MISSIVES AUX MAIRES
- Rentrée 2015
En juillet de cette période de vacances estivales, j’avais reçu dans ma boîte aux lettres, un courrier émanant de la mairie de ma commune, au sujet de la reforme territoriale. Courrier que j’ai lu avec intérêt, car de par ma situation d’existence sociale-économique, cette missive ne pouvait être considérée de ma part, que comme un symbole constitué de mots en corrélation avec mes pensées écrites depuis des mois.
J’ai bien évidemment répondu, mais uniquement sur mon blog, et mes réseaux sociaux, car vous comprendrez aisément, chères lectrices et lecteurs, cette démarche induite par mon aversion envers les politiques de tous bords, qui en quarante ans ont me semble-t-il trop souvent opté pour la thésaurisation financière et les corporatismes sectaires en faisant abstraction d’autres valeurs…
LETTRE OUVERTE AUX MAIRES DE FRANCE
Mme, Mr le Maire
Suite à la lecture de votre lettre aux habitants concernant la ‘’réforme territoriale’’, je me permets par ces écrits, de vous communiquer ma petite vision attachée à cet édifice social économique en train de se fissurer, où malheureusement certains des élus nationaux affectés à la gestion de la République Française à, soit disant, prépondérances fraternelles et laïques, qui, comme vous le laisser entrevoir par vos écrits, détruisent méthodiquement depuis plus de quatre décennies, les fondements mêmes de la démocratie dont les bases, sont me semble-t-il, en train de voler en éclats par la mise en place de cette réforme territoriale, qui si elle passe dans la totalité de ses termes et échéances, les formes originelles de la République ne deviendront que les ‘’fantômes’’ de celle-ci, pour la simple raison qu’elle bifurquera vers un système à prépondérance théocratique, en ôtant à la démocratie, toute sa meilleure partie en tant que constituantes de la liberté, l’égalité, la fraternité et surtout la justice sociale économique encore présente dans ces zones géographiques, nommées départements, et communes, avec pour particularité en ce mauvais état de refonte territoriale, à ce que les communautés de communes et autres intercommunalités ne deviennent que majoritairement gérer en corrélation étroite avec ce système étatique trop éloigné de ces belles valeurs… ; affichées par une certaine vision humaniste du ‘’monde’’ agricole, proche de la nature, pourtant encore résidente en premier lieu dans les communes ‘’rurales’’, voire certains départements, avec à partir de la métropole, puis des régions, une particulière déstructuration envers les ‘’gens du cru’’, liée en première évidence à l’envie frénétique d’atteindre la ‘’porte’’ d’entrée permettant pour leurs élus et autres aficionados aux subterfuges de la soustraction et de la division, d’envisager le fort potentiel d’accès au ‘’pouvoir’’ national, par prétentions de croire que seuls les habitants de la grande (Ï) cité, en auraient capacités et facultés, par oubli que beaucoup de personnes sensées sont originaires des zones de bonnes valeurs ‘’terrestres’’.
Il est possible de détecter les égocentrismes de ces ‘’entités’’ d’augures politiques démocratiques et laïques discutables, en s’y intéressant, étudiant et analysant le système géo-politico-économico-asocial français, afin d’en approcher certaines incohérences m’autorisant malheureusement à envisager, que la perspective d’une possible fracture sociale économique, pourtant encore soutenable en ces lieux affiliés aux ‘’petites’’ communes sera assurément consommée, après qu’elles eussent été vidées de leurs meilleures ‘’essences’’, par ce système administratif impropre à la juste décentralisation. Afin de donner un peu de consistance à mes pensées, permettez-moi, Mr le Maire, de-vous conter en quelques lignes les raisons de ma venue en août 2013 dans cette commune où ces deux années m’ont permis de percevoir toutes ses belles particularités, suffisamment éloignées des complots politico-économico-financiers, assurément présents en ces grandes villes, métropoles et autres mégapoles…
Où la notion d’humanisme est en train de se dissoudre dans ces états de déliquescence…
Avec pour les plus paradoxales, les mauvaises obédiences médiatiques, souvent éditées par des ‘’entités’’ de néfastes conformismes corporatistes… Et pour les plus virulentes, une incompatibilité notoire avec les belles valeurs de la République Française. Et pourtant, si ces ‘’élus’’ nationaux, arrivaient à entrevoir que le système social-économique est arrivé à bout de souffle, notamment par les déclassements révoqués de l’art des gens au profit du tout argent, bien qu’il se doit de rester un potentiel ‘’bel outil’’, dont son pragmatisme devrait permettre de revenir à quelque ‘’chose’’ de supportable et acceptable par et pour le ‘’genre humain’’ français en ses zones géographiques.
