PAUSE
PAUSE...
Le temps de l’attention envers le monde naturel, le cycle des saisons, la contemplation des phases végétales, l’étude du besoin animal, l’analyse des flux de tout ordre, la compréhension des énergies, l’utilité des cultures vivrières, s’effondrent au profit du temps de l’argent, de l’accaparement et du consumérisme frénétique. Et cela sans interrogation louable concernant de possibles dommages collatéraux…
La terre meurt, et la paysannerie aussi : elle devient un support, à produits chimiques, contraint et forcé par la religion du productivisme.
Le pragmatisme des sciences, technologies et techniques fonctionnelles envers les écosystèmes et biosystèmes n’y font que constats, sans convictions véritablement dynamiques en vue de leurs mises en œuvre. L’éthologie, les sciences humaines, la philosophie, la sociologie, la sémantique, la rhétorique, l’épistémologie langagière se sont, après multiples fourvoiements, posées sur leur cul… ; facilitant ainsi l’entrée des marques de prestiges, telles des godemichets aux services de sondages en stratégie politicienne soumise au seul productivisme endiablé….
Et tout cela dans une sémiotique tournée vers une mise à mort de notre référentiel existentiel, actée par des mammifères humanoïdes, prostrés(es), se souciant plus des Cieux que de la Terre et du monde du Vivant.
Femmes et hommes ont cessé de lever les yeux vers le Soleil, la Lune et le Cosmos. Ils ont fait un déni d’introspection envers les ‘’grands’’ arbres et les ‘’petits’’ cailloux aux profits artificiels des lumières claires-obscures agencées par clans de ‘’Précieux (ses)’’.
L’élite scolastique, l’herméneutique narcissique, l’irrationnelle pensée unique, le Talmud, les Evangiles, la Bible, le Coran, les écritures sacrées, les livres des instances religieuses perverses, l’ésotérisme des temples maudits ont fait leur office. Il y eu un temps où l’on justifiait l’ESCLAVAGE avec les mêmes arguments qui légitimaient les mauvais traitements faits aux animaux : leur infériorité, leur sous-humanité.
Les lois donnaient et donnent encore, sous diverses formes de discrimination, contenu à ‘’l’éthique’’ de la justice humaine….
Nous entrons dans une nouvelle ère, une 6ème extinction de masse, une possible autre chute civilisationnelle… Que cela en soit ainsi, la Terre n’a pas besoin du et des vivants pour tourner, sur elle-même, autour de notre étoile…
Pour encore quelques millions d’années…
POUR UNE SEMANTIQUE DES TEXTES
Les sciences sociales sont à un tournant. Au plan épistémologique, le sociologisme issu de certaines formes périmées du marxisme-léniniste, puis du capitalisme ‘’débridé’’, du communisme d’antan et de l’ordo-libéralisme subjugué par principe de subsidiarité, (une utopie hors formes de népotisme), a perdu les moyens théoriques de leurs servir de langage commun ; elles sont confrontées à des tentatives de réductions provenant des neurosciences et de sciences cognitives. Enfin la ‘’techno-logo-médiatisation’’ croissante de la recherche scientifique conduit à ne plus vraiment subventionner que des programmes susceptibles d’aboutir en principal à des brevets rentables et commercialisables ‘’rapidement’’ ; quitte pour arriver au but proche d’un corporatisme absolutiste, à faire fi des notions de responsabilités dans le système à réseaux ‘’humains’’…
Quant à l’objet des sciences sociales, on ne fait qu’accumuler des connaissances sans précédent sur la diversité des langues et des sociétés humaines, avec un effort sans précédent lui aussi, en tant qu’inventaire et conservation du patrimoine culturel à l’échelon mondial, alors que son véritable degré appelle à présent une réflexion théorique afin de penser la diversité de ce patrimoine, dans le temps comme dans l’espace.
Nous sommes confrontés au défi de mettre en valeur la diversité culturelle d’aujourd’hui, pour éviter qu’elle ne se réduise à la portion congrue de sa propre incompréhension aseptisée ; voire irrationnelle ou psychotique. Cela n’exige pas d’opposer un relativisme frileux à un universalisme dogmatique ; mais loin des réductions biologiques, anthropologiques, ethnologiques ou sociologiques qui ont tentées depuis l’avènement de l’ère industriel, après la Renaissance et le temps des Lumières, d’en déterminer uniquement les lois et règles sur les états successifs des fonctionnements des biosystèmes et écosystèmes, en faisant trop souvent abstraction ou déni des liens communautaires et culturels des échangistes en, et entre ces différents systèmes à réseaux ‘’vivants’’…
Cela conduit à affirmer l’autonomie concise et la spécificité sociologique de la sphère culturelle, et ainsi à poursuivre dans la direction tracée par l’entreprise philosophique des formes symboliques, permettant d’en définir les potentiels contours d’une sémiologie des cultures, fédérant en premier lieu les échanges par la linguistique, les mathématiques, la philosophie, l’histoire, l’anthropologie, la métaphysique (sachant que méta signifie : plus, après, entre, plus loin… Et pas autres choses spéculatives non prouvables par les connaissances épistémologiques) et l’étude de tous ces langages en tant que sigles, symboles, axiomes, lemmes, mots et expressions multiformes, qu’ils, elles soient émis(es), sous formes sonores ou écrites…
Dans l’espace touchant et sensiblement touchable.
