LE VRAI, LE FAUX & L'ACCEPTABLE
LE VRAI, LE FAUX, LE BIEN, LE MAL & L’ACCEPTABLE
Le vrai n'a pas la notion du bien ou du mal, et pourtant il est nécessaire au rapport de vérité entre les individus. Il est le point de départ de cette vérité, et la confiance en est le point d'arrivée.
Cette confiance née de cette vérité disparaît lorsque les actes faits, ne sont plus considérés comme en phase avec ce qui a été pensé, dit, crû, et surtout en covalence, voire harmonie avec cet ordre des choses édité par cette vie, dont ses codes, symboles, lemmes et signes sont souvent compliqués à déchiffrer, ou lorsque dans ce langage d'incompréhensions, l'inacceptable, l’absence de sincérité et le refus apparaissent, alors, les doutes et les peurs s'installeront s'en suivront la défiance, la colère, voire le silence, ou parfois l'image de la trahison apparait dans cette conscience, viendront alors tous les autres ressentiments, marqueurs de la rancœur, la haine, ou autres vecteurs d’actes visant à combler le désir de vengeance, par l'espérance inutile de croire que nous avons le pouvoir de remplir le vide par la destruction, qui n'est juste dans notre ‘’REEL’’, qu'une croyance en une possible annihilation de la pensée, voire de la matière pour rendre notre propre espace vide des éléments que nous croyons nocifs, à tort pour certains, ou à raison par d'autres et réciproquement, pour la seule préservation de notre propre existence, de celles et ceux que nous pensons aimer, ce qui est physiquement d'une totale ineptie, car comme le disait, Albert Einstein: ‘’Rien ne se créer, tout se transforme’’…
TOI, L’ENNEMI…
OUI, celui qui est caché sous les voiles de ta vile conscience, régie par le prosélytisme des cités antiques, qui a l’avantage de confondre le cultuel et l’amour des lois ‘’humaines’’, mais qui est exclusif et intolérant et avec lequel tu essaies d’en faire la pire thésaurisation ! Celle qui donne deux lois, deux maîtres, impose des devoirs, tant à l’une et l’autre, qu’à l’un et l’autre, et par conséquent est intrinsèquement contradictoire et oppose, sans réflexion, les contraintes au lieu d’additionner les véritables solidarités.
Oui, n’en soit pas outragé ; ait au moins la décence d’assumer cette dialectique affichée par guides, mentors, prêtres ET/OU gouvernances en gestion anti-démocratique, antirépublicaine et anti-laïque, néfaste à l’unité sociale et qui subordonne l’état naturel, de l’homme et la femme, à cette théocratie de sombres valeurs… ; bien commode pour les idéaux de ton groupe en politique filoutée à l’ancienne garde des Césars, Satrapes et autres empruntés(es) aux services de mauvaise psychologie et néfaste physiologie en entrée de l’entrejambe déculturé aux cités babylonienne mortifères…
Oui, c’est toi le véritable ennemi, associé à détournement de docte Benthamien, avec autres falsificateurs de Mammon, s’appropriant l’usure de leurs enfants, frères, sœurs et amis(es)….
Oui, celui cerclé à la pudibonderie de ta conscience de castes, en affligeante correspondance de petit homme sans prestance, auditionnée par tes ascendants ignorants des causes mêmes par lesquelles ils ont été tout aussi clandestinement fermé par des sources ayant suffisamment de sectarisme intellectuel pour formater ton esprit aux lois d’une politique pernicieuse, en précession infligée par déni du réel sens affecté à l’ordre naturel des ‘’choses de la vie’’… Sans intérêt autre que de ne pas croire que le génuflecteur, en dépit de sa position théologique, se soucie plus du ciel que de la terre, et donc EST par essence, antisociale, et obligatoirement fractal, dans le réel espace-temps économico-socio-culturel, des territoires du monde….
