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En temps de paix la meute est masse – En temps de guerre la masse est meure – Valdalgar
DE LA REALITE PHYSIQUE A LA DECONNEXION VIRTUELLE & RECIPROQUEMENT
Je crois malheureusement que chez certaines inconsciences et néfastes consciences, la renaissance de l’esprit des temps immémoriaux des lumières est définitivement compromise… Ou alors est-ce le scélératisme qui habite la philosophie politique, et les asthénies intellectuelles qui formatent la pensée antihumaniste… ???
2017 : PIB Mondial estimé à 170 000 000 000 000 $
Théoriquement et économiquement estimé, par des études scientifiques, l’humanité aurait besoin d’environ trois planètes. Ce qui peut laisser envisager que le PIB SOCIAL ECONOMIQUE MONDIAL, par la transformation des matières premières, la fabrication d’objets et l’échange, de bien(s) et services ; international, y compris les actifs financiers ; serait de 510 000 000 000 000 $
Ce calcul n’est pas forcément saugrenu, sachant que la France – Nation économique située à la 6ème place du classement mondiale avec un PIB par habitant de 32 000 € annuel – le PIB est de 2 200 milliards d’euros par an et les actifs financiers estimés à environ 4 000 000 000 000 €. Il est possible de comprendre ce phénomène de ‘’bulles financières’’ en analysant les écosystèmes notamment ceux liés aux logements et à l’habitat citadins surévalué dans ces métropoles et mégapoles, notamment à cause de la concentration des populations. Voir crise des subprimes aux Etats-Unis, en 2008. Elle fut liée à une spéculation financière, déraisonnée, et s’orienta vers une crise macro-économique mondiale, dont ces effets sont, encore, ressentis une décennie plus tard.
En science macro-financière et études du référentiel monétaire ; ces ‘’bulles financières’’ sont accréditées à la phénoménologie des ‘’tâches solaires’’.
L'ordre social n'est pas dans une situation d'altérité radicale puisque ce sont les hommes eux-mêmes qui l'ont engendré. Cet ensemble de valeurs qui, par opposition au holisme, « valorise l'individu, et en même temps néglige et subordonne la totalité sociale ».
L’Homme est-il, dans sa généralité civilisationnelle, un animal grégaire à actions répétitives et réactions désordonnées existant dans un système sociétal multiculturel à conformisme béat et consumérisme endiablé… ???
Conclusion numérique : La bulle financière mondiale actuelle est donc d’environ un demi-trilion ( 500 000 000 000 000 $ )
soit 500 000 milliards de dollars
2018 : Investissement financier dans le domaine écologique et les énergies renouvelables
219 milliards de dollars
Soit : 0,001288 % - environ 1,3 millième de la réalité sociale-économique mondiale
Et : 0,000429 % - environ 4,3 dix-millième de la bulle financière mondiale
Conclusion à court terme (une cinquantaine d’années) : Si la civilisation humaine ne change pas son comportement matérialiste et ses fonctions existentiels… ; un nouveau déclin civilisationnel est assuré…
Certains esprits sont parfois un peu inconscients ou dramatiquement engagés au demiurge démoniaque dans la conceptualisation de fonctionnements politico-socio-culturels illogiques, uniquement hors de leurs concepts et portées imaginées trop souvent inflexiblement corporatistes ou électoralistes, et parfois tordues déontologiquement par des programmes logiquement indispensables aux développements de leurs intérêts lobbyistes, à tendance particulièrement unilatérale, invectivée par quelques sources dysfonctionnelles nécessaires à l’acquisition du tout avoir, tel une prosternation devant le dieu de la possession plutôt qu’un alléluia envers la déesse de la sagesse, où la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice n’ont plus que l’apparence de statures disloquées.
Hou la là, que de sujets indélicats et épineux car insensiblement dépourvu de ce que je nomme: l’Intelligence de Raison Humainement Acceptable…
Et malheureusement, j’ai bien l’impression dans ce système sociétal, que le fonctionnement primaire est bien en celui des baiseurs et des baisés, où les premiers se doivent de dépenser une énergie phénoménale s’ils ne souhaitent pas faire partie de la deuxième catégorie, et où dans toute cette agitation, ceux qui ont le vrai pouvoir ‘’enculent’’ tous les autres… Mêmes celles et ceux croyant en avoir un petit… De pouvoir…Tout cela en évinçant les potentielles meilleures formes de la liberté d’expression, ou la plus névrosée est celle de faire un déni d’analyses et d’études envers de potentielles meilleures compréhensions. Où en ces temps troublés, je réussis souvent à percevoir cette capacité assez particulière, affichée par certaines ‘’entités humanoïdes’’ leur laissant supposer qu’elles détiennent la ‘’vérité’’ par leurs croyances en certains évènements survenus bien avant leur présence sur cette belle planète verte et bleue nommée ‘’TERRE’’. Au nom de je ne sais quelle propriété physique ou immatérielle dont ils en seraient les détenteurs, les autorisant à prétendre savoir interpréter les mots, signes et codes venus d’autres époques où les conditions générales d’existence de majorité de ces petits grains de matière organique inconscients n’étaient qu’effrois, anxiétés, dénuements, incertitudes démiurgiques quant aux fonctionnements physiques de la Matière, des Energies de la Nature et du Vivant, où les moins septiques réussissaient à émettre quelques théories qui s’avèreront vraies, alors que les ‘’autres’’ trouveront de par leurs incapacités d’analyse et défaut de compréhension a seulement y accoler les mots miracles ou magies. Et depuis des siècles d’évolutions scientifiques et technologiques, l’espèce humaine n’a réussi que petitement à indexer certains dogmes, vers d’autres possibles vérités plus proches du ‘’vrai’’ sens ontologique de la représentation de l’être physique… Qui est pourtant juste celui d’essayer de comprendre ses espaces touchables et touchant, où cette deuxième ‘’dimension’’ ne peut commencer à être perceptible que grâce à ‘’l’Intelligence de Cœur et de Raison’’… Ici ! Là ! Maintenant !
