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LE MONDE EST UNE RESONNANCE QUI INVENTE LA DISSERTATION

LE MONDE EST UNE RESONNANCE QUI INVENTE LA DISSERTATION

S'intéresser au monde dans lequel nous vivons, n’est-il pas un prérequis pour que nous puissions y trouver la société idéale dans laquelle nous souhaiterions vivre ? Participer à sa mise en place n’est-il pas le meilleur moyen d’y parvenir ? Si la passivité des citoyens est compréhensible dans des dictatures, où toute forme d’expression contradictoire au pouvoir peut entraîner une condamnation à mort, qu’en penser dans les pays démocratiques ?

« Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - « Que les gens sont absurdes ! Ils ne se servent jamais des libertés qu'ils possèdent, mais réclament celles qu'ils ne possèdent pas ; ils ont la liberté de pensée, ils exigent la liberté de parole.» - « L’humoriste, comme le fauve, va toujours seul.» Sören Kierkegaard

Tout l’agrément de la vie est fondé sur un retour régulier des choses extérieures. L’alternance du jour et de la nuit, des saisons, des erreurs et des fruits, et toutes les autres choses qui viennent à notre rencontre périodiquement afin que nous puissions et devions en jouir, voilà les véritables ressorts de la vie terrestre. Plus nous sommes ouverts à ces jouissances, et plus nous nous sentons heureux. Goethe, Poésie et Vérité (Livre XIII)

Les uns disent que non, les autres disent que oui ; et moi je dis que oui et non. (Sganarelle, sur une difficile question de médecine) – Molière ‘’Médecin malgré lui’’.

« Ce qui importe par-dessus tout dans une œuvre d'art, c'est la profondeur vitale de laquelle elle a pu jaillir. » Joyce

Le potier hait le potier, l’architecte l’architecte, le mendiant fuit le mendiant et le chanteur le chanteur. Heliode

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CHAPITRE 7 - LES ATTRACTEURS(ES)°°...

MICRO – MACRO

"Beaucoup de gens ne perdent pas la tête car ils n'en ont pas"

Gracian

Le mouvement de la pensée n’est que la réflexion du mouvement réel, transporté et transposé dans le cerveau de l’homme.

A cet instant, je vis son regard, et la seule chose que je décelais dedans, c’était : ‘’Il est fou à lier, il faut l’enfermer’’. Ne lui laissant pas le droit de réponse, il valait mieux je pense, je continuais donc sur ma lancée.
Essayons quand même du mieux qu'il se peut, de démontrer cette non possibilité, ici et maintenant physiquement, en gardant le ‘’cercle’’ (O) comme contenant existant physiquement, et le ‘’carré’’ ([]), comme contenu existant physiquement en tant que morceau de glace ‘’rectangulaire’’, ayant propriété d'être le contenu de… (O)

Pour la simple raison physique existante temps que infiniment petit élément (e), ‘’atome’’(A) ; proche ou élément de ‘’zéro’’ (0) tel que :
(-0|°+), est présent entre le bord extérieur de ‘’petit cylindre’’ (o), et le bord intérieur de ‘’grand cylindre’’ (O), telle la représentation suivante par notions ‘’macroscopique’’ et ‘’microscopique’’ existantes toutes les deux au même moment sur le référentiel.

Et par cette démonstration, en considération que nous ne connaissons pour l'instant aucune force physiquement capable ‘’d'annihiler’’, ce qui n'est le but d'aucun ‘’ici’’, je pense, les forces présentées et présentes ; nécessaires au maintien de l'équilibre permettant à ‘’moyenne sphère’’ (0) d'être suffisamment proche de ‘’grande sphère’’ (O) et inversement afin que nous puissions penser que ‘’petite sphère’’ (o) est ‘’force atomique d'un quelque chose’’, permettant de créer un espace ‘’touchable’’ entre petite sphère, moyenne sphère et grande sphère, présentes physiquement et temporellement par notion d'instantanés, grâce aux seules forces d'attraction présentes à l'intérieur et à l'extérieur de toutes ces petites, moyennes et grandes ‘’Sphères’’ dont la transformation physique est uniquement perceptible en ‘’l’objet’’ le plus ‘’adaptable’’, alors que ce ‘’quelque chose’’ invisible à nos sens et d’ordre quantique, mais décelable par notre perception intelligible, existe certainement sous un autre pseudonyme dans les autres dimensions microscopiques et macroscopiques à différents degrés, engendrés par les forces essentielles, nécessaires et utiles au maintien de cet ‘’équilibre’’, et dont nous en sommes certainement pourvus et tributaires, puisque nous sommes constitués de Matière et d’Energie, avec pour dénominateur commun :
Le Temps…

