PARADIGME EN SOUMISSIONS
PARADIGME EN SOUMISSIONS
Le bon sens est, apparemment, la chose du monde la mieux partagée : car chacun pense en être si bien pourvu, que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose, n'ont point coutume d'en savoir plus qu'ils en ont de leur suffisance. En quoi il n'est pas vraisemblable que tous se trompent; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger, et distinguer le vrai d'avec le faux, qui est proprement ce qu'on nomme le bon sens ou la raison, est philosophiquement et sociologiquement inégale en tous les hommes; et ainsi que la diversité de nos opinions ne vient pas de ce que les uns sont plus raisonnables que les autres, mais seulement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne considérons pas les mêmes choses. Car ce n'est pas assez d'avoir l'esprit estimable, mais le principal est de l'appliquer bien. Les plus grands esprits sont capables des plus grands vices, aussi bien que des plus grandes vertus; et ceux qui ne marchent que fort lentement peuvent avancer beaucoup davantage, s'ils suivent toujours le droit chemin, que ne font ceux qui courent, et qui s'en éloignent, ou qui par déni de collectivisme et excès d’opportunisme, prescrits aux commissures incertaines de quelques déshérences, se perdent dans les paralogismes guidés aux sons de l’irréalisme.
Il est vrai que, pour ce qu’il est des expériences qui peuvent y servir à la collectivité, un homme seul ne saurait suffire à les faire toutes; mais il n'y saurait aussi employer utilement d'autres mains que les siennes, sinon celles des artisans, ou tels services prodigués par autres gens, qu'il pourrait payer, et à qui l'espérance du gain, qui est un moyen très efficace, ferait faire exactement toutes les choses qu'il leur prescrirait ; sans autre sens que celui de vouloir générer son propre accaparement contre les errements de l’existence soumise à une idéologie intemporelle, en futur sans pression usurière, où le présent n’aurait autre visage que celui d’une créance par-delà la mort certaine.
Et depuis des siècles, l’historiographie des hommes a démontré l’inutilité des mots, en cette façon, édictés au nom de desseins particuliers ligaturés aux portes des désirs inassouvis.
Le temps ne s’impose pas en ennemi intérieur, mais il est une composition particulière par l’énergie extérieure des choses de la vie…
La recherche du superflu donne une plaisante excitation, plus grande que l’acquisition du nécessaire. L'homme est une création du désir, non pas une création du stockage. Le bonheur, n'est pas un idéal de la raison, c'est un idéal de l'imagination, par la vision de la totalité des satisfactions possibles… Où le murmure entre les sciences et les arts ne saurait, en aucun cas, être une contrainte à l’étude des pensées d’autres temps, analyse et compréhension d’autres savoirs, connaissances et cultures…
Ce travail qu'il a retrouvé avec joie, en tant que valeur implantée comme plusieurs autres dans sa conscience, par celles et ceux qui l'ont accueilli à son arrivée, et par, cette vie qui le guide depuis le premier jour. Et même si après en avoir exercé plusieurs, il avait toujours cette impression au fond de lui, qu'il n'avait pas encore réalisé une partie essentielle de son rêve, il parcourait les différents chemins indiqués par la ‘’VIE’’, dont il essayait d'en comprendre le sens, afin de trouver la bonne direction.
Mais souvent, il n'entendait, et ne voyait pas très bien tous ses signes et expressions qu' « ELLE » lui montrait, et dont il ne comprenait pas toujours la signification, et, parfois lorsque le vent soufflait très fort en apportant avec lui les nuages noirs annonciateurs du moins bien que la lumière, il comprenait juste que cette VIE était en ‘’grande dépression’’, et la cause qui en découlait, était, en l’action de déverser cette eau, source d'elle-même, quitte à ce qu'elle le fasse parfois avec fracas. Lui, apprenait parfois dans la douleur, mais il continuait à regarder ses différents états, afin d'en comprendre sa justification ; et puis, il y avait au moins trois êtres auxquels il souhaitait en montrer certaines facettes, de sa beauté, car, il savait qu'elle avait des côtés merveilleux. Il les avait perçus et ressentis plusieurs fois, dans sa ‘’réalité’’. Il y en avait à l'heure actuelle de son histoire au moins six sûrs, mais il savait qu'ils y en avaient d'autres, plus ou moins proches.
Cette vie, il l’a aimé dès qu'il a réussi à lui donner un nom, même avant je pense, et il l'aime toujours. C'est elle la source de toutes ces leçons qu'il a retenu en tant que prémices de la compréhension. Il l'a regardée, écoutée, touchée, sentie, goûtée et ressentie. Oh, bien sûr, parfois il l'a détestée, sur l'instant, mais ensuite, il a compris ce qu'elle voulait lui dire.
Il a plusieurs fois éprouvé la présence de ‘’celle’’ qui la suit sans arrêt, et a trop souvent voulu parler à un autre être proche, qui comme lui avait été engendré par cette vie. Il ne l’aime pas ! Alors qu'elle, ‘’ELLE’’ est sa plus belle maîtresse. Mais son inconscient sait ce que sa conscience élude par notion d'ignorance, incompréhension et refus, qu'un jour sa copine voudra l’emmener, mais pas trop tôt si possible. Alors il acceptera sans colère qu'elle la lui présente, car il a cette sensation envers cette merveilleuse maîtresse qu’elle ne le trahira pas et lui la présentera avec ‘’l’aménité’’, peut-être présente lors des derniers instants, et dans son ordre des choses, malgré que bien souvent il ne comprenne pas très bien son ordre phagocyté et entaché d’injustice, accaparement, cupidité et iniquité chez les hommes…
Alors, oui, aujourd'hui en ce lieu nommé Val d'Isère, où le nombre de ‘’petits grains de matière organique’’ doté de la pensée, est faible, et où il peut trouver ces instants pour être seul avec ELLE, il lui a donné un rendez-vous intime, et il souhaite lui parler longuement, peut être jusqu'au moment où elle lui ouvrira la dernière porte de cette maison, et où à cet instant il pourra se débarrasser de son ‘’ego’’, en espérant qu'il deviendra avant cet événement, presque insignifiant, ou tout du moins, suffisamment proche de sa pensée, afin qu'elle ne le combatte plus. Mais pour arriver à cela, elle avait ancré dans son subconscient, qui lui était impossible de lui parler à voix haute, et la seule solution pour que cette entité narcissique ne l'agresse plus de ses intentions anthropocentriques, il lui suffisait d'ouvrir toutes les portes de ses sens afin de percevoir toute l’extraordinaire beauté, de par tout ‘’ce’’, celles et ceux qui faisaient partie de ses espaces touchants, afin d'avoir la merveilleuse sensation de ressentir au fond de lui, tout ce ‘’qu’ELLE’’ avait pour lui, le temps qui leurs était imparti…
Maintenant !
