ET APRES LE GRAND DEBAT
DROITS DE L’HOMME, DE LA FEMME ET DE L’ENFANCE
Dans le respect des lois de la Démocratie Républicaine sans distinction de couleur, de morphisme catégoriel, de croyance ou non croyance religieuse, d’ethnie et d’opinions politiques.
« Les experts en intelligence sont-ils devenus espèce à sang froid ? La politique, la religion et la monnaie sont-elles, pour certains clans, un résultat de pouvoir divisionnaire inique ?
Ce qui est certain, c’est que les trois veillent et entretiennent le néo – ordo – ultra – libéralisme social-économique et le capitalisme financier impérieux » […]
Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ; or il est de plus en plus inhumain, déséquilibré et irrationnel.
Les yeux de l’homme ne réussissent à percevoir les choses que par la… ; connaissance de leur superficialité.
Pourtant l’intelligence humaine a les ressources pour donner forme à leur essentialité.
Le moteur efficace de la recherche et de l’évolution positive est la collaboration et non la concurrence effrénée.
Apprendre – Circonscrire – Analyser – Définir – Incrémenter
Plus le diable en a… Plus il en veut assoir.
Jacques Lagnier (1620-1672)
La connaissance ; c’est de l’expérience. Le reste n’est, majoritairement, que banalités médiatiques, en défilement continu, sans réels fondements humanistes ni quelconques meilleurs sens analytiques envers une véritable justice sociale-économique. Au pays des Lumières, est-ce d’une logique législative positive au rapport d’un système de bien(s) et services attaché aux Droits de l’homme, comme de la Liberté, l’Egalité et la Fraternité, apposées aux frontons des bâtiments publics, ainsi de ceux des Mairies et du principe de traitements égalitaires des territoires ? La Vème République est-elle devenue une Régence en Gouvernances de Privilégiés d’avec Ordres pas très clairs… ?
Essayez de vivre avec moins de 500€ mensuel pendant huit ans…, et vous comprendrez, peut-être que sans minimum vital, digne d’une existence honorable, les horizons en liberté n’ont plus aucun sens existentiel, hormis, peut-être, l’un des moins hagards en celui de résister à la colère, par l’écriture, envers un système chaotique, individualiste et délétère… Voire pire.
Michel ASTI : L’ORDOLIBERALISME SUR : http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/politiques-particulieres/l-ordo-liberalisme.html
- Maudit censeur ! Te tairas-tu ?
Ne saurais-je achever mon conte ?
C’est un dessein très dangereux
Que d’entreprendre de te plaire. ‘’
Les délicats sont malheureux :
Rien de saurait les satisfaire.
Jean de La Fontaine
Le principal fléau de l’humanité n’est pas l’ignorance,
Mais le refus de savoir.
Simone de Beauvoir
« N'espérez jamais trouver votre sûreté dans les armes de la fortune. » Sénèque. Nelson Mandela disait : ‘’Une population instruite, éclairée et informée est une des façons les plus sûres de promouvoir la bonne santé de la démocratie…’’. Et Benjamin Franklin : ‘’Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’un, ni l’autre et finit par perdre les deux’’.
DEMOCRATIE VS TECHNOCRATIE
La démocratie devient-elle une technocratie gérée par des politiques et leurs alliés ne voulant plus faire analyse juste et sensée envers une véritable économie sociale de marché ; ayant réelle attention envers une Démocratie Républicaine attachée à la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice… ?
Le peuple serait-il, en ces instances, destitué des moyens législatifs et outils institutionnels dans un existentialisme injouable, avec un pragmatisme de classe ; en clans de technocrates désengagés de l’essence même d’une rhétorique affichée à une vision humaniste envers les enfants oubliés de la République ?
Leur paradoxe entre matérialisme et essentialisme est-il devenu le diktat de statuts liberticides entre l’utilitarisme de positions voué à dispositions d’accaparement sans véritable sens de la Démocratie ?
