L’INOPERANT MOMENT DE LA REFLEXION, OU L’EXEGESE EUROPEENNE
« N'espérez jamais trouver votre sûreté dans les armes de la fortune. » Sénèque.
Nelson Mandela disait : ‘’Une population instruite, éclairée et informée est une des façons les plus sûres de promouvoir la bonne santé de la démocratie…’’.
Et Benjamin Franklin : ‘’Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’un, ni l’autre et finit par perdre les deux’’.
L'ESPERANCE EST UNE BLAGUE, OU BIEN ON ARRIVE A REPARER OU ALORS ON DEVIENT FOU.
MAD MAX : Fury Road
« N'espérez jamais trouver votre sûreté dans les armes de la fortune. » Sénèque.
Nelson Mandela disait : ‘’Une population instruite, éclairée et informée est une des façons les plus sûres de promouvoir la bonne santé de la démocratie…’’.
Et Benjamin Franklin : ‘’Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’un, ni l’autre et finit par perdre les deux’’.
C'EST L'ADDITION DES COMPETENCES DE CHACUN ET CHACUNE QUI FAIT L'EVOLUTION DES SOCIETES HUMAINES AXEES SUR LA CULTURE DE LA JUSTICE SOCIALE-ECONOMIQUE
L’INOPERANT MOMENT DE LA REFLEXION, OU L’EXEGESE EUROPEENNE
(Texte écrit le premier trimestre 2016)
Qu’est-ce que l’Europe ?
Un acharnement de voisins qui se battent… Ecrit ainsi Leibniz.
‘’En Allemagne, les phases d’expansion des droits civiques et sociaux (L’unité allemande ou les réformes de Willy Brandt) se produisent en période de croissance. La montée du nazisme dans les années trente ou la recrudescence des pulsions anti-immigrés se produisent au cours de sévères phases de récession’’…
‘’Le monde est clos et le désir infini’’. (Daniel Cohen).
Avec pour encore plus mauvaise vision dans le système social-économique français (et autres), en celle d’imaginer la nouvelle possible évolution post-industrielle, comme une désintégration communautaire, par décret en faveur de la déconsidération identito-culturelle, où le plus néfaste schéma d’incompréhension se trouve assurément proche des liens moribonds entre le : corporatisme paroxysmique > Le déclassement social-économique > La prédation territoriale > Le sectarisme culturel > L’anti-laïcité > Le populisme intransigeant > Le nationaliste exacerbé > Les peurs dans la zone non-sécuritaire > L’obscurantisme > Le nihilisme > La radicalisation > Le fascisme > Etc… Avec pour vecteur ‘’novateur’’ à partir de la fin des années 1970, celui de l’avènement de l’outil informatique, permettant de créer d’autres classifications, grâce aux langages algorithmiques où les mathématiques en autorisent la création des bases de données et autres compositions sujettes à confinements incohérents, dont le pire est d’avoir oublié dans cette histoire à tendance ‘’déshumanisante’’, la pensée profonde de la propre existence ontologique singulière de l’être humain…
‘’La monnaie doit se donner pour légitime et cette légitimité ne peut se construire sur la base de la seule conscience qu'auraient les agents financiers du nécessaire recours à des objets ‘’conventionnels’’. Or, seule cette conception de la légitimité répond aux exigences et naturalités des thèses individualistes. Techniquement, c'est au travers de l'hypothèse d'anticipations rationnelles qu'elle se trouve formalisée dans les modèles socio-économico-culturels. En effet, cette hypothèse signifie que les représentations des agents sont identiques au vrai modèle de l'économie. A contrario, la légitimité suppose la croyance en une certaine matérialité des symboles…
Aussi est-elle contemporaine d'un certain délitement ou déni d’évolution communautaire des sociétaires, acteurs, actrices, réalisateurs, imprésarios, agents et échangistes des scènes nationales et internationales, perceptibles en et par les dysfonctionnements géo-politico-socio-économiques, devenus aujourd’hui divisions communautaires, où en certains lieux de conflits géo-politico-financiers, la valeur immanente est en ces états, indubitablement, ‘’ARMEE’’…
Au détriment de toutes ’’cultures’’…
Dimension qui ne peut être en aucun cas désolidarisée de tous objets symboliques, matérialisés par leurs essentialités, utilités, nécessités, disponibilités ou tous autres sensibilités en tant que sujet porté à son propre pouvoir, sur soi ou autres par l’effet de cette symbolique affective, devise sécuritaire, liberté attractive, attachement séculaire, causes plaisantes, passion communautaire raisonnable, raisonnée ou individuellement déraisonnable…
En ces temps de troubles sociaux et de starisation médiatico-politique, j’ai malheureusement quelques inquiétudes quant au pouvoir des ‘’élites’’ de la société française, voire européenne à réussir à pondérer leur égocentrisme et narcissisme, afin de proposer une meilleure forme législative du travail et de l’emploi, en phase avec certains changements sociétaux et économiques se profilant aux horizons de la République Démocratique à réelles obédiences laïques… Dans le cadre des droits de l’homme, de la femme et de l’enfant. Où les attaques envers le respect du monde naturel du et des vivants sont malheureusement vérifiables aux quatre points cardinaux de cette extraordinaire sphère bleue et verte nommée : TERRE.
Aujourd’hui, comme avant d’ailleurs, on nous parle d’investissements… Et je suis d’accord qu’il en faut. Mais lorsque je vois TOTAL, (première société du CAC40 en France), investir 12 milliard d’euros dans le pétrole de ‘’boues’’ au Nord du Canada… Et l’on sait pourtant, par analyses scientifiques, constats écologiques et biophysiques, qu’il est couteux à exploiter, et dégrade sauvagement le milieu. A même pragmatisme déficient pour les gaz de schiste… Que cette même autre société française, ‘’ENGIE’’ rachète en Australie la centrale au charbon la plus polluante du monde… Pour produire de l’électricité. Qu’EDF construit des centrales nucléaires EPR exponentiellement coûteuses au rapport de l’étude de projet…
Je suis quelque peu intrigué par le potentiel de ce type de sociétés à faire d’utiles investissements communautaires… ???
Au même titre d’avoir laissé, il y quelques années la Chine, être le premier producteur mondial de panneaux solaires, auquel la France achète maintenant ces mêmes matériels producteurs d’énergie électrique. Alors qu’à l’époque nous avions le savoir-faire technologique pour les fabriquer… Moyennant bien sûr investissement pour construire les usines de production industrielle…Certains pays du nord de l’Europe développent des parcs éoliens en mer… Nous avons plus de 3 000 kms de côtes.
