PETIT VIRUS DEVIENDRA GRAND... ???
PETIT VIRUS DEVIENDRA GRAND… ???
Le sens fuit les mots. Les mots ne sont que des passages du sens. Le sens est ce qui ne cesse de fuir, comme la vie, comme le temps.
Henri Meschonnic
« Les vices dans le gouvernement du Royaume étaient si vieux, et leurs méfaits si capricieux dans leur enchevêtrement qu’ils finissaient par participer des hauts et des bas qui donnent sa variété à tout spectacle naturel : si on formait un vœu parfois de les voir S’ARRANGER, c’était de la même lèvre pieuse dont on souhaite que le temps ‘’s’arrange’’ après la grêle ou la gelée. »
Julien Dracq
‘’ Nous avons assez de religion pour haïr et persécuter, et nous n'en avons pas assez pour aimer et pour secourir.’’
Traité sur la tolérance, 1763 – Voltaire
Il fallut un nouveau virus où le taux de mortalité se situe à environ 1/100éme de la population infectée pour entrevoir que la nature est un organisme vivant qui lorsque le système ‘’humain’’ attaque violemment les fondements du vivant ; il n’y a plus que les véritables professionnels(les) des sciences biophysiques, biologistes, épidémiologistes, analystes des biosystèmes et écosystèmes, etcétéra… ; pour envoyer quelques messages logiques – 1% si les règles d’hygiène sanitaire ainsi que le maintien des attitudes et responsabilité civiques comme le bon fonctionnement du système hospitalier, sinon le pourcentage augmente : pour une population de 67 millions d’habitants avec un taux de contamination de 50% le nombre d’individus, notamment ceux déjà atteints par quelque pathologie ou résistances au virus amoindries, peut être évalué à environ 335 000 morts…
Pour une population de 7 milliards d’êtres humains le nombre d’individus pouvant tombé raides morts suite au Coronavirus peut théoriquement s’élever à 35 000 000 personnes. Tout cela dans une scénographie consacrée à symbolismes affiliés à étranges covalences, atavisme inique, versatile incohérence et déficiente ethnosociologie en postulats d’une déconstruction humaniste et sociologique au nom d’ethno-corporatismes politico-culturels sans réelle solidarité ; datant de dimensions ‘’sauvages’’ indignes de ce que les facultés évolutionnistes dues à ‘’l’intelligence’’ du mammifère bipède – moderne – supérieur dont ses propriétés physiques en sont la destitution du réel sens de l’existence du vivant comme il peut en être perceptible de l’étiolement des notions de bien commun, et d’une véritable économie-sociale solidaire ; depuis plusieurs décennies.
« Alors, respectons les consignes sensées comme les contraintes temporaires de maintien de la sécurité sanitaire de même que les mesures ethnosociologiques humanistes adéquates tant pour nous-mêmes que pour les autres…
A moins que nous soyons atteints d’un ‘’je m’en foutisme pathologique généralisé’’ ou à se dire ‘’après moi le déluge’’…
Précisions de situations délicates dans lesquelles se retrouvent la charge de retrouver des personnalités mal zélées ayant fui, pour quelques servantes devises faxées à moyens termes des prosternations affectées de jeunes figurines récalcitrantes aux joyeuses fourberies des anciennes tartufferies, et qui reviendront bredouilles d’une jurisprudence altérée aux sons des assaisonnements en créance de ce qui n’est qu’espérance de croire à la résurgence d’une jeunesse déjà perdue, dans les paroles d’un vil édit ; en ornement de voix(es) situationnistes affichées à son égo, éconduit… ; où la liberté de choix s’y réduit comme peau de chagrin aux frontons d’une restriction en envols d’oiseaux moqueurs comme des parures et vocalises des magiciennes de nos nuits n’y feront jaser qu’une poignée d’esprits libres conscients du refrain des chapons de mauvais augures flagornés aux tambours battants la mesure des trompettes lustrées aux bagagistes globulaires, que de leur position, n’y firent et feront qu’attributs sans veille ni vaillance.
N’OUBLIEZ JAMAIS… ;
Qu’il conviendrait, en toutes efficiences de relations virtuelles par échanges réseaux… ; aussi bien d’en celles biophysiques et physiologiques, comme il en est des vrais manières d’attaquer les groupes de prédation géostratégique renfermant dans leurs sphères en alliance défiscalisée de l’usure TEMPOREELLE envers le vivant par des translations « entre elles » ; telles que leurs traits de caractères bornés à la discrimination systématique de la liberté d’expressions, des esprits humanistes intelligibles, n’y attribueront de leur caution que celles d’une lignée en soustraction des véritables savoirs faire et division des réels savoirs êtres d’avec applications hétérogènes dont nous faisons et ferons accords et liens tant des tenants que des aboutissants pour ce qui est de notre essentiel matériel à les rendre utiles à tout ce qui survivra des fondements d’une éthique de préservation et de structuration pour qu’il en subsistasse l’analyse intemporelle de nos ouvrages à n’y pourvoir en aucune manière particulière consistant à descendre l’attention en observances entre liberté et attachement pour qu’à chaque période de transposition intergénérationnelle les nouvelles vagues scindées tant des abus envers celles d’avant que des tromperies envers celles d’après n’y trouvent plus aucun interstice d’avec statuts à forcer la contrainte envers les avenacées contenues dans ce qu’il fut et est émis du bien et/ou du mal dans des structures textuelles émises par ces mêmes factions d’être-humains façonnés à l’esprit-libre respectueux des corporations collectivistes à donner axes de leur assistance quant aux données dues au partage des connaissances… ; ainsi que des savoirs acquis, au terme, desquels retransmis ; aux générations suivantes, comprendront les équivalences liées à notre correspondance en contre-mesures de celles et ceux qui, tôt ou tard, auront à y mener nos affects tant du corps que de l’esprit à ne plus les confondre d’avec tout ce qu’il ne fut, est et sera d’elles…
En effet, comment-vous y prendrez-vous de vos anciens ‘’canons’’ comme des nouveaux à les braquer contre notre démonstration de l’existence du vivant sur ce qui est de notre bonne nature à ne point se soustraire à penser de l’impossibilité à pouvoir se passer de notre référentiel terrestre, tant de l’organique que du minéral et du végétal comme des mouvements, actions et mobilisations envers la conservation de leurs prescriptions à foison du chaos aux temps de leur commencement et considérablement d’un passage vers une fin commune d’elle, d’eux et de nous… ???
