DES ENERGIES ET DES HOMMES
DES ENERGIES & DES HOMMES
(Texte écrit le premier trimestre 2016)
En ces temps de troubles sociaux et de starisation médiatico-politique, j’ai malheureusement quelques inquiétudes quant au pouvoir des ‘’élites’’ de la société française, voire européenne à réussir à pondérer leur égocentrisme et narcissisme, afin de proposer une meilleure forme législative du travail et de l’emploi, en phase avec certains changements sociétaux et économiques se profilant aux horizons de la République Démocratique à réelles obédiences laïques… Dans le cadre des droits de l’homme, de la femme et de l’enfant. Où les attaques envers le respect du monde naturel du et des vivants sont malheureusement vérifiables aux quatre points cardinaux de cette extraordinaire sphère bleue et verte nommée : TERRE.
Aujourd’hui, comme avant d’ailleurs, on nous parle d’investissements… Et je suis d’accord qu’il en faut. Mais lorsque je vois TOTAL, (première société du CAC40 en France), investir 12 milliards d’euros dans le pétrole de ‘’boues’’ au Nord du Canada… Et l’on sait pourtant, par analyses scientifiques, constats écologiques et biophysiques, qu’il est couteux à exploiter, et dégrade sauvagement le milieu. A même pragmatisme déficient pour les gaz de schiste… Que cette même autre société française, ‘’ENGIE’’ rachète en Australie la centrale au charbon la plus polluante du monde… Pour produire de l’électricité. Qu’EDF construit des centrales nucléaires EPR exponentiellement coûteuses au rapport de l’étude de projet…
Je suis quelque peu intrigué par le potentiel de ce type de sociétés à faire d’utiles investissements communautaires… ???
Au même titre d’avoir laissé, il y quelques années la Chine, être le premier producteur mondial de panneaux solaires, auquel la France achète maintenant ces mêmes matériels producteurs d’énergie électrique. Alors qu’à l’époque nous avions le savoir-faire technologique pour les fabriquer… Moyennant bien sûr investissement pour construire les usines de production industrielle…Certains pays du nord de l’Europe développent des parcs éoliens en mer… Nous avons plus de 3 000 kms de côtes.
Nombre de technologies novatrices sont majoritairement financées par des investissements étrangers, voire pour les pires par des fonds ‘’vautours’’…
L’agriculture est soutenue par les subventions du fond européen, permettant juste, aux petits agriculteurs de survivre, sachant que les emprunts, au nom du productivisme, les étranglent… Où est le positivisme social-économique dans notre pays… ? Et ailleurs… ? Et, surtout l’anticipation au rapport des changements du marché industriel, du travail et de l’emploi... Dont la monnaie est le référentiel fiduciaire de l’activité et énergies ‘’humaines’’, actions automatisées et robotisées, dans une zone géographique (territoires, nations, pays, Etats)… socio-économico-culturelle. Et notre déterminant premier ; notre nation et le peuple de France. Je n’arrive plus à comprendre la logique d’investissement ainsi que la politique industrielle et économique en et hors de France. Une autre question m’interpelle depuis des années. Notamment celle de l’industrie automobile. J’ai l’impression depuis longtemps que la France est cantonnée dans la production de véhicules de petite et moyenne gammes où les innovations hybrides, et autres segments ‘’prémiums’’, de cet objet mécanique, symbole de mobilité, liberté individuelle et souvent cristallisation d’une forme de fortitude économique, ont dû mal à concurrencer celui allemand…?
Das Deutsch Auto…
Y aurait-il quelque part, une entente, édictant que notre pays devrait se limiter à son rôle de puissance industrielle de faible renom ou ‘’genre’’ prédéfini associé à modique valeur ajoutée au rapport des savoirs faire et savoirs être attachés à l’ordo-libéralisme allemand… ?
Voire au-delà du tunnel de la Manche et du Trans-Atlantisme ?
Ou encore fondée sur autres ordres, et marches en zig & zag envers le ‘’Grand Architecte’’ de l’argent ?
Je n’en ai pas certitudes, mais certains paramètres mettent mon esprit cognitif dans le doute inacceptable… Surtout au regard de tous les aboutissements dus aux recherches françaises, au cours de l’histoire, avec pour particularité, en celle que nombre de chercheurs filent à l’étranger… De même pour les nouvelles technologies et le numérique, où cette nation française, faisant partie de l’EU, et du Monde des évolutions humaines, technologiques et sociales, a toujours un wagon de retard…
Et de par cette vision, pouvoir malheureusement imaginer que la mise en œuvre des nouvelles énergies, où le temps du retour sur investissement est assez long, et certainement perturbé par le ressentiment des producteurs et investisseurs en énergies pétrolières et charbonnières, voulant encore profiter de la manne financière à forte et rapide rentabilité au détriment du monde naturel, du végétal et du vivant ; sera assurément retardée. Avec pour conséquence, en celle que les parts de marché de ces énergies renouvelables fondent comme neige au soleil, au profit de celles uniquement financières des investisseurs ‘’fossiles’’, où leur conformisme doit certainement dater du temps de l’homme néandertalien, voire du Jurassique… Mais de cet état sociétal, certaines ‘’entités’’ s’en fichent me semble-t-il ?
