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Le suffisant est celui en qui la pratique de certains détails que l’on honore du nom d’affaires se trouve jointe à une très grande médiocrité d’esprit.
La Bruyère
C’est un malheur, que les hommes ne puissent d’ordinaire posséder aucun talent sans avoir quelque envie d’abaisser les autres. S’ils ont la finesse, ils décrient la force ; s’ils sont géomètres ou physiciens, ils écrivent contre la poésie et l’éloquence ; et les gens du monde qui ne pensent pas que ceux qui ont excellé dans quelque genre jugent mal d’un autre talent, se laissent prévenir par leurs décisions. Ainsi quand la métaphysique ou l’algèbre est à la mode, ce sont des métaphysiciens et des algébristes qui font la réputation des poètes et des musiciens; ou tout au contraire ; l’esprit dominant assujettit les autres à son tribunal, et la plupart du temps à ses erreurs.
Vauvenargues
Tout l’agrément de la vie est fondé sur un retour régulier des choses extérieures. L’alternance du jour et de la nuit, des saisons, des fleurs et des fruits, et toutes les autres choses qui viennent à notre rencontre périodiquement afin que nous puissions et devions en jouir, voilà les véritables ressorts de la vie terrestre. Plus nous sommes ouverts à ces jouissances, et plus nous nous sentons heureux.
Goethe, Poésie et Vérité
[…] Il est quelqu'un d'ordinaire qui a crû à tout ce que la société des hommes et des femmes lui a montré pendant son apprentissage, il a fait de son mieux pour coller à cette vision, il n'en avait pas d'autres. De par la compréhension de sa conscience, il a pensé que cela consistait à bien apprendre et appliquer de cette société à réseaux d’échanges ‘’humains’’, ses valeurs, lois, règles et codes définis et retransmis. Actifs et valeurs apprises et emmagasinées en tant que priorité de nécessité pour y être, mais plus difficilement pour y bien-être, son extraordinaire maîtresse la ‘’VIE’’ ; le lui a fait entrevoir, assez tard il est vrai. Il a compris, dans cette société, il vaut mieux savoir conjuguer le verbe ‘’avoir’’, que le verbe ‘’être’’, et elle avait raison pour ce lieu, mais pour Elle, il préfère continuer à conjuguer le verbe ‘’être’’. Ici, lorsque tu n'as matériellement et financièrement presque plus rien, tu n'es pratiquement plus rien, sauf pour celles et ceux dont le regard ne s'est pas détourné et la voix n'est pas devenue volontairement silence, car ils, elles savent que tu es resté le même, même si tu n'as pas ou plus moyens spéculatifs et outils palpables à le démontrer. Et une partie ‘’d'« ELLE »’’, en tant qu’attentions, sensations, attachement, émotions et souhaits, est encore forcément en ‘’toi’’, et ce seul petit nombre, lui a suffi pour continuer à ‘’être’’.
