ANNEE 1975 - EXPLOSION DU CHÔMAGE, PREMIER G7 & LES BOAT-PEOPLE
ANNEE 1975 – FIN DE SCOLARITE… 16 ANS 9 MOIS – ENTREE DANS
LE SYSTEME, ECONOMICO-SOCIO-CULTU®EL & FINANCIERS
DE BIEN(S) ET SERVICES ; MARCHAND…
44 ANS APRES : LE RSAYSTE QUE JE SUIS DEVENU, DEPUIS JANVIER 2013,
PEUT-IL PRENDRE SA RETRAITE ? MÊME DECOTEE,
ET DONC, SANS AVOIR LES 167 TRIMESTRES DE COTISATION ?
CAR 8 ANS SANS VERSEMENTS FINANCIERS AUX CAISSES SOCIALES
NE SAURAIENT JAMAIS AUTORISER UNE RETRAITE Â TAUX PLEIN ;
MAIS COTISATIONS FAÎTES PERMETTENT, ASSUREMENT, UNE RETRAITE
DE 1 140 € NETTE MENSUELLE, CE QUI, DANS MA SITUATION FERAIT : 2,375 X MON RSA.
ET DONC POUVOIR DISPOSER D’UNE EXISTENCE DIGNE, POUR LE RESTE DE MA VIE…
Les minorités viles se sont immiscées aux records des majorités coites, politiques des villes et naturalité circulaire des champs ; la confiance, c’est uniquement lorsqu’elle est réciproque, qu’elle fonctionne.
La connaissance, c’est de l’expérience, tout le reste est, majoritairement, de l’information.
Michel Asti – ‘’CES ANNEES LÂ’’ – BLOG le RSA-YSTE
On peut identifier deux grands nouveaux défis :
- L’immense écart entre les très pauvres et les très riches. C’est une innovation du XXème et XXIème siècle et totalement incohérente avec les DROITS de l’homme, de la femme et de l’enfance.
2 - Les droits de l’homme et l’état de la planète. J’ai eu la chance de participer à la rédaction de la Déclaration des droits de l’homme adoptée par l’Organisation des Nations Unies, le 10 décembre 1948, à Paris au Palais de Chaillot. C’est au titre de chef de cabinet de Henri Laugier, secrétaire général adjoint de l’ONU, et secrétaire de la commission des Droits de l’homme que j’ai, avec d’autres, été amené à collaborer à la rédaction de cette déclaration. Je ne saurais oublier, dans son élaboration, le rôle de René Gassin, commissaire national à la Justice et à l’Education du gouvernement de la France libre, à Londres, en 1941, qui fut prix Nobel de la paix en 1968, ni celui de Pierre Mendès France au sein du Conseil économique et social à qui les textes que nous élaborions étaient soumis avant d’être examinés par la Troisième commission de l’assemblée générale en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles.Cette déclaration universelle doit beaucoup à la REVULSION universelle envers le nazisme, le fascisme, le totalitarisme, et même, par notre présence, à l’ESPRIT de la RESISTANCE.
Stéphane Hessel – INDIGNEZ-VOUS !
"Ne pas communiquer signifie exactement la nécessité sanglante de communiquer."
Georges .Bataille
Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ;
Or il est de plus en plus inhumain, déséquilibré et irrationnel.
J’aimerais beaucoup connaitre la véritable définition du TRAVAIL, ainsi que le réel déterminant d’une ACTIVITE à juste valeur ajoutée, dans le monde des actions, réactions, mouvements, mobilités, savoirs faire et savoirs être, de même que la notion d’EMPLOI rémunéré au rapport de l’utilité et l’essentialité dans la sphère, d’échanges de bien(s) et services, marchande, notamment par la dialectique assujettie à ces savants en toutes MATIERES, épistémologues, philosophes, voire théologiens, théoriciens, politiciens, experts de tous ORDRES, génies des sciences économiques et financières, ET/OU sorciers de L’USURE…
DANS LE SYSTEME SOCIALE ECONOMIQUE DE BIEN(S) ET SERVICE MARCHAND…
LA LOI DU MARCHE AVANT LA BIENVEILLANCE… ?
