L'ECRITURE
Tous nos désirs, actions, souhaits, réactions, comportements, etc… sont-ils imaginés et principalement endigués par, pour et avec l’autre… ???
Uniquement pour soi… ?
Pour un clan ?
Pour un groupe ?
Pour une communauté… ?
Des écosystèmes en échanges de bonnes intelligences ?
Des écosystèmes en utiles savoirs faire et essentiels savoirs être ?
Ou au nom de tous ces petits être-humains en devenir et les générations arrivantes… ???
Dans le monde naturel du et des VIVANTS…
QUEL BEAU DIEU M’IRRITE
Quel beau dieu m’irrite en secret ?
D’où vient ce visage au mur, et qui le peut confier aux nœuds du bois, aux éclats de la pierre, aux jeux de la mousse fanée ?
Envol des perdrix au vent de la sixième heure ; et c’était vers la fin d’Octobre, au moment que les feux s’allumaient dans les branches, que le tilleul fumait d’abeilles à la voix tendre ;
Un chemin de terre déroulait de lents anneaux à l’entour de mes pas ; trois fontaines éteignaient la clameur d’Hylas ; il se faisait tard. D’anciens villages constellaient les collines.
Roger Kowalski
BILLET SANS RETOUR
Par tes discours d’amour et d’amitié, je ne serai plus hanté. En cette liberté retrouvée je n’aurai sens qu’à percevoir les murmures de la Terre, à n’être qu’une pousse parmi les herbes déjà averties du sens des alizées. Je ne concevrai plus tes manigances versées au pied d’une mascarade agrippée aux dénégations en courbure d’actes sournois.
Obscur guide, garde tes billets d’entrée hors de ma vue.
Pose-les sur les flambées de foyers afin que les enfants puissent percevoir tes flammes maudites. Et qu’à jamais tu partes loin de nos aspirations en sincères attentions.
Tu pourras pestiférer, du Levant jusqu’au Couchant, au nom de ta dévotion envers mystifications marquées aux vindictes du pouvoir, oubliant que filles et fils de contrées éloignées ont subi réminiscences en usure d’actions et falsifications en liberté de penser. Les brisures du désir d’accaparement n’ont-elles pas alimentées, au nom de cette volonté de puissance, sur différences communautaires, les dissidences assassines des hommes ?
Tu pourras hurler au vent des sources sacrées, en vouant l’auteur à me lancer ses pires inconvenances sous ses éclairs de feu. A maudire mon âme jusqu’à la fin des temps.
M’obliger à me prosterner, puis me liquéfier. Petit messager de transfuge, tu ne me soumettras point.
Sur les grandes plaines, aux versants des collines, dans le lit des rivières… ; à faire l’amour avec les filles du vent et de la liberté, sous les arbres dans l’intimité d’un autre corps de femme, suivre le fil du fleuve tranquille, afin qu’à la mer nous parvenions.
Toi, sale billet sans valeur.
Prisme en volonté de possession ou de fétichisme, ce souciant plus des lois du marché, que des bienfaits terrestres et prescriptions en conservation de la nature
Le service que tu prétends rendre, est un voyage sans joie.
Avec mes amis(es), nous allons en écrire un autre…
M.A
Je poserai cette question : si par hasard il naissait aujourd’hui quelques gens tout neufs, ni accoutumés à la sujétion, ni affriandés à la liberté, ignorant jusqu’au nom de l’une et de l’autre, et qu’on leur proposât d’être sujets ou de vivre libres, quel serait leur choix ?
Cherchons donc à comprendre, si c’est possible, comment cette opiniâtre volonté de servir s’est enracinée si profond qu’on croirait que l’amour même de la liberté n’est pas si naturel.
Etienne de La Boétie
Tous nos désirs, actions, souhaits, réactions, comportements, etc… sont-ils imaginés et principalement endigués par, pour et avec l’autre… ???
Uniquement pour soi… ?
Pour un clan ?
Pour un groupe ?
Pour une communauté… ?
Des écosystèmes en échanges de bonnes intelligences ?
Des écosystèmes en utiles savoirs faire et essentiels savoirs être ?
Ou au nom de tous ces petits être-humains en devenir et les générations arrivantes… ???
