trouveurs-Assembleurs et Attracteurs(es) – CT2A – efficients ; dont leurs prédécesseurs avaient déjà commencé à évoquer quelques théories, ils, elles, nous ont permis d’apprendre et de comprendre pour parties, en l’état de nos savoirs, certains aspects et paramètres de la physique, de l’astrophysique, de la mécanique quantique, la biophysique, la chimie et de par la gnose, la phénoménologie ; l’étude des assemblages permettant cette composition minérale, végétale et organique terrestre incluse dans l’univers cosmologique, où dans cet espace-temps intrinsèquement métaphysique, l’homme se prend trop souvent pour un ‘’dieu’’, alors que son apparence ressemble encore à celle d’un ‘’âne’’ dopé à la culture sectorielle antisociale, anti-communautaire et antihumaniste source de fractures, à contrario de celle multidisciplinaire en rapport avec les magnificences du monde, de la nature, de l’univers connu, et les espaces ayant potentiel à être reconnus dans leurs dimensions touchantes… Proches des langages poétiques, du romantisme, la lecture, la dialectologie, l’épistémologie, l’éthologie, la sémiotique et l’imaginaire…
Pour cette simple raison qu’en l’analyse, et l’étude sémiologique autorisant la compréhension des liens entre la physique, la philologie, la philosophie, la logique et les langages mathématiques et peut-être autres plus songeurs, nous en sommes toujours à l’âge-de-pierre concernant la nature ontologique de l’être humain. Et tout cela car souvent les mauvaises consciences prédatrices, narcissiques et cupides sont devenues sourdes et aveugles aux vrais sens de l’existence du vivant. Sont-elles persuadées d’être proche d’un dieu décideur et organisateur, alors que bien souvent ils ont revêtis les habits des croyances fantomatiques indéfinissables, voire imbéciles, déraisonnables et sont irrémédiablement étanches au savoir universel… ? Avec pour les plus mauvais esprits, le prix d’excellence dans l’exercice de la désorganisation, où dans ces états l’activité de prédilection en est généralement l’art de la guerre, qu’elle soit idéologique, territoriale, éducative, économique, sociale, intergénérationnelle, culturelle, religieuse et bientôt civilisationnelle, avec pour seule indigence intellectuelle celle de maintenir un équilibre suffisant et nécessaire, afin que le genre anthropocentrique puisse éloigner d’eux les conflits ethniques, sociétaux ou culturels, afin que les libertés d’expression consistant en l’art de penser autrement, ne puissent entraver leurs dogmatismes frappés au mur de l’incertitude, ou malheureusement, les hommes et femmes sincères envers leurs sensibilités partagées et surtout les enfants en subissent les pires outrages pour des intérêts individualistes et didactiques trop souvent voués à l’ordre du ‘’Malin’’.
Tout cela en étant inconscient que dans cette illogisme, tous et toutes pourront, à terme, avoir la certitude que le ‘’monde’’ ne sera plus seulement proche de la mauvaise évolution, mais assurément devenu à ce moment-là, synonyme de chaos, destructions, obscurantisme et asthénies enclavées dans la caverne de Platon… Certaines ‘’entités’’, ont elles également éclipsé cette adage universel édictant :
- ‘’Tout élément soustrait ou diviser tend invariablement vers le moins… Et aucune vie n’a possibilité à être vue, entendue et touchée par moins d’une, tout simplement car moins (-) d’une vie n’a aucune définition réelle en ou hors de son lieu d’existence biophysique et matériel’’…
Mais bon, nous entrons là dans le domaine du réalisme philosophique, où lorsque cet ‘’art’' de l’analyse aura disparu, alors l’incompréhension sera totale, avec pour état final la désintégration de la nature et du vivant. Et en toutes les façons, en premier lieu par invective déshumanisée, car cette belle ‘’TERRE’’ pourra, même sans ‘’nous’’, encore tourner rond pour environ 4,5 milliard d’années…
Ce qui n’est pas le cas de toutes et tous…
Dans les civilisations individualistes soporifiques l’ensemble communautaire rationnel n'a plus aucune identité sociologique spécifique – il est donc incohérent de la part des corporatismes à statuts conformistes béats de contracter avec lui – peut-être parce que les orthodoxies séculaires ont peur du miroir des contre-évidences.
L’intérêt personnel n’a nulle convenance envers les évanescences de l’espace sensiblement touchant, sauf lorsqu’il devient obsolescence matérialiste programmée par l’accaparement ET/OU l’individualisme incertain. L’égocentrisme en est l’épreuve absolue et inabordable dans le monde naturel des véritables savoirs être.
N’aurait-il pas mieux valu en considérer le sens avant la fin… ?