Ou alors sont-elles dans d’autres schémas plus proches de l’intendance sectaire, voire de l’obscurantisme servile… Dont cette priorité est obligataire pour intérêts corporatistes particulièrement attachés à l’Homme inculte, de covalences individualistes ou d’éducation discutable, où le monothéisme envers le ‘’Grand Argentier’’ a dépossédé ‘’l’art des gens’’ et de l’innovation… Ou tout du moins mis à la marge.
Mesdames et Messieurs les ‘’sachants’’, élites, experts en toutes matières et soumissionnaires, allez-vous continuer encore longtemps à exercer cette désuète rhétorique consistant trop souvent à faire un déni d’analyse ‘’prévisionnel’’ quant à meilleure évolution des liens interindividuels et échanges intercommunautaires, au nom du bon sens social-économique ?
Au profit des actions et réactions immédiates et irréfléchies ???
Le biologiste François Jacob a utilisé, à propos de notre cerveau une image admirable : ‘’Le cerveau humain est comme une brouette sur laquelle aurait été greffé un moteur à réaction’’.
Ce qui peut laisser penser, après analyse de cet excellent aphorisme, que la conscience arrive en majorité d’états, à faire un diagnostic objectif, uniquement après la bataille… Et encore pas toujours, lorsque l’égocentrisme fait loi, et accords avec le pouvoir théocratique insidieux, la fonction matérialiste dominatrice et l’existentialisme théologique frelaté…
N’oubliez jamais cela : « Par tout ce que ‘’l’homo-erectus’’ sociologiquement et chronologiquement inculte refuse de circonscrire hors de ses propres intérêts cupides et narcissiques, il ne saurait exister aucune subtile intelligence suffisante pour réussir à vaincre son ignorance qu'il souhaite garder par déni – que je n’ai pas, comme autres amis(es) réseaux – des estimables facettes amendées à la curiosité physique, philosophique, épistémologique, ontologique, sociologique, accompagnée d'un soupçon de poésie et romantisme, et surtout à ne même plus faire une recherche sérieuse et objective, afin de connaitre la réalité qui se cache derrière le ‘’filoutage’’ des images et des sons dans l'espace de la médication logo-médiatisante, déféquée par la sphère audio-visuelle culturellement sectaire prônant dans la cacophonie générale la division des meilleurs savoirs-être... Et soustraction des savoirs faire dont l’homme moderne en est assurément le servile benêt, des imprésarios et réalisateurs de la dramaturgie didactique échangiste, voire civilisationnelle... Et tout cela au détriment de l’utile observance des extraordinaires pensées encore présentes chez quelques philosophes, sociologues, analystes, épistémologues, et théoriciens de justes mots ; à potentielle sémiologie sociologique humaniste... »
RAISON CRITIQUE ENVERS L’ECONOMIE-POLITIQUE
L’Economie est une science uniquement comptable – La sociale-économie EST une étude sociologique ET mathématique… Où les dimensions philosophiques et culturelles ne sauraient être, en aucun cas d’analyse, défigurées. La plupart des politiciens gèrent l’économie, comme une fonction affectée à leur propre philosophie-économico-financière corporatiste par un filoutage médiatico-socio-culturel attaché à forme délétère d’idéologie néo-ordo-libérale souverainiste, social-communisme déficient, technocratie inadaptée, bourgeoisie de démocrate-chrétiens, capitalisme ou socialisme dépassés par la fantasmagorie monétaire ultra-libérale.
Quand le désordre est trop grand, on rackette le contribuable, après avoir baissé ses quotités comme épargnant, assuré ou ruiné le petit boursicoteur, afin de renflouer les puissances féodales, considérées comme les piliers de l’édifice social et les créateurs de richesses économiques. Et pour semer le trouble, on laisse croire que cela serait une concession à l’interventionnisme de l’Etat. Suprême habileté: si cela a un effet positif, on s’empressera de « re-libéraliser » le système, au motif qu’on est sorti de la période de turbulence et si cela rate, on pourra confirmer que l’interventionnisme étatique est inefficace.
