BELLICISME D'UNIONS SACREES
BELLICISME DES UNIONS SACREES
Outre la majorité passée à 18 ans, la loi légalisant l’avortement et le remboursement de la pilule contraceptive en 1974, on oublie souvent la loi de 1975 autorisant le divorce par consentement mutuel, en dépit d’une crainte des milieux catholiques, qui à cette époque étaient très opposés à cette réforme.
Il apparait aujourd’hui – aux dires des sociologues – que la loi de 1975 n’a pas eût d’effets sensibles sur l’augmentation des divorces en France. Laquelle avait commencé bien avant.
Auparavant, seul le divorce par faute (adultère, violences, etc…) permettait d’obtenir la dissolution de cette union civile et majoritairement annoncée devant l’autel d’une religiosité. Cette loi sur le divorce par consentement mutuel allait profondément changer la vie de certains couples, en transformant un peu plus le mariage en un simple contrat civil, et surtout en rendant un peu moins traumatisant, voire conflictuel, les séparations.
Ces avancées sociétales françaises ont depuis été, dans certains pays du monde ‘’libre’’, quelques peu malmenées et ont assurément régressé, dans certaines nations européennes, notamment celles situées à l’Est de l’Europe. Dans ces Etats, la montée des radicalismes, envers la liberté d’hommes et femmes, consistant à croire aux bienfaits de se constituer en d’autres unions communautaires, a assurément été bafouée en multiples zones de vies. La liberté d’être qui respecte le choix de l’autre est en train d’être délitée dans le déclassement social-économique et par la ghettoïsation culturelle, notamment dans les zones et territoires à fort bellicisme envers la liberté de conscience.
Dans le constat d’une République Démocratique à volonté démontrée dans et par l’imprévoyance d’un prosélytisme voulant inculquer une laïcité liberticide, le pragmatisme sociologique et philosophique consisterait en première évidence à ne pas ostraciser systématiquement – particulièrement dans un sens clandestin prodigué sans étude pluridisciplinaire et analyses préalables – d’autres spiritualités plus éloignées des mauvais reliquats ‘’d’Unions Sacrées’’.
Trop ’’d’entités’’ de ce monde se donnent autorisation à se foutre de tout ce, celles et ceux qui se trouvent hors de leurs zones de confort ou champ de possibilités à justes, honorables et dignes accessions par différents ’’d’eux’’, sauf pour les objets et sujets fonctions d’acceptables covalences envers et entre les possédants, ou autres, ’’très proches’’, dont les amis(es) ne sont considérés comme tel, que si, ils ou elles (les humains), ont possibilité à être touchés(es), accaparés(es) ou, pour ceux et celles non conformes à la norme sociale-économique, évincés(es)… ; en oubliant qu’autres ressemblants ont également le potentiel à être touchant, où ce sentiment est trop souvent oublié hors de notre champ émotionnel, sauf en quelques visions d’autres corps meurtris, dévalorisés, dénaturés, gravement détruits ’’psychologiquement’’, ou encore trop endommagés physiquement, ainsi que trop de laissés(es) pour compte dans des ‘’no man’s land’’ ou zones de non-vie, au nom d’intérêts esclavagistes procédant à trop de cruautés envers les femmes et les enfants de tous pays…
Pourquoi faut-il en arriver à de telles visions extrêmes pour percevoir l’obscur manichéisme déstructurant de ce monde de folies et d’inconscience ?
L’être humain serait-il devenu aveugle et sourd ?
Utilise-t-il ses facultés et propriétés au nom de la convoitise, de l’accaparement, du narcissisme et de la cupidité ? ...
Ou alors est-il maintenu dans le filoutage et les peurs suffisantes et utiles à engendrer l’asthénie intellectuelle et physique … ???