Il commençât à lui raconter, par ces mots : […
… Comment pouvons-nous réussir à bouger ce corps tous les matins, réveiller en même temps cette conscience, qui d'instants en instants nous fait croire à toutes ses convictions, bonnes ou mauvaises, qui deviennent souvent notre vérité, sans nous dire comment avons-nous agit le jour d'avant ? Comment, avons-nous instinctivement ou délibérément prononcé ces paroles, produit ces actes que notre esprit à engendrer pour une raison ou une autre, sans préjuger de nous-mêmes, le jour d'après ? Comment pouvons-nous croire que ce que nous avons fait le jour d'avant puisse être la vérité pour le jour d'après, sans réveiller notre conscience, en nous disant, qu'avons-nous pas fait de bien, pour prétendre penser faire moins mal après, afin de peut-être un jour réussir à nous dire, aujourd'hui, je ne prononcerai pas ces paroles violentes souvent dopées au pouvoir de détruire ou produire et organiser par soumission aux prosélytismes fallacieux, le chaos, alors que peu de fois, elles sont aussi dotées de cette merveilleuse faculté, de créer un peu de beau, de bleu et de bien, en et de par leurs dimensions attentionnées, et peut-être attachantes.
Comment tous les jours pouvons-nous avoir cette extrême prétention de croire que nous sommes meilleurs que ce qui nous a créé, sans penser une seule seconde que ce, celles et ceux que nous pouvons voir, entendre et toucher ont été créé par même.
Pourquoi ne pas nous reposer de temps en temps afin d'entendre cette petite voix au fond de nous, avec laquelle nous passons le plus clair de notre temps à ne pas l'écouter, et après avoir fait le contraire de ce qu'elle a bien voulu nous faire comprendre, nous avons parfois l'impression que nous aurions mieux fait d'écouter ses murmures… ]…
Elle lui répondit cela:
‘’Même si tu as peur de te tromper encore une fois, par pressentiment de croire que ce que tu as vécu avant, sera situation comparable où tu penserais ne rien ressentir de ce que tu désires du meilleur, fais comme l'enfant qui apprend à marcher, tombe et se relève jusqu'à ce qu'il apprenne l'art de marcher. Entrouvres encore avec moi cette porte devant toi, tout doucement, sans faire de bruit, afin de ne pas faire entrer ton fardeau de convictions et de préjugés qui t'ont été inculqués par celles d'avant et ceux de maintenant, et derrière tu trouveras certainement encore une clé qui te permettras peut-être d'ouvrir la porte suivante, afin de trouver un jour, ce que tu cherches depuis longtemps, cette beauté qui ne s'achète pas, l'art d'aimer, pour la paix de ton âme et le repos de ta conscience, et à cette instant tu toucheras peut être du doigt, le Beau, le Bleu et le Bon Sens du Vent par et avec ces 8 arts libéraux et en leurs… ; plusieurs signes et expressions de moi… ; accompagnés par l’art de la juste attention saupoudrée de quelques iconographies poétiques …
Il est quelqu'un d'ordinaire qui a crû à tout ce que la société des hommes et des femmes lui a montré pendant son apprentissage, il a fait de son mieux pour coller à cette vision, il n'en avait pas d'autres. De par la compréhension de sa conscience, il a pensé que cela consistait à bien apprendre et appliquer de cette société à réseaux d’échanges ‘’humains’’, ses valeurs, lois, règles et codes définis et retransmis. Actifs et valeurs apprises et emmagasinées en tant que priorité de nécessité pour y être, mais plus difficilement pour y bien-être, son extraordinaire maîtresse la ‘’VIE’’ ; le lui a fait entrevoir, assez tard il est vrai. Il a compris, dans cette société, il vaut mieux savoir conjuguer le verbe ‘’avoir’’, que le verbe ‘’être’’, et elle avait raison pour ce lieu, mais pour Elle, il préfère continuer à conjuguer le verbe ‘’être’’.
Ici, lorsque tu n'as matériellement et financièrement presque plus rien, tu n'es pratiquement plus rien, sauf pour celles et ceux dont le regard ne s'est pas détourné et la ‘’voix’’ n'est pas devenue volontairement silence, car ils, elles savent que tu es resté le même, même si tu n'as pas ou plus moyens spéculatifs et outils palpables à le démontrer. Et une partie ‘’d'« ELLE »’’, en tant qu’attentions, sensations, attachement, émotions et souhaits, est encore forcément en ‘’toi’’, et ce seul petit nombre, lui a suffi pour continuer à ‘’être’’.
Il est apolitique et agnostique ascendant schisme, au sens de la dispersion, volontaire. Et oui, il n’a pas choisi ! Certains de ces ancêtres avaient curiosités, envers le schisme entre la grâce, les cieux, l’enfer, les femmes et les hommes, tels Aristote, Kant, Locke, Voltaire, Hume, Freud, Nietzsche, Pascal, Diderot, Rousseau, Dumas, Einstein et autres extraordinaires esprits didactiques potentiellement intelligibles.
Cela n'est que sa vision à lui et pour lui, car il pense que la politique et la religion, sont de croire à des convictions adoptées par un nombre strictement inférieur à celui pour lequel elles doivent obligatoirement être désignées, afin de les faire adopter par le plus grand nombre possible en tant que nécessité de vérité et de salut, sans pour cela être sûr de la ‘’chose’’ en tant que vertu, à l’instant où elle a été préconisée et exposée, dans ses états épistémologiques, philosophiques, sociologiques, éthiques, ontologiques, et rarement comblée par quelques vertus et bienséances pédagogiques, mais assurément pour s’approprier pouvoir, au nom de je ne sais quel monothéisme religieux ou politique templière assujettie à quelques dévots à incohérences patentes et verbiages affectant les esprits désuets croyant en l’existence de paradigmes ‘’hors sol’’ terrestre, où le jugement dernier serait de penser que toutes les inconsciences absorbées par l’ordre de l’ignorance seraient absoutes par cette entité ‘’virtuelle’’, capable de donner pardon à l’amoralité liée aux consciences dogmatiques du paradoxe entre le diktat du malin et les postures envers la grâce particulière… ???