Par conséquent, cette question technique pose la question d’un projet refondateur pour les sciences sociales, depuis naguère, et encore aujourd’hui teintées par diverses idéologies et néologismes ‘’troubles’’ au rapport épistémologique de l’éthique ontologique… ; et culturelle assujetties à la déontologie économique et commerciale. (Vastes sujets)…
L’étude des objets culturels complexes apporte en ce sens de multiples enseignements. Aussi, François Rastier (Directeur de recherche au CNRS) aborde dans ses analyses et par sa compétence, quelques questions et réflexions sur la ‘’sémantique du texte’’. La linguistique en reste bien souvent à la phrase et la morphosyntaxe, et constitue de l’avis général son domaine de prédilection. Elle doit encore beaucoup à l’héritage séculaire de la grammaire – la linguistique historique et comparée fondait ses fonctionnalités sur l’analyse morphosyntaxique… Le positivisme contemporain a renforcé cette prédilection. Où le vecteur le plus disqualifiant en est assurément la liberté de croire que l’attachement séculaire ne saurait être en aucune façon facteur déstabilisant par le manque d’attentions et le déni de justes curiosités envers ce, celles et ceux présents en ce monde naturel, assujetti à phénomènes holistiques incompréhensibles…
Et en constante évolution…
ASSOCIATION LIBRE
L’ASSOCIATION LIBRE’’ ne saurait être la seule liberté de choix personnel sans analyse du SENS faisant acte de CONFIANCE entre le locuteur et l’interlocuteur…
PLUS RIEN A PROUVER
Plus rien à prouver ; et surtout pas envers moutons, brebis, bigots, bigotes, soumis(es), calomniateurs et opportunistes de caves se foutant cyniquement de leurs congénères en appartenance de classes sociales-économiques et culturelles différentes…
Mais peut-être juste, en mon intéressement, à écouter les murmures de la vie sur Terre, entre attachement et attention au réel sens du bien commun, ainsi qu’à continuer à échanger avec personnes et groupes réseaux suffisamment lucides pour percevoir que la VIE n’est assurément pas une composition naviguant sur un long fleuve tranquille, en flux personnel et communautaires où les vagues ondulations ne seraient qu’épreuves de servitude et soumission envers quelques clans en pouvoir inique agencé par petits potentats, satrapes, Césarines, Césarins, Césarisés(es) et empruntés(es) atteints(es) de perversité narcissique suffisamment malveillante pour laisser croire à leurs subordonnés(es) que l’existence de chaque ‘’mammifère humanoïde’’, de type bipède, se souciant plus de la Terre que des Cieux, ne serait qu’un cheminement obsolète en usure d’un long apprentissage voué à une pensée existentielle bornée par les lois et règles en vacuité de réelle bienséance et véritable bienveillance…
En conservation du réel sens de l’existence de l’espèce ‘’humaine’’…
ASSOCIATIONS EN LIBRE ARBITRE OU IGNORANCE EN AMPLEUR DE FERMETURE INTELLECTUELLE… ???
Quelles solutions pour comprendre les besoins, intérêts, souhaits et désirs de l’interlocuteur et le locuteur… ; sachant que, plus la logique de l’observateur et/ou l’observatrice est considérée comme une atteinte aux prosélytes du groupe ‘’fermé’’, plus l’offense sera grande envers leurs membres soumis à la charte, en ronds-de-jambe de l’entre soi et de l’entre-suit, souvent instruit par l’administrateur ‘’communiquant’’ pour, dans et avec le seul sens dont il en fut instruit, par népotisme réduit aux seuls transcriptions liberticides du clan conformé aux scribes d’un monothéisme impérieux …
Même si ‘’l’association libre’’ peut se caractériser par un refus d’intégration faisant immédiatement suite à l’invitation en potentielles appartenances intelligibles, elle ne peut, pour être en possibilité de germer, s’abolir d’aucune cession quant à la position de l’interlocuteur(e) tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du groupe de locuteurs ‘’particuliers’’.
