THEOCRATIES MALFAISANTES
THEOCRATIE DE MALSEANTS & MALVEILLANTS(ES)
Les autocrates et leurs alliés(es), depuis la fin des ‘’trente glorieuses’’ ; sont aux abois pour démembrer tout ce qui ne siérait pas à leur PERCEPTION DU MONDE… ; accompagnés par des forces veules, obscures, ségrégationnistes venant de tous ordres en prosélytismes antihumanistes… ; qu’ils soient de politiques divisionnaires extérieures OU/ET sociologie intérieure soustractive ; et réciproquement.
LA POLITIQUE EST LE MOYEN POUR DES HOMMES SANS PRINCIPES DE DIRIGER DES HOMMES SANS MEMOIRE – VOLTAIRE
Pour cette simple raison qu’en l’analyse de la chronologie historiographique, et l’étude sémiologique autorisant la compréhension des liens entre la physique, la philologie, la philosophie, la logique et les langages mathématiques, le discours entre les sciences, les arts et la poésie ; nous en sommes toujours à l’âge-de-pierre concernant la nature ontologique de l’être humain.
LA CONNAISSANCE S’ACQUIERT PAR L’EXPERIENCE. TOUT LE RESTE N’EST QUE DE L’INFORMATION – A.EINSTEIN
Auparavant, l’individu était une personne morale à valeurs de dignité supérieure aux prix fixés à l’objet de consommation. Le glissement de cette dignité – certes inexistante chez les individus soumis à la tricherie, l’ignominie, l’infamie et l’insincérité patente – part de la personne physique en respect des valeurs éthiques et déontologiques dans le cadre des Droits et Devoirs inscrits dans une société de justiciables et justifiables en tant que personnes physiques morales. Cette personne physique, dotée d’un patrimoine, a été transposée au statut d’entreprise morale, en tant qu’entité fonctionnelle – machine non-humaine – puis fut réalignée, aux Etats-Unis, au milieu du XIXème siècle, par sa mise en place au statut de ‘’personne morale’’, désignée plus tard sous le patronyme de ‘’TRUST’’ - « la Fiducie » de droit anglo-saxon (pays considéré comme le plus grand colonisateur à partir du XVIIème siècle). Cela permit aux individus, personnes physiques de pouvoir s’inscrire dans le sillage de personnes ‘’morales’’ et bénéficier ainsi du pouvoir démultiplié des sphères patrimoniales et de l’influence de l’avènement industriel au cours du XIXème siècle, auquel les individus accédèrent grâce à l’héritage, à la transmission, filiale, à tiers personne ou groupes d’intérêts particuliers – à l’immortalité du trust – qui était désormais garantie par la société morale de l’entreprise capitalistique, anglo-saxonne, américaine, etc… ; suivies par la mise en place du système de circulation mondialisé des marchandises et capitaux…
Ne faut-il pas penser, dans cette évolution de la société ‘’morale’’ une « ruse de la raison » au sens hégélien ?
Et tenter de pouvoir dire que les lois du commerce international sont une parodie de néfastes valeurs collectivistes, corporatistes et communautaires, voire agencée par des groupes de prédation.
La bonne foi et la franchise caractérisent peu les négociations inégales, où généralement ces transferts de richesses ou valeurs ajoutées résident proches des rapports entre le conquérant et la docilité, l’imposition dénaturée et la dissidence atavique, le confort individualiste et la sécurité identitaire, la liberté et l’opportunisme, l’existentialisme humaniste et le matérialisme dominateur… Après avoir invoqué les forces du marché, avoir convoqué les exorcistes de l’économie et de la finance, ceux qui font les lois ont oublié que dans tout système d’échanges VIVANT, la survie dépend de l’équilibre de la permutation. L’assainissement se fera sans aucun doute par une crise sociale-économique et cultura-identitaire… Alors qu’une refonte du système de financement, d’investissement, d’imposition et de répartition serait à revoir de fond en comble en France et UE. Malheureusement cette citation remontant à la nuit des temps est encore aujourd’hui d’actualité :
- LE CLAN POUR REGNER, SE DOIT DE DIVISER ; AUTRES.
L’histoire n’avance que par son mauvais côté, disait Marx.
« N'espérez jamais trouver votre sûreté dans les armes de la fortune. » Sénèque.
Nelson Mandela disait : ‘’Une population instruite, éclairée et informée est une des façons les plus sûres de promouvoir la bonne santé de la démocratie…’’.
Et Benjamin Franklin : ‘’Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’un, ni l’autre et finit par perdre les deux’’.
« Non, Français, vous n’êtes pas coupables, vous ne devez rien.
Le chômage, la catastrophe urbaine, le déclin de la langue, la déliquescence sociale-économique, ce n’est pas vous. Le racisme, ce n’est pas vous, contrairement à ce que certains répandent.
Bernard MARIS, ‘’Et si on aimait la France’’… ???
Cet économiste, sociologue, historien et écrivain a été assassiné le 7 janvier 2015 ! Par la barbarie commise à l'encontre de civils partageant amicalement leur soirée, les attentats du 13 novembre à Paris provoquent l'horreur et la révolte. Quoi qu'on pense de la situation et de ses causes, outre l'ineptie des mots de circonstance, la dignité commande toujours au respect du temps du deuil. Pour tout le monde, il est impératif d'attendre qu'on rende aux corps l'hommage de la sépulture et la fin de la sombre litanie des enterrements. C’est donc d’abord aux victimes, à leurs familles et à leurs proches qu’il se doit d’exprimer, avec émotion, toute fraternité. Le nombre de morts et de blessés ne suffit jamais à comptabiliser les douleurs.
Face à toutes les vies brisées, qui peut continuer la sienne comme si de rien n’était ?
Après « Charlie Hebdo » et l' « Hyper Casher », les fils du mal ; néfastes dévots, incultes et serviles adeptes de Da’ech ont choisi des cibles hautement symboliques. Là, le stade de France, où le temps d'un match s'abolissent les inégalités sociales.
Ici, une salle dédiée à la musique et à la joie de vivre.