Le pouvoir n’est pas une donnée tombée du ciel ou sortie des tréfonds de la terre. Il est une volonté de certains hommes et femmes à se croire au-dessus du monde Naturel, aux faits holistiques des vicissitudes de femmes et hommes, ignorants ou non instruits au réel et juste ordre intelligible de la meilleure attention et transmission possibles quant à une existence humainement acceptable au milieu des leurs ; TERRIENS ET TERRIENNES DANS LE MONDE NATUREL DES VIVANTS.
Corpus universaliste n’est en aucune façon, l’abri des éruditions unipersonnelles de l’entre soi, mais le partage du ‘’TOUT’’ !...
Dans la mesure des connaissances actuelles et réels savoirs acquis.
Cela devrait être la première des maximes à acquérir dès le plus jeune âge, après le langage, et bien avant, vouloir à n’importe quel prix humain ou valeur sacrificielle, faire comprendre les potentiels bienfaits ou malfaisances des anciennes écritures ou nouvelles servitudes, de n’importe quel ordre, source, origine, usure, philologie, sémiologie, ou sémantique que sont les émanations textuelles, expressions, desseins d’ici et pensées d’ailleurs… Et inversement. Il n’en est hélas pas souvent le cas, notamment chez ces femmes et hommes de doctrine à peu de considération envers leurs congénères de toutes échelles, socio-culturelles et de tous âges, entre les deux dimensions théologiques et ontologiques que sont celles des : – Cieux et de l’Enfer. Alors que chez les hommes, ce dogmatisme paradoxale n’est en fin de compte, souvent qu’affaires de droit, d’intérêts individuels et de pouvoir entre les possédés(es) et les possédants(es)… Me semble-t-il ?
Faust pactisa avec le maitre des profondeurs obscures
Machiavel savoura plaisir et sévérité du pouvoir, et ses arcanes
Le marquis de Sade explora le sadomasochisme, et formes extrêmes de soumission et subordination.
Freud cherchât l’esprit du père, de la mère, du fils et de la fille… Et l’aspect charnel de femme et homme.
Descartes considéra l’indifférence comme le plus bas degré de la liberté.
Rousseau eut des enfants sans véritablement leurs apporter éducation essentielle et transmissions utiles ; laissant ces apprentissages à autres considérations… Ce qu’il regretta.
Pascal laissa voguer ses pensées aux grâces de l’austère et la vision attractive de la société libertine.
Einstein précisa que l’homme est une infime partie du tout que nous appelons ‘’Univers’’…
Et le jour où la technologie dépassera les capacités humaines, le monde risque alors de voir une génération de parfaits imbéciles.
La Fontaine fut le premier à entrevoir que l’homme est très souvent un animal ridicule, prétentieux et égocentrique, dopé aux pires reliquats de la vénalité, l’accaparement systémique et la soumission au Grand Argentier.
Et tout cela au nom du dieu de la possession au lieu d’un alléluia envers la divinité de la sagesse, où les enfants d’Irène, déesse Grecque de l’équilibre et de la réconciliation, n’auront eût que peu de persuasion à ce que la descendance de Caïn, puisse faire un déni du dogme du père leurs ayant édicté :
‘’L'infernale convoitise pousse les enfants de ‘’Caïn’’ à s'emparer de tout ce qui est à leur portée, et comme si ce n'était pas assez qu'un seul accapare ce qui suffisait à des milliers de ses semblables, il voudrait s'y établir, lui et toute sa couvée pour toute l'éternité’’.
Mais peut-être, comme le stipulait Nietzsche : ‘’Parfois, les gens ne veulent pas entendre la vérité, parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions se détruisent.’’
Par conséquent, nous pourrions peut-être considérer cela, comme un impossible accord entre le corps et l’esprit, ou matérialisme et existentialisme.
La dimension cognitive attachée à cette théorie, sont les savoirs et, la connaissance nécessaires au recours à un certain type de représentations collectives, totems, signes, expressions, symboles et statuts pour fonder les institutions, notamment celles attachées à une véritable sociologie permettant à l’humanité, évolution acceptable dans son milieu naturel, sans dégradation intempestive de ses zones de vies, écosystèmes et autres biosystèmes.
Ces interrogations rejoignent celles des esprits libres, quand ils analysent la position d'un pur rationalisme pragmatique, aux termes de laquelle l'utilisation de ces représentations apparaît comme un détour inutile, voire falsifié, où l’application des bases d’avant, est considérée majoritairement sans valeur cognitive intrinsèque, mais juste à être reproduite.
Cette thèse pragmatique se suffit-elle à elle-même?
N’est-ce pas là une forme d’habitude morne adossé à imaginaire asthénique ?
Ou plutôt une forme de pouvoir attaché à l’image de l’inique royaltie élitiste ?