D’Est en Ouest, petit homme, sans efficience, tu voudrais, dans la posture médiatique de tes bras ouverts, laisser penser à tes congénères sollicités aux circuits des assentiments louables, qu’il t’a été fait don d’une compréhension, telle qu’elle t’eût laisser croire que toutes les différences culturelles et sociologiques ne puissent entamer ton ‘’hystérographie’’ en gouvernance d’hommes et de femmes sans mémoire, régentée par une pédagogie en lois d’une philosophie-politique templière déféquée dans la vacuité d’un discours entre les sciences et les arts, et relégué aux sonorités suceuses de petits potentats… ???
Que n’est-il pas en cet endomorphisme, une exégèse ontologique tout aussi dissuasive que celle des philosophes tatoués au nombril de leur monde… ?
Ou un excès de népotisme en verticalité ?
Essayons d'abord de connaitre, d’analyser, d’expérimenter, de comprendre et de faire connaître les différentes pensées nées de l’imagination au nom du savoir, le pourquoi et le comment de notre propre existence en ce monde, avant d'appliquer tout déterminisme, dont ses deux réponses ne sont que OUI ou NON, et, où le PEUT-ÊTRE est, peut-être, une méconnaissance existentielle ou incertitude temporelle. Ce qui en langage mathématique peut se traduire par 1 chance sur deux d'avoir raison, ou 50% de malchance d'avoir tort, et inversement, et, je pense parfois que certains de nos actes, résultant de nos pensées égoïstes, cupides, narcissiques et perfides, souvent cachées sous les voiles des besoins insatisfaits, intérêts égocentriques ou ‘’vérité de clans iniques’’, au détriment de la pensée partagée sont empreints de trop de conséquences importantes pour se permettre d'en déterminer les choix avec de simples lancers de dés, surtout s'ils sont lancés par un nombre inférieur à deux, n'en permettant pas la perception de la trace d'une possible véracité, hormis celle édictée par le lanceur de dés, qui à ce moment-là n'est plus une trace, mais le risque de son diktat ; où l’ignorance ne serait, en ce cas, que le déni de compréhension envers le paradoxe entre le corps et l’esprit, n’autorisant plus l’allégeance entre l’attachement et la liberté… Peut-être par oubli de cet extraordinaire discours entre les sciences et les arts. Alors oui, soyons lucide qu'il y a dans la conscience un mystère, non élucidé…
Comment ce petit morceau de matière que je suis, peut-il sortir de lui, se tenir à distance d'une réalité qu'il est aussi, pour se mettre à exister dans le double statut de sujet de la représentation et d'objet représenté. Méditer le fait de conscience, revient-il ainsi, à méditer notre expérience la plus familière et pourtant la plus étonnante ?
Lorsque la conscience ne considère l'expérience que familière, le désir, vecteur de ce morceau de matière organique pensant, lui autorisant à pouvoir émettre qu'il est étonnant, et l'être parfois, celui qui lui permet sans certitude particulière, mais juste avec quelques suppositions qui deviennent pour lui souvent convictions et vérité, de parcourir ce petit morceau d'univers, le temps d'un temps ridiculement court qui lui est accordé devient alors contrainte, au détriment de la liberté de croire au plus étonnant et au plus beau des rêves, celui qui ne peut avoir aucune représentation matérielle. Ce rêve qui nous a été donné dans notre subconscient, et que cette conscience née de nos expériences et suppositions nous fait parfois oublier, alors à l'angoisse de dire, à la peur de l'incompréhension et au désespoir de faire, s'ajoute la croyance que cette vie n'est qu'attente de l’inconnu, que cette vie nous présentera tôt ou tard. Cette conscience, par l'expérience de la déraison, nous amène parfois à croire qu'après que nous aurions côtoyé cette inconnue, ce petit morceau de matière sera peut être libre, sans existant-réel, ici…
Libre de quoi après ?