La seule petite certitude de cette démonstration, est qu’il existe certainement une force d’attraction telle qu’elle soit le vecteur proche de O, ‘’contrecarrée’’ par une autre force ayant puissance P de F, plus ou moins proche de 0, tel P0 égal :
– P0 < F0 + I² > P1 qui serait elle-même partie de ‘’un’’ (I), (1), pour des forces opposées représentantes à minimum un angle de 180° à gauche et à droite de I, (|), et a maximum la moitié de la moitié de ‘’un’’ soit 0,25 en langage numérique décimale. Soit physiquement le quart d'un objet, sachant que le quart d'un cercle à ‘’potentiel fermé’’, ne peut avoir que pour origine un angle minimum et maximum de -90°+, et la moitié d’un cercle à potentiel ‘’ouvert’’, un angle 180° plus ou moins 0 à 0,√n?1²01²? et, plus ou moins 179,0n0?999°²?¹ à 180,0n0?10?1°²?¹, et donc une ligne à fort potentiel à avoir un angle fermé proche de 0 (zéro) au moins à son origine, et, au moins un angle 0,0?1?°¹ en ses lignes directionnelles, points de direction 0 plus 2â, tel que de chaque côté de la ligne, doit exister au moins deux angles de 180°, plus ou moins 180 angles â , tel :
– [-1â+180°+1â-] considérés comme tel par notion d’instant immobile –
– .\° o-° :|:_-\|/) + X²* \°\|/* (*|*) |_||\| 1 à 2, (B3C4), D5 ê (Â), 6 à 7, 8, 9 et …

J’entendis la voix de Mathéo qui me disait :
- Mickaël, je ne comprends pas tout de ce que tu écris, mais continues sans te soucier de moi, j’ai l’impression que tu souhaites exprimer des tas de choses, même si je ne vois pas tous les liens…
- Je te remercie Mathéo, pour cette petite confiance que tu m’accordes.
- Ce n’est pas qu’une question de confiance, mais vas-y s’il te plait, continues à exprimer ta pensée.
- Donc gardons le cercle (O), origine du plan de référence de départ, représenté par l'objet ‘’feuille’’, où le ‘’cylindre’’ (O), est référence en tant que cercle en plan euclidien, ce qui nous amène maintenant à la trisection du triangle, qui n'est autre qu'une bissection d'un des trois angles correspondant à un triangle à potentiel fermé. Donc commençons par démontrer l'impossibilité de la bissection de l'angle, pour en déduire l'impossibilité physique de la trisection du triangle, où l'angle d'un triangle est formé par deux ‘’objets lignes finis’’ dont l'écartement en leurs points ‘’touchant’’ et plus (+) jusqu'à l'infiniment petit ‘’quantique’’ peut être déterminer en son point de départ par un ‘’angle’’ représenté physiquement comme une partie d'un ‘’objet cercle quelconque’’ (o) dont une partie de celui-ci serait celle représentée en tant que partie de sa circonférence présente à l'intérieur des lignes représentantes de l'angle du triangle, toujours supérieur à ‘’zéro’’ (0), tel que : Â

‘’AH…’’ Nous voyons que la quatrième forme ressemble peut-être à un ‘’cône’’ qui peut être considéré comme la représentation physique en trois dimensions d'un triangle, mais laissons la de ‘’côté’’ pour l'instant, ainsi que la cinquième ‘’AH’’, en début de paragraphe §… Elles ne nous servent à rien pour démontrer l'impossibilité de la trisection du cône, par présence d'esprit, que si nous coupions en deux un cône nous aurions uniquement deux moitiés d'un objet volumique de forme potentiellement conique ; et c'est tout pour l'instant. La seule petite certitude que nous pouvons envisager maintenant, est qu'il existe des forces donnant impossibilité à une ‘’forme objet’’ à devenir un autre quelque chose semblable à la ‘’forme initiale’’, sauf à les déterminer, les définir et à en appliquer ‘’quelque chose’’ permettant d’en vaincre cette impossibilité, le but étant temporellement ignoré.


