REFORMES EN DEMOCRATIE IRRATIONNELLE
REFORMES EN DEMOCRATIE IRRATIONNELLE…
"Le propre de la vraie forme c'est que l'esprit se dégage d'elle immédiatement, instantanément, tandis que la forme défectueuse le retient comme un mauvais miroir et ne nous rappelle rien qu'elle-même."
Kleist
La démocratie devient-elle une technocratie gérée par des politiques et leurs alliés ne voulant plus faire analyse juste et sensée envers une véritable économie sociale de marché ; ayant réelle attention envers une Démocratie Républicaine attachée à la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice… ?
Le peuple serait-il, en ces instances ; destitué des moyens législatifs et outils institutionnels dans un existentialisme injouable, avec un pragmatisme de classe ; en clans de technocrates désengagés de l’essence même d’une rhétorique affichée à une vision humaniste envers les enfants oubliés de la République ?
Leur paradoxe entre matérialisme et essentialisme est-il devenu le diktat de statuts liberticides envers l’utilitarisme de positions voué à dispositions d’accaparement sans véritable sens de la Démocratie ?
Cette singularité philosophico-politicienne n’est-elle que gestion administrative et technique d’écosystèmes, biosystèmes et ressources humaines intrinsèquement vouée à la gouvernance par les nombres, et non à celle d’une valeur ajoutée par étude faisant sens à l’existence du et des vivants dans le monde naturel… ; devenu précipitation envers un productivisme irrationnel au nom d’un consumérisme endiablé… ; ayant, peut-être ; oublié la posologie du discours entre les sciences et les arts…?
Une partie de ses DEBUTS trouve-elle sa SOURCE après les TRENTE GLORIEUSES, et l’AVENEMENT DE L’OUTIL informatique des ANNEES 80… ?
Ces effets du changement de PARADIGME ont commencé à se faire RESSENTIR réellement au passage du XXIème siècle, et notamment en 2008 avec cette CRISE ECONOMICO-FINANCIERE venue, entre autres ; d’outre ATLANTIQUE et alimentée par la SPHERE MONDIALISTE du capitalisme FINANCIER.
ECONOMIE - POLITIQUE et NEUTRALITE
Mars 2019 – EN MARCHE VERS UNE REFORME DES MATHEMATIQUES…
Et aller, Hop, encore une révolution pédagogique sortie de cerveaux lents structurés au conformisme déficient et incapables de se libérer dans la création, mais assurément compulsés par des étiquetages d’une technocrature politique prostrée au désir incommensurable de se donner en spectacle pour l’unique vacance désuète de ses membres envers un démiurge binaire, entre tout ou rien…
Comment espérez-vous, dans cette errance sociale-économique, qu’il puisse exister, en ces temps troublés, un intelligible vecteur attentionné autorisant la génération des 16 – 25 ans à pouvoir faire choix sensé et rationnel quant à leur futur existence communautaire, dans un monde totalement individualiste, surtout lorsque l’enseignement, la retransmission des connaissances, la pédagogie et les apprentissages sont devenus formalisation prédatrice dans une vision dénuée de factions équilatérales ; et tout cela dans un système de bien(s) et services marchant vers une rentabilité exponentielle et creusant ainsi le tombeau d’un autre secteur économique, non prolixe, et ignorant par-là même ; les circonvolutions d’un machiavélisme philosophico-politique dénué de toute attention en sollicitudes… ??? Dans un monde terrestre, fini.