Dans le monde naturel du et des VIVANTS…
Enfin ! Songez-vous toutes et tous, ainsi, avec toutes sortes de camouflets, que personne ne saurait mesurez vos impostures et calomnies cachées sous les voiles du politiquement correct et/ou la pudibonderie en toutes différences culturelles que vous en ayez suffisance en cette vertu pour vous-même et les vôtres, dans cette prétention que vos dons ne sauraient m’irritez, moins de les retransmettre sans analyses autres que la béatitude en prédécesseurs grisés aux voix de l’impénétrable, pour les moins nocifs, qu’une marche en colonie d’élus aux incertitudes des grâces et vierges, pour les plus déficients en défrichage de voies terrestres ?
Mais en toute évidence en procession de terrorisme intellectuel pour les deux clans en écoute de falsification d’outrages portée aux oreilles de prostrés(es) se souciant plus des cieux que de la Terre des hommes, des femmes et des enfants…
Je crois malheureusement que ces consciences grossières ont une chose en commun, formellement, proche d’un mécanisme cognitif logo-atomisé par négociants en spiritualité, guides en reliques cultuelles, despotes, potentats et autres dévots ayant réussi à faire gober les plus ravageurs illogismes au rapport de leur déconsidération envers la condition échangiste naturelle humaine… Et dans ce paralogisme datant de la naissance de la conscience et des intelligences, concomitantes au mammifère humanoïde, le plus néfaste attribut est, sans doute, l’apparition depuis quelques décennies d’une espèce de scientisme immature indexé en vulgaire marchandising par souscription d’opérateurs en flux d’omission (volontaire ?) d’étude et analyses logiques envers le sujet ontologique au rapport de l’objet physique…
Dans le monde naturel du et des vivants…
Des groupes de gens : ''Ouverts'' ou ''Fermés''. ???
De l'Entre-Soi à l'Entre-SUIT... ???
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Plus je vieillis, plus je me rends compte que je ne veux plus être entouré de mauvaises causes et néfastes devises.
Je désire tout simplement un lieu confortable, un peu de nourriture, quelque élixir fort auguste, des gens agréables et des amis(es) dopés(es) à cette extraordinaire intelligence de cœur ; avec lesquels(les) je puisse partager ces merveilleux moments, un peu magiques, assujettis à sincère amitié, amours évanescents et charmants.
Les autres, je les écouterai lorsqu'ils auront commencé à construire une réelle fraternité, la solidarité, la paix et une véritable justice chez les hommes…
Être obsédé par les règles sans le sens revient à étudier la grammaire en espérant comprendre la poésie. Les limites sans les lumières, d’autres temps, contrées, cultures et savoirs, jamais n’indiqueront le juste chemin….
Il y a aussi, ancrée à leur puissance, cette non-limite, cette espèce de vaste possible qu'ils, elles baladent avec nonchalance et élégance depuis des ans en tout plein de gens.
La vigueur des vers et l'absence de limites textuelles, ces deux expressions que j'ai toujours versées aux sources naissantes des ruisseaux, puis jetées à la couleur transparente des torrents tumultueux.
Au fond, l'on aime chez les autres ce que l'on a, parfois pendant des années, bâillonné en soi, mais qu'instinctivement, l'on reconnaît.
Il existe une grande malédiction chez les hommes d’indigence textuelle et sémiotique qui n’ayant aucune compréhension logique des actions en flux d’échanges intercommunautaires, ou qui en refusent le portage en justice d’analyse usurière, par peur d’en perdre leurs acquisitions liberticides, s’en crûrent capable de faire des lois donnant insolvabilité à tous sujet-objets n’entrant pas dans les règles de leurs pastiches textuels en paralogisme népotique d’affiliation à pouvoir de division et soustraction au bénéfice d’un déterminisme matérialiste impérieux de clans formatés aux pires formes de l’herméneutique sophistique fracturant allègrement le bien commun…
Dans le monde naturel du et des vivants.