Croire à un pardon en déni de sollicitude par une entité n’ayant aucun lien réellement existant avec le monde des vivants…
Libre ou avoir été contraint de partir dans l’inconnu, avec cette inconnue dont il ne sait rien, et qui l'emmènera il ne sait où, mais que son inconscience arrive à lui faire supposer que l'existence d'après serait meilleure que celle d'avant ou proche du rien pour ‘’autres’’… Qu'il n'a plus d'instants maintenant, juste celui créé de son inexpérience et incompréhension, qui ont fait que sa conscience à effacer le possible bel instant joyeux d'après au profit du tristement mauvais maintenant, et qu'au nom de cette raison née de sa conscience, lui laissant imaginer, que son seul destin est de parcourir son chemin dans les peurs, la souffrance, et la violence, qu'il possède maintenant la conviction qu'il peut faire ce qu'il désire, sans se soucier de ce, celles et ceux qui l'entourent, par ces notions de déni, consistant en l'action de penser : PERDU pour PERDU… ?, ou APRES-MOI le DELUGE… ?
Mais après cet instant, une fois, ce morceau de matière organique devenu inerte restera-t-il encore la représentation de lui-même par la conscience collective ?
Toutes ces questions qui n'ont aucune réponse vraiment précise n'ont leur attrait que par le fait d'être posé, par le désir de recherche des ‘’inconnus(es)’’, afin que nous puissions entrevoir que notre vie n'existe que dans l'instant présent, toujours inconsciemment conscient que le rêve qui nous a été proposé à notre arrivée est toujours en nous, que nous avons certainement quelques desseins à accomplir, même si nous ignorons lesquels et pourquoi ? Qu'ils nous paraissent petits ou grands, ils sont toujours le reflet de notre représentation ici, et au regard de l'évolution de nos connaissances acquises depuis que l'humanité est apparue sur ce petit morceau de matière sphérique, existant lui aussi dans un système stellaire, et à l’intérieur d’un univers partiellement connu, nous pouvons maintenant comprendre que les constituants principaux, essentiels et élémentaires appris, sus et liés à notre existence corporel et à toutes autres formes sont les mêmes dans toutes nos dimensions existentielles et physiques, réellement existantes également par et en tout espace de réalité connu, depuis leurs et nos origines par la force d’attraction servant de liant inter-dimensionnel à tous ces espaces temps.
Nous pouvons voir la beauté de ce qui est et parfois entrevoir la beauté sensiblement touchante de ce, celles et ceux que nous ne voyons pas, nous nous devons donc d'être humble devant le fragile équilibre qui nous permet d'être là et de ressentir cette beauté, le temps qui nous est donné, même s'il nous parait court à l'échelle cosmique.
Alors au nom de cette vision, faisons de notre mieux avec cette attention, cette curiosité judicieuse et cette potentielle compréhension intelligible qui nous ont été légués à notre arrivée, et parfois transmis en cours de route, pour être au moins conscient que le désir génère le cheminement vers la connaissance, mais lorsqu'il engendre la déraison, même si ce potentiel délire, peut parfois nous faire croire qu'il est source du plaisir par la force du désir dans son accomplissement, qui lorsque ce sentiment est un déni d’observation en vacuité de tout partage, le chaos surviendra, tout cela en ayant à l'esprit que tout ce, celles et ceux que nous pouvons voir, entendre, toucher, sentir, goûter et ressentir nous ont été prêté. Et même si notre seule certitude est l'aboutissement de notre non existence dans cette dimension, rien ne devrait nous empêcher d'être libre d'aimer, de croire et de partir, temps que l'objet de notre déraison n'est que nous même et pouvons, nous en amuser avec joie… Et si parfois un autre ‘’petit morceau de matière organique sensible’’ désire sans contrainte partager cette joie, alors nous aurons peut-être, le temps d'un instant, touché un peu de ce rêve, car nous nous serons certainement approchés(es) un peu plus du lieu où réside l'arbre des âmes sensibles, et par lequel, nous avions jusqu'auparavant, seulement éprouvé une faible sensation de réalité, que nous trouvions juste touchante, et maintenant ‘’fortement‘’ attachante.