Cette singularité philosophico-politicienne n’est-elle que gestion administrative et technique d’écosystèmes, biosystèmes et ressources humaines intrinsèquement vouée à la gouvernance par les nombres, et non à celle d’une valeur ajoutée par étude faisant sens à l’existence du et des vivants dans le monde naturel… ; devenu précipitation envers un productivisme irrationnel au nom d’un consumérisme endiablé… ; ayant, peut-être ; oublié la posologie du discours entre les sciences et les arts…
Et en cette période de TRANSITION – Une partie de ses DEBUTS trouve sa SOURCE après les TRENTE GLORIEUSES, terminées dans la période attenante aux années 70 et l’AVENEMENT DE L’OUTIL informatique des ANNES 80… ; dont les effets du changement de PARADIGME ont commencé à se faire RESSENTIR au passage du XXIème siècle, et notamment en 2008 avec cette CRISE ECONOMICO-FINANCIERE venue, entre autres ; d’outre ATLANTIQUE et alimenté par la SPHERE MONDIALISTE du capitalisme FINANCIER non régulé, par les INSTANCES ETATIQUES NATIONALES et EUROPEENNES.
Les délégations de compétences ne sont pas équitablement réparties sur le territoire national. Organisation politique du territoire et organisation de la représentation politique sur le territoire sont les deux faces d’une même pièce. En les séparant on fait offense à l’intelligence politique des électeurs.
Michel ASTI : CHÔMEUR SENIOR DE LONGUE DUREE & RSAYSTE 2.O
INSURRECTION ENTRE ATTACHEMENT ET EGALITE…
INSURRECTION, ce mot qui colle si bien aux harangues des extrêmes, s’est dissocié de son sens révolutionnaire, issu de la déclaration des droits de l’homme de 1948, et de son édiction marxiste, plongé dans l’idée de classe. La plus probable des formes de rébellion contre le pouvoir politique est aujourd’hui une espèce d’insurrection de saturation, où le ‘’n’importe quoi’’ social-économique a pris ses quartiers dans ce nouveau paradigme liberticide qu’est l’ultra-ordo-libéralisme dans une culture du capitalisme financier impérieux, outrancier et international.
Décidemment les POLITIQUES et leurs ALLIES(ES) d’ORDRES FRACTALS ne veulent pas comprendre qu’une véritable ECONOMIE-SOCIALE ayant réelle ATTENTION envers une Démocratie Républicaine ATTACHEE à la LIBERTE pour le PEUPLE de disposer des MOYENS LEGISLATIFS et OUTILS INSTITUTIONNELS ; ne saurait avoir existentialisme LOUABLE qu’avec un PRAGMATISME de CLASSES engagé contre l’ESSENCE même d’une RHETORIQUE de CLANS de TECHNOCRATES n’ayant aucune VISION HUMANISTE envers les ENFANTS OUBLIES de la REPUBLIQUE… ; car leur paradoxe entre MATERIALISME & ESSENTIALISME est devenu le DIKTAT de statuts LIBERTICIDES entre l’UTILITARISME de la TECHNOLOGIE et le SENS de la DEMOCRATIE… ; avec pour SINGULARITE, en celle que leur seule GESTION ADMINISTRATIVE & TECHNIQUE des ECOSYSTEMES, BIOSYSTEMES et RESSOURCES HUMAINES SOIT INTRINSEQUEMENT VOUEE à la GOUVERNANCE par les NOMBRES et non à celle d’une VALEUR AJOUTEE par l’ANALYSE du SENS de l’existence du et des VIVANTS dans le MONDE NATUREL… ; devenu PRECIPITATION envers un PRODUCTIVISME irrationnel au NOM d’un CONSUMERISME endiablé…. ; ayant oublié la POSOLOGIE du DISCOURS entre les SCIENCES & les ARTS…
Et en cette période de TRANSITION – dont une partie de ses DEBUTS trouve sa SOURCE après les TRENTE GLORIEUSES, terminées dans la période attenante aux années 70 et l’AVENEMENT DE L’OUTIL informatique des ANNES 80… ; dont les effets du changement de PARADIGME ont commencé à se faire RESSENTIR au passage du XXIème siècle, et notamment en 2008 avec cette CRISE ECONOMICO-FINANCIERE venue, entre autres ; d’outre ATLANTIQUE et alimenté par la SPHERE MONDIALISTE du capitalisme FINANCIER non régulé, par les INSTANCES ETATIQUES NATIONALES et EUROPEENNES.
