ESPRITS LIBRES
ESPRITS LIBRES
Bien intelligent à prendre des gants avec l’ancien et les nouveaux testaments.
L’orthodoxie est tant de voisinages déficients à une réelle condition humaine équilibrée que la propriété de l’esprit libre n’y résisterait à fréquentation qu’en se bouchant le nez.
Imaginez nombre d’individus suffisant à garder l’analyse objective envers genre grégaire, voire moutonnier pour qu’ils en réussissent conditions générales à remise en question de l’historiographie CULTU®ELLE…
Ne serait-ce pas là, encore, écriture faite au nom d’idéaux nouveaux … ???
Je crois qu’il en serait ainsi …
Cela rejoint le syllogisme consistant à croire que la différence est, trop souvent jugée par une sociologie philosophique exsangue d’épistémologie suffisante, dénuée de sens envers les esprits libres.
Ce petit exemple donne une idée de la difficulté à changer la vision ontologique conformiste, radicale, consistant à refuser la réalité qui se cache derrière le mur de l’indifférence.
Y penser librement ne peut s’établir sans conditions élémentaires à disposer d’un refuge contre les voracités extérieures, nourritures terrestres essentielle à chaque ‘’corps’’ et accessibilité à pluridisciplinarité intellectuelle intelligible du discours entre les sciences et les arts, autorisant émancipation des esprits libres.
Descartes (philosophe et mathématicien) disait: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’. Alors que ; Bergson disait: ‘’La vraie liberté n'est pas la liberté d'indifférence, mais la libération de notre plus intime et originale préférence’’. Essayons de démontrer si ces propositions sont potentiellement vraies, où, comment, pourquoi ou au nom de quoi, et peut-être pour qui... ???
- Hou la là, ‘’Einomhra’’, attends un peu, s'il te plaît avant de disséquer ces deux propositions tels des batraciens dans une classe de biologie. J'aimerai d'abord te faire une petite démonstration, si tu veux bien, avant d’essayer de définir ces deux postulats…
- D'accord ! Lui répondit-il.
Il l'a connaissait suffisamment pour penser qu'elle allait encore l'emmener devant une porte, dont le passage pouvait bien ressembler à une aporie. Mais cela ne lui déplaisait pas.
- Je vais poser sur le tableau noir à l'aide d'un morceau de craie blanc tenu dans ma main, un ‘’signe’’, que je considère être un point blanc, tel un ‘’quelque chose’’ posé sur ce référentiel noir, qu’est le [tableau] ; me dit-elle.
J'avais compris où elle voulait m'emmener, la maligne.
C’était en la dimension de la précision par la description faite des objets-sujets que nous percevons à l'aide de nos sens.
- Que peux-tu me dire de cette ‘’forme’’ posée au tableau, et n'ait pas peur de la décrire avec précision, cela te permettrait d'imaginer grâce à ta pensée, ce que peut devenir cette ‘’figure’’.
Me demandât-elle en souriant.
C'est bien ce que je pensais, elle avait envie de jouer, alors allons-y, en lui renvoyant son sourire.
- Mais avant cela, je souhaite te lire un passage de la quatrième lettre des ‘’Provinciales’’ écrites par Blaise Pascal à un provincial de ses amis, alors qu’il était à la Sorbonne.
- D’accord, je veux bien.
Extrait de la quatrième lettre
Vous voyez donc par-là quelle est cette ‘’ignorance’’ qui rend les actions involontaires ; et que ce n'est que celle des circonstances particulières qui est appelée par les théologiens, comme vous le savez fort bien, mon Père, ‘’l'ignorance du fait’’…
- Mais, quant à celle du droit, c'est-à-dire quant à l'ignorance du bien et du mal qui est en l'action, de laquelle seule il s'agit ici, voyons si Aristote est de l'avis du Père Bauny.