Oui, cette conscience n'est que mystère, et peut être génère t’elle quelques suspicions, ne serait-ce de par le fait qu'elle ne peut avoir confiance que dans l'objet dénué de parole, de conscience et peut être immobile. Alors utilisons nos sens, insuffisamment nombreux et développés, ceux qui nous servent de récepteurs, à tout ce qui est perceptible près de nous, et qui nous permettent grâce à l'interface de notre cerveau, source potentielle de notre pensée, lui aussi insuffisamment performant, mais toutefois capable de générer cette mystérieuse et parfois belle conscience, pour essayer de nous comprendre nous-mêmes… En regardant, écoutant et ressentant tous ces nouveaux petits morceaux de matière organique, qui viennent d'arriver parmi nous, le temps qui leurs est et nous est impartit, pour essayer de savoir pourquoi notre existence consciente consiste majoritairement à exercer cette activité qui est de nous contempler, nous représenter à nous même, ici ou ailleurs, en tant que vérité inaltérable donnée par le temps de nos croyances, en comparaison de ces ‘’quelques choses’’ de la nature, de la TERRE, de l'univers qui n'existent qu'immédiatement et que d'une seule façon dans la dimension de notre réalité, afin de leurs transmettre toute notre connaissance implantée dans notre inconscient, acquise par notre conscience et donner par cette vie en tant que notion de Beau, de Bleu et de Bien, afin d'espérer, que ces petits morceaux de matière devenus conscients, deviennent meilleurs que nous, afin qu'un jour lointain, tous ces petits devenirs inconscients puissent trouver la beauté en l’harmonie du bien-être et de l’être bien par la vraie bonne conscience laissant liberté d’expression à tous ces ‘’quelques choses’’ ; souvent intouchables, mais tellement touchant de par leurs effets immatériels.
De l'innée au devenir, de l'attachement à la liberté, de l'essentiel au superflu, des passions à la raison, des pulsions au plaisir, du réel à l'imaginaire, du faux au vrai, du mal au bien, de la peur au courage, de la lâcheté à la vanité, de soi à autres, des certitudes aux doutes, de l'amour à la haine, de la souffrance à la sérénité, de l'obscur à la lumière, de la destruction à l'unité, de l'existence à la disparition, du rien au tout, de l'ignorance à la connaissance, de la connaissance à la sagesse, de l'unité à l'union, de ET à EST, quels sont les chemins à parcourir, afin de parvenir à cette conscience qui fera qu'un jour ce petit morceau de matière doté de la pensée sera en harmonie avec tout ce qui l'entoure, respectera toutes les consciences de ce lieu, à partir du moment où les incertaines et néfastes, n'auront pas commis actes de destruction dictés par intérêts obscurs, convictions égoïstes, pouvoir narcissique ou déraisons inacceptables bien souvent nés des premières croyances, philosophie-politiques et politiques-templières néfastes, spiritualités déficientes, peurs, souffrances…
Veules ou désuètes mystifications’’ et pénitences vénères...
Ou encore autres prosélytismes de mauvaises et tristes augures...
Déféquées par les idéaux, dogmatismes, et suppositions obscures.
Où la meilleure porte à ouvrir est celle de la transmission des meilleurs savoirs être et utiles savoirs faire, afin que le temps des justes lumières élucidées n'ait d'importance que par l'addition des nouvelles connaissances et savoirs affétés aux beaux instants présents partagés, s’écoulant avec joie, afin que ce temps d’ICI ait une texture de plus en plus douce, permettant, ce jour-là, d'avoir la sensation qu'ils, elles auront commencé à percevoir la présence durable d'une ‘’petite harmonie’’, héritière de la belle vie et du bon temps.
Par conséquent toute pensée douée de cognition est en potentielle capacité de s’approcher de la bonne conscience grâce à l’attention et à ‘’l’intelligence de cœur’’ ; bienveillante, arque-boutée par traits en perspectives bienséantes, dans une possible scénographie territoriale en justes causes et bonnes devises.