Le déclenchement d’une insurrection de discrimination a, tout compte fait, peu de chances d’aboutir. Elles dépendent des capacités de troupes et corporatismes divisés, hétérogènes, égoïstes, individualistes et sans véritables chefs. Mais la probabilité est permanente, subreptice, souterraine.
Les assauts brefs, indignés et violents sont capables de surprendre, même les politiques en falsification de bien commun et exsangues dans quelconque esprit collectiviste. Ils peuvent être enclenchés par deux ressorts sociaux, si évidents, si naturels, que leur fondamentale puissance est sous-estimée : L’ATTACHEMENT CONSERVATEUR ET LA PASSION DE L’EGALITE.
D’un côté, la tradition, l’existant ; leurs lois ne peuvent être enfreintes. Même les esprits les plus indépendants veulent se raccrocher aux certitudes sociales et juridiques des faits, règles et lois établies. L’avantage acquis ne saurait être annulé ni concédé, tant dans la sphère parlementaire, sénatoriale et gouvernementale que dans les corporatistes déficients et les corps intermédiaires à conformisme criant d’omissions intercommunautaires. De l’autre côté, un goût irrépressible, parfois sectaire et violent, pour l’arasement égalitaire. Il s’empare avec agilité de la plupart de ceux qui y voient leur intérêt immédiat. Il serait faux de croire que cette pulsion-là est réservée à ceux qui ont hérité des plus chaudes convictions révolutionnaires et populaires.
Ce dogmatisme peut enflammer les consciences les plus flegmatiques pourvu qu’il soit à même de leur profiter. Si, d’aventure cet état d’esprit, nourri de l’inflexible frustration de la discrimination, prêt à exploser du dégout des complexités arrangées aux prémices de la ghettoïsation, qui saturent l’activité quotidienne, allumé par l’injustice de la ségrégation, encouragé par quelque évènement insolite ou par quelque personnalité cynique, en venait à remuer la braise, la société politique pourrait se retrouver face à un front citoyen, suffisamment constitué, dans une probable panique de ses responsables et gouvernances diverses…
Compétences, entre embrouillamini, escroquerie et autonomie.
Reformer la structure des collectivités territoriales reviendrait à refondre toute l’architecture de la puissance publique. Transférer des compétences d’une collectivité à une autre implique de transfuser des ressources fiscales. Sans cette contrepartie, ce qu’on appelle la réforme est une ESCROQUERIE.
Eh bien croyez-le ou pas, tous ces transferts de compétences réalisés par l’Etat vers les collectivités locales ont été des escroqueries. Certes, il se trouverait, en sens inverse, quelques transactions de dupe. Quand l’Etat a repris des missions aux collectivités locales ou s’est donné des missions nouvelles que ces collectivités auraient pu remplir, les effets n’ont pas été anodins. On a dans ce cas, vu se propager non pas des transferts concrets mais des extensions progressives à la charge de l’Etat, de missions, que précédemment, les collectivités locales assuraient en quelque sorte implicitement. L’hébergement et le secours aux personnes, le droit au logement, une partie de la sécurité civile sont, par exemple, devenus petit à petit, des charges de l’Etat, lourdes désormais.
Certaines de ses missions, sont aujourd’hui, moins bien exercées que jadis, lorsque leur responsabilité était, formellement ou non, locale. Le législateur d’Etat, parfois le simple gestionnaire politique s’est, lui-même, infligé le poids de ses fardeaux. Les collectivités auraient obtenu, pensaient-on par erreur, de moins bons résultats. Cette tragédie démontre l’inanité de la prétention sociale de l’Etat.
Lorsque l’Etat veut transférer des compétences vers les collectivités, l’escroquerie est d’abord camouflée par une dotation de ressources promise pour appâter le volontariat. La loyauté du montant initial de la dotation prévue prête souvent à soupçon. Devant une réticence à l’accueil de charges nouvelles, une négociation permet de faire évoluer les termes de l’accord, parfois associé à conflit d’intérêt. C’est pourtant bien qu’il existait des marges de manœuvre pour un compromis préservant quelques intentions honnêtes. Traiter avec un partenaire public ou privé est une réalité de tous les jours.
