L'ARNAQUEUR - DAS DEUTSCH ORDOLIBERALISME ET LE MAC-A-ON
LE PÔLE DES-ASTRES
Le nouveau clergé technocratique néolibéral ne cesse d’en appeler à la moralisation (!!) des rapports socio-économiques. Il initie stupidement des instances “indépendantes” de régulation dont l’image médiatique est inversement proportionnelle à leur impuissance d’intervention, enfin, mettent de temps en temps au pilori quelques brebis galeuses, de basse baronnie si possible (l’affaire Kerviel en est une caricature), dans l’irréalisme économico-financier. Les banques, n’ont-elles pas engrangée d’énormes, voire indécents bénéfices, même après la crise de 2008… ?
La plus grande panique étant quand, dans le système démocratique, le peuple, nécessairement ignorant et irresponsable, devient souverain et fait supprimer définitivement, par la loi et la réglementation, la liberté seigneuriale… P.J
Envoutés par l’image, les électeurs votent en fonction des sentiments que leurs inspirent les candidats. Ils votent pour le slogan, le sourire, la sincérité présumée, le charme ainsi que le récit de vie du prétendant, rédigé avec le plus grand soin. Tout est dans le style, dans le scénario, rien dans le contenu, dans les faits. Les politiciens ont saisi que, pour obtenir des votes, ils doivent reproduire cette fausse identité avec le public que savent si bien créer les célébrités de tout acabit. C.E
Si l’ADDICTO-MORPHISME, béat, peut amener un bénéfice, techno-centrique, dans un futur en népotisme de suffisants(es), précieux (ses), opportunistes et cyniques … L’OBSERVATION de l’agitation incohérente en a un immédiat : ‘’Celui de ne pas sombrer dans l’abstraction du syncrétisme en ruissellements d’une usure de façadiers’’.
L’ORDO-LIBERALISME :
http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/politiques-particulieres/l-ordo-liberalisme.html
ET APRES LE GRAND DEBAT
ECONOMIE - POLITIQUE et NEUTRALITE
EXCLUS(ES) AVANT L'HEURE...
ECRIRE POUR NE PAS SOMBRER
MISSIVES AUX MAIRES
L’INOPERANT MOMENT DE LA REFLEXION, OU L’EXEGESE EUROPEENNE
ORS - CHAIRES & POMPES
LE VRAI, LE FAUX & L'ACCEPTABLE
ASSEMBLEE & AMPHITRYONS
PROGRESSISME A LA FRANCAISE
RONDS DE JAMBE EN TERRE DE SALONS
LA REFLEXION ET LA COURTISANERIE DE CAVES
MISSIVE AUX DAVOSIENS
DES ENERGIES, DES HOMMES ET L'OR NOIR
L'ORDO-LIBERALISME
L'EURO ou la théorie de Truffin
BOURGEOIS, CITOYENS(NES) ET BIEN COMMUN
ENTRE LA MALADIE DU BLE JAUNE ET LE VIRUS DU SARRAZIN
MOLITIQUES PARTICULIERES : http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/politiques-particulieres/
Mais revenons à nos moutons, et croyez-moi, depuis plus de 6 années, en tant qu’inscrit au Pôle des Astres, et donc, à partir de 2013, période de grand chambardement social-économique, j’en ai côtoyé d’autres pendant ma recherche d’emploi, et je vous assure, certains étaient des moutons à cinq pattes, souscrivant allègrement au bal des dindes et des dindons. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai plus tard, si vous le souhaitez, ou peut-être déjà contée en d’autres écrits… Sur supports papier, numériques, blogs et réseaux sociaux…
Celle d’aujourd’hui (texte écrit le 1er semestre 2015) est plutôt invectivée par quelques concepts entendus et émis par des ’’entités’’ participantes d’émissions politiques, que j’ai le temps de regarder grâce à mon ’’inactivité’’, par laquelle, vous Politiciens et experts en psychologie humaine envisagerez certainement de la caricaturer, en le ‘’désintéressement’’ d’un sans travail pour toutes connaissances en dehors de sa ‘’petite personne’’ obligatoirement sujette à démotivations suffisantes pour ignorer quelques bonnes lectures, autres documentaires scientifiques, analyses chronologiques, sociologiques et historiques, documentaires culturels et animaliers, m’autorisant à percevoir par ces visions de meilleurs comportements en d’autres lieux, et enfin, en mon souhait d’écrire quelques statuts, et expressions sur mes réseaux sociaux, blogs, ainsi qu’autres échanges textuels, ailleurs… Même si actuellement cette activité exercée ne m’assure pas encore des conditions de vie dignes et honorables, où la petite reconnaissance qu’il me reste, dans ce système en arguties de minimums sociaux et solidarité nationale ; est le RSA avant les œuvres caritatives.