Le mammifère-humanoïde est soi-disant, au sommet de la pyramide du vivant.
Si la liberté humaine qui tend à décider du bien, n'est qu'une oscillation de la pensée humaine en fonction de ce qu'elle considère comme ‘’bien’’.
Si la liberté humaine qui tend à considérer le vrai, n'est que le degré de connaissance humaine en fonction de ce qu'elle a acquis comme ‘’réel’’.
Alors ‘’l'être’’ qui tend à acquérir le ‘’bien-vrai’’ ou le ‘’vrai-bien’’ est une tendance de notre conscience en fonction de ce que notre corps peut accepter comme contraintes. Et la pensée humaine qui tend à imaginer la liberté de ‘’bien être’’, est peut être juste la volonté de notre inconscient en fonction de ce qu'il peut exprimer de vrai en tant ‘’qu’être bien’’, par la réelle bonne conscience en son lieu d'existence.
En conclusion, la liberté ne peut se côtoyer, que par l'action d'exprimer, de rechercher sans cesse, sans peur et sans immobilisme, en tant que nécessité de notre propre compréhension, au nom de la liberté d'existence par non annexion consciente de l'objet conscient et non annexion inconsciente de la conscience, autorisant discours objectif entre les sciences et les arts.
Il raconte ce qu'il ressent avec ses mots à lui, et même s'il peut paraître prétentieux, cela lui permet de croire qu'il a, à sa portée un tout petit peu de lumières, avec lesquelles il souhaiterait juste allumer les quelques espaces ‘’touchant’’ où résident les êtres qu'il aime, et ceux de tous ces anges désenchantés qu'il rencontrera encore et ceux qu’il a rencontré… Dont il entendra peut être à nouveau la petite voix, tout au loin du chemin, même s'il est conscient de cette ‘’utopie’’, aujourd'hui. Et à ce moment-là, le philosophe des temps modernes, repris son bâton de pèlerin, afin de parcourir ces nouveaux chemins sidérants de multiplicités ontologiques, épistémologiques, et poétiques où l’exercice le plus difficile, est de trouver l’équilibre phénoménologique, autorisant la belle pratique de la composition amendée aux extraordinaires voltigeurs de la ‘’toile’’…
Depuis quelques temps, il cherche un nouveau sens à son existence, il ne trouvera peut-être pas, mais il sait, malgré la difficulté de maintenir allumer cette petite lumière présente en lui, cette merveilleuse lanterne, à laquelle le temps fait parfois perdre son éclat…
Cette clarté qui nous a été donné à notre arrivée, et nous fait continuer encore et encore, au nom de ce désir de beau, de bleu et de vent pour soi et autres, et par laquelle il continuera à tourner avec envie, les pages restantes de ce livre qu'écrit son extraordinaire maîtresse, au fur et à mesure qu'il les lit afin, qu'il puisse jour après jour espérer acquérir un peu plus de compréhension, pour peut-être un jour, réussir à se rapprocher au plus près de la sagesse par la connaissance, au nom de l'amour de cette vie, car malgré ses quelques moments où parfois il est quelque peu dubitatif, voir abasourdi, par ce que qu'il ressent d'elle, il lui est surtout attaché, même si parfois, il aimerait prendre certaines libertés…
La perfection n’est pas de ce monde ; mais la trahison patente, à chaque initiative de groupes, s’y immisce sournoisement pour lui faire offense, interindividuelle, inter-sexe, intercommunautaire, interculturelle, voire intergénérationnelle, souvent par déni d’attention et refus de différence…
La volonté d’en faire recherche et analyse personnelle échangées dans une potentielle étude fraternelle ne saurait aboutir à la concoction ‘’métaphysique’’ dans l’hystérésis concomitante à la malversation communautaire actuelle paraphée par des politiques philosophiques tatouées au nombril de leur monde.