A quelles aberrations éducatives serait-il propre de leur nature qu’elles n’en fussent point incorrigibles à marcher vers un abîme qui mène formes et styles en reniement de dignité et destitutions en conservation du bien commun… ; au nom d’une guerre économico-financière entre possédés(es) et possédants(es)…
Dans les années 80, l’éducation mit en place l’apprentissage linguistique par mémorisation… ; nous en dissertons, sans mal de tête intransigeant, le résultat actuel…
Tous ces experts, docteurs et spécialistes en ressources humaines ; ont-ils oublié que la MEMOIRE est chose aléatoire, subjective et ne possède en aucun cas facultés illimitées ; attachées aux mécanismes cognitifs du mammifère-humanoïde…
Ont-ils, sont-elles ; et réciproquement, dans une omission (volontaire ?) théorique stipulant qu’en toute matière les bases de la connaissance pluridisciplinaire sont essentielles à l’élargissement du champ des possibles… ??? L’existentialisme est un humanisme
En l’occurrence ; pour la morphosyntaxique du langage ‘’humain’’ – c’est l’alphabet qui autorise la composition de syllabes, mots, phrases, etcétéra… ; textes et lemmes explicatifs, voire compréhensibles… Et cela, non pas pour en faire, ‘’grâce’’ au langage politicien ; une rhétorique rendant vraisemblables les mensonges, crédibles les tricheries, respectables les ‘’petits meurtres entre amis(es)’’ ; et ainsi donner solidité à ce qui n’est que vil ‘’manège enchanté’’ farci aux bals des hypocrites prétentieusement comblés par un existentialisme perdu dans les profondeurs d’esprits sans vitalité, desquels n’y pourrait surgir aucun jaillissement autre que la duperie en tickets d’entrée chers payés ; envers une société sans embase…
Qui plus est, lorsque la valse entrepreneuriale, productive, technologique & commerciale des sociétés est soumise au machiavélisme défiscalisé par le prisme social-économique d’élites de pacotilles qui seront, majoritairement ; à la ‘’retraite’’, professionnelle, voire institutionnelle, tels des ‘’sages’’, qui ainsi dans leur sérénissime savoir auront ‘’encore’’ quelques solutions viables quant à ethnosociologie justifiable de justiciables… ; en déconstruction reproductive… non soluble avec le principe de subsidiarité entre sociologie de tempérance et économie de pragmatisme ??? Avant que la génération d’après y réussisse à étudier les quelques ‘’conneries’’ philosophico-politico-ontologiques de celles d’avant, où les moins férus(es) en pluridisciplinarité furent désaxés par une thésaurisation sociologique ; humainement inacceptable et souvent inintelligible pour autoriser une recherche des liens et accords du discours entre les sciences et les arts, suffisamment éloignée des temps immémoriaux des Lumières, pour laisser croire aux ignorants(es) et adeptes de la servitude volontaire ; que le retour à la pensée unique édictée en paralogismes philosophico-financiers ‘’modernes’’ serait la solution mondiale, valable, viable et sûre…
Aucune véritable action démocratique, ne saurait exister sans un minimum de SENS pluridisciplinaire.
J’avais l’impression, comme certainement ’’autres’’ en pareille situation, de ne plus faire partie de cette société civile, même à en avoir pendant des années appliqué tous les apprentissages, règles, et lois de vie sociale souvent dénaturés par quelques acteurs et actrices de ce marché de l’emploi déréglé et dérégulé, dont l’orientation de certains de ses imprésarios, avait me semble-t-il bifurqué vers quelques voies dont la navigabilité était toujours rendue difficile pour les moins bien outillés ou autres naufragés du système, car certains armateurs avaient trafiqué leurs boussoles, les empêchant par ce phénomène de rejoindre le port des emplois, des savoirs faire et autres compétences liées aux véritables savoirs êtres en tant que liens à tout bel échange. Où la juste qualité majeur se devrait logiquement, par et dans un type de comportements normaux, d’être celle de prêter attention aux fonctionnements des multiples zones sociales-économiques, afin d’entrevoir tous ces ‘’petits navigateurs et navigatrices’’ n’ayant plus moyens d’aller en dernier ressort, visiter d’autres contrées plus vivables que celles où ils résident, pour le simple commentaire que leurs revenus indispensables à une vie honorable et digne ne sont mêmes plus ceux du juste rapport entre l’essentiel et le suffisant, ou pire, lorsque les conflits internes à leurs pays sont sources de guerres civiles ou/et ethniques…