Et également, grâce à la présence de quelques ’’proches’’ et gens de bien(s), avec ou sans ‘’s’’, me permettant d’être, pour l’instant juste en colère contre un ’’système établi’’ destitué de ses belles valeurs, par d’autres qui n’en n’ont plus, et envers lesquels(les), j’ai quelques amertumes, voire plus… Car lorsque j’entends ces personnages politiques dirent, dès le matin, dans certaines émissions dont j’aime bien la plausible liberté d’expression de quelques journalistes attachés à la pluridisciplinarité des ‘’sujets’’, me paraissant proche de l‘idée que je me fais d‘une certaine forme ‘’d‘humanisme‘’ à potentiel sociologiquement équilibré, qu’il faudrait faire exécuter des travaux d’intérêt général aux bénéficiaires du RSA ; cela me procure un sentiment de dégoût et de nausée envers ces gens de la gestion sociale-économique, qui ne connaissent rien quant aux fonctionnements de ‘’ses pôles’’, pour les simples raisons que la recherche d’emploi demande déjà une activité aujourd’hui nécessaire, suffisante et indispensable à fin d’en trouver une rémunérée, au juste prix… Et n’oubliez surtout pas, qu’en tant qu‘ex-travailleur j‘ai nécessairement cotisé pour prétendre bénéficier à minimum social le temps de revenir dans le monde des emplois, aux mêmes titres qu’autres catégories y ayant participé par un ’’temps’’ de travail plus long, établi tel celui comptabilisé avant la mise en retraite…De plus, en parallèle à mon activité de recherche d’un emploi rémunéré, j’exerce cette autre mobilisation, séide à l’écriture commencée depuis plus de « six ans » ; sans affectation d’une quelconque rétribution financière, ni même un petit indice positif honnête, m’autorisant à croire à une certaine forme de ‘’synchronicité’’ éditorialiste.
Et ensuite, il me semble malheureusement, aux vues de l’existence de certains comportements nuisibles au ‘’bien-être‘’ du plus grand nombre de vos congénères, qu’en mettant en ’’scène’’ un tel concept de dévalorisation envers certains affairements, quelques administrations, sociétés ou autres organismes peu scrupuleux risquent d’utiliser, pour intérêts personnels de néfastes pragmatismes, cette main d’œuvre intellectuellement ‘’captive’’ à un coût au rapport de la ’’tâche effectuée’’, encore inférieur à celui donner aux stagiaires, employés à zéro heure (pas encore présents chez nous), ou autres possibles travailleurs dont la migration est majoritairement souhaitée par eux, pour le plus ailleurs au nom du moins bien d‘où ils, elles viennent.