Cela n'est que sa vision à lui et pour lui, car il pense que la politique et la religion, sont de croire à des convictions adoptées par un nombre strictement inférieur à celui pour lequel elles doivent obligatoirement être désignées, afin de les faire adopter par le plus grand nombre possible en tant que nécessité de vérité et de salut, sans pour cela être sûr de la ‘’chose’’ en tant que vertu, à l’instant où elle a été préconisée et exposée, dans ses états épistémologiques, philosophiques, sociologiques, éthiques, ontologiques, et rarement comblée par quelques efficientes valeurs pluridisciplinaires et bienséances pédagogiques, mais assurément pour s’approprier pouvoir, au nom de je ne sais quel monothéisme religieux ou politiques templières assujetties à quelques dévots à incohérences patentes et verbiages affectant les esprits désuets croyant en l’existence de paradigmes hors sol, où le jugement dernier serait de penser que toutes les inconsciences absorbées par l’ordre de l’ignorance seraient absoutes par cette entité religieuse, capable de donner pardon à l’amoralité liée aux consciences dogmatiques du paradoxe entre le diktat du malin et les postures envers la grâce particulière d’hommes et femmes de positions et points de vue à minimal cynique et au pire à valeur usurière particulièrement incompréhensible pour leurs congénères et le monde naturel du Vivant… ; ou les notions de partage, collectivisme et solidarité, envers les plus démunis(es), n’ont plus que l’apparence de fantômes absous par les démons de la prédation, entre possession impérieuse et fétichisme matérialiste non résolu ; dans une danse de Saint Guy actée par imprésarios, réalisateurs, actrices et acteurs se foutant royalement de ce qui peut se passer, hors de leur portée en déni de bienséance physiologique et bienfaisance psychologique ; avec une intellectualisation devenue logo-atomisation en pédagogie formulée aux seules lois du marché, starisation en épicentre d’acculturation défaillante associée à artéfacts de veules néo-scientistes ; et clans mafieux voués à l’inique dogme de Mammon.
[…] INTROSPECTION
L'introspection (du latin « introspectus ») désigne l'activité mentale que l'on peut décrire métaphoriquement comme l'acte de « regarder à l'intérieur » de soi, par une forme d'attention portée à ses propres sensations ou états. Il s'agit en psychologie de la connaissance intérieure que nous avons de nos perceptions, actions, émotions, connaissances, différente en ce sens de celle que pourrait avoir un spectateur extérieur.
Freud définit comme spécifiques du fonctionnement de l‘inconscient les caractères suivants : ignorance de la NEGATION et de la CONTRADICTION ; INDIFFERENCE de la REALITE – l’inconscient est soumis au principe de plaisir (le principe de réalité étant caractéristique du ‘’moi’’) – ; déroulement d’un processus primaire – les investissements des affects sont libres et non liés à des objets déterminés, par opposition au système conscient. S’y greffe le fait que la temporalité de l’inconscient n’est pas celle du déroulement chronologique, mais s’appuie sur les différences d’intensité et sur « l’après-coup » : c’est après coup qu’un évènement passé est saisi comme évènement et chargé de signification…
REPRESENTATION
- PHILOSOPHIE : de re-présenter ; dans la connaissance, forme par laquelle est posée la question de savoir si une IDEE de l’esprit correspond à quelque chose de REEL. Analyser les covalences et concordances entre le SUJET & l’OBJET : i.e. entre l’extériorité et l’intériorité… ; et réciproquement.
- SOCIOLOGIE : processus cognitif permettant à une personne, ou un groupe d’individus d’appréhender le système socio-économico-culturel où il vit. Les représentations d’un individu semblent relativement forger par l’apprentissage et les retransmissions en analogie avec une future perspective de ce qu’est et pourrait être, personnellement ET/OU collectivement ; la REUSSITE…
- DROIT : pouvoir que possède une personne ou un groupe d’individus d’agir au nom et pour le compte d’une autre personne, d’une communauté, comme si le et/ou la représentée était l’auteur(e) de l’acte accompli ou en cours de modélisation. Le pouvoir de représentation peut être d’origine légale (filiation), judiciaire (administrations d’Etat, successions, donations, retransmissions) ou conventionnel. Dans ce dernier cas, il s’agit d’un mandat, qui se traduit le plus souvent par la délivrance d’une procuration, ou pouvoir, mais qui peut aussi être tacite.
- POLITIQUE : principe qui donne à un individu ou à un groupe de droit de parler et d’agir au nom d’autres individus, groupes ou communautés. Il peut arriver que le REPRESENTANT se substitue à ce qu’il représente, ce qui peut être EVITER par différents moyens : le MANDAT REVOCABLE fait du représentant un porte-parole, et par un système parlementaire ; conforme à une véritable séparation des pouvoirs, un membre au service d’une REELLE DEMOCRATIE REPRESENTATIVE.
