SOCIOLOGIE EN CACHE MISERE
SOCIOLOGIE EN CACHE MISERE
BOOK D’UN CHÔMEUR DE TRES LONGUE DUREE SENIOR 2.0
54 pages A4 – FORMAT PDF – CLIQUER SUR LE LIEN :
Book michel asti auteur concepteur 1 (2.03 Mo)
EGALEMENT PRESENT SUR MON ESPACE PÔLE EMPLOI
N’y aurait-il pas un problème dans ce système de recrutement atteint d’une sévère incompréhension en ce qui concerne une véritable sociale-économie respectueuse des lois de la Démocratie Républicaine, sans distinction de couleur, de morphisme catégoriel, de croyance ou non croyance religieuse, d’ethnie et d’opinions politiques… ???
Dans cette ‘’modernité’’ SOCIALE-ECONOMIQUE ; délétère, les moins de 25 ans sont-ils ‘’bons à rien’’ et les plus de 50 ans ‘’mauvais à tout’’… ? Ou alors une partie de ces deux ‘’couches’’ de population
n’entrent-elles pas dans les normes FINANCIA-CULTU(R)ELLES… ; GEOCENTREES ???
En France, les proportionnalités des personnes inscrites au Pôle Emploi sont représentées par 24% pour les moins de 25 ans et 25% des seniors. Plus d’un million de personnes sont au RSA. Elles étaient 600 000 en 2014.
Nombre conséquent de sociétés et entreprises, de par leur service de Ressources Humaines, ont fait en sorte que dans leurs offres d’emploi pour les plus de 55 ans ne soient plus véritablement représentés. Sans compter les offres d’emplois sans réel fondement professionnelle ou obsolètes.
Ces citoyennes et citoyens sont-ils devenus incompétents ?
N’ont-ils plus de perspectives dans ce système social-économique et culturel… ???
Ne serait-ce pas là une forme de ségrégationnisme alliée à lois paradoxales du système de bien(s) et services marchand ; allié à BANDES DE MEPHISTOPHELES frappés au sceau d’un eugénisme INTELLECTUEL… ?
M.A
« Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter. »
« Que les gens sont absurdes ! Ils ne se servent jamais des libertés qu'ils possèdent, mais réclament celles qu'ils ne possèdent pas ; ils ont la liberté de pensée, ils exigent la liberté de parole. »
« L’humoriste, comme le fauve, va toujours seul. »
Sören Kierkegaard
JUSTICE SOCIALE-ECONOMIQUE – LIBERTE – EGALITE – FRATERNITE
Lorsque qu’après 36 ans de travail et d’activités professionnelles diverses, après avoir été un bon ‘’petit soldat’’ tant au niveau familial, fraternel, économique et social, bien sûr accompagné par quelques personnes de belles attentions et que vous vous retrouvez avec le statut de ‘’chômeur de longue durée’’, associé à celui affilié au RSA, je puis vous assurer que vous avez intérêt, pour votre santé psychique, à trouver un contre poison intellectuel ET/OU physique, sinon vous n’y survivriez qu’avec dommages irréparables. Et cela, en ou hors de ce système sociétal, que vous avez servi du mieux possible, depuis vos 17 ans, puis avoir été exclu de votre lieu de vie à 54, et être sans emploi depuis plus de 6 années, du reste de votre vie ‘’active’’. Qui plus est quand vous résidez en milieu rural où votre seul lien culturel restant est celui d’une connexion internet, bien évidemment, si vous y avez accès avec possibilité de régler l’abonnement mensuel. Car avec 480€ par mois, tout n’est pas simple, et parfois une forme de colère peut apparaître vis-à-vis de vos congénères et communautés éloignées de vos sincères sensibilités en échanges sociaux ; où par ce lien réseau, quelques docteurs en psychologie, savants en bien-être, manipulateurs en bonté, manipulatrices en bienfaits et autres pseudos amis(es) virtuels(les) vous proposent des invitations pour participer à des réunions, débats, symposiums et spéculations de groupes, en salles éloignées de vos possibilités matérielles et financières, vous autorisant en ‘’temps normal’’, d’accéder à ces lieux d’échanges en réseaux biophysiques, psychologiques, culturels, scientifiques, sociologiques, voire physiologiques, par moyens de mobilité suffisants, et souhaits en diversité pluridisciplinaire, hors uniques échanges en ambiance virtuelle, souvent veule…
Tous ces individus fallacieux et fourbes, doivent être gens de peu d’attention envers ces ‘’choses de la vie’’ sortant de leur anthropocentrisme de groupes fermés ; voire secret… ?
Me semble-t-il…
Que la sociologie la plus récente rencontre quelques sagesses anciennes, cela serait une bonne nouvelle.
Mais même cela ne peut démontrer que l’intelligence humaine et la modernité sont une folie.
Qu’il existe dans le présent, un réel toujours plus fort, refusant de croire que rien d’autre n’est à connaitre, que plus rien n’est à aimer… ; est vrai.
Que le changement ne serait qu’une histoire sans défis dans un flot d’évènements, de rencontres et d’échanges aseptisés, apeurés par l’incertitude des croisements multiples et dépassements accentogènes, dans un monde d’asthénie psychologiques, de fourvoiements physiologiques et malentendus métaphysiques… ; est faux.
Mais que le monde, ainsi versé dans les commodités des zones de confort pressantes, semblerait d’une tristesse infinie pour qui préfère la danse à milles temps notée aux accords des désirs et souhaits sensibles scindées à jeux épars, où le verbe des amitiés et des amours serait teinté aux puissances de la verve des temps passés, dans un présent, riche des traits de lumière, réfléchissant à la couleur des feuilles mortes, tourbillonnant encore au sens de vigoureuses tourmentes… ; pour qui aime à flirter au vent des émois ; est une évidence humainement acceptable.
Faudrait-il, toutes et tous œuvrer pour un monde totalement aseptisé et conforme à une norme sociale édictée par une ou autre intelligence éructant souvent sa vérité sans autres ressources que la suffisance de ses consultations sectorielles, ou bien à essayer de prendre temps utile à quelques précieux moments de réflexion en débat de partage et contradictions constructives au nom d’une attentive thèse en bien commun, voire pour les plus fervents une recherche en amélioration multidisciplinaire ?
Cette démarche en installation de conformité n’est-elle point une volonté d’ignorer sujets trop éloignés de nos facultés personnelles ?
Un refus de savoirs ?