Nombre de technologies novatrices sont majoritairement financées par des investissements étrangers, voire pour les pires par des fonds ‘’vautours’’… L’agriculture est soutenue par les subventions du fond européen, permettant juste, aux petits agriculteurs de survivre, sachant que les emprunts, au nom du productivisme, les étranglent… Où est le positivisme social-économique dans notre pays… ? Et ailleurs… ? Et, surtout l’anticipation au rapport des changements du marché industriel, du travail et de l’emploi... Dont la monnaie est le référentiel fiduciaire de l’activité et énergies ‘’humaines’’, actions automatisées et robotisées, dans une zone géographique (territoires, nations, pays, Etats)… socio-économico-culturelle. Et notre déterminant premier ; notre nation et le peuple de France. Je n’arrive plus à comprendre la logique d’investissement ainsi que la politique industrielle et économique en et hors de France. Une autre question m’interpelle depuis des années. Notamment celle de l’industrie automobile. J’ai l’impression depuis longtemps que la France est cantonnée dans la production de véhicules de petite et moyenne gammes où les innovations hybrides, et autres segments ‘’prémiums’’, de cet objet mécanique, symbole de mobilité, liberté individuelle et souvent cristallisation d’une forme de fortitude économique, ont dû mal à concurrencer celui allemand…?
Das Deutsch Auto…
Y aurait-il quelque part, une entente, édictant que notre pays devrait se limiter à son rôle de puissance industrielle de faible renom ou ‘’genre’’ prédéfini associé à modique valeur ajoutée au rapport des savoirs faire et savoirs être attachés à l’ordo-libéralisme allemand… ? Voire au-delà du tunnel de la Manche et du Trans-Atlantisme ? Ou encore fondée sur autres ordres, et marches en zig & zag envers le ‘’Grand Architecte’’ de l’argent ?
Je n’en ai pas certitudes, mais certains paramètres mettent mon esprit cognitif dans le doute inacceptable… Surtout au regard de tous les aboutissements dus aux recherches françaises, au cours de l’histoire, avec pour particularité, en celle que nombre de chercheurs filent à l’étranger… De même pour les nouvelles technologies et le numérique, où cette nation française, faisant partie de l’EU, et du Monde des évolutions humaines, technologiques et sociales, a toujours un wagon de retard…
Et de par cette vision, pouvoir malheureusement imaginer que la mise en œuvre des nouvelles énergies, où le temps du retour sur investissement est assez long, et certainement perturbé par le ressentiment des producteurs et investisseurs en énergies pétrolières et charbonnières, voulant encore profiter de la manne financière à forte et rapide rentabilité au détriment du monde naturel, du végétal et du vivant ; sera assurément retardée. Avec pour conséquence, en celle que les parts de marché de ces énergies renouvelables fondent comme neige au soleil, au profit de celles uniquement financières des investisseurs ‘’fossiles’’, où leur conformisme doit certainement dater du temps de l’homme néandertalien, voire du Jurassique… Mais de cet état sociétal, certaines ‘’entités’’ s’en fichent me semble-t-il ? Ou alors sont-elles dans d’autres schémas plus proches de l’intendance sectaire, voire de l’obscurantisme servile… Dont cette priorité est obligataire pour intérêts corporatistes particulièrement attachés à l’Homme inculte, de covalences individualistes ou d’éducation discutable, où le monothéisme envers le ‘’Grand Argentier’’ a dépossédé ‘’l’art des gens’’ et de l’innovation… Ou tout du moins mis à la marge.
Mesdames et Messieurs les ‘’sachants’’, élites, experts en toutes matières et soumissionnaires, allez-vous continuer encore longtemps à exercer cette désuète rhétorique consistant trop souvent à faire un déni d’analyse ‘’prévisionnel’’ quant à meilleure évolution des liens interindividuels et échanges intercommunautaires, au nom du bon sens social-économique ?
Au profit des actions et réactions immédiates et irréfléchies ???
Le biologiste François Jacob a utilisé, à propos de notre cerveau une image admirable : ‘’Le cerveau humain est comme une brouette sur laquelle aurait été greffé un moteur à réaction’’.
Ce qui peut laisser penser, après analyse de cet excellent aphorisme, que la conscience arrive en majorité d’états, à faire un diagnostic objectif, uniquement après la bataille… Et encore pas toujours, lorsque l’égocentrisme fait loi, et accords avec le pouvoir théocratique insidieux, la fonction matérialiste dominatrice et l’existentialisme théologique frelaté… N’oubliez jamais cela : « Par tout ce que ‘’l’homo-erectus’’ sociologiquement et chronologiquement inculte refuse de circonscrire hors de ses propres intérêts cupides et narcissiques, il ne saurait exister aucune subtile intelligence suffisante pour réussir à vaincre son ignorance qu'il souhaite garder par déni – que je n’ai pas, comme autres amis(es) réseaux – des estimables facettes amendées à la curiosité physique, philosophique, épistémologique, ontologique, sociologique, accompagnée d'un soupçon de poésie et romantisme, et surtout à ne même plus faire une recherche sérieuse et objective, afin de connaitre la réalité qui se cache derrière le ‘’filoutage’’ des images et des sons dans l'espace de la médication logo-médiatisante, déféquée par la sphère audio-visuelle culturellement sectaire prônant dans la cacophonie générale la division des meilleurs savoirs-être... Et soustraction des savoirs faire dont l’homme moderne en est assurément le servile benêt, des imprésarios et réalisateurs de la dramaturgie didactique échangiste, voire civilisationnelle... Et tout cela au détriment de l’utile observance des extraordinaires pensées encore présentes chez quelques philosophes, sociologues, analystes, épistémologues, et théoriciens de justes mots ; à potentielle sémiologie sociologique humaniste... »
RAISON CRITIQUE ENVERS L’ECONOMIE-POLITIQUE
L’Economie est une science uniquement comptable – La sociale-économie EST une étude sociologique ET mathématique… Où les dimensions philosophiques et culturelles ne sauraient être, en aucun cas d’analyse, défigurées. La plupart des politiciens gèrent l’économie, comme une fonction affectée à leur propre philosophie-économico-financière corporatiste par un filoutage médiatico-socio-culturel attaché à forme délétère d’idéologie néo-ordo-libérale souverainiste, social-communisme déficient, technocratie inadaptée, bourgeoisie de démocrate-chrétiens, capitalisme ou socialisme dépassés par la fantasmagorie monétaire ultra-libérale. Quand le désordre est trop grand, on rackette le contribuable, après avoir baissé ses quotités comme épargnant, assuré ou ruiné le petit boursicoteur, afin de renflouer les puissances féodales, considérées comme les piliers de l’édifice social et les créateurs de richesses économiques. Et pour semer le trouble, on laisse croire que cela serait une concession à l’interventionnisme de l’Etat. Suprême habileté: si cela a un effet positif, on s’empressera de « re-libéraliser » le système, au motif qu’on est sorti de la période de turbulence et si cela rate, on pourra confirmer que l’interventionnisme étatique est inefficace. La plus grande panique étant quand, dans le système démocratique, le peuple, nécessairement ignorant et irresponsable, devient souverain et fait supprimer définitivement, par la loi et la réglementation, la liberté seigneuriale…
De fait, la société néolibérale actuelle est bien un système féodal où des puissances économiques et financières se partagent, non plus un Royaume ou un Empire, mais la planète, échappant ainsi à toute souveraineté nationale. Selon l’état des rapports de forces entre elles, elles passent des accords de non-agression (situation assimilable à un monopole de fait) ou se font une guerre sans merci, avec des dégâts collatéraux considérables, en termes économique, financier, social et environnemental, le tout dans un climat de crise permanente. Quant aux fameuses PME, elles se font une concurrence meurtrière pour pouvoir gagner le droit d’être choisies par (soumises à) ces grandes féodalités oligopolistiques, soit comme fournisseurs soit comme sous-traitants.