La trisection du triangle peut être considérée comme impossible par la simple hypothèse que la bissection de l'angle est impossible physiquement de par toutes ses représentations ‘’macroscopiques’’ et ‘’microscopiques’’ présentes au même instant, sauf à posséder la propriété de couper physiquement un proton en deux demi-sphères de volume et de masse égal, et ‘’mathématiquement’’, tant que le nombre ‘’Pi°’’ (π), n'aura pas de représentation mathématique ‘’réelle entière’’, en une quelconque représentation linguistique et sémiologique d'une physique compréhensible en ces édictions dialectologiques ; permettant d’arrêter toute expansion temporelle. Et, c'est cette même raison physiquement logique qui ne permet peut-être de n'avoir qu'une presque ‘’copie volumique’’ à la duplication physique du cube, mais pas le ‘’cube originel’’, immobile et stable n'existant en sa ‘’forme originelle’’ de l’instant d’avant, que de par-là ; la partie la plus infime de la forme supposée semblable ; en catégorie commune, d’un ensemble (E), pouvant uniquement exister en celle proche de notre dimension par l’équilibre quantique microscopique dont les effets sont ressentis dans et hors toutes formes présentes et proches de nos espaces communs… Et mathématiquement tant que la ‘’racine carrée’’ de deux (√2) n'aura pas de représentation logique réelle entière en une quelconque représentation lexicographique d'une physique compréhensible, en cette expression philologique ; au même titre que (π) permettant également de supposer que ces deux nombres connus peuvent également expliquer l’impossibilité de la quadrature du cercle de par leur seule propriété commune, d'être deux nombres ‘’irréels intemporels’’, et pourtant ‘’existants’’...

La duplication de la sphère serait potentiellement possible si nous pouvions appliquer à deux sphères originelles les forces équivalentes pouvant agir à l'intérieur de ces globes, par mêmes actions dans toutes les directions intérieures de la boule, en considérant un même espace de référence ‘’non vide’’ où sont incluses ces deux sphères ‘’initiales'’, puis à en arrêter leur propension à l'expansion au même instant à fin d'en avoir ([2 sphères]) identiques, par suppression de tous mouvements intérieurs et extérieurs aux dimensions des sphères, et à leur espace de référence. Ce qui est d'une totale impossibilité car, nous n'avons pas propriété de faire abstraction ou ignorer les énergies, la thermodynamique et le phénomène entropique.

En première conclusion, la seule petite certitude que je puisse juste déterminer, est de prétendre que de par la seule présence de ‘’infiniment petit zéro’’, élément (A) Atome, tel que ‘’cercles’’ (.), (°), (o), (0), (O) ne deviendront jamais I, ni II, ni III, ni IV, ni V, et inversement, mais pourrons devenir suffisamment proche, tel que nous pouvons parfois percevoir (Q), avec (Ï), représentant physique de (.) et (|²), où (?), (\²), (~ ²), (/²), X, Y Z et N? sont possibles ‘’morceaux’’ de (?), Q, (?), ?, ?, ¤… ; Etc… En tant que (Î) connu de L, (LÎEN) intérieur et extérieur à l’inconnu(e) où (I) est ‘’sceau mort’’ des inconnus(es)… + I
AVEC Q = QI où …
[\/ > ) ? (°) ? ( < /\] ¬
 (angle) est partie intérieure et par Est ; …
Partie extérieure cercle O. Et … EST f(s)? :
Â…………………. Ï … é QI è … Σ f (n²) Ï? … ∞ …

Veuillez bien m'excuser d'écrire ces ‘’quelques choses bizarres’’, mais il y a près de moi, une quelconque entité, que je pensais être suffisamment proche, afin de ne pas la considérer comme contre moi, qui me dit:
[… Écris ces expressions, en tant que mon sceau, sur ce morceau de feuille, même si dans quelques temps tu me prendras pour un mort sot, dont le sceau ne vaut guère plus que le contenu de ce vulgaire seau vide...