Un déni de sollicitude ?
Ou pire une filiation particulière autorisant l’individu à ne plus essayer de changer ces choses de l’infamie envers autres que soi et ‘’étants’’ insuffisamment proches de notre dimension touchable ?
Hors de notre zone de confort, justifiable, en légitimité d’acquis ?
Ou encore une forme d’asthénie intellectuelle atrophiée par une satisfaction matérialiste suffisante à l’inaction envers autres congénères, tout aussi justifiables à disposer de l’essentiel vital ?
Un abandon au profit d’un isolationniste de circonstance ?
Une pénitence en acceptation d’existences mornes ?
Une dichotomie en reconnaissance de népotisme défiscalisé d’affiliation en humanisme ?
Ou tout simplement un ‘’je m’en foutisme’’ généralisé, tant en ascendance qu’en descendance ?
Enfin ! Songez-vous toutes et tous, ainsi, avec toutes sortes de camouflets, que personne ne saurait mesurez vos impostures et calomnies cachées sous les voiles du politiquement correct et/ou la pudibonderie en toutes différences culturelles que vous en ayez suffisance en cette vertu pour vous-même et les vôtres, dans cette prétention que vos dons ne sauraient m’irritez, moins de les retransmettre sans analyses autres que la béatitude en prédécesseurs grisés aux voix de l’impénétrable, pour les moins nocifs, qu’une marche en colonie d’élus aux incertitudes des grâces et vierges, pour les plus déficients en défrichage de voies terrestres ?
Mais en toute évidence en procession de terrorisme intellectuel pour les deux clans en écoute de falsification d’outrages portée aux oreilles de prostrés(es) se souciant plus des cieux que de la Terre des hommes, des femmes et des enfants…
Je crois malheureusement que ces consciences grossières ont une chose en commun, formellement, proche d’un mécanisme cognitif logo-atomisé par négociants en spiritualité, guides en reliques cultuelles, despotes, potentats et autres dévots ayant réussi à faire gober les plus ravageurs illogismes au rapport de leur déconsidération envers la condition échangiste naturelle humaine… Et dans ce paralogisme datant de la naissance de la conscience et des intelligences, concomitantes au mammifère humanoïde, le plus néfaste attribut est, sans doute, l’apparition depuis quelques décennies d’une espèce de scientisme immature indexé en vulgaire marchandising par souscription d’opérateurs en flux d’omission (volontaire ?) d’étude et analyses logiques envers le sujet ontologique au rapport de l’objet physique…
Dans le monde naturel du et des vivants…
Comme le disait Descartes: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’. Si je ne suis que partiellement d'accord avec lui, à la seule différence, de penser que la liberté est une notion définie par chaque conscience, et par conséquent, elle peut être représentée par autre quelque chose, en temps qu'autre degré d’indépendance envisagé par cette conscience individuelle et proche du libre arbitre sensibilisé par une autre forme d’attachement envers l’expression d’une autre liberté, sensiblement partagée.
Ne suis-je pas libre de ma vie ?
En quoi et pourquoi croire à une protection où la dignité et le respect, de toute existence organique, en sont absents ?
Avec pour singularité, en ce Monde de déraisons, faussetés, tricheries et inconscience, en celle de croire que le monothéisme de l’inorganique serait une défense interindividuelle dans celui Naturel du Vivant ? Ou pour particularité, en celle d’y entendre, pour les chaires phalliques et leurs dévots, se souciant plus des cieux que de la Terre, quelques accointances en perversité narcissique ?
Mais qu’est-ce donc cette liberté, demanda-t-il, à qui n’a jamais le choix… ???
Attachement envers une figure rassurante ?
Une présence uniquement guidée par la voix de son maître ?
Image moderne d’iconographies sans charges passées, courbées à l’hystérie d’une starisation en branlette intellectuelle, dans un ajustement sans souvenir autre que celui d’un moment d’oubli du réel sens de la conservation du bien commun ?
Quel est ce choix d’exister dans un lieu où la sociologie n’est que celle des ardents défenseurs du snobisme ?
Dans un entre soi de petits garçons levant les yeux devant de vieilles reines sur le déclin et un entre-suit de courbettes de palais, en patrimoine de château de cartes fissurés au soin des spécialistes en malversations.
Quel est cette façon de penser ses rêves comme seule défense envers des autocraties absconses, stimulées par un népotisme de vils contes ?
Quelles sont ces dissidences s’interrogeant sur la complétude des intérêts d’une thésaurisation monétaire en usure d’une sociologie démutualisée, pour les moins nocifs, qu’analyses insensées, quant à véritables Droits et Devoirs d’une Démocratie Républicaine ayant oublié le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, et se fourvoyant avec les fantômes de la liberté, de l’égalité et de la fraternité dans les immondices d’une justice dépassée par les clandestinités mafieuses… ???
Quelle est cette culture des moins émancipatrices quant à une politique culturelle, éliminant tout ce qui n’est pas conforme à la ligne du clan inique ou du corporatisme conformisme ?
Toute valeur ajoutée homogène se définie par tous ces citoyens et citoyennes proches de la juste conscience intelligible lorsqu’elle est exercée avec lucidité, sincérité, honnêteté, accompagnée par tout l’amour des savoirs-être et la déontologie des savoirs faire afin qu’ils, elles, puissent aspirer à ce que cela devienne un art de vivre…; pour les générations arrivantes...; et celles en partances…
L’entreprise ne fait pas les femmes et les hommes !
Ceux sont les écosystèmes sociétaux de ceux et celles d’avant et de maintenant qui les éduquent, les imaginent, les composent, les ordonnent et les font vivre, afin qu’ils, elles participent par l’addition de leurs savoirs faire et compétences particulières à l’évolution de la belle sensibilité socio-économico-culturelle du savoir être dans les sociétés et entreprises du Monde.
Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que ceux du désespoir… De la rancœur…Et de l’indifférente violence… Psychologique… Où celle physique risque parfois malheureusement d’apparaître…
Or dans tous systèmes naturels vivants dotés de la conscience peu importe leurs fonctionnements et pragmatismes, l’analyse sera intrinsèquement soumise à l’étude historique, sociologique, éthique, morale de l’axiome suivant : ‘’Toute valeur ajoutée se définie par actions d’utilité, de nécessité, d’essentialité ou de superflu… Dans la dimension sociale-économique individuelle ou communautaire, culturelle et ontologique attachée au mammifère-humanoïde pensant, présent dans l’écosystème…
Mais pourquoi, pour qui, pour quoi, où, quand et comment…’’ ?