Voici les paroles de ce philosophe : Tous les méchants ignorent ce qu'ils doivent faire et ce qu'ils doivent fuir ; et c'est cela même qui les rend méchants et vicieux. C'est pourquoi on ne peut pas dire que, parce qu'un homme ignore ce qu'il est à propos qu'il fasse pour satisfaire à son devoir, son action soit involontaire. Car cette ignorance dans le choix du bien et du mal ne fait pas qu'une action soit involontaire, mais seulement qu'elle est vicieuse. L'on doit dire la même chose de celui qui ignore en général les règles de son devoir, puisque cette ignorance rend les hommes dignes de blâme, et non d'excuse. Et ainsi l'ignorance qui rend les actions involontaires et excusables est seulement celle qui regarde le fait en particulier, et ses circonstances singulières : car alors on pardonne à un homme, et on l'excuse, et on le considère comme ayant agi contre son gré.
- Après cela, mon Père, direz-vous encore qu'Aristote soit de votre opinion ?
Et qui ne s'étonnera de voir qu'un philosophe païen ait été plus éclairé que vos docteurs en une matière aussi importante à toute la morale, et à la conduite même des âmes, qu'est la connaissance des conditions qui rendent les actions volontaires ou involontaires, et qui ensuite les excusent ou ne les excusent pas de péché ?
N'espérez donc plus rien, mon Père, de ce prince des philosophes, et ne résistez plus au prince des théologiens, qui décide ainsi ce point : ‘’Ceux qui pèchent par ignorance ne font leur action que parce qu'ils la veulent faire, quoiqu'ils pêchent sans qu'ils veuillent pécher’’.
Et ainsi ce péché même d'ignorance ne peut être commis que par la volonté de celui qui le commet, mais par une volonté qui se porte à l'action, et non au péché, ce qui n'empêche pas néanmoins que l'action ne soit péché, parce qu'il suffit pour cela qu'on ait fait ce qu'on était obligé de ne point faire…
Le Père me parut surpris, et plus encore du passage d'Aristote, que de celui de saint Augustin.
- Allez, maintenant continues ton exposé, s’il te plait…
LA PHILOSOPHIE N’EST PAS UNE SCIENCE.
Tant mieux !
C’est pourquoi chacun et/ou chacune doit avoir la sienne.
N’est-il point sot de penser la fugacité des moments, comme il est tout aussi déprimant de croire qu’ils vont devenir insondables ?
Les années faisant chemin vers l’inexistence du corps, les instants de vie passant hors de notre temps touchable, sont-ils suffisants à engendrer l’abstinence psychologique et l’obsolescence physiologique… Afin de croire, que la sérénité serait de s’abandonner à l’inaction envers toutes choses présentes en ce monde ?
Et à sceller son attachement au temps d’un dieu… ?
Que la curiosité envers toutes choses serait mauvaise, et admirable envers une seule ?
Quelques congénères, j’en suis certain, pensent que j’ai grand tort à n’éprouver aucun attachement envers l’image d’un dieu créationniste ?
Mon songe est de penser l’attention, entre liberté et attachement !
Cette entité nommé ‘’Dieu’’ aurait créé le Monde, la terre, l’air, l’atmosphère, l’eau et jardins d’Eden ?
Il a dû faire quelques erreurs, notamment au niveau des atmosphères et des cultures.
Ah oui, il aurait également engendré les fondements de la nature, du vivant ; aussi branché l’esprit des hommes à la lumière divine et à sa lucidité…
Il y eu certainement quelques néfastes connexions… ???
Qu’elle est perfide, cette ‘’chose’’ humaine, notamment sur le fond des épreuves.
Tout cela devrait-il nous interdire curiosités bien aiguisées, ou nous empêcher d’être suffisamment insouciant avec un hédonisme singulier, pour n’avoir plus besoin de croire en la force de penser autrement ?
C’est ce que doivent imaginer les croyants envers les athées et les non-croyants…
Mais en aucune façon les agnostiques pensent cela.
La position des croyants, est d’infliger aux non-croyants un point de vue liberticide de l’attachement envers les choses de dieu, et par là-même foncièrement anti-laïque, et flouté par une sémantique particulièrement corporatiste et anti-universaliste.
Et aux agnostiques, comme aux athées, une filiation notoire avec l’imbécilité, attachée à morphosyntaxique débile et sémasiographie inefficiente.
