JOURNAL D'UN RSA-YSTE JOURNAL D'UN RSA-YSTE
  • Album
  • Accueil
LE MONDE EST UNE RESONNANCE QUI INVENTE LA DISSERTATION

LE MONDE EST UNE RESONNANCE QUI INVENTE LA DISSERTATION

S'intéresser au monde dans lequel nous vivons, n’est-il pas un prérequis pour que nous puissions y trouver la société idéale dans laquelle nous souhaiterions vivre ? Participer à sa mise en place n’est-il pas le meilleur moyen d’y parvenir ? Si la passivité des citoyens est compréhensible dans des dictatures, où toute forme d’expression contradictoire au pouvoir peut entraîner une condamnation à mort, qu’en penser dans les pays démocratiques ?

« Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - « Que les gens sont absurdes ! Ils ne se servent jamais des libertés qu'ils possèdent, mais réclament celles qu'ils ne possèdent pas ; ils ont la liberté de pensée, ils exigent la liberté de parole.» - « L’humoriste, comme le fauve, va toujours seul.» Sören Kierkegaard

Tout l’agrément de la vie est fondé sur un retour régulier des choses extérieures. L’alternance du jour et de la nuit, des saisons, des erreurs et des fruits, et toutes les autres choses qui viennent à notre rencontre périodiquement afin que nous puissions et devions en jouir, voilà les véritables ressorts de la vie terrestre. Plus nous sommes ouverts à ces jouissances, et plus nous nous sentons heureux. Goethe, Poésie et Vérité (Livre XIII)

Les uns disent que non, les autres disent que oui ; et moi je dis que oui et non. (Sganarelle, sur une difficile question de médecine) – Molière ‘’Médecin malgré lui’’.

« Ce qui importe par-dessus tout dans une œuvre d'art, c'est la profondeur vitale de laquelle elle a pu jaillir. » Joyce

Le potier hait le potier, l’architecte l’architecte, le mendiant fuit le mendiant et le chanteur le chanteur. Heliode

  • Accueil /
  • Sur le chemin des évidences /
  • PAGE 61

PAGE 61

Diapositive62 1

PAGE 61

 

Les pages blanches sont le terreau dans lequel nous cultivons le monde de notre imaginaire. Nous plantons les graines du rêve que nous arrosons avec des pichets de dévouement, et les fertilisons avec des desseins saupoudrés d’enthousiasme, jusqu’à ce qu’elles germent et produisent les bourgeons des fleurs de notre âme, les écrits de nos pensées, de nos amours, de nos désirs, de nos œuvres, nos amitiés et notre rédaction…

Davina J.Rush

 

L’avantage des échanges en réseaux ‘’virtuels’’ est, en première intendance, celui de n’être pas obligé de subir la contrainte physique de ces rhéteurs, experts et oracles malfaisants(es), malveillants(es), spécialistes, érudits en syncrétisme népotique systémique et autres assemblées en conneries suivant méthodiquement leur chef d’escadrilles, et tous incapables de s’adapter à quelque changement de sociétés à focale humainement acceptable, mais croyant à une intelligence par-delà les cieux, qui n’a jusqu’à présent fournie aucun contact intelligible…

 

Une fourmi marchant sur un chemin poudreux,

Epuisée de chaleur fermant un temps les yeux

Et dormit. Au réveil voilà qu’une fringale

Se fait soudain sentir. La faim est animale !

 

L’insecte scrute et voit, au loin, sur fond d’azur,

Une forme et se dit : c’est un fruit j’en suis sûre !

 

Une prune, un brugnon et nectarine,

Oui, déjà son parfum caresse mes narines.

Approchons, allons voir quel sera ce repas !

 

Excitée, la fourmi précipite son pas,

Cruelle vérité, effroyable destin,

La fourmi voit s’enfuir son rêve de festin !

 

Ce n’est pas une fraise, une mûre, un pruneau,

Ni même la moitié du quart d’une Pomone !

 

Ce n’est pas un raisin tombé de quelque hotte

C’est une chèvre qui à chier une crotte.

 

Auteur(e) Inconnu(e)

 

Pomone ou Pomona, nymphe d'une remarquable beauté, est la divinité des fruits. Elle déteste la nature sauvage

et lui préfère les jardins soigneusement entretenus.

 

QU’EST QUE LA VIE… ?

 

Pour les poètes & poétesses : un recours aux mots.

Pour les politiques : un discours de division.

Pour les financiers : un discours de soustraction.