‘’Toute valeur ajoutée homogène se définie par tous ces citoyens et citoyennes proches de la juste conscience intelligible lorsqu’elle est exercée avec lucidité, sincérité, honnêteté, accompagnée par tout l’amour et la déontologie des savoirs faire afin qu’ils, elles, puissent aspirer à ce que cela devienne un art de vivre… Pour les générations arrivantes !...
Et celles en partances…
L’entreprise ne fait pas les femmes et les hommes !
Ceux sont les écosystèmes sociétaux de ceux et celles d’avant et de maintenant qui les éduquent, les imaginent, les composent, les ordonnent et les font vivre, afin qu’ils, elles participent par l’addition de leurs savoirs faire et compétences particulières à l’évolution de la belle sensibilité socio-économico-culturelle du savoir être dans les sociétés et entreprises du Monde.
Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que ceux du désespoir… De la rancœur…
Et de l’indifférente violence… Psychologique… Où celle physique risque parfois malheureusement d’apparaître…
Ors dans tous systèmes naturels vivants dotés de la conscience peu importe leurs fonctionnements et pragmatismes, l’analyse sera intrinsèquement soumise à l’étude historique, sociologique, éthique, morale de l’axiome suivant : ‘’Toute valeur ajoutée se définie par actions d’utilité, de nécessité, d’essentialité ou de superflu… Dans la dimension sociale-économique individuelle ou communautaire, culturelle et ontologique attachée au mammifère-humanoïde pensant, présent dans l’écosystème…
Mais pourquoi, pour qui, pour quoi, où, quand et comment…’’ ?
Là sont les questions ! Où les deux réponses soumises elles-mêmes à études, analyses et théories philosophiques, sociologiques, mutationnistes, anthropologiques, culturelles, théologiques, morphosyntaxiques, sémiotiques, philologiques et psychologiques ne sauraient être que celles de comprendre le bon sens du faste et du néfaste dans l’aire communautaire, ou l’intérêt est majoritairement lié à la nécessité d’exister par l’anthropocentrisme, hors d’une potentielle compréhension des notions de justice et d’équité… Et des liens interindividuels… Avec pour présomption primaire, souvent celle d’une forme mégalomaniaque de soi ; par l’argent et le désir névrotique de possessivité, et d’accaparement.
II : TRAVAL – EMPLOIS - ACTIVITES
Il se doit pour tout à chacun et chacune ; et réciproquement de faire quelques introspections sur l’HISTORIOGRAPHIE CIVILISATIONNELLE des Peuples, Nations, Pays, Régions, Contrées et Communautés Humaines dans une pluridisciplinarité éditoriale encline à traiter tous SUJETS-OBJETS cultura-identitaires ; sociaux-communautaires ; économico-financiers ; géo-historiques, chronologies biographiques, études épistémologiques et ontologiques par une PHILOSOPHIE-POLITIQUE digne du respect des différences ethnologiques, dignités personnelles et covalences intellectuelles respectueuses de la PRESERVATION du et des biens communs avec une POSOLOGIE HUMANISTE réglée à la DIVERSITE des BIOSYSTEMES & ECOSYSTEMES du et des VIVANTS… ; dans un système d’échanges représenté par l’ensemble (E) des ‘’machines humaines’’ en tant d’ÊTRE-HUMAINS conscients des IDEOLOGIES versées aux seuls BENEFICES de CORPORATISMES politico-financiers courbées aux uniques lois de l’ACCAPAREMMENT intrinsèque sans ATTENTIONS LOUABLES envers l’efficience du PARTAGE des SAVOIRS et CONNAISSANCES en ENGAGEMENT d’une potentielle réelle REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE CITOYENNE…
Quelle circonscription serait-elle en probabilité suffisante de croire que le consensus ne fut pas une naturalité d’effervescences sans comptes – d’Us & Savoirs – partagés au nom d’une utile évolution pluridisciplinaire ?
Les sots et simples d’esprit ?
Les suffisants en anathèmes ?
Les poujadismes en dissidences primaires ?
Une présomption en échanges clandestins ?
Une inopérante thésaurisation usurière ?
Une dissolution pluridisciplinaire au profit de corporatismes inefficients ?
Trinôme d’injonctions en reliques politico-philosophico-culturelles ?
Quelle est cette raison ?
Cette faculté qui nous est donnée pour nous permettre de déterminer quelle chose peut nous faire du bien et quelle autre du mal, et cela en fonction de la dose de plaisir ou de peine reçue. Ce n’est là point un bon calcul pour déterminer la raison puisqu’elle ne peut être variable qu’en fonction de l’acceptation de chacun envers chacune et réciproquement.