Mais pour commencer à entrevoir cette ‘’voie’’, derrière quelques brouillards encore présents à l’horizon, il serait souhaitable de revenir aux bases essentielles nécessaires et minimales à l’existence honorable de ‘’l’être humain’’, à savoir se nourrir, s’abriter, se vêtir avec dignité et surtout mettre en place les conditions adéquates pour nos ‘’petites et petits devenirs… Où le premier fondement se trouve invariablement dans les communes ‘’rurales’’…
Et la deuxième constituante essentielle, nécessaire et utile, s’envisage sans équivoque proche de la retransmission des justes connaissances épistémologiques et savoirs déontologiques et éthiques par celles et ceux d’avant, et ceux de maintenant, pour les ‘’vies’ d’après…
Dans toutes les communes.
Par conséquent, par mes écrits je tiens à faire savoir que j’ai toujours soutenu et soutiendrai encore sans aucune restriction ces deux ‘’indispensables’’…
Ce qui me permit par ce continuel apprentissage de la Vie, grâce à quelques formes de solitude et de méditation, d’approcher et analyser les illogismes asphyxiants assignés à cette société civile républicaine devenue quelque peu négligente et surtout particulièrement ‘’individualiste’’ à mon goût ; en particulier dans sa dimension sociale économique établie législativement par les corporatismes de la mégapole et pour les autres, amalgamés aux grandes métropoles et clientélismes territoriaux. Mais assurément avec beaucoup moins d’allégeances envers les petites communes et autres insignifiantes intercommunalités…
La politique, de la ''grande cité'', frappée au mur des incertitudes sociale-économiques, à aigreurs politiciennes a induit beaucoup trop d’anciens espaces de travail ‘’utiles’’ et emplois ‘’rémunérés’’ à leur justes exercices, vers le déclassement, la sous-évaluation, la ghettoïsation et la division communautaire…
Petite notification : En 1992, j’étais technicien SAV en froid et climatisation, j’avais par conséquent 33 ans, mon salaire net était en équivalent euros d’environ : 2 000€ net par mois. Chercher l’erreur, actuellement à même fonction le salaire net est compris entre 1300 et 1600€ suivant les sociétés et les compétences personnelles. En 24 ans, où est passée toute cette valorisation manuelle, technique et obligatoirement intellectuelle ? Elle a été thésaurisée par ces gestionnaires de produits économico-financiers, pour leurs gueules ?
Ou alors est-ce, les mauvais comportements économico-financiers invectivés par des politiques individualistes, ou les dogmatismes impropres à toutes formes sociales-économiques à réseaux humanisés… ???
J’avoue que ma pensée penche malheureusement pour l’addition délétère de ces trois mauvaises causes… Avec pour particularité à ce que ces chemins mèneront invariablement vers le chaos et la destruction, si les bonnes solutions ne sont pas appliquées tant aux inconscients, qu’aux néfastes consciences, ou autres opportunistes de systèmes à vacations prédatrices…
J’espère seulement que mes écrits auront peut-être apportés quelques petits indices positifs, paradoxalement à cette vision particulièrement négative que j’ai au rapport des fonctionnements étatiques envers ce beau pays France où certains de ses habitants, sont encore respectueux de ces belles valeurs attachées aux justes et équitables systèmes sociologiques à réseaux ‘’humanisant’’, dont quelques-unes sont trop souvent floutées par le 4ème pouvoir dans et par son côté obscur, où la plus néfaste expression en est assurément la logo-médiatisation des termes tendancieux impropres à une juste culture démocratique… Destituée de quelques formes de justice, d’égalité et de fraternité, autorisant pourtant par effet contraire la perception de potentiels signes annonciateurs de quelques salvatrices petites libertés d’expressions propres aux lieux d’existence de l’être humanoïde dans le monde des vivants. Qui ne sauraient être imaginées hors d’un équitable et juste ordre géo-politico-socio-économico-culturel soucieux de la totalité des énergies naturels et celles affichées par tous ces petits morceaux de matière organique doués des meilleures pensées cognitives et extraordinaires imaginations accompagnées par les bonnes consciences attentives aux nécessaires savoirs être et utiles savoirs faire, dans le cadre des droits de l’homme, de la femme et de l’enfant.