Ici encore, des cafés et restaurants de quartier fréquentés par tout un chacun(e). Leur cible a été notre « vivre ensemble », celui qui favorise l'expression de nos singularités de citoyens et citoyennes de la République Démocratique Française, sans distinction d'origine, de croyance, de couleur de peau ou de sensibilité politique.
« Nos » droits de l'Homme et la laïcité attachée à notre extraordinaire Nation sociale et culturelle sont leurs ennemis.
Rien ne peut justifier ou minimiser ces carnages et exactions, commis au nom de l'interprétation démente d'une religion. Face à une telle barbarie, il ne saurait être question de tolérance à l'encontre d'un islamisme, porteur de haine et de violence. Cette forme de religion doit uniquement être combattue parce qu'elle massacre, mutile, égorge tous(tes) celles et ceux qui ne sont pas jugés(es) purs, selon leurs critères obscurantistes. Assassiner au nom de Dieu ne confère en aucun cas un statut d'humanisme. Chaque attentat, se revendiquant de l'islam, nourrit son lot de fantasmes. Si tous les musulmans ne pratiquent pas ce dogme religieux qu'est le djihad, majorité des « bouchers » se réclament du Coran. De même, on ne peut réduire la progression de l'islam salafiste à une conséquence de l'islamophobie ambiante ! Par calcul électoral, ou par la rhétorique d'une incurable stupidité, certains politiciens cherchent à nous diviser. Ainsi, par souci de ne pas stigmatiser les musulmans, il ne faudrait surtout pas parler de certains symbolismes affectés à leur religion… ???
Quant aux « vas-t-en guerre », ils se gardent bien d'évoquer l'extermination de milliers de musulmans kurdes, syriens ou iraquiens refusant allégeance à l’État Islamique !
Pire, une députée du FN (parti qui s'érige en défenseur de la laïcité) hiérarchise notre humanité, sur la base de critères religieux, argumentant uniquement la division communautaire !
Depuis les attentats du 11 septembre 2001, les gouvernements occidentaux se sont engagés dans une guerre « de civilisation », provoquant quotidiennement la mort de civils parmi les populations majoritairement arabes et/ou musulmanes.
Les dommages collatéraux sont inadmissibles.
D'abord l'Afghanistan, où 89 de nos soldats ont été tués, et 700 autres blessés, en participant à une opération de « pacification », de 2001 à 2014. Puis, en 2003, l’invasion de l’Irak, qui ne se justifiait que pour une prise de contrôle des ressources énergétiques. Ce terrorisme d’État a fabriqué des monstres.
Sans l’invasion de BUSH en Irak ; Da'ech existerait-il… ???
Faut-il également oublier que, sous l'occupation soviétique, les talibans d'aujourd'hui (et donc Ben Laden) étaient « résistants », armés par les USA et financés par l'Arabie Saoudite sunnite !
N’est-il pas malséant d'entendre que la France est en guerre depuis le 13 novembre 2015… ?
Nous sommes en droit de nous interroger sur les conséquences géopolitiques de l'irresponsabilité du président SARKOSY.
En 2007, il reçoit le dictateur Kadhafi à l'Élysée, pour mener ensuite la « guerre » de Libye, en 2011. En 2008, il invite le dictateur Assad à assister au défilé du 14 juillet, tout en faisant préciser par son émissaire (Boris Boillon) : « Nous ne ferons pas de la question des droits de l’homme une condition » pour sa venue…En 2012, le président HOLLANDE commence intelligemment son quinquennat en annonçant le retrait accéléré de nos troupes d'Afghanistan.
Par contre, c'est bien une autre guerre, qu'il mène contre « les terroristes » d’Aqmi (al-Qaida au Maghreb islamique), afin de contrer l’invasion du Mali, suite à la demande d’aide de son gouvernement et « pour la démocratie de ce pays » bien qu'elle y soit bafouée par des régimes corrompus. Concernant la Syrie, il était urgent d'éviter la partition d'une région déstabilisée par l'intervention des USA en Irak. Encore fallait-il tenir compte, diplomatiquement, des guerres d'influence religieuse qui s'y livrent entre les chiites, soutenus par l'Iran, et donc les sunnites, soutenus par les pays du Golfe. Le défaut d'une stratégie claire pour venir à bout de l’État Islamique, a été renforcé par le ministre FABIUS qui déclarait, le 28 janvier 2013, que les factions armées du Moyen Orient, et Al-Nosra, la branche armée syrienne d’al-Qaida, faisaient du bon boulot sur le terrain ! La même al-Qaida que nous combattons au Mali, après celui d'Afghanistan !
Comment faire la guerre à l'un tout en saluant les autres ?
Comment se mêler aux conflits en totale contradiction avec nos valeurs culturelles et sociologiques ?
Notre politique étrangère est sans vision stratégique, quand nous vendons des équipements militaires aux pays du Golfe et des Rafales, puis des Mistral à l’Égypte sous la seule condition politico-financière.
L'Arabie Saoudite est cofondateur d’Al-Qaïda et ancien financier de Daech, auquel on donne une médaille. Avec le Koweït, la Turquie, le Qatar, ce pays finance et arme des djihadistes, comme ceux du Front Al-Nosra en Syrie. Tous ces pays subordonnent « nos » droits de l'Homme (de 1948) à ceux définis par la « Déclaration du Caire sur les droits de l’homme en Islam ». Leurs droits et libertés sont ceux dictés par Dieu « dans les Livres révélés » (Coran, Bible, Torah…) ; et par l’interprétation islamo-politique du premier, sont soumis à la loi islamique (charia).La femme est ainsi, ‘’soit disant’’, égale en dignité, mais pas en droit, où la liberté d’expression est trop tôt voilée par celles de l’imposition patriarcale intolérante et dictatoriale! Et cela, dans nombre de pays, organisés par clans de tous ordres.
Il est grand temps de remettre la pendule diplomatique à l'heure des droits de l'Homme, et l’horloge du temps à la politique des justes… I
Impossible ici de ne pas citer Pierre KROPOTKINE : « À chaque grand événement de l’histoire correspond une certaine évolution dans la morale humaine. Certes la morale des ‘’égaux’’ n’est pas la même que celle du riche charitable, du pauvre reconnaissant, du mécène népotique, l’esthète altruiste ou du monnayeur en intérêts particuliers…
À un nouveau monde il faut de nouvelles lois ».