‘’Le dernier qui s’en va éteint la lumière’’ – Paul Jorion
On le perçoit aisément lorsque l’on décortique les rapports commerciaux et stratégiques entre les trusts et grands groupes envers les PME, PMI et TPE… Quant à la fameuse régulation, elle peut être comparée au rôle de l’Eglise d’antan. Celle-ci comptait sur la piété des puissants pour brider leur tendance tyrannique, leur servait de conseil et d’arbitre et, excommuniait exceptionnellement ceux qui mettaient vraiment en péril le système et les principes. Le nouveau clergé technocratique néolibéral ne cesse d’en appeler à la moralisation (!!) des rapports socio-économiques. Il initie stupidement des instances “indépendantes” de régulation dont l’image médiatique est inversement proportionnelle à leur impuissance d’intervention, enfin, mettent de temps en temps au pilori quelques brebis galeuses, de basse baronnie si possible (l’affaire Kerviel en est une caricature), dans l’irréalisme économico-financier. Les banques, n’ont-elles pas engrangée d’énormes, voire indécents bénéfices, même après la crise de 2008… ? Après avoir édicté qu’il fallait fiabiliser le système bancaire…
D’autant que, d’un côté de l’économie-sociale de marché, et des politiques néo-libérales, sont énoncés des termes à image positive: personnalité, acteur social, responsabilité, défense des inégalités et de la précarité. De l’autre, des mots à image négative : individu, sous-entendant l’insécurité de la solitude et l’égoïsme de l’individualisme ; assistance, évoquant l’indignité et la servilité vis-à-vis de l’Etat, grand méchant loup qui, certes, a de grands bras pour mieux nous embrasser, mais aussi de grandes dents pour mieux nous manger. Une telle présentation relève, en effet, du conte pour enfants. Sans doute parce qu’on ne serait pas capable de comprendre une analyse trop savante ; à moins que ce ne soit pour éviter de juger en toute connaissance de cause de la valeur de la thèse, qui permettrait un débat contradictoire, mais jugé inopportun à l’égard d’une vérité transcendante et universelle, donc indiscutable. Où la culture et les savoirs ne sont plus que positions anti-universelles, soumises dès le plus jeune âge à concurrence déficiente et à future compétitivité incohérente… Inapte à meilleure forme d’humanisme et de collectivisme, mais ultra-sensible à une sorte de logo-starisation-médiatique, voire de terrorisme intellectuel, dans un potentiel changement de ‘’mythe’’…
Mais peut-être : « Les experts en intelligence sont-ils devenus espèce à sang froid ? Et la politique, la religion et la monnaie sont-elles, pour certains clans, un résultat de pouvoir divisionnaire inique ?
Ce qui est certain, c’est que les trois veillent et entretiennent le néo – ordo – ultra – libéralisme social-économique et le capitalisme financier impérieux » […]
N’est-ce pas Mesdames et Messieurs les investisseurs, spécialistes des ressources humaines, experts en gestion d’objets et sujets rentables, politiques, économistes, sociologues, autres consultants et communicants possédant capacités d’analyse des systèmes socio-économico-culturels, entreprises et sociétés commerciales, tout cela, bien évidemment accompagné de la compréhension philosophique et ontologique suffisante et juste envers vos ’’semblables‘’ ?...
Mais, je ne vous en veux pas…
Et pourtant, je devrai haïr ce pays brandissant à l’étranger les couleurs de son étendard gonflé par les vents de l’incompréhension envers une démocratie tangible, où les asthénies sont surtout celles de l’ignorance des véritables définitions utiles à une république à tendances laïques dans l’espace du travail, des emplois et des échanges extra et intra géo-localisés des territoires et de la Cité, dont les gouvernances économiques ne sont plus en mesure d’induire l’application d’une juste activité salariale rémunérée au rapport du besoin de certaines personnes et familles en tant que résidents de la démocratie française, ayant pourtant professionnalisations, avérées nécessaires, a exercé un emploi à juste valorisation permettant de vivre décemment dans leur zone de confort acceptable, appelée : ‘’Communauté de bien(s) et services’’…
Où sans prise de conscience de l’avènement de la robotisation, du numérique et de l’intelligence artificielle, la gestion des modalités du travail risque de poser encore d’énormes problèmes, d’ici quelques temps…
Les dégâts risquent malheureusement de devenir énormes au niveau social, si ‘’l’homme démocratique’’, n’arrive pas à assimiler que les notions de travail, de gérescence et d’emploi liées au temps de l’activité manuelle, intellectuelle et culturelle sont en train de changer, dont les concepts et thésaurisations financières, philosophiques, sociologiques, technologiques, scientifiques, voire psychologiques ne réussissent pas à être analysées et étudiés, alors je crains fort que la civilisation humaine ne sombre dans un obscurantisme très éloigné des temps immémoriaux des lumières, grisés depuis longtemps par de néfastes spiritualités politico-religieuses…
Avec pour particularité en celle que les aficionados du refus de compréhension laïque envoient certains signes ostentatoires, et parfois malsains, même depuis la loi de séparation des corps républicains et ecclésiastiques, établie chez nous en 1905…
Je pense que les corps intermédiaires sont seulement devenus de petits administrateurs à la solde de quelques chefs, eux-mêmes par prosternations séculaires ou covalences commerciales rampantes, à disposition servile auprès d’entités d’obscures desseins, avec pour particularité à leurs sous-officiers dépassés par les évènements du moment, et à ce qu’ils ne soient plus de véritables responsables de la gestion des ressources, biens terrestres et services ‘’humains’’ ou ‘’robotisés’’, commençant par ailleurs en l’apprentissage, l’éducation et la retransmission des justes savoirs être et utiles savoirs faire.
Ou alors ont-ils mal été recrutés ?
Ont-ils peur de perdre leur job en ne se conformant pas à la charte des sociétés et systèmes séculiers qui les emplois ?...