Au nom de nos petits et petites devenirs…
Et pour comprendre cela, il n’y a aucun besoin d’invoquer certains paradigmes, que nous n’avons de toutes façons, en l’état de nos connaissances, savoirs, et compositions biophysiques aucun pouvoir à approcher ! Alors que pourtant ; depuis longtemps les plus beaux espaces temps se trouvent assurément en certains merveilleux jardins existants, encore en quelques petits recoins, de cette belle ‘’sphère’’ bleue teintée aux couleurs de l’arc en ciel, devenant malheureusement de plus en plus rares, où le principal vecteur à ce phénomène de déstructuration, engendré par l’inconscience et l’égocentrisme, en est sans aucun doute, encore aujourd’hui le ‘’facteur humain’’, trop souvent volontairement hermétique à penser que certains de ses objectifs et intérêts corporatistes ne sont que sources de chaos lorsque les zones de ‘’libertés’’ apprêtées aux meilleurs savoirs être et utiles savoirs faire se réduisent comme peau de chagrin, où encore en trop d’Etats ces ‘’fous’’ de croyances spéculatives envers d’irréels modèles, ont dévié le véritable sens sémiologique des écritures par leurs incultures épistémologiques, philosophiques, éthiques, biophysiques, anthropologiques, paléontologiques, spirituelles, philologiques, au détriment de laisser liberté à croire en d’autres pensées et cultures beaucoup plus logiques et réelles, et assurément plus proches du respect de la Nature, du Vivant et des belles théories…
Plusieurs années avant nous ‘’l’Homme’’ ne comprenait rien aux éclipses, ni aux autres phénomènes physiques saisonniers, circonvolutions astrophysiques et autres transformations, covalences ou évolutions inexplicables à l’époque, qu’elles soient assignées à notre Terre, notre Système Solaire, ou plus loin dans l’Univers… Ils, elles croyaient que les dieux et les déesses étaient les auteurs(es) responsables de ces fonctionnements. Et depuis la révolution industrielle liée aux avancées scientifiques et technologiques devancées par quelques génies et théoriciens des sciences physiques et chimiques des temps immémoriaux des lumières ; puis grâce aux découvertes initiées par quelques Chercheurs-Trouveurs-Assembleurs et Attracteurs(es) – CT2A – efficients ; dont leurs prédécesseurs avaient déjà commencé à évoquer quelques théories, ils, elles, nous ont permis d’apprendre et de comprendre pour parties, en l’état de nos savoirs, certains aspects et paramètres de la physique, de l’astrophysique, de la mécanique quantique, la biophysique, la chimie et de par la gnose, la phénoménologie ; l’étude des assemblages permettant cette composition minérale, végétale et organique terrestre incluse dans l’univers cosmologique, où dans cet espace-temps intrinsèquement métaphysique, l’homme se prend trop souvent pour un ‘’dieu’’, alors que son apparence ressemble encore à celle d’un ‘’âne’’ dopé à la culture sectorielle antisociale, anti-communautaire et antihumaniste source de fractures, à contrario de celle multidisciplinaire en rapport avec les magnificences du monde, de la nature, de l’univers connu, et les espaces ayant potentiel à être reconnus dans leurs dimensions touchantes… Proches des langages poétiques, du romantisme, la lecture, la dialectologie, l’épistémologie, l’éthologie, la sémiotique et l’efficiente curiosité. Pour cette simple raison qu’en l’analyse, et l’étude sémiologique autorisant la compréhension des liens entre la physique, la philologie, la philosophie, la logique et les langages mathématiques et peut-être autres plus songeurs, nous en sommes toujours à l’âge-de-pierre concernant la nature ontologique de l’être humain.
Et tout cela car souvent les mauvaises consciences prédatrices, narcissiques et cupides sont devenues sourdes et aveugles aux vrais sens de l’existence du vivant. Sont-elles persuadées d’être proche d’un dieu décideur et organisateur, alors que bien souvent ils ont revêtis les habits des croyances fantomatiques indéfinissables, voire imbéciles, déraisonnables et sont irrémédiablement étanches au savoir universel… ? Avec pour les plus mauvais esprits, le prix d’excellence dans l’exercice de la désorganisation, où dans ces états l’activité de prédilection en est généralement l’art de la guerre, qu’elle soit idéologique, territoriale, éducative, économique, sociale, intergénérationnelle, culturelle, religieuse et bientôt civilisationnelle, avec pour seule indigence intellectuelle celle de maintenir un équilibre suffisant et nécessaire, afin que le genre anthropocentrique puisse éloigner d’eux les conflits ethniques, sociétaux ou culturels, afin que les libertés d’expression consistant en l’art de penser autrement, ne puissent entraver leurs dogmatismes frappés au mur de l’incertitude, ou malheureusement, les hommes et femmes sincères envers leurs sensibilités partagées et surtout les enfants en subissent les pires outrages pour des intérêts individualistes et didactiques trop souvent voués à l’ordre du ‘’Malin’’.
Tout cela en étant inconscient que dans cette illogisme, tous et toutes pourront, à terme, avoir la certitude que le ‘’monde’’ ne sera plus seulement proche de la mauvaise évolution, mais assurément devenu à ce moment-là, synonyme de chaos, destructions, obscurantisme et asthénies enclavées dans la caverne de Platon…
Certaines ‘’entités’’, ont elles également éclipsé cette adage universel édictant…
- ‘’Tout élément soustrait ou diviser tend invariablement vers le moins… Et aucune vie n’a possibilité à être vue, entendue et touchée par moins d’une, tout simplement car moins (-) d’une vie n’a aucune définition réelle en ou hors de son lieu d’existence biophysique et matériel’’…
Mais bon, nous entrons là dans le domaine du réalisme philosophique, où lorsque cet ‘’art’' de l’analyse aura disparu, alors l’incompréhension sera totale, avec pour état final la désintégration de la nature et du vivant.