- Inscrire dans la Constitution les principes de la loi de 1905, dite de séparation des Églises et de l'État, et qui ne survit qu'en l'étatde peau de chagrin. Depuis cette loi, notre République est dite laïque, une et indivisible. C'est au nom de la liberté, de l'égalité et de la fraternité que la laïcité assure la liberté de conscience et donc de culte, ainsi que leur libre exercice. Par contre, la puissance publique n’a pas compétence pour mettre son nez dans les affaires internes d’une religion. Comme la République ne reconnaît pas les cultes, ces derniers ne peuvent pas bénéficier de l'argent public. La parade financière est-elle d'inclure un lieu de prière dans le cadre d’une véritable pluridisciplinarité culturelle (utopique ?), ou encore d'obtenir un bail emphytéotique auprès d'une commune ; (clientélisme ?)…
2. Dans le désordre actuel, il est indispensable de réaffirmer le caractère universel et indivisible des droits de l'homme, de la femme, et de l'enfant. De plus, devrai être constitutionnalisé le « droit à mourir dans la dignité » ainsi que celui, pour la femme, d'avoir un « accès aisé à l'avortement ». L’éducation se doit de jouer, un rôle primordial pour l’interprétation de la femme libre et consciente de son rôle…
3. Reconnaissance de l’État palestinien. Israël ne respecte ni les termes de son adhésion à l'ONU en 1949, ni la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme de 1948, ni les résolutions annuelles lui demandant d’honorer ses engagements.
4. En finir avec le présidentialisme opportuniste et anti-pluridisciplinaire, qui rend idiots nos politiques, en les engageant dans des luttes de clans et d’ego… Absconses ? En matière de politique étrangère et surtout d’intervention militaire, elle donne un rôle parfois démesuré au « monarque républicain », puisqu'il peut décider d’impliquer, avec le ministère de la défense, l’armée française sans l'autorisation de l'Assemblée nationale (difficile de réunir l’assemblée, pour avoir autorisation rapide en matière de nécessité d’intervention militaire). Mais malgré ces cas particuliers de politique de défense ou demandes d’intervention extérieure… ; par nos droits de l'Homme, nous ne sommes pas des ‘’sujets-objets’’, mais des citoyens, citoyennes, hommes et femmes appartenant à une République Démocratique… A vectorisation laïque…
Les ‘’Esprits Libres’’, bienveillants(es) et bienséants(es) sont attachés(es) à un existentialisme ‘’humaniste’’, plus qu’à un matérialisme ‘’impérieux’’… Un jour sera peut-être bienvenu d'édifier un autre système de gouvernance politique, civile, civique et citoyenne, reposant sur les doléances préalables du peuple. Et réduire l’accaparement des élections législatives et présidentielles par unique gouvernance en partis opportunistes, d’ors, de pompes, de chaires, de notables, de robes et de pairs…
Nous tenons à réaffirmer que la laïcité et les droits de l'Homme, de la Femme et de l’Enfant sont des principes non négociables.
Seule la vérité fait sens en justice.
Nous la devons à toutes les victimes de l’outrage, exercé depuis trop longtemps, au nom de dispositions très souvent assujetties à l’ordre de l’infamie et de la division communautaire…
Pour une sémantique des textes. Questions d’épistémologie.
Au plan épistémologique, le sociologisme issu de certaines formes périmées du marxisme-léniniste ostracisé, du capitalisme débridé, du communisme d’antan et de l’ordo-libéralisme subjugué par principe de subsidiarité, (une utopie hors formes de népotisme), a perdu les moyens théoriques de leurs servir de langage commun ; elles sont confrontées à des tentatives de réductions provenant des neurosciences et de sciences cognitives. Enfin la ‘’techno-logo-médiatisation’’ croissante de la recherche scientifique conduit à ne plus vraiment subventionner que des programmes susceptibles d’aboutir en principal à des brevets rentables et commercialisables ‘’rapidement’’ ; quitte pour arriver au but proche d’un corporatisme absolutiste, à faire fi des notions de responsabilités dans le système à réseaux ‘’humains’’…
Quant à l’objet des sciences sociales, on ne fait qu’accumuler des connaissances sans précédent sur la diversité des langues et des sociétés humaines, avec un effort sans précédent lui aussi, en tant qu’inventaire et conservation du patrimoine culturel à l’échelon mondial, alors que son véritable degré appelle à présent une réflexion théorique afin de penser la diversité de ce patrimoine, dans le temps comme dans l’espace.
Nous sommes confrontés au défi de mettre en valeur la diversité culturelle d’aujourd’hui, pour éviter qu’elle ne se réduise à la portion congrue de sa propre incompréhension aseptisée ; voire irrationnelle ou psychotique. Cela n’exige pas d’opposer un relativisme frileux à un universalisme dogmatique ; mais loin des réductions biologiques, anthropologiques, ethnologiques ou sociologiques qui ont tentées depuis l’avènement de l’ère industriel, après la Renaissance et le temps des Lumières, d’en déterminer uniquement les lois et règles sur les états successifs des fonctionnements des biosystèmes et écosystèmes, en faisant trop souvent abstraction ou déni des liens communautaires et culturels des échangistes en, et entre ces différents systèmes à réseaux ‘’vivants’’…
Cela conduit à affirmer l’autonomie concise et la spécificité sociologique de la sphère culturelle, et ainsi à poursuivre dans la direction tracée par l’entreprise philosophique des formes symboliques, permettant d’en définir les potentiels contours d’une sémiologie des cultures, fédérant en premier lieu les échanges par la linguistique, les mathématiques, la philosophie, l’histoire, l’anthropologie, la métaphysique (sachant que méta signifie : plus, après, entre, plus loin… Et pas autres choses spéculatives non prouvables par les connaissances épistémologiques) et l’étude de tous ces langages en tant que sigles, symboles, axiomes, lemmes, mots et expressions multiformes, qu’ils, elles soient émis(es), sous formes sonores ou écrites…
Dans l’espace touchant et sensiblement touchable.