Il y a deux sortes de pouvoirs ;
- 1 : Le pouvoir matériel et physique (conflits armés)
- 2 : Le pouvoir psychologique (conflits des idéaux)
Lorsque le deuxième a atteint la limite de son propre pouvoir lié à la dialectique, la sémantique et la rhétorique, alors le clan, la tribu, la communauté, la secte ou tout autre système à réseau échangiste et par là-même connecté à l’information de cet espace de dialogue intercommunautaire, intergénérationnel, multiculturel et multi-identitaire, exsangue, sera affecté par la seule loi régissant le but d’imposition à la différence ou non-conformité du clan d’en face, une forme de soumission ou de terrorisme intellectuel, permettant de créer une dimension fractale, débouchant dans la plupart des cas, lorsque que les règles du matérialisme et l’opposition géophysique sont réunies, sur guerres et violences physiques entre les belligérants des deux camps, déterminés comme opposition intellectuelle ou territoriale, entre ces deux clans, ou communautés. Et avoir les moyens et outils suffisants et nécessaires à engager le conflit guerrier au rapport des idéaux de la tribu, par son chef élu, que ses prosélytismes soient bons ou néfastes envers ses congénères, et autres, hors de son clan ou sa fratrie, au nom de sa survie ou la postérité de ses lois, règles, dogmes et sa vérité inique…
Et par là-même le zèle du chef de la dynastie et son dévot ne permettent plus l’évolution de quelque clan et communauté, quel qu’il ou elle soit, car ils proclament qu'ils ne déguiseraient jamais leurs sentiments pour quoi que ce fût : que c'était leur créance ; et que lui et tous les siens la défendraient jusqu'à la mort, comme étant la pure doctrine du maître de leurs ‘’cieux’’ ou de leur ‘’enfer’’. Et tout cela car la dialectique entre les échangistes présents dans les différentes communautés et cités n’est plus en mesure de s’accorder à la sémiotique des échanges sincères entre les différents protagonistes de la grande scène des rapports ‘’humains’’… La poésie, la musique, la danse, le romantisme, la culture, l’humour, la dérision et l’espièglerie ne sont plus les extraordinaires accords autorisant la merveilleuse parodie, respectueuse des harmonies personnelles et des jeux duaux… Soumis à opprobres perfides.
Mais les contraintes des sociétés où nous vivons devenant de plus en plus nombreuses par les degrés et le nombre de décalages existants entre les justes attitudes et sincères aptitudes au rapport de cette réalité consciente, qu'il en devient par voie de conséquence, très difficile d'en entendre ses bonnes voix au nom des justes causes, bonnes raisons et belles devises, parmi toutes les émissions sonores et visuelles qui en édictent toutes les variances bonnes ou mauvaises, émérites ou non, qui avec un peu moins de ces croyances, souvent nécessaires, mais parfois excessives, en cette incertaine conviction monothéiste compulsive, constituante de l’accumulation de richesses matérielles au nom de Mammon, par déni d'autres, pourraient peut-être, par meilleure vision, et juste écoute du bon sens de la ‘’Vie’’, nous permettre de se rapprocher de son extraordinaire beauté, et de s'éloigner de certains lieux, où il ne fait plus bon vivre, par nombre exponentiellement devenu trop grand, pour juste pouvoir y survivre, et dont les différentes unités, se tourneront invariablement, vers des croyances, encore plus irréelles, divulguées par les voix de cette irréalité intouchable, qu'ils n'arrivent plus à considérer comme touchante en son réel bien être, car le nombre de groupes ayant eu accès en la fausse croyance du réel bien avoir, possèdent maintenant la propriété d'accéder en cette ultime croyance du bien être absolu par le bien avoir tout.
Ce qui est d'une totale ineptie, car le seul maître du jeu est, le ‘’Temps’’, qui est le plus sûr et meilleur allié de la vie, qui par beau temps devient resplendissante, avec cette petite certitude, que tout essentiel à une vie n’a pas propriété à être considérée et approchée par moins d’une réalité touchable. Tout simplement car moins(-) d’une vie’, n’a aucune définition physiquement réelle, en ou hors de son lieu d’existence biophysique naturel... Or si la politique à la vertu de penser qu'elle peut apporter le ‘’bien-être’’ général, en ses lieux de compétences et la religion la vertu de croire en ‘’l'être-bien’’ en ses lieux de savoirs théologiques, il n'y a jamais eu de preuves réellement durables, sauf peut-être dans notre mémoire ancestrale en son lieu d’incompétences, le subconscient.
Mais continuons à croire à ce que nous pensons être le bien en autres, afin de le faire adopter par le plus grand nombre, et cela n'est ni politique, ni religion, c'est juste le bon sens du beau, du bien et du bleu de la merveilleuse force de la vie. Certains hommes et femmes possesseurs de cette vertu, ont réussi à la diffuser sans contraintes, tout au long de l'histoire existante depuis la naissance de la ‘’Vie’’ consciente, et, certains et certaines continuent encore aujourd'hui, me semble-t-il, malgré les difficultés grandissantes attachées à l’incompréhension et à l’inattention de certains Êtres, envers ‘’Elle’’… Et le monde naturel dans l’espace-temps des ‘’ Sûrs-Vivants’’…
L’écriture est la représentation matérielle extérieure de tout ce que nous avons à l'intérieur, il ne sert donc à rien de sortir les armes lourdes contre la craie, le crayon ou les touches du clavier de l'ordinateur, le feu, les balles et l’acier tranchant pour annihiler une pensée mise en mots, car ils n’ont pas ce pouvoir, ils ne coexistent pas dans le même lieu, la même dimension, le même espace-temps attaché à la pluridisciplinarité intelligible. Quelle ineptie, résultat de notre misérable condition qui consiste à enfermer la pensée infinie dans un morceau de matière pétri de croyances, de subjectivités et d’incertitudes, alors qu’elle est beaucoup mieux posée sur quelques feuilles ; ou autres supports solides, où sa trace peut en être conservée plus longtemps, afin d’avoir temps suffisant pour une possible juste compréhension, au rapport de l’émission… Alors même, si nous considérons cette pensée déraisonnable, confrontons, la, à autres par l'expression écrite de préférence, elle est toujours plus compréhensible que la parole à partir du moment où le langage écrit a été assimilé par la pensée, ne serait-ce de par la possibilité d'y revenir autant de fois que nous le souhaitons. Et peut-être à terme, cette pensée déraisonnable, en fera une scénologie plus raisonnable…
Et surtout, exprimons la de cette façon, juste comme nous la ressentons, par ces mots écrits, peu importe l'ordre dans lequel ils sont mis, il y aura toujours, tôt ou tard, autres pour en réceptionner les impressions, et comprendre qu'elles sont bien souvent l'expression de notre ignorance et de notre incompréhension sur la raison de notre existence ici.