Et en toutes les façons, en premier lieu par invective déshumanisée, car cette belle ‘’TERRE’’ pourra, même sans ‘’nous’’, encore tourner rond pour environ 4,5 milliard d’années…
Ce qui n’est pas le cas de toutes et tous…
Michel asti
L’écriture est la meilleure façon de s’exprimer sans être interrompu.
Jules Renard
Les pages blanches sont le terreau dans lequel nous cultivons le monde de notre imaginaire. Nous plantons les graines du rêve que nous arrosons avec des pichets de dévouement, et les fertilisons avec des desseins saupoudrés d’enthousiasme, jusqu’à ce qu’elles germent et produisent les bourgeons des fleurs de notre âme, les écrits de nos pensées, de nos amours, de nos désirs, de nos œuvres, nos amitiés et notre rédaction…
Davina J.Rush
Il y a une différence décisive entre les hommes, selon qu’ils peuvent se comporter envers les autres comme des spectateurs, ou qu’ils partagent au contraire sans cesse leurs souffrances, leurs joies, leurs fautes : ce sont ces derniers qui sont les vrais vivants.
Jean de La Bruyère
Je ne peux gagner à ma cause que la partie superficielle des gens ; on n’obtient leur cœur que par l’agrément des sens – j’en suis aussi convaincu que je le suis d’être vivant.
Lichtenberg – Observations sur l’homme
L’écriture m’autorise ; avec la recherche, l’analyse, la documentation et la lecture d’autres récits et écrits, de compléter les cases vides de ma connaissance… Même si je sais qu’une seule vie ne saurait combler la totalité de mes capacités, souhaits, désirs et savoirs ; je ne veux taire l’humanité disposant en elle d’une richesse millénaire qu’elle n’a cessé de partager et ce qu’elle a appris ou réalisé au fil des siècles ; me permet de penser qu’elle possède une source inépuisable d’expériences, de facultés, connaissances et savoirs qui peuvent nous inspirer… Nous, les Esprits Libres…
ICI… ; Seul, les « REELS(LES) » m’interpellent…
[…] Quelques notes sur le langage…
« Le monde est une résonnance qui invente la dissertation »
Descartes (philosophe et mathématicien) disait: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’. Alors que ; Bergson disait: ‘’La vraie liberté n'est pas la liberté d'indifférence, mais la libération de notre plus intime et originale préférence’’. Essayons de démontrer si ces propositions sont potentiellement vraies, ‘’où’’, ‘’comment’’, ‘’pourquoi’’ ou au nom de ‘’quoi’’, et peut-être ‘’pour qui’’... ???
Et commençons par la première si tu veux bien.
- Hou la là, ‘’Einomhra’’, attends un peu, s'il te plaît avant de disséquer ces deux propositions tels des batraciens dans une classe de biologie. J'aimerai d'abord te faire une petite démonstration, si tu veux bien, avant d’essayer de définir ces deux postulats…
- D'accord ! Lui répondit-il.
Il l'a connaissait suffisamment pour penser qu'elle allait encore l'emmener devant une porte, dont le passage pouvait bien ressembler à une aporie. Mais cela ne lui déplaisait pas.
- Je vais poser sur le tableau noir à l'aide d'un morceau de craie blanc tenu dans ma main, un signe, que je considère être un point blanc, tel un ‘’quelque chose’’ posé sur ce référentiel noir, qu’est le [tableau].
J'avais compris où elle voulait m'emmener, la maligne. C’était en la dimension de la précision par la description faite des objets-sujets que nous percevons à l'aide de nos sens.
- Avant de nous demander si les deux propositions initiales sont vraies…
Recherchons si les éléments qui les composent sont, indépendamment les uns des autres, du mieux qu'il se peut, ‘’vrais’’. Commençons par le terme final de la première proposition, en ‘’remontant’’ l’axiome jusqu’à ‘’l’indifférence’’. Le terme final de ce postulat étant la ‘’liberté’’.
1- la liberté.
La liberté est un concept
Un concept est une représentation
Une représentation est perceptible par au moins un de nos ‘’sens’’, donc, la liberté est une représentation de notre perception, alors, la liberté est potentiellement ‘’vraie’’…
2 - le degré
Le degré est une unité de mesure
Une mesure est une quantité
Une quantité est un nombre de référentiels
Un référentiel est un objet
Et un objet est une représentation de notre perception donc,
Le degré est potentiellement ‘’vrai’’…
3 - Bas
Le bas est dans ce cas, la position d'un référentiel visualisé comme étant en-dessous’’ par notion de verticalité, d'un autre référentiel, donc le ‘’bas’’ est perceptible et donc potentiellement ‘’vrai’’…
4 - Le plus
Plus est comparatif de ‘’degré’’, donc le lien avec une ‘’position’’ existe, alors ‘’plus’’ (+) est potentiellement ‘’vrai’’…
5 - Est
Du verbe être, et être est un concept, donc potentiellement ‘’réel’’…
6 - L'indifférence
L'indifférence est un concept, donc potentiellement ‘’vrai’’…
Nous avons défini tous les éléments potentiellement sécables de cette proposition, à l'aide de nos outils, facultés et capacités mis à notre disposition. Essayons de procéder à leur énumération en leurs appliquant la notion d'utilité nécessaire à la détermination du ‘’vrai’’ de chaque élément de la proposition, par ‘’oui’’ ou ‘’non’’, afin d'en déterminer le ‘’vrai’’ de la proposition.
1 - La vue. Cette faculté permet-elle la visualisation de cette proposition sur son support ? OUI
2 - L'ouïe. Cette faculté permet-elle d'entendre la proposition écrite ? Oui, si elle est racontée.
3 - le goût. Cette faculté permet-elle de goûter la proposition écrite ? Peut-être, mais si nous la mangions, nous ne pourrions plus la lire, donc NON.
4 - L'odorat. Cette faculté permet-elle de sentir la proposition ? NON, pas assez sensible
5 - Le toucher. Cette faculté permet-elle de ressentir physiquement la proposition ? NON, pas assez sensible, sauf dans les cas de ‘’non existence’’ de la ‘’vue’’, grâce à certains ‘’outils’’, permettant l'écriture du ‘’toucher’’.