Quelle est la valeur d’un homme et/ou d’une femme ?
D’une machine… ; humaine ?
D’un enfant ?
D’un actif ?
D’un travail ?
D’un emploi ?
D’un(e) employé(e) ?
D’un utilitarisme social-économique ?
Du poids de l’usure ?
D’une nécessité ?
D’un essentialisme ?
D’une obligation ?
De l’existentialisme ?
D’une servitude ?
Entre matérialisme et dignité ?
Liberté et honorabilité ?
Du besoin ?
Du nécessaire ?
De l’utile ?
Du superflu ?
De la vie ?
De la Nature ?
Du vivant ?
D’une usure temporelle ? Virtuelle ?
Une mécanique particulière ? Universelle ?
De toutes actions ?
Comportements ?
Réactions ?
Mobilités ?
Mouvements ?
Moments ?
Mécanismes cognitifs humains ?
Mécanismes biophysiques ?
Automatisation ?
Robotisation ?
Temporalité ?
L’intelligence artificielle ?
La pensée sur le réel ? Et inversement…
L’imaginaire ?
L’évolution ?
ET, la neutralité ECONOMICO-CULTURA-FINANCIERE ?
Dans un système d’ECHANGES de BIEN(S) & SERVICES MARCHAND ?
Territoriale ? Nationale ? Européenne ? Continentale ? Inter-Mondialiste ?
Je crains fort, malheureusement, que les ‘’portes’’ restantes à ouvrir et autorisant à imaginer quelques meilleures tendances aux lignes de l’horizon terrestre, servis aux aubes des vilénies, ne soient devenues que stratagème en culs-de-sac, mortifères, où les gardiens des lumières sont, devenues ; figurines de papier, en livrées de ventosités et dissidences avec flatulences intellectuelles et, pour les pires ; dialectologie anti-pluridisciplinaire en agitations fractales.
M.A
« Je n’avais plus conscience de cette ville ni de cette ruelle, ni de son nom ni du mien, je sentais seulement que j’étais ici étranger, merveilleusement perdu dans l’inconnu qu’il n’y avait en moi aucune intention, aucune mission ni aucune relation avec cet entourage, et cependant je sentais toute cette vie obscure autour de moi, avec autant de plénitude que le sang qui coulait sous ma peau ; j’éprouvais seulement ce sentiment que rien de ce qui se passait-là n’était fait pour moi, et que cependant, tout m’appartenait, ce béatifique sentiment de vivre la vie la plus profonde et la plus vraie au milieu de choses étrangères, ce sentiment qui fait partie des sources les plus vivaces de mon être intérieur et qui dans l’inconnu, me saisit toujours comme une volupté. »
S Zweig
Le pouvoir n’est pas une donnée tombée du ciel ou sortie des tréfonds de la terre. Il est une volonté de certains hommes et femmes à se croire au-dessus du monde Naturel, aux faits holistiques des vicissitudes de femmes et hommes, ignorants ou non instruits au réel et juste ordre intelligible de la meilleure attention et transmission possibles quant à une existence humainement acceptable au milieu des leurs ; TERRIENS ET TERRIENNES DANS LE MONDE NATUREL DES VIVANTS.
Corpus universaliste n’est en aucune façon, l’abri des éruditions unipersonnelles de l’entre soi, mais le partage du ‘’TOUT’’ !...
Dans la mesure des connaissances actuelles et réels savoirs acquis.