L’ECRITURE
L’écriture est la représentation matérielle extérieure de tout ce que nous avons à l'intérieur, il ne sert donc à rien de sortir les armes lourdes contre la craie, le crayon ou les touches du clavier de l'ordinateur, le feu, les balles et l’acier tranchant pour annihiler une pensée mise en mots, car ils n’ont pas ce pouvoir, ils ne coexistent pas dans le même lieu, la même dimension, le même espace-temps attaché à la pluridisciplinarité intelligible. Quelle ineptie, résultat de notre misérable condition qui consiste à enfermer la pensée infinie dans un morceau de matière pétri de croyances, de subjectivités et d’incertitudes, alors qu’elle est beaucoup mieux posée sur quelques feuilles ; ou autres supports solides, où sa trace peut en être conservée plus longtemps, afin d’avoir temps suffisant pour une possible juste compréhension, au rapport de l’émission…
Alors même, si nous considérons cette pensée déraisonnable, confrontons, la, à autres par l'expression écrite de préférence, elle est toujours plus compréhensible que la parole à partir du moment où le langage écrit a été assimilé par la pensée, ne serait-ce de par la possibilité d'y revenir autant de fois que nous le souhaitons. Et peut-être à terme, cette pensée déraisonnable, en fera une scénographie plus raisonnable…
Et surtout, exprimons la de cette façon, juste comme nous la ressentons, par ces mots écrits, peu importe l'ordre dans lequel ils sont mis, il y aura toujours, tôt ou tard, autres pour en réceptionner les impressions, et comprendre qu'elles sont bien souvent l'expression de notre ignorance et de notre incompréhension sur la raison de notre existence ici.
Alors oui, exprimons les signes et symboles représentants, de nos convictions, de nos peurs, de nos souffrances, de notre déraison, de nos incertitudes, plutôt que de les transfigurer par certains de nos mauvais actes et fausses certifications, en étant conscient que si nous ne le faisons pas de cette façon, par nature, de toutes ces pensées nées de la partie noire de notre conscience, surgira parfois, un monstre qu'aucune raison extérieure ne pourra apaiser, et dans ce cas d’extrême résurgence sombre, la seule moins mauvaise solution serait ‘’d’annihiler’’ ou de mettre la ‘’bête’’ dans un espace dans lequel nous aurions la certitude de la non propagation de ses actes, mais pas de la mauvaise pensée et autres néfastes augures, car ceux-ci ne sont pas non plus soumis à l'espace, ni au temps…
En conclusion, exprimons ce que nous pensons, croyons et ressentons avec ces mots écrits, même, si cela est la représentation de notre incompréhension, de nos mauvais sentiments, ou fausses croyances, et ne laissons pas en nous s'installer secrètement nos suppositions, elles deviendront notre vérité, nos valeurs, voire notre destinée et si ces suppositions s'avèrent fausses, notre vérité le sera obligatoirement.
Oh, bien sûr, il y a d'autres arts efficients en tant qu’autant de merveilleuses passerelles d'échange entre les êtres humains, mais cette écriture que j'essaie de mettre en ordre, à ce bienfait de pouvoir être approchée par nombre plus important, à partir du moment où la transmission de ce langage a été possible, grâce à la retransmission des justes connaissances épistémologiques, ainsi que les bons et utiles savoirs ontologiques et philosophiques, par les langages essentiels aux échanges et à la communication… Rationnelle… En analyse et compréhension du discours entre les sciences et les arts, malheureusement souvent caché sous les voiles de l’Attachement séculaire éloigné de la véritable Liberté d’Expression…
Avez-vous remarquez la chose suivante ?