La plus grande panique étant quand, dans le système démocratique, le peuple, nécessairement ignorant et irresponsable, devient souverain et fait supprimer définitivement, par la loi et la réglementation, la liberté seigneuriale… De fait, la société néolibérale actuelle est bien un système féodal où des puissances économiques et financières se partagent, non plus un Royaume ou un Empire, mais la planète, échappant ainsi à toute souveraineté nationale. Selon l’état des rapports de forces entre elles, elles passent des accords de non-agression (situation assimilable à un monopole de fait) ou se font une guerre sans merci, avec des dégâts collatéraux considérables, en termes économique, financier, social et environnemental, le tout dans un climat de crise permanente. Quant aux fameuses PME, elles se font une concurrence meurtrière pour pouvoir gagner le droit d’être choisies par (soumises à) ces grandes féodalités oligopolistiques, soit comme fournisseurs soit comme sous-traitants.
On le perçoit aisément lorsque l’on décortique les rapports commerciaux et stratégiques entre les trusts et grands groupes envers les PME, PMI et TPE… Quant à la fameuse régulation, elle peut être comparée au rôle de l’Eglise d’antan. Celle-ci comptait sur la piété des puissants pour brider leur tendance tyrannique, leur servait de conseil et d’arbitre et, excommuniait exceptionnellement ceux qui mettaient vraiment en péril le système et les principes. Le nouveau clergé technocratique néolibéral ne cesse d’en appeler à la moralisation (!!) des rapports socio-économiques. Il initie stupidement des instances “indépendantes” de régulation dont l’image médiatique est inversement proportionnelle à leur impuissance d’intervention, enfin, mettent de temps en temps au pilori quelques brebis galeuses, de basse baronnie si possible (l’affaire Kerviel en est une caricature), dans l’irréalisme économico-financier.
Les banques, n’ont-elles pas engrangée d’énormes, voire indécents bénéfices, même après la crise de 2008… ?
Après avoir édicté qu’il fallait fiabiliser le système bancaire…
D’autant que, d’un côté de l’économie-sociale de marché, et des politiques néo-libérales, sont énoncés des termes à image positive: personnalité, acteur social, responsabilité, défense des inégalités et de la précarité. De l’autre, des mots à image négative : individu, sous-entendant l’insécurité de la solitude et l’égoïsme de l’individualisme ; assistance, évoquant l’indignité et la servilité vis-à-vis de l’Etat, grand méchant loup qui, certes, a de grands bras pour mieux nous embrasser, mais aussi de grandes dents pour mieux nous manger. Une telle présentation relève, en effet, du conte pour enfants. Sans doute parce qu’on ne serait pas capable de comprendre une analyse trop savante ; à moins que ce ne soit pour éviter de juger en toute connaissance de cause de la valeur de la thèse, qui permettrait un débat contradictoire, mais jugé inopportun à l’égard d’une vérité transcendante et universelle, donc indiscutable. Où la culture et les savoirs ne sont plus que positions anti-universelles, soumises dès le plus jeune âge à concurrence déficiente et à future compétitivité incohérente… Inapte à meilleure forme d’humanisme et de collectivisme, mais ultra-sensible à une sorte de logo-starisation-médiatique, voire de terrorisme intellectuel, dans un potentiel changement de ‘’mythe’’…
Mais peut-être : « Les experts en intelligence sont-ils devenus espèce à sang froid ? Et la politique, la religion et la monnaie sont-elles, pour certains clans, un résultat de pouvoir divisionnaire inique ? Ce qui est certain, c’est que les trois veillent et entretiennent le néo – ordo – ultra – libéralisme social-économique et le capitalisme financier impérieux » […]
N’est-ce pas Mesdames et Messieurs les investisseurs, spécialistes des ressources humaines, experts en gestion d’objets et sujets rentables, politiques, économistes, sociologues, autres consultants et communicants possédant capacités d’analyse des systèmes socio-économico-culturels, entreprises et sociétés commerciales, tout cela, bien évidemment accompagné de la compréhension philosophique et ontologique suffisante et juste envers vos ’’semblables‘’ ?...
