INSURRECTION
INSURRECTION ENTRE ATTACHEMENT ET EGALITE…
INSURRECTION, ce mot qui colle si bien aux harangues des extrêmes, s’est dissocié de son sens révolutionnaire, issu de la déclaration des droits de l’homme de 1948, et de son édiction marxiste, plongé dans l’idée de classe. La plus probable des formes de rébellion contre le pouvoir politique est aujourd’hui une espèce d’insurrection de saturation, où le ‘’n’importe quoi’’ social-économique a pris ses quartiers dans ce nouveau paradigme liberticide qu’est l’ultra-ordo-libéralisme, par une culture du capitalisme financier impérieux, outrancier et international.
Dans les affaires commerciales, celles publiques locales, le plus lucratif des terreaux s’est nourri par la corruption des carrières de notables. Les nouvelles règlementations successives, que l’on croyait protectrices n’ont fait qu’alimenté, par les coups de boutoir des partisanneries, d’ors, de pompes, de notables, de robes et autres empruntés(es), une forme de corruption sous-jacente aux réalités des territoires. Elles ont creusé un fossé entre les grands acteurs nationaux qui peuvent répercuter, sans conséquence, sur leurs coûts de fonctionnements, des contraintes publics, structurelles et individuelles en perpétuelle progression, sur les petits qui s’effondrent sous les charges étrangères aux métiers qu’ils exercent, souvent hors des grandes métropoles.
Tout cela porte, objectivement, à croire à l’émergence d’une nouvelle forme de rébellion. Mais elles sont pour l’instant limitées à l’émergence de l’extrême droite, où sur l’échiquier politique français, les restes du socialisme ont été laminés par un nouvel ordre libéral Macronien, associé à une certaine forme d’herméneutique sophistique et proche de l’ordo-libéralisme allemand. Les partis de droite, totalement désorientés sont en jurisprudence fractale, les Insoumis commence à penser qu’ils se sont faits bernés par une dissidence impropre à vaincre les royalties indécentes et le narcissisme médiatique. Quant à la droite extrême, elle se retrouve tapis dernière les bosquets d’une laïcité, pour elle, incompréhensible. Dans ce marasme politico-social-économique, les clans identitaires de la droite catho sont en train de positionner leurs pions, dans une Europe exsangue de la meilleure forme d’indignation, par un individualiste informel mais inapte à concevoir un collectivisme respectueux de la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice dans le monde naturel du et des vivants. Le politiquement correct, de ce quinquennat dénué de véritable sens social, amplifiera certainement la fracture française.
Le déclenchement d’une insurrection de discrimination a, tout compte fait, peu de chances d’aboutir. Elles dépendent des capacités de troupes et corporatismes divisés, hétérogènes, égoïstes, individualistes et sans véritables chefs. Mais la probabilité est permanente, subreptice, souterraine.
Les assauts brefs, indignés et violents sont capables de surprendre, même les politiques en falsification de bien commun et exsangues d'un quelconque esprit collectiviste. Ils peuvent être enclenchés par deux ressorts sociaux, si évidents, si naturels, que leur fondamentale puissance est sous-estimée : L’ATTACHEMENT CONSERVATEUR ET LA PASSION DE L’EGALITE.
D’un côté, la tradition, l’existant ; leurs lois ne peuvent être enfreintes. Même les esprits les plus indépendants veulent se raccrocher aux certitudes sociales et juridiques des faits, règles et lois établies. L’avantage acquis ne saurait être annulé ni concédé, tant dans la sphère parlementaire, sénatoriale et gouvernementale que dans les corporatistes déficients et les corps intermédiaires à conformisme criant d’omissions intercommunautaires. De l’autre côté, un goût irrépressible, parfois sectaire et violent, pour l’arasement égalitaire. Il s’empare avec agilité de la plupart de ceux qui y voient leur intérêt immédiat. Il serait faux de croire que cette pulsion-là est réservée à ceux qui ont hérité des plus chaudes convictions révolutionnaires et populaires.
Ce dogmatisme peut enflammer les consciences les plus flegmatiques pourvu qu’il soit à même de leur profiter. Si, d’aventure cet état d’esprit, nourri de l’inflexible frustration de la discrimination, prêt à exploser du dégout des complexités arrangées aux prémices de la ghettoïsation, qui saturent l’activité quotidienne, allumé par l’injustice de la ségrégation, encouragé par quelque évènement insolite ou par quelque personnalité cynique, en venait à remuer la braise, la société politique pourrait se retrouver face à un front citoyen, suffisamment constitué, dans une probable panique de ses responsables et gouvernances diverses…
Mais, ces bandes d’ignares l’avaient oubliée, ou démystifiée par occultation envers le plus gros problème mondial du moment, à savoir la pollution, le réchauffement climatique et le déni d’attention attisé par cette inconscience à ne pas vouloir essayer de mettre en place des solutions adaptées et adaptables, pour le bien-être minimal des générations arrivantes, et tout cela au nom de la croyance en la toute-puissance de l’argent, au détriment de ‘’l’art des gens’’. Je les déteste, qu’ils soient hommes ou femmes. Leurs dogmatismes liés à l’anthropocentrisme élitiste, le narcissisme, l’avidité et la cupidité me donnent des relents de mépris envers leurs néfastes raisons déshumanisées…Teintées aux furieuses voix de l’ignorance inavouée ou de l’arrogante incertitude déstabilisatrice…
Voilà trente-cinq ans que toute une oligarchie d’experts, de juges, de fonctionnaires et de gouvernements prend, au nom du peuple, sans en avoir reçu mandat, des décisions dont une formidable conspiration du silence dissimule les enjeux et minimise les conséquences.