Ces êtres doués de ce langage tel La Fontaine, Molière, Diderot, Jean-Jacques Rousseau, Voltaire, Proust, Jules Verne, Aragon, Apollinaire, Victor Hugo, Rimbaud, Verlaine, Baudelaire, Jules Renard, Edgar Allan Poe (Poète américain, dont quelques textes furent traduits par Baudelaire), Edmond Rostand, Simone Weil, De Beauvoir, Duras, Hannah Arendt, Albert Camus, Jacques Prévert, et bien d’autres encore, philosophes, écrivains, poètes et autres amoureux(ses) des signes-mots… ; compris pour celles et ceux à qui il va être enseigné, par ceux et celles qui vont l'enseigner, par activité de reproduction ; il a été raconté et bien souvent admis par raison de nécessité, puisque c'est la seule raison qu'ils, elles penserons pouvoir interpréter, car cette raison d'avant sera forcément celle d'après , peut être légèrement modifiée, par association d'appartenance, sauf à qui ce langage transmis ne serait plus la reproduction exacte ou légèrement modifiée de cet apprentissage, par volonté d'un exprimer un autre étonnamment, originalement et intimement différent, né d'une pensée d'un autre ‘’ailleurs’’, où la force principale serait celle qui perle parfois de nos yeux tels des signes d'eau, marqueurs de notre tristesse, mais signes de joie lorsque ces gouttes invisibles de loin, se retrouvent accompagner par tous ces rires espiègles, et malicieux, colportés par leurs sons émis avec douceur, réceptionnés avec attentions et renvoyés avec cette douceur, qui permet d'en faire une petite symphonie, et où le nombre de musiciens ne peut être inférieur à deux, afin que ces quelques possibles belles notes émises et justes accords perceptibles soient écoutés par plus, et renvoyés par toujours plus. Ces mots écrits ont toutefois cette force négative, certes moins importante que les mots dits, opposés à la force positive que je viens d'évoquer.
De cette force opposée, naît la formulation d'une certaine violence, qui a son apogée par ses serviteurs en, avec et par la haine, engendrée par l'incompréhension, le refus et la rancœur. Cette violence paraît atténuer dans l'écriture, car majoritairement, les mots ajoutés les uns aux autres le sont dans le cadre d'une certaine réflexion, possible par notion de temps plus long et par ces moments de solitude, empreints d'un peu plus de passion raisonnable, afin d'exprimer ce que nous ressentons avec le moins de cette violence possible, lors de rendez-vous avec nous même, alors que les mots dits, sont souvent émis dans des lieux où il ne peut régner cette sensation de calme et possible écoute, ne serait-ce de par la propre émission sonore de la parole, empreinte de toutes ces passions et émotions, bonnes ou mauvaises, exprimées dans l'instant et renvoyées par leur écho souvent déformé, de tous ses sens premiers, où le temps de l’analyse objective ne saurait en aucun cas être celui du moment lié à la seule invective émotionnelle, l’obscurantisme psychologique, le libre arbitre de groupes iniques ou la soumission physiologique…
Encore une fois d'autres arts ont cette faculté à être exprimés dans ces quelques moments d'harmonie avec nous même, et autres, afin d'en retransmettre à l'extérieur tout ce que nous avons à l'intérieur, mais malheureusement, leur compréhension n'est abordable que par nombre moindre, peut-être par manque d'intérêt, difficulté d'en appréhender tout le sens et la teneur, ou par autres priorités. Il existe un art sortant un peu de ce cadre, c'est la parole chantée, elle est émise par voie sonore, est écoutée et son écho renvoyé voudra toujours être son ‘’jumeau’’, et s'il n'était pas émis, en tant que désir de ressemblance, il deviendrait silence, ou son différent, sans certitude qu’il ne devienne pas dans ce cas-là, assourdissant.
Cette parole émise par ‘’ondes sonores vocales’’, présente depuis longtemps a voulu être mise en forme, en ordre, en accord, en musique, telle une histoire. Mais cette histoire, pouvait être entendue par grand nombre, mais interprétée seulement par petit nombre, réussissant à écouter ses innombrables variances. Donc, elle a été mise en langage écrit, afin qu'elle ne soit plus seulement entendue, mais, également vue, avec l'espoir qu'elle soit mieux comprise, grâce à l'action conjuguée de l'ouïe et de la vue.
Ce nouveau langage créé, dont la propriété commune était la parole… ; dite, et… ; écrite, et les deux forces celle émise et celle réceptionnée, permettait, maintenant, de ne plus seulement entendre, mais aussi voir, cette parole devenue histoire écrite.
Cette nouvelle histoire avait cette faculté de pouvoir être appréhendée par nombres plus important, par transmission sonore, ou visuelle, mais pas les deux en même temps, sauf pour celui ou celle la lisant à voix haute.
