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LA SOLITUDE
- Le faux : Mort des Origines par l’indifférence, voire le négationnisme ; envers l’ATTENTION & la RAISON humainement acceptable…
- Le vrai : Evolution de la pensée par points d'émission, en leurs expressions imaginatives, au nom de bonnes causes, justes raisons et devises utiles…
Ô …
QU’HABITUDES… ET ;
C…
E….
R…..
T……
I…….
T……..
U………
D……….
E………..
Sont Ennuyeuses…
Ce que j’aime dans la solitude, c’est l’absence. L’absence de jugements, l’absence de moralistes, l’absence des radicalismes.
Laissons la morale aux moralistes, la sainteté aux morts, l’échec au surcroit de prétention, l’égocentrisme au manque d’attentions, et les bons mots à celles et ceux qui écrivent sur les murs des confidences mesurées…
Rappelons la belle formule d’Alain : ‘’ la morale consiste à se savoir esprit et, à ce titre, obligé’’… Fragile, à tenir éloignée de ses démons et de sa – propre – prédation, tendue vers son contraire qui est cette bête en l’homme, et inhumaine dans cette humanité, entre clans de possédés(es) et meutes de possédants(s)… ; & réciproquement.
Une générosité débordante, exsangue de bon sens associatif, ne parviendra jamais à pallier le manque criard de lucidité et l’infantilisation en défaut de réalisme ; comme le déni de solidarité éthique et le collectivisme impotent ne sauraient qu’engendrer ce pourquoi le corporatisme en veulerie séditieuse omnipotente mènera invariablement à la Fracture Cultura-Communautaire Intransigeante. M.A
Personne ne se connaît, dans la mesure où chacun n’est que soi-même et non pas en même temps un autre.
Friedrich Schlegel
La mesure de la bienséance se trouve dans la réalité. Dans le caractère de chaque homme réside quelque chose qui ne se laisse pas rompre – l’ossature du caractère; et vouloir le changer, c’est toujours comme apprendre à un mouton à faire le chien de chasse.
Lichtenberg
C’est la profonde ignorance qui inspire le ton dogmatique.
La Bruyère
La majorité ne dirige pas le cours des affaires !
C’est une minorité économico-financière, capitalistique, qui s’en occupe !
L’homme n’apprend rien de ses erreurs.
L’intérêt général n’est pas aux généraux
Et, le bien commun n’est pas de la commune.
Ils ne se réaliseront jamais, tout simplement car, même, les syndicats et contre-pouvoirs sont soumis au joug de la servitude et à l’insoluble principe de subsidiarité, qui mènent, en agissements pyramidaux, nos sociétés économiques ‘’modernes’’ vers un imaginaire parsemé de ‘’monnaies scripturales’’, telles des ‘’tas d’or’’ ancestraux, confiées à des politiques incompétentes, comme si majorité des économistes étaient devenus des zombies confiant leurs errances aux voix d’outre-tombe dissoutes aux paradoxes des sujets-objets sans nature, ni pensées…
Pourtant Aristote, en parlant de ces dernières, disait qu’elles constituaient le cœur de l’authenticité des vivants…
LE COMBAT AVEC L’ANGE
N’y va pas
Tout est combiné d’avance
Le match est truqué
Et quand il apparaitra sur le ring
Environné d’éclairs de magnésium
Ils entonneront à tue-tête le Te Deum
Et avant même que tu te sois levé de ta chaise
Ils te sonneront les cloches à toute volée
Ils te jetteront à la figure l’éponge sacrée
Et tu n’auras pas le temps de lui voler dans les plumes
Ils se jetteront sur toi
Et il te frappera au-dessous de la ceinture
Et tu t’écrouleras
Les bras stupidement en croix ; dans la sciure
Et jamais plus tu ne pourras faire l’amour.
Jacques Prévert
Dans les civilisations individualistes soporifiques l’ensemble communautaire rationnel n'a plus aucune identité sociologique spécifique – il est donc incohérent de la part des corporatismes à statuts conformistes béats de contracter avec lui – peut-être parce que les orthodoxies séculaires ont peur du miroir des contre-évidences.
Dans un échange textuel ou verbal, si la dialectique émise est en perceptible décodage de ce que représente une réelle et véritable covalence intelligible, voire un lien d’amitié, notamment par une notification ou un partage empreint du langage de la logique humainement acceptable ou de la contradiction prévenante, pertinente, objective et constructive ; alors la notion de sincère inclination délicate est en potentiel de véritable existence. L’espace ’’physiquement touchable’’ n’en perturbe pas l’intendance du langage de l’amitié, de l’attention, de la juste curiosité et du respect mutuel, assujetti aux ‘’bulles’’ textuelles partagées dans l’instant présent.
L’intérêt personnel n’a nulle convenance envers les évanescences de l’espace sensiblement touchant, sauf lorsqu’il devient péremption matérialiste programmée par l’accaparement, l’opportunisme de position et l’individualisme incertain. L’égocentrisme en est l’épreuve absolue et inabordable dans le monde naturel des véritables savoirs être. N’aurait-il pas mieux valu en considérer le sens avant la fin… ?
Tous les esprits libres, sensés et valorisés à l’intelligence de cœur et de raison savent cela. Ils, elles comprennent également que sur l’ouvrage, avec passion, il faut s’entendre.
Quelle est cette vertu consistant à commencer un échange textuel par quelques ressentiments dénués de certitude, donnant droit à accostage par un verbiage tendu en procès de conjectures lapidaires ?