Discours à l’assemblée nationale lors des débats sur le traité de Maastricht, par Philippe Séguin, le 5 mai 1992.
Compétences, entre embrouillamini, escroquerie et autonomie.
Reformer la structure des collectivités territoriales reviendrait à refondre toute l’architecture de la puissance publique. Transférer des compétences d’une collectivité à une autre implique de transfuser des ressources fiscales. Sans cette contrepartie, ce qu’on appelle la réforme est une ESCROQUERIE.
Eh bien croyez-le ou pas, tous ces transferts de compétences réalisés par l’Etat vers les collectivités locales ont été des escroqueries. Certes, il se trouverait, en sens inverse, quelques transactions de dupe. Quand l’Etat a repris des missions aux collectivités locales ou s’est donné des missions nouvelles que ces collectivités auraient pu remplir, les effets n’ont pas été anodins. On a dans ce cas, vu se propager non pas des transferts concrets mais des extensions progressives à la charge de l’Etat, de missions, que précédemment, les collectivités locales assuraient en quelque sorte implicitement. L’hébergement et le secours aux personnes, le droit au logement, une partie de la sécurité civile sont, par exemple, devenus petit à petit, des charges de l’Etat, lourdes désormais.
Certaines de ses missions, sont aujourd’hui, moins bien exercées que jadis, lorsque leur responsabilité était, formellement ou non, locale. Le législateur d’Etat, parfois le simple gestionnaire politique s’est, lui-même, infligé le poids de ses fardeaux. Les collectivités auraient obtenu, pensaient-on par erreur, de moins bons résultats. Cette tragédie démontre l’inanité de la prétention sociale de l’Etat.
Lorsque l’Etat veut transférer des compétences vers les collectivités, l’escroquerie est d’abord camouflée par une dotation de ressources promise pour appâter le volontariat. La loyauté du montant initial de la dotation prévue prête souvent à soupçon. Devant une réticence à l’accueil de charges nouvelles, une négociation permet de faire évoluer les termes de l’accord, parfois associé à conflit d’intérêt. C’est pourtant bien qu’il existait des marges de manœuvre pour un compromis préservant quelques intentions honnêtes. Traiter avec un partenaire public ou privé est une réalité de tous les jours. Bien entendu, dans le cas du public, la subvention ou a dotation compensatoire, ou même le transfert de potentiel fiscal, selon la forme retenue pour habiller la couverture financière du transfert de compétences, tarde à être versé. Parfois l’inscription budgétaire est omise dans l’exercice qui suit l’accord. La trésorerie de la collectivité porte la charge de transition. Le montant de la compensation, avec le temps s’érode. Son principe originel peut être oublié. Sa contrepartie budgétaire vient à être noyée dans une dotation globale qui, elle-même, devra finalement rétrécir dans les goulets du rétablissement de l’équilibre budgétaire de l’Etat. Pour masquer le leurre, dont l’élaboration et la gestion nourrissent une direction générale des ministères de la République, on le plie et on le repasse avec des formules de calcul absconses.
Les délégations de compétences ne sont pas équitablement réparties sur le territoire national. Organisation politique du territoire et organisation de la représentation politique sur le territoire sont les deux faces d’une même pièce. En les séparant on fait offense à l’intelligence politique des électeurs.
Atticus – Le Prince, la Cour, le Peuple.
Editions Odile Jacob.
Comment est-il possible de croire à la sincérité d’un homme politique… ; fut-il écrivain ?
N’est-il pas plus perspicace de penser que le ‘’Prince’’ est, intrinsèquement le pourvoyeur des classes de l’entre soi, caché derrière l’identité d’un clan philosophico-politique ou autre groupuscule d’ors, de chaires, de pompes, de notables et autres empruntés(es) à la servitude liberticide culturellement déficiente envers le ‘’bien commun’’… ???
Qui plus est lorsque le vacataire de la cour inique communicante signe sous pseudo, sous le pseudo : ATTICUS.
N’est-ce pas là, à minimum, un filoutage médiatico-politique, au mieux une forme d’anxiété à perdre et au pire une divagation intellectuelle cachée sous les voiles de la pudibonderie ?
ATTICUS, dans ‘’Le Prince, la Cour, le Peuple’’ n’est-il pas affecté, sur le référentiel papier, par une forme de déréliction en clandestinité politico-templière ou autre religiosité-politicienne en charte d’éditeur avec singularité d’inadvertance philosophico-politique pluridisciplinaire… ?
Salman Rushdie a écrit bien des ‘’choses’’ sur les orthodoxies, us et coutumes, comportements et désaffectes quant à sa communauté cultu(r)elle…
Cela lui a valu une fatwa…
Il ne me semble pas que ce genre de terrorisme intellectuel soit une donnée primaire en ce pays, des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, appelé : FRANCE.
Ne serait-il pas plus perspicace et bienséant de penser que le ‘’Prince’’ est lui-même atteint de la maladie du blé jaune présentée aux commissures des partisanneries politico-philosophiques de coursives… ???