L’autre monde existant, étant bien évidemment celui des exclus du système sociétal établi… Où ils, elles, eux (et autres espèces vivantes), n’ont apparemment plus aucune utilité, propriété ou faculté, qu’elles soient touchables ou touchantes, sauf celle d’être considéré et affilié à des incapables, bons à rien, donc inutiles, obsolètes, incompatibles et forcément atteints d’instabilités et de déraisons… Et donc susceptibles d’être ‘’stabilisé’’ par une ordonnance de vie proche d’une certaine forme légère d’eugénisme dans le paradigme virtuel et psychologiquement lobotomisant…
Conclusion, par définition de ‘’ce’’ qui est établi proche de l’indifférence, du refus ou du déni, ne peut devenir à terme, qu’exclusion du système établi par règles et lois, sans en avoir l‘absolue certitude, que toutes soient adaptées pour l’ensemble des acteurs et actrices vivant dans la zone gérée, depuis un temps supérieur à celui d’une génération, où une partie de la suivante ne souhaite, trop souvent, que le conformisme modifié par la puissance des nouvelles technologies, alors que la précédente par peur de pertes d’acquis refuse tout changement socio-économico-culturel, où les réelles sensibilités sont oubliées, par préférence corporatiste ou, et cultuelle… Certains esprits sont parfois un peu inconscients dans la conceptualisation de fonctionnements politico-socio-culturels illogiques, uniquement hors de leurs concepts et portées imaginées trop souvent inflexiblement corporatistes ou électoralistes, et parfois tordues déontologiquement par des programmes logiquement indispensables aux développements de leurs intérêts lobbyistes, à tendance particulièrement unilatérale, invectivée par quelques sources dysfonctionnelles nécessaires à l’acquisition du tout avoir, tel une prosternation devant le dieu de la possession plutôt qu’un alléluia envers la déesse de la sagesse, où la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice n’ont plus que l’apparence de statures disloquées.
Hou la là, que de sujets indélicats et épineux car insensiblement dépourvu de ce que je nomme: l’intelligence de cœur.
Et malheureusement, j’ai bien l’impression dans ce système sociétal, que le fonctionnement primaire est bien en celui des baiseurs et des baisés, où les premiers se doivent de dépenser une énergie phénoménale s’ils ne souhaitent pas faire partie de la deuxième catégorie, et où dans toute cette agitation, ceux qui ont le vrai pouvoir ‘’enculent’’ tous les autres… Mêmes celles et ceux croyant en avoir un petit… De pouvoir…
Tout cela en évinçant les potentielles meilleures formes de la liberté d’expression, ou la plus névrosée est celle de faire un déni d’analyses et d’études envers de potentielles meilleures compréhensions. Où en ces temps troublés, je réussis souvent à percevoir cette capacité assez particulière, affichée par certaines ‘’entités humanoïdes’’ leur laissant supposer qu’elles détiennent la ‘’vérité’’ par leurs croyances en certains évènements survenus bien avant leur présence sur cette belle planète verte et bleue nommée ‘’TERRE’’. Au nom de je ne sais quelle propriété physique ou immatérielle dont ils en seraient les détenteurs, les autorisant à prétendre savoir interpréter les mots, signes et codes venus d’autres époques où les conditions générales d’existence de majorité de ces petits grains de matière organique inconscients n’étaient qu’effrois, anxiétés, dénuements et incompréhensions quant aux fonctionnements physiques de la Matière, des Energies de la Nature et du Vivant, où les moins septiques réussissaient à émettre quelques théories qui s’avèreront vraies, alors que les ‘’autres’’ trouveront de par leurs incapacités d’analyse et défaut de compréhension a seulement y accoler les mots miracles ou magies.
Et depuis des siècles d’évolutions scientifiques et technologiques, l’espèce humaine n’a réussi que petitement à indexer certains dogmes, vers d’autres possibles vérités plus proches du ‘’vrai’’ sens ontologique de la représentation de l’être physique… Qui est pourtant juste celui d’essayer de comprendre ses espaces touchables et touchants, où cette deuxième ‘’dimension’’ ne peut commencer à être perceptible que grâce à ‘’l’Intelligence de Cœur’’…
Ici ! Là ! Maintenant !