Sont-ils dépourvus de vision sociologique et philosophique, ou ont-ils l’esprit étroit… ?
Ou encore, ont-ils mal été formatés aux nouvelles données sociales-économiques et dotés de peu d’imagination quant aux prochaines possibles évolutions de l’économie participative, et de la société des échanges équitables consciente des changements climatiques et comportements plus dignes de l’espèce ‘’humaine’’ ??? .
Envers toutes ces alternances citoyennes, acteurs et actrices ‘’invisibles’’ aux yeux du système et insignifiances socio-identitaires vivant avec 15 € par jour, les 9 millions de citadins et ruraux disposant d’un revenu égal ou inférieur à 1 000 € mensuel, soit environ 13,6% de la population. Celles et ceux s’accommodant de moins que le seuil de pauvreté, fixé en France à 890 €, les sans-emploi, les précaires, les mères célibataires, les 3,4 millions de mal logés, les déchus(es), les 6 millions de chômeurs, les sans électricité, sans horizon, les exclus(es) de l’accès à l’éducation, aux apprentissages, aux études par une scolarisation inadaptée aux changements de la société ; notamment par la vision de ce que seront dans quelques années les notions combinées du travail, de l’emploi, de la durée et la rémunération des activités ‘’humaines’’ dédiées à la création, la production, la réalisation, l’échange, la vente, la distribution et la transformation de tout ‘’objet’’ matériel par les bons savoirs faire, justes savoirs être et l’évanescence culturelle, dans la société de bien(s) et services marchande… Française.
A réseau ‘’humanisant’’… ???
Les asthénies, le manque de vision alternative, le corporatisme exacerbé et les incompétences de la classe politique de ces quarante dernière années, accompagnée par quelques ‘’génies’’ de l’économie et autres ‘’sorciers’’ de la finance ont malheureusement fait un déni de meilleure évolution communautaire dans la République Démocratique à vectorisation Laïque. Le déclassement social-économique, la destruction de la culture et la ghettoïsation sont, je crois, devenus les standards de ce système sociétal arrivé à bout de souffle. Où la norme devient celle de la starisation politicienne, médiatisée par les mauvais clowns de la logo-atomisation ‘’buzzique’’…
Et par majorité des programmes politiques, associés aux ordres de chaires, d’ors, de pompes et de notables ; je ne vois guère de meilleures lumières à l’horizon de ce beau pays ‘’France’’.
Pourtant visibles en d’autres systèmes innovants dont vous n’en percevez encore aucune des possibles belles tendances pour le meilleur avenir de cette civilisation encore atteinte de trop d’individualismes opportunistes !… Transmis par vos ancêtres prosélytes de cultures, concepts et formes ‘’spirituelles’’ provenant de temps révolus et inadaptées aux sensibles considérations et justes attentions envers les jeunes ‘’pousses’’, avec pour particularités, en celles que tous ces artéfacts à invocations douteuses, ne soit que l’opium des peuples, ré-initié par néo-scientistes en fourbes paralogismes. Et utilisés par quelques dealers de mauvaise foi liés à l’inattention, l’iniquité et l’injustice socio-économico-culturelle… Associés à idéologues voués à l’ordre du ‘’Malin’’, ou philosophes tatoués au nombril de leur monde. Dont une partie de ceux et celles ayant pratiqué leurs allants professionnels dans les sphères de l’occultisme financier indigent, flux monétaires impérieux et clandestinement rentables, vont assurément, une fois à la retraite, dévoiler quelques nauséabondes applications… Pour certains et certaines, cela commence… Afin de peut-être croire que cela permettrait un rachat de leur âme, avant le grand voyage ? Bon, quoiqu’il en soit, ils, elles ne sont pas mon sujet du jour. J’ai déjà évoqué quelques dysfonctionnements les concernant et présents chez certains mauvais imprésarios, réalisateurs, acteurs et actrices du monde de l’emploi dans différents statuts ‘’numériques’’ adressés aux concernés(es) depuis mon inactivité professionnelle… Et, bien sûr restés sans réponse, comme vous l’auriez fait, vous les ’’pros‘’ de la gestion comptable, administrative et juridique du travail, qui en avez pris la ‘’mauvaise habitude‘’, puisque majorité n’est même plus tourmentée, par son inaction consistant à ne plus répondre au CV des candidats, et autres demandes, pourtant envoyées par toutes les convenances établies…
C’est du vécu ! Et par plus que moi…
Envoutés par l’image, les électeurs votent en fonction des sentiments que leurs inspirent les candidats. Ils votent pour le slogan, le sourire, la sincérité présumée, le charme ainsi que le récit de vie du prétendant, rédigé avec le plus grand soin.
Tout est dans le style, dans le scénario, rien dans le contenu, dans les faits.
Les politiciens ont saisi que, pour obtenir des votes, ils doivent reproduire cette fausse identité avec le public que savent si bien créer les célébrités de tout acabit.
Chris Edges.