Le XIXème siècle fut celui de l’avènement industriel initialisé par les premières découvertes scientifiques de la fin du XVIIIème, après la Renaissance au XVIIème. La technologie, les sciences et la création de nouveaux outils, matériels, matériaux, moyens techniques, dispositifs de communication et facultés humaines, nécessaires à indexer l’évolution des sociétés, prennent une ampleur extraordinaire, jusqu’à nos jours. Une partie de notre « modernité » commençât véritablement au début du XIXème siècle. Les nouvelles idéologies aussi. Les paradoxes de la philosophie-politique également. Ce siècle de l’avènement industriel vît, sur l’ancien continent la chute des monarchies. La fin de la révolution d’octobre en Russie enclencha une nouvelle ‘’guerre’’ entre le modèle capitaliste anglo-saxon, émancipé à plus grande échelle outre Atlantique, notamment en Amérique du Nord, et le communisme soviétique induit par la face autocratique, voire despotique de Lénine et Staline, avec les deux plus meurtrières guerres au XXème siècle.
L’histoire n’avance que par son mauvais côté, disait Marx.
Il est intéressant de voir que l’histoire de l’ancien au rapport du nouveau continent affichée par le nouveau monde des Amériques est en train de réapparaitre, telle une forme simiesque d’un passé sombre. Certes la modernité a apporté ses bienfaits. Notamment dans les domaines des transports, de l’alimentation, des normes de sécurité, l’hygiène, la médecine, les connaissances, la retransmission de l’information, la rapidité des échanges commerciaux… ; etc… Mais tout cela n’a pas suffi à diminuer, proportionnellement à l’évolution démographique, les inégalités entre les hommes, les femmes et les enfants, l’iniquité sociale-économique, les conflits territoriaux, la fracture culturelle, le refuge identitaire et communautaire.
L’accessibilité aux biens essentiels est de plus en plus compliquée, même dans nos sociétés occidentales. Ces dernières décennies l’incompréhension intellectuelle entre systèmes d’échanges de biens et services des villes, où sont concentrées les richesses, et régions rurales, en déficit d’emplois, s’est accentuée. La fête s’est terminée à la fin des années 80, après les ‘’trente glorieuses’’. Elles ne reviendront jamais, soyez en certain. Il faudrait que les sociétés modernes se réinventent en fonction de leurs évolutions technologiques, économiques et culturelles, si elles veulent s’émanciper des carcans sociétaux, de l’ignorance inflationniste installée par de néfastes corpus sociaux-économiques et culturels fracturant les communautés, territoires, pays et nations inconscientes du drame en déclin civilisationnel. Après la liesse faisant suite à la fin de la deuxième guerre mondiale et le renouveau de la construction européenne les démons affectés à l’anthropocentrisme de l’homme et des clans ressurgirent. Les fantômes de l’ancien monde réapparaissent. Les peurs, les incertitudes, la pression économico-socio-financière et les dogmatismes des nouveaux paradigmes culturels affichés aux néo-scientistes s’installent patiemment, au nom des lois et règles de marchés des « changes », soient disant inédits… ???
Mais bienveillants, parait-il…
Quand l’histoire se répète, disait Marx, la deuxième fois c’est une farce.
« La monnaie doit se donner pour légitime et cette légitimité ne peut se construire sur la base de la seule conscience qu'auraient les agents financiers du nécessaire recours à des objets conventionnels. Or, seule cette conception de la légitimité répond aux exigences et naturalités des thèses individualistes. Techniquement, c'est au travers de l'hypothèse d'anticipations rationnelles qu'elle se trouve formalisée dans les modèles socio-économico-culturels. En effet, cette hypothèse signifie que les représentations des agents sont identiques au vrai modèle de l'économie. A contrario, la légitimité suppose la croyance en une certaine matérialité des symboles…»
Aussi est-elle contemporaine d'un certain délitement ou déni d’évolution collectiviste, voire mutualiste des sociétaires, acteurs, actrices, réalisateurs, imprésarios, agents et échangistes des scènes nationales et internationales, perceptibles en et par les dysfonctionnements géo-politico-socio-économiques, devenus aujourd’hui divisions communautaires, où en certains lieux de conflits géo-politico-financiers, la valeur immanente est en ces états, indubitablement, ‘’ARMEE’’…
Au détriment de toutes ’’cultures’’…
Où le temps de la potentielle entente sera invariablement utopie.