QU’EST QUE LA VIE… ?
Pour les poètes & poétesses : un recours aux mots.
Pour les politiques : un discours de division.
Pour les financiers : un discours de soustraction.
Pour les philosophes : une interrogation sur le sens de celle-ci. Et pour les humanistes : une volonté, parfois farouche de désarmer l'invective par trop intransigeante envers le discours entre les sciences et les arts.
L’ATTENTE DE LA PROVIDENCE ALLIE LE CYNISME A LA DERAISON
Le zapping sur le Web, l’intransigeance des partis politiques envers les nouvelles dissidences, les corporatismes déculturés ne sont pas en mesure de remplacer les folies généreuses qui animaient jadis la génération des étudiants. Beaucoup d’entre eux s’abaissent jusqu’à vouloir un emploi, même précaire, plutôt qu’un idéal, et pour les mieux armés intellectuellement, avec raison, le cherche à l’étranger, et par là-même, souvent désenchanté. La gauche ne peut désormais plus se poser en victime d’institutions dont ils ont allègrement profité par des postes à haute fonction, tels des potentats, intronisés par l’ordre du groupe ou du parti. Institutions accaparées par une droite arrogante, puisqu’elle a désormais, expérimenté tous les plaisirs et tripoté toutes les astuces du régime. L’insurrection a surement couvée, sous d’autres masques que ceux dont on a déjà vu l’usage, depuis plus de quatre décennies, après les 30 glorieuses.
INSURRECTION, ce mot qui colle si bien aux harangues des extrêmes, c’est dissocié de son sens révolutionnaire, issu de la déclaration des droits de l’homme de 1948, et de son sens marxiste, plongé dans l’idée de classe. La plus probable des formes de rébellion contre le pouvoir politique est aujourd’hui une espèce d’insurrection de saturation, où le ‘’n’importe quoi’’ social-économique a pris ses quartiers dans ce nouveau paradigme liberticide qu’est l’ultra-ordo-libéralisme du capitalisme financier.
Dans les affaires commerciales, celles publiques locales, le plus lucratif des terreaux s’est nourri par la corruption des carrières de notables. Les nouvelles règlementations successives, que l’on croyait protectrices n’ont fait qu’alimenté, par les coups de boutoir des partisanneries, d’ors, de pompes, de notables et autre emprunté(es), une forme de corruption sous-jacente aux réalités des territoires. Elle a creusé un fossé entre les grands acteurs nationaux qui peuvent répercuter, sans conséquence, sur leurs coûts de fonctionnements, des contraintes publics, structurelles et individuelles en perpétuelle progression, sur les petits qui s’effondrent sous les charges étrangères aux métiers qu’ils exercent, souvent hors des grandes métropoles.
La pensée politique, ou ce qui en fait office, est souvent le produit d’un peu d’outrecuidance, touillée avec une dose de dogmatisme sur le zinc d’un café du commerce, dans l’antre d’un club de réflexion ou le cénacle d’un candidat à l’élection présidentielle. Cet essai prend le risque d’une autre forme de présomption. Il postule que de mauvaises manières de faire de la POLITIQUE et que d’autres façons de procéder pourraient sentir les ŒUVRES politiques de leurs IMPASSES…
Le système est comme une termitière, qui tient debout à condition que personne n’y touche et menace de se désagréger si quiconque intervient pour l’en empêcher. On attend tout de l’Etat, et la classe politique n’en obtient pas grand-chose. C’est à elle-même qu’elle doit son impuissance, droite ou gauche au pouvoir. Le peuple soupçonne ses élus de ne savoir pas diriger le pays. Il pense qu’ils dévergondent l’Etat, mangent à son budget, l’accablent de loi inutiles, puériles et paralysantes, abusent de ses facilités et privilèges, lui arrachent les derniers lambeaux de sa dignité et de son efficacité. L’abstention des électeurs, l’enfermement de la politique dans quelques sphères, l’hostilité diffuse entre ses acteurs, la résignation de l’opinion publique face aux grands enjeux, son abattement quotidien, sa dérive vers des simplifications extrémistes ; sont le fruit de l’impudence du corps politique.
Son arrogance est de fondement IDEOLOGIQUE.
Elle est aussi de comportement d’habitude, entretenu par une par une conception accapareuse du fonctionnement des institutions publiques. Ayant présumé de sa compétence de son intelligence, de sa légitimité et de son autorité, la classe politique a voulu l’hypertrophie de l’appareil public et obtenu la régression de l’appareil public et obtenu la régression de la puissance de l’Etat. Echouant à conduire l’Etat jusqu’aux but qu’ils lui destinent, et multiplient les maladresses. Ils veulent tout embrasser, ne peuvent plus rien résoudre, entendent encore apporter des solutions à tout, et se perdent dans des apparences fallacieuses ; en FILOUTAGE MEDIATIQUE…
De ce paradoxe, et du malentendu qui en résulte, se nourrit l’impuissance. La pensée à la mode fait à la corporation étatiste reproche de cette langueur. Elle est, en fait, inoculée par un corps politique qui s’identifie de plus en plus à la souche technocratique. L’inertie est publiquement dénoncée mais entretenue, par la facilité intellectuelle et par commodité morale. Secouée ici et là par quelques coups de boutoir, elle continue de servir des positions ACQUISES. L’opinion publique aimerait trouver un ailleurs de la politique, hors des orthodoxies, des complots d’alcôves de partis, et d’où l’on puisse surplomber, pour les surmonter, les affrontements artificieux de personnages NARCISSIQUES.
Tout oppose à la réalisation de cet espoir.
L’EUROPE n’est plus un éden politique. Ses idéaux ont été contaminés par l’envahissement technocratique. Des chemins de sortie sont tracés dans d’autres voies. Les tentations politiques radicales sont, hypocritement, désignées pour coupables de ce dont elles sont le produit. Freinées, réprouvées, elles sont aussi renforcées.