QUI PLUS EST...
[...} lorsque l’invective sémantique est une forme palpable asservie à rapidité d’intervention contradictoire au seul but de générer une déconstruction outancière, en confrontation de colère inutile à une potentielle objectivité, par trop invasive, voire pléthorique, dans un dialogue suffisamment discordant pour en oublier le sens de la liberté d’expression, au détriment même d’un possible libre arbitre, dans la projection constructive du sujet commun. La stupidité d’une première intervention en prétention de connaissances suffisantes est par toujours, une porte qui se refermera sur un potentiel dialogue d’infortune, par cette tragédie consistant à être sûr que nous avons la performance individuelle, autorisant à bénéficier d’une mansuétude d’esprit compatible avec un meilleur futur commun.
Je ne saurai croire, qu’en toutes relations échangistes physiques ou virtuelles, il puisse y exister une seconde porte à ouvrir, alors que la première eut été fermée par ostracisme intellectuel, indigence didactique ou ressentiment en refus de divergence… ; comme il peut en être d’une forme extrême vouée au culte de la personnification associée à un combat intellectuel lié à une servitude en fourberies de surface…
Le surplus d’intransigeances en sera toujours le vestibule du désintéressement reléguant les attentions amicales ; voire ces pertinences affectives en sincérité du désir partagé dans une éventuelle intimité charnelle, suffisamment éloignées des jouissances égoïstes pour qu’il n’en reste que le souvenir d’un voyage posé aux quais des émotions sans considération... ; et récitées aux dogmes de la haine…
Cela n’est-il pas une entame alléguée à forme de sectarisme envers une divergence de point de vue, et cela avant même une réponse de l’inconnu(e) présent(e), de l’autre côté de l’écran, sachant déjà qu’une barrière supplémentaire vient d’être, en suffisance lexicographique, hérissée ?
Faudrait-il, toutes et tous œuvrer pour un monde totalement aseptisé et conforme à une norme sociale édictée par une ou autre intelligence éructant souvent sa vérité sans autres ressources que la prétention de ses consultations sectorielles, ou bien à essayer de prendre temps utile à quelques précieux moments de réflexion en débat de partage et contradictions constructives au nom d’une attentive thèse en bien commun, voire pour les plus fervents une recherche en amélioration multidisciplinaire ?
Cette démarche en installation de conformité n’est-elle point une volonté d’ignorer sujets trop éloignés de nos facultés personnelles ?
Un refus de savoirs ?
Ou pire une filiation particulière autorisant l’individu à ne plus essayer de changer ces choses de l’infamie envers autres que soi et ETANTS insuffisamment proches de notre dimension touchable ? Hors de notre zone de confort, de justiciables, en légitimité d’acquis ?
Ou encore une forme d’asthénie intellectuelle atrophiée par une satisfaction matérialiste suffisante à l’inaction envers autres congénères, tout aussi justifiables à disposer de l’essentiel vital ?
Un abandon au profit d’un isolationniste de circonstance ? Une pénitence en acceptation d’existences mornes ?
Une dichotomie en reconnaissance de népotisme défiscalisé d’affiliation en humanisme ?
Ou tout simplement un ‘’je m’en foutisme’’ généralisé, tant en ascendance qu’en descendance ?
Enfin ! Songez-vous toutes et tous, ainsi, avec toutes sortes de camouflets, que personne ne saurait mesurez vos impostures et calomnies cachées sous les voiles du politiquement correct et/ou la pudibonderie en toutes différences culturelles que vous en ayez suffisance en cette vertu pour vous-même et les vôtres, dans cette prétention que vos dons ne sauraient m’irritez, moins de les retransmettre sans analyses autres que la béatitude en prédécesseurs grisés aux voix de l’impénétrable, pour les moins nocifs, qu’une marche en colonie d’élus aux incertitudes des grâces et vierges, pour les plus déficients en défrichage de voies terrestres ?
Mais en toute évidence en procession de terrorisme intellectuel pour les deux clans en écoute de falsification d’outrages portée aux oreilles de prostrés(es) se souciant plus des cieux que de la Terre des hommes, des femmes et des enfants…
Je crois malheureusement que ces consciences grossières ont une chose en commun, formellement, proche d’un mécanisme cognitif logo-atomisé par négociants en spiritualité, guides en reliques cultuelles, despotes, potentats et autres dévots ayant réussi à faire gober les plus ravageurs illogismes au rapport de leur déconsidération envers la condition échangiste naturelle humaine… Et dans ce paralogisme datant de la naissance de la conscience et des intelligences, concomitantes au mammifère humanoïde, le plus néfaste attribut est, sans doute, l’apparition depuis quelques décennies d’une espèce de néo-scientisme immature indexé en vulgaire marchandising par souscription d’opérateurs en flux d’omission (volontaire ?) d’étude et analyses logiques envers le sujet ontologique au rapport de l’objet physique… Dans un psychédélique contrat en vacuité psychologique et physiologique. En toute vraisemblance, je me devais pour me libérer des esprits chancelants, faibles ou par trop opportunistes de ne plus chercher à comprendre leur danse de Saint Guy, et même à m’en éloigner.