Cela devrait être la première des maximes à acquérir dès le plus jeune âge, après le langage, et bien avant, vouloir à n’importe quel prix humain ou valeur sacrificielle, faire comprendre les potentiels bienfaits ou malfaisances des anciennes écritures ou nouvelles servitudes, de n’importe quel ordre, source, origine, usure, philologie, sémiologie, ou sémantique que sont les émanations textuelles, expressions, desseins d’ici et pensées d’ailleurs… Et inversement. Il n’en est hélas pas souvent le cas, notamment chez ces femmes et hommes de doctrine à peu de considération envers leurs congénères de toutes échelles, socio-culturelles et de tous âges, entre les deux dimensions théologiques et ontologiques que sont celles des : – Cieux et de l’Enfer. Alors que chez les hommes, ce dogmatisme paradoxale n’est en fin de compte, souvent qu’affaires de droit, d’intérêts individuels et de pouvoir entre les possédés(es) et les possédants(es)…
Me semble-t-il ?
Faust pactisa avec le maitre des profondeurs obscures
Machiavel savoura plaisir et sévérité du pouvoir, et ses arcanes
Le marquis de Sade explora le sadomasochisme, et formes extrêmes de soumission et subordination.
Freud cherchât l’esprit du père, de la mère, du fils et de la fille… Et l’aspect charnel de femme et homme.
Descartes considéra l’indifférence comme le plus bas degré de la liberté.
Rousseau eut des enfants sans véritablement leurs apporter éducation essentielle et transmissions utiles ; laissant ces apprentissages à autres considérations… Ce qu’il regretta.
Pascal laissa voguer ses pensées aux grâces de l’austère et la vision attractive de la société libertine.
Einstein précisa que l’homme est une infime partie du tout que nous appelons ‘’Univers’’… Et le jour où la technologie dépassera les capacités humaines, le monde risque alors de voir une génération de parfaits imbéciles.
La Fontaine fut le premier à entrevoir que l’homme est très souvent un animal ridicule, prétentieux et égocentrique, dopé aux pires reliquats de la vénalité, l’accaparement systémique et la soumission au Grand Argentier.
Et tout cela au nom du dieu de la possession au lieu d’un alléluia envers la divinité de la sagesse, où les enfants d’Irène, déesse Grecque de l’équilibre et de la réconciliation, n’auront eût que peu de persuasion à ce que la descendance de Caïn, puisse faire un déni du dogme du père leurs ayant édicté : ‘’L'infernale convoitise pousse les enfants de ‘’Caïn’’ à s'emparer de tout ce qui est à leur portée, et comme si ce n'était pas assez qu'un seul accapare ce qui suffisait à des milliers de ses semblables, il voudrait s'y établir, lui et toute sa couvée pour toute l'éternité’’.
Mais peut-être, comme le stipulait Nietzsche : ‘’Parfois, les gens ne veulent pas entendre la vérité, parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions se détruisent.’’
La dimension cognitive attachée à cette théorie, sont les savoirs et, la connaissance nécessaires au recours à un certain type de représentations collectives, totems, signes, expressions, symboles et statuts pour fonder les institutions, notamment celles attachées à une véritable sociologie permettant à l’humanité, évolution acceptable dans son milieu naturel, sans dégradation intempestive de ses zones de vies, écosystèmes et autres biosystèmes.
Ces interrogations rejoignent celles des esprits libres, quand ils analysent la position d'un pur rationalisme pragmatique, aux termes de laquelle l'utilisation de ces représentations apparaît comme un détour inutile, voire falsifié, où l’application des bases d’avant, est considérée majoritairement sans valeur cognitive intrinsèque, mais juste à être reproduite.
Cette thèse pragmatique se suffit-elle à elle-même?
N’est-ce pas là une forme d’habitude morne adossé à imaginaire asthénique ?
Ou plutôt une forme de pouvoir attaché à l’image de l’inique royaltie élitiste ?