Mais revenons à nos moutons, et croyez-moi, depuis plus de 5 années, en tant qu’inscrit au Pôle des Astres, et donc, à partir de 2013, période de grand chambardement social-économique, j’en ai côtoyé d’autres pendant ma recherche d’emploi, et je vous assure, certains étaient des moutons à cinq pattes, souscrivant allègrement au bal des dindes et des dindons. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai plus tard, si vous le souhaitez, ou peut-être déjà contée en d’autres écrits… Sur supports papier, numériques, blogs et réseaux sociaux…
Celle d’aujourd’hui est plutôt invectivée par quelques concepts entendus et émis par des ’’entités’’ participantes d’émissions politiques, que j’ai le temps de regarder grâce à mon ’’inactivité’’, par laquelle, vous Politiciens et experts en psychologie humaine envisagerez certainement de la caricaturer, en le ‘’désintéressement’’ d’un sans travail pour toutes connaissances en dehors de sa ‘’petite personne’’ obligatoirement sujette à démotivations suffisantes pour ignorer quelques bonnes lectures, autres documentaires scientifiques, analyses chronologiques, sociologiques et historiques, documentaires culturels et animaliers, m’autorisant à percevoir par ces visions de meilleurs comportements en d’autres lieux, et enfin, en mon souhait d’écrire quelques statuts, et expressions sur mes réseaux sociaux, blogs, ainsi qu’autres échanges textuels, ailleurs…
Même si actuellement cette activité exercée ne m’assure pas encore des conditions de vie dignes et honorables, où la petite reconnaissance qu’il me reste, dans ce système en arguties de minimums sociaux et solidarité nationale ; est le RSA avant les œuvres caritatives. Et également, grâce à la présence de quelques ’’proches’’ et gens de bien(s), avec ou sans ‘’s’’, me permettant d’être, pour l’instant juste en colère contre un ’’système établi’’ destitué de ses belles valeurs, par d’autres qui n’en n’ont plus, et envers lesquels(les), j’ai quelques amertumes, voire plus…
Car lorsque j’entends ces personnages politiques dirent, (texte écrit le 1er semestre 2015) dès le matin, dans certaines émissions dont j’aime bien la plausible liberté d’expression de quelques journalistes attachés à la pluridisciplinarité des ‘’sujets’’, me paraissant proche de l‘idée que je me fais d‘une certaine forme ‘’d‘humanisme‘’ à potentiel sociologiquement équilibré, qu’il faudrait faire exécuter des travaux d’intérêt général aux bénéficiaires du RSA ; cela me procure un sentiment de dégoût et de nausée envers ces gens de la gestion sociale-économique, qui ne connaissent rien quant aux fonctionnements de ‘’ses pôles’’, pour les simples raisons que la recherche d’emploi demande déjà une activité aujourd’hui nécessaire, suffisante et indispensable à fin d’en trouver une rémunérée… Et n’oubliez surtout pas, qu’en tant qu‘ex-travailleur j‘ai nécessairement cotisé pour prétendre bénéficier à minimum social le temps de revenir dans le monde des emplois, aux mêmes titres qu’autres catégories y ayant participé par un ’’temps’’ de travail plus long, établi tel celui comptabilisé avant la mise en retraite…De plus, en parallèle à mon activité de recherche d’un emploi rémunéré, j’exerce cette autre mobilisation, séide à l’écriture commencée depuis environ « cinq ans » ; sans affectation d’une quelconque rétribution financière, ni même un petit indice positif honnête, m’autorisant à croire à une certaine forme de ‘’synchronicité’’ éditorialiste. Et ensuite, il me semble malheureusement, aux vues de l’existence de certains comportements nuisibles au ‘’bien-être‘’ du plus grand nombre de vos congénères, qu’en mettant en ’’scène’’ un tel concept de dévalorisation envers certains affairements, quelques administrations, sociétés ou autres organismes peu scrupuleux risquent d’utiliser, pour intérêts personnels de néfastes pragmatismes, cette main d’œuvre intellectuellement ‘’captive’’ à un coût au rapport de la ’’tâche effectuée’’, encore inférieur à celui donner aux stagiaires, employés à zéro heure (pas encore présents chez nous), ou autres possibles travailleurs dont la migration est majoritairement souhaitée par eux, pour le plus ailleurs au nom du moins bien d‘où ils, elles viennent.
Mais ces concepts vous sont évidemment étrangers, sauf lorsque vous réussissez à délocaliser pour uniques raisons de coûts inférieurs, ou en certains pays européens, réussir à mettre en législation des contrats à 1€ de l’heure, ce qui n’aura à terme que pour effets de faire baisser mécaniquement le salaire minimum, établi lui aussi démocratiquement, où sans être fermé aux justes échanges internationaux, il me semble que cette application est encore une formalisation de la soustraction des savoirs faire et activités rémunératrices par annexions économico-asociales douteuses et coûteuses. Mais cela n’handicape assurément pas vos néfastes états d’âmes, afin que vous ne puissiez commencer à entrevoir certains dysfonctionnements économiques et sociétaux… Commerciaux et géopolitiques. Par déclassements sociaux-professionnels… Dont leurs empreintes ont maintenant des incidences mondiales, avec une échelle de valeurs quelque peu tordue et déstabilisée par les mauvais exerçants, autres TAFTA, TIPP, CETA et contrats commerciaux destructeurs... Ou alors, ces concepteurs de l’économie asociale, sorciers de l’économie, et autres génies de la finance, après avoir, depuis environ 40 ans, créé l’esclavage social veulent peut-être fournir aux habitants de la planète ‘’CHÔME’’, un uniforme spécifique afin de mieux identifier ses adhérents(es) avec le risque que les mauvais passent inaperçus…, tels ceux qui dans votre ‘’joli monde’’ de la belle politique économico-financière impérieuse détournent les outils nécessaires et indispensables à la vraie et réelle sociale-économie… En les postant en différents paradigmes gérés par d’ignobles usuriers et usurières…
Réfléchissez-y, si vous en êtes encore capables ?
Cela vous permettrait de percevoir la vilaine réalité quotidienne présente près d’autre que vous ; mais assurément encore peu encline à laisser croire que cette ghettoïsation socio-culturelle éloignée de vos soucis d’intendance administrative et de gestion monétaire n’en serait en aucune façon pression usurière, envers les classes laborieuses, emplois utiles, travail précaire et actions ubérisées ! Ou alors êtes-vous obnubilés par d’autres centres d’intérêts ?...
Moins prosaïques et prolifiques ???
Pour l’ensemble (E), des machines humaines… ?
A tort, me semble-t-il. Politiques de tous bords, regardez un peu plus, celles et ceux insuffisamment proches de votre inacceptable démagogie. Ou alors considérez-vous les petites gens comme sots aveugles et sourds, fainéants et illettrés(es) dotés d’incapacité de réflexion ?
Ah la là, politiciens, gouvernances, administrateurs, gestionnaires et autres pouvoirs de tous bords, veuillez émettre quelques meilleures formes de considération envers celles et ceux insuffisamment proches de votre inacceptable démagogie. Ou alors, vous prenez les gens comme moi, pour des ‘’sots’’ dotés d’incapacité de réflexion et analyses, envers vos comportements dénués d’attentions, hors de votre nombril ? Avec pour particularité, en celle que les sociétés modernes ne soient régulées que par seul pouvoir du commerce effréné désolidarisé de toute analyse sociologique et règles d’échanges communautaires acceptables. N’oubliez surtout pas, ils elles sont aujourd’hui en France, plus de 9 millions, vivant avec moins de 1 000 € par mois, et ce nombre augmente invariablement. Essayez de trouver rapidement des solutions viables, car, le chaos risque malheureusement d’apparaitre sous quelques formes peu propices à maintenir la cohésion sociale. Si vous continuez sur cette voie, je me demande bien, une fois que vous aurez trouvé et utilisé tous les concepts et autres algorithmes économiques et langages politiciens nécessaires à donner la plus petite valeur ajoutée aux meilleurs et justes savoirs faire, et à toutes vies au nom de vos seuls intérêts et autres égocentrismes, vous irez en trouver des suffisamment serviles et malléables, où ?
Sur une autre planète… ?
Celle de la sphère politico-financière impérieuse ?
N’est-ce pas Mr BARROSO…
Et princes consorts… ???
Bien sûr que non, vous n’en avez assurément pas tous, possibilité pour l’instant et vous serez certainement mort avant!