Où France est fustigée par :
LES SOTS DE L’AMULETTE ET DU MULET
A l’exigence de l’absolu, vivre quelques grâces,
Le sot avisa qu’ils étaient gens habiles.
A tyranniser les sirènes et les innocents,
Suite à farcir choses de la duperie,
Au nom des plus grossiers menteurs
Les plus fieffés fanatiques, poison, absorbèrent.
A l’éminence des hommes de suffisance,
Ne dit-on pas des cartes défaussées,
Au cache des valets, sans encre efficiente,
Le cercle des indifférents, créèrent défaillances.
Puisqu’à la confession des attachements,
La triste parodie n’y trouva point remède.
Où sommes-nous m’écriai-je ?
Est-ce chose insuffisante que l’originalité ?
Extravagance, en ronds de jambe inefficaces,
J’y admettrai bien enlacements braves,
A l’appel des libertés, grâces formelles,
Lumières du jour, recyclent lemmes songeurs.
Sans rêve, aux sons des désirs inavoués,
Je nie faux comtes et reliques hydriques,
Des eaux, aux sources vaseuses,
Dans le tumulte des entraînements,
Au lit de vos entendements obscurs
J’y refuse vos habits de vestibule
Au vert de St Nicolas, St Patrick L’Irlandais,
Du rouge des vaines, Noël s’y alanguit.
Aux soleils noirs des potentats cardinaux
Les éclairs des recyclages orientaux
Par les orthodoxies des diables sans verves,
D’Est en Ouest, depuis des siècles,
Axiomes et postulats croisent le fer.
Les messagers de la liberté, drilles et devenirs
Aux sons des cloches sans tintamarre
S’y affligèrent avec les mots de controverse
Sans pâlir sous l’aiguille de leur langue acerbe
Pour les réseaux de la gente de sollicitudes
Voulurent s’ajouter aux sauts des bons dires…
L’attente de la providence allie le cynisme à la déraison.
Le zapping sur le Web, l’intransigeance des partis politiques envers les nouvelles dissidences, les corporatismes déculturés ne sont pas en mesure de remplacer les folies généreuses qui animaient jadis la génération des étudiants. Beaucoup d’entre eux s’abaissent jusqu’à vouloir un emploi, même précaire, plutôt qu’un idéal, et pour les mieux armés intellectuellement, avec raison, le cherche à l’étranger, et par là-même, souvent désenchanté.
La gauche ne peut désormais plus se poser en victime d’institutions dont ils ont allègrement profité par des postes à haute fonction, tels des potentats, intronisés par l’ordre du groupe ou du parti. Institutions accaparées par une droite arrogante, puisqu’elle a désormais, expérimenté tous les plaisirs et tripoté toutes les astuces du régime.
L’insurrection à surement couvée, sous d’autres masques que ceux dont on a déjà vu l’usage.
LETTRE D’UN AGNOSTIQUE AUX POLITIQUES CONFORMISTES, VOIRE REGRESSIVES, AINSI QU’AUX PRESIDENTIABLES DE TOUS BORDS.
Majorité des ‘’grands’’ personnages du monde politico-économico-financier sont devenus les mauvais élèves de la chronologie sociologique déboutée du langage de la logique humainement acceptable. Ou ne sont-ils plus en capacités d’imaginer les effets dévastateurs, ‘’hors de leurs portées’’ ; assujettis à trop de déficiences envers leurs congénères, résidents de zones encore ‘’habitables’’ ; où les contraintes utiles à trouver subsides minimums nécessaires à vie digne et honorable sont les uniques lois de la précarité soumettant l’être humain à l’inquiétude, le désœuvrement, les peurs ou la servitude liberticide… Charriant retour vers un système sociétal datant d’avant la loi de séparation des corps républicain et ecclésiastiques, où le négationnisme et l’ordre du clan faisaient lois. Les crises sociales, financières, économiques et les guerres nées des régimes politiques, à ferveur templière, destitués de toute forme d’humanisme, ne sont-elles pas suffisantes pour réussir à engendrer quelques meilleures singularités dans l’esprit communautaire ? De Droite ? Du Centre ? Et de Gauche ?… L’image starisée des politiques de vernis ne sera jamais le murmure autorisant les accords du chant entre le pauvre et le riche, le maître et l’esclave, l’ordonnateur et le serviteur…
Le paradoxe culturel est la faillibilité de l’épreuve matérialiste.
Et dans cette incompréhension généralisée l’antivirus de la philosophie politique a été érigé par les règles du corporatisme exacerbé, du productivisme endiablé, de l’identité du clan, du ségrégationnisme vénère, voire de l’ordre des ‘’Catéchèses’’ iniques, de la ‘’Torahnie’’ élective, ou de la vile ‘’Coranie’’ , et autres bonimenteurs d’épitres, où le seul point commun à toutes ces théorisations textuelles est en celui de laisser croire à leurs dévots, bigots, bigotes, serviteurs et génuflecteurs que la seule symbolique de l’entité ‘’virtuelle’’ serait l’excuse d’ignorance et le pardon du déni de sollicitude…
‘’Hors Sol’’… ?
Autorisant la pensée partisane à déterminer le délit de non-initié comme une atteinte aux anciennes écritures ; alors que de par le langage logique la division intellectuelle ne saurait avoir commencé avant l’édiction balbutiante de ces ‘’mots là’’, inscrits sur quelques feuilles désordonnées, et déjà mortes avant qu’elles ne puissent s’approcher de la ‘’gnose’’… ; et de la thèse attachée à l’extraordinaire discours entre les sciences et les arts…
Un agnostique, un athée ou tout esprit ‘’libre’’ seraient-ils en incapacité de pouvoir définir les limites du bien et du mal ?