Mais, je ne vous en veux pas…
Et pourtant, je devrai haïr ce pays brandissant à l’étranger les couleurs de son étendard gonflé par les vents de l’incompréhension envers une démocratie tangible, où les asthénies sont surtout celles de l’ignorance des véritables définitions utiles à une république à tendances laïques dans l’espace du travail, des emplois et des échanges extra et intra géo-localisés des territoires et de la Cité, dont les gouvernances économiques ne sont plus en mesure d’induire l’application d’une juste activité salariale rémunérée au rapport du besoin de certaines personnes et familles en tant que résidents de la démocratie française, ayant pourtant professionnalisations, avérées nécessaires, a exercé un emploi à juste valorisation permettant de vivre décemment dans leur zone de confort acceptable, appelée : ‘’Communauté de bien(s) et services’’… Où sans prise de conscience de l’avènement de la robotisation, du numérique et de l’intelligence artificielle, la gestion des modalités du travail risque de poser encore d’énormes problèmes, d’ici quelques temps…
Les dégâts risquent malheureusement de devenir énormes au niveau social, si ‘’l’homme démocratique’’, n’arrive pas à assimiler que les notions de travail, de gérescence et d’emploi liées au temps de l’activité manuelle, intellectuelle et culturelle sont en train de changer, dont les concepts et thésaurisations financières, philosophiques, sociologiques, technologiques, scientifiques, voire psychologiques ne réussissent pas à être analysées et étudiés, alors je crains fort que la civilisation humaine ne sombre dans un obscurantisme très éloigné des temps immémoriaux des lumières, grisés depuis longtemps par de néfastes spiritualités politico-religieuses…
Avec pour particularité en celle que les aficionados du refus de compréhension laïque envoient certains signes ostentatoires, et parfois malsains, même depuis la loi de séparation des corps républicains et ecclésiastiques, établie chez nous en 1905…
Je pense que les corps intermédiaires sont seulement devenus de petits administrateurs à la solde de quelques chefs, eux-mêmes par prosternations séculaires ou covalences commerciales rampantes, à disposition servile auprès d’entités d’obscures desseins, avec pour particularité à leurs sous-officiers dépassés par les évènements du moment, et à ce qu’ils ne soient plus de véritables responsables de la gestion des ressources, biens terrestres et services ‘’humains’’ ou ‘’robotisés’’, commençant par ailleurs en l’apprentissage, l’éducation et la retransmission des justes savoirs être et utiles savoirs faire.
Ou alors ont-ils mal été recrutés ?
Ont-ils peur de perdre leur job en ne se conformant pas à la charte des sociétés et systèmes séculiers qui les emplois ?...
Sont-ils dépourvus de vision sociologique et philosophique, ou ont-ils l’esprit étroit… ?
Ou encore, ont-ils mal été formatés aux nouvelles données sociales-économiques et dotés de peu d’imagination quant aux prochaines possibles évolutions de l’économie participative, et de la société des échanges équitables consciente des changements climatiques et comportements plus dignes de l’espèce ‘’humaine’’ ??? .
Envers toutes ces alternances citoyennes, acteurs et actrices ‘’invisibles’’ aux yeux du système et insignifiances socio-identitaires vivant avec 15 € par jour, les 9 millions de citadins et ruraux disposant d’un revenu égal ou inférieur à 1 000 € mensuel, soit environ 13,6% de la population. Celles et ceux s’accommodant de moins que le seuil de pauvreté, fixé en France à 890 €, les sans-emploi, les précaires, les mères célibataires, les 3,4 millions de mal logés, les déchus(es), les 6 millions de chômeurs, les sans électricité, sans horizon, les exclus(es) de l’accès à l’éducation, aux apprentissages, aux études par une scolarisation inadaptée aux changements de la société ; notamment par la vision de ce que seront dans quelques années les notions combinées du travail, de l’emploi, de la durée et la rémunération des activités ‘’humaines’’ dédiées à la création, la production, la réalisation, l’échange, la vente, la distribution et la transformation de tout ‘’objet’’ matériel par les bons savoirs faire, justes savoirs être et l’évanescence culturelle, dans la société de bien(s) et services marchande… Française.
A réseau ‘’humanisant’’… ???
Les asthénies, le manque de vision alternative, le corporatisme exacerbé et les incompétences de la classe politique de ces quarante dernière années, accompagnée par quelques ‘’génies’’ de l’économie et autres ‘’sorciers’’ de la finance ont malheureusement fait un déni de meilleure évolution communautaire dans la République Démocratique à vectorisation Laïque. Le déclassement social-économique, la destruction de la culture et la ghettoïsation sont, je crois, devenus les standards de ce système sociétal arrivé à bout de souffle. Où la norme devient celle de la starisation politicienne, médiatisée par les mauvais clowns de la logo-atomisation ‘’buzzique’’…
Et par majorité des programmes politiques, associés aux ordres de chaires, d’ors, de pompes et de notables ; je ne vois guère de meilleures lumières à l’horizon de ce beau pays ‘’France’’.
