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LE MONDE EST UNE RESONNANCE QUI INVENTE LA DISSERTATION

LE MONDE EST UNE RESONNANCE QUI INVENTE LA DISSERTATION

S'intéresser au monde dans lequel nous vivons, n’est-il pas un prérequis pour que nous puissions y trouver la société idéale dans laquelle nous souhaiterions vivre ? Participer à sa mise en place n’est-il pas le meilleur moyen d’y parvenir ? Si la passivité des citoyens est compréhensible dans des dictatures, où toute forme d’expression contradictoire au pouvoir peut entraîner une condamnation à mort, qu’en penser dans les pays démocratiques ?

« Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - « Que les gens sont absurdes ! Ils ne se servent jamais des libertés qu'ils possèdent, mais réclament celles qu'ils ne possèdent pas ; ils ont la liberté de pensée, ils exigent la liberté de parole.» - « L’humoriste, comme le fauve, va toujours seul.» Sören Kierkegaard

Tout l’agrément de la vie est fondé sur un retour régulier des choses extérieures. L’alternance du jour et de la nuit, des saisons, des erreurs et des fruits, et toutes les autres choses qui viennent à notre rencontre périodiquement afin que nous puissions et devions en jouir, voilà les véritables ressorts de la vie terrestre. Plus nous sommes ouverts à ces jouissances, et plus nous nous sentons heureux. Goethe, Poésie et Vérité (Livre XIII)

Les uns disent que non, les autres disent que oui ; et moi je dis que oui et non. (Sganarelle, sur une difficile question de médecine) – Molière ‘’Médecin malgré lui’’.

« Ce qui importe par-dessus tout dans une œuvre d'art, c'est la profondeur vitale de laquelle elle a pu jaillir. » Joyce

Le potier hait le potier, l’architecte l’architecte, le mendiant fuit le mendiant et le chanteur le chanteur. Heliode

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IDEOGRAPHIE DE LA PENSEE

IDEOGRAPHIE DE LA PENSEE… » QUADRATURE √ DE CERCLE ? ?

 

  • « Tout [ce qui peut être objet de ma connaissance] n’est pas représentation. »

 

Les pensées existent, telles, des représentations d’objets dans l’idéographie des lois de la pensée. Elles sont donc objectives et c’est justement ce qui rend possible leur intersubjectivité par les lois et règles de la physique électromagnétique, où les moyens de transmission premiers des idées affectées au genre ‘’mammifère humanoïde’’ sont les lois des mécanismes cognitifs affiliés aux phénoménologies physiques, physiologiques, sémiotiques et énergétiques propres aux sens de l’échange, épistémologique, philologique, biophysique et ethnosociologique entre être-humains…, etcétéra ; … des fournitures minérales, végétales et organiques.