De l’attachement, de l’attention et de la liberté ???
La question ne saurait se poser en ces termes, car :
‘’Tout est à l’intérieur et tout vient de l’extérieur…
Et tout est à l’extérieur et tout vient de l’intérieur’’.
Par conséquent toute pensée douée de cognition est en capacité de s’approcher de la bonne conscience grâce à ‘’l’intelligence de cœur’’ ; bienveillante…
Mais je crois malheureusement que chez certaines inconsciences et néfastes consciences, la renaissance de l’esprit des temps immémoriaux des lumières est définitivement compromise…
Ou alors est-ce le scélératisme qui habite la philosophie politique, et les asthénies intellectuelles qui formatent la pensée antihumaniste… ???
Je suis etc, etc, etc…
Malgré cette sensation, je souhaitais vivement continuer ces extraordinaires exercices de lecture, d’écriture et de recherches, m’autorisant de meilleures visions envers cette espèce humaine teintée aux malencontreuses voix du paradoxe ||Féminin-Masculin|| ; envers la Liberté et l’Attachement…
Alors que leurs accords sont toujours extraordinaires, et parfois merveilleux… Hors symbolique fétichiste ou désir d’accaparement vénère.
Avec pour particularité, en celle que l’entité humanoïde n’ait souvent qu’invalidantes obsolescences rendant difficile la détermination de la meilleure forme de mobilité, accompagnée par quelques belles essences lui donnant gestuelle élégante, afin de virevolter avec la liberté, plutôt qu’à s’agenouiller devant l’attachement séculaire, en ignorant que la danse à mille temps est beaucoup plus enrichissante que les blâmes de la génuflexion. Cette vision n’est bien évidemment qu’une de mes expressions parodiées et dépeintes dans et envers la sémiotique livresque affectée par quelques abstractions philosophiques suffisantes, en autorisant peut-être, la fantasmagorie textuelle détroussée hors des tabloïdes mythologiques… Sociologiquement Inopérants…
LE PARALOGISME ENTRE SYSTEME ECONOMIQUE ET SOCIAL EST-IL INSOLUBLE, OU EST-CE UNE ASSOCIATION DE MALFAITEURS… ???
N’est-ce pas Mesdames et Messieurs les gestionnaires de rentabilité, dirigeants des ressources humaines, administrations et politiques de tous bords possédant savoirs et capacités d’analyses des systèmes socio-économiques, zones d’activités, entreprises industrielles, sociétés commerciales, d’échanges de biens et services privés et publiques, tout cela, bien évidemment accompagné de la compréhension ontologique suffisante et la juste philosophie envers vos ’’semblables‘’…???
Mammifères-humanoïdes…
Et surtout disposez des compétences nécessaires à définir les règles et lois de la division sociale afin d’y maintenir le règne des possédants addictifs, dont sa constituante principale est en la seule pensée d’exister uniquement par l’avoir et non par l’être. Ce qui est un total paradoxe communautaire, et social sauf pour les inconscients et inconscientes, déterminés(es) à appliquer ce concept des avoirs par refus d’attention, d’étude sociologique, analyses épistémologiques, et philosophiques dénuées de la juste compassion envers des formes de vies toutes aussi honorables et dignes, désirant juste le nécessaire à y accéder par leur ‘’travail’’ empreint de la déontologie des savoirs faire, accompagnée par l’éthique des savoirs être… Dont vous êtes assurément très éloignés des zones d’exercices réelles de ces ’’formes’’ de vie conscientes, et par voies de conséquence assez ignorant quant à leurs codes de fonctionnement, circonvolutions, covalences, convergences, intérêts et autres concessions entre les différents protagonistes de ces zones sociales économiques à ’’réseaux’’ humains, dont leur but de rentabilité reste quand même empreint d’une certaine réelle et juste valorisation manuelle et intellectuelle, en permettant la visualisation et la reconnaissance d’une possible juste équité. Alors que votre enjeu principal, dont vous pouvez aisément en percevoir les magnificences, puisqu’il est omniprésent dans vos zones d’échanges de biens et de services dont ils en sont les piliers’, à savoir, définir le prix des prestations de vente au maximum de leur valeur financière absolue, tout en y appliquant la valeur ajoutée au minimum de son prix de revient (sauf pour les produits de ‘’luxe’’, réservés à pouvoir financier suffisant) avec pour la partie main d’œuvre productive déconsidérée, le minimum admissible (devenant aujourd’hui souvent maximum de son inadmissibilité), pour chaque zone géographique dans laquelle elle est exercée au minimum des quotas économiques et sociaux, bien évidemment facilités par le développement des transports permettant, si les coûts de production ne sont pas assez bas ’’ici’’, d’aller trouver ailleurs de plus petites mains moins chères, vous autorisant, bien évidemment, sans aucun état d’âme quant à l’exploitation anarchique des hommes par l’Homme, voire des enfants, d’en laisser la marge financière maximale à l’acte de vente du produit, invectivée par son potentiel à être objet essentiel, nécessaire ou superflu avec comme particularités à ces trois sujets d’incertaines obsolescences, en celles que le premier n’ai aucun besoin à être appuyé par l’offre, le troisième obligatoirement invectivé par l’offre, alors que le deuxième se doit d’être tantôt soutenu par la demande et tantôt assujetti à l’offre, pour la simple raison que le nécessaire n’a pas même signification suivant la projection que se font les pensées et imagination chez le ‘’bipède humanoïde’’, de l’essentiel quand il le possède et du superflu lorsqu’il le désir, où dans ce système le référentiel en est assurément la « Monnaie »...