Dimension qui ne peut être en aucun cas désolidarisée de tous objets symboliques, matérialisés par leurs essentialités, utilités, nécessités, disponibilités ou toute autre sensibilité en tant que sujet porté à son propre pouvoir, sur soi ou autres par l’effet de cette symbolique affective, devise sécuritaire, liberté attractive, attachement séculaire, immanence séculière, causes plaisantes, passion communautaire raisonnable, raisonnée… ; ou alors individuellement déraisonnable… ???
- Septembre 1975…
Il était devenu cet adolescent de 16 ans, et allait cette année-là, entrer dans le monde du travail, où la première porte socio-professionnelle qui s’ouvrait devant lui était celle de la ‘’Belle Cordière’’, confiserie-chocolaterie située dans un quartier de Villeurbanne, non loin de l’endroit où il habitait, avec sa mère et son frère. Il était sorti du cycle de l’éducation nationale au mois de juin de cette même année, avec en poche, uniquement ce BEPC, acquis en 1974, où après cette dernière période scolaire en classe de seconde, il apprit par courrier la conclusion émise par le cercle des professeurs, lui signifiant qu’il était venu en ‘’touriste’’, au Lycée Frédéric Faÿs, et il lui fallait envisager une autre voie permettant de possibles meilleurs résultats dans et par un autre apprentissage professionnel. Mais, ces acteurs et actrices œuvrant dans le milieu de la retransmission des savoirs faire technologiques ne savaient pas que cette école de mécanique générale, n’était pas celle que souhaitait cet étudiant et surtout il n’était pas intéressé par cette future activité professionnelle. Il eut préféré effectuer ce cycle secondaire dans le cadre d’un BTS en électronique. Et de plus, en décompte de ses notes relativement bonnes en mathématiques, au cours des années précédentes, le transmetteur du savoir logique, avait lui semblait-il, édicté en début d’année quelques propos, plus proches de l’invective liée au fait, que cet adolescent venait d’une école privée, et avait intégré cette année-là ce lycée publique.
Cette époque était, dans quelques esprits dénués de philosophie-réalité, de culture universelle, controverse mémorielle entre une laïcité sans épithète ou art de l’épistémologie défaillant, peut-être encore liée au dogme des connaissances sectaires et du savoir élitiste protégé des rupteurs de conscience avenante ?
Avec pour vecteur ‘’novateur’’ à partir de la fin des années 1970, celui de l’avènement de l’outil informatique, permettant de créer de nouvelles histoires, grâce aux langages algorithmiques, où les mathématiques en autorisent la création des bases de données et autres compositions sujettes à confinements corporatistes dont le pire est d’avoir oublié dans cette histoire à tendance ‘’déshumanisante’’, la pensée profonde de la propre existence ontologique singulière de l’être humain… Et pour paradoxe entre le langage informatique, et celui utile aux communications philosophiques et échanges psychologiques ; biophysiques et physiologiques entre les ‘’vivants’’, à ce que le premier ne soit qu’en rares compositions axé sur les sonorités de la poésie, du romantisme et de la bienveillance… Sauf, en quelques cas d’imagination linguistique lorsque que le désir devient celui de vouloir s’approprier la chose, l’objet ou se rapprocher du sujet… Où le mammifère-humanoïde, réussi parfois à déployer quelques consonances fumeuses… Mais souvent l’idée du propos est paradoxalement celle de l’amphitryon allergique au verbiage, non reconnu du compositeur, s’en trouvant par la même hébéter par cette éloquence désaccordée inclassable, et de par l’incompréhensible sémantique, complètement atterrer.
Ou subjuguer ; voire plus… Ou moins… Intéresser… ???