Bien entendu, dans le cas du public, la subvention ou a dotation compensatoire, ou même le transfert de potentiel fiscal, selon la forme retenue pour habiller la couverture financière du transfert de compétences, tarde à être versé. Parfois l’inscription budgétaire est omise dans l’exercice qui suit l’accord. La trésorerie de la collectivité porte la charge de transition. Le montant de la compensation, avec le temps s’érode. Son principe originel peut être oublié. Sa contrepartie budgétaire vient à être noyée dans une dotation globale qui, elle-même, devra finalement rétrécir dans les goulets du rétablissement de l’équilibre budgétaire de l’Etat. Pour masquer le leurre, dont l’élaboration et la gestion nourrissent une direction générale des ministères de la République, on le plie et on le repasse avec des formules de calcul absconses.
Les délégations de compétences ne sont pas équitablement réparties sur le territoire national. Organisation politique du territoire et organisation de la représentation politique sur le territoire sont les deux faces d’une même pièce. En les séparant on fait offense à l’intelligence politique des électeurs.
N’est-ce pas Mesdames et Messieurs les gestionnaires de rentabilité, dirigeants des ressources humaines, administrations et politiques de tous bords possédant savoirs et capacités d’analyses des systèmes socio-économiques, zones d’activités, entreprises industrielles, sociétés commerciales, d’échanges de biens et services privés et publiques, tout cela, bien évidemment accompagné de la compréhension ontologique suffisante et la juste philosophie envers vos ’’semblables‘’…???
Mammifère-humanoïdes… De type bipède…
Et surtout disposez des compétences nécessaires à définir les règles et lois de la division sociale afin d’y maintenir le règne des possédants addictifs, dont sa constituante principale est en la seule pensée d’exister uniquement par l’avoir et non par l’être. Ce qui est un total paradoxe communautaire, et social sauf pour les inconscients et inconscientes, déterminés(es) à appliquer ce concept des avoirs par refus d’attention, d’étude sociologique, analyses épistémologiques, et philosophiques dénuées de la juste compassion envers des formes de vies toutes aussi honorables et dignes, désirant juste le nécessaire à y accéder par leur travail empreint de la déontologie des savoirs faire, accompagnée par l’éthique des savoirs être… Dont vous êtes assurément très éloignés des zones d’exercices réelles de ces formes de vie conscientes, et par voies de conséquence assez ignorant quant à leurs codes de fonctionnement, circonvolutions, covalences, convergences, intérêts et autres concessions entre les différents protagonistes de ces zones sociales économiques à ’’réseaux’’ humains, dont leur but de rentabilité reste quand même empreint d’une certaine réelle et juste valorisation manuelle et intellectuelle, en permettant la visualisation et la reconnaissance d’une possible juste équité.
POLITIQUE – ECONOMIE – NEUTRALITE
Avant la révolution française de 1789, l’économie était, en principale, seigneuriale et royale. Après cette révolution, l’économie devint politique, puis à partir de la 3ème République, en séparation de pouvoir entre l’Etat et la Religion, elle devient soi-disant laïque. Mais, elle n’a sous aucun régime été neutre !
Où sont donc les gardiens des lumières, chevaliers et amazones des temps passés ?
Humanistes et intelligences en bienveillance et bienséance ?
Cette flamme s’est éteinte sous coups monétisés.