Heureusement pour vous, que majorité a toujours du mal à fixer le degré de l’utile’, surtout lorsqu’il est martelé par les outils du marketing logo-médiatisant ; et autres réseaux publicitaires à sémiologie médicamenteuse, dont leurs particularités en sont le formatage des pensées et la logo-atomisation de l’imaginaire… Je pense pourtant que vous devriez savoir que la gestion de ressources humaines demande par définition, quelques notions de philosophie, d’histoire, de psychologie, sociologie, ontologie, voire anthropologie adaptées à traiter convenablement l’objet et le sujet attachés à l’exercice de compréhension, par la logique humainement acceptable et respectueuse de tous labeurs, besognes et travaux, ainsi que de toutes vies, où les langages phoniques, expressions formelles, impressions logarithmiques, mathématiques, informatiques et alphanumériques, n’en sont qu’une partie de la possible et potentielle compréhension, et se doivent obligatoirement d’être accompagnés par quelques langages poétiques et romantiques, institués par quelques attentions humainement acceptables… Car dans le cas contraire, cette appréhension attachée à la dualité ‘’corps-esprit’’, ne saurait en aucune façon être approchée, et encore moins unifiée ; en tant que complémentarité essentielle à bienséance.
On ne vous a pas appris cela à l’école de la vie ?
Mais bon, le ‘’sujet’’ humain que je suis, ne vous en veux pas. Vous êtes seulement devenus des recruteurs et administrateurs à la solde de quelques chefs et autres dirigeants doués de mauvaises natures, ou dépassés par les évènements du moment, où le plus important de vos désirs et les leurs, sont votre identité anthropocentrique et vos ’’petits pouvoirs’’ exercés par trop d’indécisions et mauvaises perceptions, qui par la mienne me permet de vous visualiser tels des fantômes de la gestion des ressources humaines, administrations économiques et sociétales, qui devraient par ailleurs commencer, très tôt, par l’apprentissage, l’éducation et la retransmission des savoirs et connaissances additionnées à l’histoire de chaque ’’évolution générationnelle’’, avec dans une de ses définitions quelques oublis inconscients de votre part pour ses parfois mauvais cycles et effets, qu’autres grands dirigeants, hommes politiques et modulateurs médiatiques, n’ont bien évidemment pas oublié et surtout n’ont pas omis d’y exercer quelques actions sur ces trois leviers que sont donc, ’’l’essentiel’’, le ‘’nécessaire’’ et le ‘’superflu’’, pour des désirs personnels que vous entreverrez peut-être en lisant mes ‘’mots dits écrits’’, et informations objectives et logiques éditées également sur autres supports… Ailleurs… Accompagnées par quelques extraordinaires consciences… Où les déterminantes justifiables, l’équité, la fraternité et l’humanisme possèdent encore leurs réelles et belles définitions universelles.
Hou la là, la conscience humaine!
Qu’elle est perfide parfois et trop souvent proche de l’inconscience … Et je n’édicte rien quant aux inconscients(es) qui ne souhaitent ou ne veulent plus se faire ‘’soigner’’.
Sujet trop vaste… Atteint par trop de prosélytismes de mauvaises croyances infondées. Car encore cloisonné par trop d’incompréhensions philosophiques ou teinté de trop de volontarismes liés à la soumission néo-liberticide, envers le sujet humain et autres organismes vivants… Dépeints dans l’inconscience ontologique… Bordel, ’’Gente’’ de bonne conscience, réveillez-vous ! Et faites travailler votre imagination et vos méninges, par la vraie logique de vos sens! Car, sur ce thème particulier des savoirs faire et savoirs être, en tant que déterminants de la redevenue nouvelle asociale économie en générale, travail rémunéré à la juste valeur de son exercice particulier et conceptualisation de milieux sociétaux vivables, je ne comprends plus grand chose, tant dans les comportements que dans les bases indispensables, utiles et nécessaires, tel un triptyque attribuable au genre humain, dont les trois ‘’piliers’’ essentiels en seraient « l’affectif, le travail et l’outil » nécessaire aux échanges, à savoir : ‘’La monnaie’’ ; en tant que référentiel utile à la visualisation fiduciaire des énergies humaines, matières premières, biens et objets transformés…
Mais par contre, je m’aperçois pour le premier, qu’il est relégué en troisième position après l’argent et derrière le travail, tandis que pour ce dernier, le temps pour accéder à la retraite augmente, l’âge du ‘’sujet’’, lui permettant de commencer à être considéré comme compétent afin de pouvoir entrer dans le secteur du travail rémunéré se décale, la période où nous sommes considérés comme performant diminue. Il me semble malheureusement entrevoir une mauvaise rythmique dans tout cela, pour disposer de quelques menues monnaies…
Les ’’jeunes’’ commencent à recevoir un salaire soumis à cotisations ’’pleines’’ en moyenne vers 23 ans, et à partir de 54 ans, voir avant (c‘était mon âge en 2013), nous sommes soit disant insuffisamment compétitifs pour continuer cette activité professionnelle, qui nous a permis d’exister dans ce ’’système’’ en tant que lien social-économique. Si je compte bien, cela fait environ trente et une années de cotisations, alors qu’il nous faut dans notre pays, plus de 41 annuités en permettant les versements normaux proportionnels à une réelle activité rémunérée exercée au juste montant ’’absolu’’ en tant que déterminant des prélèvements nécessaires à l’obtention d’une retraite par répartition à taux plein en adéquation avec des normes de vie acceptables pour ceux et celles en activité, au même titre que les retraités(es) bénéficiant uniquement de cette ‘’rente‘’, me semble-t-il ?