Ces concepts vous sont évidemment étrangers, sauf lorsque vous réussissez à délocaliser pour uniques raisons de coûts inférieurs, ou en certains pays européens, réussir à mettre en législation des contrats à 1€ de l’heure, ce qui n’aura à terme que pour effets de faire baisser mécaniquement le salaire minimum, établi lui aussi démocratiquement, où sans être fermé aux justes échanges internationaux, il me semble que cette application est encore une formalisation de la soustraction des savoirs faire et activités rémunératrices par annexions économico-asociales douteuses et coûteuses. Mais cela n’handicape assurément pas vos néfastes états d’âmes, afin que vous ne puissiez commencer à entrevoir certains dysfonctionnements économiques et sociétaux, commerciaux et géopolitiques par déclassements sociaux-professionnels. Dont leurs empreintes ont maintenant des incidences mondiales, avec une échelle de valeurs quelque peu tordue et déstabilisée par les mauvais exerçants, autres TAFTA, CETA, MERCOSOUR, et contrats commerciaux destructeurs, ou alors, ces concepteurs de l’économie asociale, sorciers de l’économie, et autres génies de la finance, après avoir, depuis environ 40 ans, créé l’esclavage social veulent peut-être fournir aux habitants de la planète CHÔME un uniforme spécifique afin de mieux identifier ses adhérents(es) avec le risque que les mauvais passent inaperçus, tels ceux qui dans votre ‘’joli monde’’ de la belle politique économico-financière impérieuse détournent les outils nécessaires et indispensables à la vraie et réelle sociale-économie, En les postant en différents paradigmes gérés par d’ignobles usuriers et usurières…
Réfléchissez-y, si vous en êtes encore capables ?
Cela vous permettrait de percevoir la vilaine réalité quotidienne présente près d’autre que vous ; mais assurément encore peu encline à laisser croire que cette ghettoïsation socio-culturelle éloignée de vos soucis d’intendance administrative et de gestion monétaire n’en serait en aucune façon pression usurière, envers les classes laborieuses, emplois utiles, travail précaire et actions ubérisées !
Ou alors êtes-vous obnubilés par d’autres centres d’intérêts ?...
Moins prosaïques et prolifiques ???
Pour l’ensemble (E), des machines humaines… ?
A tort, me semble-t-il. Politiques de tous bords, regardez un peu plus, celles et ceux insuffisamment proches de votre inacceptable démagogie. Ou alors considérez-vous les petites gens comme sots aveugles et sourds, fainéants et illettrés(es) dotés d’incapacité de réflexion ?
Ah la là, politiciens, gouvernances, administrateurs, gestionnaires et autres pouvoirs de tous bords, veuillez émettre quelques meilleures formes de considération envers celles et ceux insuffisamment proches de votre inacceptable démagogie. Ou alors, vous prenez les gens comme moi, pour des ‘’sots’’ dotés d’incapacité de réflexion et analyses, envers vos comportements dénués d’attentions, hors de votre nombril ?
Avec pour particularité, en celle que les sociétés modernes ne soient régulées que par seul pouvoir du commerce effréné désolidarisé de toute analyse sociologique et règles d’échanges communautaires acceptables. N’oubliez surtout pas, ils elles sont aujourd’hui en France, plus de 9 millions, vivant avec moins de 1 000 € par mois, et ce nombre augmente invariablement. Essayez de trouver rapidement des solutions viables, car, le chaos risque malheureusement d’apparaitre sous quelques formes peu propices à maintenir la cohésion sociale. Si vous continuez sur cette voie, je me demande bien, une fois que vous aurez trouvé et utilisé tous les concepts et autres algorithmes économiques et langages politiciens nécessaires à donner la plus petite valeur ajoutée aux meilleurs et justes savoirs faire, et à toutes vies au nom de vos seuls intérêts et autres égocentrismes, vous irez en trouver des suffisamment serviles et malléables, où ?
Sur une autre planète… ?
Celle de la sphère politico-financière impérieuse ?
Et princes consorts… ???
Celles et ceux s’accommodant de moins que le seuil de pauvreté, fixé en France à 890 €, les sans-emploi, les précaires, les mères célibataires, les 3,4 millions de mal logés, les déchus(es), les 6 millions de chômeurs, les sans électricité, les ‘’sans dents’’, les sans horizon, les ‘’riens’’, les exclus(es) de l’accès à l’éducation, aux apprentissages, aux études par une scolarisation inadaptée aux changements de la société ; notamment par la vision de ce que seront dans quelques années les notions combinées du travail, de l’emploi, de la durée et la rémunération des activités ‘’humaines’’ dédiées à la création, la production, la réalisation, l’échange, la vente, la distribution et la transformation de tout ‘’objet’’ matériel par les bons savoirs faire, justes savoirs être et l’évanescence culturelle, dans la société de bien(s) et services marchande… Française
Bien sûr que non, vous n’en avez assurément pas tous, possibilité pour l’instant et vous serez certainement mort avant!