Là sont les questions ! Où les deux réponses soumises elles-mêmes à études, analyses et théories philosophiques, sociologiques, mutationnistes, anthropologiques, culturelles, théologiques, morphosyntaxiques, sémiotiques, philologiques et psychologiques ne sauraient être que celles de comprendre le bon sens du faste et du néfaste dans l’aire communautaire, ou l’intérêt est majoritairement lié à la nécessité d’exister par l’anthropocentrisme, hors d’une potentielle compréhension des notions de justice et d’équité… Et des liens interindividuels… Avec pour présomption primaire, souvent celle d’une forme mégalomaniaque de soi ; par l’argent et le désir névrotique de possessivité, et d’accaparement.
Il se doit pour tout à chacun et chacune ; et réciproquement de faire quelques introspections sur l’HISTORIOGRAPHIE CIVILISATIONNELLE des Peuples, Nations, Pays, Régions, Contrées et Communautés Humaines dans une pluridisciplinarité éditoriale encline à traiter tous SUJETS-OBJETS cultura-identitaires ; sociaux-communautaires ; économico-financiers ; géo-historiques, chronologies biographiques, études épistémologiques et ontologiques par une PHILOSOPHIE-POLITIQUE digne du respect des différences ethnologiques, dignités personnelles et covalences intellectuelles respectueuses de la PRESERVATION du et des biens communs avec une POSOLOGIE HUMANISTE réglée à la DIVERSITE des BIOSYSTEMES & ECOSYSTEMES du et des VIVANTS… ; dans un système d’échanges représenté par l’ensemble (E) des ‘’machines humaines’’ en tant d’ÊTRE-HUMAINS conscients des IDEOLOGIES versées aux seuls BENEFICES de CORPORATISMES politico-financiers courbées aux uniques lois de l’ACCAPAREMMENT intrinsèque sans ATTENTIONS LOUABLES envers l’efficience du PARTAGE des SAVOIRS et CONNAISSANCES en ENGAGEMENT d’une potentielle réelle REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE CITOYENNE…
Quelle circonscription serait-elle en probabilité suffisante de croire que le consensus ne fut pas une naturalité d’effervescences sans comptes – d’Us & Savoirs – partagés au nom d’une utile évolution pluridisciplinaire ? Les sots et simples d’esprit ? Les suffisants en anathèmes ?
Les poujadismes en dissidences primaires ?
Une présomption en échanges clandestins ?
Une inopérante thésaurisation usurière ?
Une dissolution pluridisciplinaire au profit de corporatismes inefficients ?
Trinôme d’injonctions en reliques politico-philosophico-culturelles ? Quelle est cette raison ?
Cette faculté qui nous est donnée pour nous permettre de déterminer quelle chose peut nous faire du bien et quelle autre du mal, et cela en fonction de la dose de plaisir ou de peine reçue.
Ce n’est là point un bon calcul pour déterminer la raison puisqu’elle ne peut être variable qu’en fonction de l’acceptation de chacun envers chacune et réciproquement.
III : THESAURISATION & SCIENCES HUMAINES
Ce n’est que par un effet de rhétorique que l’on peut arriver à faire croire que la vérité MATHEMATIQUE en économie INCOMPLETE a autorité SUPRÊME, en terme de CROISSANCE INFINIE dans un MONDE FINI, comme si toute VERITE pouvait s’émanciper de l’utilité d’un PRAGMATISME d’échelle présent, pour ensuite venir la justifier, en s’émancipant d’une autre THESAURISASION, en prémices ordonnées et subordonnées à un passé volontairement rendu VALORISANT, au profit de POSTULATS en futur PARTICULIER… Au nom d’INTERÊTS pour seuls clans de chaires, d’ors, de robes, de notables, de pompes et autre empruntés(es) en COMPTES de valeurs ajoutées, falsifiées… Marketing de lobbies, néo-scientistes ou PARAPHEURS en PARADIGME de faux-culs… ; se foutant CYNIQUEMENT de leurs CONGENERES… ???
Le CAPITALISME n’a plus besoin d’intelligences antithétiques à partir du moment où sa BASE devient uniquement MECANISTIQUE. Tout écosystème HUMANOÏDE arrivé à ce stade se contente comme AVOIRS que de disposer d’une armée soumise à l’impérialité du POUVOIR DIRIGEANT… ; où les oppositions PHILOSOPHICO-POLITIQUES se doivent d’être abolies par l’AUTORITE de commandements, endoctrinées par tous MOYENS physiques ou corrompues par les OUTILS de la FIDUCIE MONETAIRE affichée à l’ELITE financière supérieure ; et OPPORTUNISMES en recherche impérative de POSITIONS NOTABLES… A ce moment-là le PEUPLE d’une NATION n’a plus la LIBERTE DE CHOIX, et par conséquent le système devient une AUTOCRATURE SOCIETALE, voire PIRE… Avec pour encore plus mauvaise vision dans le système social-économique français (et autres) en celle d’imaginer la nouvelle possible évolution post-industrielle comme une désintégration communautaire par décret en faveur de la déconsidération cultura-identitaire nationale où le plus néfaste schéma d’incompréhension se trouve assurément proche des liens moribonds entre : Le corporatisme paroxysmique » Le déclin social-économique » La prédation territoriale » Le sectarisme culturel » L’anti-laïcité » Le populisme intransigeant » Le nationaliste exacerbé » Les peurs dans la zone non-sécuritaire » L’obscurantisme » Le nihilisme » La radicalisation » Le fascisme » Etc…
Et pour vecteur novateur à partir de la fin des années 1970, l’avènement de l’outil informatique, permettant de créer d’autres classifications, grâce aux langages algorithmiques où les mathématiques en autorisent la création des bases de données et autres compositions sujettes à confinements incohérents, dont le pire est d’avoir oublié dans cette histoire à tendance déshumanisante, la pensée profonde de la propre existence ontologique singulière du mammifère-humain. Auparavant, l’individu était une personne morale à valeurs de dignité supérieure aux prix fixés à l’objet de consommation. Le glissement de cette dignité – certes inexistante chez les individus soumis à la tricherie, l’ignominie, l’infamie et l’insincérité patente – part de la personne physique en respect des valeurs éthiques et déontologiques dans le cadre des Droits et Devoirs inscrits dans une société de justiciables et justifiables en tant que personnes physiques morales. Cette personne physique, dotée d’un patrimoine, a été transposée au statut d’entreprise morale, en tant qu’entité fonctionnelle – machine non-humaine – puis fut réalignée, aux Etats-Unis, au milieu du XIXème siècle, par sa mise en place au statut de ‘’personne morale’’, désignée plus tard sous le patronyme de ‘’TRUST’’ - « la Fiducie » de droit anglo-saxon.