Car à percevoir leurs gesticules sans véritable fondement pragmatique et par là-même inopérantes à rendre lucidité à leurs actions utiles à la nécessité d’une potentielle préservation du bien commun, ne réussissaient qu’à m’irriter. Leurs us, coutumes, échanges, liens, accords et orthodoxies alliées de l’espace commercial où la réelle valeur du sujet-objet considéré comme provision suffisante en le degré le plus haut de son essentialité étaient pathétiques. Non que je m’offusquasse plus que le commun des hybridations grégaires à ne pouvoir y émettre attentions suffisantes aux raisons de leurs devoirs d’engagement particuliers en l’attachement envers un authentique humanisme, moins à même d’apporter à notre conceptualisation du système socio-économico-culturel affichée à l’esprit de ma communauté formulée par les bienséances d’échanges pour compréhension collectiviste, que la falsification de leurs tares dans un e-commerce, à vacuité de doctes, pourvu à un militantisme anti-pluridisciplinaire, où sous couvert d’inattention ; Big Brother était en train de vaciller sous les coups des applicateurs et applicatrices de B to B, en Bla-Bla des nouveaux monnayeurs d’esclavagisme sans chaînes apparentes…
Quelle bandes de sots, inconscients et inconscientes quant à la facture en solde de leurs enfants soumis aux ravages d’un népotisme culturel et/ou ségrégation d’intérêts particuliers, sans valeurs tangibles où l’information en transmission de savoirs me semblait proche d’une affiche collée au mur du sectarisme intellectuel, en allégation de rares onces de pédagogie, par dissidences de bienveillance intergénérationnelles, au profit de certitude en images de logo-atomisation appropriées par quelques pervers narcissiques, partiellement inutiles aux délais d’apprentissage et de respect des lois naturelles.
J’y mettais entre ces interstices textuels des consistances didactiques en vœux de libre échange imaginatif une espèce de déshérence en sollicitude de dimensions touchantes par une volonté à vouloir vaincre les intendances prônant un empirisme, sans distinction de zones d’existence non sécurisées, en règne de possession absolutiste, avec pour singularité en celle de laisser croire que ce matérialisme inique ne serait pas source malheureuse en grande consommatrice d’énergies falsifiées par accaparante désuétude, et, par trop souvent, exsangue des forces en bienveillance humaniste. Même si je pensais en comprendre partiellement la peur existentielle de mes congénères, je n’en approuvais guère la méthode et le discours, frappé au sceau de l’individualisme outrancier.
Ce n’est que par un effet de rhétorique que l’on peut arriver à faire croire que la vérité mathématique en économie incomplète a autorité suprême, comme si toute vérité pouvait s’émanciper de l’utilité d’un pragmatisme d’échelle présent, pour ensuite venir la justifier, en s’émancipant d’une autre thésaurisation, en prémices ordonnées et subordonnées à un passé volontairement rendu valorisant, au profit de postulats en futur particulier… En intérêts pour seuls clans de chaires, d’ors, de robes, de notables, de pompes et autre empruntés(es) en comptes de valeurs ajoutées, falsifiés… Marketing de lobbies, néo-scientistes ou PARAPHEURS en paradigme de faux-culs ?
Le capitalisme n’a plus besoin d’intelligences antithétiques à partir du moment où sa base devient uniquement mécanique. Tout écosystème HUMANOÏDE arrivé à ce stade se contente comme AVOIRS que de disposer d’une armée soumise à l’impérialité du pouvoir dirigeant… ; où les oppositions philosophico-politiques se doivent d’être abolies par l’autorité de commandements, endoctrinées par tous moyens physiques ou corrompues par les outils de la FIDUCIE MONETAIRE…
A ce moment-là le PEUPLE d’une NATION n’a plus la LIBERTE DE CHOIX, et par conséquent le système devient une AUTOCRATURE, voire PIRE…
Nous vivons aujourd’hui aux crochets des générations futures et nous leurs léguons une poubelle explosive très chère à entretenir, tout en ne leur procurant plus les moyens de vivre de leur travail.
Le COURT-TERMISME est, parait-il, inscrit dans les règles de politiques seulement et uniquement comptables…
Les scientifiques ne sont pas des révolutionnaires. Ce n’est pas qu’ils n’ont pas d’idéaux, mais ils s’ordonnent et s’adonnent, en principal, à la recherche scientifique et sont encadrés aux règles des enquêtes statistiques.
Auparavant, l’individu était une personne morale à valeurs de dignité supérieure aux prix fixés à l’objet de consommation. Le glissement de cette dignité – certes inexistante chez les individus soumis à la tricherie, l’ignominie, l’infamie et l’insincérité patente – part de la personne physique en respect des valeurs éthiques et déontologiques dans le cadre des Droits et Devoirs inscrits dans une société de justiciables et justifiables en tant que personnes physiques morales. Cette personne physique, dotée d’un patrimoine, a été transposée au statut d’entreprise morale, en tant qu’entité fonctionnelle – machine non-humaine – puis fut réalignée, aux Etats-Unis, au milieu du XIXème siècle, par sa mise en place au statut de ‘’personne morale’’, désignée plus tard sous le patronyme de ‘’TRUST’’ - « la Fiducie » de droit anglo-saxon (pays considéré comme le plus grand colonisateur à partir du XVIIème siècle). Cela permit aux individus, personnes physiques de pouvoir s’inscrire dans le sillage de personnes ‘’morales’’ et bénéficier ainsi du pouvoir démultiplié des sphères patrimoniales et de l’influence de l’avènement industriel au cours du XIXème siècle, auquel les individus accédèrent grâce à l’héritage, à la transmission, filiale, à tiers personne ou groupes d’intérêts particuliers – à l’immortalité du trust – qui était désormais garantie par la société morale de l’entreprise capitalistique, anglo-saxonne, américaine, etc… ; suivis par la mise en place du système de circulation mondialisé des marchandises et capitaux…
Ne faut-il pas penser, dans cette évolution de la société ‘’morale’’ une « ruse de la raison » au sens hégélien ?