Mais leurs laissant toutefois faculté à percevoir ailleurs, grâce à la diffusion rapide d‘images et de sons, les ’’zones de confort’’ de certaines communautés possédant plus que le superflu, où le leur à terme risque, en néfastes causes, raisons et devises, d’être celui de la révolte attisée par les sentiments de l’injustice et de la rancœur, puis pour certains hommes, femmes et enfants, disposant de ressources suffisantes, la fuite après persécutions devenues assez facilement visualisables en certains lieux où les biens sont parfois mal acquis, destitués ou emprisonnés en trop grandes proportions loin de leurs possibilités à être de consistants et magnanimes outils proches du bel art des gens, où cette caisse vidée de ses meilleurs ustensiles sera assurément source de mauvaises tâches, inflexions dérogatoires inutiles et autres incidences socio-culturelles sombres, dont la seule cause première en laquelle pourront tous et toutes croire sera celle des rivalités imbéciles… ; suivies des inutiles corporatistes ou communautaristes exacerbés, par l’esprit de la division attisé par des classes proches du sectarisme, voire plus grands dédains et déchirements envers et entres autres espaces sociologiques fractals et dimensions dissonantes, génératrices de zones civiles chaotiques où pour meilleur compte, ces défiances et ces peurs se devraient d’être atténuées au nom de la belle évolution, en y trouvant les meilleurs accords proches de la liberté, de l’égalité et de la fraternité accompagnés d’une certaine forme de justice et attention humaniste, où les sensations de mauvaises compositions, présences fractales de déviances et mauvais accords ne peuvent être en cette conséquence, que le résultat du déni des vrais savoirs faire et bons savoirs être au nom du respect de ‘’SOI’’ et ’’AUTRES’’, où leurs meilleurs et extraordinaires effets participent pourtant bien aux belles évolutions amalgamées à ce genre appelé et nommé: « Espèce Humaine… Civilisée… ??? » Non ?... Sans être devin, d’ici une trentaine d’années, j’éprouve quelques craintes pour celles et ceux qui seront présents dans ces mauvaises contingences futures, si les comportements de l’humanité n’obliquent pas vers le bon sens du et des vivants… Et du ‘’mammifère humain’’ … Où ces deux états naturels se devraient d’exister en symbiose… Au nom d’une certaine forme de synchronique entre le corps et l’esprit… Dans les nouvelles dimensions de l’espace communautaire à viabilité existentielle et matérielle acceptable…
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Sécure : Le latin securus a donné le français Sûr. Et, si l’on trouve dans un texte du XIVe siècle « La securissime cité de Capue (Capoue) », il s’agit d’un latinisme qui transcrit le superlatif securissima.
Les formes Sécure et Insécure sont des anglicismes que l’on ne doit pas employer pour Sûr, de – confiance ou dangereux – qui n’est pas sûr.
Selon la définition d’Alain Rey (Robert historique de la langue française) ; la coordination est :
“ L’agencement des parties d’un tout selon un plan logique pour une fin donnée ”.
La mesure du [langage] ne dit pas tout, au contraire, elle dissimule ce qu’elle est incapable de dire.
Plusieurs philosophes ne réalisent pas que toute nouvelle mesure, tout nouveau calcul, toute nouvelle théorie naît avec un lot inséparable de métaphores qui n’ont rien de vrai, mais qui sont indispensables à leur usage. Seule compte ici l’utilité. Et cette utilité est concomitante de la technologie ou de la technique qui crée un nouveau domaine d’expériences. Cela implique que des analogies et des métaphores meurent et se fossilisent au gré du déclin de l’usage et de la popularité des technologies qui les alimentent.