Comme moi d’ailleurs, à la seule différence, que je m’inquiète pour les générations arrivantes ! J’espère qu’elles trouveront les bonnes solutions nécessaires à leurs belles évolutions civilisationnelles… ‘’Humanisantes’’ ; et respectueuses du monde minéral, végétal et organique…
Bordel de merde, c’est pourtant facile de percevoir le Monde Naturel des ‘’êtres vivants’’ sur Terre… Malheureusement, j’ai la triste impression, que : « Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que celui du désespoir… De la rancœur, et de l’indifférente violence… Psychologique… Où celle physique risque parfois malheureusement d’apparaître. « Car cet homme des lointains, c’est un animal semblable aux autres animaux » Il mange, boit, dort. La sélection naturelle l’a fait robuste, agile, il ignore la maladie et n’a même pas conscience de son existence dans son milieu.
Car si cet être a, des sens d’une extrême acuité, il ne pense pas’’.
Rousseau, qui contredit ainsi ceux qui attribuaient à l’homme originel la supériorité d’une raison toute formée, ajoute ceci qui indigne ses contemporains :
‘’J’ose presque assurer que l’état de réflexion est contre nature et l’homme qui médite, hors analyse sensible et objective est un animal dépravé’’.
Dépravé… ?
C’est-à-dire dénaturé, en rupture avec l’état naturel, qui ne suppose pas la faculté de penser… ; le juste, l’équitable et le sensé… Enlever à l’homme sa mémoire. Il n’aura plus haine, ni amour. Il restera juste ce mammifère prédateur, que les esprits doués d’intelligence sensible, pourront peut-être comprendre…
Où parfois, trop d’inutiles bigoteries, inhibent l’esprit logique et ne permettent plus d’entrevoir cette extraordinaire capacité d’être simplement humain dans le Monde Naturel Vivant » […]
Mais tous ces concepts déjà effectués par votre foi tordue et néfaste esprit, ont été établi sans avoir eu une simple petite pensée pour celles et ceux ‘’d’après’’, et quelques meilleures attentions envers certains et certaines du ‘’moment’’, habitant le même pays… Sauf à accumuler les biens matériels par une possessivité telle que la potentielle équité entre les hommes n’est pratiquement que guerrière, et pour les femmes sensiblement inexistante, dans et par votre mauvaise parodie discordante entre les sciences et les arts. Au même titre d’avoir complètement oublié les autres ’’vivants’’ en d’autres contrées, dont vous en appréciez, comme aux temps des colonies, j’en suis sûr, certaines de leurs compétences, ’’objets’’ réalisés, ou énergies, essences, ‘’sujets’’, minéraux cristallins, beaux fruits, douces textures, teintes bigarrées et autres contingences satisfaisantes ?
Auxquels(les) vous aimez en donné la plus faible valeur… Fiduciaire… Bandes de prédateurs incultes…
Et par ce don envers votre ‘’race’’, il vous est même possible, pour des raisons diplomatiques obscures, de vous associer à de néfastes dogmatismes, assez éloignés du véritable humanisme et de la déontologie ‘’commerciale’’ dans et par le système d’échanges de bien(s) et de services…?
J’espère n’avoir rien dit de faux…?
A moins que le déterminant ‘’race’’, soit dans votre esprit, différent de l’ordre des ‘’humains’’… ???
J’écris ces mots, non pour vous, car vous êtes des malades mentaux, des Méphistophélès, des opportunistes de position ou des inconscients, mais pour tous ces ’’petites et petits devenirs‘’ qui ne peuvent encore peindre leurs lieux de vie de la couleur d‘un arc en ciel, dont une grosse partie prend chaque année le chemin de la retransmission des connaissances par les savoirs retransmis dans les écoles, collèges, lycées, universités, ainsi qu’autres enseignements fraternels, justes instructions et apprentissages professionnels ‘’sectoriels’’… ; etc…
Autorisant évolution interrelationnelle ; bonifiée ???
Où ma sensation concernant la politique pédagogique et collégiale envers ce milieu éducatif, est quelque peu assombrie par certaines inadéquations dans et par la retransmission des savoirs universels nécessaires à tous les justes et salutaires apprentissages, où les réels, utiles et essentielles éruditions philosophiques, ontologiques compréhensibles par la langue de Molière sont pourtant indispensables à l’organisation de quelques espace-temps plus lumineux ; accompagnés par quelques signes mathématiques et autres fonctions utiles et essentielles à l’élargissement de la symbolique sociologique des sciences de la physique, des arts, de la nature, du vivant et toutes leurs énergies, dont les ministères de l’éducation successifs n’ont qu’en rare objectivité réussi à axer les plannings éducatifs des bonnes connaissances et justes savoirs, sur le meilleur chemin des écoliers…
Et depuis longtemps vectorisés par une compétition primaire dégénérative absorbée par des lots anti pluridisciplinaires.
Et tout cela au détriment de nombreux et nombreuses petites et petits apprentis(es) dont les quelques bases fraternelles et justes échanges nécessaires à la société de bien(s) et services, ainsi qu’à la dimension touchante de l’être ‘’humanoïde’’ ont été majoritairement dévoyées ou tout du moins mal appréciées dans et par leurs singulières valeurs ajoutées humainement acceptables et prolifiques ?
Au profit du maximum de l’indicible espace ‘’matérialiste touchable’’… ? ACCAPARATIF… ???