Par conséquent, cette question technique pose la question d’un projet refondateur pour les sciences sociales, depuis naguère, et encore aujourd’hui teintées par diverses idéologies et néologismes ‘’troubles’’ au rapport épistémologique de l’éthique ontologique… ; et culturelle assujetties à la déontologie économique et commerciale. (Vastes sujets)…
L’étude des objets culturels complexes apporte en ce sens de multiples enseignements. Aussi, François Rastier (Directeur de recherche au CNRS) aborde dans ses analyses et par sa compétence, quelques questions et réflexions sur la ‘’sémantique du texte’’. La linguistique en reste bien souvent à la phrase et la morphosyntaxe, et constitue de l’avis général son domaine de prédilection. Elle doit encore beaucoup à l’héritage séculaire de la grammaire – la linguistique historique et comparée fondait ses fonctionnalités sur l’analyse morphosyntaxique… Le positivisme contemporain a renforcé cette prédilection. Où le vecteur le plus disqualifiant en est assurément la liberté de croire que l’attachement séculaire ne saurait être en aucune façon facteur déstabilisant par le manque d’attentions et le déni de justes curiosités envers ce, celles et ceux présents en ce monde naturel, assujetti à phénomènes holistiques incompréhensibles… Et en constante évolution…
ANALYSES SEMIOLOGIQUES OU ETUDE DES SIGNES, EXPRESSIONS ET SENS…
Langages ↔ Expressions ↔ Sens ; […]
Dans un échange textuel ou verbal, si la dialectique émise est en perceptible ‘’décodage’’ de ce que représente un réel et véritable lien d’amitié, notamment par un partage ou une notification empreint(e) du langage de la logique humainement acceptable ou de la contradiction prévenante, pertinente, objective et constructive ; alors la notion de sincère inclination délicate est en potentiel d’existence intelligible. L’espace physiquement touchable n’en perturbe pas l’intendance du langage de l’amitié, de l’attention, de la juste curiosité et du respect mutuel, assujetti aux ‘’bulles’’ textuelles partagées dans l’instant présent. L’égocentrisme en est l’épreuve absolue et inabordable dans le monde naturel des véritables savoirs être. Mais le bon sens, parfois sensiblement exprimé dans la dimension ‘’virtuelle’’ connectée aux extraordinaires attracteurs(es) communicant par échanges intelligibles et socialement prévenant…
- Lorsque ‘’l’Homme’’ aura assimilé qu’il est une infinitésimale partie du TOUT que nous appelons UNIVERS.
- Qu’il aura entrevu que son existence personnelle représente moins d’une seconde à l’échelle de l’univers connu…
- Qu’il est un mammifère-humanoïde communicant et social, et ne peut qu’en rare cas vivre seul.
- Que son langage appris, su et compris est le lien premier dans ses ‘’dimensions’’ échangistes multidisciplinaires, nommées dans l’ensemble de ses réseaux … : Espace Touchable et dimensions Sensiblement Touchantes…
- Que les lois de la procréation sont les liens utiles et nécessaires à la survie de son genre…
- Que le maintien d’un équilibre existentiel dans ses zones de confort terrestres est le bien essentiel autorisant les accords entre le ‘’VIVANT’’ et son référentiel ‘’TERRE’’.
Et qu’enfin dans la totalité de son écosystème biophysique, majorité comprenne que la somme de tous les savoirs et connaissances ne fait pas la totalité de cet ensemble (E), à cause du phénomène holistique, partiellement assimilable… ; alors l’évolution du genre ‘’humain’’ pourra prendre une direction nouvelle après celle de l’ère industrielle, du productivisme béat et du culte de l’information ‘’buzzique’’ ; déconnectés des bons savoirs faire et utiles savoirs être…
Tout est question de point de vue, de degré et de perspective…
D’anthropocentrisme … ? … ; d’égocentrisme ? De corporatismes iniques ? De symbolisme ? Ou alors de paradoxe entre le corps et l’esprit ? D’accaparement inconditionnel ?
Ou encore un défi obscur entre possédants(es) et possédé(es)…?
Entre ces deux ‘’dimensions’’ que sont : la Liberté et … ; l’Attachement…
N’aurait-il pas mieux valu ; en considérer le sens avant la fin ?
Il est certain que la culture d’hommes, femmes et gens en veille attentionnée ne saurait convenir à outrances graveleuses ou machistes, ainsi qu’aux mauvais sens de leurs suceuses à déficiences sémiotiques, lèches-cul, petits potentats, césars, satrapes corrompus et autres ‘’putes royales’’, ayant suffisamment de biens sécuritaires pour n’être pas obligé d’arpenter les quais du métro de brumes ou pouvoir s’entrainer en ronds de jambe de bourgeois, suffisamment éloignés de la réalité du petit peuple, où l’opprobre est devenue une logo-atomisation culturelle starisée par des stéréotypes émancipateurs adoubées à dédain, scepticisme ou cynisme envers les grâces physiologiques, ou si vous préférez : « Les subtils préliminaires en bienséance charnelle » … ; aseptisés de saines confrontations psychologiques, par ces ‘’petits jouisseurs’’ particuliers, en appartenance didactique de caves.
Je crois que votre posture de suffisance, prétention intellectuelle, narcissisme de ‘’branleurs’’, pouvoir de Méphistophélès et édiction de petits bonhommes de pacotille ne réussiront jamais à vous apporter ouverture d’esprit suffisante pour ne plus croire que TOUT les chômeurs de courte, moyenne ou longue durée sont des fainéants, sots et incultes, où le statut de ‘’ sans emploi’’ est rarement choisi, pour la simple raison que tout travail et toute activité MANUELLE ou/et INTELLECTUELLE est toujours présente, sauf après la mort, et par votre insalubrité intellectuelle la valeur usurière fractale y entame déclin civilisationnel.
Le pouvoir n’est pas une donnée tombée du ciel ou sortie des tréfonds de la terre. Il est une volonté de certains ‘’mammifère-humanoïdes’’ à se croire au-dessus du monde Naturel, aux faits holistiques des vicissitudes de femmes et hommes, ignorants ou non instruits au réel et juste ordre intelligible de la meilleure attention et transmission possibles quant à une existence humainement acceptable, entre attachement et liberté, envers les leurs, TERRIENS & TERRIENNES.