Pourtant visibles en d’autres systèmes innovants dont vous n’en percevez encore aucune des possibles belles tendances pour le meilleur avenir de cette civilisation encore atteinte de trop d’individualismes opportunistes !… Transmis par vos ancêtres prosélytes de cultures, concepts et formes ‘’spirituelles’’ provenant de temps révolus et inadaptées aux sensibles considérations et justes attentions envers les jeunes ‘’pousses’’, avec pour particularités, en celles que tous ces artéfacts à invocations douteuses, ne soit que l’opium des peuples, ré-initié par néo-scientistes en fourbes paralogismes. Et utilisés par quelques dealers de mauvaise foi liés à l’inattention, l’iniquité et l’injustice socio-économico-culturelle… Associés à idéologues voués à l’ordre du ‘’Malin’’, ou philosophes tatoués au nombril de leur monde. Dont une partie de ceux et celles ayant pratiqué leurs allants professionnels dans les sphères de l’occultisme financier indigent, flux monétaires impérieux et clandestinement rentables, vont assurément, une fois à la retraite, dévoiler quelques nauséabondes applications… Pour certains et certaines, cela commence… Afin de peut-être croire que cela permettrait un rachat de leur âme, avant le grand voyage ?
[…] Ma belle maitresse la Vie, m’avait-elle déjà suggéré que la sphère financière allait devenir une arme de pouvoir primordiale dans les conflits géo-économico-socio-politiques et boursiers à partir des années 80… ?
Et je n’étais peut-être déjà à cette époque pas prêt à en accepter toutes les néfastes circonvolutions et fausses covalences, avec pour intérêt particulier, celui de pratiquer l’exercice de la soustraction et de la division, au lieu d’une possible activité génératrice de biens communautaires par l’addition et la multiplication. Où le porte-drapeau des douze membres de cette époque en était la CEE qui deviendra :
‘’L’Union Européenne’’.
Mais bon, cette analyse n’était pas à l’ordre du jour !
Au même titre que les « Sept Sœurs », patronyme donné au conglomérat des sept sociétés pétrolières œuvrant économiquement et politiquement depuis leur création, et après la réalisation du premier puit de pétrole aux Etats Unis en août 1859 et l’ouverture d’autres sur terre et en mer au cours des deux siècles suivants ; soit disant au nom d’une géo-économie énergétique nécessaire et indispensable aux développements de tous les pays aussi bien ceux au sous-sol riche en or noir que les autres, afin que les peuples de ces états souverains gouvernés par des chefs de tribus, guides philosophico-financiers, et autres reliques sociologiquement incompétentes, soient associés aux créations, développements technologiques, énergétiques et économiques. Il me semble en toute objectivité que nombre de sociétés présentes aux quatre points cardinaux, n’ayant entrevu qu’en unique primauté les potentielles fonctions lucratives des progrès technologiques ; au détriment de l’évolution des énergies ‘’humanisantes’’, ainsi que les modiques aspirations des communautés destituées des bons apprentissages et justes appointements éducatifs, n’ont malheureusement jamais réussi à analyser objectivement les bienfaits technologiques dans, pour et avec la communauté de biens et services, et pour les moins bien outillés, faibles facultés ne donnant pas capacité à monter dans le train des résolutions suffisantes et nécessaires au ‘’bien vivre’’ minimal… Avec pour continuité dans et par le développement technologique de la civilisation mondiale, celle de l’augmentation du fossé économique, et de la fracture socio-culturelle, tant à l’intérieur des territoires, qu’à l’extérieur des nations…
DES HOMMES ET L’OR NOIR
Du premier puits de pétrole, jaillit l’or noir en août 1859. De ce forage effectué dans les profondeurs de la Terre, naitra l’histoire de l’or noir et des énergies fossiles, jusqu’à nos jours.
Les hommes s’entretueront pour le pouvoir, l’argent, la cupidité et la possession des nouveaux territoires et des mers, dont leur unique concession sera celle d’occulter les dommages collatéraux engendrés par l’aveuglement et l’avidité inopérante à concevoir que la terre est également un organisme vivant ayant ses propres fonctionnements physiques. Et en l’état de cette conséquence existentielle et cause réelle, si l’homme n’apprend pas à conjuguer ses différents problèmes et multiples facultés, avec le climat, cette extraordinaire TERRE, risque malheureusement après deux siècles, d’industrialisation forcenée et de consommation matérielle et énergétique souvent anarchique, d’émettre quelques signes rendant difficile la meilleure évolution de la vie sur son sol.
Où à l’Est du nouvel Eden, lorsque les puits d’énergies fossiles auront fini de cracher leurs dernières liquidités noires, les hymnes nationaux des anciens régimes autocratiques auront cessé d’émettre les mauvais accords impropres à une possible unicité, et que le ‘’petit homme sage’’ drapé d’un sarrau blanc, avec un regard malicieux chaussé d’une paire de lunettes rondes, se sera définitivement détourné de la route du sel, car il aura compris que la destruction de celui de la vie est engendré par les 14 milliards de ‘’pieds’’ avançant toujours avec frénésie vers plus de consommation devenue compulsion consumériste anarchique envers Dame Nature. Et tout cela avec une totale indifférence envers la modification des biosystèmes et écosystèmes.