Mais cela n’était pas, non plus, souhait d’analyse consciente à ce moment de ma vie, car je n’avais pas encore envisagé mon existence dans ma zone de confort, comme un grand livre, constitué de chapitres, avec cette particularité, qu’il était souhaitable pour soi-même, afin de passer au chapitre suivant, permettant de continuer cette aventure extraordinaire, d'en comprendre les leçons présentées dans les chapitres précédents… Je n’étais pas encore apte à entrevoir, qu'il fallait parfois se retrouver dans des situations quelques peu inhabituelles, afin d’émettre les plausibles causes liées au mauvais choix, ou autres intendances éloignées des meilleures devises et solubles statuts communautaires, voire compléments humanistes, mais assurément proches de l’attention et de la potentielle compréhension entre les accueillantes et avenants, et réciproquement… Car en ces temps-là, je n’étais pas encore atteint du moment de solitude autorisant possibles compréhensions sociologiques, entre attachement et liberté…
Plus tard quelques formes d’incompréhension envers certains membres de ma communauté lui donnera silhouette, dans l’espace économico-culturel, trop souvent asséné au délit d’initié envers la liberté de croire que le déterminisme collectiviste conciliant, soumis à l’expression identitaire ne serait qu’égocentrisme en ou hors de l’espace grégaire, et par conséquent inopérant à la nécessité de rapprochement entre le corps et l’esprit… Ce qui est d’une totale ineptie, car les pensées ne sont pas soumises au temps, ni à l’espace… Mais justes à s’apprécier dans la sphère des covalences bienveillantes et bien pensantes accompagnées par la dialectique suffisante à retransmettre quelques belles intelligences de cœur réceptionnées proches des cercles des poètes, romantiques et humanistes. Avec pour singularité, en celle que la curiosité envers la sémiologie didactique des imprésarios de la dramaturgie communautaire est une triste farce dopée à l’inculture poétique, philosophique, économique, sociologique et romantique des mauvais clowns de la starisation VIDEOLISTIQUE.
LETTRE AUX MEPHISTOPHELES
Ne croyez-vous pas, Mesdames, Messieurs en tâche de gouvernances, que la plupart des gens se voyant tromper dans leur espérance, par les simulacres d’une exhibition politique, excluant territoires et habitants, non solubles avec la photo de famille gouvernementale sollicitée par des cadreurs de censure, n’y trouvent plus raisons suffisantes à attendre votre lente mise en application envers justice sociale, mais plutôt à trouver forces restantes et suffisantes à réparation ? J’en serai fort aise, à y trouver nombre d’indignés(es) suffisant à organiser une nouvelle armée des justes, officiant aux chemins d’une plèbe à dissidence intelligible.
Au nom d’un contrat social, entre les lignes des anciennes barricades, du rouge teinté au sang des innocents, n’en reste-t-il pas quelques gouttes invisibles aux yeux des biens garnis… Tiraillés entre la maladie du blé jaune, le virus d’un sarrasin envers la liberté d’une sarrasine, la mélasse, le voilage et le plumage, le néo-ordo-libéralisme, la franc-maçonnerie, les partisanneries cultuelles iniques, la soumission liberticide, les intérêts corporatistes antisociaux, le néo-scientisme, la culture anthropocentrique de l’entre-suit, le conformisme béat, la servitude, les possessivités vénères, la starisation politico-médiatique, le marketing et Mammon…
N’y voit-on pas là quelques éboulements d’échafaudages, auparavant structurés par la présomption phallique de chaires institutionnelles, à ce qu’elles n’y puissent contenir autres imminences grises que celles des religiosités-politiciennes ruisselantes d’inefficacité accostées par des politiques-templières, vouées à l’ordre de l’accaparement, au nom d’une vénalité d’intendances ?
Suceurs de position en sont assurément les plus fieffées gardiens d’étals…
A nul doute, d’un côté à compter pièces d’or et de l’autre, symboles à foutres. La différence y est insignifiante ; de même prosternation, la position en est effarante. Pour l’une, il est d’évidence action, en compte de pièces, le Veau - d’Or à engraisser, et de l’autre à attendre, que l’animal en vomisse quelques onces. A la magie des incertitudes, vociférâtes les inutilités aplaties, pour qu’en cette réunion, au cours des jours saints, la prière, de sept en sept, honore la fourberie et apaise les prémices suspicieuses de la condition humaine. C’est, sûr, celle-ci pousse tant d’imprécations qui s’y trouvent dans les prédicats de cette censure, que je n’ose en croire les possibilités d’une inversion décidable aux abords de la loi du marché.