Au nom de nos petits et petites devenirs…
Et pour comprendre cela, il n’y a aucun besoin d’invoquer certains paradigmes, que nous n’avons de toutes façons, en l’état de nos connaissances, savoirs, et compositions biophysiques aucun pouvoir à approcher ! Alors que pourtant ; depuis longtemps les plus beaux espaces temps se trouvent assurément en certains merveilleux jardins existants, encore en quelques petits recoins, de cette belle ‘’sphère’’ bleue teintée aux couleurs de l’arc en ciel, devenant malheureusement de plus en plus rares, où le principal vecteur à ce phénomène de déstructuration, engendré par l’inconscience et l’égocentrisme, en est sans aucun doute, encore aujourd’hui le ‘’facteur humain’’, trop souvent volontairement hermétique à penser que certains de ses objectifs et intérêts corporatistes ne sont que sources de chaos lorsque les zones de ‘’libertés’’ apprêtées aux meilleurs savoirs être et savoirs faire se réduisent comme peau de chagrin, où encore en trop d’états ces ‘’fous’’ de croyances spéculatives envers d’irréels modèles, ont dévié le véritable sens sémiologique des écritures par leurs incultures épistémologiques, philosophiques, éthiques, biophysiques, anthropologiques, paléontologiques, spirituelles, philologiques, au détriment de laisser liberté à croire en d’autres pensées et cultures beaucoup plus logiques et réelles, et assurément plus proches du respect de la Nature, du Vivant et des belles théories…
Plusieurs années avant nous ‘’l’Homme’’ ne comprenait rien aux éclipses, ni aux autres phénomènes physiques saisonniers, circonvolutions astrophysiques et autres transformations, covalences ou évolutions inexplicables à l’époque, qu’elles soient assignées à notre Terre, notre Système Solaire, ou plus loin dans l’Univers… Ils, elles croyaient que les dieux et les déesses étaient les auteurs(es) responsables de ces fonctionnements. Et depuis la révolution industrielle liée aux avancées scientifiques et technologiques devancées par quelques génies et théoriciens des sciences physiques et chimiques des temps immémoriaux des lumières ; puis grâce aux découvertes de quelques Chercheurs-Trouveurs-Assembleurs et Attracteurs efficients ; dont leurs prédécesseurs avaient déjà commencé à évoquer quelques théories, ils, elles, nous ont permis d’apprendre et de comprendre pour parties, en l’état de nos savoirs, certains aspects et paramètres de la physique, de l’astrophysique, de la mécanique quantique, la biophysique, la chimie et de par la gnose, la phénoménologie ; l’étude des assemblages permettant cette composition minérale, végétale et organique terrestre incluse dans l’univers cosmologique, où dans cet espace-temps intrinsèquement métaphysique, l’homme se prend trop souvent pour un ‘’dieu’’, alors que son apparence ressemble encore à celle d’un ‘’âne’’ dopé à la culture sectorielle antisociale, anti-communautaire et antihumaniste source de fractures, à contrario de celle multidisciplinaire en rapport avec les magnificences du monde, de la nature, de l’univers connu, et les espaces ayant potentiel à être reconnus dans leurs dimensions touchantes… Proches des langages poétiques, du romantisme et de l’imaginaire…
Pour cette simple raison qu’en l’analyse, et l’étude sémiologique autorisant la compréhension des liens entre la physique, la philologie, la philosophie, la logique et les langages mathématiques et peut-être autres plus songeurs, nous en sommes toujours à l’âge-de-pierre concernant la nature ontologique de l’être humain. Et tout cela car souvent les mauvaises consciences prédatrices, narcissiques et cupides sont devenues sourdes et aveugles aux vrais sens de l’existence du vivant. Sont-elles persuadées d’être proche d’un dieu décideur et organisateur, alors que bien souvent ils ont revêtis les habits des croyances fantomatiques indéfinissables, voire imbéciles, déraisonnables et sont irrémédiablement étanches au savoir universel… ?
Avec pour les plus mauvais esprits, le prix d’excellence dans l’exercice de la désorganisation, où dans ces états l’activité de prédilection en est généralement l’art de la guerre, qu’elle soit idéologique, territoriale, éducative, économique, sociale, intergénérationnelle, religieuse et bientôt civilisationnelle, avec pour seule indigence intellectuelle celle de maintenir un équilibre suffisant et nécessaire, afin que le genre anthropocentrique puisse éloigner d’eux les conflits ethniques, sociétaux ou culturels, afin que les libertés d’expression consistant en l’art de penser autrement, ne puissent entraver leurs dogmatismes frappés au mur de l’incertitude, ou malheureusement, les hommes et femmes sincères envers leurs sensibilités partagées et surtout les enfants en subissent les pires outrages pour des intérêts individualistes et didactiques trop souvent voués à l’ordre du ‘’Malin’’.