Corpus universaliste n’est en aucune façon, l’abri des éruditions unipersonnelles de l’entre soi, mais le partage du TOUT...! Dans la mesure des connaissances actuelles et savoirs acquis. Cela devrait être la première des maximes à acquérir dès le plus jeune âge, après le langage, et bien avant, vouloir à n’importe quel prix humain, confiscation de l’usure ou valeur ‘’sacrificielle’’, faire comprendre les potentiels bienfaits ou malfaisances des anciennes écritures ou nouvelles servitudes, de n’importe quel ordre, source, origine, philologie, sémiologie, ou sémantique que sont les émanations textuelles, desseins d’ici et pensées d’ailleurs ; et réciproquement. Il n’en est hélas pas souvent le cas, notamment chez ces femmes et hommes en doctrine à peu de considération envers leurs congénères de toutes échelles, socio-culturelles et de tous âges, entre les deux dimensions théologiques et ontologiques que sont celles des : – Cieux et de l’Enfer – Entre : Liberté et Attachement.
Alors que chez l’homme, ce dogmatisme en étude paradoxale n’est en fin de compte, qu’affaires de droit, d’intérêts individualistes, d’hideux conflits et pouvoir entre les possédés(es) et possédants(es)…
Faust pactisa avec le maitre des profondeurs obscures.
Machiavel savoura plaisir et sévérité du pouvoir, et ses arcanes. Le marquis de Sade explora le sadomasochisme, et formes extrêmes de soumission et subordination.
Freud cherchât l’esprit du père, de la mère, du fils et de la fille… Et l’aspect charnel de femme et homme.
Descartes considéra l’indifférence comme le plus bas degré de la liberté.
Rousseau eut des enfants sans véritablement leurs apporter éducation essentielle et transmissions utiles (il le regretta); laissant ces apprentissages à autres considérations…
Pascal laissa voguer ses pensées aux ‘’grâces’’ de l’austère et la vision attractive de la société libertine.
Einstein précisa que l’homme est une infime partie du tout que nous appelons ‘’Univers’’… Et le jour où la technologie dépassera les capacités humaines, le monde risque alors de voir une génération de parfaits imbéciles.
La Fontaine fut le premier à entrevoir que l’homme est très souvent un animal ridicule, prétentieux et égocentrique, dopé aux pires reliquats de la vénalité, l’accaparement systémique et la soumission au Grand Argentier ou Grand Ordonnateur…
Et tout cela au nom du dieu de la possession au lieu d’un alléluia envers la divinité de la sagesse, où les enfants d’Irène, déesse Grecque de l’équilibre et de la réconciliation, n’auront eût que peu de persuasion à ce que la descendance de Caïn, puisse faire un déni du dogme du père leurs ayant édicté : « L'infernale convoitise pousse les enfants de Caïn à s'emparer de tout ce qui est à leur portée, et comme si ce n'était pas assez qu'un seul accapare ce qui suffisait à des milliers de ses semblables, il voudrait s'y établir, lui et toute sa couvée pour toute l'éternité ».
Mais peut-être, comme le stipulait Nietzsche : ‘’Parfois, les gens ne veulent pas entendre la vérité, parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions se détruisent.’’
Par conséquent, nous pourrions peut-être considérer cela, comme un impossible accord entre le corps et l’esprit, ou matérialisme et existentialisme, ou encore la dualité [Onde-Corpuscule], soit ‘’Matière-Energie’’. Laissons ce dernier de côté, il s’agit d’un autre domaine d’étude.
La dimension cognitive attachée à cette théorie, sont les savoirs et, la connaissance nécessaire au recours à un certain type de représentations collectives, totems, signes, expressions, symboles et statuts pour fonder les institutions, notamment celles attachées à une véritable sociologie permettant à l’humanité évolution acceptable dans son milieu naturel, sans dégradation intempestive de ses zones de vies, et autres écosystèmes. Ces interrogations rejoignent celles des ‘’Esprits Libres’’ quand elles analysent la position d'un pur rationalisme pragmatique, aux termes de laquelle l'utilisation de ces représentations apparaît comme un détour inutile, où l’application des bases d’avant, est considérée majoritairement sans valeur cognitive intrinsèque, mais juste à être reproduite.
La thèse pragmatique se suffit-elle à elle-même…?
Pourquoi ne pas simplement recommander l’évanescence psychologique et physiologique contre l’ordre matérialiste individualiste despotique et les corporatismes impérieux servis par de vils comtes et barons mafieux… ?
La réponse est : ‘’Qu'une simple convention sociale serait trop transparente’’. Il est besoin d'un principe naturalisateur qui lui donne le sceau de la légitimité. L’homme dans sa majorité condescendante est trop souvent un animal moutonnier à comportements répétitifs, soumis aux peurs, à l’incertitude et la servitude envers les guides à néfastes philosophie-ontologique.
PRAGMATISME
Vers quel nombre tendre par moins disant
A faire une nouvelle opération soustractive
Envers devenu cher à contribution
A oublier sujet intégralement présenté
Au soin d’autres dissidences bâclées
Plutôt qu’à persister dans l’analyse
Inutile aux angoisses des flux contrariés
Chiffrage des amertumes clandestines
Suffit à décider des gibiers de potence
A vies exsangues aux bastions de l’ancienne garde
Le masque cynique des aptitudes savantes
Ni apposa que la symbolique sans partition
Aux sciences inhumaines ex-machina contribuera
Sans aucun scintillement à l’amplitude de l’action
La vaseline des suppositoires multiplie les têtes de cul
La thèse pragmatique n’est que contre-valeurs suceuses
Les figurines frappées au sceau scriptural
Ont déposé la monnaie de singes.