Chacun se sentant si sûr de sa propre vérité qu’il en oublie trop souvent le sens de la formulation pour que la transmission verbale et/ou écrite de son discours puisse s’insérer dans un débat en recherche de ce qui ne saurait pas être qu’une approche en suffisance cachée sous le masque de l’ambiguïté opportune sinistrée par l’incompréhension d’une possible différence de point de vue analytique quant à l’évanescence des expressions textuelles sensibilisées aux impressions sémiotiques des vagabonds de mots…
A qui point ne s’émeut au « bon sens » par études des lois naturelles avant d’y faire actions qui n’auraient d’autres atours circonstanciels que ceux du refus d’une entente de raison dans une langue dont ils ont été instruits par les précepteurs de leur enfance qui n’eussent pour seule ambition que celles d’envoyer la génération d’après aux combats qu’eux-mêmes n’eurent aucun courage à mener ne peuvent être d’aucun jugement en leurs insuffisances à pouvoir expliquer les éléments narratifs constitutifs d’une période socio-anthropologique qui aurait conduit celles et ceux qui avaient emplois honorables aux traitement de la terre, des eaux, de l’air et de la nature à se révolter contre les pouvoirs d’une régence prostrée envers croissance infinie dans un monde fini par prescription d’un népotisme intellectuel conformiste qui n’ayant pour volonté que l’instrumentalisation de la génération future au profit de leurs uniques accaparements matériels corporatistes dont ils ne sauraient faire positions souveraines de leur propre vieillesse sans observance de leurs acquis, dont ils ne sauraient, en cette temporalité, jouir ; n’ont aucune efficience de préemption morale sur ces révoltés(es) soumis à l’inique diktat d’un pouvoir en gouvernances de divisions des utiles savoirs faire par sanctions équivoques envers justes causes et essentiels savoirs être en souhaits versés à une potentielle vision équilatérale du partage des richesses suffisantes, essentielles et nécessaires aux labeurs positionnés au respect des règles de conservation des lois de l’éthique du monde naturel du vivant.
Le texte est au minimum conçu comme une suite d’énoncés. Il est entendu par texte une séquence d’énoncés qui s’emploie dans une communication linguistique cohérente, suivie, pragmatique et sociologiquement acceptable par majorité des membres d’une communauté.
Denys le Thrace définissait déjà la phrase (logos) comme une ‘’ composition en prose qui manifeste une pensée complète ‘’…
Pourquoi donc se contenter de la prose ; i.e. dans l’esprit de Denys de Thrace et littéralement : ‘’ L’énoncé pédestre ‘’.
Certains scolastiques ont argué que la prose représente le langage sans apprêt, naturel. Cette limitation peut sembler n’être qu’une dialectique sans raisons grammaticales, mais reprenant certainement une définition d’ordre stoïcien, qui pour les besoins d’un format de logique, plus partisan qu’universel ; furent attachés au rigorisme du déterminisme sophistique de l’époque qui faisait du logos un énoncé strictement normé. Cette pédagogie scolastique n’était qu’une façon d’empêcher les travestissements rhétoriques qui auraient réussi à mettre en difficultés la sémantique attachée à l’herméneutique stoïcienne. L’énoncé fait donc choix assertif et l’on ne saurait s’étonner que l’observance pluridisciplinaire puisse entrevoir ; notamment par la pensée Aristotélicienne, le renvoi des énoncés non-assertifs à la poétique et la rhétorique. Les tenants de la sémantique au rapport des conditions véritables – VERICONDITIONNEL – procèdent aujourd’hui de façon comparable ; en renvoyant ces énoncés au pragmatisme sociologique qui s’est substitué à l’unique rhétorique des classes sociales supérieures, notamment à partir de la fin du XXème siècle, avec l’apparition de l’outil informatique source du développement des réseaux sociaux ‘’virtuels’’ associés à l’argumentation diversifiée et l’augmentation des échanges informatifs. Toutefois ce progrès technologique se doit de ne pas repousser, extrinsèquement ; les règles du langage de la logique intelligible énoncées par une grammaire évolutive, tant dans l’étude des restrictions dominantes millénaires qu’avec analyse linguistique de la phrase la plus déclarative et la plus banale….