6 - la perception ?
Définition: la perception est une faculté biophysique où le phénomène physio-psychologique et culturel relit l'action du vivant aux mondes et à l'environnement par l'intermédiaire des sens et des idéologies individuelles ou collectives. Chez l'espèce humaine, la perception est aussi liée aux mécanismes de cognition par l'abstraction inhérente à l'idée et aux notions apprises par la pensée et conservées dans la mémoire.
Afin de nourrir et alimenter par la pensée cognitive et l’imaginaire, ces deux partiellement in-connus(es) que sont la connaissance et le savoir…?
Cette faculté a-t-elle la propriété de déterminer une proposition comme réelle? OUI !
A partir de l'instant où un des cinq sens au moins a réussi à déterminer la proposition comme ‘’existante vraie’’.
Donc cette perception est un des outils essentiels à la construction de la connaissance, et si cet outil était perfectible, le savoir en serait-il affecté ?... ; et par voie de conséquence, la pensée ? La théorie ? Voire l’évolution ?
Et peut-être, d'autres ‘’inconnus (es)’’…? Ou, Où auxquels cas, ces outils supposés perfectibles, seraient-ils aidés par ‘’autres’’… ?
Et à ce moment-là, tout à sa pensée qui ‘’naviguait’’ dans quelques espaces inconnus, prenant des notes, sans parler, ni ‘’Elle’’, afin de transcrire ses idées, il levât les yeux et la regardât. Il vit un large sourire sur son visage, et crû entrevoir aussi une petite étincelle dans ses yeux, mais à part cela, elle ne répondit point à son regard interrogatif.
Lui avait-t-elle envoyé un message…?
Il pensât que oui. Mais sa perception insuffisamment sensible en cette circonstance, ne lui permit pas d'en avoir certitude absolue, il se replongea donc dans ses pensées ‘’mathématiques’’ avec une nouvelle motivation.
Maintenant que sont définis tous les éléments de cette proposition comme étant potentiellement ‘’vrais’’ nous pouvons considérer cette proposition, potentiellement ‘’vraie’’ dans son ensemble de mots, signes et expressions.
Mais, existe-t-elle ?, et surtout où ?
Existence de cette proposition.
Nous avons déterminé qu'elle était ‘’vraie’’, nous aurions tout aussi bien pu, la considérer ‘’fausse’’, si au moins un déterminant, ou tous les termes qui composent ce postulat avaient été ‘’faux’’.
Ce n'est pas le cas, et même si cela avait été ainsi, nous n'aurions pas eu la certitude de sa non-existence ‘’ici’’ ou ‘’ailleurs’’, car nos sens, en tant qu'outils mis à notre disposition, ne sont peut-être pas utilisés de la meilleure façon, et d'autres existants potentiellement, pas encore compris et parfois que partiellement identifiés, voir aujourd’hui encore limités de par notre constitution biophysique et intellectuelle…
Avec ce que nous avons à notre disposition (sens, perception, connaissances acquises, pensée cognitive, imagination,........ Etcétéra…), et la façon dont nous avons utilisé ces outils, nous avons réussi à déterminer la proposition comme concept de ‘’vrai’’.
Maintenant, considérons la ‘’liberté’’ et ‘’l’indifférence’’, comme deux ‘’quelques choses’’ possédant la propriété d'être ‘’vraie’’, donc potentiellement réelle, tel que: ‘’
… « L = Liberté et I = Indifférence »…’’
Et nous avons dans la proposition, un ensemble énonçant:
Un ‘’quelque chose’’ est plus bas qu'un ‘’autre quelque chose’’, synonyme par définition d'un ‘’quelque chose’’ comme étant ‘’subjectivement’’ ; soit la liberté, soit l'indifférence.
Notre perception, nous permet donc de dire qu'il existe un lien de verticalité (hauteur), entre L et I, induit par ‘’le plus bas’’ et ‘’degré’’, permettant de visualiser une position ‘’plus basse’’ quelconque de I par rapport à L. Dans l'état actuel de nos connaissances acquises depuis le début de ce chapitre, la perception la plus évidente s'inscrivant dans notre pensée est au minimum celles représentées ci-dessous par les positions de (L…I) conformément établies, sur le référentiel feuille.
IL […]
[…] LI…
AH !
ET […] Si nous avons acquis quelques connaissances du langage ainsi que notions sémiotiques, nous pouvons aussi visualiser raisonnablement celle-ci:
[IL … LI] ; avec T é L, où TL = « Temps Libre »…
Mais laissons ‘’TL’’ de côté pour l’instant et considérons que nous avons acquis quelques rudiments de ce langage, et conservons la visualisation: […I…L…] ; plus ‘’utilisable’’ maintenant, sur le support en ‘’trois dimensions’’ qu'est la feuille. Dans les deux expressions écrites initialement, notre pensée grâce à la vision, nous permet de déterminer une direction de L par rapport à I et inversement et dire en premier instance, I est moins (-) que L. Nous pouvons maintenant représenter la direction par une ligne dont les extrémités serait le - (moins) et le + (plus) représentées comme suit:
… « - I _______________________ L… + » …
Nous avons donc fait la représentation visuelle en langage mathématique et textuel de la proposition écrite en langage ‘’compris’’, énoncée par les signes [+ & -] et réciproquement …
« L'Indifférence est le plus bas degré de la Liberté… »
Par cette petite démonstration, il voulait juste lui faire savoir qu'il avait compris ce qu'elle lui avait raconté, et lui faisait confiance lorsqu'elle lui avait dit: ‘’Je veillerai toujours à ce que soit affecté toutes prédispositions d'utilisation à petits morceaux de matière organique ‘’pensant’’ du meilleur outil nécessaire à l'accomplissement de leur art’’ ; et il pouvait maintenant comprendre ce qu'elle lui avait transmis auparavant, par le texte ci-après :
- « Ces êtres doués (prédispositions) de ce langage (art) pour celles et ceux à qui il va être enseigné, par ceux et celles qui vont l'enseigner (transmissions), par activité de reproduction (dispositions), il a été raconté, et bien souvent admis par raisons de nécessité (apprentissage), puisque c'est la seule raison qu'ils, elles comprendront, car cette raison (cause) d'avant (innée ?) sera forcément celle d'après, peut-être légèrement modifiée (évolution) par association d'appartenance (lien), sauf à qui ce langage transmis ne serait plus la reproduction exacte ou légèrement modifiée (autre) de cette apprentissage (culture), par volonté d'en exprimer un autre (dessein) étonnamment, originalement et intimement différent (devenir) »… Au nom d’une potentielle évolution ; positive ou négative ?