Le dogme de l’asservissement de l’homme par ‘’l’Homme’’.
L’enjeu est toujours le même depuis des siècles: convoiter et s’approprier les territoires, afin d’accaparer les richesses de la terre, et asservir les hommes, les femmes et les enfants, au nom du dogme de l’évolution technologique absolutiste et de l’impériosité d’une culture au rapport d’une autre… Et pour condition à cette nouvelle découverte énergétique, en celle d’essayer de prendre le puits du voisin, que celui-ci se situe à l’intérieur de la patrie ou à l’extérieur du territoire national, quitte en cas de non-obtention d’accords commerciaux entre les protagonistes, à mettre en place des processus d’accaparement par une géopolitique, notoirement axée sur des fonctions indigentes, dont la seule finalité est assurément en celle d’établir des intendances sous-jacentes engendrant les conflits armés et guerriers entre les communautés territoriales et autres corporatismes identitaires, économiques, financiers et culturels.
Les méthodes sont toujours les mêmes, appointer des individus de peu de culture universelle, leur autorisant à croire avoir suffisamment de patriotisme, pour devenir soit des héros de la nation, soit des agents ayant fait leur devoir de réquisition envers les richesses et propriétés ‘’dues’’ à cette même mère géo-patrie souverainiste. Ces ignorants n’imaginent pas que cette dîme reçue et donnée par des entités d’obscurs desseins, est juste une rétribution permettant à ces individus de peu de conscience humaniste, pluridisciplinaire, sens politico-philosophique, et ontologique de s’approprier les richesses matérielles, d’asservir le vivant sans autre forme d’accord que leurs prosélytismes délétères afin de modeler le monde naturel comme bon leurs semble…
Et tout cela sans aucune forme de déontologie.
Puis au moment voulu armer les tueurs et les lancer à l’attaque, persuadés de se battre pour leur indépendance, accompagnés par une poignée de mercenaires pour qui l’argent a dans le cas de l’or noir une forte odeur de naphte accordée à de néfastes effets moribonds.
Mais n’oublions pas, dans l’histoire de l’humanité, que les liens entre les hommes et les femmes, les énergies et les évolutions technologiques, le(s) bien(s) et les services, la communauté et le corporatisme, la sociologie et le pragmatisme individualiste, l’argent et l’art des gens, le pluralisme et le sectarisme, la connaissance et l’ignorance, la culture universelle et les cultes obscurs, l’ontologie et l’épistémologie, font parties des paradoxes entre les sciences et les arts, et par conséquent affectés aux corps ‘’biophysiques’’ et à l’esprit ‘’humain’’. Quoiqu’il en soit l’ère de l’industrialisation avait déjà commencé un demi-siècle, avant le forage, à 23 mètres de ce premier puits de pétrole en Pennsylvanie, ce 28 août 1859…
Où régnait encore la loi de la Winchester et du colt à six coups…
‘’L’histoire secrète du pétrole’’… 1971.
(Jacques Bergier et Bernard Thomas)
Une gigantesque partie d’échecs est en cours, à l’échelle de la planète : Hommes, races, nations, sentiments, idéaux ne sont que des pions poussés par des adversaires qui pensent en termes de puissance, non de philanthropie. Des pions inconscients, dans la plupart des cas. On utilise les rivalités, les haines locales, on les envenime, et les pions s’entre-tuent, persuadés de la justesse de leurs revendications. Jusqu’au moment où, dans un sursaut de désespoir, ils se révoltent.
Cela arrive aussi.
La lecture des journaux, aussi bien informés soient-ils, ne nous livre que la croûte des choses : le point de vue partiel et passionnel des belligérants. Lorsque le débat s’élève, on nous parle par exemple d’un combat idéologique entre communisme et capitalisme, sans nous en expliquer les véritables raisons. Sans nous révéler pourquoi ce combat a éclaté ici plutôt que là. Bref, il existe bel et bien un complot du silence autour de certains faits.
Prenons l’exemple du conflit israélien, et tâchons d’oublier un instant les motifs subjectifs pour lesquels nos sympathies vont à un camp, ou à l’autre. Le point de départ de la guerre est clair : les Sionistes sont venus occuper un territoire précédemment habité par des hommes d’une autre religion, les Palestiniens musulmans. On comprend ce qui a poussé là les Sionistes : le retour à la Terre Promise après 2000 ans d’errance et de persécutions. On comprend que les Arabes se soient sentis spoliés. On comprend fort bien que Juifs et Arabes en soient venus aux mains : lorsque deux paysans ne sont pas d’accord à propos d’un champ, il peut arriver qu’ils sortent le couteau. Mais si des richissimes amis leur prêtent des canons de 75, nous soupçonnons que des intérêts plus graves sont en jeu.