La limitation de la linguistique à l’espace confiné de la phrase indique une situation de fait et non de droit. Elle témoigne donc du poids de la logique et de l’analogisme sur la condition même de l’évolution de la morphosyntaxique sociologique dans les énoncés syllogistiques aux conditions mêmes de la métaphore libérée des paralogismes ordonnés dans une destitution de la naturalité émancipatrice, dont la phrase, en tout énoncé ; est l’unité la plus grande.
LA LOI DU MARCHE AVANT LA BIENVEILLANCE… ?
Le XIXème siècle fut celui de l’avènement industriel initialisé par les premières découvertes scientifiques de la fin du XVIIIème, après la Renaissance au XVIIème. La technologie, les sciences et la création de nouveaux outils, matériels, matériaux, moyens techniques, dispositifs de communication et facultés humaines, nécessaires à indexer l’évolution des sociétés, prennent une ampleur extraordinaire, jusqu’à nos jours. Une partie de notre « modernité » commençât véritablement au début du XIXème siècle. Les nouvelles idéologies aussi. Les paradoxes de la philosophie-politique également. Ce siècle de l’avènement industriel vît, sur l’ancien continent la chute des monarchies. La fin de la révolution d’octobre en Russie enclencha une nouvelle ‘’guerre’’ entre le modèle capitaliste anglo-saxon, émancipé à plus grande échelle outre Atlantique, notamment en Amérique du Nord, et le communisme soviétique induit par la face autocratique, voire despotique de Lénine et Staline, avec les deux plus meurtrières guerres au XXème siècle.
L’histoire n’avance que par son mauvais côté, disait Marx.
Il est intéressant de voir que l’histoire de l’ancien au rapport du nouveau continent affichée par le nouveau monde des Amériques est en train de réapparaitre, telle une forme simiesque d’un passé sombre. Certes la modernité a apporté ses bienfaits. Notamment dans les domaines des transports, de l’alimentation, des normes de sécurité, l’hygiène, la médecine, les connaissances, la retransmission de l’information, la rapidité des échanges commerciaux… ; etc…
Mais tout cela n’a pas suffi à diminuer, proportionnellement à l’évolution démographique, les inégalités entre les hommes, les femmes et les enfants, l’iniquité sociale-économique, les conflits territoriaux, la fracture culturelle, le refuge identitaire et communautaire. L’accessibilité aux biens essentiels est de plus en plus compliquée, même dans nos sociétés occidentales. Ces dernières décennies l’incompréhension intellectuelle entre systèmes d’échanges de biens et services des villes, où sont concentrées les richesses, et régions rurales, en déficit d’emplois, s’est accentuée. La fête s’est terminée à la fin des années 80, après les ‘’trente glorieuses’’. Elles ne reviendront jamais, soyez en certain. Il faudrait que les sociétés modernes se réinventent en fonction de leurs évolutions technologiques, économiques et culturelles, si elles veulent s’émanciper des carcans sociétaux, de l’ignorance inflationniste installée par de néfastes corpus sociaux-économiques et culturels fracturant les communautés, territoires, pays et nations inconscientes du drame en déclin civilisationnel. Après la liesse faisant suite à la fin de la deuxième guerre mondiale et le renouveau de la construction européenne les démons affectés à l’anthropocentrisme de l’homme et des clans ressurgirent. Les fantômes de l’ancien monde réapparaissent. Les peurs, les incertitudes, la pression économico-socio-financière et les dogmatismes des nouveaux paradigmes culturels affichés aux néo-scientistes s’installent patiemment, au nom des lois et règles de marchés des « changes », soient disant inédits… ???
Mais bienveillants, parait-il…
Quand l’histoire se répète, disait Marx, la deuxième fois c’est une farce.