Nous avons maintenant visualisé un système à une dimension, représenté par une droite dont le point le plus bas est défini par le signe écrit (-), et le point le plus haut défini par le signe écrit (+), où I est le degré le plus bas et L ; le degré le plus haut de cet ensemble, et notre pensée peut considérer cette espace à une dimension comme un sujet ‘’vrai’’, et ‘’existant’’.
Cette conclusion peut également être considérée comme ‘’vraie’’, car notre pensée, a ‘’symbolisé’’ dans notre ‘’conscient’’, grâce à sa faculté (propriété) de perception, par l'utilisation de ses ‘’outils’’ (sens), et, lui a permis de déterminer par notion de ‘’vraie’’, ‘’l’exigibilité’’ d'un ensemble, et peut être la non ‘’résistibilité’’ d’un système à une dimension en permettant une possible visualisation logique sur l’espace Euclidien, jusqu'au moment où, par notion de temps, cette pensée trouvera un ‘’quelque chose’’ resté inconnu jusqu'à l'instant de sa découverte, par le processus de la connaissance, la mémoire, la pensée, l’imaginaire et a pu être déterminé comme existant ou potentiellement ‘’réel’’ de, en, sur ou avec cette dimension de réalité, dont les propriétés positives, ou négatives auraient un lien avec les attributs déjà connus et considérés comme ‘’vrais’’, à l'instant où ils ont été perçus comme tels, et durables par notion de temps, dans cet espace quadridimensionnel. (Objet-Sujet 3D matérialisé dans le Continuum Espace-Temps, ET/OU dimension - [TEMPO-REELLE])...
Le ‘’lieu’’ d'existence de la proposition: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’ ; est donc un espace à au moins trois dimensions ‘’considérées’’, de par le fait, didactique, que la ‘’Liberté’’, ‘’l’Indifférence’’ et le ‘’Temps’’ sont chacun, chacune une représentation imaginaire de leur propre espace dimensionnel résidant de la même proposition alphanumérique, nommé Ensemble (E) ou Système (S), dont le lien serait un certain degré, point de vue ou perspective, mais nous ne savons pas où, en dehors de cette dimension qu’est la fonctionnalité textuelle et sémiotique ‘’émise’’, au même titre que la non présence ‘’matérielle’’ du temps dans la proposition, et pourtant existant ‘’réel’’.
À cet instant, il eut la sensation qu'elle le regardait écrire depuis un long moment, il levât les yeux de la feuille, pour la regarder, en laissant la pointe de son stylo sur la dernière lettre du dernier mot écrit, comme s'il attendait une réponse de sa part, afin de savoir s'il pouvait continuer dans cette direction ou pas. Elle dût ‘’entendre’’ sa pensée, car elle dit:
- ‘’Tu vois, grâce à tous ces outils mis à ta disposition, tu as réussi à en percevoir certains et à les ‘’toucher’’, afin d'en acquérir la plus belle des utilisations par et pour ton désir de trouver tous(tes) ces inconnus(es) qui te permettront peut-être de combler quelques vides sur ce grand tableau de la Vie au nom de ton amour d’ELLE…
Par ses mots, ‘’Elle’’ lui laissait espoir à imaginer qu'il devait exister d'autres outils, fonctions, vecteurs, connaissances, savoirs, liens et accords, entre les diverses intelligences humaines. Le tout était de savoir ‘’où’’. Cette pensée excitât son désir de ‘’savoir’’, et l'incitât à continuer vers cette ‘’direction’’…
Il remit le crayon sur la feuille afin de recommencer à écrire ; dans le but de concrétiser ses ‘’idées’’.
- ... Sa présence existe-t-elle dans un autre espace ? [...] + (…) … ∞
Et si elle existe ; où peut-elle exister ???...
Et pour quoi ou pour qui existerait-elle ?
Seule ou avec un autre ‘’quelque chose’’ lui aussi ‘’où’’ ?
Et Pourquoi ? Quand ? Et Comment ?... Ou pour quoi OU/ET qui ?...
Les questions pleines ‘’d'inconnus(es)’’, fusaient à une vitesse fulgurante dans sa pensée. Il avait repris son crayon, pour essayer de les poser sur la feuille, peut-importe si elles paraissaient incohérentes, c'était juste ‘’à temps’’ ; pour en conserver une trace sur ce support matériel qu'est le référentiel papier, afin qu'il puisse espérer retrouver, après, un peu de cohérence dans ces idées survenues, il ne savait d'où, mais obligatoirement de ses pensées ; et assurément résidantes de son imagination… Et pouvoir envisager l'importance ‘’existentielle’’ de découvrir le plus tôt possible les liens existants entre la parole dite, écrite, le langage mathématique, celui logique, et autres nécessaires aux échanges d’idées et de pensées utiles à une possible, acceptable et peut-être intelligible compréhension du Monde… Et de nous…
À ce moment-là, elle lui dit:
- ‘’S'il te plait, pose ton crayon’’. Comme si elle avait senti qu'il était pris de panique, et dont cette angoisse était le cœur du problème.
Etonné par sa demande, il posa son crayon et se tourna légèrement sur sa gauche, pour mieux la voir, elle était assise à côté de lui sur le banc, elle se levât, passât de l'autre côté du plateau de la table, et s'assit sur le banc en face de lui.
- Écoutes-moi, sinon tu vas péter un câble, lui dit-elle, avec un petit sourire rassurant quant à son possible futur état psychologique.