Comme moi d’ailleurs, à la seule différence, que je m’inquiète pour les générations arrivantes ! J’espère qu’elles trouveront les bonnes solutions nécessaires à leurs belles évolutions civilisationnelles… ‘’Humanisantes’’ ; et respectueuses du monde minéral, végétal et organique…
Bordel de merde, c’est pourtant facile de percevoir le Monde Naturel des ‘’êtres vivants’’ sur Terre… Malheureusement, j’ai la triste impression, que : « Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que celui du désespoir… De la rancœur, et de l’indifférente violence… Psychologique… Où celle physique risque parfois malheureusement d’apparaître. « Car cet homme des lointains, c’est un animal semblable aux autres animaux » Il mange, boit, dort. La sélection naturelle l’a fait robuste, agile, il ignore la maladie et n’a même pas conscience de son existence dans son milieu. Car si cet être a, des sens d’une extrême acuité, il ne pense pas’’. Rousseau, qui contredit ainsi ceux qui attribuaient à l’homme originel la supériorité d’une raison toute formée, ajoute ceci qui indigne ses contemporains :
‘’J’ose presque assurer que l’état de réflexion est contre nature et l’homme qui médite, hors analyse sensible et objective est un animal dépravé’’. Dépravé… ? C’est-à-dire dénaturé, en rupture avec l’état naturel, qui ne suppose pas la faculté de penser… ; le juste, l’équitable et le sensé… Enlever à l’homme sa mémoire. Il n’aura plus haine, ni amour. Il restera juste ce mammifère prédateur, que les esprits doués d’intelligence sensible, pourront peut-être comprendre… Où parfois, trop d’inutiles bigoteries, inhibent l’esprit logique et ne permettent plus d’entrevoir cette extraordinaire capacité d’être simplement humain dans le Monde Naturel Vivant »
Mais tous ces concepts déjà effectués par votre foi tordue et néfaste esprit, ont été établi sans avoir eu une simple petite pensée pour celles et ceux ‘’d’après’’, et quelques meilleures attentions envers certains et certaines du ‘’moment’’, habitant le même pays… Sauf à accumuler les biens matériels par une possessivité telle que la potentielle équité entre les hommes n’est pratiquement que guerrière, et pour les femmes sensiblement inexistante, dans et par votre mauvaise parodie discordante entre les sciences et les arts. Au même titre d’avoir complètement oublié les autres ’’vivants’’ en d’autres contrées, dont vous en appréciez, comme aux temps des colonies, j’en suis sûr, certaines de leurs compétences, ’’objets’’ réalisés, ou énergies, essences, ‘’sujets’’, minéraux cristallins, beaux fruits, douces textures, teintes bigarrées et autres contingences satisfaisantes ?
Auxquels(les) vous aimez en donné la plus faible valeur… Fiduciaire… Bandes de prédateurs incultes… Et par ce don envers votre ‘’race’’, il vous est même possible, pour des raisons diplomatiques obscures, de vous associer à de néfastes dogmatismes, assez éloignés du véritable humanisme et de la déontologie ‘’commerciale’’ dans et par le système d’échanges de bien(s) et de services…?
J’espère n’avoir rien dit de faux…?
A moins que le déterminant ‘’race’’, soit dans votre esprit, différent de l’ordre des ‘’humains’’… ???
J’écris ces mots, non pour vous, car vous êtes des malades mentaux, des Méphistophélès, des opportunistes de position ou des inconscients, mais pour tous ces ’’petites et petits devenirs‘’ qui ne peuvent encore peindre leurs lieux de vie de la couleur d‘un arc en ciel, dont une grosse partie prend chaque année le chemin de la retransmission des connaissances par les savoirs retransmis dans les écoles, collèges, lycées, universités, ainsi qu’autres enseignements fraternels, justes instructions et apprentissages professionnels ‘’sectoriels’’… ; etc… Autorisant évolution interrelationnelle ; bonifiée ???