III : THESAURISATION & SCIENCES HUMAINES
FILOUTAGE INTELLECTUEL DES ECONOMISTES, COMPTABLES ET ENARQUES
Ce n’est que par un effet de rhétorique que l’on peut arriver à faire croire que la vérité MATHEMATIQUE en économie INCOMPLETE a autorité SUPRÊME, en terme de CROISSANCE INFINIE dans un MONDE FINI, comme si toute VERITE pouvait s’émanciper de l’utilité d’un PRAGMATISME d’échelle présent, pour ensuite venir la justifier, en s’émancipant d’une autre THESAURISASION, en prémices ordonnées et subordonnées à un passé volontairement rendu VALORISANT, au profit de POSTULATS en futur PARTICULIER… Au nom d’INTERÊTS pour seuls clans de chaires, d’ors, de robes, de notables, de pompes et autre empruntés(es) en COMPTES de valeurs ajoutées, falsifiés… Marketing de lobbies, néo-scientistes ou PARAPHEURS en PARADIGME de faux-culs… ; se foutant CYNIQUEMENT de leurs CONGENERES… ???
Le CAPITALISME n’a plus besoin d’intelligences antithétiques à partir du moment où sa BASE devient uniquement MECANISTIQUE. Tout écosystème HUMANOÏDE arrivé à ce stade se contente comme AVOIRS que de disposer d’une armée soumise à l’impérialité du POUVOIR DIRIGEANT… ; où les oppositions PHILOSOPHICO-POLITIQUES se doivent d’être abolies par l’AUTORITE de commandements, endoctrinées par tous MOYENS physiques ou corrompues par les OUTILS de la FIDUCIE MONETAIRE affichée à l’ELITE financière supérieure ; et OPPORTUNISMES en recherche impérative de POSITIONS NOTABLES… A ce moment-là le PEUPLE d’une NATION n’a plus la LIBERTE DE CHOIX, et par conséquent le système devient une AUTOCRATURE SOCIETALE, voire PIRE…
Avec pour encore plus mauvaise vision dans le système social-économique français (et autres) en celle d’imaginer la nouvelle possible évolution post-industrielle comme une désintégration communautaire par décret en faveur de la déconsidération cultura-identitaire nationale où le plus néfaste schéma d’incompréhension se trouve assurément proche des liens moribonds entre : Le corporatisme paroxysmique » Le déclin social-économique » La prédation territoriale » Le sectarisme culturel » L’anti-laïcité » Le populisme intransigeant » Le nationaliste exacerbé » Les peurs dans la zone non-sécuritaire » L’obscurantisme » Le nihilisme » La radicalisation » Le fascisme » Etc… ; et pour vecteur novateur à partir de la fin des années 1970, l’avènement de l’outil informatique, permettant de créer d’autres classifications, grâce aux langages algorithmiques où les mathématiques en autorisent la création des bases de données et autres compositions sujettes à confinements incohérents, dont le pire est d’avoir oublié dans cette histoire à tendance déshumanisante, la pensée profonde de la propre existence ontologique singulière du mammifère-humain.
IV : MISSIVES AUX PÔLES DESASTRES
TOUTE PENSEE NE POURRA JAMAIS ÊTRE FORMULEE PAR UNE SEULE LINGUISTIQUE EN EXPRESSION CORPORATISTE INIQUE FRAPPE AU SCEAU D’UNE POLITIQUE SOCIETALE PARTICULIERE, NI EXECUTEE PAR UN MACHINE ‘’NON-HUMAINE’’, NI MÊME ÊTRE REMPLACEE PAR UNE ACTIVITE UNIQUEMENT MECANIQUE ET/OU ROBOTISEE…
LE PROBLEME EST QUE LA PENSEE EST A LA FOIS ANALOGIQUE, METAPHORIQUE, ARITHMETIQUE ET LOGIQUE… ; DE TEMPS EN TEMPS…
JE CROIS QUE PRESQUE TOUTES LES ERREURS FAITES ONT LEUR SOURCE DANS L’IMPERFECTION DES CONCEPTS AU RAPPORT DES SOCIETES HUMAINES QUANT A L’IMPOSSIBITE DU PRINCIPE DE COMPLETUDE DANS LA RECHERCHE INUTILE ET INOPERANTE ENVERS UNE SUBSIDIARITE DE L’EXISTENCE NATUREL AFFILIEE AU MAMMIFERE HUMANOÏDE… NOTRE SEUL REFERENTIEL CONNU, RECEVANT LA VIE ; EST, POUR L’INSTANT ; LA TERRE !