Pour les philosophes : une interrogation sur le sens de celle-ci.

Et pour les humanistes : une volonté, parfois farouche de désarmer l'invective par trop intransigeante

envers le discours entre les sciences et les arts.

 

N’OUBLIEZ JAMAIS… ; qu’il conviendrait, en toutes efficiences de relations virtuelles par échanges réseaux… ; aussi bien d’en celles biophysiques et physiologiques, comme il en est des vrais manières d’attaquer les groupes de prédation géostratégique renfermant dans leurs sphères en alliance défiscalisée de l’usure TEMPOREELLE envers le vivant par des translations « entre elles » ; telles que leurs traits de caractères bornés à la discrimination systématique de la liberté d’expressions, des esprits humanistes intelligibles, n’y attribueront de leur caution que celles d’une lignée en soustraction des véritables savoirs faire et division des réels savoirs êtres d’avec applications hétérogènes dont nous faisons et ferons accords et liens tant des tenants que des aboutissants pour ce qui est de notre essentiel matériel à les rendre utiles à tout ce qui survivra des fondements d’une éthique de préservation et de structuration pour qu’il en subsistasse l’analyse intemporelle de nos ouvrages à n’y pourvoir en aucune manière particulière consistant à descendre l’attention en observances entre liberté et attachement pour qu’à chaque transposition intergénérationnelle les nouvelles vagues scindées tant des abus envers celles d’avant que des tromperies envers celles d’après n’y trouvent plus aucun interstice d’avec statuts à forcer la contrainte envers les avenacées contenues dans ce qu’il fut et est émis du bien et/ou du mal dans des structures textuelles    émises par ces mêmes factions d’être-humains façonnés à l’esprit-libre respectueux des corporations collectivistes à donner axes de leurs assistance quant aux données dues au partage des connaissances… ; ainsi que des savoirs acquis au terme desquels ; retransmis ; aux générations suivantes, comprendront les équivalences liées à notre correspondance en contre-mesures de celles et ceux qui, tôt ou tard, auront à y mener nos affects tant du corps que de l’esprit à ne plus les confondre d’avec tout ce qu’il ne fut, est et sera d’elles…

En effet, comment-vous y prendrez-vous de vos anciens ‘’canons’’ comme des nouveaux à les braquer contre notre démonstration de l’existence du vivant sur ce qui est de notre bonne nature à ne point se soustraire à l’impossibilité de penser pouvoir se passer de notre référentiel terrestre, tant de l’organique que du minéral et du végétal comme des mouvements, actions et mobilisations envers la conservation de leurs prescriptions tant du chaos aux temps de leur commencement que d’un passage vers une fin commune d’elle, d’eux et de nous… ???

 

L’OEIL ET LE FOYER

 

Quand j’aurais mis un terme au miroir et à la lampe, laissant entrouverte la porte aux entretiens balbutiants d’une petite voix en lustre de murmures enjôleurs, la plus fragile étoile qui vient de naître. Avant d’entrer sur le chemin de la lassitude, de tourner les toutes dernières pages de mon histoire, à entamer mon épilogue avant que ne tombe le rideau, j’y mettrai un point final sur l’appui de ma fenêtre. Je le laisserai au choix de l’ouvrir sur mes pensées, celles qui ne se travestissent en aucune manière aux abords opportuns, comme sorties d’un rêve en mots servant à rebâtir les foyers sereins sous l’œil ancien. J’émettrai ce seul souhait qui ne saurait être du plus évident à ne jamais se mentir à soi-même, même d’une seule partie qui n’aurait de serviteur que celui de laisser une colère exciter la haine des ignorants. Et d’une seule chose qu’il me fut possible de percevoir, outre l’inéluctable finalité, de la subtilité des attractions in-imaginées est celle de leur présence, ici-bas, dans la richesse des liens entre arts & sciences.

 

Essaies de définir une illusion perpétuelle suivant le plan, penses une altérité formelle par le patrimoine, saisis ainsi une mémoire fragile ; déplaçant la métamorphose, transcendes une pratique transgressive fragmentant le corps, exprimes un allant incessant en défi de tromperies comme des lieux de désolation. Transgresses une mise en jeu étrange détruisant le médium, dilates alors une limite architecturale réveillant l’anamorphose, traces ainsi une typologie mettant en cause le paralogisme, imagines alors une iconographie singulière œuvrant le néologisme, revisites un témoignage inhabituel stimulant une fiction. Evoques une mise en scène imaginaire ; concomitante à la prévision, vis alors une action théorique concernant l’ouvrage, inventes une satiété volatile mobilisant la figure, exprimes ainsi une exploitation éphémère ébauchant le désir, dessines une hybridation radicale exploitant le format de ton expression.