Il y a deux sortes de pouvoirs ;
- 1 : Le pouvoir matériel et physique (conflits armés)
- 2 : Le pouvoir psychologique (conflits des idéaux)
Lorsque le deuxième a atteint la limite de son propre pouvoir lié à la dialectique, la sémantique et la rhétorique, alors le clan, la tribu, la communauté, la secte ou tout autre système à réseau échangiste et par là-même connecté à l’information de cet espace de dialogue intercommunautaire, intergénérationnel, multiculturel et multi-identitaire, exsangue, sera affecté par la seule loi régissant le but d’imposition à la différence ou non-conformité du clan d’en face, une forme de soumission ou de terrorisme intellectuel, permettant de créer une dimension fractale, débouchant dans la plupart des cas, lorsque que les règles du matérialisme et l’opposition géophysique sont réunies, sur guerres et violences physiques entre les belligérants des deux camps, déterminés comme opposition intellectuelle ou territoriale, entre ces deux clans, ou communautés. Et avoir les moyens et outils suffisants et nécessaires à engager le conflit guerrier au rapport des idéaux de la tribu, par son chef élu, que ses prosélytismes soient bons ou néfastes envers ses congénères, et autres, hors de son clan ou sa fratrie, au nom de sa survie ou la postérité de ses lois, règles, dogmes et sa vérité inique…
Et par là-même le zèle du chef de la dynastie et son dévot ne permettent plus l’évolution de quelque clan et communauté, quel qu’il ou elle soit, car ils proclament qu'ils ne déguiseraient jamais leurs sentiments pour quoi que ce fût : que c'était leur créance ; et que lui et tous les siens la défendraient jusqu'à la mort, comme étant la pure doctrine du maître de leurs ‘’cieux’’ ou de leur ‘’enfer’’. Et tout cela car la dialectique entre les échangistes présents dans les différentes communautés et cités n’est plus en mesure de s’accorder à la sémiotique des échanges sincères entre les différents protagonistes de la grande scène des rapports ‘’humains’’… La poésie, la musique, la danse, le romantisme, la culture, l’humour, la dérision et l’espièglerie ne sont plus les extraordinaires accords autorisant la merveilleuse parodie, respectueuse des harmonies personnelles et des jeux duaux…
Soumis à opprobres perfides.
Mais les contraintes des sociétés où nous vivons devenant de plus en plus nombreuses par les degrés et le nombre de décalages existants entre les justes attitudes et sincères aptitudes au rapport de cette réalité consciente, qu'il en devient par voie de conséquence, très difficile d'en entendre ses bonnes voix au nom des justes causes, bonnes raisons et belles devises, parmi toutes les émissions sonores et visuelles qui en édictent toutes les variances bonnes ou mauvaises, émérites ou non, qui avec un peu moins de ces croyances, souvent nécessaires, mais parfois excessives, en cette incertaine conviction monothéiste compulsive, constituante de l’accumulation de richesses matérielles au nom de Mammon, par déni d'autres, pourraient peut-être, par meilleure vision, et juste écoute du bon sens de la ‘’Vie’’, nous permettre de se rapprocher de son extraordinaire beauté, et de s'éloigner de certains lieux, où il ne fait plus bon vivre, par nombre exponentiellement devenu trop grand, pour juste pouvoir y survivre, et dont les différentes unités, se tourneront invariablement, vers des croyances, encore plus irréelles, divulguées par les voix de cette irréalité intouchable, qu'ils n'arrivent plus à considérer comme touchante en son réel bien être, car le nombre de groupes ayant eu accès en la fausse croyance du réel bien avoir, possèdent maintenant la propriété d'accéder en cette ultime croyance du bien être absolu par le bien avoir tout. Ce qui est d'une totale ineptie, car le seul maître du jeu est, le Temps qui est le plus sûr et meilleur allié de la vie, qui par beau temps devient resplendissante, avec cette petite certitude, que tout essentiel à une vie n’a pas propriété à être considérée et approchée par moins d’une réalité touchable. Tout simplement car moins (-) d’une vie n’a aucune définition physiquement réelle, en ou hors de son lieu d’existence biophysique naturel...
