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« Ce qui importe par-dessus tout dans une œuvre d'art, c'est la profondeur vitale de laquelle elle a pu jaillir. »
Joyce
"Il y a ce que nul n'a vu ni connu sauf celui qui cherche dans le tourment des mots à traduire le secret que sa mémoire lui refuse."
Des Forêts
« Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter. »
« Que les gens sont absurdes ! Ils ne se servent jamais des libertés qu'ils possèdent, mais réclament celles qu'ils ne possèdent pas ; ils ont la liberté de pensée, ils exigent la liberté de parole. »
« L’humoriste, comme le fauve, va toujours seul. »
Sören Kierkegaard
LE CHÂTIMENT DE TARTUFE
Tisonnant, tisonnant son cœur amoureux sous
Sa chaste robe noire, heureux, la main gantée,
Un jour qu'il s'en allait, effroyablement doux,
Jaune, bavant la foi de sa bouche édentée,
Un jour qu'il s'en allait, " Orémus ", - un Méchant
Le prit rudement par son oreille benoîte
Et lui jeta des mots affreux, en arrachant
Sa chaste robe noire autour de sa peau moite !
Châtiment !... Ses habits étaient déboutonnés,
Et le long chapelet des péchés pardonnés
S'égrenant dans son cœur, Saint Tartufe était pâle !...
Donc, il se confessait, priait, avec un râle !
L'homme se contenta d'emporter ses rabats...
- Peuh ! Tartufe était nu du haut jusques en bas !
Arthur Rimbaud
FLAMMES
Le palais du songe, nous l’avions illuminé avant d’en refermer la porte et de partir. Jadis nous nous étions perdus ; près d’une crique s’élevait une sombre bâtisse où nous entrâmes afin d’y passer la nuit. Nous nous éveillâmes un jour et sans doute le temps avait-il passé car il pesait sur nos épaules un étrange poids, comme d’une tristesse, comme d’un plus grand âge ; mais nous étions éveillés et quelque chose en nous luisait que nous ignorions auparavant ; quelque chose brûlait que nous en nommions point ; c’est de cette époque sans doute que nous ne pouvons plus vraiment fermer les yeux.
Roger Kowalski
BAC D’ARRIVEE – DE DEPART… OU ; BAC D’ENTREE OU DE SORTIE… ???
Est-ce ou fut-il temps…, de connaitre le TÎTRE avant de commencer à écrire sur le SUJET ?
Sachant que les peurs, l’inconscience ou les certitudes individuelles, quant à ces choses de la vie n’ont et ne sauveront jamais personne. Mais sait-on que taire toutes relations en échange de savoirs quant à la réalité d’un présent interactif ne saurait, en aucune orthodoxie – us & coutumes – engendrer imaginaire attractif autorisant étude du véritable sens d’une curiosité utile à penser le libre-arbitre comme une dissertation entre liberté d’être et accords en attachement d’une historiographie bordée au courant d’un potentiel futur respectueux du temps des actions concertées, voire attentionnées…
Je souhaite, en cette fin de manuscrit, soumettre à l’analyse, de celles et ceux ayant réussi à accéder au baccalauréat, ainsi qu’à autres, n’ayant pas eu, pour ‘’X ET/OU Y’’ raisons, causes et devises, possibilités pour entrer ou facultés à y arriver. Le sujet de réflexion est défini à la fin du paragraphe suivant. Il va de soi, pour celles et ceux n’ayant pas réussi à concourir pour éventuelle accession ; à autres flux d’apprentissages grâce à un bac, scientifique, littéraire, technologique… ; etcétéra… – j’en fais partie – qu’aucune différence de classe ne les notera, en entrée de civilités, comme, étant toutes et tous, des cancres ignorants ces choses de la vie et du monde naturel du et des vivants… Etant défini, en premier abord, qu’il en fut, pour nombre non négligeable, d’un utilitarisme de positions circonstancielles, une nécessité de retransmission népotique, envers cet objet servant les portes de procuration, au nom de nouveaux horizons, intellectuels et matériels, que les apparatchiks, n’ont souvent, eux-mêmes, pas réussi à franchir… ; pour arriver à se rapprocher de ce qu’il en est d’un bonheur particulier, dont le but collectif ne fut jamais défini. J’en serai, donc, aise à pouvoir lire dissertations quant à propres conditions liées aux avantages pragmatiques accoquinés à ce passeport pour l’avenir… ; continuellement incertain. Sachant, également que nos savoirs personnels, entre voies innées et voix d’acquisition ont commencé dans le bac à sable, puis pour les plus songeurs, le bac à fleurs…