TOUT SYSTEME SOCIAL-ECONOMIQUE ORGANISE PAR UNIQUE GESTION COMPTABLE ET/OU CORPORATISME INDIVIDUALISTE QUI N’AYANT AUCUNE NOTION DE SCIENCES SOCIALES ET AINSI FAISANT, SANS TEMPS D’ANALYSES JUDICIEUSES ; UN DENI DE RESSOURCES HUMAINES PLURIDISCIPLINAIRES EST A TERME VOUE A SA PROPRE DESTRUCTION…
Nous vivons aujourd’hui aux crochets des générations futures et nous leurs léguons une poubelle explosive très chère à entretenir, tout en ne leur procurant plus les moyens de vivre de leur travail. Le COURT-TERMISME est, parait-il, inscrit dans les règles de politiques seulement et uniquement comptables : ‘’Notons que penser à l’ordre idéal comme écart entre l’économie et la monnaie revient à dire que la monnaie est une imperfection dans une démarche uniquement économique dématérialisée de sa fonction sociale où l’attrait mobilisateur envers le refus social ne saurait être autre que celui d’avoir les moyens individualistes nécessaires à exister hors de ce même système social-économique délétère envers la légitimité de la communauté de bien(s)…’’. Avec ou sans ‘’s’’ ! Le contrôle économique est extraordinairement concentré. Il est tout à fait exceptionnel qu’une seule étude nous force soudain à nous représenter l’univers qui nous est familier d’une manière tout à fait différente de ce qui prévalait jusqu’à présent. On évoque alors un changement de paradigme.
‘’Ce qui m'intéresse est une économie où la monnaie n'a pas de valeur intrinsèque et est universellement acceptée dans les échanges‘’… La création de la monnaie résulte donc d'une demande propre au système économique influencé par tous les acteurs et actrices de l’économie-sociale de marchés, et non pas de la seule volonté des banques centrales, disposant quand même d’un pouvoir d’influence, par la politique monétaire, non négligeable sur les économies et les sociétés ; et en augmentation constante depuis les accords de Brettons-Woods (dénoncé par les Etats-Unis en 1971) et le plan Marshall après la deuxième guerre mondiale. Et plus encore à partir des années 80… Avec et par l’ultra-libéralisme désolidarisé des réalités socio-économiques.
Ne serait-ce de par le fait que les agents économiques, financiers et informatifs ont perçu les potentialités de ce système économico-financier axé sur la libéralisation des marchés, sans pour cela tenir compte des difficultés sociales-économiques de certaines zones géographiques à ne pouvoir y participer avec un minimum d’équilibre… Voire de potentielles équités…
LE PARALOGISME ENTRE SYSTEME ECONOMIQUE ET SOCIAL EST-IL INSOLUBLE, OU EST-CE UNE ASSOCIATION DE MALFAITEURS… ???
N’est-ce pas Mesdames et Messieurs les gestionnaires de rentabilité, dirigeants des ressources humaines, administrations et politiques de tous bords possédant savoirs et capacités d’analyses des systèmes socio-économiques, zones d’activités, entreprises industrielles, sociétés commerciales, d’échanges de biens et services privés et publiques, tout cela, bien évidemment accompagné de la compréhension ontologique suffisante et la juste philosophie envers vos ’’semblables‘’…???
Mammifère-humanoïdes… De type bipède…
Et surtout disposez des compétences nécessaires à définir les règles et lois de la division sociale afin d’y maintenir le règne des possédants addictifs, dont sa constituante principale est en la seule pensée d’exister uniquement par l’avoir et non par l’être. Ce qui est un total paradoxe communautaire, et social sauf pour les inconscients et inconscientes, déterminés(es) à appliquer ce concept des avoirs par refus d’attention, d’étude sociologique, analyses épistémologiques, et philosophiques dénuées de la juste compassion envers des formes de vies toutes aussi honorables et dignes, désirant juste le nécessaire à y accéder par leur travail empreint de la déontologie des savoirs faire, accompagnée par l’éthique des savoirs être… Dont vous êtes assurément très éloignés des zones d’exercices réelles de ces formes de vie conscientes, et par voies de conséquence assez ignorant quant à leurs codes de fonctionnement, circonvolutions, covalences, convergences, intérêts et autres concessions entre les différents protagonistes de ces zones sociales économiques à ’’réseaux’’ humains, dont leur but de rentabilité reste quand même empreint d’une certaine réelle et juste valorisation manuelle et intellectuelle, en permettant la visualisation et la reconnaissance d’une possible juste équité.
Alors que votre enjeu principal, dont vous pouvez aisément en percevoir les magnificences, puisqu’il est omniprésent dans vos zones d’échanges de biens et de services dont ils en sont les piliers, à savoir, définir le prix des prestations de vente au maximum de leur valeur financière absolue, tout en y appliquant la valeur ajoutée au minimum de son prix de revient (sauf pour les produits de ‘’luxe’’, réservés à pouvoir financier suffisant) avec pour la partie main d’œuvre productive déconsidérée, le minimum admissible (devenant aujourd’hui souvent maximum de son inadmissibilité), pour chaque zone géographique dans laquelle elle est exercée au minimum des quotas économiques et sociaux, bien évidemment facilités par le développement des transports permettant, si les coûts de production ne sont pas assez bas ’’ici’’, d’aller trouver ailleurs de plus petites mains moins chères, vous autorisant, bien évidemment, sans aucun état d’âme quant à l’exploitation anarchique des hommes par l’Homme, voire des enfants, d’en laisser la marge financière maximale à l’acte de vente du produit, invectivée par son potentiel à être objet essentiel, nécessaire ou superflu ; avec comme particularités à ces trois sujets d’incertaines obsolescences, en celles que le premier n’ai aucun besoin à être appuyé par l’offre, le troisième obligatoirement invectivé par l’offre, alors que le deuxième se doit d’être tantôt soutenu par la demande et tantôt assujetti à l’offre, pour la simple raison que le nécessaire n’a pas même signification suivant la projection que se font les pensées et imagination chez ’’l’être humain’’, de l’essentiel quand il le possède et du superflu lorsqu’il le désir, où dans ce système le référentiel en est assurément la ‘’Monnaie’’.