Ont-ils oublié que le sens de la ‘’gnose’’ est la connaissance, envers toutes ‘’choses’’… ?
Et dans athée, le déterminant ‘’thèse’’.
En la pluridisciplinarité des ‘’choses’’ épistémologiques, ontologiques, et l’évolution par l’assiduité des échanges ???
Je pense, personnellement, que tous les croyants, bigots et bigotes sont choses sottes, effarouchées, par des manipulateurs de consciences sourdes, aveugles et déculturés aux réels sens du monde naturel du Vivant Ces choses de la conscience humaine, ont elles aussi oubliées que le genre humain ne saurait survivre sans la croyance dans le goût de vivre, même si cela n’est qu’un faible sentiment à la suffisance des hommes de dieu … ???
La philosophie n’est pas une science ; c’est pourquoi personne ne peut philosopher à votre place, mais seulement, parfois, vous inciter à l’aborder.
Je n’ai pas d’autre souhait dans mes petits statuts et notifications, dont je ne prétends en aucune façon, pouvoir égaler ce que disait Montaigne dans ses ‘’essais’’ : « Ce sont ici mes humeurs et opinions ; je les donne pour ce qui est en ma créance, non pour ce qui est à croire » …
Il est quelqu'un d'ordinaire qui a crû à tout ce que la société des hommes et des femmes lui a montré pendant son apprentissage, il a fait de son mieux pour coller à cette vision, il n'en avait pas d'autres. De par la compréhension de sa conscience, il a pensé que cela consistait à bien apprendre et appliquer de cette société à réseaux d’échanges ‘’humains’’, ses valeurs, lois, règles et codes définis et retransmis. Actifs et valeurs apprises et emmagasinées en tant que priorité de nécessité pour y être, mais plus difficilement pour y bien-être, son extraordinaire maîtresse la ‘’VIE’’ ; le lui a fait entrevoir, assez tard il est vrai. Il a compris, dans cette société, il vaut mieux savoir conjuguer le verbe ‘’avoir’’, que le verbe ‘’être’’, et elle avait raison pour ce lieu, mais pour Elle, il préfère continuer à conjuguer le verbe ‘’être’’.
Ici, lorsque tu n'as matériellement et financièrement presque plus rien, tu n'es pratiquement plus rien, sauf pour celles et ceux dont le regard ne s'est pas détourné et la ‘’voix’’ n'est pas devenue volontairement silence, car ils, elles savent que tu es resté le même, même si tu n'as pas ou plus moyens spéculatifs et outils palpables à le démontrer. Et une partie ‘’d'« ELLE »’’, en tant qu’attentions, sensations, attachement, émotions et souhaits, est encore forcément en ‘’toi’’, et ce seul petit nombre, lui a suffi pour continuer à ‘’être’’.
Il est apolitique et agnostique ascendant schisme, au sens de la dispersion, volontaire. Et oui, il n’a pas choisi ! Certains de ces ancêtres avaient curiosités, envers le schisme entre la grâce, les cieux, l’enfer, les femmes et les hommes, tels Aristote, Kant, Locke, Voltaire, Hume, Freud, Nietzsche, Pascal, Diderot, Rousseau, Dumas, Einstein et autres extraordinaires esprits didactiques potentiellement intelligibles. Cela n'est que sa vision à lui et pour lui, car il pense que la politique et la religion, sont de croire à des convictions adoptées par un nombre strictement inférieur à celui pour lequel elles doivent obligatoirement être désignées, afin de les faire adopter par le plus grand nombre possible en tant que nécessité de vérité et de salut, sans pour cela être sûr de la ‘’chose’’ en tant que vertu, à l’instant où elle a été préconisée et exposée, dans ses états épistémologiques, philosophiques, sociologiques, éthiques, ontologiques, et rarement comblée par quelques vertus et bienséances pédagogiques, mais assurément pour s’approprier pouvoir, au nom de je ne sais quel monothéisme religieux ou politique templière assujettie à quelques dévots à incohérences patentes et verbiages affectant les esprits désuets croyant en l’existence de paradigmes ‘’hors sol’’ terrestre, où le jugement dernier serait de penser que toutes les inconsciences absorbées par l’ordre de l’ignorance seraient absoutes par cette entité ‘’virtuelle’’, capable de donner pardon à l’amoralité liée aux consciences dogmatiques du paradoxe entre le diktat du malin et les postures envers la grâce particulière… ???