L’entreprise humaine ne s’élèvera qu’en avertisseur d’intransigeances, le jour gratifié du nombre suffisant, d’avoir réussi à investir les vestiges d’amphitryon fourrés aux inepties des commandements privés de toutes institutions collectivistes abasourdies par le brouillamini des courbettes de fonds… Que d’une laïcité sortie des procédures d’assouvissement, le problème n’y résistera qu’en la discontinuité d’incompréhension des termes partisans affichés aux sourdines du multiculturalisme pervers abonné aux poisons d’anathème, d’exécration et d’hérésie, promulgués aux expressions d’horreur transmises par la parabole des virus d’assomption, s’imaginant proposer une nouvelle hystérèse ignorante des soubassements de la détestation, envers les exégèses d’experts en toutes doctes, génies de l’économie-financière et autres sorciers de l’usure promis en avenir de façadiers sans éthique et morale, mais assurément avec posture propre à bande de fieffés Méphistophélès …
« Les experts en intelligence sont-ils devenus espèce à sang froid ? La politique, la religion et la monnaie sont-elles, pour certains clans, un résultat de pouvoir divisionnaire inique ?
Ce qui est certain, c’est que les trois veillent et entretiennent le néo – ordo – ultra – libéralisme social-économique et le capitalisme financier impérieux » […]
M.A
Une intelligence ordinaire est comme un mauvais chien de chasse, qui se met rapidement sur la piste d’une pensée et la perd non moins rapidement ; une intelligence hors du commun est comme un limier qui ne se laisse pas détourner de la piste jusqu’à ce qu’il ait attrapé sa proie vivante.
Le Livre des Amis - Hugo Von Hofmannsthal
« Je connais la vérité — abandonnez toutes les autres vérités ! Il n'y a plus besoin pour personne sur terre de lutter. Regardez — c'est le soir, regardez, il fait presque nuit : de quoi parlez-vous, de poètes, d'amants, de généraux ? Le vent s'est calmé, la terre est humide de rosée, la tempête d'étoiles dans le ciel va s'arrêter. Et bientôt chacun d'entre nous va dormir sous la terre, nous qui n'avons jamais laissé les autres dormir dessus. »
M Tsvetaieva
Chacun se sentant si sûr de sa propre vérité qu’il en oublie trop souvent le sens de la formulation pour que la transmission verbale et/ou écrite de son discours puisse s’insérer dans un débat en recherche de ce qui ne saurait pas être qu’une approche en suffisance cachée sous le masque de l’ambiguïté opportune sinistrée par l’incompréhension d’une possible différence de point de vue analytique quant à l’évanescence des expressions textuelles sensibilisées aux impressions sémiotiques des vagabonds de mots…
Plutôt qu’à m’attacher à ce qu’ils proposaient, je préférais prendre garde à ce qu’ils faisaient. Non seulement parce que les actions qu’ils proposaient n’étaient pas en phase avec la réelle idée d’un collectivisme communautaire, mais surtout car à l’extérieur de leur parti, groupe, communauté et clan, ils oubliaient ce qu’ils n’avaient exprimé pour rendre la chose cohérente et omettaient ce qu’ils avaient récité, auparavant, en circonstances simiesques. Particularités qu’ont tous les politiciens envers les experts en toutes doctes et réciproquement, m’a toujours laissé dans la même interjection, que celle d’un simulacre de façade orientée vers toutes opérations falsifiées aux obsécrations théologiennes se prétendant être au-dessus de la condition humaine du moment. Leur première loi est d’obéir aux coutumes du maitre des savoirs retenant en tout enseignement religieusement templier les conditions mêmes par lesquelles ils furent élus par leurs disciples pour les grâces suffisantes d’être instruit par un de leurs prosélytes…
N’est-il pas là perversité maligne à laisser croire choses indéfinissables, à celles et ceux qui dans leur propre existence ont déjà quelques jugements douteux dans la raison qui ferait qu’une orthodoxie soit, sans agitation de consciences, meilleure que de se laisser aller de sa propre inconstance à décider des choses, sans affection ni attention particulière, à ce qu’ils en prescrivent la valeur usurière de leurs congénères… ???
Ma tâche, plutôt qu’à essayer de vaincre la fortune, était de changer mes désirs sur le sort inéluctable à ne pouvoir y changer la fin, par un accommodement de ce qu’il m’était impossible de modifier des choses extérieures, et ainsi pour me rendre des entendements, inacceptables, à m’avouer que je n’étais pas au bon endroit avec tous les biens qui m’étaient hors de portée. Il est certain que ce que nous considérons, chacun ET/OU chacune des choses du bien n’ont pas égalité dans la volonté immodérée à vouloir les posséder, surtout lorsque ce pouvoir nous est éloigné de notre souhait à s’en accaparer à n’importe quel prix ou valeur sacrificielle.
