TEMPS DE CONFIANCE...
TEMPS DE CONFIANCE…
Silence des justes combats,
Ostentation sur lignes désuètes,
Tautologie aux langues sournoises,
Ségrégationnisme en partitions poussives,
Vociférations surbookées par une dialectologie en prémices de sujets diligentés aux seules aptitudes de funestes pertes, l’aiguille transperce les marignanaises embrigadées aux articles bidons, structures sans charmes.
Que de l’oubli de ce qui n’a jamais existé, nous resterons debout, face aux productions faxés par les gestes d’une amnésie cernée aux obligations des imprécations vaseuses ; en marigots suspects.
Amphitryons en branlette cognitive,
Intelligence de petits narcissiques,
Caricatures d’un guide de pacotille,
Divagations nationales filtrées aux séquences des ordonnateurs de schismes, calques en sémio-centrismes du roi ‘’buzzique’’, balbutiements d’une veule prestance frappée aux doigts d’honneur d’adolescents incultes.
Coqs de basses coures,
Absurdités aux ordres Gendres,
Trottine en paternalisme hagard,
Révolte livresque de présidences larguées par sphères en practices de ghettoïsation sociologique. Intérieur en fourberies d’un castagneur au raz d’un éloge mafieux, porte-parole d’une philosophie-politique aux pieds d’argile, casse instituée par destruction anti-créatrice.
Détournement des sources hydriques, essence taxée aux volontés d’un bricolage écologique sans vitalités homogènes, virulence de gouvernances cinglées aux censures en horizon d’effort au nom de césures sous encres sympathiques.
Caches en pleurs sans méthode,
Arabesques sur toiles falsifiées,
Triolisme aux écueils planifiés,
Quelle est cette alarme silencieuse qui n’eut ; aux besoins arborés de cris refugiés sous bruyères, que solistes en vague idée d’une ordonnance empruntée à l’imaginaire structurée au piètre bellicisme sans issue ?
Fiancée configurée dans plus hautes sphères d’un gratte-ciel surdimensionné aux ignorances des pointes en rêves jaunis, sans courbures, le regard n’atteint plus que les zones tendues aux services des crépuscules sans mémoire.
Le bon sens ne s’émeut point,
Instrumentalisation accaparatrice,
Défilements de prostrées(es),
Offrandes en éventaires figés,
Médias en cache misère, l’image des mains travailleuses s’est mue consumérisme sans arborescences utiles, la voie ainsi tracée aux maux déjà castrés de l’alchimie vitale, le néo-scientisme éviscère les ventres mous.
Qu’est-ce donc en cet état de sens de conservation du bien commun ?
Colonie des pics perdus dans les méandres d’un combat marqueté par les outils robotisés, automatismes liés aux prémices d’un langage entravé aux nombres ciselés par quatrain en triangulation porteuse de sang neuf ?
Débat-piège aux postiches d’abbesses fiduciaires ?
Paradoxe sans soins à misère,
Appâts pour vers soyeux,
Perspectives en esprits surnaturels,
Ethologie d’émoticônes déshumanisés,
Le conformisme d’actions déséquilibrées s’est pris dans les rets d’un filet maillé aux règles d’une éthique sans conservation, Droits et Devoirs n’ont plus que l’apparence de statues disloquées aux membres factices,
Les minorités viles se sont immiscées aux records des majorités coites, politiques des villes et naturalité circulaire des champs ; la confiance, c’est uniquement lorsqu’elle est réciproque, qu’elle fonctionne.
POLITIQUES DE FIGURINES
J’aimerais beaucoup connaitre la véritable définition du TRAVAIL, ainsi que le réel déterminant d’une ACTIVITE à juste valeur ajoutée, dans le monde des actions, réactions, mouvements, mobilités, savoirs faire et savoirs être, de même que la notion d’EMPLOI rémunéré au rapport de l’utilité et l’essentialité dans la sphère, d’échanges de bien(s) et services, marchande, notamment par la dialectique assujettie à ces savants en toutes matières épistémologues, philosophes, théologiens, théoriciens, politiciens, experts de tous ORDRES, génies des sciences économiques et financières, ET/OU sorciers de L’USURE.
Plutôt qu’à m’attacher à ce qu’ils proposaient, je préférais prendre garde à ce qu’ils faisaient. Non seulement parce que les actions qu’ils proposaient n’étaient pas en phase avec la réelle idée d’un collectivisme communautaire, mais surtout car à l’extérieur de leur parti, groupe, communauté et clan, ils oubliaient ce qu’ils n’avaient exprimé pour rendre la chose cohérente et omettaient ce qu’ils avaient récité, auparavant, en circonstances simiesques. Particularités qu’ont tous les politiciens envers les experts en toutes doctes et réciproquement, m’a toujours laissé dans la même interjection, que celle d’un simulacre de façade orientée vers toutes opérations falsifiées aux obsécrations théologiennes se prétendant être au-dessus de la condition humaine du moment.