LA SOCIALE ECONOMIE DE MARCHE ALLEMANDE ET L’ECONOMIE SOCIALE DE MARCHE FRANCAISE…
La France est, me semble-t-il devenue une basse-cour de la sociale économie de marché, où ceux et celles sonnant le chant du ‘’coq’’ ont pour essentiel désir à se battre pour retrouver la poule aux œufs d’or, en oubliant que les ‘’rôtisseurs’’ d’avant l’ont déjà déplumée et envoyé ses restes aux quatre coins du poulailler. C’est à mon avis, en principal, le refus de ce démembrement corporatiste, et la non pratique par ses sphères de gouvernances, de pouvoirs et de gestion économique qui ont permis à l’Allemagne d’avoir une balance commerciale positive et en second lieu en ayant privilégié, après-guerre les apprentissages et savoirs faire techniques, technologiques et industriels.
Cela a assurément permis à cette Allemagne d’avant et d’après-guerre, d’engendrer son évolution économique globalement positive et son équilibre commercial statutaire dominateur au sein de l’Europe. Quitte aujourd’hui parfois, à faire déchanter le marché des ‘’coqs criards’’ et ‘’poulets’’ cuisinés aux aigreurs, qui pour quelques-uns, sont pourtant enchantés d’acheter et devenir propriétaires de certains biens industriels, matériels, cultures et aliments produits par ce pays avec l’aide de travailleurs détachés payés moins que le tarif ‘’marché’’, en favorisant par cet effet de concurrence en phase avec les lois amorales de la mondialisation, le PNB allemand et soutenant son revenu par habitant évalué en tant que composant du peuple germanique, oubliant parfois le lien de ‘’cousin germain’’. Et pendant que d’autres coqs européens s’égosillent sur les infertilités sociales-économiques de l’ultra-libéralisme divisionnaire et ghettoïsant, de l’ordo-libéralisme à idéologie déficiente, du capitalisme antisocial outrancier et du communisme d’antan inopérant, sans réussir à proposer de réelles et véritables solutions acceptables par majorité des ‘’paons’’ européens vocalisant leurs égos, le ‘’chat physique’’ de Schrödinger joue avec ses amis financiers et danse sur cette pseudo sociale économie de marché au classement frappé du sceau de l’inégalité rafistolée au déterminisme du protestantisme Luthérien, et aujourd’hui, à la croisée des chemins, celui de la division Cultura-identitaire…
Coqs, paons et petits poulets aveuglés… Méfiez-vous des états à pensées iniques et de la capacité des félidés à retomber sur leurs pattes. Le ‘’chat’’ allemand ronronne ; et pour l’instant il veut bien continuer à écouter la valse émanant des salons feutrés parisiens, et même si après avoir effectué quelques pas de Flamenco, il n’a plus envie de danser le Sirtakis, tout en refusant de chanter quelques notes de la Traviata ; ne pas oublier l’histoire des pays du vieux continent, même si cette contrée germanique à influences romanes chevauchant mers du Nord et Baltique a réussi, après destruction du mur de la honte, à construire un certain modèle d’unification malgré le difficile exercice, en composant avec les différentes formes de sensibilités sociales, libertés économiques, perturbations sociétales, ainsi que les intérêts et discordances liées à certains mauvais corporatismes politico-économico-asociaux trop liberticides envers quelques flux, marquant la monnaie impérieuse et l’échange de biens et services marchand pourtant nécessaire et utile dans et par sa juste partie et indispensable à une véritable économie sociale de marché, composant avec argent et art des gens. Alors qu’auparavant certains penseurs eussent été incapables de se résoudre à l’idée que les seules principes potentiellement viables en termes de politique économique sont à réaliser dans le cadre d’un ordre économique de marchés assujettis au concept originel du socialisme démocratique, et non à une politique ordo-libérale séculaire inapte à néologisme habile…