Où ma sensation concernant la politique pédagogique et collégiale envers ce milieu éducatif, est quelque peu assombrie par certaines inadéquations dans et par la retransmission des savoirs universels nécessaires à tous les justes et salutaires apprentissages, où les réels, utiles et essentielles éruditions philosophiques, ontologiques compréhensibles par la langue de Molière sont pourtant indispensables à l’organisation de quelques espace-temps plus lumineux ; accompagnés par quelques signes mathématiques et autres fonctions utiles et essentielles à l’élargissement de la symbolique sociologique des sciences de la physique, des arts, de la nature, du vivant et toutes leurs énergies, dont les ministères de l’éducation successifs n’ont qu’en rare objectivité réussi à axer les plannings éducatifs des bonnes connaissances et justes savoirs, sur le meilleur chemin des écoliers… Et depuis longtemps vectorisés par une compétition primaire dégénérative absorbée par des lots anti pluridisciplinaires.
Et tout cela au détriment de nombreux et nombreuses petites et petits apprentis(es) dont les quelques bases fraternelles et justes échanges nécessaires à la société de bien(s) et services, ainsi qu’à la dimension touchante de l’être ‘’humanoïde’’ ont été majoritairement dévoyées ou tout du moins mal appréciées dans et par leurs singulières valeurs ajoutées humainement acceptables et prolifiques ?
Au profit du maximum de l’indicible espace ‘’matérialiste touchable’’… ? ACCAPARATIF… ???
Mais pour moi cette époque est terminée, et malgré certaines difficultés de la vie, comme beaucoup trop d’autres me semble-t-il, j’ai toujours réussi à ouvrir les portes m’autorisant à emmener mes ’’petites devenirs’’ jusqu’au moment où elles ont réussi à voler vers des espaces un peu plus loin que le mien. Et même si aujourd’hui je suis chômeur de longue durée, la vie m’a encore apporté par cette petite rente nourricière minimale en le RSA, insuffisante à envisager meilleures zones de confort, et également, grâce à l’aide apportée par quelques proches, l’essentiel à disposer d’au moins un toit, à manger, réflexions… ; et le nécessaire pour exercer cette activité consistant à poser mes quelques pensées sur ce support numérique que ‘’vous’’, gens de mauvaises pratiques, décisions déraisonnables, et pouvoirs détournés, ne visualiserez certainement pas ou tout du moins ne lirez jusqu‘au bout, les mots de ce sans-travail, ainsi qu’autres de ses expressions posées sur quelques supports papier, non encore diffusés, pour des raisons que je perçois aisément dans le milieu médiatique du livre papier ou numérique français, et ressemblantes par certains points à celles existantes en d’autres ’’sphères‘’, dont le ‘’pôle’’ essentiel en est l’activité d’organiser l’asociale économie, et la division par de grandes théories dont leurs représentants(es) politiques, experts en toutes matières et autres gestionnaires n’en comprennent même plus les inopérantes distorsions énergétiques, sociologiques, mobilisations, attractions, démotivations, déprogrammations philosophiques et ontologiques engendrées, sauf en certaines de leurs ’’parties’’, atteintes de soubresauts boursiers et financiers, qu’ils ne peuvent, en ces temps d’informations mondialisées, dissimuler, et maintenant trop énormes et trop visibles, où dans cette asymptomatique agitation, l’indice des sans bourses conséquentes, est irrémédiablement celui, de les vouloir aussi grosses que celles de la sphère financière, tout en ayant omis la meilleure chorégraphie hors de cette scène mégalo-tragique.