Pour mes partitions cheminâtes ; ainsi qu’aux soins de mes divers apprentissages, après ces deux bacs, j’ai lu et goûté Bacon et Bacchus, à meilleures perceptions Baccarat des villes, notamment dans la grande (ï) cité lyonnaise à cheval sur deux fleuves, moindres connaissances, à l’époque, envers les bacs-à-rats des champs, entrevu, plus tard, Bakou (la ville la plus sale du monde), entendu Bacri (scénariste et dramaturge français) et Bacqué (grand reporter), mais, réellement, pas vraiment connus… ; et Bach, que je ne connaitrai jamais, sauf par l’écoute de sa musique… Plus imprévus ; les bas-comptes, bas-coups, et bas contes firent, ou, peut-être ; contribuèrent, déjà, en fond de seconde technologique, près du radiateur, à me ratatouiller contre les murs des retransmissions bâclées, ou tout du moins, pas, toujours, en phase avec les souhaits des étudiants(es), apprentis(es)…, et une société en continuelle évolution, tant au niveau ethnosociologique, technologique et épistémologique, qu’en les diverses et différentes dimensions ontologiques. Bon, quoiqu’il en fut de mon passé, et en est de mon cas personnel, maintenant, revenons à l’objet du sujet essentiel, à savoir ce thème apparenté à la philosophie et formulé par les questions suivantes, dont les réponses pluridisciplinaires, n’en ajoutèrent que points de vue voués à formes subjectives en dévoiement d’objectifs mutualistes et souvent marqués à insincérité de diffusions :
- Qu’envisagez-vous quant à votre future position, personnelle, professionnelle et sociologique, d’ici à cinq ans… ?
- Quels sont les moyens et outils imaginés pour réussir à réaliser vos souhaits… ?
Vous avez cinq ans et un de plus pour envoyer vos conclusions à l’Académie de votre circonscription qui transmettra vos données personnelles au Ministère de l’éducation…, qui, lui ; se chargera d’évaluer les futurs programmes, tel que vous CROYVEZ – si, si ; l’Académie Française en accepte, depuis peu, l’accord textuel – au nom qu’ils, elles s’eussent été affichés(es), envers génuflexions, chéries, chéris, à vie… ; formalisés(es) à conformisme béat. Nous ne sommes pas, esprit-libres, soumis à cet ordre de la servitude, volontaire… ; en opportunismes iniques…
Je suis, etc. ; etcétéra, etcétéra…
RIEN QUE DES COURONNES DE PENSEES
Homme, tu ne regardes plus que ta sale figure simiesque,
Celle qui se mire au faciès cynique de ton miroir tordu,
Et, comme autres, sans pensées hôtes ; rester dans le cadre.
Pensées,
Femme, as-tu oublié le prisme de leurs couleurs chatoyantes ?
Apparenté à ceux qui savent dévier les traits, des Lumières ; estourbissent…
Hors autres, fleurs aigries pliées sous tant de servitudes…,
Offres sécures… regarde fille ; le paon étale sa pourpre…
L’essentiel n’est pas que ce là… ; soit lemmes cerclées à reines et rois,
Mais que princes et princesses s’instillent à viles pensées, dévots-tiques,
La vie n’a aucune définition, de ce que nomme femmes et hommes,
Paradoxe du bien, du mal, de l’acceptable… De l’inavouable ;
Existence communautaire Viable… ; Attentionnée,
Attachante, Libre, Evanescente ; Absconse, Solitaire,
Aléas, Elle EST, c’est TOUT…
Mais Lilas, lit la, Lysiane, entre Lys et Lianes,
Que cela te ; fisse plaisir ou non,
C’est simple, la Nature, elle s’en moque,
Et là, c’est bien observé…
Mais de rien…
Date de dernière mise à jour : 02/07/2019
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