A moins d’avoir réussi à cotiser à quelques fonds de pensions où caisses de retraite complémentaires… ? Encore une fois, me serais-je trompé, ai-je été trompé, maintenant, ou en d’autres temps et par de mauvaises intelligences dont la justice sociale n’est pas le cœur de leurs problèmes ?
Mais, comme souvent en des cas problématiques, je m’aperçois que les réelles définitions de la liberté, de l’égalité et de la fraternité ont été dans notre pays, comme en beaucoup trop d’autres, quelques peu oubliées, ou bafouées tels des arbrisseaux desséchés, présents aux bords des chemins, dont leurs graines réensemencées de façon inadéquate, n’ont assurément pas reçu les attentions nécessaires à leurs belles pousses, et aujourd’hui remplacées par de mauvais germes, dont l’expansion de leurs aires de développement me semble être générée par l’expropriation voire l’élimination des petites cultures et ’’autres insignifiances’’…
Et remplacer par des produits de mauvaises influences, fausses factures et néfastes consommations…
Physiques et Intellectuelles… ???
Après ‘’Big Brother’’, ‘’Little Uber’’ sera-t-il le ‘’grand frère’’ du XXIème siècle ?...
Je pense que le développement de toutes ces ’’grandes’’ applications risque malheureusement d’être en celui d’y avoir quelques problèmes supplémentaires d’ici quelques années, pour une grosse partie des générations suivantes à la mienne, en dehors de ceux existants à l’heure actuelle consistant majoritairement dans nos pays modernes à essayer de vendre de ‘’l’intelligence grise’’ pas toujours adaptée à nos systèmes de vies, en perpétuelles mutations, où la vraie réalité sociale économique est pourtant bien en celle de certaines de ses belles entités, proches de l’appareil créateur et générateur de produits manufacturés marchands, mais trop souvent destituées de leurs fonctions logiques par quelques mauvais génies de la finance et autres sorciers de l’économie peu scrupuleux, et sûrs de savoir comment gagner de l’argent par d’autres principes virtuels dénués d‘une quelconque petite éthique, leurs permettant de conserver le contrôle des flux financiers à fin d’augmenter leurs réserves monétaires, ainsi que la croissance de leurs biens matériels, sans considération pour les quelques ’’entités’’ atteintes d’autres souhaits sociologiquement plus engageants ; ainsi que pour le fondement de l’appareil des savoirs techniques exécutables par les savoirs faire manuels et intellectuels, en tant que valeurs ajoutées, apportées par tous ces ’’savoirs’’ pourtant indissociables les uns des autres, se trouvant dans la création, la conceptualisation, la réalisation, la fabrication, la distribution et l’acquisition de ‘’l’objet’’ utile, nécessaire, essentiel, souhaité, désiré… ; jetable, etcétéra, ‘’rejeté’’,…
Néo mieux, néo vieux, néo jeunes, nouvelle économie, nouvelle évolution, que sais-je encore…
Plus, mieux, bien ? Pour quoi, pour qui ?...
Nouveaux sujets… ???
Pour croire que nous avons pouvoir d’assertion équitable ?…
Ou d’asservissement … ?
Par la servitude démystifiée ?
Pour les principes, us et coutumes retransmis par ceux et celles d’avant ?
Ou au nom de quelques croyances infondées ?
Ou plutôt à imaginer d’autres systèmes de ’’vies’’ plus respectueux de ‘’l’être vivant’’ ?
Et du monde naturel… ???
Où ce dernier est assurément notre référant existentiel !
Ma génération et celles d’avant ont quand même majoritairement, sacrément foutu la pagaille, vectorisée par l’inconscience d’être pratiquement sûr de n’avoir engendré ni désordre, ni individualisme, qui pourtant, même sans y prêter une attention exacerbée proche du mal de tête, sont assez facilement décelables en certains milieux socio-économiques, où la machine est devenue suffisamment complexe pour ne réussir à en définir uniquement les réponses humainement inacceptables, éloignées des vraies’ réalités dont leurs états intelligents sont pourtant statistiquement dotés de solutions convenables, si elles étaient réellement visualisées et comprises, surtout par ceux et celles existants par ailleurs, ne voulant opter pour aucune autre logique, anticonformiste au rapport de leur présent matérialiste et pourtant, par juste rétribution, indispensable à la belle évolution générale…
Ont-ils, ont elles peur que ces changements non propices à leurs croyances et certitudes fortement cloisonnées, défiscalisées ou endettées, aient quelques incidences sur leurs bonnes conditions de vie, où pour certaines, le nécessaire a largement dépassé l’essentiel à l’existence d’une seule, qui par leurs omissions, peut-être volontaires, ont oublié que l’analyse objective et la conceptualisation associative d’autres possibles états fonctionnels affétés à la belle évolution ‘’humanisante’’ en permettraient le juste éclaircissement de certaines alternatives sociétales plus adaptées aux espaces temps du moment, où le privilège serait le véritable bien-être légitime avant le tout avoir absolu… ???