Cela a duré très longtemps, plein d'histoires ont été racontées et écrites, mais au fur et à mesure que nombres d’attachés(es) essayaient de raconter ou d'écrire cette histoire, chacun avec son utilisation propre des outils créés par notion de temps, afin d’en graver et garder les traces sur un support, augmentait, plus le nombre de ceux espérant déchiffrer les diverses et bénéfiques périodes de l’historiographie des hommes et du monde ; diminuait.
Cette situation a encore durée longtemps sans grands changements, depuis la découverte du papier, puis de l’imprimerie, avant que quelques autres, appartenant au genre humain, trouvent un lien permettant d'accorder peut être avec harmonie, les sons entendus et l'image vue, dans un nouvel espace.
Ce nouvel espace créé, était : « l'espace audiovisuel » …
C'est devenu un espace extraordinaire, car il possédait cette propriété née des facultés de la lumière et propriétés du son, qui mises en commun, permettaient de percevoir un peu mieux l'infiniment petit ‘’proche’’ et l'infini grand ‘’lointain’’, en tant que dimensions inconnues et éloignées de nos possibilités affiliées à nos cinq sens connus. Mais ce merveilleux espace audio-visuel, pleins de vertus, grâce à certains de ses beaux usages, a seulement une vilaine faculté en celle de nous éloigner de notre propre zone sensible par imagination d'autres potentiellement porteuses d'autres réalités, virtuellement accessibles rapidement, mais intouchables, et pourtant, souvent touchantes, après avoir découvert tout le merveilleux potentiel en l'expression de leurs belles émissions…
Mais, il a espoir que cet extraordinaire outil sera utilisé, par notion de temps, de la plus belle des façons, pour la simple raison que ce nouvel ‘’espace audio-visuel’’ est devenu interactif par nombre plus important pour y poser tous ces ‘’quelques choses’’ présents(es) à l'intérieur, afin de les diffuser à l'extérieur.
Et cela peut rester merveilleux temps que le plus bas degré de la liberté, ne devient pas désir du non-respect de l'expression liée à son attachement, livrer, par non désir de lui, à la voie de l'addiction, puis envoyer dans l'arène du voyeurisme, inconscient de son effet non consenti, en étant conscient, dans ce cas-là, qu’il y aura forcément un endroit dans la ‘’fosse aux lions’’, où régnera la représentation d'une possible destruction.
Quoiqu'il en soit, vous avez assurément compris que la parole, particulièrement, celle écrite était pour lui devenue essentielle.
D'ailleurs, avec le temps, il avait appris qu'il était préférable, d'exprimer ces paroles considérées comme importantes, par mots écrits, si le temps, par non obligation d'une réponse souhaitée immédiate, le permettait. Malheureusement, bien souvent de par la priorité de rapidité, qui tend à vouloir vaincre les contraintes du temps dans l'expression de la réalisation immédiate du désir, rend l'échange, aussi bien dans sa demande qu’en sa réponse parfois, totalement incompréhensible, et par voie de conséquence, souvent rendue stérile par une apparente attention reléguée loin des importances matérialistes personnelles.
Ce souhait d'écriture, qu'il avait en lui depuis longtemps, était à l'état léthargique, il écrivait uniquement à un seul être à la fois, celui de ces beaux instants, un peu magiques. Ce désir a commencé à se concrétiser par une autre merveilleuse rencontre en 2008, celle d'un être atteint du symptôme des 3B. Un syndrome qui se manifeste par un état incontrôlable de vouloir faire de son mieux pour exprimer le Beau, le Bleu et le Bon sens du vent malgré toutes les contraintes de nos lieux de vie, et nos propres conditions existentielles…
Comme le disait Descartes: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’. Et s'il n'est que partiellement d'accord avec lui, à la seule différence, de penser que la liberté est une notion définie par chaque conscience, et par conséquent, elle peut être représentée par autre ‘’quelque chose’’, en temps qu'autre degré d’indépendance envisager par cette conscience individuelle proche d’un potentiel libre arbitre sensibilisé par une autre forme d’attachement en et par l’expression de la liberté.