Et tenter de pouvoir dire que les lois du commerce international sont une parodie de néfastes valeurs collectivistes, corporatistes et communautaires, voire agencés par des groupes de prédation.
Quand une mise en œuvre des principes du marché ultralibéral provoque une crise écologique et idéologique précédée par des crises économiques et financières, sévères au cours du XIX et XXème siècle, puis la première véritable crise financière mondiale en 2008, trouvant sa source aux Etats-Unis, que peut-on penser de ce système politico-social-économique ultralibéral ? Qu’il est celui des plus forts ou plus nantis ? Les banques et organismes financiers ont-ils appris de leurs erreurs ? Nous allons rendre le système économico-financier plus fiable, ont-ils dit. Le résultat de ce système où l’attitude asociale brutale de l’économiste et du comptable a pris le pas sur le prix de toute dignité, en tant que constituante d’une Démocratie Républicaine, dans le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, serait-il devenu un jeu de dupes, à produit négatif et dommages collatéraux funestes pour encore proportion trop importante de l’humanité ?
Par Théocrite, Athéna, et Thémis, nous ne saurions accorder honorabilité communautaire et dignité émancipatrice à forme d’incohérence didactique et scripturale émanant de démiurges en agora malintentionnée, rats de la politique malveillante, loups de Wall Street, goupils des sables maudits, singes de l’économie asociale, leurs prélats, mollahs, oppresseurs, scolastiques judéo-chrétiennes impuissantes, vils évangélistes , Trans-humanistes et Néo-scientistes en prosélytismes eugéniques, commandeurs radicaux en réforme cultu®elle anti-pluridisciplinaire, syncrétisme en déni de révolution copernicienne, refus de la théorie darwinienne et récusation de la blessure narcissisme de l’homme, cyniques dévots de Mammon, soumissionnaires sans idéaux, empruntés(es) à écritures iniques, et autres courbés(es) sous la servitude volontaire se souciant plus de leurs cieux que du monde du et des vivants… Avec une mention particulière pour les Directions et Gouvernances en Etats de PÔLES DESASTRES… ; leurs sous-fifres, opportunistes en ethnosociologie de chaires phalliques et suceurs de positions dopés à l’incompétence sociologique, philosophique, déontologique, économique et culturelle, au « Je m’en foutisme patent », au sectarisme intellectuel et à la fourberie des classes de caves funestes envers celles ATTENTIONNEES…
M.A
QUEL BEAU DIEU M’IRRITE
Quel beau dieu m’irrite en secret ?
D’où vient ce visage au mur, et qui le peut confier aux nœuds du bois, aux éclats de la pierre, aux jeux de la mousse fanée ?
Envol des perdrix au vent de la sixième heure ; et c’était vers la fin d’Octobre, au moment que les feux s’allumaient dans les branches, que le tilleul fumait d’abeilles à la voix tendre ; un chemin de terre déroulait de lents anneaux à l’entour de mes pas ; trois fontaines éteignaient la clameur d’Hylas ; il se faisait tard.
D’anciens villages constellaient les collines.
Roger Kowalski
BILLET SANS RETOUR
Par tes discours d’amour et d’amitié, je ne serai plus hanté. En cette liberté retrouvée je n’aurai sens qu’à percevoir les murmures de la Terre, à n’être qu’une pousse parmi les herbes déjà averties du sens des alizées. Je ne concevrai plus tes manigances versées au pied d’une mascarade agrippée aux dénégations en courbure d’actes sournois.
Obscur guide, garde tes billets d’entrée hors de ma vue.
Pose-les sur les flambées de foyers afin que les enfants puissent percevoir tes flammes maudites. Et qu’à jamais tu partes loin de nos aspirations en sincères attentions.
Tu pourras pestiférer, du Levant jusqu’au Couchant, au nom de ta dévotion envers mystifications marquées aux vindictes du pouvoir, oubliant que filles et fils de contrées éloignées ont subi réminiscences en usure d’actions et falsifications en liberté de penser. Les brisures du désir d’accaparement n’ont-elles pas alimentées, au nom de cette volonté de puissance, sur différences communautaires, les dissidences assassines des hommes ?
Tu pourras hurler au vent des sources sacrées, en vouant l’auteur à me lancer ses pires inconvenances sous ses éclairs de feu. A maudire mon âme jusqu’à la fin des temps.
M’obliger à me prosterner, puis me liquéfier. Petit messager de transfuge, tu ne me soumettras point.
Sur les grandes plaines, aux versants des collines, dans le lit des rivières… ; à faire l’amour avec les filles du vent et de la liberté, sous les arbres dans l’intimité d’un autre corps de femme, suivre le fil du fleuve tranquille, afin qu’à la mer nous parvenions.
Toi, sale billet sans valeur.
Prisme en volonté de possession ou de fétichisme, ce souciant plus des lois du marché, que des bienfaits terrestres et prescriptions en conservation de la nature.
Le service que tu prétends rendre, est un voyage sans joie.