Je vais te poser une question:
- S'il te plaît, peux-tu me dire quel est le degré le plus bas de ces deux propositions en tant que définitions de l'intelligence ?
1 - L'intelligence est la faculté de se positionner le plus rapidement possible en harmonie avec une situation par tous moyens sensoriels et extra-sensoriels.
2 - L'intelligence est la faculté de positionner le plus rapidement possible une situation perçue, en harmonie avec ‘’soi’’ par tous moyens sensoriels et extra-sensoriels.
Il réfléchit quelques instants, et lui répondit: ‘’Je pense que c'est la première’’.
- Tu veux me laisser croire que ‘’de t'adapter’’ est moins que ‘’de faire adapter’’… ; ‘’apprendre’’ est moins que de ‘’faire apprendre’’… ?
- Oh non, mais je pense que la difficulté est moindre pour m'adapter que pour faire adapter.
- Pourquoi ? Cela te paraît-il plus difficile ?
- Non, mais je me connais mieux que la situation proche, donc les moyens à prendre pour m'adapter sont moindres.
- Tu as raison, tu te connais peut être mieux que la situation extérieure, mais es-tu sûr que cette situation est beaucoup plus compliquée que ce que tu imagines ?... Et très éloignée de tes dispositions intérieures… ???
- Non, je n'en suis pas sûr.
- As-tu utilisé toute ta perception et tes mécanismes cognitifs, afin d'analyser tous les éléments et paramètres de ces propositions comme existants, vrais et démontrables épistémologiquement ?
- Oui je pense.
- Donc, si tu as de par ta pensée, perçu comme ‘’vrai’’, tous les éléments ‘’connus’’ de ces ensembles, et identifié les possibles ‘’inconnus(es)’’, as-tu la certitude que ‘’de t'adapter à autres’’ est moins que ‘’de faire adapter autres’’ ???...
- Non, je ne l'ai pas, même si je suis attentionné.
- Aa haha… Alors, non seulement tu n'as pas la certitude, et en plus tu es attentionné.
- Hou la là, je vois ton joli sourire malicieux.
Non, je n'ai pas la certitude que ‘’de m'adapter à autres’’ par attention, soit forcément moins que ‘’de faire adapter autres’’ avec attentions.
En insistant sur l'ensemble de mots ‘’soit forcément’’.
- Excuses-moi, c'était juste pour te taquiner.
Tu as raison, mais il m’a semblé que tu n'en es toujours pas certain ?
Car j’ai perçu ton insistance, sur l'ensemble formé par les mots:
‘’Soit forcément’’.
Elle ne lui laissât pas le temps d'acquiescer et continuât:
- Tu penses peut être que l'une est moins bien que l'autre ? …
Ne lui laissant toujours pas le droit de réponse.
- Je voulais juste te montrer la difficulté de déterminer le plus bas degré d'une de ces propositions l’une par rapport à l'autre et te faire toucher la difficulté de ce langage parlé parfois source plus facile de tromperie, par rapport au langage ‘’écrit’’, au langage ‘’mathématique’’ et, surtout au langage ‘’logique’’ intelligible et compréhensible. Mais à cet ensemble de propositions, tu viens de trouver une ‘’inconnue’’ déterminante pour la définition de la catégorie de ces ensembles de mots. C’est : ‘’l'ATTENTION’’ ; accompagnée par la juste ‘’CURIOSITE, et de plus elles permettent de rendre jusqu'à un certain degré, tes sens plus performants et aiguisés. Mais cela est ‘’autre chose’’, car dans ces deux propositions existe un paramètre commun et indéfinissable qui est : ‘’le plus rapidement possible’’. Et ce déterminant est indéfinissable, car il est fonction du temps qui lui est un intouchable dans toutes les dimensions connues, mais perceptible partout, et à tous les degrés fonctions de sa ‘’temporalité’’ dans l’espace de sa potentielle synchronique. Mais laissons cela de côté, même si cette ‘’synchronicité’’ a une grande incidence, ‘’ici’’, entre nous, notre dimension intérieure et notre espace extérieur.
- J’aimerai te dire quelque chose, si tu veux bien.
- Oui, je t’écoute.
- Je crois depuis assez longtemps à une ‘’chose’’ dont nous ressentons plus ou moins ses effets sensibles en ses différentes forces représentées dans toutes les dimensions, mais dont les positions et degrés perçus par nous-mêmes sont fonctions des espaces ‘’touchables’’ et ‘’touchants’’ dont nous sommes plus ou moins proches et où cette énergie ‘’attractive’’ en est toujours partie intégrante depuis notre venue dans ce monde et certainement présente depuis l’origine de la conscience… ; jusqu’à notre maintenant dans notre propre espace de réalité et à l’intérieur de nous ; lorsqu’à un certain moment de notre évolution, où sont apparus les langages et les pensées cognitives, sources de la possible compréhension de notre propre perspective dans le Monde Naturel du Vivant et de l’Imaginaire potentiellement conceptualisable… Rousseau écrivait que l’homme ne naît pas ‘’mauvais’’, mais devenait ‘’malveillant’’ en fonction du milieu socio-économico-culturel et sa zone communautaire où il vit… Et s’y épanouit ou pas en échangeant idées et théories avec ses congénères.
Elle me regardât avec des yeux tout ronds, où je pouvais déceler quelques petits points d’interrogations furtifs, accompagnés par quelques ‘’étonnements’’…
- Peux-tu m’expliquer un peu mieux cette croyance car je pense qu’elle peut avoir quelques petites connexions avec la mienne.
- Je veux bien essayer de te transmettre du mieux que je puisse ma pensée tant philosophique que physique ; et peut être logique, mais plus tard si cela ne te dérange pas, car il me manque encore quelques inconnus(es) importants(es) pour la rendre quelque peu cohérente, surtout aux niveaux des perspectives philosophiques, sémiologiques, épistémologiques, physiologiques, et ontologique.
Et je suis certain que tu vas m’aider à donner corps à cette ‘’chose’’ présente dans mon imagination.