Oh, pardon pour la translation encore une fois quelque peu teintée de bizarreries, que je viens de peut-être retransmettre un peu trop rapidement, par ‘’l'arrivée’’ de cet humour légèrement morbide, et certainement présomptueux de son possible effet contraire. Je ne le referai plus. Gardons la joie des couleurs près de nous, telle que la teinte des couleurs du passé ne peut être changée, et conservons la possibilité de percevoir les colorations les plus lumineuses à fin de connaître maintenant les belles teintes du ‘’touchant’’, oui, du ‘’touchant’’, et peut être du ‘’couchant’’, en attendant également celles pleines d'espoir du ‘’levant’’…

Einomhra

Diapositive28 2

 

CHAPITRE 7 - LES ATTRACTEURS(ES)

 

Je souhaite positionner ce chapitre à cet endroit, car je peux entrevoir la possibilité que cette théorie puisse être appliquée aux chapitres suivants, en tant qu'inconnu(e), potentiellement existant(e) par notion de ‘’désir de’’… ; par, pour, avec ‘’elle’’, ‘’lui’’ ou les ‘’deux’’, grâce aux liens existants entre les différents autres inconnus(es) afin d'en acquérir la meilleure et la plus belle utilisation de l'outil nécessaire au langage par le désir d'accomplissement, déterminé à devenir l'art lui-même, au nom de la vision ultime proche d’une possible extraordinaire composition, en tant que notions de beau, de bleu, de bien et du bon sens du vent.

La seule certitude que j'avais, était en la définition de l'inconnu(e), qui était une des plus difficiles à établir parmi tous les signes, mots, lemmes et symboles, du langage écrit, connus. Il y avait une autre chose que je savais, c'est que tout(e) inconnu(e), n'est jamais devenu connu(e) en étant resté(e) inconnu(e), et que tout(e) connu(e), si il ou elle est devenu(e) connu(e), c'est invariablement qu'une cause a induit une recherche qui a permis à cet ou cette devenu(e) connu(e) de n'être pas resté inconnu(e). Et bien ça commence fort, nous sommes entrés dans le cercle, maintenant, il va falloir rechercher la porte de sortie. Ce n’est pas gagné, ‘’l’affaire’’ !

Ah si, il était sûr d'une autre chose. C'est qu'il avait la capacité d'essayer de comprendre ‘’ce’’ qui l'entourait par ses cinq sens sensoriels, plus un tout petit autre, lui envoyant des informations, quitte à commencer par le début, pour en comprendre le sens logique, grâce à cet outil merveilleux qu'est l'acquisition des savoirs et connaissances, même si leurs données sont longues à absorber, ainsi que le maniement de tous ces autres ‘’outils’’ en permettant le stockage mémoriel.

Alors, oui, en ce moment, de par sa situation, il avait beaucoup de temps, donc avec une autre de ses copines, la ‘’mémoire’’, ils sont partis dans le sens de la ‘’connaissance’’, en espérant réussir à trouver quelques parties essentielles et encore inconnues pour lui, mais imaginées concevables, et potentiellement ‘’existantes’’.

 

Aujourd'hui, il souhaitait parler mathématiques avec ‘’Elle’’, mais juste avec les quelques petites connaissances qu'il possédait, afin de savoir s'il pouvait quelque peu, comprendre un peu mieux ce langage. En écrivant ‘’Elle’’, je pense que vous devinez qu'il s'agit d'un de ces ‘’Etres Touchant’’, ou Attracteurs(es) du moment, en lequel il a réussi à déchiffrer, par notion de temps présent à deux, les quelques codes d’expressions de cette vie qui l'accompagne, tel le ressac émit par une vague onde, donnant signe de présence ou d'absence, suivant son humeur, depuis son arrivée en ce lieu, comme vous d'ailleurs, peut-être… (Hihihi i…) ??? …

- J'aimerais, aujourd'hui que tu me racontes les mathématiques, lui dit-il, mais avant cela, je souhaite te faire partager cette pensée.