Et par égocentrisme démesuré, vouloir à tout prix qu’il reste d’eux quelques lignes inscrites dans la chronologie historique, devenue celle de l’obscure starisation logo-médiatique très éloignée des temps immémoriaux des lumières… Ils, elles n’ont, dans cette course à la reconnaissance nombriliste, absolument pas perçu la vectorisation dans et par la rapidité de l’information numérique dont la recherche, l’accessibilité et la visualisation en sont facilités pour toutes et tous sur les réseaux du Net, autorisant la perception d’autres connaissances, où certaines entités ont des savoirs universels, loin de pouvoir être considérés comme insignifiants, avec pour vecteur disqualifiant, celui du nombre encore insuffisant d’unités percevant librement les asthénies, incongruités politiciennes, incompétences sociales économiques, vilains comportements culturels et égarements spirituels… Et surtout ne pas avoir encore le degré de pouvoir suffisant à contrer les néfastes et inéquitables lois et règles débiles perceptibles dans et par les incohérences politiciennes, gouvernementales, sénatoriales, parlementaires, didactiques, inter-partisanes et sottes covalences particulières engendrées depuis plus de 40 ans… Et depuis plusieurs siècles par une vanité scolastique en trainée de poudre interculturelle, ethnique et intercommunautaire, digne de la pire servitude…
Michel Asti
« S’il est librement choisi, tout métier devient source de joies particulières, en tant (temps) qu’il permet de tirer profit de penchants affectifs et d’énergies instinctives » Sigmund Freud
TEMPS DE PÔLES DES-ASTRES
Soyez prévenus, jeunes et vieillards,
Les portes se ferment sous édiction sans convictions,
Vous ne pourrez même plus tirez à la courte paille,
Entourloupes idéalistes, tares des divisions mondialistes,
Ghettoïsation, catégorisation, le processus est entamé,
Actions avisées, ils auront, sans douleur, votre peau.
Combats parisiens, aux pôles de l’abscons débat,
Le marchand de capital frappera, encore,
Préparez vos homards et belles en cuisses,
Et vous, joyeux ahuris(es), sortez vos mouchoirs.
Les têtes de culs ne vous jetteront pas de bouées,
Leurs mémoires sont tombés sous langues mortes.
Pour prendre parti, rugissez derrière vos pupitres rasibus,
Le soir venu, rendez hommage, à la matière tricolore,
Celle que seuls vous, en traquenard, pouvez absorber,
Ne comptez, bien sûr, pas les raisins de la colère,
Débattez des travaux en cours, au soir tombé,
Entre deux blagues sur les riens et les fainéants,
Après avoir rendu hommage à la raison d’Etat,
Et au matin, allez faire, marchés, pour glanez sourire.
Vous êtes à la ramasse, de la tête aux pieds.
Spectateurs vous reveniez de la grande revue,
Par le tunnel blafard du grand métropolitain,
Dans vos banlieues, hors de la seconde couronne,
C’est là que vous descendez, naufragés des transports,
Station de reproduction fournie aux lis des étants moribonds,
Tels des animaux auxquels on ouvre sur arrière-cour sans vue.
A la fenêtre du XVIème, le bourgeois vous souhaite bonne nuit,
Sa bourgeoise vient de recevoir son coup du mois,
Ils ne pensent pas aux compagnons des mauvais jours,
Les phoques, les ours blancs, la crucifixion animale,
Après cette soirée où personne ne s’est reconnu,
Ils s’en foutent, l’adversaire doit périr, nu et sans tristesse.
Les rondpoints, pour eux, ce n’est pas assez carré,
Les vertes prairies, à être tondues sans discernements,
La méticuleuse abeille, le papillon ; ça sert, à rien et c’est con,
Le paysan qui pense à la saison prochaine,
L’agronome qui ne sait plus quelles graines planter,
L’essentiel, est que l’élitisme souverain puisse bouffer sans retenue.
Pas mieux, de l’autre côté du Rhin, chez le cousin germain,
Plus grandes les bâtisses à viande pour les panses allemandes,
Bœufs et cochons parqués, ils ne bougent pas de trop,
Les produits frelatés, d’Est en Ouest, eux…, et ben, ils voyagent.
Tandis que la peau de vache, continue de trembler,
La grande monnayeuse, invitée à la mascarade des mac-à-on,
Et l’idiot commercial international à glousser comme un dindon jaune.
M.A – LE RSA-YSTE : http://mickael-montest.e-monsite.com/
Date de dernière mise à jour : 31/08/2019
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