Alors oui, exprimons les signes et symboles représentants, de nos convictions, de nos peurs, de nos souffrances, de notre déraison, de nos incertitudes, plutôt que de les transfigurer par certains de nos mauvais actes et fausses certifications, en étant conscient que si nous ne le faisons pas de cette façon, par nature, de toutes ces pensées nées de la partie noire de notre conscience, surgira parfois, un monstre qu'aucune raison extérieure ne pourra apaiser, et dans ce cas d’extrême résurgence sombre, la seule moins mauvaise solution serait ‘’d’annihiler’’ ou de mettre la ‘’bête’’ dans un espace dans lequel nous aurions la certitude de la non propagation de ses actes, mais pas de la mauvaise pensée et autres néfastes augures, car ceux-ci ne sont pas non plus soumis à l'espace, ni au temps…
En conclusion, exprimons ce que nous pensons, croyons et ressentons avec ces mots écrits, même, si cela est la représentation de notre incompréhension, de nos mauvais sentiments, ou fausses croyances, et ne laissons pas en nous s'installer secrètement nos suppositions, elles deviendront notre vérité, nos valeurs, voire notre destinée et si ces suppositions s'avèrent fausses, notre vérité le sera obligatoirement.
Oh, bien sûr, il y a d'autres arts efficients en tant qu’autant de merveilleuses passerelles d'échange entre les êtres, mais cette écriture que j'essaie de mettre en ordre, à ce bienfait de pouvoir être approchée par nombre plus important, à partir du moment où la transmission de ce langage a été possible, grâce à la retransmission des justes connaissances épistémologiques, ainsi que les bons et utiles savoirs ontologiques et philosophiques… Par les langages essentiels aux échanges et à la communication… Rationnelle… ? Du discours entre les sciences et les arts, malheureusement souvent caché sous les voiles de l’Attachement séculaire éloigné de la véritable Liberté d’expression…
Avez-vous remarquez la chose suivante ?
Ces êtres doués de ce langage tel La Fontaine, Molière, Diderot, Jean-Jacques Rousseau, Voltaire, Proust, Jules Verne, Aragon, Apollinaire, Victor Hugo, Rimbaud, Verlaine, Baudelaire, Jules Renard, Edgar Allan Poe (Poète américain, dont quelques textes furent traduits par Baudelaire), Edmond Rostand, Duras, Jacques Prévert, et bien d’autres encore, philosophes, écrivains, poètes et autres amoureux(ses) des signes-mots… ; compris pour celles et ceux à qui il va être enseigné, par ceux et celles qui vont l'enseigner, par activité de reproduction ; il a été raconté et bien souvent admis par raison de nécessité, puisque c'est la seule raison qu'ils, elles penserons pouvoir interpréter, car cette raison d'avant sera forcément celle d'après , peut être légèrement modifiée, par association d'appartenance, sauf à qui ce langage transmis ne serait plus la reproduction exacte ou légèrement modifiée de cette apprentissage, par volonté d'un exprimer un autre étonnamment, originalement et intimement différent, né d'une pensée d'un autre ‘’ailleurs’’, où la force principale serait celle qui perle parfois de nos yeux tels des signes d'eau, marqueurs de notre tristesse, mais signes de joie lorsque ces gouttes invisibles de loin, se retrouvent accompagner par tous ces rires espiègles, et malicieux, colportés par leurs sons émis avec douceur, réceptionnés avec attentions et renvoyés avec cette douceur, qui permet d'en faire une petite symphonie, et où le nombre de musiciens ne peut être inférieur à deux, afin que ces quelques possibles belles notes émises et justes accords perceptibles soient écoutés par plus, et renvoyés par toujours plus. Ces mots écrits ont toutefois cette force négative, certes moins importante que les mots dits, opposés à la force positive que je viens d'évoquer.
De cette force opposée, naît la formulation d'une certaine violence, qui a son apogée par ses serviteurs en, avec et par la haine, engendrée par l'incompréhension, le refus et la rancœur. Cette violence paraît atténuer dans l'écriture, car majoritairement, les mots ajoutés les uns aux autres le sont dans le cadre d'une certaine réflexion, possible par notion de temps plus long et par ces moments de solitude, empreints d'un peu plus de passion raisonnable, afin d'exprimer ce que nous ressentons avec le moins de cette violence possible, lors de rendez-vous avec nous même, alors que les mots dits, sont souvent émis dans des lieux où il ne peut régner cette sensation de calme et possible écoute, ne serait-ce de par la propre émission sonore de la parole, empreinte de toutes ces passions et émotions, bonnes ou mauvaises, exprimées dans l'instant et renvoyées par leur écho souvent déformé, de tous ses sens premiers, où le temps de l’analyse objective ne saurait en aucun cas être celui du moment lié à la seule invective émotionnelle, l’obscurantisme psychologique, le libre arbitre de groupes iniques ou la soumission physiologique…
Encore une fois d'autres arts ont cette faculté à être exprimés dans ces quelques moments d'harmonie avec nous même, et autres, afin d'en retransmettre à l'extérieur tout ce que nous avons à l'intérieur, mais malheureusement, leur compréhension n'est abordable que par nombre moindre, peut-être par manque d'intérêt, difficulté d'en appréhender tout le sens et la teneur, ou par autres priorités. Il existe un art sortant un peu de ce cadre, c'est la parole chantée, elle est émise par voie sonore, est écoutée et son écho renvoyé voudra toujours être son ‘’jumeau’’, et s'il n'était pas émis, en tant que désir de ressemblance, il deviendrait silence, ou son différent, sans certitude qu’il ne devienne pas dans ce cas-là, assourdissant. Cette parole émise par ‘’ondes sonores vocales’’, présente depuis longtemps a voulu être mise en forme, en ordre, en accord, en musique, telle une histoire. Mais cette histoire, pouvait être entendue par grand nombre, mais interprétée seulement par petit nombre, réussissant à écouter ses innombrables variances. Donc, elle a été mise en langage écrit, afin qu'elle ne soit plus seulement entendue, mais, également vue, avec l'espoir qu'elle soit mieux comprise, grâce à l'action conjuguée de l'ouïe et de la vue.
Ce nouveau langage créé, dont la propriété commune était la parole… ; dite, et… ; écrite, et les deux forces celle émise et celle réceptionnée, permettait, maintenant, de ne plus seulement entendre, mais aussi voir, cette parole devenue histoire écrite.