Les ambiances du matérialisme impérieux associé au cynisme ontologique accaparant en sont les principales faillibilités de l’épistémologie sociologique, à réseaux liberticides, véhiculée par les néfastes clowns abrités des mauvaises zones de vie.
Le vent des émois égocentriques a pris le pas sur le temps des incontinences philosophiques au bénéfice des croyances aliénées par la certitude de penser que vivre dans un paralogisme de groupes fermés serait le syllogisme intellectuel d’une politique sociale économique et culturelle ouverte.
Quelle connerie perfide !
La sémantique de l’inorganique n’y changera rien, temps que la pensée humaniste ne s’opposera pas aux conformismes religieux et tout ordre spirituel laissant croire à la plèbe que l’émancipation, physiologique et psychologique, est proche de cette citation édictant que :
‘’Vivre ne serait que le plus lent des suicides’’.
Et par conséquent, pourquoi, en cette vergeture sociale, l’opprobre à satisfaisons confortables aurait attentions suffisantes envers l’exclusion et la différence, si ce n’est à laisser les poisons de l’indifférence s’installés dans l’ignorance des classes inutiles à matérialisme inflationniste… ???
Que la sociologie la plus récente rencontre quelques sagesses anciennes, cela serait une bonne nouvelle.
Ne croyez-vous pas, Messieurs, que la plupart des gens se voyant tromper dans leur espérance, par les simulacres d’une exhibition politique, excluant territoires et habitants, non soluble avec la photo de famille gouvernementale sollicitée par des cadreurs de censure, n’y trouvent plus raisons suffisantes à attendre votre lente mise en application envers justice sociale, mais plutôt à trouver forces restantes et suffisantes à réparation ?
J’en serai fort aise, à y trouver nombre d’indignés(es) suffisant à organiser une nouvelle armée des justes, officiant aux chemins d’une plèbe à dissidence intelligible. Au nom d’un contrat social, entre les lignes des anciennes barricades, du rouge teinté au sang des innocents, n’en reste-t-il pas quelques gouttes invisibles aux yeux des biens garnis… Tiraillés entre la maladie du blé jaune, le virus d’un sarrasin envers la liberté d’une sarrasine, la mélasse et le plumage ? N’y voit-on pas là quelques éboulements d’échafaudages, auparavant structurés par la présomption phallique de chaires institutionnelles, à ce qu’elle n’y puisse contenir autres imminences grises que celles des religiosités-politiciennes ruisselantes d’inefficacité accostées par des politiques-templières, vouées à l’ordre de l’accaparement charnel… ?
Suceurs de position en sont assurément les plus fieffées gardiens d’étals…
A nul doute, d’un côté à compter pièce d’or et de l’autre, symboles à foutres. La différence y est insignifiante ; de même prosternation, la position en est effarante. Pour l’une, il est d’évidence action, en compte de pièces, le Veau - d’Or à engraisser, et de l’autre à attendre que l’animal en vomisse quelques onces. A la magie des incertitudes, vociférâtes les inutilités aplaties, pour qu’en cette réunion, au cours des jours saints, la prière, de sept en sept, honore la fourberie et apaise les prémices suspicieuses de la condition humaine.
C’est, sûr, celle-ci pousse tant d’imprécations qui s’y trouvent dans les prédicats de cette censure, que je n’ose en croire les possibilités d’une inversion décidable aux abords de la loi du marché.
L’entreprise communautaire ne s’élèvera qu’en avertisseur d’intransigeances, le jour gratifié du nombre suffisant, d’avoir réussi à investir les vestiges d’amphitryon fourrés aux inepties des commandements privés, de toute institution collectiviste abasourdie par le brouillamini des courbettes de fonds…
Que d’une laïcité sortie des procédures d’assouvissement, le problème n’y résistera, qu’en la discontinuité d’incompréhension des termes partisans affichés aux sourdines du multiculturalisme pervers abonné aux poisons d’anathème, d’exécration, d’hérésie, promulgués aux expressions d’horreur transmises par la parabole des virus d’assomption, s’imaginant proposer une nouvelle hystérèse ignorante des soubassements de la détestation, envers les exégèses de docteurs promis en avenir de façadiers sans éthique et morale, mais assurément avec posture propre à bande de fieffés Méphistophélès …
Malgré tout cela : ‘’Ne ferme pas ton cœur, ni ton esprit, n'es pas peur du nouveau, de l'étrange, du non conventionnel, soit toujours prêt à écouter ton intuition, cette inspiration qui permet de révéler quelque chose de si nouveau pour toi, que cela peut même n'avoir ni forme, ni substance et que tu ne peux même pas l'habiller de mots. Que gardes-tu dans ta conscience ?