- Je t'écoute

- Il prononçât ces mots: ‘’La connaissance, nourriture de la pensée et la matière, subsistance de la vie sont immenses. Elles sont sécables jusqu'à leur plus infimes graines, mais pour en goûter leurs plus savoureux fruits, il se faut, du mieux que nous le puissions, en découvrir les plus intimes parties de leurs jardins, grâce à l’utilisation de tous nos sens et avec tous ces outils mis à notre disposition, permettant de découvrir et imaginer certaines réalités peut être présentes ailleurs, dans l’infiniment petit proche et l’infini grand lointain, et souvent réellement proches de la nôtre, mais invisible à l’œil nu. La vie et le monde naturel n’ont nul besoin de la connaissance pour exister. Il, elle existe uniquement de par leur propre réalité présente physiquement et que sous trois formes connues : [minérale, végétale et organique] et une plus méconnue le plasma. La physique est le seul quelque chose dont la conscience, est sûre du vrai de sa représentation, même si elle ne la comprend  pas forcement. La connaissance est une caisse à outils, créée par la pensée, et nécessaire à la découverte des espaces visualisables, touchables et potentiellement touchant de la physique. Grâce à tous ces langages présents dans cette boîte, dont le langage logique, celui des formes et les mathématiques en sont les plus proches accords avec cette composition biophysique naturelle, nous pouvons imaginer découvrir, par l'utilisation de tous ces outils et langages ; les dimensions les plus secrètes de cette Vie, où elle a préservé dans ses plus intimes recoins ses meilleurs fruits et vers, pour en faire cadeau à la pensée. Mais pour ouvrir les cadeaux de la vie, la conscience se doit de connaître, outre les langages logiques et philosophique, ce langage qui permet d'en révéler toute la beauté, en, le langage de la poésie, car cette vie aime également ces expressions et impressions sensibles, au même titre qu'elle est la physique, la logique et l'éthique, elle est la beauté et elle aime à l’entendre.

 

La hargne des ‘’vers’’…

 

Sans arrêt tous les matins tu me persécutes

Un (ï) vers dans la terre, avec désuétude, je suis

Pourquoi jamais sans sollicitude, je n’arrête

Au détriment de mon ventre, ma bouche s’invective

Mais grand jamais envers les cieux elle ne chantera

 

Hargne qui me fait creuser le tunnel de ma tombe

Ne crois-tu pas que sans hargne ailleurs je puisse être

Ma bouche ne serait encore qu’une avaleuse de terres

Dans mon sillage, je sème quelques pousses de nature

Mais grand jamais de la terre elle se désistera

 

Ces jeunes pousses hors de la terre j’aimerai voir germer

Mais avec hargne, toujours dans mon tunnel tu me laisses

Quelques gouttes de pluies sur la terre tombent, et je sors

Le soleil là, je m’en vais confondre la terre et l’eau

Mais grand jamais de l’ombre je me désisterai

 

Dans mes rêves les plus secrets, voler avec les oiseaux

Avec hargne, tu me contiens dans mon tunnel de terre

Afin que sans lumière, je ne puisse aller plus loin

Pourtant ma cousine la chenille ira près du soleil

Mais grand jamais, même avec elle, je n’irai plus loin

 

Avec attention elle me laissera à pied d’œuvre

Et par d’autres vers, la litanie, je transgresse

Puis sans hargne, dans le sillage de ma bouche, la Terre

Du soleil et de l’eau, sans vers, ils ne chanteraient

Mais toujours la chanson des vers, Terre appréciera.

 

Elle a esquissé un sourire et lui a raconté ce qui suit:

-           La difficulté d'appréhension de cette matière, par beaucoup, toi y compris, est la découverte le plus tôt possible du lien entre ce langage trop précis, grâce à l'utilisation de propositions vérifiables afin d'en acquérir les notions de vrai ou de faux liées à tous(es) ces inconnus(es), même, celles paraissant incompréhensibles, telle racine carré de 2 (√2) et Pi (π), insignifiantes tel ‘’moins 1’’ (-1) ou moins ‘’quelque chose’’, mais potentiellement ‘’existibles’’ ici ou ailleurs, par la recherche au nom de la connaissance, par la partie déjà acquise de celle-ci, grâce à l'assimilation transmise ou innée de ta propre connaissance en tant que comblement du vide existant ; maintenant, entre le ‘’vrai’’ et le ‘’réel’’, et non entre le ‘’faux’’ ou le ‘’vrai’’, car entre ces deux ‘’inconnus’’, n'existe qu'un infinitésimal lien, le ‘’ou’’, et si celui-ci est exclusif, il n'existe plus aucun potentiel point d’attache entre le et/ou la supposé(e) vrai(e) et la réalité. C'est une des lois fondamentales de l'univers en tant qu'espace ‘’infiniment petit’’, ou ‘’proche du nôtre’’, ou encore, ‘’infini grand lointain’’. La mathématique est donc, lui disait-t-elle, un des outils mis à disposition de ta pensée afin de rendre conscient tout inconscient possédant le potentiel à devenir accessible à la réalité de la conscience par processus ‘’de rapprochement’’, de ce qui ne possède pas cette propriété ‘’vraie’’ déterminée durable ou non dans le temps, grâce à de petites incursions du réel sur le territoire de l'inconscient, à fin d'en connaître le degré du conscient de ses ‘’habitants’’, par la recherche des inconnus(es) résistants(es) au temps...