Cette nouvelle histoire avait cette faculté de pouvoir être appréhendée par nombres plus important, par transmission sonore, ou visuelle, mais pas les deux en même temps, sauf pour celui ou celle la lisant à voix haute. Cela a duré très longtemps, plein d'histoires ont été racontées et écrites, mais au fur et à mesure que nombres d’attachés(es) essayaient de raconter ou d'écrire cette histoire, chacun avec son utilisation propre des outils créés par notion de temps, afin d’en graver et garder les traces sur un support, augmentait, plus le nombre de ceux espérant déchiffrer les diverses et bénéfiques périodes de l’historiographie des hommes et du monde ; diminuait.
Cette situation a encore durée longtemps sans grands changements, depuis la découverte du papier, puis de l’imprimerie, avant que quelques autres, appartenant au genre humain, trouvent un lien permettant d'accorder peut être avec harmonie, les sons entendus et l'image vue, dans un nouvel espace.
Ce nouvel espace créé, était : « l'espace audiovisuel » …
C'est devenu un espace extraordinaire, car il possédait cette propriété née des facultés de la lumière et propriétés du son, qui misent en commun, permettaient de percevoir un peu mieux l'infiniment petit ‘’proche’’ et l'infini grand ‘’lointain’’, en tant que dimensions inconnues et éloignées de nos possibilités, propres à nos cinq sens connus. Mais ce merveilleux espace audio-visuel, pleins de vertus, grâce à certains de ses beaux usages, a seulement une vilaine faculté en celle de nous éloigner de notre propre zone sensible par imagination d'autres potentiellement porteuses d'autres réalités, virtuellement accessibles rapidement, mais intouchables, et pourtant, souvent touchantes, après avoir découvert tout le merveilleux potentiel en l'expression de leurs belles émissions… Mais, il a espoir que cet extraordinaire outil sera utilisé, par notion de temps, de la plus belle des façons, pour la simple raison que ce nouvel ‘’espace audio-visuel’’ est devenu interactif par nombre plus important pour y poser tous ces ‘’quelques choses’’ présents(es) à l'intérieur, afin de les diffuser à l'extérieur. Et cela peut rester merveilleux temps que le plus bas degré de la liberté, ne devient pas désir du non-respect de l'expression liée à son attachement, livrer, par non désir de lui, à la voie de l'addiction, puis envoyer dans l'arène du voyeurisme, inconscient de son effet non consenti, en étant conscient, dans ce cas-là, qu’il y aura forcément un endroit dans la ‘’fosse aux lions’’, où régnera la représentation d'une possible destruction.
Quoiqu'il en soit, vous avez assurément compris que la parole, particulièrement, celle écrite était pour lui devenue essentielle. D'ailleurs, avec le temps, il avait appris qu'il était préférable, d'exprimer ces paroles considérées comme importantes, par mots écrits, si le temps, par non obligation d'une réponse souhaitée immédiate, le permettait. Malheureusement, bien souvent de par la priorité de rapidité, qui tend à vouloir vaincre les contraintes du temps dans l'expression de la réalisation immédiate du désir, rend l'échange, aussi bien dans sa demande qu’en sa réponse parfois, totalement incompréhensible, et par voie de conséquence, souvent rendue stérile par une apparente attention reléguée loin des importances matérialistes personnelles.
Le ‘’vrai’’ n'a pas la notion du bien ou du mal, et pourtant il est nécessaire au rapport de vérité entre les individus. Il est le point de départ de cette ‘’vérité’’, et la confiance en est le point d'arrivée. Cette confiance née de cette vérité disparaît lorsque les actes faits, ne sont plus considérés comme en ‘’phase’’ avec ce qui a été pensé, dit, crû, et surtout en ‘’harmonie’’ avec cet ordre des choses édité par cette vie, dont ses codes et symboles sont souvent compliqués à déchiffrer, ou lorsque dans ce langage d'incompréhensions, l'inacceptable, l’absence de sincérité et le refus apparaissent, alors, les doutes et les peurs s'installeront s'en suivront la défiance, la colère, voire le silence, ou parfois lorsque l'image de la trahison apparait dans cette conscience, viendront alors tous les autres ressentiments, marqueurs de la rancœur, la haine, ou autres vecteurs d’actes visant à combler le désir de vengeance, par l'espérance inutile de croire que nous avons le pouvoir de remplir le ‘’vide’’ par la destruction, qui n'est juste dans notre ‘’réel’’, qu'une croyance en une possible annihilation de la pensée, voire de la matière pour rendre notre propre espace vide des éléments que nous croyons nocifs, à tort pour certains, ou à raison par d'autres, et inversement, pour la seule préservation de notre propre existence, de celles et ceux que nous pensons aimer, ce qui est ‘’physiquement’’ d'une totale ineptie, car comme le disait, Albert Einstein: ‘’Rien ne se créer, tout se transforme’’…
Et nous savons que l'espace ‘’vide’’, n'existe pas, car il y demeurera au moins, toujours la solitude, et la solitude, c’est ‘’quelque chose’’. Donc, essayons d'abord de connaitre, d’analyser, d’expérimenter, de comprendre et de faire connaître les différentes pensées nées de l’imagination au nom du ‘’savoir’’, le pourquoi et le comment de notre propre existence en ce monde, avant d'appliquer tout déterminisme, dont ses deux réponses ne sont que ‘’oui’’ ou ‘’non’’, et où le ‘’peut-être’’ est, peut-être, juste une méconnaissance existentielle ou incertitude ‘’temporelle’’. Ce qui en langage mathématique peut se traduire par 1 chance sur deux d'avoir raison, ou 50% de malchance d'avoir tort, et inversement, et, je pense parfois que certains de nos actes, résultant de nos pensées égoïstes et cupides, souvent cachées sous les voiles des besoins insatisfaits ou intérêts égocentriques, au détriment de la pensée partagée, sont empreints de trop de conséquences importantes pour se permettre d'en déterminer les choix avec de simples lancers de dés, surtout s'ils sont lancés par un nombre inférieur à deux, n'en permettant pas la perception de la ‘’trace’’ d'une possible véracité, hormis celle ‘’édictée’’ par le lanceur de dés, qui à ce moment-là n'est plus une trace, mais le risque de son diktat ; où l’ignorance ne serait, en ce cas, que le déni de compréhension envers le paradoxe entre le corps et l’esprit, n’autorisant plus l’allégeance entre l’attachement et la liberté…
Peut-être par oubli de cet extraordinaire discours entre les sciences et les arts.