Or si la politique à la vertu de penser qu'elle peut apporter le bien-être général, en ses lieux de compétences et la religion la vertu de croire en l'être-bien en ses lieux de savoirs théologiques, il n'y a jamais eu de preuves réellement durables, sauf peut-être dans notre mémoire ancestrale en son lieu d’incompétences, le subconscient. Mais continuons à croire à ce que nous pensons être le bien en autres, afin de le faire adopter par le plus grand nombre, et cela n'est ni politique, ni religion, c'est juste le bon sens du beau, du bien et du bleu de la merveilleuse force de la vie.
Certains hommes et femmes possesseurs de cette vertu, ont réussi à la diffuser sans contraintes, tout au long de l'histoire existante depuis la naissance de la Vie consciente, et, certains et certaines continuent encore aujourd'hui, me semble-t-il, malgré les difficultés grandissantes attachées à l’incompréhension et à l’inattention de certains Êtres, envers Elle et le monde naturel dans l’espace-temps des Sûrs-Vivants.
Je crois en cela, d'ailleurs une de mes filles m'a dit une fois que j'avais des gros yeux, des grandes oreilles, et une bouche que j'utilisais parfois pour émettre des invectives bizarres dont leurs propriétés étaient de ressembler à des noms d’oiseaux, d’animaux ou d’insectes… Déjà émis de bien meilleure façon en d’extraordinaires proses, par la verve de ce cher Jean de La Fontaine…
Je vois donc aujourd'hui, le surnom dont elles ont dû m'affubler.
Ce doit être de l'ordre de: ‘’NOTRE PÈRE TEST FOU’’ ;
‘’PÈRE FOUTEST’’, ou encore peut-être : ‘’PAPA NOTRE BIEN FOU’’…
J'aime bien la dernière.
‘’L'obligation cesse d'être une contrainte quand les valeurs illustrées par les mœurs, us et coutumes prennent le visage de quelqu'un et sont portées par l'élan de nos désirs ou convictions. Alors la contrainte devient appel’’.
Bon, d'accord, il peut être considéré, comme partie de vérité les louanges de certaines valeurs, règles et lois propres à ce système sociétal... Majoritairement dans et par certaines de leurs compositions douées d’attention humaniste; mais beaucoup moins dans leurs représentations, applications et utilisations, parfois tordues ou floutées par de mauvaises intendances corporatistes et néfastes esprits, envers autres de leurs congénères… Certes, il mentirait s'il disait ne pas avoir obtenu quelques bienfaits et satisfactions par certains échanges et circonvolutions, à une époque antérieure, mais cette jolie maîtresse, encore elle, lui a, à un certain moment indiqué un autre chemin qui n'est plus tout à fait celui en lequel il avait crû des années durant, et cette ancienne croyance s'efface doucement au profit de la nouvelle, avec laquelle, il se trouve en meilleure osmose.
Il a connu la joie, les plaisirs, la tristesse et toutes ses émotions nées des impacts du conscient sur notre corps. Sa conscience à analyser ces percussions, et a fait ce qu'il est aujourd'hui, et jusqu'à plus. Cette conscience essaie pourtant bien en priorité de garder précieusement le beau, le bleu et le bon sens du vent présent chez son potentiel ‘’allié’’, l'inconscient. Mais cette conscience ne connaît pas trop la direction du vent chez son ‘’meilleur ennemi’’. Elle a donc quelques difficultés à trouver le bon sens du vent, en essayant de percevoir et ressentir, puis jongler avec les courants ascendants et descendants. Alors, elle veut bien croire à cela, temps qu'elle ne considère pas les contraintes infligées à ce corps qui l'héberge ou autres proches comme atteintes graves à ce corps ou autres, à la vie, à sa nature ou à son ordre des choses, car dans ce cas- là, elle pourrait envisager de faire subir à ce corps ou autres en réponse, des contraintes telles qu'elle serait, à l'extrême, capable d'organiser des actes de destruction vis-à-vis de ce corps et autres.