Le pouvoir n’est pas une donnée tombée du ciel ou sortie des tréfonds de la terre. Il est une volonté de certains hommes et femmes à se croire au-dessus du monde Naturel, aux faits holistiques des vicissitudes de femmes et hommes, ignorants ou non instruits au réel et juste ordre intelligible de la meilleure attention et transmission possibles quant à une existence humainement acceptable au milieu des leurs ; TERRIENS ET TERRIENNES DANS LE MONDE NATUREL DES VIVANTS.
Corpus universaliste n’est en aucune façon, l’abri des éruditions unipersonnelles de l’entre soi, mais le partage du ‘’TOUT’’ !...
Dans la mesure des connaissances actuelles et réels savoirs acquis.
Cela devrait être la première des maximes à acquérir dès le plus jeune âge, après le langage, et bien avant, vouloir à n’importe quel prix humain ou valeur sacrificielle, faire comprendre les potentiels bienfaits ou malfaisances des anciennes écritures ou nouvelles servitudes, de n’importe quel ordre, source, origine, usure, philologie, sémiologie, ou sémantique que sont les émanations textuelles, expressions, desseins d’ici et pensées d’ailleurs… Et inversement. Il n’en est hélas pas souvent le cas, notamment chez ces femmes et hommes de doctrine à peu de considération envers leurs congénères de toutes échelles, socio-culturelles et de tous âges, entre les deux dimensions théologiques et ontologiques que sont celles des : – Cieux et de l’Enfer. Alors que chez les hommes, ce dogmatisme paradoxale n’est en fin de compte, souvent qu’affaires de droit, d’intérêts individuels et de pouvoir entre les possédés(es) et les possédants(es)…
Me semble-t-il ?
Faust pactisa avec le maitre des profondeurs obscures
Machiavel savoura plaisir et sévérité du pouvoir, et ses arcanes
Le marquis de Sade explora le sadomasochisme, et formes extrêmes de soumission et subordination.
Freud cherchât l’esprit du père, de la mère, du fils et de la fille… Et l’aspect charnel de femme et homme.
Descartes considéra l’indifférence comme le plus bas degré de la liberté.
Rousseau eut des enfants sans véritablement leurs apporter éducation essentielle et transmissions utiles ; laissant ces apprentissages à autres considérations… Ce qu’il regretta.
Pascal laissa voguer ses pensées aux grâces de l’austère et la vision attractive de la société libertine.
Einstein précisa que l’homme est une infime partie du tout que nous appelons ‘’Univers’’…
Et le jour où la technologie dépassera les capacités humaines, le monde risque alors de voir une génération de parfaits imbéciles.
La Fontaine fut le premier à entrevoir que l’homme est très souvent un animal ridicule, prétentieux et égocentrique, dopé aux pires reliquats de la vénalité, l’accaparement systémique et la soumission au Grand Argentier.
Et tout cela au nom du dieu de la possession au lieu d’un alléluia envers la divinité de la sagesse, où les enfants d’Irène, déesse Grecque de l’équilibre et de la réconciliation, n’auront eût que peu de persuasion à ce que la descendance de Caïn, puisse faire un déni du dogme du père leurs ayant édicté :
‘’L'infernale convoitise pousse les enfants de ‘’Caïn’’ à s'emparer de tout ce qui est à leur portée, et comme si ce n'était pas assez qu'un seul accapare ce qui suffisait à des milliers de ses semblables, il voudrait s'y établir, lui et toute sa couvée pour toute l'éternité’’.
Mais peut-être, comme le stipulait Nietzsche : ‘’Parfois, les gens ne veulent pas entendre la vérité, parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions se détruisent.’’
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