Alors oui, soyons lucide qu'il y a dans la conscience un mystère, non élucidé… Comment ce petit morceau de matière que je suis, peut-il sortir de lui, se tenir à distance d'une réalité qu'il est aussi, pour se mettre à exister dans le double statut de sujet de la représentation et d'objet représenté. Méditer le fait de conscience, revient-il ainsi, à méditer notre expérience la plus familière et pourtant la plus étonnante ?
Lorsque la conscience ne considère l'expérience que familière, le désir, vecteur de ce morceau de matière organique pensant, lui autorisant à pouvoir émettre qu'il est étonnant, et l'être parfois, celui qui lui permet sans certitude particulière, mais juste avec quelques suppositions qui deviennent pour lui souvent convictions et vérité, de parcourir ce petit morceau d'univers, le temps d'un temps ridiculement court qui lui est accordé devient alors contrainte, au détriment de la liberté de croire au plus étonnant et au plus beau des rêves, celui qui ne peut avoir aucune représentation matérielle.
« C'est la personne humaine, libre et créatrice qui façonne le beau et le sublime, alors que les masses restent entraînées dans une ronde infernale d'imbécillité et d'abrutissement.
Que chacun raisonne en son âme et conscience, qu'il se fasse une idée fondée sur ses propres lectures et non d'après les racontars des autres.
La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi… Ici, nous avons réuni théorie et pratique, rien ne fonctionne et personne ne sait pourquoi » …
Albert Einstein.
Malheureusement, j’ai l’impression dans ce système sociétal, que le fonctionnement primaire est bien en celui des baiseurs et des baisés, où les premiers se doivent de dépenser une énergie phénoménale s’ils ne souhaitent pas faire partie de la deuxième catégorie, et où dans toute cette agitation, ceux qui ont le vrai pouvoir ‘’enculent’’ tous les autres… Mêmes celles et ceux croyant en avoir un petit… De pouvoir…Tout cela en évinçant les potentielles meilleures formes de la liberté d’expression, ou la plus névrosée est celle de faire un déni d’analyses et d’études envers de potentielles meilleures compréhensions. Où en ces temps troublés, je réussis souvent à percevoir cette capacité assez particulière, affichée par certaines ‘’entités humanoïdes’’ leur laissant supposer qu’elles détiennent la ‘’vérité’’ par leurs croyances en certains évènements survenus bien avant leur présence sur cette belle planète verte et bleue nommée ‘’TERRE’’. Au nom de je ne sais quelle propriété physique ou immatérielle dont ils en seraient les détenteurs, les autorisant à prétendre savoir interpréter les mots, signes et codes venus d’autres époques où les conditions générales d’existence de majorité de ces petits grains de matière organique inconscients n’étaient qu’effrois, anxiétés, dénuements et incompréhensions quant aux fonctionnements physiques de la Matière, des Energies de la Nature et du Vivant, où les moins septiques réussissaient à émettre quelques théories qui s’avèreront vraies, alors que les ‘’autres’’ trouveront de par leurs incapacités d’analyse et défaut de compréhension a seulement y accoler les mots miracles ou magies. Et depuis des siècles d’évolutions scientifiques et technologiques, l’espèce humaine n’a réussi que petitement à indexer certains dogmes, vers d’autres possibles vérités plus proches du ‘’vrai’’ sens ontologique de la représentation de l’être physique… Qui est pourtant juste celui d’essayer de comprendre ses espaces touchables et touchants, où cette deuxième ‘’dimension’’ ne peut commencer à être perceptible que grâce à ‘’l’Intelligence de Cœur’’… Ici ! Là ! Maintenant !
Au nom de nos petits et petites devenirs…
Et pour comprendre cela, il n’y a aucun besoin d’invoquer certains paradigmes, que nous n’avons de toutes façons, en l’état de nos connaissances, savoirs, et compositions biophysiques aucun pouvoir à approcher ! Alors que pourtant ; depuis longtemps les plus beaux espaces temps se trouvent assurément en certains merveilleux jardins existants, encore en quelques petits recoins, de cette belle ‘’sphère’’ bleue teintée aux couleurs de l’arc en ciel, devenant malheureusement de plus en plus rares, où le principal vecteur à ce phénomène de déstructuration, engendré par l’inconscience et l’égocentrisme, en est sans aucun doute, encore aujourd’hui le ‘’facteur humain’’, trop souvent volontairement hermétique à penser que certains de ses objectifs et intérêts corporatistes ne sont que sources de chaos lorsque les zones de ‘’libertés’’ apprêtées aux meilleurs savoirs être et savoirs faire se réduisent comme peau de chagrin, où encore en trop d’états ces ‘’fous’’ de croyances spéculatives envers d’irréels modèles, ont dévié le véritable sens sémiologique des écritures par leurs incultures épistémologiques, philosophiques, éthiques, biophysiques, anthropologiques, paléontologiques, spirituelles, philologiques, au détriment de laisser liberté à croire en d’autres pensées et cultures beaucoup plus logiques et réelles, et assurément plus proches du respect de la Nature, du Vivant et des belles théories…
Plusieurs années avant nous ‘’l’Homme’’ ne comprenait rien aux éclipses, ni aux autres phénomènes physiques saisonniers, circonvolutions astrophysiques et autres transformations, covalences ou évolutions inexplicables à l’époque, qu’elles soient assignées à notre Terre, notre Système Solaire, ou plus loin dans l’Univers… Ils, elles croyaient que les dieux et les déesses étaient les auteurs(es) responsables de ces fonctionnements. Et depuis la révolution industrielle liée aux avancées scientifiques et technologiques devancées par quelques génies et théoriciens des sciences physiques et chimiques des temps immémoriaux des lumières ; puis grâce aux découvertes de quelques Chercheurs-Trouveurs-Assembleurs et Attracteurs efficients ; dont leurs prédécesseurs avaient déjà commencé à évoquer quelques théories, ils, elles, nous ont permis d’apprendre et de comprendre pour parties, en l’état de nos savoirs, certains aspects et paramètres de la physique, de l’astrophysique, de la mécanique quantique, la biophysique, la chimie et de par la gnose, la phénoménologie ; l’étude des assemblages permettant cette composition minérale, végétale et organique terrestre incluse dans l’univers cosmologique, où dans cet espace-temps intrinsèquement métaphysique, l’homme se prend trop souvent pour un ‘’dieu’’, alors que son apparence ressemble encore à celle d’un ‘’âne’’ dopé à la culture sectorielle antisociale, anti-communautaire et antihumaniste source de fractures, à contrario de celle multidisciplinaire en rapport avec les magnificences du monde, de la nature, de l’univers connu, et les espaces ayant potentiel à être reconnus dans leurs dimensions touchantes… Proches des langages poétiques, du romantisme et de l’imaginaire…