La monnaie est un référentiel économico-fiduciaire considéré comme un outil de mesure quant à la valeur d’une géo-économie ! Cette monnaie est également ‘’soumise’’ à la mesure de sa propre valeur par le dessein sémiotique (image scripturale) qu’elle représente par sa fonction d’achat aux yeux des utilisateurs, utilisatrices, actrices, acteurs, agents, imprésarios, réalisations économiques, entreprises, sociétés, employés(es), salariés(es), ordres politiques, organismes de gestion sociale-économique, associations diverses, ainsi que tout ordre culturel, corpus philosophico-politique, religiosité-templières (Francs-maçons, GODF, groupes Bildeberg et identitaires, Clubs et Ligues en influence particulière, partisannerie de clans iniques, évangélistes républicains américains, néo-scientistes, etc… ; lobbyings, pouvoirs divisionnaires et prosélytes obscurs de tous horizons)… Certains économistes, afin de rendre la ‘’chose’’ encore plus floue, parlent d’économie de gauche ou de droite. Cela ne précise absolument rien. Ce sont des déterminants génériques ou si vous préférez des ‘’mots valises’’. La sémantique de ces fervents adeptes de l’entre soi et de l’entre-suit est par trop évasive et fluctuante pour disposer des outils intellectuels autorisant analyse sérieuse et objective du sujet économico-sociologique. D’autres experts parlent d’économie ‘’soumise’’ à capitalisme financier, sociale démocratie, démocrates-chrétiens, ordo-libéralisme, communisme léniniste, gauche marxiste, néo-libéralisme, ultra-libéralisme, ultra droite libérale, droite totalitaire, ultra gauche trotskiste, démocratures, théocraties, technocraties, républiques dictatoriales, voire retour au national-socialisme et partis fascistes, etc… Mais aucune forme de NEUTRALITE dans tout cela ! L’analyse pluridisciplinaire… ? Les réels Droits et Devoirs citoyens… ?
La démocratie participative ?
Et l’humanisme … ? P
Pas grandes choses, me semble-t-il…
Par contre de la partisannerie inique de caves… Ah, ça OUI ! Il y en a assurément eu de fameuses et fumeuses depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. Dans la plupart des cas – l’hominidé est un mammifère de type bipède, grégaire, moutonnier, conformisme et souvent soumis à la servitude ‘’confortable’’ – les experts de la finance, génies de l’économie et sorciers en fonctions usurières sont uniquement des idiots ‘’intelligents’’ et empruntés(es) à l’ordre impérieux affecté au pouvoir de Mammon. Aucun d’eux ne parle de NEUTRALITE ECONOMIQUE. Certains édictent quelques possibles zones de neutralité monétaire. Ce qui est également une vaste filouterie intellectuelle, car toute MONNAIE est temporellement MORTELLE et est intrinsèquement soumise au principe de la rareté ou celui de la subsidiarité… La solution factuelle est intellectuellement et pragmatiquement ailleurs. En thésaurisation (économie) financière, plus un ‘’objet’’ est rare plus il a de valeur. Dans et avec cette monnaie non sociologique – devenue depuis plusieurs années monnaie scripturale – quelle est la valeur d’un homme et/ou d’une femme ?
D’une machine… ; humaine ? D’un enfant ?
D’un actif ? D’un travail ?
D’un emploi ? D’un(e) employé(e) ?
D’un utilitarisme social-économique ?
Du poids de l’usure ?
D’une nécessité ?
D’un essentialisme ?
D’une obligation ?
De l’existentialisme ?
D’une servitude ?
Entre matérialisme et dignité ?
Liberté et honorabilité ?
Du besoin ?
Du nécessaire ?
De l’utile ?
Du superflu ?
De la vie ?
De la Nature ?
Du vivant ?
D’une usure temporelle ? Virtuelle ?
Une mécanique particulière ? Universelle ?
De toutes actions ? Comportements ?
Réactions ? Mobilités ?
Mouvements ? Moments ?
Mécanismes cognitifs humains ?
Mécanismes biophysiques ?
Automatisation ? Robotisation ?
Temporalité ?
L’intelligence artificielle ?
La pensée sur le réel ? Et inversement…
L’imaginaire ?
L’évolution ?
ET, la neutralité ECONOMICO-CULTURA-FINANCIERE ?
Dans un système d’ECHANGES de BIEN(S) & SERVICES MARCHAND ?
Territoriale ? Nationale ? Européenne ?
Continentale ?
Inter-Mondialiste ?
Je crains fort, malheureusement, que les ‘’portes’’ restantes à ouvrir et autorisant à imaginer quelques meilleures tendances aux lignes de l’horizon terrestre, servis aux aubes des vilénies, ne soient devenues que stratagème en culs-de-sac, mortifères… Où les gardiens des lumières ne sont que FIGURINES DE PAPIERS, en LIVREES de ventosités et dissidences en flatulences intellectuelles.