Mais malheureusement, cela est trop utopique pour l’instant, l’humanité en tant qu’entité, n’est pas encore prête, même si certains ’’mammifères-humanoïdes’’ le sont… Où le vecteur commun à toutes ces conceptualisations est bien évidemment en l’attrait de la nouveauté, indexée par de belles évolutions technologiques, mais maintenant bien souvent établies au détriment des modifications ethnologiques et sociétales ; aujourd’hui humainement inacceptables en certains lieux, car empreintes de trop de ce corporatisme qui lorsque sa définition est appréciée comme insuffisamment communautaire se rapprochera inéluctablement des frontières du sectarisme, où l’effet de ce ’’mauvais élément’’ ne saurait entrainer autres opérations que celle de la division avec toutes les conséquences applicables à ce pandémique phénomène .
Par lequel trop ’’d’entités’’ de ce monde se donnent autorisation à se foutre de tout ce, celles et ceux qui se trouvent hors de leurs zones de confort ou champ de possibilités à justes, honorables et dignes accessions par différents d’eux, sauf pour les objets et sujets fonctions d’acceptables covalences envers et entre les possédants, ou autres, très proches, dont les amitiés ne sont considérés comme tel, que si, ‘’ils’’ ou ‘’elles’’ (les humains), ont possibilité à être touchés(es), accaparés(es) ou, pour ceux et celles non conformes à la norme sociale-économique et/ou politico-philosophique évincés(es)… ; en oubliant qu’autres ressemblants ont également le potentiel à être touchant, où ce sentiment est trop souvent oublié hors de notre champ émotionnel, sauf en quelques visions d’autres corps meurtris, dévalorisés, dénaturés, gravement détruits psychologiquement, ou encore trop endommagés physiquement, ainsi que trop de laissés(es) pour compte dans des ‘’no mens land’’ ou zones de non-vie, au nom d’intérêts esclavagistes procédant à trop de cruautés envers les femmes et les enfants de tous pays…
Pourquoi faut-il en arriver à de telles visions extrêmes pour percevoir l’obscur manichéisme déstructurant de ce monde de folies et d’inconscience ?
L’être humain serait-il devenu aveugle et sourd ?
Utilise-t-il ses facultés et propriétés au nom de la convoitise, de l’accaparement, du narcissisme et de la cupidité ? ...
Ou alors est-il maintenu dans le filoutage et les peurs suffisantes et utiles à engendrer l’asthénie intellectuelle et physique … ???
L’autre monde existant, étant bien évidemment celui des exclus(es) du système sociétal établi… Où ils, elles, eux (et autres espèces vivantes), n’ont apparemment plus aucune utilité, propriété ou faculté, qu’elles soient touchables ou sensiblement touchantes, sauf celle d’être considéré et affilié à des incapables, bons à rien, donc inutiles, obsolètes, incompatibles et forcément atteints d’instabilités et de déraisons… Et donc susceptibles d’être ‘’stabilisé’’ par une ordonnance de vie proche d’une certaine forme légère d’eugénisme dans le paradigme virtuel et psychologiquement lobotomisant…
Conclusion, par définition de ce qui est établi proche de l’indifférence, du refus ou du déni, ne peut devenir à terme, qu’exclusion du système établi par règles et lois, sans en avoir l‘absolue certitude, que toutes soient adaptées pour l’ensemble des acteurs et actrices vivant dans la zone définie ou territoires gérés, depuis un temps supérieur à celui d’une génération, où une partie de la suivante ne souhaite, trop souvent, que le conformisme modifié par la puissance des nouvelles technologies, alors que la précédente par peur de pertes d’acquis refuse tout changement socio-économico-culturel, où les réelles sensibilités sont oubliées, par préférence corporatiste ou, et cultuelle…
Certains esprits sont parfois un peu inconscients dans la conceptualisation de fonctionnements politico-socio-culturels illogiques, uniquement hors de leurs concepts et portées imaginées trop souvent inflexiblement corporatistes ou électoralistes, et parfois tordues déontologiquement par des programmes logiquement indispensables aux développements de leurs intérêts lobbyistes, à tendance particulièrement unilatérale, invectivée par quelques sources dysfonctionnelles nécessaires à l’acquisition du tout avoir, tel une prosternation devant le dieu de la possession plutôt qu’un alléluia envers la déesse de la sagesse, où la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice n’ont plus que l’apparence de statures disloquées.
Michel Asti – Au-delà des quarante malencontreuses.
PRAGMATISME
Vers quel nombre tendre par moins disant
A faire une nouvelle opération soustractive
Envers devenu cher à contribution
A oublier sujet intégralement présenté
Au soin d’autres dissidences bâclées
Plutôt qu’à persister dans l’analyse
Inutile aux angoisses des flux contrariés
Chiffrage des amertumes clandestines
Suffit à décider des gibiers de potence
A vies exsangues aux bastions de l’ancienne garde
Le masque cynique des aptitudes savantes
Ni apposa que la symbolique sans partition
Aux sciences inhumaines ex-machina contribuera
Sans aucun scintillement à l’amplitude de l’action
La vaseline des suppositoires multiplie les têtes de cul
La thèse pragmatique n’est que contre-valeurs suceuses
Les figurines frappées au sceau scriptural
Ont déposé la monnaie de singes
LE LIVRE
Le LIVRE s'ouvre sur un poème testament : DEMAIN...