Que n’est-il point-là travail utile, en ces sociétés modernes, pour ne pas être migrant en son pays… ?
AU DELÂ DES QUARANTE MALENCONTREUSES
1er Janvier : CLAP DE FIN POUR L’ORTF
Symbole de la mainmise du pouvoir gaulliste sur l’audiovisuel public, l’ORTF se voit démantelé par l’Etat giscardien. Et ventilé – façon puzzle, bien évidemment – à travers sept sociétés : Radio France, l’INA (Institut National de l’Audiovisuel), la SFP (Société Française de Production), TF1, Antenne 2, FR3 et, enfin, TDF (Télédiffusion de France)
3 Mars : UNE BOMBE EXPLOSE AU SIEGE D’AIR ALGERIE A LYON
Cette nuit, une très violente explosion a fait éclater dans un périmètre allant de la place de la République aux Cordeliers des centaines de vitres et vitrines. De l’agence d’Air Algérie, il ne reste plus qu’un espace soufflé et de nombreux débris sur le sol. L’attentat, qui n’a fait aucune victime, pourrait être l’œuvre d’une organisation de rapatriés.
Archives journal ‘’Le Progrès’’.
13 Avril : DEBUT DE LA GUERRE AU LIBAN
Des combats particulièrement sanglants opposent, à Beyrouth, les phalanges chrétiennes à des éléments armés palestiniens vite rejoint par milices musulmanes. C’est le début d’une guerre civile qui va se poursuivre jusqu’en 1990 et faire des centaines de milliers de victimes.
https://www.lesclesdumoyenorient.com/Chronologie-illustree-du-conflit-libanais-1975-1990.html
17 Avril : CHUTE DE PHNOM PENH
Les Khmers rouges entre dans la capitale du Cambodge et instaurent le Kampuchéa démocratique, dictature communiste dirigée par Pol Pot. Après la guerre civile débutent quatre années de terreur pour la population cambodgienne, victime de ce qui se révèlera être un véritable génocide (au moins deux millions de morts sur une population totale de sept millions de personnes cambodgiennes).
JUIN 1975 : GREVE DES PROSTITUEES
En colère les prostituées lyonnaises investissent l’église Saint-Nizier. Parti sur les bases de revendications très locales, le mouvement va avoir un retentissement national.
Quand le 2 juin 1975 au matin, une centaine de prostituées lyonnaises investissent, pour l’occuper, l’église Saint-Nizier, personne n’imagine que ce mouvement, pour spectaculaire qu’il soit, aura un tel retentissement. A commencer par les manifestations elles-mêmes, quand bien même ces dernières bénéficient du savoir-faire en matière d’agit-prop d’une association proche des catholiques progressistes, le Mouvement du Nid. D’autant que les revendications qu’elles portent concernent essentiellement des problèmes locaux, directement liés aux récents scandales ayant entachés les milieux POLITIQUES et POLICIERS lyonnais sur fond de proxénétisme et de prostitution. Or, dès le deuxième jour d’occupation, la France toute entière n’a d’yeux que pour l’église Saint-Nizier et ses occupantes. Et cet intérêt ne fait qu’augmenter lorsque, peu à peu, des prostituées de PARIS, de MARSEILLE, et de GRENOBLE rejoignent le mouvement. On est loin, alors, des premières revendications défendues par les meneuses lyonnaises Ulla et Barbara, le discours ayant trait dorénavant à la prostitution en général ou aux conditions d’accès à la SECURITE SOCIALE, pour les « TRAVAILLEUSES DU SEXE ». Le 10 juin à Saint-Nizier comme partout en France, les prostituées sont chassées par la police. Resté sourd à leurs revendications, le Gouvernement CHIRAC a choisi d’en finir en usant de la manière forte.
21 Août : L’AFFAIRE D’ALERIA
La situation se tend subitement en Corse lorsque, dans la plaine orientale, des militants de l’ARC (Action de la Renaissance de la Corse), emmenés par Edmond Simeoni, occupent une cave viticole dans la commune d’Aléria. Le Lendemain, lors d’une action entreprise par les autorités pour les déloger, deux gendarmes mobiles seront abattus à coup de fusil de chasse.