Heureusement pour vous, que majorité a toujours du mal à fixer le degré de l’utile, surtout lorsqu’il est martelé par les outils du marketing logo-médiatisant. Et autres réseaux publicitaires à sémiologie ‘’médicamenteuse’’, dont leurs particularités en sont le formatage des pensées et la ‘’logo-atomisation’’ du réel positivisme échangiste…
Je pense pourtant que vous devriez savoir que la gestion de ressources humaines demande par définition, quelques notions de philosophie, d’histoire, de psychologie, sociologie, ontologie, voire anthropologie adaptées à traiter convenablement l’objet et le sujet attachés à l’exercice de compréhension, par la logique humainement acceptable et respectueuse de tous labeurs, besognes et travaux, ainsi que de toutes vies, où les langages phoniques, expressions formelles, impressions logarithmiques, mathématiques, informatiques et alphanumériques, n’en sont qu’une partie de la possible et potentielle compréhension, et se doivent obligatoirement d’être accompagnés par quelques langages poétiques et romantiques, institués par quelques attentions, analyses objectives et études intelligibles… Car dans le cas contraire, cette appréhension attachée à la dualité ‘’corps-esprit’’, ne saurait en aucune façon être approchée, et encore moins unifiée ; en tant que complémentarité essentielle à bienséance.
On ne vous a pas appris cela à l’école de la vie ?
Mais bon, le ‘’sujet’’ humain que je suis, ne vous en veux pas. Vous êtes seulement devenus des recruteurs et administrateurs à la solde de quelques chefs et autres dirigeants doués de mauvaises natures, ou dépassés par les évènements du moment, où le plus important de vos désirs et les leurs, est votre identité anthropocentrique et vos ’’petits pouvoirs’’ exercés par trop d’indécisions et mauvaises perceptions, qui par la mienne me permet de vous visualiser tels des ’’fantômes’’ de la gestion des ressources humaines, administrations économiques et sociétales, qui devraient par ailleurs commencer, très tôt, par l’apprentissage, l’éducation et la retransmission des savoirs et connaissances affichées à l’histoire de chaque ’’évolution générationnelle’’, avec dans une de ses définitions quelques oublis inconscients de votre part pour ses parfois mauvais cycles et effets, qu’autres grands dirigeants, hommes politiques et modulateurs médiatiques, n’ont bien évidemment pas oublié et surtout n’ont pas omis d’y exercer quelques actions sur ces trois leviers que sont donc, l’essentiel, le nécessaire et le superflu, pour des désirs personnels que vous entreverrez peut-être en lisant mes ‘’mots dits écrits’’, et informations objectives et logiques éditées également sur autres supports… Ailleurs… Accompagnées par quelques extraordinaires consciences… Où les déterminantes justifiables que sont l’équité, la fraternité, la justice et l’humanisme possèdent encore leurs réelles et belles définitions universelles, dans une véritable République Démocratique affichée au Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, et respectueuse d’accords interindividuels, honorables.
Hou la là, la conscience humaine!
Qu’elle est perfide parfois et trop souvent proche de l’inconscience.
Et je n’édicte rien quant aux irresponsables et absurdes qui ne souhaitent ou ne veulent plus se faire ‘’soigner’’. Sujet trop vaste… Atteint par trop de prosélytismes de mauvaises croyances infondées. Car encore cloisonné par trop d’incompréhensions philosophiques ou teinté de trop de volontarismes liés à la soumission néo-liberticide, envers le sujet humain et autres organismes vivants… Dépeinte dans l’inconscience ontologique… Bordel… ; Gente de bonne conscience, réveillez-vous ! Et faites travailler votre imagination et vos méninges, par la vraie logique de vos sens! Car, sur ce thème particulier des ’’savoirs faire‘’ et ’’savoirs être‘’, en tant que déterminants de la redevenue nouvelle asociale économie en générale, travail rémunéré à la juste valeur de son exercice particulier et conceptualisation de milieux sociétaux vivables, je ne comprends plus grand chose, tant dans les comportements que dans les bases indispensables, utiles et nécessaires, tel un triptyque attribuable au genre humain, dont les trois piliers essentiels en seraient « l’affectif, le travail et l’outil » nécessaire aux échanges, à savoir : ‘’La monnaie’’ ; en tant que référentiel utile à la visualisation fiduciaire des énergies humaines, matières premières, biens et objets transformés…
Mais par contre, je m’aperçois pour le premier, qu’il est relégué en troisième position après l’argent et derrière le travail, tandis que pour ce dernier, le temps pour accéder à la retraite augmente, l’âge du sujet, lui permettant de commencer à être considéré comme compétent afin de pouvoir entrer dans le secteur du travail rémunéré se décale, la période où nous sommes considérés comme performant diminue. Il me semble malheureusement entrevoir une mauvaise rythmique dans tout cela, pour disposer de quelques menues monnaies…
Les ’’jeunes’’ commencent à recevoir un salaire soumis à cotisations pleines en moyenne vers 23 ans, et à partir de 54 ans, voir avant (c‘était mon âge en 2013), nous sommes soit disant insuffisamment compétitifs pour continuer cette activité professionnelle, qui nous a permis d’exister dans ce système d’échanges en tant que lien social-économique. Si je compte bien, cela fait environ trente et une années de cotisations, alors qu’il nous faut dans notre pays, plus de 41 annuités en permettant les versements normaux proportionnels à une réelle activité, utilement rémunérée et exercée au juste montant de valeurs relatives en tant que déterminant des prélèvements nécessaires à l’obtention d’une retraite par répartition à taux plein en adéquation avec des normes de vie acceptables pour ceux et celles en activité, au même titre que les retraités(es) bénéficiant uniquement de cette ‘’rente‘’, me semble-t-il ?
A moins d’avoir réussi à cotiser à quelques fonds de pensions où caisses de retraite complémentaires, de plus en plus coûteuses… ?
Encore une fois, me serais-je trompé, ai-je été trompé, maintenant, ou en d’autres temps et par de mauvaises intelligences dont la justice sociale n’est pas le cœur de leurs problèmes ?