Dans ces cas extrêmes, cette conscience commettrait une grave erreur de direction, car dans ce ‘’conscient’’ là, son vrai et réel territoire, même la destruction effectuée, cette conscience sera analysée, jugée par toutes les consciences individuelles, et elle restera dans les consciences proches, peut-être dans la conscience ordinaire ou plus, dans la mémoire collective, voire dans la mémoire ancestrale, en tant que notions de vrai, faux, bien ou mal adoptées par le nombre le plus grand de ces consciences individuelles ou déraison par le nombre restant.
Et la réponse de certaines de ces consciences actives, sera majoritairement empreinte de ces notions considérées par elles comme vraies ou fausses, en fonction de la notion du bien ou du mal née de leur propre perception en l'analyse du degré d'équilibre entre ces échelons les plus haut et les plus bas, au rapport de toutes ces notions appréhendées, sans certitudes absolues, mais avec toutes leurs convictions bonnes ou mauvaises, qui leurs ont été inculquées par les croyances d'avant et les leurs, en tant que projections d'une possible meilleure réalité future, par oubli que l'existence ne peut juste être celle de maintenant, poussée doucement par le bon sens des espaces touchants de ‘’plus loin’’ et assurément proche de la belle vie et du bon temps dans la zone sociologique ou contrée géographique naturelle…
Alors oui, cette conscience fera toujours de son mieux pour combattre les contraintes qu’elle considère comme insupportables par ce corps qui l'héberge, et celles liées à sa propre condition, qui consiste en fonction de ses connaissances acquises, à déchiffrer les codes de sa propre dimension, ceux de sa matrice et de son environnement, afin d'appréhender les prémices de la compréhension pour espérer connaître la réponse, quitte parfois, par, non acceptation et refus, à s'en faire déposséder de la dernière partie du bon sens ‘’d'elle’’, par temps mauvais...
Lysiane, te souviendras-tu du temps des discernements, ceux qui n’ont de révolutionnaire que les instances attachées à la sauvegarde des mots notés à la clairvoyance des vents tourbillonnants aux murmures des vagues ondes captivantes… ; éloignées des mornes idolâtres ???
LE MOT DE PASSE
Et je m’en veux de ne pas avoir su trouver le mot de passe qui t’aurait permis de trouver la clé.
Alors maintenant s’il te plait, fais-moi l’amitié, comme moi, de garder graver dans les lignes de nos mains, ma liberté contre la tienne.
Quand je t’oublie, ce que j’entends de nous, c’est juste de compter jusqu’à toi, et s’il fallait le faire, ce serait juste pour que je puisse croire que je me souviens de rien, afin d’oublier que je n’ai su te dire le mot de passe. J’ai tout quitté pour toi, et quand j’ai peur de tout, cet amour, je le garde pour toi, dans ma chair afin que tu trouves où sont les hommes de cœur. Ces hommes qui passent, qui te font entrer dans la lumière, une dernière semaine à New York, et souvent repartent sans toi.
Aujourd’hui, je sais, lorsque tu entends murmurer : ‘’Il me dit que je suis belle’’, tu crois que les chansons commencent, mais la chanson simple, cette merveilleuse chanson simple, tu voudras la connaître, afin d’aimer faire l’amour devant la mer.
Si tu rêves encore comme une fille de l’Est, je ne m’en voudrai jamais de ne pas avoir trouvé, dans l’ombre de ma voix, le mot de passe, afin que rien ne s’arrête, pour juste imaginer, comme celles et ceux qui n’ont rien, pouvoir à nouveau murmurer cet extraordinaire mot de passe.
TEMPS DE MOTS PERDUS
Qu’il en soit plus qu’il en est de nos raisonnements qui n’eussent d’autres horizons que ceux de nos romances particulières en oubliant que chaque histoire singulière n’autorise en aucune manière de fustiger tout à chacun à propos de chacune ; et réciproquement, dans leurs propres désirs de refuser un démiurge insincère qui n’aurait pas ses fondements dans les lois d’un combat vif dicté par les pensées qui n’ont de vérité qu’à se rencontrer en celles d’observances éveillées ; plutôt qu’en nos rêves tournant trop souvent aux cauchemars entre possédants(es) & possédés(es).