- Moi ? Et comment ?
- Avec tout ce que tu es et ce que tu représentes pour moi.
- Ho, merci de me dire cela, mais je ne vois toujours pas comment ?
- Tu le verras avec le temps. Hihihi i…
Sachant que : Si l’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude, alors la raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité.
- Bon d’accord, je vois que tu ironises maintenant. Alors je continue, vu que tu es bien parti.
Donc, ces deux propositions initiales, sont ‘’existantes’’ et ‘’vraies’’, leur degré respectif, l'une par rapport à l'autre est difficile à déterminer, et il n'est pas moins une vertu ‘’de faire adapter’’, que ‘’de s'adapter’’, mais tu n'as pas vraiment considéré dans cet ensemble deux ‘’existants’’ avec des attributs potentiellement connus, que sont ‘’harmonie’’ et ‘’extra-sensoriel’’. Les deux font parties des propositions, mais ‘’inconnus(es)’’ dans les deux dimensions que sont les deux propositions. Le premier que j'ai cité en tant qu'élément inconnu est ‘’harmonie’’ et ‘’Harmonie’’ est l'une des quatre composantes essentielles de la musique, comme les quatre couleurs principales nécessaires à faire une représentation graphique colorée sont le rouge, le bleu, le jaune et le vert, le magenta étant un degré entre le rouge et le bleu, le noir considéré comme absence de couleur et le blanc toutes les couleurs, même si je ne vois pas tout à fait les choses de cette façon, à savoir pour moi, le ‘’point noir’’ une ‘’singularité’’ et toutes les autres ‘’couleurs’’ des ‘’représentations’’, avec pour particularité, en celle que le ’’vert’’ n’existe pas en physique quantique… Mais réel en physique classique, biophysique et chimie moléculaire.
Laissons cela de côté pour l’instant, il est trop tôt pour en parler. Tu n’as, me semble-t-il pas encore toutes les connaissances nécessaires à la possible compréhension de ces dimensions épistémologiques. Et en musique une ‘’harmonie’’ est un degré perçu, voire entendu, les trois autres en permettant la composition musicale étant, le timbre, le rythme et la mélodie, (un, deux et trois…)… Et dans nos propositions, le deuxième, forcément restant, est ‘’extra-sensoriel’’. Je pense que tu es en pleine possession de tes ‘’cinq sens’’ et de tes ‘’facultés’’, et tu les connais bien…!?...
Il crut sentir une brève petite incertitude de sa part, mais il était tellement attentionné à tout ce qu'elle lui racontait, qu'il ne fit pas vraiment attention au ‘’sens’’ de sa dernière question, qui devait assurément être adressée à son endroit…
- Mais par contre les autres, les ‘’extras’’ pas vraiment ? Me semble-t-il.
Rassures toi, ce n'est pas de ta faute, c'est une question entre l’observateur et l’observé, fonction des conditions de ton corps dans le continuum espace-temps, du conscient, du réel, de l’inconscient, voire du subconscient. Ne sois pas inquiet, moi je les connais, et, ce n’est pas mal pour un début !
Et, elle se mit à rire avec une telle sincérité, qu'il ne put émettre qu'un rire joyeux, en accord avec ‘’Elle’’. D'un coup, elle s'arrêta, il en fit de même, comme pour la suivre, et quand il n'émît plus aucun son, elle lui dit, avec un petit sourire satisfait: ‘’Tu viens de rencontrer ‘’Harmonie’’!
- Quoi ? Dit-il, la bouche grande ouverte, comme pour avaler ses mots sonores qu'il n'avait réussi à saisir à la volée.
- Oui, tu viens de croiser Harmonie, insistât-elle, toujours satisfaite. Et ces homomorphismes, voire syllogismes ; sont interrogations quant à l’échange didactique, la convention, le choix, le désir, et l’intentionnalité…
Là, j'essayais de reprendre un visage, presque normal, signe de la confiance que je lui accordais.
- Voilà, je t'ai indiqué, ‘’qu'« harmonie »’’, est une des quatre composantes principales de la musique, mais en plus, c'est elle qui accorde le rythme, la mélodie et le timbre.
Le timbre étant l'émission sonore.
Le rythme, l'onde sonore périodique.
La mélodie, la succession des hauteurs sonores.
- Oui, et alors ? Marquant mon impatience.
- Alors, ‘’Harmonie’’ a intégralement accordé mon timbre, ma mélodie et mon rythme, aux tiens, avec joie, et je pense que tu en as pris autant de plaisir que moi.
Je ne lui demanderai jamais la fin de son exposé sur ‘’l'intelligence’’, j’avais compris que le plus haut degré, était: ‘’l'intelligence de cœur’’…
Je me levai doucement, sans faire de bruit, et fermai sans à-coups la porte de la chambre. Je me servi un jus d'orange, un café et un croissant, me mît devant la fenêtre où les rayons du soleil passaient au travers des vitres, et dégustai ce mélange, sans me précipiter, comme pour donner au temps une longueur plus grande, afin d'apprécier le maximum de ce que je ressentais.
Il me vint une pensée: ‘’C'est incroyable, en pensant à ‘’Elle’’, que certains êtres humains, engendrés par cette vie, puissent avoir à ce tel point cette formidable ‘’logique du cœur’’, alors que le cœur n'est logique que de par son fonctionnement biophysique. Alors je me souvins des quelques notions de base de la Métaphysique – Philosophique…
Il est dit depuis longtemps par majorité que les trois composantes de cet art, sont la physique, la logique, l'éthique et leurs dérivés dont l’éthique, dans et par ses formes liées à la morale, en a un nombre exponentiel, sans pouvoir exactement leurs donner un degré d'importance les unes envers les autres, à cause de la difficulté d'y trouver un lien entre l'éthique, la morale et les autres que sont : la métaphysique, la logique, l’ontologie, la déontologie et la poésie. Mais, aujourd'hui je commence à penser qu'il doit exister un lien entre la physique ; l’ontologie ; la métaphysique ; la morale, l’épistémologie, la logique, le romantisme et la poésie ; qui serait certainement en, par et avec :
- ‘’ Les accords entre les sciences et les arts, pour la compréhension des langages, au nom d'une possible pensée humainement acceptable, hors des orthodoxies prédatrices ; pour une potentielle synchronicité entre le corps et l’esprit ‘’…
[…]Tous nos désirs, actions, souhaits, réactions, comportements, etc… sont-ils imaginés et principalement endigués par, pour et avec l’autre… ???