Mais, comme souvent en des cas problématiques, je m’aperçois que les réelles définitions de la liberté, de l’égalité et de la fraternité ont été dans notre pays, comme en beaucoup trop d’autres, quelques peu oubliées, ou bafouées tels des arbrisseaux desséchés, présents aux bords des chemins, dont leurs graines réensemencées de façon inadéquate, n’ont assurément pas reçu les attentions nécessaires à leurs belles pousses, et aujourd’hui remplacées par de mauvais germes, dont l’expansion de leurs aires de développement me semble être générée par l’expropriation voire l’élimination des petites cultures et ’’autres insignifiances’’… Et remplacés par des produits de mauvaises influences, fausses factures et néfastes consommations…
Physiques ET/OU Intellectuelles… ???
Après ‘’Big Brother’’, ‘’Little Uber’’ sera-t-il le ‘’grand frère’’ du XXIème siècle ?...
Je pense que le développement de toutes ces ’’grandes’’ applications risque malheureusement d’être en celui d’y avoir quelques problèmes supplémentaires d’ici quelques années, pour une grosse partie des générations suivantes à la mienne, en dehors de ceux existants à l’heure actuelle consistant majoritairement dans nos pays modernes à essayer de vendre de ‘’l’intelligence grise’’ pas toujours adaptée à nos systèmes de vies, en perpétuelles mutations, où la vraie réalité sociale économique est pourtant bien en celle de certaines de ses belles entités, proches de l’appareil créateur et générateur de produits manufacturés marchands, mais trop souvent destituées de leurs fonctions logiques par quelques mauvais génies de la finance et autres sorciers de l’économie peu scrupuleux, et sûrs de savoir comment gagner de l’argent par d’autres principes virtuels dénués d‘une quelconque petite éthique, leurs permettant de conserver le contrôle des flux financiers à fin d’augmenter leurs réserves monétaires, ainsi que la croissance de leurs biens matériels, sans considération pour les quelques ’’entités’’ atteintes d’autres souhaits sociologiquement plus engageants ; ainsi que pour le fondement de l’appareil des savoirs techniques exécutables par les savoirs faire manuels et intellectuels, en tant que valeurs ajoutées, apportées par tous ces ’’savoirs’’ pourtant indissociables les uns des autres, se trouvant dans la création, la conceptualisation, la réalisation, la fabrication, la distribution et l’acquisition de ‘’l’objet’’ utile, nécessaire, essentiel, souhaité, désiré… ; jetable, etcétéra, ‘’rejeté’’,…
Néo mieux, néo vieux, néo jeunes, nouvelle économie, nouvelle évolution, que sais-je encore…
Plus, mieux, bien ?
Pour quoi, pour qui ?...
Nouveaux sujets… ???
Pour croire que nous avons pouvoir d’assertion équitable ?…
Ou d’asservissement … ?
Par la servitude mystifiée ?
Pour les principes, us et coutumes retransmis par ceux et celles d’avant ?
Ou au nom de quelques croyances infondées ?
Ou plutôt à imaginer d’autres systèmes de vies plus respectueux de ‘’l’être vivant’’ ?
Et du monde naturel… ???
Où ce dernier est assurément notre référant existentiel !
Ma génération et celles d’avant ont quand même majoritairement, sacrément foutu la pagaille, vectorisée par l’inconscience d’être pratiquement sûr de n’avoir engendré ni désordre, ni individualisme, qui pourtant, même sans y prêter une attention exacerbée proche du mal-de-tête, sont assez facilement décelables en certains milieux socio-économiques, où la ‘’machine’’ est devenue suffisamment complexe pour ne réussir à en définir uniquement les réponses humainement inacceptables, éloignées de certaines réalités territoriales dont ‘’L’Etat intelligent’’ est pourtant statistiquement dotés de solutions convenables, si elles étaient réellement visualisées et comprises, surtout par celles et ceux existants par ailleurs, ne voulant opter pour aucune autre logique, anticonformiste au rapport de leur présent matérialiste et pourtant, par juste rétribution, indispensable à la belle évolution générale…
Ont-ils, ont elles peur que ces changements non propices à leurs croyances et certitudes fortement cloisonnées, défiscalisées ou endettées, aient quelques incidences sur leurs bonnes conditions de vie, où pour certaines, le nécessaire a largement dépassé l’essentiel à l’existence d’une seule, qui par leurs omissions, peut-être volontaires, ont oublié que l’analyse objective et la conceptualisation associative d’autres possibles thésaurisations en états fonctionnels affétées à la belle évolution humanisante en permettraient le juste éclaircissement de certaines alternatives sociétales plus adaptées aux espaces temps du moment, où le privilège serait le véritable ‘’bien-être’’ légitime avant le ‘’tout avoir’’ absolu… ???
Ne croyez-vous pas, Mesdames, Messieurs en tâche de gouvernances, que la plupart des gens se voyant tromper dans leur espérance, par les simulacres d’une exhibition politique, excluant territoires et habitants, non soluble avec la photo de famille gouvernementale sollicitée par des cadreurs de censure, n’y trouvent plus raisons suffisantes à attendre votre lente mise en application envers justice sociale, mais plutôt à trouver forces restantes et suffisantes à réparation ?
J’en serai fort aise, à y trouver nombre d’indignés(es) suffisant à organiser une nouvelle armée des justes, officiant aux chemins d’une plèbe à dissidence intelligible. Au nom d’un contrat social, entre les lignes des anciennes barricades, du rouge teinté au sang des innocents, n’en reste-t-il pas quelques gouttes invisibles aux yeux des biens garnis… Tiraillés entre la maladie du blé jaune, le virus d’un sarrasin envers la liberté d’une sarrasine, la mélasse, le voilage et le plumage, le néo-ordo-libéralisme, la franc-maçonnerie, les partisanneries cultuelles iniques, la soumission liberticide, les intérêts corporatistes antisociaux, le néo-scientisme, la culture anthropocentrique de l’entre-suit, le conformisme béat, la starisation politico-médiatique, le marketing et Mammon… N’y voit-on pas là quelques éboulements d’échafaudages, auparavant structurés par la présomption phallique de chaires institutionnelles, à ce qu’elle n’y puisse contenir autres imminences grises que celles des religiosités-politiciennes ruisselantes d’inefficacité accostées par des politiques-templières, vouées à l’ordre de l’accaparement, au nom d’une vénalité inique ? Suceurs de position en sont assurément les plus fieffées gardiens d’étals…
A nul doute, d’un côté à compter pièce d’or et de l’autre, symboles à foutres. La différence y est insignifiante ; de même prosternation, la position en est effarante. Pour l’une, il est d’évidence action, en compte de pièces, le Veau - d’Or à engraisser, et de l’autre à attendre que l’animal en vomisse quelques onces. A la magie des incertitudes, vociférâtes les inutilités aplaties, pour qu’en cette réunion, au cours des jours saints, la prière, de sept en sept, honore la fourberie et apaise les prémices suspicieuses de la condition humaine.