Il lui dit: ’’Que ta définition des mathématiques est compliquée !’’

  • Ce n'est pas très important pour l'instant si tu ne comprends pas son utilité, autre la comprendra peut être mieux, n'en soit pas offensé, soit sûr d'une chose, je veillerai toujours à ce que soit affecté toutes prédispositions d'utilisation à ‘’petit morceau de matière organique’’, doté de la pensée, des meilleurs outils nécessaires à l'accomplissement de son art, à lui de les découvrir alentour et d'en apprendre la meilleure façon de les utiliser. Dès qu'il aura entrevu la beauté de cet art, il s'emploiera de la plus belle des manières, en faisant de son mieux dans l'utilisation de cet outil pour son désir d'accomplissement qui consiste à devenir son ‘’art’’ de faire et de vivre pour lui et autres ‘’proches’’… Gardes cela mémoire : ‘’ [(ET/SI) * OU] ? = Une infinité de solutions vraies ou fausses’’… Malheureusement, dans le lieu où tu vis, certains de ses habitants, ont parfois une définition de leur art quelque peu discutable, concernant le ‘’syndrome’’ (concept) du beau, du bleu et du bien pour cet art qu'ils ont créé de toutes pièces de la matière, que maintenant ils arrivent même à créer du ‘’rien’’ au nom de la dévotion qu'il engendre de par la croyance en sa toute puissance, et dont les deux premières lettres sont les mêmes que celles de ‘’Art’’. Mais, je sais que cet ‘’Argent’’, lorsqu'il est utilisé de la plus belle des façons en tant qu'outil, s'avère être une magnifique propriété matérielle, au nom de ‘’l’Art des gens’’…
  • OH oui ! Je comprends tes mots. Mais ces êtres sont bien souvent victimes de la condition de ce corps, qui fait, de par leurs croyances, qu'ils ont par l'utilisation de cet outil, le pouvoir de protéger ce corps et autres des contraintes temporelles, physiques peurs et ambiguïtés identitaires existantes en ce lieu, et parfois, avoir la certitude, par cet outil, qu'ils ont le pouvoir suprême de modeler toute cette matière minérale, végétale et organique qu'ils peuvent toucher au nom de la croyance, que leur art est le plus beau et le meilleur. Ils feraient mieux, en toute première intendance, de faire un état des lieux, afin de découvrir tous(tes) ces inconnus(es) ; résidants et résidantes de la zone d’existence, en diagnostiquer leurs propriétés utiles, essentielles et nécessaires, déterminer les accords possibles entre les lieux et ‘’eux’’, afin de faire adapter, y compris eux, tous les existants du monde naturel des vivants, afin de penser, qu'ils ont quelques aptitudes, à fin de créer un peu d’équilibre et d'harmonie ici.

Certains de ces ‘’petits grains de matière organique’’ conscients le font de la plus belle des façons, malgré les contraintes physiques et difficultés matérielles attachées à leur propre mode et conditions de vie…

 

Il trouvât qu'elle le regardait de façon inhabituelle, comme s'il existait un lien invisible entre eux, mais elle ne dit rien, elle attendit qu'il finisse.

Il la remercia pour ces explications.

Et tout à coup, il ressenti une telle beauté, émanant d'elle, qu'il se mit presque à penser, que son art à lui c'était peut-être ‘’Elle’’.

‘’Allez continuons E......, cela me plaît’’ ; lui dit-elle.

  • Il peut être considéré comme ‘’vrai’’, l'autre proposition, lui dit-il en réponse.

C'est celle- ci: ‘’Allez continuons M........., cela me plaît.

Et il continuât en lui ‘’lançant’’ un sourire, afin d'exprimer sa joie d'être là avec ‘’Elle’’.  

  

Descartes (philosophe et mathématicien) disait: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’. Alors que ; Bergson disait: ‘’La vraie liberté n'est pas la liberté d'indifférence, mais la libération de notre plus intime et originale préférence’’. Essayons de démontrer si ces propositions sont potentiellement vraies, ‘’où’’, ‘’comment’’, ‘’pourquoi’’ ou au nom de ‘’quoi’’, et peut-être ‘’pour qui’’... ??? Et commençons par la première si tu veux bien.