Tout cela en étant inconscient que dans cette illogisme, tous et toutes pourront, à terme, avoir la certitude que le ‘’monde’’ ne sera plus seulement proche de la mauvaise évolution, mais assurément devenu à ce moment-là, synonyme de chaos, destructions, obscurantisme et asthénies enclavées dans la caverne de Platon…
Certaines ‘’entités’’, ont elles également éclipsé cette adage universel édictant… ? :
- ‘’Tout élément soustrait ou diviser tend invariablement vers le moins… Et aucune vie n’a possibilité à être vue, entendue et touchée par moins d’une, tout simplement car moins (-) d’une vie n’a aucune définition réelle en ou hors de son lieu d’existence biophysique et matériel’’…
Mais bon, nous entrons là dans le domaine du réalisme philosophique, où lorsque cet ‘’art’' de l’analyse aura disparu, alors l’incompréhension sera totale, avec pour état final la désintégration de la nature et du vivant.
Et en toutes les façons, en premier lieu par invective déshumanisée, car cette belle ‘’TERRE’’ pourra, même sans ‘’nous’’, encore tourner rond pour environ 4,5 milliard d’années…
Ce qui n’est pas le cas de toutes et tous…
Citation
L’ouvrage ‘’Universalys’’ n’a pas pour objet de prétendre apporter une analyse et étude complète sur tous ces sujets, objets, concepts, théories si complexes que nous pouvons approcher tout au long de la vie, et assurément proches de ces neuf arts libéraux nommés communément :
La Grammaire
L’Astronomie
La Logique
La Géométrie
La Physique
L’Arithmétique
La Rhétorique
La Musique
La Philosophie
[…]
Mais réussir à trouver les clés permettant d’éveiller quelques curiosités et intéressements envers le savoir ‘’universel’’, qui par le lien de ce dixième art un peu singulier en la ‘’poésie’’ et le ‘’romantisme’’ autoriserait peut-être le juste bénéfique apport envers certains merveilleux entendements, agrémentés par les extraordinaires imaginaires ; sensibilisés aux belles pensées cognitives, déjà émises par ceux et celles d’avant, depuis les origines de la conscience… Au nom des meilleures compositions, pour tous ces ‘’petites et petits devenirs’’ arrivant sur cette belle sphère bleue… ; verte et teintée aux autres couleurs de l’arc en ciel…
La vie nous donne des tests, nous apprenons ses leçons.
Être attentif à tout, c’est être à l’écoute de l’école de la vie….
L’enfer et une colonie munie de pics d’incertitude. La raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité.
M.A
LE SALAUD
Le salaud a-t-il des représentations dans toutes les couches de la société ? En politique, philosophie et religiosité aussi ?
La salope est-elle l’égale du salaud ?
Le salaud, c’est celui qui est prêt à sacrifie autrui à soi, à son propre intérêt, à ses propres désirs, ses uniques envies de possession, d’accaparement, voire fétichistes au nom d’idéaux souvent voués aux passions médiocres, telles la jalousie, la tricherie, le mensonge, avec pour particularité, en celle d’utiliser tous les outils et moyens affichés à la perversité narcissique, doublée d’un ‘’je m’en foutisme’’ notoire envers toutes zones d’existence proches ou un peu plus éloignées de celle du salaud conscient de son intelligence machiavélique et majoritairement utilisée dans l’ignorance des inconscients et inconscientes, éduqués(es) à la béatitude naïve.
Cela rejoint, en quelques points, la pensée de Sartre qui fit du salaud une catégorie philosophique. Le salaud au sens sartrien du terme, c’est celui qui se croit, qui se prend au sérieux, celui qui oublie sa propre contingence, sa propre responsabilité, sa propre liberté, celui qui est persuadé de son bon droit, de sa bonne foi et c’est la définition même pour Sartre, de la mauvaise.