L’Humanisme est un courant de pensée qui apparaît pendant la Renaissance. Il consiste à valoriser l’Humanité, à la placer au centre de son univers. Dans cette optique, le principe de base de cette théorie est que la personne humaine est en possession de capacités intellectuelles potentiellement illimitées. La quête du savoir et la maîtrise des diverses disciplines sont nécessaires au bon usage de ces facultés. Il prône la vulgarisation de tous les savoirs, même théologiques : pour certains humanistes, la parole spirituelle doit être accessible à toute personne quelles que soient ses origines, sa langue ou sa catégorie sociale.
Ainsi, cet Humanisme vise à lutter contre l’ignorance et à diffuser plus clairement le patrimoine civilisationnel, y compris le message cultu®el (sans imposition politico-réligieuse liberticide, ordre templier impérieux ou toute autre volonté de clans iniques à but de pouvoir dictatorial). L’individu, correctement instruit, reste libre et pleinement responsable de ses actes dans la croyance, religieuse abstraite de son choix ; ou sans. Les notions de liberté (ce que l'on appelle le « libre arbitre »), de tolérance, d’indépendance, d’ouverture, d’attention et de curiosité sont de ce fait indissociables de la théorie humaniste REELLE. Cette fonction sociologique, philosophique, sémiotique, culturelle et épistémologique, ne saurait s’émanciper des liens attachés au discours entre les sciences, les arts et, la poésie.
L'Humanisme désigne toute pensée qui met au premier plan de ses préoccupations le développement des qualités essentielles de l'être humain, en tant que potentiel d’être bien dans un système sociétal démocratique laïque, en débat de libertés d’expression.
Le bon sens est, apparemment, la chose du monde la mieux partagée : car chacun pense en être si bien pourvu, que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose, n'ont point coutume d'en savoir plus qu'ils en ont de leur suffisance. En quoi il n'est pas vraisemblable que tous se trompent; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger, et distinguer le vrai d'avec le faux, qui est proprement ce qu'on nomme le bon sens ou la raison, est philosophiquement et sociologiquement inégale en tous les hommes; et ainsi que la diversité de nos opinions ne vient pas de ce que les uns sont plus raisonnables que les autres, mais seulement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne considérons pas les mêmes choses. Car ce n'est pas assez d'avoir l'esprit estimable, mais le principal est de l'appliquer bien. Et depuis des siècles, l’historiographie des hommes a démontré l’inutilité des mots, en cette façon, édictés au nom de desseins particuliers ligaturés aux portes des désirs inassouvis.
V - LA VOLONTE DE CONNAITRE EST-ELLE ILLUSOIRE?
«L’espace global de la communication et de l’information, qui est un bien commun de l’humanité, doit être protégé en tant que tel, afin de favoriser l’exercice de la liberté d’expression et d’opinion en respectant les principes de pluralisme, de liberté, dignité et tolérance, ainsi que l’idéal de la raison et de la connaissance.»
«L’humanité, je le sais plus que jamais, possède en elle une richesse millénaire. En effet, elle n’a cessé de partager ses pensées et ce qu’elle a appris ou réalisé. Elle dispose donc d’une source inépuisable d’expériences, de facultés et de connaissances qui peuvent nous inspirer.»
S’agit-il de croire que tous les morts, pour autant que cela dépende de nous, n’aient pas vécu en vain. Effectivement personne ne vit la ‘’chose’’ en vain…
Par définition même de l’exigence de la vie.
Tout au long de l’histoire de l’humanité, jusqu’au siècle dernier, l’information a circulé du même pas que le messager qui en était porteur. Aujourd’hui, en revanche, on ne compte plus les agglomérations d’où l’on peut à tout instant accéder à l’Internet, et nombre de réseaux d’information diffusent, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, à l’échelle de la planète. Le catalogue de la plus grande librairie en ligne contient près de cinq millions d’entrées (données 1999) et beaucoup de bibliothèques nationales ont mis en chantier d’importants programmes de numérisation destinés à faciliter l’accès à leurs collections. Les technologies de l’information et de la communication constituent un secteur dynamique et la plupart des prévisions relatives aux investissements et au marché dans ce domaine demeurent optimistes. Il ne faut pas oublier cependant que, en dépit de la rapidité de cette évolution, le taux mondial d’analphabétisme dépasse encore 20 % et que plus d’un milliard d’habitants du globe ne parviennent pas à subvenir à leurs besoins fondamentaux. Est-il raisonnable d’espérer que le développement des technologies de l’information et de la communication contribuera à améliorer rapidement la situation d’innombrables êtres humains ?
VI – RENTRE 2015
Afin de donner un peu de consistance à … Manuscrit en lecture libre sur : https://lamarante-des-artisans-francais.com/blog/
Date de dernière mise à jour : 26/04/2020
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