Les intérêts personnels et les rapports de force collectifs, les structures institutionnelles, l’emprise des conformismes MEDIATIQUES se conjuguent pour empêcher l’avènement d’un ailleurs sans doute illusoire. Le fantasme de l’ailleurs s’exprime dans l’évanescence de quelques images : réforme, inlassablement ressassées, toujours plus décrépite ; l’Europe, conviction mythique devenus résignation intangible ; VIème République, prétention symbolique ; troisième voie ; éternellement introuvable ; vérité à éclipses ; moralité de mœurs publiques ; voulue et trahie par tous ; normalité, vite répudiée dans les délices du pouvoir. Les politiques gouvernementales, singulièrement les politiques économiques, altèrent. Elles hoquettent, plutôt.
Et la politique ne change pas
Sauf conflagration, d’ailleurs en politique, s’il advient jamais, se construira à partir d’une autre pratique, d’un autrement des mœurs et de la fabrique des idées. Faire d’autres politiques, avoir, seulement, la liberté et la capacité de les concevoir autres, supposerait que le corps politique accepte, avec l’opinion publique, de jeter un regard déniaisé sur les facteurs qui déterminent l’action publique. Les programmes de candidats ou/et de partis, les chocs ou pactes de gouvernements, évoquent, voire mettent en avant, selon une superficialité toute tactique ou une technicité absconse, des sujets pertinents mais des méthodes dévoyées. La conformité des projets aux alchimies doctrinales importe plus que leur simplicité technique et leur lisibilité, leur capacité à nourrir un dynamisme social et économique renouvelé. La fiscalité, l’organisation du pouvoir local, de la représentation politique, de la sécurité et de la justice, des modes de fonctionnement du gouvernement et de ses administrations, au lieu de fournir MATIERE à d’honnêtes et fructueuses disputes, nourrissent les querelles de clubs d’ambitieux.
Il faut chercher des solutions hors des sociétés de pensée conformiste, des cabinets de consultants et de la tutelle de technocrates de partis ou de directions budgétaires. Les choix issus de la réflexion individuelle sont les seuls qui vaillent en démocratie.
Tout cela porte, objectivement à croire à l’émergence d’une nouvelle forme de rébellion. Mais elles sont pour l’instant limitées à l’émergence de l’extrême droite, où sur l’échiquier politique français, les restes du socialisme viennent d’être laminés par un nouvel ordo-libéralisme Macroniste. Les partis de droite, totalement désorientés sont en jurisprudence fractale, les Insoumis commence à penser qu’ils se sont faits bernés par une dissidence impropre à vaincre les royalties indécentes et le narcissisme médiatique. Quant à la droite extrême, elle se retrouve tapis dernière les bosquets d’une laïcité, pour elle, incompréhensible.
Dans ce marasme politico-social-économique, les clans identito-culturels sont en train de positionner leurs pions, dans une Europe exsangue de la meilleure forme d’indignation, par un individualiste informel mais inapte à concevoir un collectivisme respectueux de la liberté, l’égalité, la fraternité, la justice dans le monde du et des vivants. Le politiquement correct, de ce quinquennat dénué de véritable sens social, amplifiera certainement la fracture française.
Mais, ces bandes d’ignares l’avaient oubliée, ou démystifiée par occultation envers le plus gros problème mondial du moment, à savoir la pollution, le réchauffement climatique et le déni d’attention attisé par cette inconscience à ne vouloir essayer de mettre en place des solutions adaptées et adaptables, pour le bien-être minimal des générations arrivantes, et tout cela au nom de la croyance en la toute-puissance de l’argent, au détriment de ‘’l’art des gens’’. Je les déteste, qu’ils soient hommes ou femmes. Leurs dogmatismes liés à l’anthropocentrisme élitiste, le narcissisme, l’avidité et la cupidité me donnent des relents de mépris envers leurs néfastes raisons déshumanisées…Teintées aux furieuses voix de l’ignorance inavouée ou de l’arrogante incertitude déstabilisatrice…
LE PARALOGISME ENTRE SYSTEME ECONOMIQUE ET SOCIAL EST-IL INSOLUBLE,
OU EST-CE UNE ASSOCIATION DE MALFAITEURS… ???
N’est-ce pas Mesdames et Messieurs les gestionnaires de rentabilité, dirigeants des ressources humaines, administrations et politiques de tous bords possédant savoirs et capacités d’analyses des systèmes socio-économiques, zones d’activités, entreprises industrielles, sociétés commerciales, d’échanges de biens et services privés et publiques, tout cela, bien évidemment accompagné de la compréhension ontologique suffisante et la juste philosophie envers vos ’’semblables‘’…???
Mammifère-humanoïdes… De type bipède…
Et surtout disposez des compétences nécessaires à définir les règles et lois de la division sociale afin d’y maintenir le règne des possédants addictifs, dont sa constituante principale est en la seule pensée d’exister uniquement par l’avoir et non par l’être. Ce qui est un total paradoxe communautaire, et social sauf pour les inconscients et inconscientes, déterminés(es) à appliquer ce concept des avoirs par refus d’attention, d’étude sociologique, analyses épistémologiques, et philosophiques dénuées de la juste compassion envers des formes de vies toutes aussi honorables et dignes, désirant juste le nécessaire à y accéder par leur travail empreint de la déontologie des savoirs faire, accompagnée par l’éthique des savoirs être… Dont vous êtes assurément très éloignés des zones d’exercices réelles de ces formes de vie conscientes, et par voies de conséquence assez ignorant quant à leurs codes de fonctionnement, circonvolutions, covalences, convergences, intérêts et autres concessions entre les différents protagonistes de ces zones sociales économiques à ’’réseaux’’ humains, dont leur but de rentabilité reste quand même empreint d’une certaine réelle et juste valorisation manuelle et intellectuelle, en permettant la visualisation et la reconnaissance d’une possible juste équité.