Il consacrera un chapitre à ces notions de désir de… ; en, par, avec et pour ‘’quelque chose’’ ou ‘’quelque autre’’, un peu plus loin…
Bergson, lui, disait: ‘’la vrai liberté n'est pas la liberté d'indifférence, mais la libération de notre plus intime et originale préférence’’.
Même s'il ne le disait pas à tous vents, il aimait mieux la deuxième définition, car il lui semblait qu'elle était teintée d'un peu plus de poésie que la première, qui, elle était dotée de beaucoup trop de cette logique parfois illogique pour son acceptable compréhension envers les échanges interindividuels...
A réseaux ‘’humanisant’’.
Liberté d'aimer, liberté de croire, liberté de partir.
Trop tôt ou trop tard ?
Le passé n'est plus et le futur pas encore.
Seuls existent ces précieux instants vécus avec amour et sincérité, et même s'ils ne sont plus, ou ne seront plus, peu importe les raisons, gardons les en nous, car ce qui a existé de beau, ne peut totalement être détruit, et s'ils ne sont plus que des existants incorporels, gardons les comme persistants présents dans notre mémoire, car à eux seuls, ils ont le pouvoir de nous empêcher d'aller vers le côté obscur.
ALL IS NOT A SINGULAR
« Tout [ce qui peut être objet de notre connaissance] n’est que le sujet d’une représentation remarquable. »
La dignité sociologique ne saurait s’imputer du prix de chaque dignité personnelle en usure du montant d’un bien communautaire. En oubliant, ce précepte philosophico-sociologique, il ne saurait advenir que division, sans autre prescription qu’un affaiblissement civilisationnel, instruit par des Etats liberticides…
Puisque la psychologie n’étudie pas la pensée mais la représentation, elle ne permet pas l’étude de la vérité des connaissances, elle n’a donc rien à voir avec la logique et doit être écartée. Cette condamnation radicale de la psychologie est ce que les spécialistes nomment l’antipsychologisme. Vous pouvez être sûrs que cette condamnation n’est pas passée inaperçue aux yeux scrutateurs et observateurs ;… et qu’elle continue encore aujourd’hui d’alimenter les doctes discussions des universitaires de tous ordres particuliers ET/OU pluridisciplinaires, et par là-même toute sphère d’influence, philosophico-politico-culturelle…
Mais peut-être : « Les experts en intelligence sont-ils devenus espèce à sang froid ?
Et la politique, la religion et la monnaie sont-elles, pour certains clans, un résultat de pouvoir divisionnaire inique ?
Ce qui est certain, c’est que les trois veillent et entretiennent le néo – ordo – ultra – libéralisme social-économique et le capitalisme financier impérieux » […]
La raison en causalités phénoménologiques appartient à celles et ceux qui cherchent à comprendre comment les choses s’organisent, comment le mouvement de l’une affecte le mouvement des autres. Le personnage du scientifique représente ceux qui partent à la découverte du monde, mais c’est aussi celui qui doit constamment s’inventer de nouveaux outils scientifiques pour le parcourir.
Par exemple, pour aller explorer la lune, il a fallu que les scientifiques (des physiciens, des ingénieurs) inventent la fusée et la capsule spatiale.
Le personnage allégorique du scientifique se doit d’être un inventeur, un innovateur, car il cherche sans cesse à dépasser les limites de la connaissance.
On pourrait encore développer cette allégorie riche d’analogies de toutes sortes à propos de la science contemporaine et de ceux qui la font.
Mais pouvons-nous vraiment nous fier à une allégorie, une histoire inventée, une histoire sortie tout droit de notre imaginaire, pour nous apprendre une vérité ?
Car après tout, une allégorie n’est qu’une métaphore…
On connait la célèbre définition qu’a donnée Kant de la dignité : « Dans le règne des fins tout a un PRIX ou une DIGNITE. Ce qui a un prix peut être aussi bien remplacé par quelque chose d’autre à titre équivalent ; au contraire ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n’admet pas d’équivalent, c’est ce qui a une dignité.
La dignité, étant ‘’supérieure à tout prix’’, échappe par définition au calcul économique.
A ce premier inconvénient, elle en ajoute un second : en tant qu’impératif catégorique, elle constitue un devoir, et pas seulement un droit individuel »
Mais pourquoi ce succès des prédictions scientifiques, sans possibilité de déduction épistémologique ?