Avec mes amis(es), nous allons en écrire un autre…
M.A
Je poserai cette question : si par hasard il naissait aujourd’hui quelques gens tout neufs, ni accoutumés à la sujétion, ni affriandés à la liberté, ignorant jusqu’au nom de l’une et de l’autre, et qu’on leur proposât d’être sujets ou de vivre libres, quel serait leur choix ? Cherchons donc à comprendre, si c’est possible, comment cette opiniâtre volonté de servir s’est enracinée si profond qu’on croirait que l’amour même de la liberté n’est pas si naturel.
Etienne de La Boétie
… Si la « croyance » devient « possession et obsession », elle entraînera tôt ou tard déception et colère, puis, la rancœur possédera, sans la plus petite once d’amour, le roi des animaux, car son combat pour sa croyance d’être le seul roi à avoir le pouvoir de gouverner les « prosélytismes », aura pris fin, et à ce moment-là, si la petite once est chassée par ses serviteurs ne croyant plus en « elle », alors, apparaîtra la « haine » présente, proche des lumières de la Lune brune, par son ‘’ombre’’ « n » fois puissance de lui-même… Sauf si L’indifférence, en tant que ‘’protection’’ de soi, n’est pas devenue le plus bas degré de l’attention…
Quand j’en compris, bien tard il est vrai, les opportunismes patents de mes congénères, j’y crû entrevoir bien d’autres maux de controverse qui furent en intendance suffisante pour soumettre à mon questionnement ce qui pouvait être en improbité de sincérité afin de me laisser penser que l’amitié était chose trop hasardeuse pour y adhérer sans observance en ordonnance de méfiance, ou tout du moins en gardant temps suffisant à percevoir les potentiels accords et liens de covalence…
- Mais, s’il y a prépondérance à méfiance, il ne saurait exister amitié particulière véritable ; me diriez-vous…
J’en suis bien d’accord avec vous, mais plus qu’à vouloir, à tout prix, amitié en seul échange de lissage fourbe, controverses inexpressives, lâcheté de déréliction textuelle et didactique, ou sélection en voyeurisme simiesque au nom d’ébats funestes souscrits à néfastes barons, potentats et roitelets de pissotière, j’y consens à accepter de ne plus être en contact physique avec ces positionnements en accord de statuts vidés de l’essence primordiale, sans autres intérêts que celui d’une médisance en vile curiosité farcie aux chevrotines d’inculture, dans une flétrissure falsifiée par calomniateurs et calomniatrices à défrichement de bas compte. Comment est-il possible de croire à la bienfaisance de ce type d’individus, notamment de par leurs actions paradoxales quant à conservation du bien commun et observation de la condition humaine, en verve d’échanges inintelligibles et incompréhensibles au réel sens de la liberté, de l’égalité, de la fraternité et la justice. Surtout lorsque leur sémantique didactique, en clans d’introspection inique, ne saurait avoir utilité qu’en le ramollissement des cerveaux déprimés, des faibles d’esprit, ignorants(es), personnes fragiles et consciences béates envers des spiritualités en arguties de fadaise n’alimentant que le flot des incultures, des incertitudes, des déshérences et soumissions liberticides infantilisantes ; au profit d’administrateurs de groupes, gestionnaires d’intérêts individualistes, personnalités en philosophies absconses, dévots, guides en vacuité de bienveillances orchestrée par des clans obscurs disposant de moyens de retransmissions, outils médiatiques et pouvoirs psychologiques beaucoup plus machiavéliques que ces courbés(es) en vile représentation, prostrés(es) en servitude et petits diables à conscience ‘’logo-boto-atomisée’’ … ???
La vie n’est pas la planète Walt Disney en inepties de marketing avec blablas d’ahuris(es)…
Sauf, peut-être pour partie de la gente socio-culturelle disposant de zone de confort encore satisfaisante, voire plusieurs démesurées, permettant à ces communautés, de l’entre soit culturel particulier, de se masturber l’esprit avec de la survivance sémantique en verbalisme judéo-chrétien de nazes, versets coraniques en débilités mentales et/ou spiritualités à prescription d’aseptisation sociologique, psychologique, physiologique et didactique par paralogisme d’herméneutique en valeur usurière de salauds, suffisants, prétentieuses et jouisseurs de néfaste et cynique conscience ?
Ces prosélytes en vernis d’humanisme n’ont peut-être pas une perception et analyse suffisante envers véritables athées, ainsi que l’étude suffisante en logorrhées d’un agnosticisme affiché à l’apolitique évanescent faisant fonctionner les mécanismes cognitifs en vœux de réels savoirs faire et authentiques savoirs être… ???
Chez certains essayistes figurent encore quelques odeurs filigranées aux flagorneries pesantes de la sacristie. Les bondieuseries niaises étant retenues sous prétextes à une spiritualité figée aux embruns d’une réalité axée sur les difficultés à y mener manifeste démis d’un pessimisme embarrassé. L’exubérante volonté universelle des agnostiques autorise à dégager controverse enrichissante en débat d’opérations bien utiles aux déploiements des exégèses prétendument sans failles au rapport du réel sens d’un essentialisme moins morose entre matérialisme de nécessite et existentialisme de pragmatisme engageant les circonvolutions attribuées à la conservation du bien commun dans les écosystèmes et biosystèmes apparentés au monde naturel du et des vivants.