Dans et par une linguistique appropriée au dessein d’une recherche collective, mutualiste et associative en dessein d’une impossibilité à résoudre – dans sa globalité universelle – une conceptualisation du monde qui se voudrait à être émulsionnée par la certitude que l’effet holistique du savoir et des connaissances voudrait impérativement se soustraire de l’espace & du temps, tant d’avec notre référentiel terrestre que des dimensions de l’infiniment petit connu à l’infiniment grand lointain inconnu, comme il en serait d’une complétude universaliste dictée par une conscience prétendument comblée par l’empirisme cultu®el faisant fi de cette source holistique tel un égrégore dont l’inflationniste diktat ne serait que celui édicté par les voix d’un refus d’évolution anthropologique & ethnosociologique uniquement induit par la voie de représentations éditiques soumissionnées à l’ignorance et au refus d’une usure inéluctable, tant de l’objet que du sujet, de l’énigme sur l’être et les êtres, ; sur l’existence et l’essence ; sur l’esprit et la matière ; sur l’infini et le fini ; sur le principe et la fin ; sur le repos et le mouvement ; sur le plein et le vide ; sur l’impossible et le possible ; sur la réalité et l’apparence ; sur l’ordre et le désordre – qui règnent dans notre monde comme du chaos dans l’univers – sur la nécessité, la contingence, l’attachement et la liberté ; sur le métaphysique, le physique, le moral et l’attention – comme de l’existence qui les nie – ; sur les idées innées et acquises ; sur le support et le rapport entre les sensations et les objets qui les occasionnent ; sur la divisibilité et le progrès – positif ou/et négatif – sur la reproduction des êtres vivants, sur l’étendue, sur l’espace, sur l’horizon, sur l’attraction, sur ce qui est relatif ; ou par autres ‘’choses du réel et de l’imaginaire’’ ; sur ce qui est sans rapport, ou par soi ; sur l’existence et le rien ; sur la valeur des autres vérités, et en général sur tout ce qui sort de l’objet des sciences particulières ; qu’on aurait la raison, la fausseté ou l’intérêt des contradictions qui sont dans nous ; qu’on s’arrachera de l’acceptable ou de l’absurde comme ces ‘’choses de la vie et de la nature’’ répandues sur toute la surface du globe, comme des énergies dont on ne sait tout, et qui faute d’avoir et devoir être recherchées et en ce sens connu sous différents angles, perspectives et points de vue en intéressement du mammifère-humanoïde, du et des vivants dont on ne saurait avoir meilleure solution que celle des positions en questions ouvertes à la communication entre les hommes et les femmes, afin que des suivantes générations y fassent conduire ces ‘’choses’’ du monde du mieux qu’elles puissent en tirer des précédentes… ; pour en faire curiosité et dilemmes envers la nature afin que d’un intéressement en voie(x) d’une émancipation dans ce grand spectacle qu’est la vie comme il en eut de celles et ceux d’avant, et en pourraient de celles et ceux de maintenant et d’après d’en être causes, raisons et devises louables à la rendre simplement belle…

 

La première phrase du paragraphe est donc une sentence.

 

Suivez le raisonnement : « Pour être science, un domaine de connaissance doit étudier la vérité de son objet »… […] C’est pourquoi les sciences doivent éliminer de leur connaissance ce qui n’est pas vrai, ce qui est inconstant, changeant, soumis à l’aléatoire de l’individu.

« Mais le physicien n’admettra pas que le fondement certain de la science soit dépendant des états de conscience changeants de l’homme. » La science exige des faits. Or Frege nous apprend que les faits sont des pensées vraies.

Donc voilà, les pensées ne sont pas des états de conscience (des représentations), et le vrai ne se dévoile qu’en présence de la pensée.

Que nous apprend de plus le paragraphe sur le rapport entre la vérité et la pensée?

Sa fin nous éclaire sur deux derniers aspects qui découlent parfaitement des métaphores identifiées précédemment. Tout d’abord, on ne crée pas la vérité, on la découvre. Et puis la vérité est intemporelle, elle existe de tout temps.

L’explication de ces affirmations est purement métaphorique.

Dans le troisième monde postulé par Frege, ce monde qu’il cherche à décrire par les moyens de son langage formulaire, le Vrai est une classe (un groupe, un ensemble) dont les objets sont des pensées. Mais en tant que classe dans le monde des pensées, le Vrai est aussi un objet, qui plus est un objet de la pensée pure. Le Faux aussi est un objet saisi par la pensée et une classe de pensées. Voilà donc deux objets de la pensée, le Vrai et le Faux, qui sont indépendants de nous, qui ne sont pas sensibles donc non soumis à la temporalité. Aussi nous ne créons pas les vérités, nous les découvrons comme des objets déjà mis en forme de pensées.

  • Laissons pour l'instant ces ‘’objets’’ posés là. Et restons donc sur l'impossibilité de la quadrature du cercle, en essayant d'enfoncer encore un peu plus cette impossibilité temporelle dans mon ‘’vrai tempo réel’’, afin  d'en démontrer son irréalité ici et maintenant.

Mais avant cela je vais juste poser ces quelques signes sans donner une quelconque définition dimensionnelle à ceux-là, mais juste à établir quelques possibles liens entre eux …

C’est juste pour ma vision en :  La quadrature du cercleLa quadrature du cercle (1.28 Mo)     

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Date de dernière mise à jour : 21/12/2019

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