« La monnaie doit se donner pour légitime et cette légitimité ne peut se construire sur la base de la seule conscience qu'auraient les agents financiers du nécessaire recours à des objets conventionnels. Or, seule cette conception de la légitimité répond aux exigences et naturalités des thèses individualistes. Techniquement, c'est au travers de l'hypothèse d'anticipations rationnelles qu'elle se trouve formalisée dans les modèles socio-économico-culturels. En effet, cette hypothèse signifie que les représentations des agents sont identiques au vrai modèle de l'économie. A contrario, la légitimité suppose la croyance en une certaine matérialité des symboles…»
Aussi est-elle contemporaine d'un certain délitement ou déni d’évolution collectiviste, voire mutualiste des sociétaires, acteurs, actrices, réalisateurs, imprésarios, agents et échangistes des scènes nationales et internationales, perceptibles en et par les dysfonctionnements géo-politico-socio-économiques, devenus aujourd’hui divisions communautaires, où en certains lieux de conflits géo-politico-financiers, la valeur immanente est en ces états, indubitablement, ‘’ARMEE’’…
Au détriment de toutes ’’cultures’’…
Où le temps de la potentielle entente sera invariablement utopie.
Dimension qui ne peut être en aucun cas désolidarisée de tous objets symboliques, matérialisés par leurs essentialités, utilités, nécessités, disponibilités ou toute autre sensibilité en tant que sujet porté à son propre pouvoir, sur soi ou autres par l’effet de cette symbolique affective, devise sécuritaire, liberté attractive, attachement séculaire, immanence séculière, causes plaisantes, passion communautaire raisonnable, raisonnée… ; ou alors individuellement déraisonnable… ???
M.A
La nature a bien des moyens d’atteindre un même objectif. Telle une vague dans le monde matériel, dans l’océan infini du substrat qui imprègne tout, ainsi dans le monde des organismes, dans le vivant, une impulsion entama sa progression vers l’avant… Par moment, peut-être à la vitesse de la lumière, par moment, de nouveau, si lentement que pendant des éons et des éons, il semblait ne pas y avoir de mouvements. Passant par des processus d’une complexité inconcevable à l’Homme, mais qui dans toutes ses formes, à chacun de ses stages a ; son énergie toujours et pour toujours intégralement présente. Un unique rayon de lumière issu d’une étoile lointaine atteignant l’œil d’un tyran des temps passés peut avoir altéré le déroulement de sa vie, peut avoir changé le destin de nations, peut avoir transformé la surface du globe, si complexes, si inconcevables sont les processus de la Nature. Le meilleur moyen que nous avons pour appréhender l’époustouflante grandeur de la Nature, c’est en considérant qu’en accord avec la loi de conservation de l’énergie, dans l’infini tout entier, les forces sont en équilibre parfait, et par conséquent l’énergie d’une simple pensée, peut déterminer le mouvement d’un ‘’univers’’…
NIKOLA TESLA
Vous voyez donc par-là quelle est cette ignorance qui rend les actions involontaires ; et que ce n'est que celle des circonstances particulières qui est appelée par les théologiens, comme vous le savez fort bien, mon Père, ‘’l'ignorance du fait’’…
- Mais, quant à celle du droit, c'est-à-dire quant à l'ignorance du bien et du mal qui est en l'action, de laquelle seule il s'agit ici, voyons si Aristote est de l'avis du Père Bauny.
Voici les paroles de ce philosophe : Tous les méchants ignorent ce qu'ils doivent faire et ce qu'ils doivent fuir ; et c'est cela même qui les rend méchants et vicieux. C'est pourquoi on ne peut pas dire que, parce qu'un homme ignore ce qu'il est à propos qu'il fasse pour satisfaire à son devoir, son action soit involontaire. Car cette ignorance dans le choix du bien et du mal ne fait pas qu'une action soit involontaire, mais seulement qu'elle est vicieuse. L'on doit dire la même chose de celui qui ignore en général les règles de son devoir, puisque cette ignorance rend les hommes dignes de blâme, et non d'excuse. Et ainsi l'ignorance qui rend les actions involontaires et excusables est seulement celle qui regarde le fait en particulier, et ses circonstances singulières : car alors on pardonne à un homme, et on l'excuse, et on le considère comme ayant agi contre son gré.