L’image starisée des politiques de vernis ne sera jamais le murmure autorisant les accords du chant entre le pauvre et le riche, le maître et l’esclave, l’ordonnateur et le serviteur…
Il y a de quoi faire réflexion sur ce que je me doutais. Car à y voir clairement où mon interlocutrice voulait se diriger me donnait quelques espiègleries supplémentaires avant que j’eusse sourire diablotin à voir son accolade en vertu d’une subtilité grossière pour un possible lien amical entre nous, dont j’en avais déjà perçu les paradoxes lorsqu’elle m’avait ouvert les lignes de ses aventures particulières, notamment de par les dissemblances entre statuts textuels et postures sémiotiques avancées depuis son invitation à construire un chapitre amical en virtualité d’échanges cerclée aux émois privatifs affiliés à la messagerie de ce réseau social, en surveillance de pratiques élogieuses, sans compte férir autres que la massification des ignorances en véritable synchronique d’amitiés inorganiques…
Ce n’était pas la première fois que je m’en amusasse au flirt, des ‘’j’aime’’, assenti à des demandes d’amis(es) faîtes à mon endroit bien qu’il en restait nombre non négligeable pour lequel il m’était compliqué d’y entendre quelques bienséances didactiques, ainsi qu’accords prédisposés, sans liaison fatale, au fil des émissions journalistiques troublées au sens des intransigeances en obligation de résultat, afin que ce patchwork de liaisons infantilisantes n’en trouve couleurs chatoyantes versées aux superpositions en charme de classe suffisamment praticable, pour qu’il en soit officine intelligible, au rapport d’efficience attentionnée, entre liberté et attachement.
Il est certain que la culture d’hommes, femmes et gens en veille attentionnée ne saurait convenir à outrances graveleuses ou machistes, ainsi qu’aux mauvais sens de leurs suceuses à déficiences sémiotiques, lèches-cul, petits potentats, césars, satrapes corrompus et autres ‘’putes royales’’, ayant suffisamment de biens sécuritaires pour n’être pas obligé d’arpenter les quais du métro de brumes ou pouvoir s’entrainer en ronds de jambe de bourgeois, suffisamment éloignés de la réalité du petit peuple, où l’opprobre est devenue une logo-atomisation culturelle starisée par des stéréotypes émancipateurs adoubées à dédain, scepticisme ou cynisme envers les grâces physiologiques, ou si vous préférez : « Les subtils préliminaires en bienséance charnelle » … ; aseptisés de saines confrontations psychologiques, par ces ‘’petits jouisseurs’’ particuliers, en appartenance didactique de caves, aux parfums putrides…
La différence de compréhension entre romans, nouvelles, biographies et essais réside dans le fait même de leur glose en sensibilité personnelle.
Le roman, la nouvelle ou la biographie sont en consultation générale lue d’une seule étape, surtout lorsque l’histoire textuelle particulière est en accointance émotionnelle avec le lecteur ou la lectrice. L’essai, quant à lui, a le privilège du temps utile au véritable pragmatisme par la possible compréhension du sujet traité. En effet l’essai peut être interrogé par une perception en lecture ponctuelle des chapitres, sans que la période de la fermeture lexicale n’indexe fortement le traitement de la suivante, par temps postérieur…
La poésie à cette extraordinaire mixité autorisant la ponctualité de présence ou sa livrée complète en une seule traite… Et toute lecture est un traitement consistant en cet axiome, valable pour tout Sujet-Objet: ''Avec l'observation de l'ouvrage il faut, en lecture, y revenir, de temps en temps''...
Encore faut-il réussir à ne pas passer outre les calomniateurs convaincus et ne pas recourir à leurs maximes sans analyses des paralogismes particuliers et syllogismes divers, afin que la flétrissure généralisée ne soit plus une fragrance à en adopter le verbiage, sans attention ni étude envers la divagation ahurissante.
Ne serait-ce pas en cette thématique, son reniement choisi ou une adhésion intrinsèque envers reliques en formulation de différence, physico-ontologique, sans preuves véritables… ; autre que celle édictée par un corporatisme inique, en postulats de paradoxes, tout aussi incertain… ???
En l’occurrence si un ou une différente en voudrait établir quelque autre attachement, hors robe, chaire, pair, pompes et intérêts empruntés à doctes en prescription d’adhérence supposée, il et/ou elle, en seraient-ils immédiatement taxés de simples d’esprit ou hérétiques… ?
Que pouvons-nous répondre, par quelques rhétoriques sensées, à tous ces calomniateurs et calomniatrices, infectés(es) par les ‘’choses’’ sans preuves formellement établies, accusant autres de leurs congénères, sexués, sans logique didactique évidente, au rapport d’une sociologie humainement acceptable ?
Qu’ils en bâtissent leurs trésors par une forme clandestine approvisionnée à leur état d’insincérité ?
Que doit-on étudier, de même, à tous ces discours vagues de cette sorte, qui se trouvent dans leurs livres des restitutions réduisant les créanciers humanistes en une usure à ruissellement de lentigos proches de la porte, usée, entrouverte aux germes des imprécations sans foi, ni lois… ?
Ou à pratiquer un suivi circonstanciel, plus à même d’emprunter les ressemblances destructrices d’une colonie munie de pics d’incertitude, au détriment d’actions en construction d’une philosophie-politique et sociologique moins absconse… ?
En attribution du prix des accords privilégiés proches du discours entre les sciences, les arts et la poésie… ???