‘’Kel Mère’’ ce ‘’chat’’ Teuton… Et à se dévoyer avec des états à institutions cultuelles de peu de considérations envers les mammifère-humanoïdes adeptes du respect de la femme, de l’enfant, et de la liberté d’expression, alors que ces clans mensongers prétendent ne pas vouloir convertir la liberté d’exister à leur vérité spirituelle obscure. J’ai quelques doutes… Avec l’empire Ottomaniaque… Et, quelques désaccords d’interprétation du point d’équilibre de la sociale-économie entre le pragmatisme patriotique de la physicienne, à peu de philosophie politique, et les quelques résistances de son danseur préféré, lui envoyant en certains cas compliqués quelques aficionados, afin qu’ils apprennent à danser la Salsa du démon de Francfort, tandis que le monocle à chapeau melon, entra par pas chassés dans la chorale européenne, et sortira à reculons de l’EU, certainement pour cause de devises communautairement inaptes à l’individualisme, mais toutefois toujours révérencieux par l’exercice de statures telles celles propres à l’imposture , en chantant ‘’I’m just a gigolo’’…
Tout en écoutant au loin à l’Ouest de la finance londonienne datant des accords de Brettons-Wood et du plan Marshall l’irrésistible complainte à masque fraternel ordonnatrice, édictant: ‘’Je suis le fondateur du néo-libéralisme adopte le schiste, c’est l’indépendance énergétique et le commerce Taftaien, à défaut d’une sociale-économie Européenne défaillante’’. Où à l’Est du nouvel Eden, lorsque les puits d’énergies fossiles auront fini de cracher leurs dernières liquidités noires, les hymnes nationaux des anciens régimes autocratiques auront cessé d’émettre les mauvais accords impropres à une possible synchronique socio-culturelle, et que le petit homme sage drapé d’un sarrau blanc, avec un regard malicieux chaussé d’une paire de lunettes rondes, se sera définitivement détourné de la route du sel, car il aura compris que la destruction de celui de la vie est engendré par les 14 milliards de pieds avançant toujours avec frénésie vers plus de consommation devenue compulsion consumériste anarchique envers Dame Nature.
Et tout cela au nom du dieu de la possession au lieu d’un alléluia envers la divinité de la sagesse, où les enfants d’Irène, déesse Grecque de l’équilibre et de la réconciliation, n’auront eût que peu de persuasion à ce que la descendance de Caïn, puisse faire un déni du dogme du père leurs ayant édicté : ‘’L'infernale convoitise pousse les enfants de Caïn à s'emparer de tout ce qui est à leur portée, et comme si ce n'était pas assez qu'un seul accapare ce qui suffisait à des milliers de ses semblables, il voudrait s'y établir, lui et toute sa couvée pour toute l'éternité’’. Par conséquent : « L’économie de marché moderne n’est pas l’économie de marché libre des flibustiers ordo et néo libéraux d’une guerre économico-financière révolue ; mais une économie de marché à engagement social qui permet à l’individu de s’épanouir, qui accorde la priorité à la valeur de la personnalité et qui récompense la performance avec un rendement mérité et communautairement gratifiant »,
(LUDWIG ERHARD, CONGRES DU CDU, RECKLINGHAUSEN, 28 AOÛT 1948).
Où les probabilités modales de la politique sociale-économique sont aussi importantes que ‘’l’équilatéralité’’ collective…
En ces temps de rapprochement avec l’élection présidentielle de 2017, nos chers politiques se réclament presque tous du Général de Gaulle... Corporatisme idéologique et identitaire, ou manque d'imagination politico-socio-économico-culturelle ?
De Gaulle, outre son activité pendant la 2ème guerre mondiale, a lutté contre le premier président de la commission européenne: Walter Hallstein. Allemand fait prisonnier en 1944 par les américains, amené aux USA, puis libéré et renvoyé en Allemagne, où quelque temps après il devint le premier président de la commission européenne. De Gaulle ne souhaitait pas l'établissement de sa vision européenne, privilégiant la ‘’partition’’ de l'Allemagne....
De Gaulle reconnaissait les services d'Hallstein à l'idée européenne, mais l'attribuait davantage à une certaine forme de patriotisme exacerbé, servant les intérêts de l'Allemagne, afin qu'elle retrouve le respect et un statut en Europe. De Gaulle n'appréciait pas le rôle de Hallstein, pour lui un simple technocrate. Il le voyait chaire de président de la CEE instituée par des États étrangers. Quelques années plus tard il s'oppose à l'entrée de l'Angleterre dans l'Union Européenne, la CEE à l'époque, car il avait certainement entrevu le but sous-jacent du néocapitalisme anglo-saxon, même si les Ricains avaient libéré l'Europe...
Avec l'URSS....