Pour la simple raison que l’échange est une fonctionnalité intermodale, structurée depuis quelques années par l’exponentielle diversité informative des idées réseaux affranchies de machiavéliques conformismes.
La scénographie ainsi imaginée permet alors d’avoir plus de perception quant à potentielle sincérité affichée au véritable sens du bien commun dans les écosystèmes du et des vivants, où le refus de cette évidence serait une contre-mesure en édiction intrinsèquement frappée au sceau d’un déni en association, de libres pensées, d’athéisme en inter-connectivité des sons & teintes de la ‘’gnose’’…
Après avoir compris qu’il était mortel, le ‘’mammifère humanoïde’’ théorisa les pires politiques-socio-culturelles, créa les plus néfastes religiosités-templières, thésaurisa les plus viles règles de l’échange commercial au détriment des lois du Monde Naturel, vendit les plus inutiles images des ‘’dieux du stade’’ à la plèbe béate, l’opprobre y trouva, momentanément, son compte.
Mais l’histoire ne s’arrêta pas là…
La construction de sa propre prison n’était point terminée…
Il starifia les néo-gloires scientistes, acta les thèses les plus grossières, après avoir inventé la plus grande force de dissuasion contre sa propre connerie, la ‘’Bombe Humaine’’ se crût devenue maître de l’ordre mondiale. Et le jour où les technologies auront dépassées les capacités intellectuelles de la ‘’machine humaine’’ ; alors apparaitra une génération de parfaits imbéciles déculturés(es) aux germes de la paranoïa fétichiste…
Dans un maelstrom en déni de considération philosophico-ontologique du VIVANT… ; et constituera la plus grande institution en grande consommatrice des énergies de la TERRE…
En déconstruction anti-créatrice…
Tous nos désirs, actions, souhaits, réactions, comportements, etc… sont-ils imaginés et principalement endigués par, pour et avec l’autre… ???
Uniquement pour soi… ?
Pour un clan ?
Pour un groupe ?
Pour une communauté… ?
Des écosystèmes en échanges de bonnes intelligences ?
Des biosystèmes en utiles savoirs faire et essentiels savoirs être ?
Au nom de tous ces petits être-humains en devenir et les générations arrivantes… ???
Dans le monde naturel du et des VIVANTS…
C’est bien souvent en allant au fond de soi que l’on acquiert l’humilité, que nous réussissons à comprendre la grandeur de la nature, l’extraordinaire beauté du monde et percevons notre faiblesse vis-à-vis de la puissance, immense, de l’univers…
LE POEME
Le barde, la poétesse, poètes et versificateurs écrivent leurs mots sur le mur de l’indifférence. A défaut d’utiliser un marteau et un burin, ils se contentent d’une craie. Les aiguilles de glace ne comblent pas les courbes de leur horizon. Ils font feu de tout bois, les joutes textuelles, les confidences mesurées leurs sont plaisantes…
Elles deviennent la teinte de leurs desseins.
Le plus léger murmure au pas d’une langue intelligible, sur les grandes plaines des amertumes écarquille leurs yeux.
Ils sondent la transparence du silence.
Ils, elles vous entendent sourire.
Parfois sous le poids des récusations.
Mais ces Idéols(es) et Attracteurs(es) refusent la fatalité usurpant les vocalises de vos désirs. En suspension d’incertitudes, ils savent que chaque clé forgée au souhait d’ouvrir une nouvelle galerie est une clarté tiraillée aux délices du chant entre la colombe et le faucon.
Ils n’échangent qu’à bon escient entre aurores et crépuscules. Ils savent que vos silences marquent souvent un rêve trop lourd, une absence éclatée où l’œil des sentiments les plus clairs n’y perçoit plus que la mort du cygne, dans un vol de poussière criblant le miroir des évidences en contre-mesures des fleurs de liberté.
Ils savent que l’inextinguible pensée attend toujours aux portes des songes, et le temps n’est plus l’ennemi.
Que n’est-il pas de chemin plus difficile que de changer sa position aux sensations de ce qu’il nous fut mal imaginé, par une justice soumise aux seules intransigeances des lois pour qui n’aurait pas sujet suffisamment simple pour qu’il en abordasse les chemins des inutilités désobligeantes.
Ce combat ne saurait s’accepter sans consentement au retour de nos incapacités à n’avoir réussi à nous destituer de la bienséance des beaux parleurs de ramage, où les courtisanes n’y réussissent plus aucun vertige autre que celui de la primauté à éconduire les gardiens des attentions sensibles, aux faveurs d’étranges bourses.