L’espièglerie n’est pas une posture béatifiée aux sons d’un conformisme de circonstance. Elle est une dérision permanente envers le « OUI » imbibé en plan d’imposition philosophico-sociologique aseptisé et assurément circonscrit à manque d’imagination sémiotique.
Le « NON » ; n’est-il pas le premier mot que prononce, en général, les enfants…
L’humour n’est pas un état permanent, puisqu’il a deux faces :
- Celle pour ressembler et rire d’une espièglerie, avec dérision envers soi-même et/ou les comportements humains et animal.
- La deuxième face est un peu plus compliquée à percevoir. Sauf lorsqu’elle est entendue comme un miroir grossissant de la mesquinerie, pour qui ne possède pas suffisamment de connerie habile.
Et là, à cet instant, les choses vécues proches de ce con ou cette conne, deviennent contagieuses… En ces cas d’incompréhension envers l’espièglerie, elle n’a plus son accommodement interpositif. Elle laisse souvent la place scénographique, au mépris, au crétinisme, à la jalousie, la mauvaise foi, la calomnie, la rancœur et parfois la haine.
Et de ceux-là, en faire l’essentiel, est ridicule.
N’est-il pas plus louable d’en faire quelques pastiches textuels… ?
D’autres les ont, je vous l’assure, déjà entrevus… Et l’ont dit, écrit et décrit. Les fables en témoignent…
Les conteurs, les bardes, versificateurs, chantres, dessinatrices, caricaturistes, dessinateurs, les espiègles, poètes et poétesses le savent…
M.A
CONSEIL TENU PAR LES RATS
Un chat, nommé Rodilardus
Faisait des rats, telle déconfiture
Que l’on en voyait presque plus,
Tant il en avait mis dedans la sépulture.
Le peu qu’il en restait, n’osant quitter son trou,
Ne trouvait à manger que le quart de son soûl ;
Et Rodillard passait, chez la gente misérable,
Non pour un chat, mais pourun diable.
Or un jour qu’au haut et au loin
Le galant alla chercher femme,
Pendant tout le sabbat qu’il fit avec sa dame,
Le demeurant des rats tint chapitre en un coin
Sur la nécessité présente.
Dès l’abord leur doyen, personne fort prudente,
Opina qu’il fallait, et plus tôt que plus tard,
Attacher un grelot au cou de Rodillard ;
Qu’ainsi, quand il irait en guerre,
De sa marche avertis, ils s’enfuiraient sous terre ;
Qu’il n’y savait que ce moyen.
Chacun fut de l’avis de monsieur le doyen,
Chose ne leur parut à tous plus salutaire.
La difficulté fut d’attacher le grelot.
L’un dit : « Je, n’y, vas point, je ne suis pas si sot »,
L’autre : « Je ne saurais. » Si bien que sans rien faire
On se quitta.
J’ai maints chapitres vus,
Qui pour néant, se sont ainsi tenus :
Chapitre, non de rats, mais chapitre de moines,
Voire chapitres de chanoine.
Ne faut-il que délibérer,
La cour en conseillers foisonne ;
Est-il besoin d’exécuter,
L’on ne rencontre plus personne.
Jean de La Fontaine
Mais peut-être : « Les experts en intelligence sont-ils devenus espèce à sang froid ? »
Et la politique, la religion et la monnaie sont-elles, pour certains clans, un résultat de pouvoir divisionnaire inique ?
Ce qui est certain, c’est que les trois veillent et entretiennent le néo – ordo – ultra – libéralisme social-économique et le capitalisme financier impérieux » […]
La raison en causalités phénoménologiques appartient à celles et ceux qui cherchent à comprendre comment les choses s’organisent, comment le mouvement de l’une affecte le mouvement des autres. Le personnage du scientifique représente ceux qui partent à la découverte du monde, mais c’est aussi celui qui doit constamment s’inventer de nouveaux outils scientifiques pour le parcourir.
Par exemple, pour aller explorer la lune, il a fallu que les scientifiques (des physiciens, des ingénieurs) inventent la fusée et la capsule spatiale.
Le personnage allégorique du scientifique se doit d’être un inventeur, un innovateur, car il cherche sans cesse à dépasser les limites de la connaissance.
On pourrait encore développer cette allégorie riche d’analogies de toutes sortes à propos de la science contemporaine et de ceux qui la font.
Mais pouvons-nous vraiment nous fier à une allégorie, une histoire inventée, une histoire sortie tout droit de notre imaginaire, pour nous apprendre une vérité ?
Car après tout, une allégorie n’est qu’une métaphore…
Mais pourquoi ce succès des prédictions scientifiques, sans possibilité de déduction épistémologique ; immédiate ?
Comment ce succès est-il possible ?
Le succès ne suffit pas, disent les philosophes, il faut encore et toujours le justifier, il faut lui donner des raisons.
Alors ?
Parce que les scientifiques utilisent des théories vraies, pourrait-on répondre en espérant calmer les philosophes.
Mais alors, il faudrait expliquer ce qu’est une théorie vraie.
Nous ne sommes pas sortis de la mauvaise auberge.