Leur première loi est d’obéir aux coutumes du maitre des savoirs retenant en tout enseignement religieusement templier les conditions mêmes par lesquelles ils furent élus par leurs disciples pour les grâces suffisantes d’être instruit par un de leurs prosélytes…
N’est-il pas là perversité maligne à laisser croire choses indéfinissables, à celles et ceux qui dans leur propre existence ont déjà quelques jugements douteux dans la raison qui ferait qu’une orthodoxie soit, sans agitation de consciences, meilleure que de se laisser aller de sa propre inconstance à décider des choses, sans affection ni attention particulière, à ce qu’ils en prescrivent la valeur usurière de leurs congénères… ???
Maintenant, s’il vous reste quelques attentions et honorabilités envers vos concitoyens(es) et autres de vos semblables, essayez de regarder et d’écouter ce qui se passe hors de vos zones de confort, où réside assurément une meilleure forme d’humanisme, bien souvent imagée paradoxalement par les lanceurs d’alertes…
Ou autres bons droits envers l’homme, la femme et l’enfant…
A moins que vous n’en avez rien à ‘’foutre’’ de ce qui existe hors de vos espaces touchables et zones d’inconfort éloignées de vos ‘’merveilleux’’ dogmatismes politico-sociaux-économiques et culturels ?
Malheureusement, ce système risque de se casser la ‘’gueule’’ dans d’énormes chaos, d’ici à quelques années si les producteurs, gestionnaires et impresarios n’ont pas la bonne imagination, accompagnée par l’attitude exacte et juste, nécessaire et utile à la prise des bonnes décisions afin de rendre à la scène sociale-économique française la beauté qui lui est due, et lui va si bien.
Je pense que cet état de dysfonctionnement est surtout induit par des causes plus profondes, non totalement liées aux compétences et autres professionnalismes essentiels utiles et nécessaires aux entreprises et sociétés, mais assurément en celles plus proches d’un système économique quelque peu en errance, dont ses états sont devenus à mon humble avis plus financiers que sociaux-économiques, et où leurs membres non régulés sont surtout dominés par leur égo devenu monstrueux, auquel ils, elles ne lui laissent même plus la possibilité d’aller voir celles et ceux présents dans d’autres espaces de vie différents et certainement moins confortables que les leurs…
Ou alors, ils, elles s’en tapent le coquillard et les arpions…
Ont-ils peur que l’attention attire les ’’mauvais esprits’’ ?
AUCUN PROBLEME NE PEUT ÊTRE RESOLU SANS CHANGER LE NIVEAU DE CONSCIENCE QUI L'A ENGENDRE...
Discours memoire edition paul bonnefon 1922 (7.46 Mo) - Format PDF
LA SERVITUDE
Quel est ce vice, ce vice horrible, de voir un nombre infini d’hommes, non seulement obéir, mais servir, non pas être gouvernés, mais être tyrannisés, n’ayant ni biens, ni parents, ni enfants, ni leur vie même qui soient à eux ?De les voir souffrir les rapines, les paillardises, les cruautés, non d’une armée, non d’un camp barbare contre lesquels chacun devrait défendre son sang et sa vie, mais d’un seul! Non d’un Hercule ou d’un Samson, mais de Lhommelet souvent le plus lâche, le plus efféminé de la nation, qui n’a jamais flairé la poudre des batailles ni guère foulé le sable des tournois, qui n’est pas seulement inapte à commander aux hommes, mais encore à satisfaire la moindre femmelette !
Nommerons-nous cela lâcheté ?
Appellerons-nous vils et couards ces hommes soumis ?
Si deux, si trois, si quatre cèdent à un seul, c’est étrange, mais toutefois possible ; on pourrait peut-être dire avec raison : c’est faute de cœur. Mais si cent, si mille souffrent l’oppression d’un seul, dira-t-on encore qu’ils n’osent pas s’en prendre à lui, ou qu’ils ne le veulent pas, et que ce n’est pas couardise, mais plutôt mépris ou dédain ?
Enfin, si l’on voit non pas cent, non pas mille hommes, mais cent pays, mille villes, un million d’hommes ne pas assaillir celui qui les traite tous comme autant de serfs et d’esclaves, comment qualifierons-nous cela ?
Est-ce là encore lâcheté ? Mais tous les vices ont des bornes qu’ils ne peuvent pas dépasser. Deux hommes, et même dix, peuvent bien en craindre un ; mais que mille, un million, mille villes ne se défendent pas contre un seul homme, cela n’est pas couardise : elle ne va pas jusque-là, de même que la vaillance n’exige pas qu’un seul homme escalade une forteresse, attaque une armée, conquière un royaume. Quel vice monstrueux est donc celui-ci, qui ne mérite pas même le titre de couardise, qui ne trouve pas de nom assez laid, que la nature désavoue et que la langue refuse de nommer ? Qu’on mette face à face cinquante mille hommes en armes ; qu’on les range en bataille, qu’ils en viennent aux mains ; les uns, libres, combattent pour leur liberté, les autres combattent pour la leur ravir.
Auxquels promettrez-vous la victoire ?
Lesquels iront le plus courageusement au combat : ceux qui espèrent pour récompense le maintien de leur liberté, ou ceux qui n’attendent pour salaire des coups qu’ils donnent et qu’ils reçoivent d’avec la servitude d’autrui ?
Etienne de la Boétie
Date de dernière mise à jour : 27/03/2019
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