 

Transformes une sélection unitaire cherchant le vide, fragmentes une forme lapidaire défiant le sens, affirmes alors une dimension instable supposant le parcours, révèles une vicissitude circulaire libérant le principe, épuises une préoccupation incarnant le cadrage et réalises une surimpression évanescente. Et si tu es dure sans être en rage, si tu arrives à acquérir la faculté de discernement sans être sceptique, que tu saches obtenir la prudence sans être moraliste, que tu puisses devenir sage sans faire preuves outrancières de suffisance, si tu sais observer, analyser, méditer, connaître et faire saine curiosité contre l’ennui, alors tu ne seras ni esclave des autres, ni de tes propres tribulations, comme des vils jugements.

 

Même si tu peux douter et croire que ta position n’est pas la meilleure, fais, comme l'enfant qui apprend à marcher, tombe et se relève, et ne se décourage pas, jusqu'à ce que tu puisses envisager les accords du discours entre les sciences et les arts, et tu percevras que le temps de la vie est une composition de toutes ces justes causes, bonnes raisons et belles devises autorisant parfois à la rendre tout simplement belle, tant à l’intérieur que vers l’extérieur proche.

Diapositive19 6

 

Ajouter un commentaire

Aperçu
 

Date de dernière mise à jour : 11/01/2020

Poésie
  • AU VENT DES EMOIS
  • Jean de La Fontaine
  • LA CHASSE A L'ENFANT - Jacques Prévert
  • LA PLEBE, DEMOCRYTOS ET FELONIE
  • LE CLAN, LE ROI, LE PRINCE ET LES ADORATEURS
  • LE LIVRE
  • LE POÊME
  • LE PREDECESSEUR
  • LES AMANTS
  • LES OISEAUX DE NUIT
  • POÊTES(SES) HUMANISTES
  • Prévert - Rambaud - Kowalski - Jean de La Fontaine
Politiques particulières
  • L'ARNAQUEUR - DAS DEUTSCH ORDO
  • ET APRES LE GRAND DEBAT
  • ECONOMIE - POLITIQUE et NEUTRA
  • EXCLUS(ES) AVANT L'HEURE...
  • MISSIVES AUX MAIRES
  • L’EXÉGÈSE EUROPEENNE
  • ORS - CHAIRES & POMPES
  • LE VRAI, LE FAUX & L'ACCEPTABL
  • ASSEMBLEE & AMPHITRYONS
  • PROGRESSISME A LA FRANCAISE
  • RONDS DE JAMBE EN TERRE DE SAL
  • LA REFLEXION ET LA COURTISANER
  • MISSIVE AUX DAVOSIENS
  • DES ENERGIES, DES HOMMES ET L'
  • L'ORDO-LIBERALISME
  • L'EURO ou la théorie de Truffi
  • BOURGEOIS, CITOYENS(NES) ET BI
  • ENTRE LA MALADIE DU BLE JAUNE
Théories
  • PARADIGME EN SOUMISSIONS
  • PETIT VIRUS DEVIENDRA GRAND... ???
  • THEMES EN LIENS RESEAUX
  • COMMUNICATION - MANIPULATION - SERVITUDE
  • INTERTEXTUALITE – INCONSCIENT – INVALIDATION
  • BAC D'ENTREE OU BAC DE SORTIE...
  • JSE - POUR NE PAS SOMBRER
  • REPRESENTATION – INTROSPECTION – REALISME
  • IDEOGRAPHIE DE LA PENSEE
  • POLITIQUE – PRODUCTION – PROFIT & REPARTITION
  • LIBERTE D'EXPRESSIONS
  • THEOCRATIES MALFAISANTES
  • IMPOSTURE
  • INSURRECTION
  • CHAPITRE 7 - LES ATTRACTEURS(ES)°°...
  • PAUSE
  • PARADOXE ''CORPS-ESPRIT''
  • ALL IS NOT SINGULAR