Alors que votre enjeu principal, dont vous pouvez aisément en percevoir les magnificences, puisqu’il est omniprésent dans vos zones d’échanges de biens et de services dont ils en sont les piliers, à savoir, définir le prix des prestations de vente au maximum de leur valeur financière absolue, tout en y appliquant la valeur ajoutée au minimum de son prix de revient (sauf pour les produits de ‘’luxe’’, réservés à pouvoir financier suffisant) avec pour la partie main d’œuvre productive déconsidérée, le minimum admissible (devenant aujourd’hui souvent maximum de son inadmissibilité), pour chaque zone géographique dans laquelle elle est exercée au minimum des quotas économiques et sociaux, bien évidemment facilités par le développement des transports permettant, si les coûts de production ne sont pas assez bas ’’ici’’, d’aller trouver ailleurs de plus petites mains moins chères, vous autorisant, bien évidemment, sans aucun état d’âme quant à l’exploitation anarchique des hommes par l’Homme, voire des enfants, d’en laisser la marge financière maximale à l’acte de vente du produit, invectivée par son potentiel à être objet essentiel, nécessaire ou superflu ; avec comme particularités à ces trois sujets d’incertaines obsolescences, en celles que le premier n’ai aucun besoin à être appuyé par l’offre, le troisième obligatoirement invectivé par l’offre, alors que le deuxième se doit d’être tantôt soutenu par la demande et tantôt assujetti à l’offre, pour la simple raison que le nécessaire n’a pas même signification suivant la projection que se font les pensées et imagination chez ’’l’être humain’’, de l’essentiel quand il le possède et du superflu lorsqu’il le désir, où dans ce système le référentiel en est assurément la ‘’Monnaie’’.
Heureusement pour vous, que majorité a toujours du mal à fixer le degré de l’utile, surtout lorsqu’il est martelé par les outils du marketing logo-médiatisant. Et autres réseaux publicitaires à sémiologie ‘’médicamenteuse’’, dont leurs particularités en sont le formatage des pensées et la ‘’logo-atomisation’’ du réel positivisme échangiste… Je pense pourtant que vous devriez savoir que la gestion de ressources humaines demande par définition, quelques notions de philosophie, d’histoire, de psychologie, sociologie, ontologie, voire anthropologie adaptées à traiter convenablement l’objet et le sujet attachés à l’exercice de compréhension, par la logique humainement acceptable et respectueuse de tous labeurs, besognes et travaux, ainsi que de toutes vies, où les langages phoniques, expressions formelles, impressions logarithmiques, mathématiques, informatiques et alphanumériques, n’en sont qu’une partie de la possible et potentielle compréhension, et se doivent obligatoirement d’être accompagnés par quelques langages poétiques et romantiques, institués par quelques attentions, analyses objectives et études intelligibles… Car dans le cas contraire, cette appréhension attachée à la dualité ‘’corps-esprit’’, ne saurait en aucune façon être approchée, et encore moins unifiée ; en tant que complémentarité essentielle à bienséance.
On ne vous a pas appris cela à l’école de la vie ?
Mais bon, le ‘’sujet’’ humain que je suis, ne vous en veux pas. Vous êtes seulement devenus des recruteurs et administrateurs à la solde de quelques chefs et autres dirigeants doués de mauvaises natures, ou dépassés par les évènements du moment, où le plus important de vos désirs et les leurs, est votre identité anthropocentrique et vos ’’petits pouvoirs’’ exercés par trop d’indécisions et mauvaises perceptions, qui par la mienne me permet de vous visualiser tels des ’’fantômes’’ de la gestion des ressources humaines, administrations économiques et sociétales, qui devraient par ailleurs commencer, très tôt, par l’apprentissage, l’éducation et la retransmission des savoirs et connaissances affichées à l’histoire de chaque ’’évolution générationnelle’’, avec dans une de ses définitions quelques oublis inconscients de votre part pour ses parfois mauvais cycles et effets, qu’autres grands dirigeants, hommes politiques et modulateurs médiatiques, n’ont bien évidemment pas oublié et surtout n’ont pas omis d’y exercer quelques actions sur ces trois leviers que sont donc, l’essentiel, le nécessaire et le superflu, pour des désirs personnels que vous entreverrez peut-être en lisant mes ‘’mots dits écrits’’, et informations objectives et logiques éditées également sur autres supports… Ailleurs… Accompagnées par quelques extraordinaires consciences… Où les déterminantes justifiables que sont l’équité, la fraternité, la justice et l’humanisme possèdent encore leurs réelles et belles définitions universelles, dans une véritable République Démocratique affichée au Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, et respectueuse d’accords interindividuels, honorables.
Hou la là, la conscience humaine!
Qu’elle est perfide parfois et trop souvent proche de l’inconscience … Et je n’édicte rien quant aux irresponsables et absurdes qui ne souhaitent ou ne veulent plus se faire ‘’soigner’’.
Sujet trop vaste… Atteint par trop de prosélytismes de mauvaises croyances infondées. Car encore cloisonné par trop d’incompréhensions philosophiques ou teinté de trop de volontarismes liés à la soumission néo-liberticide, envers le sujet humain et autres organismes vivants… Dépeinte dans l’inconscience ontologique… Bordel… ; Gente de bonne conscience, réveillez-vous ! Et faites travailler votre imagination et vos méninges, par la vraie logique de vos sens! Car, sur ce thème particulier des ’’savoirs faire‘’ et ’’savoirs être‘’, en tant que déterminants de la redevenue nouvelle asociale économie en générale, travail rémunéré à la juste valeur de son exercice particulier et conceptualisation de milieux sociétaux vivables, je ne comprends plus grand chose, tant dans les comportements que dans les bases indispensables, utiles et nécessaires, tel un triptyque attribuable au genre humain, dont les trois piliers essentiels en seraient « l’affectif, le travail et l’outil » nécessaire aux échanges, à savoir : ‘’La monnaie’’ ; en tant que référentiel utile à la visualisation fiduciaire des énergies humaines, matières premières, biens et objets transformés… Mais par contre, je m’aperçois pour le premier, qu’il est relégué en troisième position après l’argent et derrière le travail, tandis que pour ce dernier, le temps pour accéder à la retraite augmente, l’âge du sujet, lui permettant de commencer à être considéré comme compétent afin de pouvoir entrer dans le secteur du travail rémunéré se décale, la période où nous sommes considérés comme performant diminue. Il me semble malheureusement entrevoir une mauvaise rythmique dans tout cela, pour disposer de quelques menues monnaies…
Les ’’jeunes’’ commencent à recevoir un salaire soumis à cotisations pleines en moyenne vers 23 ans, et à partir de 54 ans, voir avant (c‘était mon âge en 2013), nous sommes soit disant insuffisamment compétitifs pour continuer cette activité professionnelle, qui nous a permis d’exister dans ce système d’échanges en tant que lien social-économique. Si je compte bien, cela fait environ trente et une années de cotisations, alors qu’il nous faut dans notre pays, plus de 41 annuités en permettant les versements normaux proportionnels à une réelle activité, utilement rémunérée et exercée au juste montant de valeurs relatives en tant que déterminant des prélèvements nécessaires à l’obtention d’une retraite par répartition à taux plein en adéquation avec des normes de vie acceptables pour ceux et celles en activité, au même titre que les retraités(es) bénéficiant uniquement de cette ‘’rente‘’, me semble-t-il ?