Je ne veux que pour toi le meilleur, et ne crains jamais de compter sur lui, ne ressens jamais que tu es indigne de le recevoir, que tu ne le mérites pas, tu dois le souhaiter, le réclamer, l'accepter et compter dessus’’…
‘’La Petite Voix’’ d'Eileen CADDY
Avez-vous remarqué, majoritairement le pouvoir que possède l'enfant qui vient de naître ?
Il a ce pouvoir ‘’inconscient’’ de transmettre sa joie d'être arrivé ici, malgré ses cris qu'il émet en arrivant.
Le bonheur n'existe que par l'addition de tous ces instants de joie et de plaisir qui nous permettent par ‘’sentiment de…’’, de nous laisser penser qu'il a une texture, et plus ces instants sont proches les uns des autres, plus cette texture paraît douce et agréable.
Cette notion de bonheur est communicative par la joie.
La souffrance… Il parle de la souffrance de la conscience, et non de la douleur physique, qui elle, est une des conséquences de la propre condition de ce corps. Cette souffrance n'est communicative par rien, ressentie par seul et non sécable, afin de l'amoindrir. Même si nombre avait la possibilité d'en prendre un morceau, elle ne serait pas moins insupportable par nombre que par seul.
Alors que la joie est sécable, même un petit morceau en procure un plaisir immense. Et si la souffrance avait cette particularité d'être sécable, elle n'en serait pas plus amoindrie, car le nombre de ses ‘’serviteurs’’ est pour l'instant, beaucoup plus important que celui du bonheur, qui chez lui, est juste la joie. Le plaisir en étant sa conquête, par la présence de toutes les plus belles notes d’une composition enchanteresse, en le désir d'en découvrir une certaine harmonie, pour le bien-être de ses serviteurs.
Quelles solutions pour comprendre les besoins, intérêts, souhaits et désirs de l’interlocuteur et le locuteur… ; sachant que, plus la logique de l’observateur et/ou l’observatrice est considérée comme une atteinte aux prosélytes du groupe ‘’fermé’’, plus l’offense sera grande envers leurs membres soumis à la charte, en ronds-de-jambe de l’entre soi et de l’entre-suit, souvent instruit par l’administrateur ‘’communiquant’’ pour, dans et avec le seul sens dont il en fut instruit, par népotisme réduit aux seuls transcriptions liberticides du clan conformé aux scribes d’un monothéisme impérieux. Même si ‘’l’association libre’’ peut se caractériser par un refus d’intégration faisant immédiatement suite à l’invitation en potentielles appartenances intelligibles, elle ne peut, pour être en possibilité de germer, s’abolir d’aucune cession quant à la position de l’interlocuteur(e) tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du groupe de locuteurs ‘’particuliers’’. Pour la simple raison que l’échange est une fonctionnalité intermodale, structurée depuis quelques années par l’exponentielle diversité informative des idées réseaux affranchies de machiavéliques conformismes.