On connait la célèbre définition qu’a donnée Kant de la dignité : « Dans le règne des fins tout a un PRIX ou une DIGNITE. Ce qui a un prix peut être aussi bien remplacé par quelque chose d’autre à titre équivalent ; au contraire ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n’admet pas d’équivalent, c’est ce qui a une dignité. La dignité, étant ‘’supérieure à tout prix’’, échappe par définition au calcul économique. A ce premier inconvénient, elle en ajoute un second : en tant qu’impératif catégorique, elle constitue un devoir, et pas seulement un droit individuel »
Quiconque n’est pas philosophe ne cherche pas à mettre tout en doute. Et ce non-philosophe a peut-être bien de la chance d’être ainsi. Il ne s’empêche pas de dormir à force de se demander si la science est un progrès pour l’humanité, ou si les pensées sont vraies même si elles ne sont pas justifiées, ou si le monde existe vraiment, ou s’il n’est qu’une création de son esprit. Non, le non-philosophe dort à poings fermés, il est convaincu d’ailleurs que l’insomnie philosophique peut nuire à la santé de son corps. (Par contraste, les philosophes croient que rêver éveillé leur permet de garder leur esprit en santé…)
LES SOTS DE L’AMULETTE ET DU MULET
A l’exigence de l’absolu, vivre quelques grâces,
Le sot avisa qu’ils étaient gens habiles.
A tyranniser les sirènes et les innocents,
Suite à farcir choses de la duperie,
Au nom des plus grossiers menteurs
Les plus fieffés fanatiques, poison, absorbèrent.
A l’éminence des hommes de suffisance,
Ne dit-on pas des cartes défaussées,
Au cache des valets, sans encre efficiente,
Le cercle des indifférents, créèrent défaillances.
Puisqu’à la confession des attachements,
La triste parodie n’y trouva point remède.
Où sommes-nous m’écriai-je ?
Est-ce chose insuffisante que l’originalité ?
Extravagance, en ronds de jambe inefficaces,
J’y admettrai bien enlacements braves,
A l’appel des libertés, grâces formelles,
Lumières du jour, recyclent lemmes songeurs.
Sans rêve, aux sons des désirs inavoués,
Je nie faux comtes et reliques hydriques,
Des eaux, aux sources vaseuses,
Dans le tumulte des entraînements,
Au lit de vos entendements obscurs
J’y refuse vos habits de vestibule
Au vert de St Nicolas, St Patrick L’Irlandais,
Du rouge des vaines, Noël s’y alanguit.
Aux soleils noirs des potentats cardinaux
Les éclairs des recyclages orientaux
Par les orthodoxies des diables sans verves,
D’Est en Ouest, depuis des siècles,
Axiomes et postulats croisent le fer.
Les messagers de la liberté, drilles et devenirs
Aux sons des cloches sans tintamarre
S’y affligèrent avec les mots de controverse
Sans pâlir sous l’aiguille de leur langue acerbe
Pour les réseaux de la gente de sollicitudes
Voulurent s’ajouter aux sauts des bons dires…
M.A
LE LOUP PLAIDANT CONTRE LE RENARD PAR-DEVANT LE SINGE
Un loup disait qu’on l’avait volé.
Un renard, son voisin, d’assez mauvaise vie,
Pour ce prétendu vol par lui fut appelé.
Devant le singe il fut plaidé,
Non point par avocats, mais par chaque partie.
Thémis n’avait point travaillé,
De mémoire de singe, a fait plus, embrouillé.
Le magistrat suait en son lit de justice.
Après qu’on eut bien contesté,
Répliqué, crié, tempêté,
Le juge, instruit de leur malice,
Leur dit : « Je vous connais depuis longtemps, mes amis
Et tous deux vous paierez l’amende :
Car toi, loup, tu te plains, quoiqu’on ne t’ait rien pris ;
Et toi, renard, as pris ce que l’on te demande. »
Le juge prétendait qu’à tort et à travers
On ne saurait manquer condamnant un pervers.
Jean de la Fontaine
Une générosité débordante, exsangue de bon sens associatif, ne parviendra jamais à pallier le manque criard de lucidité et l’infantilisation en défaut de réalisme ; comme le déni de solidarité éthique et le collectivisme impotent ne sauraient qu’engendrer ce pourquoi le corporatisme en veulerie séditieuse omnipotente mènera invariablement à la Fracture Cultura-Communautaire Intransigeante : ‘’Représentation – Objet – Sujet’’
N’aurais-je pas oublié un 4ème terme…???
Cette faculté dont personne ne saurait se passer !
En effet qu’en est-il de la PENSEE…?
La scénographie moderne serait-elle seulement possible sans la pensée ?
Que celle-ci soit philosophique, épistémologique ET/OU ontologique ?
Je n’ose prendre le temps d’approfondir tout de suite cette question des plus invasives chez le ‘’mammifère humain’’.
Son histoire ne fait que commencer.
Quelques minutes, à l’échelle de l’univers connu…
Michel Asti
Le principal fléau de l’humanité n’est pas l’ignorance, mais le refus de savoir.
Simone de Beauvoir
Si la pauvreté est la mère des crimes… Le défaut d’esprit en est le père.
Jean de La Bruyère
« N'espérez jamais trouver votre sûreté dans les armes de la fortune. »
Sénèque.
Personne ne se connaît, dans la mesure où chacun n’est que soi-même et non pas en même temps un autre.
Friedrich Schlegel
La mesure de la bienséance se trouve dans la réalité. Dans le caractère de chaque homme réside quelque chose qui ne se laisse pas rompre – l’ossature du caractère; et vouloir le changer, c’est toujours comme apprendre à un mouton à faire le chien de chasse.
Lichtenberg
Date de dernière mise à jour : 20/10/2020
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