A moins d’avoir réussi à cotiser à quelques fonds de pensions où caisses de retraite complémentaires, de plus en plus coûteuses… ? Encore une fois, me serais-je trompé, ai-je été trompé, maintenant, ou en d’autres temps et par de mauvaises intelligences dont la justice sociale n’est pas le cœur de leurs problèmes ? Mais, comme souvent en des cas problématiques, je m’aperçois que les réelles définitions de la liberté, de l’égalité et de la fraternité ont été dans notre pays, comme en beaucoup trop d’autres, quelques peu oubliées, ou bafouées tels des arbrisseaux desséchés, présents aux bords des chemins, dont leurs graines réensemencées de façon inadéquate, n’ont assurément pas reçu les attentions nécessaires à leurs belles pousses, et aujourd’hui remplacées par de mauvais germes, dont l’expansion de leurs aires de développement me semble être générée par l’expropriation voire l’élimination des petites cultures et ’’autres insignifiances’’… Et remplacés par des produits de mauvaises influences, fausses factures et néfastes consommations…
Physiques ET/OU Intellectuelles… ???
Après ‘’Big Brother’’, ‘’Little Uber’’ sera-t-il le ‘’grand frère’’ du XXIème siècle ?...
Je pense que le développement de toutes ces ’’grandes’’ applications risque malheureusement d’être en celui d’y avoir quelques problèmes supplémentaires d’ici quelques années, pour une grosse partie des générations suivantes à la mienne, en dehors de ceux existants à l’heure actuelle consistant majoritairement dans nos pays modernes à essayer de vendre de ‘’l’intelligence grise’’ pas toujours adaptée à nos systèmes de vies, en perpétuelles mutations, où la vraie réalité sociale économique est pourtant bien en celle de certaines de ses belles entités, proches de l’appareil créateur et générateur de produits manufacturés marchands, mais trop souvent destituées de leurs fonctions logiques par quelques mauvais génies de la finance et autres sorciers de l’économie peu scrupuleux, et sûrs de savoir comment gagner de l’argent par d’autres principes virtuels dénués d‘une quelconque petite éthique, leurs permettant de conserver le contrôle des flux financiers à fin d’augmenter leurs réserves monétaires, ainsi que la croissance de leurs biens matériels, sans considération pour les quelques ’’entités’’ atteintes d’autres souhaits sociologiquement plus engageants ; ainsi que pour le fondement de l’appareil des savoirs techniques exécutables par les savoirs faire manuels et intellectuels, en tant que valeurs ajoutées, apportées par tous ces ’’savoirs’’ pourtant indissociables les uns des autres, se trouvant dans la création, la conceptualisation, la réalisation, la fabrication, la distribution et l’acquisition de ‘’l’objet’’ utile, nécessaire, essentiel, souhaité, désiré… ; jetable, etcétéra, ‘’rejeté’’,…
Néo mieux, néo vieux, néo jeunes, nouvelle économie, nouvelle évolution, que sais-je encore…
Plus, mieux, bien ? Pour quoi, pour qui ?...
Nouveaux sujets… ???
Pour croire que nous avons pouvoir d’assertion équitable ?…
Ou d’asservissement … ? Par la servitude mystifiée ?
Pour les principes, us et coutumes retransmis par ceux et celles d’avant ? Ou au nom de quelques croyances infondées ?
Ou plutôt à imaginer d’autres systèmes de vies plus respectueux de ‘’l’être vivant’’ ? Et du monde naturel… ???
Où ce dernier est assurément notre référant existentiel !
Ma génération et celles d’avant ont quand même majoritairement, sacrément foutu la pagaille, vectorisée par l’inconscience d’être pratiquement sûr de n’avoir engendré ni désordre, ni individualisme, qui pourtant, même sans y prêter une attention exacerbée proche du mal-de-tête, sont assez facilement décelables en certains milieux socio-économiques, où la ‘’machine’’ est devenue suffisamment complexe pour ne réussir à en définir uniquement les réponses humainement inacceptables, éloignées de certaines réalités territoriales dont ‘’L’Etat intelligent’’ est pourtant statistiquement dotés de solutions convenables, si elles étaient réellement visualisées et comprises, surtout par celles et ceux existants par ailleurs, ne voulant opter pour aucune autre logique, anticonformiste au rapport de leur présent matérialiste et pourtant, par juste rétribution, indispensable à la belle évolution générale…
Ont-ils, ont elles peur que ces changements non propices à leurs croyances et certitudes fortement cloisonnées, défiscalisées ou endettées, aient quelques incidences sur leurs bonnes conditions de vie, où pour certaines, le nécessaire a largement dépassé l’essentiel à l’existence d’une seule, qui par leurs omissions, peut-être volontaires, ont oublié que l’analyse objective et la conceptualisation associative d’autres possibles thésaurisations en états fonctionnels affétées à la belle évolution humanisante en permettraient le juste éclaircissement de certaines alternatives sociétales plus adaptées aux espaces temps du moment, où le privilège serait le véritable ‘’bien-être’’ légitime avant le ‘’tout avoir’’ absolu… ??? Mais malheureusement, cela est trop utopique pour l’instant, l’humanité en tant qu’entité, n’est pas encore prête, même si certains ’’mammifères-humanoïdes’’ le sont… Où le vecteur commun à toutes ces conceptualisations est bien évidemment en l’attrait de la ‘’nouveauté’’, indexée par de belles évolutions technologiques, mais maintenant bien souvent établies au détriment des modifications ethnologiques et sociétales ; aujourd’hui humainement inacceptables en certains lieux, car empreintes de trop de ce corporatisme qui lorsque sa définition est appréciée comme insuffisamment communautaire se rapprochera inéluctablement des frontières du sectarisme, où l’effet de ce mauvais élément divisionnaire ne saurait entrainer autres opérations que celle de la fracture sociale avec toutes les conséquences applicables à ce pandémique phénomène .