Uniquement pour soi… ?
Pour un clan ?
Pour un groupe ?
Pour une communauté… ?
Des écosystèmes en échanges de bonnes intelligences ?
Des biosystèmes en utiles savoirs faire et essentiels savoirs être ?
Au nom de tous ces petits être-humains en devenir et les générations arrivantes… ???
Dans le monde naturel du et des VIVANTS…
C’est bien souvent en allant au fond de soi que l’on acquiert l’humilité, que nous réussissons à comprendre la grandeur de la nature, l’extraordinaire beauté du monde et percevons notre faiblesse vis-à-vis de la puissance, immense, de l’univers…
- Lorsque ‘’l’Homme’’ aura assimilé qu’il est une infinitésimale partie du TOUT que nous appelons UNIVERS.
- Qu’il aura entrevu que son existence personnelle représente moins d’une seconde à l’échelle de l’univers connu…
- Qu’il est un mammifère-humanoïde communicant et social, et ne peut qu’en rare cas vivre seul.
- Que son langage appris, su et compris est le lien premier dans ses dimensions échangistes multidisciplinaires, nommées dans l’ensemble de ; … ses réseaux : Espace Touchable et Sensiblement Touchant.
- Que les lois de la procréation sont les liens utiles et nécessaires à la survie de son genre…
- Que le maintien d’un équilibre existentiel dans ses zones de confort terrestres est le bien essentiel autorisant les accords entre le ‘’VIVANT’’ et son référentiel ‘’TERRE’’.
Et qu’enfin dans la totalité de la biosphère terrestre, majorité comprenne que la somme de tous les savoirs et connaissances ne fait pas la totalité de cet ensemble (E), à cause du phénomène holistique, partiellement assimilable… ; alors l’évolution du genre humain pourra prendre une direction nouvelle, après celle de l’ère industrielle, du productivisme béat et du culte de l’information ‘’buzzique’’ déconnectés des bons savoirs faire et utiles savoirs être…
M.A – LA CLE DU TEMPS DES MURMURES
A FLEUR D’EVIDENCES
Rien n’est plus incertain que la conscience
La sagesse maitresse par ses mots affiliés
Murmura aux oreilles de son estudiantin(e) :
‘’ Nous nous laissons souvent séduire,
Et sans fondement sur la belle vision,
Comme tout à chacun et chacune,
D’une certitude nouvellement née,
Croyons fort aisément,
A ce que nous craignons des plus grands désastres
Et désirons du plus grand des plaisirs’’…
Qu’il en soit plus qu’il en est de nos raisonnements qui n’eussent d’autres horizons que ceux de nos romances particulières en oubliant que chaque histoire singulière n’autorise en aucune manière de fustiger tout à chacun à propos de chacune ; et réciproquement, dans leurs propres désirs de refuser un démiurge insincère qui n’aurait pas ses fondements dans les lois d’un combat vif dicté par les pensées qui n’ont de vérité qu’à se rencontrer en celles d’observances éveillées ; plutôt qu’en nos rêves tournant trop souvent aux cauchemars entre possédants(es) & possédés(es).
Nous ne sommes pas tant parfaits et satisfaits par ce qu’il en devrait sortir de nos échanges composés en égal attachement envers ces ‘’choses de la vie’’ qui ne puissent contenter nos propres expressions de la liberté en défaut d’attentions véhiculées par précieux et suffisants(es) pour ce qu’il en retourne des différences de compositions entre les dissonances en dimensions touchables et celles de l’espace sensiblement touchant.
Il n’est de plus imprévisible plume que celle si piquante qu’elle en est dans le paradoxe d’une dureté si tranchante dressée sur ses lignes que d’une souplesse surprenante bordée à composition prévenante et, ainsi ; versée aux courbures des mots engagés. Les feuilles piquées aux sensibilités textuelles des nuits glaçantes s’opposent à potron-minet en effusion de pensées matinales se chauffant aux lueurs des horizons fiers, sans orgueil.
Vaillance aux abords des adjectifs colorés ; le complément circonstanciel en usage restreint n’y trouvait pas toujours places voyageuses postées aux débordements des fontaines à souhaits. Tiraillé entre une position, là… ; bercée aux analogues d’antécédents sans protection, l’humble sollicitude de caractères se fond dans les tourments des occurrences malmenées aux vergues soufflées sous tisons frissons.
En retour de participes passés, l’expression interrogative des rencontres insoupçonnées surveille un futur anticipant l’incertitude des non-dits cachés sous les voiles des mots sans son. L’impression languissante sous verbes taxés aux prémices d’ouvertures soupçonneuses s’immisce aux émissions des volcans chauffés à blanc. Aux abords du cratère les gardiens d’éruption surveillent les assises voyeuses compromises par l’article tant souhaité, sous les silences des contre-verses ardentes.
Que les teintes du désir sous-jacent s’immolent aux jets brûlants des anamorphoses pointées aux exigences consentantes que de cette plume n’y affleure plus les chatoyantes colorations du temps des encres violines s’octroyant tempérances entre les notes bleues des harmonies voluptueuses et les accords rouge vermeils de la passion débarrassée des habits de convenances…
J’estimais fort la contre-mesure des mots… ; étais amoureux de l’essaimage poétique et pensais que ces deux compositions pouvaient être bien utiles à la compréhension de toutes ces choses du monde, tant dans leur dimension touchable qu’en celles sensiblement touchantes ; proches de ma zone de quiétude ou un peu plus éloignées de ma lucarne des discernements…
Michel ASTI – AU VENT DES EMOIS
Date de dernière mise à jour : 24/10/2020
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