Mais pour moi cette époque est terminée, et malgré certaines difficultés de la vie, comme beaucoup trop d’autres me semble-t-il, j’ai toujours réussi à ouvrir les portes m’autorisant à emmener mes ’’petites devenirs’’ jusqu’au moment où elles ont réussi à voler vers des espaces un peu plus loin que le mien. Et même si aujourd’hui je suis chômeur de longue durée, la vie m’a encore apporté par cette petite rente nourricière minimale en le RSA, insuffisante à envisager meilleures zones de confort, et également, grâce à l’aide apportée par quelques proches, l’essentiel à disposer d’au moins un toit, à manger, réflexions… ; et le nécessaire pour exercer cette activité consistant à poser mes quelques pensées sur ce support numérique que ‘’vous’’, gens de mauvaises pratiques, décisions déraisonnables, et pouvoirs détournés, ne visualiserez certainement pas ou tout du moins ne lirez jusqu‘au bout, les mots de ce sans-travail, ainsi qu’autres de ses expressions posées sur quelques supports papier, non encore diffusés, pour des raisons que je perçois aisément dans le milieu médiatique du livre papier ou numérique français, et ressemblantes par certains points à celles existantes en d’autres ’’sphères‘’, dont le ‘’pôle’’ essentiel en est l’activité d’organiser l’asociale économie, et la division par de grandes théories dont leurs représentants(es) politiques, experts en toutes matières et autres gestionnaires n’en comprennent même plus les inopérantes distorsions énergétiques, sociologiques, mobilisations, attractions, démotivations, déprogrammations philosophiques et ontologiques engendrées, sauf en certaines de leurs ’’parties’’, atteintes de soubresauts boursiers et financiers, qu’ils ne peuvent, en ces temps d’informations mondialisées, dissimuler, et maintenant trop énormes et trop visibles, où dans cette asymptomatique agitation, l’indice des sans bourses conséquentes, est irrémédiablement celui, de les vouloir aussi grosses que celles de la sphère financière, tout en ayant omis la meilleure chorégraphie hors de cette scène mégalo-tragique. Et par égocentrisme démesuré, vouloir à tout prix qu’il reste d’eux quelques lignes inscrites dans la chronologie historique, devenue celle de l’obscure starisation logo-médiatique très éloignée des temps immémoriaux des lumières…
Ils, elles n’ont, dans cette course à la reconnaissance nombriliste, absolument pas perçu la vectorisation dans et par la rapidité de l’information numérique dont la recherche, l’accessibilité et la visualisation en sont facilités pour toutes et tous sur les réseaux du Net, autorisant la perception d’autres connaissances, où certaines entités ont des savoirs universels, loin de pouvoir être considérés comme insignifiants, avec pour vecteur disqualifiant, celui du nombre encore insuffisant d’unités percevant librement les asthénies, incongruités politiciennes, incompétences sociales économiques, vilains comportements culturels et égarements spirituels… Et surtout ne pas avoir encore le degré de pouvoir suffisant à contrer les néfastes et inéquitables lois et règles débiles perceptibles dans et par les incohérences politiciennes, gouvernementales, sénatoriales, parlementaires, didactiques, inter-partisanes et sottes covalences particulières engendrées depuis plus de 40 ans… Et depuis plusieurs siècles par une vanité scolastique en trainée de poudre interculturelle, ethnique et intercommunautaire, digne de la pire servitude…
L’HUMANITE EN PENTE GLISSANTE
L’homme n’apprend rien de ses erreurs.
Une erreur, de ‘’casting’’ ou autres, quelle, soient-elles, est un évènement qui, normalement, se produit une seule fois. Lorsque cette même erreur arrive une seconde fois, c’est une faute.
Nous vivons aujourd’hui aux crochets des générations futures et nous leurs léguons une poubelle explosive très chère à entretenir, tout en ne leur procurant plus les moyens de vivre de leur travail. Le COURT-TERMISME est, parait-il, inscrit dans les règles de politiques seulement et uniquement comptables…
Auparavant, l’individu était une personne morale à valeurs de dignité supérieure aux prix fixés à l’objet de consommation. Le glissement de cette dignité – certes inexistante chez les individus soumis à la tricherie, l’ignominie, l’infamie et l’insincérité patente – part de la personne physique en respect des valeurs éthiques et déontologiques dans le cadre des Droits et Devoirs inscrits dans une société de justiciables et justifiables en tant que personnes physiques morales. Cette personne physique, dotée d’un patrimoine, a été transposée au statut d’entreprise morale, en tant qu’entité fonctionnelle – machine non-humaine – puis fut réalignée, aux Etats-Unis, au milieu du XIXème siècle, par sa mise en place au statut de ‘’personne morale’’, désignée plus tard sous le patronyme de ‘’TRUST’’ - « la Fiducie » de droit anglo-saxon (pays considéré comme le plus grand colonisateur à partir du XVIIème siècle). Cela permit aux individus, personnes physiques de pouvoir s’inscrire dans le sillage de personnes ‘’morales’’ et bénéficier ainsi du pouvoir démultiplié des sphères patrimoniales et de l’influence de l’avènement industriel au cours du XIXème siècle, auquel les individus accédèrent grâce à l’héritage, à la transmission, filiale, à tiers personne ou groupes d’intérêts particuliers – à l’immortalité du trust – qui était désormais garantie par la société morale de l’entreprise capitalistique, anglo-saxonne, américaine, etc… ; suivies par la mise en place du système de circulation mondialisé des marchandises et capitaux…
Ne faut-il pas penser, dans cette évolution de la société ‘’morale’’ une « ruse de la raison » au sens hégélien ?
Et tenter de pouvoir dire que les lois du commerce international sont une parodie de néfastes valeurs collectivistes, corporatistes et communautaires, voire agencée par des groupes de prédation.
Quand une mise en œuvre des principes du marché ultralibéral provoque une crise écologique et idéologique précédée par des crises économiques et financières, sévères au cours du XIX et XXème siècle, puis la première véritable crise financière mondiale en 2008, trouvant sa source aux Etats-Unis, que peut-on penser de ce système politico-social-économique ultralibéral ? Qu’il est celui des plus forts ou plus nantis ? Les banques et organismes financiers ont-ils appris de leurs erreurs ? Nous allons rendre le système économico-financier plus fiable, ont-ils dit. Le résultat de ce système où l’attitude asociale brutale de l’économiste et du comptable a pris le pas sur le prix de toute dignité, en tant que constituante d’une Démocratie Républicaine, dans le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, serait-il devenu un jeu de dupes, à produit négatif et dommages collatéraux funestes pour encore proportion trop importante de l’humanité ?
LA LOI DU MARCHE AVANT LA BIENVEILLANCE… ?
Le XIXème siècle fut celui de l’avènement industriel initialisé par les premières découvertes scientifique de la fin du XVIIIème après la Renaissance au XVIIème. La technologie, les sciences et la création de nouvelles technologies, matériels, matériaux, moyens techniques, outils de communication et facultés humaines, nécessaires à indexer l’évolution des sociétés, prennent une ampleur extraordinaire, jusqu’à nos jours. Une partie de notre « modernité » commençât véritablement au début du XIXème siècle. Les nouvelles idéologies aussi.
Les paradoxes de la philosophie-politique également.
Ce siècle de l’avènement industriel vît, sur l’ancien continent la chute des monarchies. La fin de la révolution d’octobre en Russie enclencha une nouvelle ‘’guerre’’ entre le modèle capitaliste anglo-saxon, émancipé à plus grande échelle outre Atlantique, notamment en Amérique du Nord, et le communisme soviétique induit par la face autocratique, voire despotique de Lénine et Staline.
L’histoire n’avance que par son mauvais côté, disait Marx.