Hallstein affirmait que l'intégration institutionnelle était dans l'intérêt d'une industrie allemande forte à l'exportation. Ludwig Erhard et le ministère de l'économie considérait eux qu'il fallait une intégration fonctionnelle plus souple et défendaient la coopération économique intergouvernementale. Erhard était opposé aux structures supranationales et considérait que les propositions de l'office des Affaires étrangères sur une Europe fédérale comme méconnaissant les réalités économiques. Dans ce différend, Adenauer soutint finalement Hallstein mettant un terme au conflit acrimonieux et public entre Hallstein et Erhard.
De Gaulle prit une position très prononcée au sujet de la politique agricole commune et, le 21 octobre 1964, le ministre français de l'information Alain Peyrefitte annonça que la France quitterait la CEE si le marché agricole européen n'était pas mis en œuvre au 15 décembre 1964. Le 1er décembre 1964, Erhard, alors à la tête du gouvernement allemand, annonça que l'Allemagne accepterait les exigences françaises pour un marché commun du blé et, le 15 décembre, le Conseil des ministres établit un prix commun du grain valable à partir du 1er juillet 1967 et demanda à la Commission de soumettre des propositions sur le financement de la politique agricole commune avant le 1er juillet 1965.
Les différences entre la France et la Commission – particulièrement entre de Gaulle et Hallstein – se réaffirmèrent quand la France occupa la présidence du Conseil, de janvier à juin 1965. Le 20 octobre 1965, Couve de Murville, à l'Assemblée nationale, poussa pour une révision des traités. Ceci fut rejeté par les cinq autres États membres. Lors d'une réunion du Conseil des 25 et 26 octobre, ils passèrent une résolution déclarant qu'une solution « doit être trouvée dans les dispositions existantes des traités ». En guise de compromis, toutefois, ils maintinrent la possibilité d'une réunion extraordinaire du Conseil pour discuter de « la situation générale des Communautés » – sans toutefois inviter la Commission.Après les élections présidentielles françaises des 5 novembre et 19 décembre 1965, de Gaulle accepta l'offre. Durant ces négociations des 17 et 18 janvier 1966, le ministre français des affaires étrangères, Couve de Murville, abandonna la plus importante des exigences françaises.
L’« Union des Nations Européennes » (UNE) au profit des Etats (UE).
ECONOMIE SOCIALE DE MARCHE QU’EST-CE QUE CELA SIGNIFIE CONCRETEMENT ?
Siegfried F. Franke ; David Gregosz
Déjà en 1948, Ludwig Erhard, ce personnage de la sociale économie avait-il prétexte rationnel par cette morphosyntaxique de sociale économie de marché ; ‘’Soziale Marktwirtschaft’’ ?
Ou celle d’« Economie Sociale de Marché » ?...
Aujourd’hui, seuls trouveront les accords à cet adage : ‘’ Les groupes de population que nous pouvons visualiser comme un nombre communautaire, strictement supérieur à deux, capables de faire évoluer un espace de vies, politico-social-économique et culturel harmonieux, tout en ayant la vision philosophique, humaine, sociale, culturelle, économique et financière la plus objective et la moins spoliatrice possible, accompagnée du respect permanent de la vie, de la liberté et de la propriété, afin d’en atteindre avec attention, la sagesse et l’équilibre’’.
« N'espérez jamais trouver votre sûreté dans les armes de la fortune. » Sénèque.
Nelson Mandela disait : ‘’Une population instruite, éclairée et informée est une des façons les plus sûres de promouvoir la bonne santé de la démocratie…’’.
Et Benjamin Franklin : ‘’Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’un, ni l’autre et finit par perdre les deux’’.
Et l’humanité au tournant de son histoire perdra les deux, lorsque Dame Nature, mère de tout le Vivant, aura suffisamment grondé, et déversera toutes sa résurgence dépressionnaire, source de vies en ses pôles nord et sud, sur tout le vaste monde. A ce moment-là, même le diable, démons et autres serviteurs du Vilain s’agenouilleront et la regarderont tristement en lui demandant pardon…Mais il lui faudra un peu de temps pour recréer quelques indices de confiance et d’épanouissement dans le poulailler, afin que la poule aux œufs d’or puisse poser la question à sa classe de ‘’CPV’’ (Classe Préparatoire à la Vie) : ‘’A quoi ça sert, la Vie ?’’… Et que toutes les petites mains se lèvent, afin que la maitresse ou le maitre d’école puisse enfin demander à ce cancre de Toto : ‘’Peux-tu me répondre Toto ?’’.