Par lequel trop ’’d’entités’’ de ce monde se donnent autorisation à se foutre de tout ce, celles et ceux qui se trouvent hors de leurs zones de confort ou champ de possibilités à justes, honorables et dignes accessions par différents ’’d’eux’’, sauf pour les objets et sujets fonctions d’acceptables covalences envers et entre les possédants, ou autres, ’’très proches’’, dont les amis(es) ne sont considérés comme tel, que si, ils ou elles (les humains), ont possibilité à être touchés(es), accaparés(es) ou, pour ceux et celles non conformes à la norme sociale-économique, évincés(es)… ; en oubliant qu’autres ressemblants ont également le potentiel à être touchant, où ce sentiment est trop souvent oublié hors de notre champ émotionnel, sauf en quelques visions d’autres corps meurtris, dévalorisés, dénaturés, gravement détruits psychologiquement, ou encore trop endommagés physiquement, ainsi que trop de laissés(es) pour compte dans des ‘’no man’s land’’ ou zones de non-vie, au nom d’intérêts esclavagistes procédant à trop de cruautés envers les femmes et les enfants de tous pays…
Pourquoi faut-il en arriver à de telles visions extrêmes pour percevoir l’obscur manichéisme déstructurant de ce monde de folies et d’inconscience ?
L’être humain serait-il devenu aveugle et sourd ?
Utilise-t-il ses facultés et propriétés au nom de la convoitise, de l’accaparement, du narcissisme et de la cupidité ? Ou alors est-il maintenu dans le filoutage et les peurs suffisantes et utiles à engendrer l’asthénie intellectuelle et physique … ???
L’autre monde existant, étant bien évidemment celui des exclus du système sociétal établi… Où ils, elles, eux (et autres espèces vivantes), n’ont apparemment plus aucune utilité, propriété ou faculté, qu’elles soient touchables ou touchantes, sauf celle d’être considéré et affilié à des incapables, bons à rien, donc inutiles, obsolètes, incompatibles et forcément atteints d’instabilités et de déraisons… Et donc susceptibles d’être stabilisé par une ordonnance de vie proche d’une certaine forme légère d’eugénisme dans le paradigme virtuel communiquant et souvent psychologiquement lobotomisant…
Conclusion – Par définition du sujet-objet, lorsqu’il est établi proche de l’indifférence, du refus, de l’exclusion, de l’ostracisme, ou du déni, ne peut devenir à terme, qu’exclusion du système établi par règles et lois, sans en avoir l‘absolue certitude, que toutes soient adaptées pour l’ensemble des acteurs et actrices vivant dans la zone gérée, depuis un temps supérieur à celui d’une génération, où une partie de la suivante ne souhaite, trop souvent, que le conformisme modifié par la puissance des nouvelles technologies, alors que la précédente par peur de pertes d’acquis refuse tout changement socio-économico-culturel, où les réelles sensibilités sont oubliées, par préférence corporatiste ou, et cultuelle… Certains esprits sont parfois un peu inconscients ou dramatiquement engagés au demiurge démoniaque dans la conceptualisation de fonctionnements politico-socio-culturels illogiques, uniquement hors de leurs concepts et portées imaginées trop souvent inflexiblement corporatistes ou électoralistes, et parfois tordues déontologiquement par des programmes logiquement indispensables aux développements de leurs intérêts lobbyistes, à tendance particulièrement unilatérale, invectivée par quelques sources dysfonctionnelles nécessaires à l’acquisition du tout avoir, tel une prosternation devant le dieu de la possession plutôt qu’un alléluia envers la déesse de la sagesse, où la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice n’ont plus que l’apparence de statures disloquées.
Hou la là, que de sujets indélicats et épineux car insensiblement dépourvu de ce que je nomme: l’Intelligence de Raison Humainement Acceptable…
PRAGMATISME
Vers quel nombre tendre par moins disant
A faire une nouvelle opération soustractive
Envers devenu cher à contribution
A oublier sujet intégralement présenté
Au soin d’autres dissidences bâclées
Plutôt qu’à persister dans l’analyse
Inutile aux angoisses des flux contrariés
Chiffrage des amertumes clandestines
Suffit à décider des gibiers de potence
A vies exsangues aux bastions de l’ancienne garde
Le masque cynique des aptitudes savantes
Ni apposa que la symbolique sans partition
Aux sciences inhumaines ex-machina contribuera
Sans aucun scintillement à l’amplitude de l’action
La vaseline des suppositoires multiplie les têtes de cul
La thèse pragmatique n’est que contre-valeurs suceuses
Les figurines frappées au sceau scriptural
Ont déposé la monnaie de singes
« Les experts en intelligence sont-ils devenus espèce à sang froid ? La politique, la religion et la monnaie sont-elles, pour certains clans, un résultat de pouvoir divisionnaire inique ? Ce qui est certain, c’est que les trois veillent et entretiennent le néo – ordo – ultra – libéralisme social-économique et le capitalisme financier impérieux » […] Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ; or il est de plus en plus inhumain, déséquilibré et irrationnel.
L’ETEIGNOIR DES LIBERTES
Comme c’est curieux les conversations du monde,
Avec leurs problèmes ; elles courent après l’hymne,
Sous les premières réquisitions, interdites
Les contre-verses sont passibles d’une peine,
Collégialement, l’Ordre Cité traque.
Comme c’est usant les cadres personnifiés,
Avec leur queux de petits paons, sans plumes,
Sous d’anciennes encres obligataires, débattus
Les porte-plumes sont commis d’office,
Câlinés, le bac-à-sable s’exécute.
Comme c’est malin les mots sans uniformes,
Avec leurs aiguilles sous teintes vermeilles,
Sens des coups de pieds au cul, rire aux larmes,
Refusant d’être des problèmes, redressent le verbe,
S’esclaffant, ils s’opposent à l’autorité.
C’est, pas très joli les humeurs sans motifs,
Avec leur présentoir ; elles cherchent le design,
Cellules en traces de liberté d’expressions,
La dérision, le sexe et le blasphème,
Comme les portiques de la laïcité,
D’avec l’éteignoir des libertés, sans chaînes,
Sorties de pensées sans pourfendeurs d’éphitètes,
Se referment sous les brûlots des poètes.