Le salaud, au fond, c’est celui qui se prend pour une entité idéique supérieure, ou qui est persuadé qu’un quelconque dieu, (ou l’Histoire, ou la Vérité) est dans son camp, et couvre, comme on dit dans certains corps intermédiaires, ou autorise, ou justifie, tout ce qu’il se croit tenu d’accomplir.
Saloperie des inquisiteurs. Saloperie des croisés. Saloperie du « socialisme scientifique ». Saloperie du « Reich de mille ans ». Saloperie, aussi bien, du bon bourgeois tranquille, qui vit la richesse comme son essence et le capitalisme comme un destin. Saloperie de la droite, disait Sartre (« de droite, pour moi, ça veut dire salaud »), ce qui illustre assez bien une saloperie de gauche.
Le salaud, c’est celui qui est sûr d’avoir bonne conscience. C’est ‘’l’ayant-droit’’, comme dit François Georges dans ses ‘’Deux études sur Sartre’’, autrement dit, celui qui est convaincu de sa propre nécessité, de sa propre légitimité, de sa propre attitude, de la validité de ses propres pragmatismes, facultés et aptitudes.
C’est pourquoi, aucun salaud ne se croit tel : ‘’Tous les salauds sont de mauvaises foi et néfastes intendances, qui ne cessent de se trouver des excuses ou des justifications’’…
Aussi le contraire, pour ces salauds et mafieux, n’est-il pas d’abord le saint ?
Ni le sage, ni le héros, mais l’homme lucide, sincère et authentique, comme dirait Sartre, celui qui assume sa propre liberté, sa propre solitude, sa propre gratuité, son propre altruisme.
Le salaud, dit un jour l’auteur de ‘’La Nausée’’, « c’est le gros plein d’être ». Anthropocentrique vaniteux ?
Et le contraire cette saloperie du moi, c’est la conscience, qui est néant, qui est impossible coïncidence de soi à soi, qui est exigence, attachement, liberté, responsabilité, mais aussi questionnement perpétuel quant à la responsabilité de ‘’l’être humain’’.
Culpabilité, mauvaise conscience ?
C’est quoi la bonne ? Celle de la dénégation ? Ou la confirmation ?
Qu’est-ce qu’un salaud, et une colonie de salauds… ???
C’est un égoïsme qui à bonne conscience, persuadé d’être un type bien, et que le salaud, en conséquence c’est l’autre ?
C’est pourquoi il s’autorise le pire, au nom du meilleur de soi, ou celui de son clan – d’autant plus salaud qu’il croit avoir justification à l’être, et pense donc être dans son bon droit à ne pas l’être, voire à l’exprimer par l’étendard du népotisme déifié.
Les hommes ne sont pas méchants ; ils sont mauvais et médiocres, et se croient doter d’une bonne foi émancipatrice.
Saloperie : égoïsme de bonne conscience et de mauvaise foi. Les salauds, leurs adorateurs et adoratrices sont convaincus de leur innocence.
Mieux vaudrait un égoïste lucide et se sachant responsable de ce qu’il est, a été, de ce qu’il fait et conscient de ce qu’il a fait, qu’un égoïste satisfait de soi et convaincu de son bon droit.
En langage sartrien : ‘’Mieux vaut un égoïste authentique qu’un vrai salaud’’.
Mais le seul égoïste authentique, le seul égoïste insatisfait, c’est celui qui ne se résigne pas à l’être.
C’est ce qui peut, dans, par et avec la linguistique humaniste, être nommé la ‘’conscience morale’’, et c’est le contraire de la saloperie.
Le goût de vivre André Comte-Sponville
La connerie humaine et l’idiotie généralisée n'ont décidemment aucune limite, pensais-je.
Mais mon éternel optimisme suffisamment éloignée de la niaiserie m’autorisait à penser qu'il devait exister dans certaines couches de la société ''moderne'' des individus qui combattant utilement ce consumérisme endiablé alimenté par le marquage des fausses sémiotiques, malheureusement affirmé par les sons d’une histoire socialement déficiente et physiquement destructrice.