C’est, sûr, celle-ci pousse tant d’imprécations qui s’y trouvent dans les prédicats de cette censure, que je n’ose en croire les possibilités d’une inversion décidable aux abords de la loi du marché. L’entreprise communautaire ne s’élèvera qu’en avertisseur d’intransigeances, le jour gratifié du nombre suffisant, d’avoir réussi à investir les vestiges d’amphitryon fourrés aux inepties des commandements privés de toutes institutions collectivistes abasourdies par le brouillamini des courbettes de fonds…
Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ; or il est plus en plus inhumain, irrationnel et déséquilibré. A l’ère de l’information, l’ignorance est un choix… ; à moins que ce soit un déni de réalité ou un refus de meilleure attention en échange de bonnes intentions… ?
JEUX D’IMITATION
- Le langage est-il un jeu d’imitation… ; lié à singularité politico-philosophique ?
- La ‘’machine’’ est-elle soumise à jeu d’imitation ?
- La pensée multidisciplinaire peut-elle faire évoluer positivement ou négativement les modalités socio culturelles dans un ensemble (E) … ; composé des machines humaines ???
L’enjeu du… TEXTE COMPLET SUR LE LIEN EN HAUT DE PAGE.
LA SECURITE INFORMATIQUE N’EST PAS SEULEMENT UNE QUESTION TECHNIQUE, MAIS DOIT INTERROGER LES SCIENCES HUMAINES, LA PHILOSOPHIE, L’ECONOMIE ET LA PHILOLOGIE…
VULNERABLES ET CONSCIENTS DE L’ÊTRE
En 2017, à peu près tous les médias inclus les « actus » sur des problèmes de sécurité informatique dans leur couverture éditoriale. Il est appréciable de voir ces informations communiquées au plus grand nombre : la sécurité est affaire de tous. Même si, le plus souvent, le traitement médiatique de ces sujets est liminaire et flou (pour le dire poliment).
Cette réserve mise de côté, on observe que les intrusions et compromissions reflétées dans ces actus sont très nombreuse et de plus en plus complexes. L’élément MONETAIRE y est de plus en plus présent également, mais surtout, le lien direct entre notre vie ‘’hors ligne’’ et celle ‘’en ligne’’ est tellement fort que les répercussions d’une cyberattaque peuvent être graves et réelles. Votre téléphone intelligent fait tout un tas de choses et permet accessoirement d’appeler ; il donne aussi votre emplacement même si vous avez désactivé la géolocalisation via un bouton dédié.
Eh oui, vous pensez que la connexion au réseau téléphonique, 4G et future 5G se fait ‘’automatiquement’’ ?
Bien sûr que non : le téléphone se connecte aux antennes environnantes, transmettant ainsi des informations sur son emplacement, donc le vôtre. En outre, les applications que l’on y installe ont des listes de « PERMISSIONS » que vous devez leur accorder en amont de l’installation.
Ces ‘’permissions’’ sont de plus en plus ABUSIVES.
Par exemple, une application faisant de la photo vous demande l’accès en lecture et écriture à vos SMS ou à votre agenda : pour quoi faire ? On peut lui donner accès à la caméra et a un répertoire pour y stocker des photos effectuées, mais pas L’AUTORISATION DE FAIRE LE CAFE A VOTRE PLACE !
Ainsi trop souvent les demandes de beaucoup d’applications sont abusives.
Cependant, on clique sur le petit bouton vert « ACCEPTER », sans faire recherche en pluridisciplinarité, étude épistémologique et analyse de texte… ET ON N’Y PENSE PLUS.
« N'espérez jamais trouver votre sûreté dans les armes de la fortune. » Sénèque.
Nelson Mandela disait : ‘’Une population instruite, éclairée et informée est une des façons les plus sûres de promouvoir la bonne santé de la démocratie…’’.
Et Benjamin Franklin : ‘’Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’un, ni l’autre et finit par perdre les deux’’.
Depuis plus de 72 mois au statut de ‘’RSAyste’’… Super expérience… ?
La droite a écrasé petites gens, étouffée la classe moyenne, et la gauche a fait le baiser de Judas au peuple de France, au nom d’un déni de réalité fractale. ‘’Les hommes naissent égaux et libres’’, répétaient-ils sûrs d’eux. ! Pfffff… Copie à revoir… Où dans cette cacophonie généralisée, la culture des temps immémoriaux des lumières, s’est quelque peu assombrie…. De sorte qu'après tant d'épreuves de leur faiblesse, ils ont jugé plus à propos et plus facile de censurer que de repartir, parce qu'il leurs est bien plus aisé de trouver des fidèles à leurs veules raisons, que semer alentours belles et justes pensées…
Où le premier fondement sociologique, voire philosophique, se trouve invariablement dans les communes rurales, proposant cultures à tailles animales et humaines ; et supportables par le juste bien-être….
Et la deuxième constituante essentielle, nécessaire et utile, s’envisage sans équivoque proche de la retransmission des justes connaissances et savoirs par celles et ceux d’avant, et ceux et celles de maintenant, pour les vies d’après… Dans toutes les communautés de communes, départements, régions, territoires, cités et contrées…Par conséquent, par mes écrits je tiens à faire savoir que j’ai toujours soutenu et soutiendrai encore sans aucune restriction ces deux ‘’indispensables’’…
Petite notification : En 1992, j’avais 33 ans, j’étais technicien SAV en froid et climatisation, mon salaire était en équivalent euros d’environ 2 000€ net par mois. Chercher l’erreur… SUR LE JOURNAL D’UN RSAYSTE SENIOR 2.0 :
Enfin, j’aimerais beaucoup connaitre la véritable définition du TRAVAIL, ainsi que le réel déterminant d’une ACTIVITE à juste valeur ajoutée, dans le monde des actions, réactions, mouvements, mobilités, savoirs faire et savoirs être, de même que la notion d’EMPLOI rémunéré au rapport de l’utilité et l’essentialité dans la sphère, d’échanges de bien(s) et services, marchande, notamment par la dialectique assujettie à ces savants en toutes MATIERES, épistémologues, philosophes, voire théologiens, théoriciens, politiciens, experts de tous ORDRES, génies des sciences économiques et financières, ET/OU sorciers de L’USURE…
Les yeux de l’homme ne réussissent à percevoir les choses que par la… ; connaissance de leur superficialité. L’intelligence humaine a les ressources pour donner forme à leur essentialité.