COMME DES HYPOTHESES
Le monde va de mal en pire en ce sens qu’il en fut, en est et en sera d’une inopportune pensée de ce qui fit d’une insolvabilité affectée aux croyances à ne point y pouvoir accéder de l’éloquence de ce qu’il n’en puit s’émouvoir et n’en puit exécuter de ce misérabilisme à ne gager croire qu’il ne fut sans peut-être être d’une substance qui ne saurait être d’une représentation à s’appuyer sur des syllogismes qui s’accommoderaient des fins que des paralogismes à croire que toute fin ne précèderait aucun début afférant à une volonté de partager tant de l’esprit que du corps qu’ils eussent existé d’avant pour ne parfaire d’une observation de genre précédent une supposition sans préceptes partagés d’une simple vertu pratique se suffisant à elle-même en soit d’une pléthore en principe qui ne se subsisterait à aucune autre morale que celle d’un partage de ce qui ne peut être d’une fin derrière laquelle réside la volonté d’une puissance dépositaire d’un épisode de mots différents se trouvant certains dans ce qu’on en fit d’une génération en ses services ne postulant que des tourments dont les mystères de celle d’avant par une doxa de ce qui ne fut qu’un pouvoir de régence sorti d’une nature divine de l’une sur l’autre sans autre évidence que celle de pouvoir s’enorgueillir de tout objet n’ayant autre sujet que celui d’une parure différenciée de la nature même de la vie.
Par ces mots on ne saurait douter de l’opportunité de l’homme à ne point s’entendre de ce qu’il pourrait en être de la liberté « reconnaissant » que tout de la nature de l’homme comme de la femme ne peut s’imputer de la faute en s’en recueillir du mérite à ce que l’œuvre de chacun comme de chacune, et réciproquement, ne puisse se substituer d’une naissance sans que pour cela la cause en doit devise d’une première naissance. Mais il se pourrait que l’on se sorte tromper tant du sens que des approvisionnements avides, comme de dire de l’une ou de l’autre hypothèse qu’elle ne soit pas de l’une sur l’autre opportuniste union en accointance d’une charge intentionnelle de la nature humaine pour n’y pas percevoir une volonté d’acquisition en valeur d’imposition usurière du principe en ultime subsidiarité dont l’individu sournois en refuse cet esprit de l’intérêt subjectif comme s’il voudrait se défaire des restes alliés à une forme ‘’moderne’’ d’animalité rangée dans les rets de sa raison, bien agencée. Il est, ainsi, aisé de concevoir certains guides versés à un principe d’explication éternellement mêlé d’une méconnaissance mal à propos n’y réussissent à livrer batailles au véritable adversaire du mal en évinçant la corruption des méthodes en usage d’appréciation de ce qui est déjà un objet assujetti à la complaisance particulière.
A qui point ne s’émeut au « bon sens » par études des lois naturelles avant d’y faire actions qui n’auraient d’autres atours circonstanciels que ceux du refus d’une entente de raison dans une langue dont ils ont été instruits par les précepteurs de leur enfance qui n’eussent pour seule ambition que celles d’envoyer la génération d’après aux combats qu’eux-mêmes n’eurent aucun courage à mener ne peuvent être d’aucun jugement en leurs insuffisances à pouvoir expliquer les éléments narratifs constitutifs d’une période socio-anthropologique qui aurait conduit celles et ceux qui avaient emplois honorables aux traitement de la terre, des eaux, de l’air et de la nature à se révolter contre les pouvoirs d’une régence prostrée envers croissance infinie dans un monde fini par prescription d’un népotisme intellectuel conformiste qui n’ayant pour volonté que l’instrumentalisation de la génération future au profit de leurs uniques accaparements matériels corporatistes dont ils ne sauraient faire positions souveraines de leur propre vieillesse sans observance de leurs acquis, dont ils ne sauraient, en cette temporalité, jouir ; n’ont aucune efficience de préemption morale sur ces révoltés(es) soumis à l’inique diktat d’un pouvoir en gouvernances de divisions des utiles savoirs faire par sanctions équivoques envers justes causes et essentiels savoirs être en souhaits versés à une potentielle vision équilatérale du partage des richesses suffisantes, essentielles et nécessaires aux labeurs positionnés au respect des règles de conservation des lois de l’éthique du monde naturel du vivant. Mais qu’est-ce donc cette liberté, demanda-t-il, à qui n’a jamais le choix ? Attachement envers une figure rassurante ? Une présence uniquement guidée par la voix de son maître ? Image moderne d’iconographies sans charges passées, courbées à l’hystérie d’une starisation en branlette intellectuelle, dans un ajustement sans souvenir autre que celui d’un moment d’oubli du réel sens de la conservation du bien commun ? Quel est ce choix d’exister dans un lieu où la sociologie n’est que celle des ardents défenseurs du snobisme ? Dans un entre soi de petits garçons levant les yeux devant de vieilles reines sur le déclin et un entre-suit de courbettes de palais, en patrimoine de château de cartes fissurés au soin des spécialistes en malversations. Quel est cette façon de penser ses rêves comme seule défense envers des autocraties absconses, stimulées par un népotisme de vils contes ? Quelles sont ces dissidences s’interrogeant sur la complétude des intérêts d’une thésaurisation monétaire en usure d’une sociologie démutualisée, pour les moins nocifs, qu’analyses insensées, quant à véritables Droits et Devoirs d’une Démocratie Républicaine ayant oublié le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, et se fourvoyant avec les fantômes de la liberté, de l’égalité et de la fraternité dans les immondices d’une justice dépassée par les clandestinités mafieuses ? Quelle est cette culture des moins émancipatrices quant à une politique culturelle, éliminant tout ce qui n’est pas conforme à la ligne du clan partial ou du corporatisme conformisme ?
NEPOSTISME EN POSITIONS SECURES
Sécure : Le latin securus a donné le français Sûr. Et, si l’on trouve dans un texte du XIVe siècle « La securissime cité de Capue (Capoue) », il s’agit d’un latinisme qui transcrit le superlatif securissima. Les formes Sécure et Insécure sont des anglicismes que l’on ne doit pas employer pour Sûr, de confiance ou dangereux, qui n’est pas sûr.