Comment ce succès est-il possible ?
Le succès ne suffit pas, disent les philosophes, il faut encore et toujours le justifier, il faut lui donner des raisons.
Alors ?
Parce que les scientifiques utilisent des théories vraies, pourrait-on répondre en espérant calmer les philosophes.
Mais alors, il faudrait expliquer ce qu’est une théorie vraie.
Nous ne sommes pas sortis de l’auberge !
Quiconque n’est pas philosophe ne cherche pas à mettre tout en doute. Et ce non-philosophe a peut-être bien de la chance d’être ainsi. Il ne s’empêche pas de dormir à force de se demander si la science est un progrès pour l’humanité, ou si les pensées sont vraies même si elles ne sont pas justifiées, ou si le monde existe vraiment, ou s’il n’est qu’une création de son esprit. Non, le non-philosophe dort à poings fermés, il est convaincu d’ailleurs que l’insomnie philosophique peut nuire à la santé de son corps. (Par contraste, les philosophes croient que rêver éveillé leur permet de garder leur esprit en santé…)
Le non-philosophe ne comprend pas vraiment ce qui motive le philosophe. Mal lui en prenne, car le philosophe le guette. Le philosophe n’attend que ce moment où il pourra prendre le non-philosophe en défaut et le pousser à douter. Il attend ce moment où il lui fera comprendre que le doute est indispensable à la vie. Et après lui avoir enseigné à douter, il lui apprendra aussi pourquoi il doit surmonter le doute en appliquant une méthode rationnelle et idéalement infaillible, une méthode décisive pour comprendre la vérité.
Car outre le doute, la vérité est un autre objet de culte à l’école des philosophes. Oui, c’est une grande école que celle de la philosophie! Elle a su créer et maintenir ses traditions en Occident pendant plus de 25 siècles, traditions perpétuées aujourd’hui dans un grand nombre d’universités du monde occidental.
Mais quelle est donc le secret d’une telle longévité?
Aurait-elle vraiment découvert quelques vérités à propos de ce monde?
« Ahhh! Mais qu’est-ce que la vérité ? »
Demande, tout le monde en chœur, avec une pointe de doute dans la voix.
En voilà une question de philosophe!
C’est bien, je vois que les non-philosophes parmi vous apprennent vite!
À vrai dire, la vérité est partout dans la vie quotidienne.
Pensez seulement au nombre de fois où dans une conversation bien ordinaire vous dites : « C’est donc vrai ce que tu dis. »
Qu’est-ce que cela veut dire ?
Autre exemple, le matin, vous vous levez, vous lisez le journal. En manchette, un débat brûlant sur le réchauffement climatique de la Terre. Certains scientifiques démontrent son existence chiffres à l’appui. D’autres, à la solde d’intérêts économiques ennemis, nient ou minimisent l’impact des gaz à effet de serre. Car admettre l’existence du réchauffement implique souvent d’admettre la menace de ces conséquences désastreuses, ce qui oblige la population humaine à se mobiliser pour les combattre.
Qui allez-vous croire?
Pourquoi allez-vous les croire?
« Parce que vous croyez que ce que disent les scientifiques est vrai », répond le philosophe.
« Par conséquence, il est clair que vous ne pouvez-vous passer de la vérité. » (C’est à ce moment que le philosophe essaie de vous vendre un abonnement mensuel à son enseignement particulier de la vérité…)
Avez-vous remarqué avec quelle évidence nous en sommes venus encore une fois à parler de la vérité dans un contexte scientifique?
Cela n’est pas un hasard.
Vérité et science forment un vieux couple dans la culture occidentale depuis sa Renaissance. Quand on cherche la vérité, on se tourne naturellement vers la science. Voilà une opinion des plus répandues, même chez les philosophes. Les scientifiques passent pour des spécialistes d’une vérité particulière, la vérité scientifique. On leur accorde d’ailleurs volontiers une forme d’autorité en la matière.
Mais d’où vient cette autorité ?