Si l’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude, alors la raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité.
Dans les civilisations individualistes l’ensemble communautaire rationnel n'a plus aucune identité sociologique spécifique – il est donc incohérent de la part des corporatismes à statuts conformistes béats de contracter avec lui – peut-être parce que les orthodoxies séculaires ont peur du miroir des contre-évidences.
La puissance publique pense que son rôle est d’assurer le bonheur privé des personnes avant même de garantir la sécurité et de réaliser la prospérité collective. Aussi bien a-t-elle échouée à peu près en tout…
Sauf à avoir entraîné un individualisme exacerbé.
Envoutés par l’image, les électeurs votent en fonction des sentiments que leurs inspirent les candidats.
Ils votent pour le slogan, le sourire, la sincérité présumée, le charme ainsi que le récit de vie du prétendant, rédigé avec le plus grand soin. Tout est dans le style, dans le scénario, rien dans le contenu, dans les faits.
Les politiciens ont saisi que, pour obtenir des votes, ils doivent reproduire cette fausse identité avec le public que savent si bien créer les célébrités de tout acabit.
Quelle bandes de sots, inconscients et inconscientes quant à la facture en solde de leurs enfants soumis aux ravages d’un népotisme culturel et/ou ségrégation d’intérêts particuliers, sans valeurs tangibles où l’information en transmission de savoirs me semblait proche d’une affiche collée au mur du sectarisme intellectuel, en allégation de rares onces de pédagogie, par dissidences de bienveillance intergénérationnelle, au profit de certitude en images de logo-atomisation appropriées par quelques pervers narcissiques, partiellement inutiles aux délais d’apprentissage et de respect des lois naturelles. J’y mettais entre ces interstices textuels des consistances didactiques en vœux de libre échange imaginatif une espèce de déshérence en sollicitude de dimensions touchantes par une volonté à vouloir vaincre les intendances prônant un empirisme, sans distinction de zones d’existences non sécurisées, en règne de possession absolutiste, avec pour singularité en celle de laisser croire que ce matérialisme inique ne serait pas source malheureuse en grande consommatrice d’énergies falsifiées par accaparante désuétude, mais, souvent, exsangue des forces humanistes. Même si je pensais en comprendre partiellement la peur existentielle de mes congénères, je n’en approuvais guère la méthode et le discours…
TEMPS DE VANITES AGACANTES
Perches des certitudes commodes,
Obscurité des distinctions bâclées,
Principes en fonds très obscurs,
Ils s’y voulaient derechef proches des meilleures faveurs, l’esprit si bas qu’ils s’empressaient d’y toucher le fronton des caprices les plus serviles, banalités des jours ternis par abrogations mornes.
Maîtres des amphitryons sur chaires lasses, recherche du sens de la retransmission, bégayements sur traces déjà empruntées, l’utilité des pauses radieuses fond sous l’hypothèse corporatiste, futur dirigé.
Desseins aux lieux hautains,
Ovulations envers hautes figurines,
Tamis des obligations primées,
Enzymes de mines soumises,
Futiles abstractions de structures pareilles aux vacuités de l’encensement pyramidal, réussites en promesses d’intronisation aux mérites d’armures en fer blanc, connivences sans confiance, pages en sursis…
Que ne vous fûtes d’une tristesse infinie à ignorer les statues dressées aux entrées des labyrinthes publiés au torchis des principes cernés en coursives d’obéissance pour chiens bien dressés et chattes sans toit brûlant.
Importunité des choix sans personnalité,
Compliments aux avenants semblables,
Armature facturée pour contes sans saveurs,
Rareté des goûts aux senteurs subtiles,
Voltefaces en préférences sécurit, elles en ignoraient les dessous des cartes médiocres, loisir en choix d’une préférence en moindre accent gâté, le fruit des ferveurs libérées, à chaque désir tutoyé, rappel à l’ordre moral.
Le pli droit sous doigt couturier, jupes plissée, chemisier bien taillé, tenues de circonstance, les chapeaux des encenseurs, bien bas ; s’octroient révérences aux recoins des embases, vaillances suspicieuses aux dépêches câblées d’un marionnettiste.
Continuum des échanges promus,
Organisation de marques paraffinées,
Masques en vente de bastingages rouillés,
A qui donne entendements ; comme si les plus habiles y veulent, sans autres doctes moins médiocres, prouver hardiment, pareil à un apprentissage, soutenir ce qu’ils en ont de moins subtil pour convaincre les moins promptes à la ruse.
L’objet précieux, finasseries d’une revue vissée aux commissures des désirs escamotés, pareil aux subjugations des vocalises du marchand de clameurs, la flûte enchantée ; sous accords invendus siffle le chant des déceptions, sans ovation.
Hamsters en roues de fortune,
Occurrences des voies commerciales,
Mansuétudes envers l’avoir à tout prix,
Opulences des égoïsmes sans énigmes,
Sitiomanie en lissage de vitrines sur mesures jamais pensées, y trouver solutions à qui se refuse de croire que la petite lucarne sur penchants moins lustrés n’y serait qu’agencements inexploitables est forfaiture…
Qu’en dire sur avantages restreints quant aux facultés d’échanges sans démonstrations ; en celles qui leurs furent désengagées de la difficulté des contre-habitudes, si non enseignées ; à s’appliquer d’en trouver de nouvelles… ???
Instabilité des sujets invaincus,
Caricatures en pousses différentes,
Imaginaires bordés aux babines finissantes,
Sous des notes fustigées aux ornements vaniteux, je n’y saurais entrevoir vision libérée des cors d’une chasse aux gibiers fauves pour que la parution réussisse à fournir composition plus favorable.
En promesses des corps perdus aux confins des désillusions, la raison m’y parait chose improbable, pour y entendre quelques verves en déclaration de bonnes causes et justes devises….
Aux restes de mes amicalités citadines, Lysiane, je n’ai plus obligeances à les rendre considérables.
MICHEL ASTI
Date de dernière mise à jour : 31/05/2019
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