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89v%C3%A9nements_d%27Al%C3%A9ria
Novembre : LE CHÔMAGE EXPLOSE
Les chiffres officiels traduisent une nouvelle fois la dégradation du marché de l’emploi en France. En ce mois de novembre 1975, en effet, la barre du million de chômeurs est franchie.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%B4mage_en_France
15 Novembre : LE PREMIER G7
Le président Valéry Giscard d’Estaing parvient à réunir, à Rambouillet, pour un sommet informel, les chefs d’Etat les plus industrialisés de la planète (Etats-Unis, Japon, Allemagne fédérale, Royaume Unis et France), auxquels se sont joints les représentants du Canada et de l’Italie. Ce fut le premier G7 de l’histoire.
Comment VGE a fondé le G7 : http://www.leparisien.fr/international/novembre-1975-comment-vge-a-fonde-le-g7-08-06-2018-7757229.php
20 Novembre : MORT DE FRANCO
A Madrid, on apprend la mort de Franco, le vieux dictateur espagnol au pouvoir depuis 1939. La nouvelle n’est pas vraiment une surprise, le Gaudillo ayant été victime d’une crise cardiaque le mois précédent et, selon toute vraisemblance, maintenu dans un état artificiel de survie dans le but, sans doute, de mieux préparer sa succession.
Espagne franquiste : https://fr.wikipedia.org/wiki/Espagne_franquiste
LA TRAGEDIE DES BOAT PEOPLE
La chute de Saigon aux mains des troupes du Nord (le 30 avril 1975) et l’institution d’un régime communiste dans la partie du sud du Vietnam vont donner lieu à un exode massif de toute une partie de la population. Ainsi dès les premiers jours, pas moins de 143 000 personnes parviennent à fuir la ville derrière les derniers américains encore présents dans le pays. C’est à partir de ce moment qu’un nouveau terme va apparaître dans le vocabulaire de la presse internationale : BOAT PEOPLE, du nom de ces embarcations de fortune empruntées par les candidats(es) à l’exil. Cette tragédie va se poursuivre durant une dizaine d’années et s’accélérer à partir de 1978, lorsque les autorités vietnamiennes, moyennant finances, accepteront de fermer les yeux sur ces départs affectant principalement la minorité sino-vietnamienne.
Victimes des éléments, mais aussi des pirates qui grouillent dans cette partie de la mer de Chine méridionale, au moins 200 000 de ces fugitifs trouvent la morts au cours de leur périlleux périple vers Hong-Kong ou des destinations plus lointaines (l’Australie et l’Indonésie, qui les repousseront, ou l’Occident). Le drame en cours alerte à tel point les opinions occidentales qu’un mouvement de solidarité se met en place. En France, des organisations caritatives, relayées par des intellectuels de renom, feront pression sur les autorités afin de faciliter l’accueil des réfugiés. On verra même, pour cette cause, ces frères ennemis que furent Jean-Paul SARTE et Raymond ARON se réconcilier le temps de rencontrer, à l’Elysée, Valéry Giscard d’Estaing.
Au final, la France accueillent sur son sol près de 120 000 réfugiés, originaires du Vietnam…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Boat-people
6 ANS, AVANT CETTE ANNE 1975, COHN BENDIT ET ROMAIN GOUPIL, DEUX BOURGEOIS ; A PARIS, EN TÊTE DES CORTEGES DE MAI 68…
LES 68 ’’BEN-DITS’’ & LE ‘’GOUPIL’’
Les compères s’en allèrent sur le pavé des bonnes intentions,
Pour juste cause en sens de sécession d’outrages à Liberté,
Que la raison fut enchanteresse, en devises, à bobos d’intellos,
Défense des valeurs de groupes, contre tyrannie d’Etat,
Les penseurs des Lumières n’en ont dit moins,
Du Discours social à celui de la Méthode,
Des Lettres d’un Provincial, en Boétie de Servitude,
Jusqu’à La Fontaine percevant le prisme des royalties.
Les chantres, avec modernes nécessités, y consentaient,
Les ronds de jambe par chaires ancestrales, s’y refusèrent.
Comme si renard entonnait ; ‘’Que votre culture de ramage,
Sur feuilles jetées au puit des misérables, est beau plumage.’’
‘’Nous allons en faire voix de marché’’, dit le Re-Cohn-naissant,
Sûr que nous n’en trahirons pas l’idée des communes réunifiées.
Ce fut, par fourberies en simulacre, tickets sous entrées liberticides.