Que n’est-il pas de chemin plus difficile que de changer sa position aux sensations de ce qu’il nous fut mal imaginé, par une justice soumise aux seules intransigeances des lois pour qui n’aurait pas sujet suffisamment simple pour qu’il en abordasse les chemins des inutilités désobligeantes.
Ce combat ne saurait s’accepter sans consentement au retour de nos incapacités à n’avoir réussi à nous destituer de la bienséance des beaux parleurs de ramage, où les courtisanes n’y réussissent plus aucun vertige autre que celui de la primauté à éconduire les gardiens des attentions sensibles, aux faveurs d’étranges bourses.
Bien que j’en eusse quelques aises en des temps inachevés, ce premier jour de l’an 2013, hors de cette cité à cheval sur deux fleuves, je vis quelques lueurs aux courbes des nouveaux horizons. Au cours de cette fin juillet, ayant pris mes quartiers en cette vieille demeure, j’y entrepris de rouvrir quelques livres laissés depuis longtemps sur la table de chevet, aux commissures d’autres contraintes et priorités ajustées à mon ancienne réalité.
Mais vous, mes anciens camarades,
Où êtes-vous ?
Que faîtes-vous ?
Et comment allez-vous… ?
Transigez-vous plus qu’avant ?
Au restez-vous toujours dans quelques accaparements désuets ?
Votre narcissisme vous dévore-t-il encore
La peur de perdre dû, vous apporte-t-elle bien-être ?
La jalousie est-elle toujours votre compagne ?
Je vous serai gré de ne pas alourdir mes songes.
Le crépuscule de mes murmures y suffit amplement.
J’avais également ce triste ressentiment me laissant objecter que le problème majeur des réseaux sociaux ‘’buzziques’’ était celui d’y avoir environ 60% des utilisateurs pouvant être définis entre les vrais ‘’cons’’ et les faux ‘’intelligents’’, 30% des gens dotés de sensibles pensées intelligentes, et les 10% restant étant ; soient des malfaisants…
Soient des bienveillants.
Pour les médias traditionnels, il y a certainement 30% de sociopathes égocentriques, 30% d’incultes et 30% de véritables nuisibles atteints de cupidité intransigeante.
Ces mêmes proportions peuvent se percevoir en philosophie- politicienne, où par le résultat de l’addition avec les deux cas précédents permettant l’association médiatico-politico-économico-culturelle, il est particulièrement difficile de savoir si la mixité des trois, fait 30% de malfaisants ou 30% de bienfaisants, au rapport de la totalité de la population libre de penser et consciente, dans le système socio-économico-culturel…
Mon inextinguible optimisme me permet encore de présager d’un ‘’minimum’’ de 3 x 10% de personnes douées de belles factures, approchant les valeurs du Beau, du Bleu, du Bien…
Et du bons sens du vent… Mais, même en conséquence de cette désinvolture, je vous laisse imaginer la proportion du défaut d’analyse lié aux servitudes dans la dimension des illogismes et paralogismes politico-sociaux-économico-culturels béatifiées par la sémiologie des icônes déchues, insipides ou formatées...
Dans et par le néologisme médiatico-virtuel starisé…
AaaaaaaaaahGrrrrrrrrrrrr…
Le pouvoir n’est pas une donnée tombée du ciel ou sortie des tréfonds de la terre. Il est une volonté de certains(es) hommes et femmes à se croire au-dessus du monde Naturel, aux faits holistiques des vicissitudes de femmes et hommes, ignorants ou non instruits au réel et juste ordre intelligible de la meilleure attention et transmission possibles quant à une existence humainement acceptable au milieu des leurs, TERRIENS(NES)
Corpus universaliste n’est en aucune façon, l’abri des éruditions unipersonnelles de l’entre soi, mais le partage du ‘’TOUT’’…! Dans la mesure des connaissances actuelles et savoirs acquis.