En réalité, le Sinaï est un désert où l’on meurt de soif. La Palestine en était à peu près un, avant l’arrivée des Israéliens. Essayons d’être objectifs : rien ne ressemble davantage à une dune de sable qu’une autre dune. Avec un peu de bonne volonté, on aurait pu reloger le million de réfugiés palestiniens un peu plus loin, au lieu de les parquer sous des tentes misérables, de les maintenir depuis vingt ans dans un état qui n’est pas tout à fait la mort, grâce aux trois cents calories par jour que leur distribue l’O.N.U. Il y a théoriquement de la place pour tout le monde dans cette partie du globe. Or, ce ne sont pas des canons de 75, mais des milliards de matériel de guerre qui ont été distribués de part et d’autre. De quoi planter suffisamment de blé, de riz et d’oliviers, creuser suffisamment de canaux d’irrigation dans le désert, pour rendre riches et heureux, non seulement les Palestiniens clochardisés, mais d’autres millions de sous-alimentés en d’autres lieux. Il faut bien en conclure que les réfugiés ne sont qu’un prétexte. Ces bouts de sable valaient, la peine, pour certains, d’y investir des milliards, non pas pour les rendre fertiles, mais pour les posséder.
De quoi s’agit-il ?
D’une querelle raciste, religieuse, idéologique ?
S’il s’agit d’apprendre aux gens les bienfaits de la libre entreprise capitaliste, ou au contraire ceux du socialisme marxiste, est-ce une méthode logique que d’envoyer des bombes avant les détracteurs, attracteurs ou nouveaux challengers ? Est-il raisonnable de dépenser tant d’argent pour catéchiser une poignée d’illettrés ?
Est-ce au nom de la philanthropie qu’on les barde d’armements ? Est-ce par souci humanitaire qu’on risque de déclencher une troisième guerre mondiale ?
Ni ce qu’on appelle l’impérialisme d’Israël d’un côté, ni la frustration des Arabes de l’autre, leur volonté de récupérer quatre arpents de sable, n’expliquent le napalm ou les appels au génocide d’un Choukeiry.
Ils n’expliquent surtout pas les chars, les avions, les missiles, les radars mis à leur disposition.
Ni l’empressement qu’on a montré à les remplacer dès qu’ils ont été détruits.
La réalité tient en un mot : l’ENERGIE.
Un pays qui ne dépense pas d’énergie est pareil à un être humain qui passerait sa vie sans rien faire, allongé sur un lit : il est à peu près mort. Un pays possédant des sources d’énergie insuffisantes sur son territoire doit aller en chercher ailleurs pour vivre : c’est le cas du Japon, de l’Angleterre, la France, etc… Ainsi que l’Allemagne lors de la deuxième guerre mondiale, déclenchée par Hitler et ses sbires, pour des raisons principales d’accaparement, de puissance, de pouvoir et d’asservissement. Et un pays que ses richesses naturelles ont rendu si puissant qu’il éprouve un besoin supplémentaire d’activité, ira également en chercher ailleurs : c’est le cas des États-Unis. Or, cette énergie, plus que le charbon, l’électricité ou l’atome, c’est le PETROLE.
Il deviendra la première ressource énergétique mondiale à partir du milieu du XIXème siècle et jusqu’à nos jours…
« Cherchez le pétrole «, pourrait-on dire aux êtres humains soucieux de comprendre ce qui se passe autour d’eux. A l’origine ou dans le développement d’à peu près tous les conflits depuis le début du siècle, on trouve le pétrole. C’est que le pétrole est le sang de notre civilisation. Sans lui, les moteurs des bateaux, des avions de guerre ou de commerce, des blindés et des voitures particulières, s’arrêtent ; plus d’huile ni de graisses pour les rouages ; plus de caoutchouc synthétique pour les pneus, plus de plexiglas pour les cockpits des avions, de glaces pour les automobiles. Plus de défense nationale possible. Plus de travail non plus. Napalm, T.N.T., nylon, tergal, dacron, orlon, insecticide, engrais chimique, carrosserie, assiettes, tuyaux d’arrosage, crème de beauté, table de jardin, nappe pour la table, vernis, fleurs artificielles, toitures, rideaux, rouge à lèvres, noir pour les yeux, vernis à ongle, sous-vêtement, lessive, éponge, cuvette, brosse à dents, cire, gaz de cuisine, encre d’imprimerie, asphalte, paraffine, films : près de 300 000 produits divers sont tirés du pétrole. La catastrophe provoquée en Occident par le manque de pétrole serait inimaginable. Or, certains ont su se rendre maîtres des sources pétrolières : ce sont les grands trusts. L’argent allant aux riches et la puissance aux puissants, leur emprise sur le monde tend à devenir démesurée. Les super bénéfices réalisés par eux ne restent pas inactifs au fond des coffres bancaires. Remis en circulation, ils servent de moyens de pression dans les domaines les plus divers : scientifique, économique, politique, voire même culturel et éducatif…
Au bout du compte, ces investissements colossaux, d’allure parfois inoffensive, font boule de neige et reviennent à leur point de départ sous forme de super-superbénéfices.