Il y a deux sortes de pouvoirs ;
- 1 : Le pouvoir matériel et physique (conflits armés)
- 2 : Le pouvoir psychologique (conflits des idéaux)
Lorsque le deuxième a atteint la limite de son ‘’propre’’ pouvoir lié à la dialectique, la sémantique et la rhétorique, alors le clan, la tribu, la communauté, la secte ou tout autre système à réseau échangiste et par là-même connecté à l’information de cet espace de dialogue intercommunautaire, intergénérationnel, multiculturel et multi-identitaire, créé, sera affecté par la seule loi régissant le but d’imposition à la différence ou non-conformité du clan d’en face, une forme de soumission ou de ‘’terrorisme’’ intellectuel, permettant de créer une dimension fractale, débouchant dans la plupart des cas, lorsque que les règles du matérialisme et l’opposition géophysique sont réunies, sur guerres et violences physiques entre les belligérants des deux camps, déterminés comme opposition intellectuelle ou territoriale, entre ces deux clans, ou communautés.
Et avoir les moyens et outils suffisants et nécessaires à engager le conflit au rapport des idéaux de la tribu par son chef élu, que ses prosélytismes soient bons ou néfastes envers ses congénères, et autres, hors de son clan ou sa ‘’fratrie’’ au nom de sa survie ou la postérité de ses lois, règles et dogmes.
Par là-même le zèle du chef de la dynastie et le dévot ne permet plus l’évolution de quelque clan ou communauté, quel qu’il ou elle soit, car ils proclament qu'ils ne déguiseraient jamais leurs sentiments pour quoi que ce fût : que c'était leur créance ; et que lui et tous les siens la défendraient jusqu'à la mort, comme étant la pure doctrine du maître de leurs ‘’CIEUX’’ ou de leur ‘’ENFER’’.
Et tout cela car la dialectique entre les échangistes présents dans les différentes communautés et cités n’est plus en mesure de s’accorder à la sémiotique des échanges sincères entre les différents protagonistes de la grande scène des rapports ‘’humains’’…
La poésie, la musique, la danse, le romantisme, la culture, l’humour ne sont plus les extraordinaires accords autorisant la merveilleuse parodie, respectueuse des harmonies personnelles et des jeux duaux… Soumis à opprobres perfides.
Outre la majorité passée à 18 ans, la loi légalisant l’avortement et le remboursement de la pilule contraceptive en 1974. On oublie souvent la loi de 1975 autorisant le divorce par consentement mutuel, en dépit d’une crainte des milieux catholiques, qui à cette époque étaient très opposés à cette réforme.
Il apparait aujourd’hui – aux dires des sociologues – que la loi de 1975 n’a pas eût d’effets sensibles sur l’augmentation des divorces en France. Lesquels avait commencé bien avant. Mais ils n’apparaissaient pas suffisamment, pour cette simple raisons de soumission de la femme et la jeune fille à une société Judéo-Chrétienne par trop souvent intrinsèquement patriarcale. Auparavant, seul le divorce par faute (adultère, violences, etc…) permettait d’obtenir la dissolution de cette union civile et majoritairement annoncée devant l’autel d’une religiosité. Cette loi sur le divorce par consentement mutuel allait profondément changer la vie de certains couples, en transformant un peu plus le mariage en un simple contrat civil, et surtout en rendant un peu moins traumatisant, voire conflictuel, les séparations.
Ces avancées sociétales françaises ont depuis été, dans certains pays du monde ‘’libre’’, quelques peu malmenées et ont, assurément ; régressé, dans certaines nations européennes, notamment celles situées à l’Est de l’Europe. Dans ces Etats, la montée des radicalismes, envers la liberté d’hommes et femmes, consistant à croire aux bienfaits de se constituer en d’autres unions communautaires, à assurément été bafouée en multiples zones de vies, notamment celles ou la femme redevient soumises aux diktats assujettis aux pires formes d’un existentialiste en retour d’ordres spirituels prescrit par un patriarcat outrancier.
La liberté d’être qui respecte le choix de l’autre est en train d’être délitée dans le déclassement sociale-économique et par la ghettoïsation culturelle, notamment dans les zones et territoires à fort bellicisme envers la liberté de conscience.
Dans le constat d’une République Démocratique à volonté démontrée, dans l’imprévoyance d’un prosélytisme voulant inculquer une laïcité en complément circonstanciel ou fourguée en épithètes de viles ouvertures, le pragmatisme sociologique et philosophique consisterait en première évidence à ne pas ostraciser systématiquement – particulièrement dans un sens clandestin prodigué sans étude pluridisciplinaire et analyses préalables – d’autres spiritualités intelligibles plus éloignées des mauvais reliquats en opinions de Religiosités LIBERTICIDES, concomitantes aux néo-évangélistes, scientistes de pacotilles, et autres politiques templières, vouées à l’ordre des accaparements impérieux, possessions matérialistes en ghettoïsation de classes et autres fétichismes en vol de ‘’Coucous’’, escadrilles de ‘’vrais cons’’ et constructeurs de vestibules précaires …
Sauf pour leur clan en servitude de sacrements…
Enfin, le logis n’est-il pas chose utile au même titre que la nourriture nécessaire à l’action et au mouvement ?
Quant à la présence de l’eau, n’est-ce pas là aussi évidence essentielle à l’existence du vivant ?
Alors, à moins d’être en capacité de construire un gîte, de pouvoir cueillir, faire pousser, de réussir à chasser ou élever animaux et enfin connaitre les processus utiles à générer cultures vivrières, je ne saurai voir autres facultés utiles à pratiques nourricières et structures protectrices des corps vivants, que celles de l’échange et la transmission des savoirs, dans la société des hommes, des femmes et des enfants…
Je ne peux me constituer qu’en ces quelques maximes afin que je puisse m’exposer en la raison d’obéir à ces lois de la nature… ; que toutes contestations envers elles ne résulteraient que du produit d’un refus administré par des régences sans provisions quant à la ritualité d’une éthique de conservation et de protection pour tous.