Cela devrait être la première des maximes à acquérir dès le plus jeune âge, après le langage, et bien avant, vouloir à n’importe quel prix humain, confiscation de l’usure ou valeur ‘’sacrificielle’’, faire comprendre les potentiels bienfaits ou malfaisances des anciennes écritures ou nouvelles servitudes, de n’importe quel ordre, source, origine, philologie, sémiologie, ou sémantique que sont les émanations textuelles, desseins d’ici et pensées d’ailleurs ; et inversement. Il n’en est hélas pas souvent le cas, notamment chez ces femmes et hommes de doctrine à peu de considération envers leurs congénères de toutes échelles, socio-culturelles et de tous âges, entre les deux dimensions théologiques et ontologiques que sont celles des : – Cieux et de l’Enfer. Alors que chez les hommes, ce dogmatisme paradoxale n’est en fin de compte, qu’affaires de droit, d’intérêts individuels et de pouvoir entre les possédés(es) et les possédants(es)…
Faust pactisa avec le maitre des profondeurs obscures
Machiavel savoura plaisir et sévérité du pouvoir, et ses arcanes
Le marquis de Sade explora le sadomasochisme, et formes extrêmes de soumission et subordination.
Freud cherchât l’esprit du père, de la mère, du fils et de la fille… Et l’aspect charnel de femme et homme. Descartes considéra l’indifférence comme le plus bas degré de la liberté. Rousseau eut des enfants sans véritablement leurs apporter éducation essentielle et transmissions utiles (il le regretta); laissant ces apprentissages à autres considérations… Pascal laissa voguer ses pensées aux ‘’grâces’’ de l’austère et la vision attractive de la société libertine. Einstein précisa que l’homme est une infime partie du tout que nous appelons ‘’Univers’’…
Et le jour où la technologie dépassera les capacités humaines, le monde risque alors de voir une génération de parfaits imbéciles
La Fontaine fut le premier à entrevoir que l’homme est très souvent un animal ridicule, prétentieux et égocentrique, dopé aux pires reliquats de la vénalité, l’accaparement systémique et la soumission au Grand Argentier…
Et tout cela au nom du dieu de la possession au lieu d’un alléluia envers la divinité de la sagesse, où les enfants d’Irène, déesse Grecque de l’équilibre et de la réconciliation, n’auront eût que peu de persuasion à ce que la descendance de Caïn, puisse faire un déni du dogme du père leurs ayant édicté :
‘’L'infernale convoitise pousse les enfants de ‘’Caïn’’ à s'emparer de tout ce qui est à leur portée, et comme si ce n'était pas assez qu'un seul accapare ce qui suffisait à des milliers de ses semblables, il voudrait s'y établir, lui et toute sa couvée pour toute l'éternité’’.
Mais peut-être, comme le stipulait Nietzsche : ‘’Parfois, les gens ne veulent pas entendre la vérité, parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions se détruisent.’’
Par conséquent, nous pourrions peut-être considérer cela, comme un impossible accord entre le corps et l’esprit, ou matérialisme et existentialisme, ou encore la dualité [Onde-Corpuscule], soit ‘’Matière-Energie’’. Laissons ce dernier de côté, il s’agit d’un autre domaine d’étude…
La dimension cognitive attachée à cette théorie, sont les savoirs et, la connaissance nécessaires au recours à un certain type de représentations collectives, totems, signes, expressions, symboles et statuts pour fonder les institutions, notamment celles attachées à une véritable sociologie permettant à l’humanité évolution acceptable dans son milieu naturel, sans dégradation intempestive de ses zones de vies, et autres écosystèmes. Ces interrogations rejoignent les nôtres quand elles analysent la position d'un pur rationalisme pragmatique, aux termes de laquelle l'utilisation de ces représentations apparaît comme un détour inutile, où l’application des bases d’avant, est considérée majoritairement sans valeur cognitive intrinsèque, mais juste à être reproduite.
La thèse pragmatique se suffit-elle à elle-même ?
Pourquoi ne pas simplement recommander l’évanescence psychologique et physiologique contre l’ordre matérialiste individualiste despotique et les corporatismes impérieux ?
La réponse est : ‘’Qu'une simple convention sociale serait trop transparente’’. Il est besoin d'un principe naturalisateur qui lui donne le sceau de la légitimité. L’homme dans sa majorité condescendante est trop souvent un animal moutonnier à comportements répétitifs, soumis aux peurs, à l’incertitude et la servitude envers les guides à néfastes philosophie-ontologique.