Malheureux ces Etats en séparation de justice et liberté,
Sans attention ; souvent complaisance a de méchants effets,
Comme ces têtes d’appartenance et passantes sans requêtes,
Marchant avec meutes de bêtes sans mémoire,
Poussées par les révélations des fantômes de l’imposture.
Entre corbeaux en croassements de libertaires sans histoire,
Et la perfidie en liberté de goupils sans prestance,
Soyez en vertus de saine stabilité, avec prétextes abattus,
Car goupils et corbeaux ne voleront jamais aux vents des goélands.
Quant à vous, mercantiles opportunistes, sans imaginaire,
A votre miroir de viles condescendances d’amphitryons,
Nous y revisitons la fumisterie de vos ombres, fourbes,
Actées sur les films, au cache, des lunes brunes.
En contre mesure de vos ramifications sans évidences,
Nous y résisterons dans la raillerie de vos funestes appartenances…
ET en 2018, les deux compères sortent : LA TRAVERSEE - VISITE CHEZ LES GUEUX : La traversée, documentaire de 90 minutes, veut être une "mosaïque" de la France, sans "vouloir rien prouver", une observation du quotidien des Français, 50 ans après mai 1968, portée par deux de ses acteurs : Romain Goupil, leader du mouvement lycéen; et Daniel Cohn-Bendit, figure des étudiants du Quartier latin. http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=264009.html
J'aurais tant aimé qu'ils viennent me chercher...
TEMPS INDECENTS
Impotence sous yeux réseaux,
Tricherie en méandres législatifs,
Avilissement aux promiscuités abjectes
Comment est-il possible de ne pas voir, larcins de vils barons, suffisance de cercles fermés, aux entrées vestibulaires des opportunismes de position, faciès en larmes de crocodile.
La partie fut tronquée dès le départ, rassemblement en marchés de circonstances, prisme du pouvoir, sans sons sincères, la musique est celle d’un démiurge vermoulu, en fond obscur.
Entre soit d’un déterminisme sans rigueur,
Entre suit de cartes en défausses pillées,
Jeux de dupes avec cynisme royal,
La valse des chaises musicales tourne en danse de Saint Guy, substitution aux incompétences désordonnées, aucune règle fascinante n’y ajusta mesures saines, le peuple est monnaie courante.
Au marchandising politicien, en rang d’imbéciles, si cela n’était pas d’une tristesse infinie, le rire eut été contre-mesures aux poisons d’anathème, le retour de la momie, la rhétorique est posthume.
Animal politique souscrit à pompes fermées,
Cercles des gradés en dressage d’équerre,
L’instinct de conservation au service trois pièces,
Pour cauchemar des déchéances, la peur des voix de garage n’y est solitaire, les petits rats quittent le navire, le vieux lion est mort, rive gauche barre à droite, clinquant sombre, les ombres planent.
Diaspora en cour de traboules sur des avis de bascule, la verticalité des ordonnances depuis grandes loges, marquent le népotisme cardinal des maitres des horloges, même les ors et la chaire ont usure.
Parisianisme en parachèvement de ghettoïsation,
La cour des transactions file contre Maccartisme,
Le refus du contrat social prend ses marques
L’ignorance des sans noms gare les insouciances en ronds de subdivision, médias et potentats de façade s’aiguillent sur plateaux en vagues simulacres d’attention, le discours n’y vaut pas chandelles.
Les pots de vin au fétichisme des envies indécentes promirent les plaisirs de Bacchus et Aphrodite, sourcillements des désirs, les plateformes synthétiques n’obligèrent pourtant pas à y rester.
Nouveau monde en starisation de mini-stars,
Les éloges philosophiques ne surent rassurer,
Les clans de Narcisses firent soliloques,
Les courtisanes ne mirent plus autant d’entrain à faire aller-retours aux prémices du mensonge, leurs enfants ne voulurent plus incertitudes sous morne futur, la négligence est mère de malveillance.
N’y trouve-t-on pas quelques réminiscences de valeurs sociales, humanisant les contre volontés de pissotières payantes, où les estrades se montant à contre-courant, fourmillent de nouveautés…
« Le meilleur système démocratique est une ethnosociologie Cultura-économique privilégiant une politique philosophique par l’assassinat virtuel »
Michel Asti – LE RSA-YSTE
Date de dernière mise à jour : 13/06/2019
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