Si toutes autres coutumes en mon pays, retiennent constamment les instructions données par des opinions modérées, telles qu’elles ne fussent en pratiques d’us séculaires que celles de mots affiliés à d’incommensurables reliques abasourdies par des prises de garde sans attentions envers les différences de modes partagés, alors je crains que la médisante sécularisation n’y vienne défigurer quelques vivacités suffisamment éloignées des excès d’opportunistes pour que je n’y puisse point trouver inclination sensée près d’une appartenance avec laquelle j’aurais à vivre en contrées françaises, ainsi qu’en l’éventualité d’y partager quelques effervescences textuelles, d’ici ou d’ailleurs, auquel d’aucun cas qui ne puisse m’engager à ne pas croire aux bienfaits des expositions, pour que j’hume volonté de justesse à l’affection inspiratrice, afin de les modeler avec bienséance, par-delà les ombres fermées aux sensibilités des échanges de groupes, ouverts à pluridisciplinarité et intéressement envers ces choses de la nature et du vivant…
Trop ’’d’entités’’ de ce monde se donnent autorisation à se foutre de tout ce, celles et ceux qui se trouvent hors de leurs zones de confort ou champ de possibilités à justes, honorables et dignes accessions par différents ’’d’eux’’, sauf pour les objets et sujets fonctions d’acceptables covalences envers et entre les possédants, ou autres, ’’très proches’’, dont les amis(es) ne sont considérés comme tel, que si, ils ou elles (les humains), ont possibilité à être touchés(es), accaparés(es) ou, pour ceux et celles non conformes à la norme sociale-économique, évincés(es)… ; en oubliant qu’autres ressemblants ont également le potentiel à être touchant, où ce sentiment est trop souvent oublié hors de notre champ émotionnel, sauf en quelques visions d’autres corps meurtris, dévalorisés, dénaturés, gravement détruits ’’psychologiquement’’, ou encore trop endommagés physiquement, ainsi que trop de laissés(es) pour compte dans des ‘’no man’s land’’ ou zones de non-vie, au nom d’intérêts esclavagistes procédant à trop de cruautés envers les femmes et les enfants de tous pays…
Pourquoi faut-il en arriver à de telles visions extrêmes pour percevoir l’obscur manichéisme déstructurant de ce monde de folies et d’inconscience ?
L’être humain serait-il devenu aveugle et sourd ?
Utilise-t-il ses facultés et propriétés au nom de la convoitise, de l’accaparement, du narcissisme et de la cupidité ? ...
Ou alors est-il maintenu dans le filoutage et les peurs suffisantes et utiles à engendrer l’asthénie intellectuelle et physique … ???
L’autre monde existant, étant bien évidemment celui des exclus du système sociétal établi… Où ils, elles, eux (et autres espèces vivantes), n’ont apparemment plus aucune utilité, propriété ou faculté, qu’elles soient touchables ou touchantes, sauf celle d’être considéré et affilié à des incapables, bons à rien, donc inutiles, obsolètes, incompatibles et forcément atteints d’instabilités et de déraisons… Et donc susceptibles d’être ‘’stabilisé’’ par une ordonnance de vie proche d’une certaine forme légère d’eugénisme dans le paradigme virtuel et psychologiquement lobotomisant…
Conclusion, par définition de ‘’ce’’ qui est établi proche de l’indifférence, du refus ou du déni, ne peut devenir à terme, qu’exclusion du système établi par règles et lois, sans en avoir l‘absolue certitude, que toutes soient adaptées pour l’ensemble des acteurs et actrices vivant dans la zone gérée, depuis un temps supérieur à celui d’une génération, où une partie de la suivante ne souhaite, trop souvent, que le conformisme modifié par la puissance des nouvelles technologies, alors que la précédente par peur de pertes d’acquis refuse tout changement socio-économico-culturel, où les réelles sensibilités sont oubliées, par préférence corporatiste ou, et cultuelle…
Certains esprits tordus et malveillants sont parfois un peu inconscients dans la conceptualisation de fonctionnements politico-socio-culturels illogiques, uniquement hors de leurs concepts et portées imaginées trop souvent inflexiblement corporatistes ou électoralistes, et parfois tordues déontologiquement par des programmes logiquement indispensables aux développements de leurs intérêts lobbyistes, à tendance particulièrement unilatérale, invectivée par quelques sources dysfonctionnelles nécessaires à l’acquisition du tout avoir, tel une prosternation devant le dieu de la possession plutôt qu’un alléluia envers la déesse de la sagesse, où la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice n’ont plus que l’apparence de statures disloquées.
Hou la là, que de sujets indélicats et épineux car insensiblement dépourvu de ce que je nomme: l’intelligence de cœur.
Et malheureusement, j’ai bien l’impression dans ce système sociétal, que le fonctionnement primaire est bien en celui des baiseurs et des baisés, où les premiers se doivent de dépenser une énergie phénoménale s’ils ne souhaitent pas faire partie de la deuxième catégorie, et où dans toute cette agitation, ceux qui ont le vrai pouvoir ‘’enculent’’ tous les autres…
Mêmes celles et ceux croyant en avoir un petit…
De pouvoir…
Tout cela en évinçant les potentielles meilleures formes de la liberté d’expression, ou la plus névrosée est celle de faire un déni d’analyses et d’études envers de potentielles meilleures compréhensions. Où en ces temps troublés, je réussis souvent à percevoir cette capacité assez particulière, affichée par certaines ‘’entités humanoïdes’’ leur laissant supposer qu’elles détiennent la ‘’vérité’’ par leurs croyances en certains évènements survenus bien avant leur présence sur cette belle planète verte et bleue nommée ‘’TERRE’’. Au nom de je ne sais quelle propriété physique ou immatérielle dont ils en seraient les détenteurs, les autorisant à prétendre savoir interpréter les mots, signes et codes venus d’autres époques où les conditions générales d’existence de majorité de ces petits grains de matière organique inconscients n’étaient qu’effrois, anxiétés, dénuements et incompréhensions quant aux fonctionnements physiques de la Matière, des Energies de la Nature et du Vivant, où les moins septiques réussissaient à émettre quelques théories qui s’avèreront vraies, alors que les ‘’autres’’ trouveront de par leurs incapacités d’analyse et défaut de compréhension a seulement y accoler les mots miracles ou magies.
Et depuis des siècles d’évolutions scientifiques et technologiques, l’espèce humaine n’a réussi que petitement à indexer certains dogmes, vers d’autres possibles vérités plus proches du ‘’vrai’’ sens ontologique de la représentation de l’être physique… Qui est pourtant juste celui d’essayer de comprendre ses espaces touchables et touchants, où cette deuxième ‘’dimension’’ ne peut commencer à être perceptible que grâce à ‘’l’Intelligence de Cœur et de Raison’’…
Ici ! Là ! Maintenant !