La scénographie ainsi imaginée permet alors d’avoir plus de perception quant à potentielle sincérité affichée au véritable sens du bien commun dans les écosystèmes du et des vivants, où le refus de cette évidence serait une contre-mesure en édiction intrinsèquement frappée au sceau d’un refus en association, de libres pensées, d’athéisme en inter-connectivité des sons & teintes de la ‘’gnose’’… Après avoir compris qu’il était mortel, le ‘’mammifère humanoïde’’ théorisa les pires politiques-socio-culturelles, créa les plus néfastes religiosités-templières, thésaurisa les plus viles règles de l’échange commercial au détriment des lois du Monde Naturel, vendit les plus inutiles images des ‘’dieux du stade’’ à la plèbe béate, l’opprobre y trouva, momentanément, son compte.
Mais l’histoire ne s’arrêta pas là…
La construction de sa propre prison n’était point terminée…
Il starifia les néo-gloires scientistes, acta les thèses les plus grossières, après avoir inventé la plus grande force de dissuasion contre sa propre connerie, la ‘’Bombe Humaine’’ se crût devenue maître de l’ordre mondiale. Et le jour où les technologies auront dépassées les capacités intellectuelles de la ‘’machine humaine’’ ; alors apparaitra une génération de parfaits imbéciles déculturés(es) aux germes de la paranoïa fétichiste…
Dans un maelstrom en déni de considération philosophico-ontologique du VIVANT… ; et constituera la plus grande institution en grande consommatrice des énergies de la TERRE…
En déconstruction anti-créatrice…
LA CHASSE A L’ENFANT
Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
Au-dessus de l'île, on voit des oiseaux
Tout autour de l'île il y a de l'eau
Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
Qu'est-ce que c'est que ces hurlements
Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
C'est la meute des honnêtes gens
Qui fait la chasse à l'enfant
Il avait dit J'en ai assez de la maison de redressement
Et les gardiens à coup de clefs lui avaient brisé les dents
Et puis ils l'avaient laissé étendu sur le ciment
[…]
C'est la meute des honnêtes gens
Qui fait la chasse à l'enfant
Pour chasser l'enfant, pas besoin de permis
Tous le braves gens s'y sont mis
Qu'est-ce qui nage dans la nuit
Quels sont ces éclairs ces bruits
C'est un enfant qui s'enfuit
On tire sur lui à coups de fusil
Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
Tous ces messieurs sur le rivage
Sont bredouilles et verts de rage
Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
Rejoindras-tu le continent rejoindras-tu le continent
Au-dessus de l'île on voit des oiseaux
Tout autour de l'île il y a de l'eau.
Jacques Prévert
AU MARAIS DES PSYCHEDELICES
A tous ces godillots de terres brulées
Exorciseurs de manche à balais tordus
Massacreurs d’images à jeux
Sonneurs à déficience mentale
Briseurs de communautés et d’espoirs
Suceurs de micros maniaques
Je vous le dis tout haut
Vous n’aurez plus ma voix
De vous savoir là est un problème,
Comme le destin, l’inattention et la servitude
La droite à bigots et la gauche défroquée
Les mises sur cheval de mauvaise close
Les chantres de coffres à blé noir
La laïcité, la justice et les coups de pieds au cul
La démobilisation des anges de la liberté
Sont des problèmes à cire glissante
L’homme à cervelle vide comme un bidon
La jeune fille en verve au mur des magazines
Miroir de la belle dame aux appâts mûrs
Psychologues en habits de conversion
Philosophes tatoués au nombril de leur monde
Usuriers des flux migratoires
Marchands du sang des affaires
Vendeurs de sexe à chimères désunies
A celles des cœurs battants de peur
Tout cela n’est pas un problème dans le marais des psychédélices…
Mais à la pensée des idéoles, il n’y a pas pléthore indigente
La lumière des matins arrose les sourires
Le brouillard des songes écarquillent les yeux
Au doigt du réel, la rosée devient tendresse
Et sous les hauts-vent, les murmures se pausent
Tels des feuilles venues de la forêt d’allégeances
Les placiers de grabuges ont déserté le portique des cultures
Bien leurs en a pris,
Je n’en ai plus de nouvelles
Et cela me sied à merveille.
Mais vous, Chères et Chers Idéols(es)
Comment allez-vous… ?
Date de dernière mise à jour : 26/08/2018
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