Il est intéressant de voir que l’histoire de l’ancien au rapport du nouveau continent affichée par le nouveau monde des Amériques est en train de réapparaitre, telle une forme simiesque d’un passé sombre. Certes la modernité a apporté ses bienfaits. Notamment dans les domaines des transports, de l’alimentation, des normes de sécurité, l’hygiène, la médecine, les connaissances, la retransmission de l’information, la rapidité des échanges commerciaux… ; etc… Mais tout cela n’a pas suffi à diminuer, proportionnellement à l’évolution démographique, les inégalités entre les hommes, les femmes et les enfants, l’iniquité sociale-économique, les conflits territoriaux, la fracture culturelle, le refuge identitaire et communautaire. L’accessibilité aux biens essentiels est de plus en plus compliquée, même dans nos sociétés occidentales. Ces dernières décennies l’incompréhension intellectuelle entre systèmes d’échanges de biens et services des villes, où sont concentrées les richesses, et régions rurales, en déficit d’emplois, s’est accentuée. La fête s’est terminée à la fin des années 80, après les ‘’trente glorieuses’’. Elles ne reviendront jamais, soyez en certain. Il faudrait que les sociétés modernes se réinventent en fonction de leurs évolutions technologiques, économiques et culturelles, si elles veulent s’émanciper des carcans sociétaux, de l’ignorance inflationniste installée par de néfastes corpus sociaux-économiques et culturels fracturant les communautés, territoires, pays et nations inconscientes du drame en déclin civilisationnel. Après la liesse faisant suite à la fin de la deuxième guerre mondiale et le renouveau de la construction européenne les démons affectés à l’anthropocentrisme de l’homme et des clans ressurgirent. Les fantômes de l’ancien monde réapparaissent. Les peurs, les incertitudes, la pression économico-socio-financière et les dogmatismes des nouveaux paradigmes culturels affichés aux néo-scientistes s’installent patiemment, au nom des lois et règles de marchés des « changes », soient disant inédits… ??? Mais bienveillants, parait-il…
Quand l’histoire se répète, disait Marx, la deuxième fois c’est une farce.
« La monnaie doit se donner pour légitime et cette légitimité ne peut se construire sur la base de la seule conscience qu'auraient les agents financiers du nécessaire recours à des objets conventionnels. Or, seule cette conception de la légitimité répond aux exigences et naturalités des thèses individualistes. Techniquement, c'est au travers de l'hypothèse d'anticipations rationnelles qu'elle se trouve formalisée dans les modèles socio-économico-culturels. En effet, cette hypothèse signifie que les représentations des agents sont identiques au vrai modèle de l'économie. A contrario, la légitimité suppose la croyance en une certaine matérialité des symboles…»
Aussi est-elle contemporaine d'un certain délitement ou déni d’évolution collectiviste, voire mutualiste des sociétaires, acteurs, actrices, réalisateurs, imprésarios, agents et échangistes des scènes nationales et internationales, perceptibles en et par les dysfonctionnements géo-politico-socio-économiques, devenus aujourd’hui divisions communautaires, où en certains lieux de conflits géo-politico-financiers, la valeur immanente est en ces états, indubitablement, ‘’ARMEE’’…
Au détriment de toutes ’’cultures’’…
Où le temps de la potentielle entente sera invariablement utopie.
Dimension qui ne peut être en aucun cas désolidarisée de tous objets symboliques, matérialisés par leurs essentialités, utilités, nécessités, disponibilités ou toute autre sensibilité en tant que sujet porté à son propre pouvoir, sur soi ou autres par l’effet de cette symbolique affective, devise sécuritaire, liberté attractive, attachement séculaire, immanence séculière, causes plaisantes, passion communautaire raisonnable, raisonnée… ; ou alors individuellement déraisonnable… ???
LETTRE AUX MEPHISTOPHELES
Ne croyez-vous pas, Mesdames, Messieurs en tâche de gouvernances, que la plupart des gens se voyant tromper dans leur espérance, par les simulacres d’une exhibition politique, excluant territoires et habitants, non soluble avec la photo de famille gouvernementale sollicitée par des cadreurs de censure, n’y trouvent plus raisons suffisantes à attendre votre lente mise en application envers justice sociale, mais plutôt à trouver forces restantes et suffisantes à réparation ? J’en serai fort aise, à y trouver nombre d’indignés(es) suffisant à organiser une nouvelle armée des justes, officiant aux chemins d’une plèbe à dissidence intelligible. Au nom d’un contrat social, entre les lignes des anciennes barricades, du rouge teinté au sang des innocents, n’en reste-t-il pas quelques gouttes invisibles aux yeux des biens garnis… Tiraillés entre la maladie du blé jaune, le virus d’un sarrasin envers la liberté d’une sarrasine, la mélasse, le voilage et le plumage, le néo-ordo-libéralisme, la franc-maçonnerie, les partisanneries cultuelles iniques, la soumission liberticide, les intérêts corporatistes antisociaux, le néo-scientisme, la culture anthropocentrique de l’entre-suit, le conformisme béat, la starisation politico-médiatique, le marketing et Mammon…
N’y voit-on pas là quelques éboulements d’échafaudages, auparavant structurés par la présomption phallique de chaires institutionnelles, à ce qu’elle n’y puisse contenir autres imminences grises que celles des religiosités-politiciennes ruisselantes d’inefficacité accostées par des politiques-templières, vouées à l’ordre de l’accaparement, au nom d’une vénalité d’intendances? Suceurs de position en sont assurément les plus fieffées gardiens d’étals… A nul doute, d’un côté à compter pièces d’or et de l’autre, symboles à foutres. La différence y est insignifiante ; de même prosternation, la position en est effarante.
Pour l’une, il est d’évidence action, en compte de pièces, le Veau - d’Or à engraisser, et de l’autre à attendre que l’animal en vomisse quelques onces. A la magie des incertitudes, vociférâtes les inutilités aplaties, pour qu’en cette réunion, au cours des jours saints, la prière, de sept en sept, honore la fourberie et apaise les prémices suspicieuses de la condition humaine. C’est, sûr, celle-ci pousse tant d’imprécations qui s’y trouvent dans les prédicats de cette censure, que je n’ose en croire les possibilités d’une inversion décidable aux abords de la loi du marché. L’entreprise humaine ne s’élèvera qu’en avertisseur d’intransigeances, le jour gratifié du nombre suffisant, d’avoir réussi à investir les vestiges d’amphitryon fourrés aux inepties des commandements privés de toutes institutions collectivistes abasourdies par le brouillamini des courbettes de fonds… Que d’une laïcité sortie des procédures d’assouvissement, le problème n’y résistera qu’en la discontinuité d’incompréhension des termes partisans affichés aux sourdines du multiculturalisme pervers abonné aux poisons d’anathème, d’exécration et d’hérésie, promulgués aux expressions d’horreur transmises par la parabole des virus d’assomption, s’imaginant proposer une nouvelle hystérèse ignorante des soubassements de la détestation, envers les exégèses d’experts en toutes doctes, génies de l’économie-financière et autres sorciers de l’usure promis en avenir de façadiers sans éthique et morale, mais assurément avec posture propre à bande de fieffés Méphistophélès …
Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ; or il est plus en plus inhumain, irrationnel et déséquilibré. A l’ère de l’information, l’ignorance est un choix… ; à moins que ce soit un déni de réalité ou un refus de meilleure attention en échange de bonnes intentions… ?
Michel Asti - AU DELA DES QUARANTE MALENCONTREUSES
Date de dernière mise à jour : 27/11/2018
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