Chacun se sentant si sûr de sa propre vérité qu’il en oublie trop souvent le sens de la formulation pour que la transmission verbale et/ou écrite de son discours puisse s’insérer dans un débat en recherche de ce qui ne saurait pas être qu’une approche en suffisance cachée sous le masque de l’ambiguïté opportune sinistrée par l’incompréhension d’une possible différence de point de vue analytique quant à l’évanescence des expressions textuelles sensibilisées aux impressions sémiotiques des vagabonds de mots. La mesure du [langage] ne dit pas tout, au contraire, elle dissimule ce qu’elle est incapable de dire. Plusieurs philosophes ne réalisent pas que toute nouvelle mesure, tout nouveau calcul, toute nouvelle théorie naît avec un lot inséparable de métaphores qui n’ont rien de vrai, mais qui sont indispensables à leur usage. Seule compte ici l’utilité. Et cette utilité est concomitante de la technologie ou de la technique qui crée un nouveau domaine d’expériences. Cela implique que des analogies et des métaphores meurent et se fossilisent au gré du déclin de l’usage et de la popularité des technologies qui les alimentent.
St Exupéry soutenait que les trois plus beaux métiers sont : Aviateur, Ecrivain et Paysan. Pour le premier il a assurément évolué technologiquement dans le sens de la rapidité des mobilités, parfois paradoxales. Pour l’écriture, elle se doit d’être retransmise, sur tous supports et référentiels, au nom des libertés d’expression envers la liberté de penser, quant à la paysannerie, ne jamais oublier ses racines ; en ne déconsidérant d’aucunes mauvaises manières ses artisans et petites structures aux profits de la puissance économique, commerciale et financière des grosses. Tout cela dans une recherche commune de préservation des biosystèmes et écosystèmes comme il pourrait en être de l’engagement, équitable, envers des horizons respectueux du bien commun et de la dignité à vivre décemment de son travail, tant du corps que de l’esprit, en solidarités intergénérationnelles, dans tous les territoires, départements et régions de France.
INTROSPECTION : (du latin « introspectus ») désigne l'activité mentale que l'on peut décrire métaphoriquement comme l'acte de « regarder à l'intérieur » de soi, par une forme d'attention portée à ses propres sensations ou états. Il s'agit en psychologie de la connaissance intérieure que nous avons de nos perceptions, actions, émotions, connaissances, différente en ce sens de celle que pourrait avoir un spectateur extérieur.
REPRESENTATION
- PHILOSOPHIE : de re-présenter ; dans la connaissance, forme par laquelle est posée la question de savoir si une IDEE de l’esprit correspond à quelque chose de REEL. Analyser les covalences et concordances entre le SUJET & l’OBJET : i.e. entre l’extériorité et l’intériorité… ; et réciproquement.
- SOCIOLOGIE : processus cognitif permettant à une personne, ou un groupe d’individus d’appréhender le système socio-économico-culturel où il vit. Les représentations d’un individu semblent relativement forger par l’apprentissage et les retransmissions en analogie avec une future perspective de ce qu’est et pourrait être, personnellement ET/OU collectivement ; la REUSSITE…
- DROIT : pouvoir que possède une personne ou un groupe d’individus (ensemble d’être-humains, égrégore) d’agir au nom et pour le compte d’une autre personne, d’une communauté, comme si le et/ou la représentée était l’auteur(e) de l’acte accompli ou en cours de modélisation. Le pouvoir de représentation peut être d’origine légale (filiation), judiciaire (administrations d’Etat, successions, donations, retransmissions) ou conventionnel. Dans ce dernier cas, il s’agit d’un mandat, qui se traduit le plus souvent par la délivrance d’une procuration, ou pouvoir, mais qui peut aussi être tacite.
- POLITIQUE : principe qui donne à un individu ou à un groupe de droit de parler et d’agir au nom d’autres individus, groupes ou communautés. Il peut arriver que le REPRESENTANT se substitue à ce qu’il représente, ce qui peut être EVITER par différents moyens : le MANDAT REVOCABLE fait du représentant un porte-parole, et par un système parlementaire ; conforme à une véritable séparation des pouvoirs, un membre au service d’une REELLE DEMOCRATIE REPRESENTATIVE.
Michel ASTI
- Maudit censeur ! Te tairas-tu ?
Ne saurais-je achever mon conte ?
C’est un dessein très dangereux
Que d’entreprendre de te plaire. ‘’
Les délicats sont malheureux :
Rien de saurait les satisfaire.
Jean de La Fontaine
Le principal fléau de l’humanité n’est pas l’ignorance, mais le refus de savoir.
Simone de Beauvoir
PAUVRE(S) POLITIQUE(S)… 13 PAGES A4 AU FORMAT PDF SUR :
http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/livres-et-liens/pauvre-s-politique-s.html
"Le philosophe qui écrirait en poète viserait sa propre destruction. Et même la visant-il ne peut l'atteindre.
La poésie est question pour la philosophie qui prétend lui donner une réponse, et ainsi la comprendre.
La philosophie qui met tout en question, achoppe à la poésie qui est la question qui lui échappe."
Maurice Blanchot
"C’est seulement s’ils se battent jusqu’à la mort ou s’ils sont pris par une émotion physique violente et contagieuse que des êtres humains sortent de cette difformité confuse de leurs intérêts qui en fait ensemble une accumulation de déchets inertes."
"Le désespoir est simple : c’est l’absence d’espoir, de tout leurre. C’est l’état d’étendues désertes et – je puis l’imaginer – du soleil."
Georges Bataille
Comment est-il possible de croire à la parfaite sincérité d’un homme politique… ; fut-il écrivain ?
N’est-il pas plus perspicace de penser que le ‘’Prince’’ est, intrinsèquement le pourvoyeur des cours de l’entre soi, caché derrière l’identité d’un clan philosophico-politique ou autre groupuscule d’ors, de chaires, de pompes, de notables et autres empruntés(es) à la servitude liberticide culturellement déficiente envers le ‘’bien commun’’… ???
N’est-ce pas là, à minimum, un filoutage médiatico-politique, au mieux une forme d’anxiété à perdre et au pire une divagation intellectuelle, quant à une réelle Démocratie cachée sous les voiles de la pudibonderie d’une République de suffisants, prétentieux (ses) et vaniteux ?
Mon subconscient me dit de prendre garde... Mon inconscient me dit que c'est une intelligence remarquable… Mon conscient me dicte qu'il ne connait pas encore ses tenants et aboutissants… Mon mécanisme cognitif m'édicte d'attendre encore un peu avant de m’éloigner de ce sujet affecté à une désolante analyse entre le discours des sciences et des arts flagorné à un langage mathématique et économique de néo-scientisme privé des sciences humaines...
Michel Asti
Date de dernière mise à jour : 18/03/2020
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