- Oui, Madame. C’est prendre soin de Dame Nature, participé à la réalisation de tout ce que nous indique la vie, afin de voir toute sa beauté et percevoir son extraordinaire biodiversité au nom des bons ‘’tempos’’.
- Bien Toto, et vous, tous les autres ‘’petites et petits devenirs’’, qu’auriez-vous répondu ?
- La même chose, Madame, en riant tous en chœur…
Voilà, je souhaitais finir ce petit statut ‘’libre’’ par un peu de poésie, car je trouve qu’il en manque trop souvent dans l’ère du temps. Et grâce à quelques livres et documentaires trouvés sur internet, accompagnés par autres lectures et extraordinaires échanges avec des ‘’étants’’ de bons savoirs, présents sur les ‘’réseaux’’, j’ai réussi depuis plus de cinq ans, bien après avoir intégré en 1975 le monde du travail rémunéré, à recommencer à lire, apprendre et entrevoir que ‘’l’homme’’ est trop souvent pire que certains animaux, ou bipèdes inconscients. Et par quelques analyses philosophiques, ontologiques et épistémologiques, peut-être réussir à comprendre, après en avoir écouté toutes les variances, ce qu’était une possible juste et équitable ‘’Sociale Economie de Marché’’, m’autorisant à décoder quelques accords propres aux différents couples Franco-Allemand après 1945, accompagnés par quelques études fonctionnelles concernant d’autres états souverains et peuples mystifiés, permettant de décomposer les comportements et covalences paradoxales ; m’ayant peut-être permis de ne pas franchir les portes du communautarisme exacerbé, des prosélytismes infondés et de l’obscurantisme vénère, qui ne seraient en ce cas d’adoption, qu’une ouverture, vers le pire de ce que peut engendrer l’être égocentrique ‘’déshumanisé’’.
Je suis arrivé en ce monde après cette horrible guerre, et avant celle économique, toujours actuelle et devenant de plus en plus conflits ‘’géo-politico énergétiques’’; en 1959 sur le continent Africain. J’étais le résultat de l’union, d’une mère alsacienne et d’un père d’origine italienne. Cette femme était née en 1939, cet homme en 1933 et fut envoyé en Algérie, l’année après l’insurrection du 1er novembre 1954, suite à quelques échanges ‘’musclés’’ avec un supérieur. Vous envisagez le bordel qui s’en suivi même après les accords d’Evian en 1962 ?
Mais je continue à essayer d’assouvir mon inextinguible curiosité envers le ‘’Monde’’ et ses habitants, tout en étant lucide de la nécessaire utilité à être attentionné aux choses de la nature, organismes vivants et gens alentours, proches ou un peu plus éloignés de moi… Où les trois valeurs sociétales de bases en sont depuis bien longtemps, dans les pays civilisés, le ‘’travail soumis à juste rémunération’’, ‘’l’esprit fraternel’’, et les ‘’droits de l’homme, de la femme et de l’enfant’’… Même si certaines personnes, parfois très proches, ont été soumises à quelques incompréhensions, envers ma singulière identité qui pourtant me semble-t-il, n’est pas fondamentalement différente de celle de mes congénères ! Sauf peut-être chez ceux et celles possédant les quelques obscurs dogmatismes suffisants et nécessaires à éloigner la pensée humaniste des ‘’masses’’, vers le refuge nationaliste ‘’absolu’’, ou sa pire forme est celle juste après le sectarisme engendré par les peurs identitaires, la division des identités-culturelles… Décelables pour parties en et par tous conflits sociétaux, puis révoltes civiles et autres rebellions… Voire plus… Où parfois, trop d’inutiles croyances, inhibent l’esprit logique et ne permettent plus d’entrevoir cette extraordinaire capacité d’être simplement humain dans le Monde Naturel Vivant…
Et tout cela, accompagné par une certaine forme d’allégeance intergénérationnelle, par ouverture d’esprit suffisante et utile à la retransmission des meilleures connaissances et justes savoirs par celles et ceux d’avant et de maintenant, au nom de la possibilité de bien-être pour les générations arrivantes dans ce monde naturel minéral, végétal et organique, teinté aux plus extraordinaires pensées transmises et véhiculées par le discours entre les sciences et les arts…
Michel Asti sur : https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1402240379912235&set=a.169856409817311&type=3
Date de dernière mise à jour : 16/12/2018
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