M.A : AU DELA DES QUARANTE MALENCONTREUSES
PRAGMATISME
Vers quel nombre tendre par moins disant
A faire une nouvelle opération soustractive
Envers devenu cher à contribution
A oublier sujet intégralement présenté
Au soin d’autres dissidences bâclées
Plutôt qu’à persister dans l’analyse
Inutile aux angoisses des flux contrariés
Chiffrage des amertumes clandestines
Suffit à décider des gibiers de potence
A vies exsangues aux bastions de l’ancienne garde
Le masque cynique des aptitudes savantes
Ni apposa que la symbolique sans partition
Aux sciences inhumaines ex-machina contribuera
Sans aucun scintillement à l’amplitude de l’action
La vaseline des suppositoires multiplie les têtes de cul
La thèse pragmatique n’est que contre-valeurs suceuses
Les figurines frappées au sceau scriptural
Ont déposé la monnaie de singes
LA PLEBE, DEMOCRYTOS ET FELONIE
Que nous n’en avons vu passé, depuis tant de temps,
Ces palabreurs d’amphitryon, simulacres de Thémis et Théocrite,
Savants prétentieux, experts en politique et philosophie,
Opportunistes de caves, rats de laboratoire, sorciers de l’usure,
Où notre seul ornement fut de plébiscité bouquet d’effervescences,
Nous les gens sans étiquette, ni presbytère, temple, et régime,
Nous qui adorons, les fées, les contes, les fables et les anges gardiens,
Poètes de l’impossible et épistémologues tendres,
Artistes à desseins vivants, chantres des sons accordés,
Gaies luronnes et joyeux drilles, contre les pisses froid,
Par Cyrène et Dionysos; irons voiles gonflées, avec lemmes d’Hédonie,
Sans tourner vinaigre sur contrée des rois mages et leur colline noire,
Les horizons sans lumière, n’ont pour ligne, que songes sans réalité,
Les éclairs de Zeus, le Trident de Neptune et le marteau de Thor,
Ne nous servent, par dérision faite de notre genre à valeur sagace,
Qu’à décrire les fioritures de l’homme d’ignominie, comme malheur,
Envers les bonnes natures, et les charmeuses de délicatesses,
Où les eaux nourricières, ne sont plus que boues nécrosées,
Sur l’échiquier de l’inconscience, les barbares et fous d’exérèse mutilent,
Nous en avions déjà cités, des plus félons, par seule linguistique démonstrative,
Où les feuilles du temps et de la raison, n’ont eu que parachèvement de l’inutile,
Par ignorance des mots à sentence éclaircie, le couperet de l’injustice, ici et là exerce,
Les figurines de la digue des justes, ne sont plus que cris voués à la paranoïa,
Aux soldats des prêcheurs d’obscurantisme, les cycles de l’histoire,
Par l’exigence des hommes incultes, d’avoir guide suprême,
Fit, à chaque cycle, déclin civilisationnel, avec chiens de guerre et soldats des dieux,
A toute chose, il aurait fallu considérer le sens, avant la fin.
Les sacrifices n’ont-ils pas jalonné la chronologie civilisationnelle ?
Des animaux, aux humains, et aujourd’hui à Nature qui les contient,
Les communautés humaines, après apogée de leurs sciences,
N’ont-elles pas sombré dans les méandres de la décomposition,
Des Aztèques vénérant Soleil et Lune, sacrifiant jeunes vierges,
Les pyramides d’Isis et Osiris avec les pharaons d’Egypte,
Babylone, avec la loi du Talion, en Mésopotamie,
La déesse Kälï, Shiva, l’Hindouisme avec ses castes,
La Grèce, Rome, où la plèbe ne réussit à faire entendre meilleure voix,
Les nouveaux Empires et Dictatures affichées aux yeux des hommes,
Où dans cette évolution machiavélique, quelques équilibres eurent lieu
Vite dénaturés par commande des dieux, affiliée à quelques sombres dévots,
Bienséants à néfastes Catéchèses, Torahnies, Coranies, et autres cauchemars,
Tout cela n’est-il pas la limite de l’anathème,
Et pour l’homme à suffire de penser, être un demi-dieu,
Alors que sa conscience ressemble encore à celle d’un infâme messager,
Agité par expressions mégalomaniaques, attachées à essentialisme de bas compte…
M.A : AU VENT DES EMOIS
Date de dernière mise à jour : 18/05/2021
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