Au nom de nos petits et petites devenirs…
Et pour comprendre cela, il n’y a aucun besoin d’invoquer certains paradigmes, que nous n’avons de toutes façons, en l’état de nos connaissances, savoirs, et compositions biophysiques aucun pouvoir à approcher ! Alors que pourtant ; depuis longtemps les plus beaux espaces temps se trouvent assurément en certains merveilleux jardins existants, encore en quelques petits recoins, de cette belle ‘’sphère’’ bleue teintée aux couleurs de l’arc en ciel, devenant malheureusement de plus en plus rares, où le principal vecteur à ce phénomène de déstructuration, engendré par l’inconscience et l’égocentrisme, en est sans aucun doute, encore aujourd’hui le ‘’facteur humain’’, trop souvent volontairement hermétique à penser que certains de ses objectifs et intérêts corporatistes ne sont que sources de chaos lorsque les zones de ‘’libertés’’ apprêtées aux meilleurs savoirs être et savoirs faire se réduisent comme peau de chagrin, où encore en trop d’états ces ‘’fous’’ de croyances spéculatives envers d’irréels modèles, ont dévié le véritable sens sémiologique des écritures par leurs incultures épistémologiques, philosophiques, éthiques, biophysiques, anthropologiques, paléontologiques, spirituelles, philologiques, au détriment de laisser liberté à croire en d’autres pensées et cultures beaucoup plus logiques et réelles, et assurément plus proches du respect de la Nature, du Vivant et des belles théories…
Plusieurs années avant nous ‘’l’Homme’’ ne comprenait rien aux éclipses, ni aux autres phénomènes physiques saisonniers, circonvolutions astrophysiques et autres transformations, covalences ou évolutions inexplicables à l’époque, qu’elles soient assignées à notre Terre, notre Système Solaire, ou plus loin dans l’Univers…
Ils, elles croyaient que les dieux et les déesses étaient les auteurs(es) responsables de ces fonctionnements.
Et depuis la révolution industrielle liée aux avancées scientifiques et technologiques devancées par quelques génies et théoriciens des sciences physiques et chimiques des temps immémoriaux des lumières ; puis grâce aux découvertes de quelques Chercheurs-Trouveurs-Assembleurs et Attracteurs efficients ; dont leurs prédécesseurs avaient déjà commencé à évoquer quelques théories, ils, elles, nous ont permis d’apprendre et de comprendre pour parties, en l’état de nos savoirs, certains aspects et paramètres de la physique, de l’astrophysique, de la mécanique quantique, la biophysique, la chimie et de par la gnose, la phénoménologie ; l’étude des assemblages permettant cette composition minérale, végétale et organique terrestre incluse dans l’univers cosmologique, où dans cet espace-temps intrinsèquement métaphysique, l’homme se prend trop souvent pour un ‘’dieu’’, alors que son apparence ressemble encore à celle d’un ‘’âne’’ dopé à la culture sectorielle antisociale, anti-communautaire et antihumaniste source de fractures, à contrario de celle multidisciplinaire en rapport avec les magnificences du monde, de la nature, de l’univers connu, et les espaces ayant potentiel à être reconnus dans leurs dimensions touchantes… Proches des langages poétiques, du romantisme et de l’imaginaire…
Pour cette simple raison qu’en l’analyse, et l’étude sémiologique autorisant la compréhension des liens entre la physique, la philologie, la philosophie, la logique et les langages mathématiques et peut-être autres plus songeurs, nous en sommes toujours à l’âge-de-pierre concernant la nature ontologique de l’être humain. Et tout cela car souvent les mauvaises consciences prédatrices, narcissiques et cupides sont devenues sourdes et aveugles aux vrais sens de l’existence du vivant. Sont-elles persuadées d’être proche d’un dieu décideur et organisateur, alors que bien souvent ils ont revêtis les habits des croyances fantomatiques indéfinissables, voire imbéciles, déraisonnables et sont irrémédiablement étanches au savoir universel… ?
Avec pour les plus mauvais esprits, le prix d’excellence dans l’exercice de la désorganisation, où dans ces états l’activité de prédilection en est généralement l’art de la guerre, qu’elle soit idéologique, territoriale, éducative, économique, sociale, intergénérationnelle, religieuse et bientôt civilisationnelle, avec pour seule indigence intellectuelle celle de maintenir un équilibre suffisant et nécessaire, afin que le genre anthropocentrique puisse éloigner d’eux les conflits ethniques, sociétaux ou culturels, afin que les libertés d’expression consistant en l’art de penser autrement, ne puissent entraver leurs dogmatismes frappés au mur de l’incertitude, ou malheureusement, les hommes et femmes sincères envers leurs sensibilités partagées et surtout les enfants en subissent les pires outrages pour des intérêts individualistes et didactiques trop souvent voués à l’ordre du ‘’Malin’’.
Tout cela en étant inconscient que dans cette illogisme, tous et toutes pourront, à terme, avoir la certitude que le ‘’monde’’ ne sera plus seulement proche de la mauvaise évolution, mais assurément devenu à ce moment-là, synonyme de chaos, destructions, obscurantisme et asthénies enclavées dans la caverne de Platon…
Certaines ‘’entités’’, ont elles également éclipsé cette adage universel édictant ? :
- ‘’Tout élément soustrait ou diviser tend invariablement vers le moins… Et aucune vie n’a possibilité à être vue, entendue et touchée par moins d’une, tout simplement car moins (-) d’une vie n’a aucune définition réelle en ou hors de son lieu d’existence biophysique et matériel’’…
Mais bon, nous entrons là dans le domaine du réalisme philosophique, où lorsque cet ‘’art’' de l’analyse aura disparu, alors l’incompréhension sera totale, avec pour état final la désintégration de la nature et du vivant. Et en toutes les façons, en premier lieu par invective déshumanisée, car cette belle ‘’TERRE’’ pourra, même sans ‘’nous’’, encore tourner rond pour environ 4,5 milliard d’années…
Ce qui n’est pas le cas de toutes et tous…
Michel ASTI
Date de dernière mise à jour : 05/07/2019
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