- Après cela, mon Père, direz-vous encore qu'Aristote soit de votre opinion ?
Et qui ne s'étonnera de voir qu'un philosophe païen ait été plus éclairé que vos docteurs en une matière aussi importante à toute la morale, et à la conduite même des âmes, qu'est la connaissance des conditions qui rendent les actions volontaires ou involontaires, et qui ensuite les excusent ou ne les excusent pas de péché ?
N'espérez donc plus rien, mon Père, de ce prince des philosophes, et ne résistez plus au prince des théologiens, qui décide ainsi ce point : ‘’Ceux qui pèchent par ignorance ne font leur action que parce qu'ils la veulent faire, quoiqu'ils pêchent sans qu'ils veuillent pécher’’. Et ainsi ce péché même d'ignorance ne peut être commis que par la volonté de celui qui le commet, mais par une volonté qui se porte à l'action, et non au péché, ce qui n'empêche pas néanmoins que l'action ne soit péché, parce qu'il suffit pour cela qu'on ait fait ce qu'on était obligé de ne point faire…
Le Père me parut surpris, et plus encore du passage d'Aristote, que de celui de saint Augustin.
Blaise Pascal – Quatrième lettre
… Si la « croyance » devient « possession et obsession », elle entraînera tôt ou tard déception et colère, puis, la rancœur possédera, sans la plus petite once d’amour, le roi des animaux, car son combat pour sa croyance d’être le seul roi à avoir le pouvoir de gouverner les « prosélytismes », aura pris fin, et à ce moment-là, si la petite once est chassée par ses serviteurs ne croyant plus en « elle », alors, apparaîtra la « haine » présente, proche des lumières de la Lune brune, par son ‘’ombre’’ « n » fois puissance de lui-même… Sauf si L’indifférence, en tant que ‘’protection’’ de soi, n’est pas devenue le plus bas degré de l’attention…
" Nos croyances deviendront nos pensées
Nos pensées deviendront nos mots
Nos paroles deviendront nos actions
Nos actions deviendront nos habitudes
Nos habitudes deviendront nos valeurs
Nos valeurs deviendront notre destinée « ;…
Et si malheureusement nos croyances s’avéraient fausses notre destinée le sera aussi.
FRONTS – TEXTES
Non, ne compter plus sur moi.
A vous faciliter vos tâches de satrape
En écoutes de diktats simiesques,
Prendre vos ordonnances, argent comptant,
Avec croyances en soumission de veaux,
Agencés dans boxes à blé, coupé, de tout…
Dans vos bourses, rien, ne sera que ma défense.
Non, ne me demander plus encensement.
A discourir en falsification, par doctes de vaseline,
En glissement de tables assassines, inquisitrices,
Lire vos écritures livides – vies textes… ;
Avec illogismes, en narcissisme de books,
Affriolées en lisseuses à caches misère…
Hors de vos vestibules, culture ne sera que ma suite.
Non, ne m’obliger pas à adhérer.
A devenir membre dissident, à temps perdu,
En usurpation de synoptiques humanistes,
Echanges en partisanneries de cave,
Avec philosophie-politiques sans attention,
Primées dans des devises, de nazes,
Hors de vos partis, expressions seront mon signe.
Non, n’espérer plus vengeance, en thèse nulle.
A croire à paralogismes iniques, hors-humains,
En prisme de sollicitudes vaines, partitions manquées,
Se souciant plus des cieux que de la TERRE,
Avec sémio-centrisme en bio-scènes de destruction,
Postulats derrières les remparts d’un château de cartes.
Hors de mes songes, l’imaginaire sera mon creuset…
La culture, les savoirs et la connaissance sont le sel de la vie.
Les véritables amitiés et la réelle fraternité en sont le sucre.
Date de dernière mise à jour : 31/03/2019
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