« Donnez-moi des raisons de croire cette autorité », exige le philosophe, presque jaloux…
Peut-être est-ce en raison du succès de leurs prédictions. Les scientifiques arrivent en effet à prévoir certains événements du monde physique avec une très grande précision. Ils sont capables d’envoyer des humains sur la lune ou encore de manipuler les atomes à leur guise. Il y a de quoi être impressionné par les applications concrètes de la science. Pour le commun des mortels qui assiste à la multiplication des outils technologiques dans sa vie quotidienne, des outils nés de la main des scientifiques, la vénérable institution de la science impose le respect.
Les philosophes ont une admiration certaine pour la science. Ils y reconnaissent une recherche méthodique de la vérité. La science se démarque des autres formes de savoir par son usage d’une méthode rigoureuse, expérimentale. Elle formule des hypothèses et les teste par des expériences. Si les hypothèses sont confirmées, elle promeut les hypothèses au rang de lois scientifiques. Certains philosophes voudront répliquer que je vais trop vite, que la méthode de la science n’est pas aussi évidente, que je néglige des siècles de subtilités philosophiques. Et ils ont raison.
Mais cela n’a aucune importance.
Car je crois qu’ils se trompent.
Je crois qu’ils comprennent mal le rôle des mathématiques en science. Au contraire, diront-ils, nous comprenons peut-être mieux que quiconque le rôle des mathématiques en science.
C’est bien ce que nous allons voir.
En voilà une autre évidence, l’apport des mathématiques dans les sciences.
Conçoit-on aujourd’hui une science sans mathématiques ?
Car la science ne peut se passer de mesures.
En sciences, il faut mesurer, compter, quantifier, calculer.
Toute vérité scientifique contient une part de mathématiques.
Quelques exemples.
En physique, en chimie, on n’en parle même pas tellement c’est évident. En médecine, il faut savoir interpréter les mesures des analyses sanguines, il faut savoir doser les médicaments en conséquence. En psychologie, en économie, on formule des lois statistiques pour décrire le comportement humain. Sans mathématiques, la méthode de la science est dépouillée de son langage le plus rigoureux, le plus convaincant.
« Regardez nos chiffres, regardez nos mesures, elles ne peuvent mentir pas », dit le scientifique pour convaincre le peuple que ce qu’il affirme ou démontre est vrai.
La vérité scientifique aime la précision de la mesure.
Elle aime la rigueur du calcul mathématique. Si la science pouvait nous apprendre à mesurer tout ce qu’il y a à savoir, nous ne serions plus jamais dans l’erreur, croient même parfois les plus naïfs.
Aurions-nous donc affaire à un scientisme de sociétés modernes : la vérité, la science, les mathématiques ?
Aurais-je oublié un quatrième terme, encore un, dont les être-humains n’oseraient se passer ?
En effet, qu’en est-il de la pensée ?
La trinité moderne serait-elle seulement possible sans la pensée ?
Dans un Continuum Espace – Temps de : [Matière-Energie]… Soit MET … +
Je n’ose prendre le temps d’approfondir tout de suite cette question des plus philosophiques. Car le temps presse.
Et l’histoire ne fait que commencer… L’homme est présent depuis quelques minutes au rapport de l’Univers connu…
DISCERNEMENT
A qui, n’en, croire sincère intéressement
Pour nul s’en fasse figure guerrière,
Aux objets en structure inconsistante
Sans sujets à marteler,
Aux officines, enchères, déchues.
Par épistémologie à rivets compensatoires,
Avec versatiles en commodités viscérales,
Les fils du tissage en irritations,
Rien n’en fit ostensibles conditions,
Aux consultations des ridules appointées.
Avec romance sans passage captivant,
Sous présages des crépuscules énamourés
En sursis des condensats aseptisés,
Les promiscuités d’quintessences censurées,
Sues les soubresauts en filigranes,
Aux résistances des circonspections affables.
Sans se soucier des vues ravagées,
Ici, en contrées d’évasion,
Aux sens des dissidences inhabituelles,
Les vocalises en finitude, sans intolérances,
S’accordèrent moment pausé aux frontons malicieux ;
Au nom des discernements sans raisons précipitées…
Au vent des émois - Michel Asti : https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1288433417959599&set=a.169856409817311.39191.100003788581173&type=3
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