 

- Hou la là, ‘’Einomhra’’, attends un peu, s'il te plaît avant de disséquer ces deux propositions tels des batraciens dans une classe de biologie. J'aimerai d'abord te faire une petite démonstration, si tu veux bien, avant d’essayer de définir ces deux postulats…

- D'accord ! Lui répondit-il.

Il l'a connaissait suffisamment pour penser qu'elle allait encore l'emmener devant une porte, dont le passage pouvait bien ressembler à une aporie. Mais cela ne lui déplaisait pas.

-  Je vais poser sur le tableau noir à l'aide d'un morceau de craie blanc tenu dans ma main, un signe, que je considère être un point blanc, tel un ‘’quelque chose’’ posé sur ce référentiel noir, qu’est le [tableau].

J'avais compris où elle voulait m'emmener, la maligne.

C’était en la dimension de la précision par la description faite des objets-sujets que nous percevons à l'aide de nos sens.

- Que peux-tu me dire de cette forme posée au tableau, et n'ait pas peur de la décrire avec précision, cela te permettrait d'imaginer grâce à ta pensée, ce que peut devenir cette ‘’figure’’.

Me demandât-elle en souriant.

C'est bien ce que je pensais, elle avait envie de jouer, alors allons-y, en lui renvoyant son sourire.

  • Mais avant cela, je souhaite te lire un passage de la quatrième lettre des ‘’Provinciales’’ écrites par Blaise Pascal à un provincial de ses amis, alors qu’il était à la Sorbonne.
  • D’accord, je veux bien.

Extrait de la quatrième lettre

Vous voyez donc par-là quelle est cette ignorance qui rend les actions involontaires ; et que ce n'est que celle des circonstances particulières qui est appelée par les théologiens, comme vous le savez fort bien, mon Père, ‘’l'ignorance du fait’’…

 

  • Mais, quant à celle du droit, c'est-à-dire quant à l'ignorance du bien et du mal qui est en l'action, de laquelle seule il s'agit ici, voyons si Aristote est de l'avis du Père Bauny.

 

Voici les paroles de ce philosophe : Tous les méchants ignorent ce qu'ils doivent faire et ce qu'ils doivent fuir ; et c'est cela même qui les rend méchants et vicieux. C'est pourquoi on ne peut pas dire que, parce qu'un homme ignore ce qu'il est à propos qu'il fasse pour satisfaire à son devoir, son action soit involontaire. Car cette ignorance dans le choix du bien et du mal ne fait pas qu'une action soit involontaire, mais seulement qu'elle est vicieuse. L'on doit dire la même chose de celui qui ignore en général les règles de son devoir, puisque cette ignorance rend les hommes dignes de blâme, et non d'excuse. Et ainsi l'ignorance qui rend les actions involontaires et excusables est seulement celle qui regarde le fait en particulier, et ses circonstances singulières : car alors on pardonne à un homme, et on l'excuse, et on le considère comme ayant agi contre son gré.

 

  • Après cela, mon Père, direz-vous encore qu'Aristote soit de votre opinion ?

 

Et qui ne s'étonnera de voir qu'un philosophe païen ait été plus éclairé que vos docteurs en une matière aussi importante à toute la morale, et à la conduite même des âmes, qu'est la connaissance des conditions qui rendent les actions volontaires ou involontaires, et qui ensuite les excusent ou ne les excusent pas de péché ?

N'espérez donc plus rien, mon Père, de ce prince des philosophes, et ne résistez plus au prince des théologiens, qui décide ainsi ce point : ‘’Ceux qui pèchent par ignorance ne font leur action que parce qu'ils la veulent faire, quoiqu'ils pêchent sans qu'ils veuillent pécher’’.

Et ainsi ce péché même d'ignorance ne peut être commis que par la volonté de celui qui le commet, mais par une volonté qui se porte à l'action, et non au péché, ce qui n'empêche pas néanmoins que l'action ne soit péché, parce qu'il suffit pour cela qu'on ait fait ce qu'on était obligé de ne point faire…

Le Père me parut surpris, et plus encore du passage d'Aristote, que de celui de saint Augustin.

  • Allez, maintenant continues ton exposé, s’il te plait…

Je me levis, pris une craie, et ignorais son point posé... Chapitre 7 les attracteurs esChapitre 7 les attracteursChapitre 7 les attracteurs (1.33 Mo)

 

 

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Date de dernière mise à jour : 28/09/2019

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L'Angle Socio-Culturel
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Sur le chemin des évidences
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Ecologie
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