Le vent du lendemain lèvera les ombres
Tu souviendras-tu des aubes s'illuminant au film de tes nuits
Pour le jour à ne pas baisser ta garde
A t'efforcer de ne pas défaillir
Lorsque tu tentes de pénétrer dans l'aiguille par la pointe
A tourner autour de ces baraques de cendres et de feux
Après que la cause n'eut laissé que meurtrissures
Que les devises de la grande pute royale furent défigurées
Abasourdies par les symboles d'un dieu mort-né
A ne pas condamné la porte à paumelles rouillées
Où le temps n'est que reflet des hurlements lugubres
A mon chevet, sous mes feuilles, gardez un visage humain
Illuminons un lieu d’un langage aux reflets des étoiles
Sur la mer, aux vagues de son lit, pareilles aux songes
LES COMPERES
Article du Parisien : ''La Traversée'' :
Oh, le GOUPIL et le COHN-BENDIT, l’idée de votre documentaire ‘’La Traversée’’, c’est quoi ?
Vous vous êtes dits : ‘’Aller, partons en vacances à travers territoires de France, voir les gueux, nous arriverons bien à faire quelque images, et à les vendre à un réseau audiovisuel de nos copains-copines, tout le monde tambourine dans l’entre soi…’’ ?
Effectivement, cela n’a pas dû être trop éreintant…, non ?
Qui plus est le risque n’a pas été très important, sachant que l’accès à ces réseaux de ‘’l’entre soi & l’entre suit’’, est devenu chez vous une spécialité, permettant de vendre n’importe quelle ‘’merde’’ audiovisuelle à chaînes en travers de diffusions assujetties à ‘’jeunes et vieux cons’’… En l’occurrence de votre ‘’traversée’’, qui n’a même pas l’élégance des ‘’chemins d’un Petit Renaud’’, et achetée, par je ne sais quel Directeur des Programmes, pour des raisons qui me semblent plus appartenir au cercle des initiés(es) à une communication en inculture sociologique…
Bordel, rentrez chez-vous et arrêtez de monopoliser les écrans par vos expertises de lèches-cul envers petits potentats, satrapes, césars et autres empruntés(es) à haut de chaînes !
Continuez comme cela, et ça finira mal !
Ah oui, au passage, à votre copain MICRON lorsqu’il dit : ‘’ L’Etat est devenu laïque’’, veuillez lui préciser, qu’il arrête de prendre bon peuple pour : « gens de rien, fainéants, incultes, illettrés(es)…, etc… » ; après que son prédécesseur les ai nommés : ‘’Les sans dents’’ !
L’Etat, représenté par son Président élu au suffrage universel, ne peut être que Républicain et Démocratique, par contre une Nation peut être laïque !
Mais continuer avec votre sémantique d’inconscients, voire néfaste conscience, et la suite sera assurément un syllogisme de chaos.
Mais cela, peut-être, le voulez-vous, sachant que vous n’avez plus aucune solution pour rétablir quelques équilibres communautaires ?
LES 68 ’’BEN-DITS’’ & LE ‘’GOUPIL’’
Les compères s’en allèrent sur le pavé des bonnes intentions,
Pour juste cause en sens de sécession d’outrages à Liberté,
Que la raison fut enchanteresse, en devises, à bobos d’intellos,
Défense des valeurs de groupes, contre tyrannie d’Etat,
Les penseurs des lumières n’en ont dit moins,
Du Discours social à celui de la Méthode,
Des Lettres d’un Provincial, en Boétie de Servitude,
Jusqu’à La Fontaine percevant le prisme des royalties.
Les chantres, avec modernes nécessités, y consentaient,
Les ronds de jambe par chaires ancestrales, s’y refusèrent.
Comme si renard entonnait ; ‘’Que votre culture de ramage,
Sur feuilles jetées au puit des misérables, est beau plumage.’’
‘’Nous allons en faire voix de marché’’, dit le Re-Cohn-naissant,
Sûr que nous n’en trahirons pas l’idée des communes réunifiées.
Ce fut, par fourberies en simulacre, tickets sous entrées liberticides.
Malheureux ces Etats en séparation de justice et liberté,
Sans attention ; souvent complaisance a de méchants effets,
Comme ces têtes d’appartenance et passantes sans requêtes,
Marchant avec meutes de bêtes sans mémoire,
Poussées par les révélations des fantômes de l’imposture.
Entre corbeaux en croassements de libertaires sans histoire,
Et la perfidie en liberté de goupils sans prestance,
Soyez en vertus de saine stabilité, avec prétextes abattus,
Car goupils et corbeaux ne voleront jamais aux vents des goélands.
Quant à vous, mercantiles opportunistes, sans imaginaire,
A votre miroir de viles condescendances d’amphitryons,
Nous y revisitons la fumisterie de vos ombres, fourbes,
Actées sur les films, au cache, des lunes brunes.
En contre mesure de vos ramifications sans évidences,
Nous y résisterons dans la raillerie de vos funestes appartenances…
Michel Asti
Date de dernière mise à jour : 03/08/2019
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