Pour cette simple raison qu’en l’analyse, et l’étude sémiologique autorisant la compréhension des liens entre la physique, la philologie, la philosophie, la logique et les langages mathématiques et peut-être autres plus songeurs, nous en sommes toujours à l’âge-de-pierre concernant la nature ontologique de l’être humain. Et tout cela car souvent les mauvaises consciences prédatrices, narcissiques et cupides sont devenues sourdes et aveugles aux vrais sens de l’existence du vivant. Sont-elles persuadées d’être proche d’un dieu décideur et organisateur, alors que bien souvent ils ont revêtis les habits des croyances fantomatiques indéfinissables, voire imbéciles, déraisonnables et sont irrémédiablement étanches au savoir universel… ? Avec pour les plus mauvais esprits, le prix d’excellence dans l’exercice de la désorganisation, où dans ces états l’activité de prédilection en est généralement l’art de la guerre, qu’elle soit idéologique, territoriale, éducative, économique, sociale, intergénérationnelle, culturelle, religieuse et bientôt civilisationnelle, avec pour seule indigence intellectuelle celle de maintenir un équilibre suffisant et nécessaire, afin que le genre anthropocentrique puisse éloigner d’eux les conflits ethniques, sociétaux ou culturels, afin que les libertés d’expression consistant en l’art de penser autrement, ne puissent entraver leurs dogmatismes frappés au mur de l’incertitude, ou malheureusement, les hommes et femmes sincères envers leurs sensibilités partagées et surtout les enfants en subissent les pires outrages pour des intérêts individualistes et didactiques trop souvent voués à l’ordre du ‘’Malin’’.
Tout cela en étant inconscient que dans cette illogisme, tous et toutes pourront, à terme, avoir la certitude que le monde ne sera plus seulement proche de la mauvaise évolution, mais assurément devenu à ce moment-là, synonyme de chaos, destructions, obscurantisme et asthénies enclavées dans la caverne de Platon… Certaines entités humaines ont elles également éclipsé cette adage : ‘’Tout élément soustrait ou diviser tend invariablement vers le moins… Et aucune vie n’a possibilité à être vue, entendue et touchée par moins d’une, tout simplement car moins (-) d’une vie n’a aucune définition réelle en ou hors de son lieu d’existence biophysique et matériel’’…
Mais bon, nous entrons là dans le domaine du réalisme philosophique, où lorsque cet ‘’art’' de l’analyse aura disparu, alors l’incompréhension sera totale, avec pour état final la désintégration de la nature et du vivant. Et en toutes les façons, en premier lieu par invective déshumanisée, car cette belle TERRE pourra, même sans nous, encore tourner rond pour environ 4,5 milliard d’années… Ce qui n’est pas le cas de toutes et tous…
J’avais également ce triste ressentiment me laissant objecter que le problème majeur des réseaux sociaux ‘’buzziques’’ était celui d’y avoir environ 60% des utilisateurs pouvant être définis entre les vrais ‘’cons’’ et les faux ‘’intelligents’’, 30% des gens dotés de sensibles pensées intelligentes, et les 10% restant étant ; soient des malfaisants… Soient des bienveillants.
Pour les médias traditionnels, il y a certainement 30% de sociopathes égocentriques, 30% d’incultes et 30% de véritables nuisibles atteints de cupidité intransigeante.
Ces mêmes proportions peuvent se percevoir en philosophie- politicienne, où par le résultat de l’addition avec les deux cas précédents permettant l’association médiatico-politico-économico-culturelle, il est particulièrement difficile de savoir si la mixité des trois, fait 30% de malfaisants ou 30% de bienfaisants, au rapport de la totalité de la population libre de penser et consciente, dans le système socio-économico-culturel…
Mon inextinguible optimisme me permet encore de présager d’un ‘’minimum’’ de 3 x 10% de personnes douées de belles factures, approchant les valeurs du Beau, du Bleu, du Bien…
Et du bons sens du vent…
Mais, même en conséquence de cette désinvolture, je vous laisse imaginer la proportion du défaut d’analyse lié aux servitudes dans la dimension des illogismes et paralogismes politico-sociaux-économico-culturels béatifiées par la sémiologie des icônes déchues, insipides ou formatées...
Dans et par le néologisme médiatico-virtuel starisé…
Michel Asti
La contradiction entre l’homme et le citoyen fait la misère humaine.
J.J Rousseau
Et toujours cette odeur de sang !
Tous les parfums de l’Arabie
Ne pourraient en laver cette main.
Macbeth (Shakespeare)
‘’Grâce au contrôle des pensées, à la terreur constamment martelée pour maintenir l’individu dans un état de soumission voulu, nous sommes aujourd’hui entrés dans la plus parfaite des dictatures, une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader, dont ils ne songeraient même pas à renverser les tyrans. Système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude’’.
Le meilleur des mondes d’Aldous Huxley
“Une certaine légèreté demande plus d'efforts que la pesanteur, les leçons de morale, la gravité, l'ennui qui s'en dégage. Mais elle est liée aussi à une certaine grâce, au charme, au plaisir.”
Jean d’Ormesson
La puissance publique pense que son rôle est d’assurer le bonheur privé des personnes avant même de garantir la sécurité et de réaliser la prospérité collective.
Aussi bien a-t-elle échouée à peu près en tout…
Sauf à avoir entraîné un individualisme exacerbé…
Date de dernière mise à jour : 07/06/2021
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