Nous ne sommes pas tant parfaits et satisfaits par ce qu’il en devrait sortir de nos échanges composés en égal attachement envers ces ‘’choses de la vie’’ qui ne puissent contenter nos propres expressions de la liberté en défaut d’attentions véhiculées par précieux et suffisants(es) pour ce qu’il en retourne des différences de compositions entre les dissonances en dimensions touchables et celles de l’espace sensiblement touchant.
Il n’est de plus imprévisible plume que celle si piquante qu’elle en est dans le paradoxe d’une dureté si tranchante dressée sur ses lignes que d’une souplesse surprenante bordée à composition prévenante et, ainsi ; versée aux courbures des mots engagés. Les feuilles piquées aux sensibilités textuelles des nuits glaçantes s’opposent à potron-minet en effusion de pensées matinales se chauffant aux lueurs des horizons fiers, sans orgueil.
Vaillance aux abords des adjectifs colorés ; le complément circonstanciel en usage restreint n’y trouvait pas toujours places voyageuses postées aux débordements des fontaines à souhaits. Tiraillé entre une position, là… ; bercée aux analogues d’antécédents sans protection, l’humble sollicitude de caractères se fond dans les tourments des occurrences malmenées aux vergues soufflées sous tisons frissons.
En retour de participes passés, l’expression interrogative des rencontres insoupçonnées surveille un futur anticipant l’incertitude des non-dits cachés sous les voiles des mots sans son. L’impression languissante sous verbes taxés aux prémices d’ouvertures soupçonneuses s’immisce aux émissions des volcans chauffés à blanc. Aux abords du cratère les gardiens d’éruption surveillent les assises voyeuses compromises par l’article tant souhaité, sous les silences des contre-verses ardentes.
Que les teintes du désir sous-jacent s’immolent aux jets brûlants des anamorphoses pointées aux exigences consentantes que de cette plume n’y affleure plus les chatoyantes colorations du temps des encres violines s’octroyant tempérances entre les notes bleues des harmonies voluptueuses et les accords rouge vermeils de la passion débarrassée des habits de convenances…
J’estimais fort la contre-mesure des mots… ; étais amoureux de l’essaimage poétique et pensais que ces deux compositions pouvaient être bien utiles à la compréhension de toutes ces choses du monde, tant dans leur dimension touchable qu’en celles sensiblement touchantes ; proches de ma zone de quiétude ou un peu plus éloignées de ma lucarne des discernements…
LES MESSAGERS DE LA PLUIE
De la nuit sans contour,
A qui veut s’en détourner,
N’y apposera que le songe sans suite…
Au réveil tiraillé, la lumière absorbe l’imaginaire
Certitude défaillante m’élèvera, jusqu’à la fin du jour
Les traits de pluie discontinus publient à ma fenêtre,
Plus loin sur les courbes de l’horizon vallonné,
Poussées par les vents tourbillonnant
Les gouttes cristallines affectionnent nature et pensées
Elles bichonnent pousses nerveuses et peupliers sagaces,
Ambitionnent entrevue avec les chênes centenaires
Et sur les champs, elles valsent avec les couleurs de l’azur
Les nuages soulagés ont répandu le message de la vie
Peintres et poètes y dessineront les symboles de ses lignes,
Sur quelques feuilles en attentes de vers et desseins
Afin que les monarques, déploient leurs ailes…
Et sous couvert de couleurs noires et orangées,
Accompagnés par le son des albatros,
En d’autres contrées, contre vents et marrées
Portent aux yeux du temps, les larmes des messagers…
Michel Asti
Date de dernière mise à jour : 05/07/2019
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