Chacun des grands trusts dirige plus ou moins directement des centaines de sociétés filiales, brassant des milliards de milliards de devises, couvrant le monde entier de tentacules gigantesques. Leurs activités commencent à l’exploration des terrains propices et se terminent à la vente en passant par l’Exploitation, le transport, le raffinage et la fabrication des produits finis. Nous verrons plus loin en détail ce que représentent ces trusts, ainsi que leurs dirigeants, dotés de l’esprit de convoitise suffisant, pour en faire des chefs de ‘’guerres’’…
Apatrides dans la fantasmagorie monétaire.
Retenons juste qu’ils seront, dans la sphère pétrolifère du XXème siècle, au nombre de sept, avec pour patronyme commun à ces sociétés internationales, œuvrant dans le domaine des énergies fossiles : LES SEPT SŒURS.
De 1860 à 1927
A partir de 1860, cependant, la lampe à pétrole se perfectionne et son usage s’étend ; on met au point les premières cuisinières et les premiers chauffages centraux à pétrole lampant.
Le début du XIXème siècle est majoritairement assujetti aux découvertes scientifiques et développements technologiques, et par là même favorisant ce que l’on nommera un peu plus tard : L’ERE INDUSTRIELLE et le PRODUCTIVISME.
En dix ans, pour la seule vallée d’Oil Creek, la production passe de dix mille à cinq millions de tonnes.
C’est alors qu’en 1870 un certain John D. Rockefeller s’associe avec quelques personnages falots pour fonder la Standard Oil Company of Ohio.
Son idée de départ : offrir au public des produits de qualité suivie, des produits standardisés, au lieu des mille variétés inégales trouvées dans le commerce.
Idée n° 2 : acquérir le contrôle progressif de tout ce qui a trait au pétrole, depuis les entreprises de forage jusqu’aux organismes de vente au détail, en passant par le transport et le raffinage, de façon à ne pouvoir être victime d’aucun moyen de pression.
Idée n° 3 : rationaliser la production et le marché du pétrole en poussant par tous les moyens – persuasion, ruine, violence – les autres sociétés à se joindre à lui. Ce qui aboutit, le 2 janvier 1882, à la création du Standard Oil Trust formé par la fusion de quarante compagnies qui remettent leurs destinées entre les mains de Rockefeller.
En 1897, le Trust prend le nom de Standard Oil of New Jersey, et devient la compagnie la plus puissante du monde.
Rockefeller est probablement le plus grand des aventuriers du pétrole. C’est un personnage hors-série. Sa volonté de puissance sans limites est servie par un sens de l’organisation prodigieux. C’est lui le véritable inventeur des méthodes et des mœurs du capitalisme moderne. Peu lui importe le nombre de rivaux qu’il a contraints au suicide : son éthique tient en un mot, l’efficacité économique, productrice et financière.
Il est probable que son nom a été plus souvent cité dans les journaux de son époque que celui de, Hitler lui-même. Et cela en des termes si peu flatteurs que le Roi du Pétrole s’aperçut que ses affaires s’en ressentaient. Aussi prit-il bientôt à son service un certain Ivy Lee, chargé uniquement de chanter ses louanges : la profession de ‘’public relations’’ était née.
Elle sera nommée plus tard : ‘’Lobbying’’.
La pression de l’opinion publique et de ses conseillers, disent les uns, un remords tardif, affirment les autres, le poussèrent vers la fin de sa vie à utiliser une partie de son immense fortune pour créer diverses fondations de bienfaisance tout à fait exemplaires, il faut bien le reconnaître. Après avoir réussi tant d’affaires avec les hommes, il voulut encore en faire une avec Dieu le Père : vivre cent ans. Il échoua de peu. Né en juillet 1839, il mourut en mai 1939 dans son palais de Floride.
La petite histoire ‘’To trust’’ signifie faire confiance : les parties prenantes font confiance à la direction qui prend à leur place les décisions importantes.
Certains racontent que, pendant les dernières années … SUITE SUR : http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/politiques-particulieres/des-energies-des-hommes-et-l-or-noir.html
Date de dernière mise à jour : 23/03/2019
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