Il y a deux sortes de pouvoirs ;
- 1 : Le pouvoir matériel et physique (conflits armés)
- 2 : Le pouvoir psychologique (conflits des idéaux)
Lorsque le deuxième a atteint la limite de son ‘’propre’’ pouvoir lié à la dialectique, la sémantique et la rhétorique, alors le clan, la tribu, la communauté, la secte ou tout autre système à réseau échangiste et par là-même connecté à l’information de cet espace de dialogue intercommunautaire, intergénérationnel, multiculturel et multi-identitaire, créé, sera affecté par la seule loi régissant le but d’imposition à la différence ou non-conformité du clan d’en face, une forme de soumission ou de ‘’terrorisme’’ intellectuel, permettant de créer une dimension fractale, débouchant dans la plupart des cas, lorsque que les règles du matérialisme et l’opposition géophysique sont réunies, sur guerres et violences physiques entre les belligérants des deux camps, déterminés comme opposition intellectuelle ou territoriale, entre ces deux clans, ou communautés.
Et avoir les moyens et outils suffisants et nécessaires à engager le conflit au rapport des idéaux de la tribu par son chef élu, que ses prosélytismes soient bons ou néfastes envers ses congénères, et autres, hors de son clan ou sa ‘’fratrie’’ au nom de sa survie ou la postérité de ses lois, règles et dogmes.
Et par là-même le zèle du chef de la dynastie et le dévot ne permet plus l’évolution de quelque clan ou communauté, quel qu’il ou elle soit, car ils proclament qu'ils ne déguiseraient jamais leurs sentiments pour quoi que ce fût : que c'était leur créance ; et que lui et tous les siens la défendraient jusqu'à la mort, comme étant la pure doctrine du maître de leurs ‘’cieux’’ ou de leur ‘’enfer’’.
Et tout cela car la dialectique entre les échangistes présents dans les différentes communautés et cités n’est plus en mesure de s’accorder à la sémiotique des échanges sincères entre les différents protagonistes de la grande scène des rapports ‘’humains’’… La poésie, la musique, la danse, le romantisme, la culture, l’humour ne sont plus les extraordinaires accords autorisant la merveilleuse parodie, respectueuse des harmonies personnelles et des jeux duaux… Soumis à opprobres perfides.
LES SOTS DE L’AMULETTE ET DU MULET
A l’exigence de l’absolu, vivre quelques grâces,
Le sot avisa qu’ils étaient gens habiles.
A tyranniser les sirènes et les innocents,
Suite à farcir choses de la duperie,
Au nom des plus grossiers menteurs
Les plus fieffés fanatiques, poison, absorbèrent.
A l’éminence des hommes de suffisance,
Ne dit-on pas des cartes défaussées,
Au cache des valets, sans encre efficiente,
Le cercle des indifférents, créèrent défaillances.
Puisqu’à la confession des attachements,
La triste parodie n’y trouva point remède.
Où sommes-nous m’écriai-je ?
Est-ce chose insuffisante que l’originalité ?
Extravagance, en ronds de jambe inefficaces,
J’y admettrai bien enlacements braves,
A l’appel des libertés, grâces formelles,
Lumières du jour, recyclent lemmes songeurs.
Sans rêve, aux sons des désirs inavoués,
Je nie faux comtes et reliques hydriques,
Des eaux, aux sources vaseuses,
Dans le tumulte des entraînements,
Au lit de vos entendements obscurs
J’y refuse vos habits de vestibule
Au vert de St Nicolas, St Patrick L’Irlandais,
Du rouge des vaines, Noël s’y alanguit.
Aux soleils noirs des potentats cardinaux
Les éclairs des recyclages orientaux
Par les orthodoxies des diables sans verves,
D’Est en Ouest, depuis des siècles,
Axiomes et postulats croisent le fer.
Les messagers de la liberté, drilles et devenirs
Aux sons des cloches sans tintamarre
S’y affligèrent avec les mots de controverse
Sans pâlir sous l’aiguille de leur langue acerbe
Pour les réseaux de la gente de sollicitudes
Voulurent s’ajouter aux sauts des bons dires…
Michel Asti
Date de dernière mise à jour : 19/01/2018
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