  • SAGESSE - MAÎTRESSE
  • AVILISSEMENT
  • LA SUFFISANCE DE PRECIEUX
  • LES TICS
  • LIBERTE & CREATIVITE - CONVENTION 2005
  • BOOK RSAYSTE SENIOR
CES ANNEES LÂ
  • ANNEE 1975 - EXPLOSION DU CHÔM
  • ANNEE 1976 - CORTEGES ; D'INCO
  • ANNEE 1977 - ACTIVISMES EN VAG
  • ANNE 1978 - UTOPIE EN ACCORDS
  • ANNEE 1979 – LES OMBRES, LE GL
  • LIBERTE - INDIFFERENCE - ATTAC
L'Angle Socio-Culturel
  • LA DIGNITE ET L'ATTENTION
  • COVALENCES EPISTEMOLOGIQUES &
  • REFERENDUM ET DEBAT NATIONAL
  • 2019 - TEMPS DE CONFIANCE... ?
  • 2002 – L’ODYSSEE DE L’EURO …
  • HISTOIRE GAULOISE
  • SOLIDARITE EN EUROPE DES NATIO
  • LA LOI DU MARCHE AVANT LA BIEN
  • ESPRITS LIBRES
  • CES CHOSES DU CONSCIENT
  • BELLICISME D'UNIONS SACREES
Economie
  • TAXE SUR LES ABRIS DE JARDIN
  • RAZIA SUR LE GRISBI
  • LE FMI : UNE PERSPECTIVE HISTO
  • SUBJECTIVITE DE LA MONNAIE
  • Paralogisme social-économique
  • FONCTIONNEMENT DE LA MONNAIE (
  • FONCTIONNEMENT DE LA MONNAIE (
  • LA MAIN INVISIBLE
  • CAPITALISATION BOURSIERE
  • R;BARRE
Sur le chemin des évidences
  • PREMIERE DE COUVERTURE
  • PAGE 1
  • PAGE 2
  • PAGE 3
  • PAGE 4
  • PAGE 5
  • PAGE 6
  • PAGE 7
  • PAGE 8
  • PAGE 12
  • PAGE 15
  • PAGE 16
  • PAGE 17
  • PAGE 19 - LETTRE A MES FILLES ET P'TITS ENFANTS
  • PAGE 27
  • PAGE 35
  • PAGE 43
  • PAGE 47
  • PAGE 59
  • PAGE 61
  • PAGE 70
  • PAGE 75
  • PAGE 82
  • PAGE 111
  • PAGE 113 - DE TEMPS EN TEMPS
  • RMV - REVENU MINIMUM VITAL
  • PAGE 121 - LETTRE OUVERTE
Ecologie
  • Conférence P. Servigne / Un av
  • ENTROPIE - THERMODYNAMIQUE - G
  • LA PRIVATISATION DES SEMENCES
  • DES ENERGIES ET DES HOMMES
  • LES ECO - TARTUFFES
  • LES CLIMATO-SCEPTIQUES DU FROI
  • Territoires, cité et ruralité
Livres et liens
  • L’écriture est le meilleur moy
  • NOUVELLE LECTURE
  • LA SOCIETE DU SPECTACLE
  • LE MONDE EST UNE RESON(N)ANCE
  • LE XXIème SIECLE SERA...
  • LE JOURNAL DU SOT INCONNU DANS
  • LA FACE CACHEE DES TICS²
  • N'ENFIN ! C'EST QUOI UNE EXIST
  • METAMORPHOSE DES RESEAUX EDITO
  • LA SERVITUDE
  • LES ESSAIS DE MONTAIGNE
  • SOCIOLOGIE EN CACHE MISERE
  • 60 ANS... ET APRES...
  • AVERTISSEMENT(S)
  • LA SUFFISANCE ET LA CONNERIE
  • LETTRE AU AMIS(ES)
  • REFORMES EN DEMOCRATIE IRRATIO
  • PAUVRE(S) POLITIQUE(S)
  • PENSER CES CHOSES DE LA VIE
  • TEMPS DE CONFIANCE...
  • LOGIQUE - FORME ET GRAPHES
  • LA CURIOSITE
  • DESIRS ET COLERES
  • LA COLERE
  • L'ECRITURE
  • Atticus - Le Prince, la Cour,
  • Al-Andalus, l'invention d'un M
  • La Face cachée d'internet
  • Claude Hagège - Contre la pens
  • Paul Jorion - Le dernier qui s
  • Jean-Jacques Rousseau
  • Fouquet par Jean-Christian Pet
  • Les Fables deLa Fontaine
  • Roger Kowalski
  • Charles Rambaud
  • Jacques Prévert
  • LE GOÛT DE VIVRE
  • Créer un site internet avec e-monsite
  • Signaler un contenu illicite sur ce site