Bien que j’en eusse quelques aises en des temps inachevés, ce premier jour de l’an 2013, hors de cette cité, lyonnaise,
à cheval sur deux fleuves, je vis quelques lueurs aux courbes des nouveaux horizons. Au cours de cette fin juillet, ayant pris mes quartiers en cette vieille demeure, j’y entrepris de rouvrir quelques livres laissés depuis longtemps sur la table de chevet, aux commissures d’autres contraintes et priorités ajustées à mon ancienne réalité.
Mais vous, mes anciens camarades, sylphides, elfes, et scribes du vent…
Où êtes-vous ?
Que faîtes-vous ?
Et comment allez-vous… ?
Transigez-vous plus qu’avant ?
Au restez-vous toujours dans quelques accaparements désuets ?
Je vous serai gré de ne pas alourdir mes songes.
Le crépuscule de mes murmures y suffit amplement…
En liste de vers désunis, cela ne prouve pas qu’imagination n’est que folies de saison. L’universalité du combat n’y joue qu’avec l’espièglerie des logatomes, dorée au vent des phonèmes virevoltant vers contrée à lemmes songeurs.
Sémantique en lice n’est pas qu’affaire en pays d’Alice ; de même qu’en sonate de contre-étiquettes d’une Académie rabougrie par les flagellations de leurs tristes chaires affectées aux vocalises de l’ancienne garde des pairs tremblant.
Comme si lemmings, en cascade, sautant d’une falaise n’était que folie saugrenue, et, en cette sémiotique textuelle, à laisser croire qu’ils n’étaient que, petits rongeurs sots, sans envergure…
A seulement border Antigone ne saurait faire, d’Antipolis, que meurtrissures en fadaises de Régence, absorbée par l’inoculation du venin des néfastes flagorneuses et tristes sires, au pinacle de l’austère désillusion des marqueurs de soumission économiques, envers une Sophia en déni de connaissances….
Il nous était difficile d’entendre les vocalises de l’acceptable. Nous pouvions percevoir les coups de boutoir dans hystérésis généralisée. Ces harangues, en souffle perfide, couvraient la mémoire des véritables bienséances, au fil des membres innocents. Nous devinions que la sincérité des mots de transition ne sera pas en complaisance suffisante pour noyer le verbiage en rade de lèvres dissidentes, pourtant, parfois saisissantes.
Sous le flot des regards en coin, la pauvre ignorance, en peurs perdues, flagornait en rond de facilités aux abords des portes dérobées.
La lame de fond en intransigeance modale, sous affinité de songes équivoques, enflait fièrement à l’ombre des chimères clandestines et par trop cauchemardesques.
La déréliction, aux vents malencontreux, en insécurité de mains plus légères, sous couvert de visages aux lumières éteintes, pris son intendance dans les quartiers fixés par les fantômes de la confiance. En béatitude sans intrigues, le démon de l’inquisition gonflait ses troupes, en fakes-news de fausses gardes.
A ton rictus, diabolique, figé aux voix de mornes pénitences, vociférâtes en plan aux goûts d’amertume, nous préférâmes couper la ronce cachant les fragrances de la vie, quitte à entendre craquer nos os, sous la peau de nos chairs vivantes…
Quand nous marchions sous la pluie, nous entendions son cliquetis, et nous comprenions qu’elle voulait nous murmurer : « Ne marchez pas si vite, je suis partout ! »…
Quel est le plus important : réussir ou trouver un sens à votre effort de réussir… ???
LA COULEUR DE L’EAU
Je sais que j'écris avec des mots oubliés
Une langue des moissons pleines
Où le temps n'est plus un danger
Les fruits sont muris aux lumières du soleil
Gorgés des gouttes cristallines
Des messagers de la pluie.
Le temps travaille sous l'herbe tendre
Les ruisseaux s'adonnent à la terre
Epousent les crues des fleuves et rivières
Avant que leur ami chaleureux
Demande à l'eau de leur berceau
De reprendre un peu de hauteur
Afin qu’à la mer, elle parvienne.
Je sais aussi que parfois,
Les mots sont trahis par des lèvres
Aux sons des peurs récalcitrantes
A l'humble sincérité de l’apparence
Pour qui peut se souvenir
De l'accent des affranchis(es)
Et de la couleur du verbe
Aux murmures de sa transparence.
Plus la logique, en syllogismes, rédactionnelle s’accoquine à une sémiotique en échanges, philosophico-sociologiques, respectueux de la Liberté, de l’Egalité, la Fraternité et la Justice pour tout à chacun et chacune, plus l’offense sera grande envers le clan attaché à sa seule politique-templière filoutée aux branches séculières de religiosité-politiciennes sans compte férir autre que celui de la servitude refusant toute contradiction envers une quelconque conservation de ce bien commun fustigé par les paralogismes syndiqués au paradoxe de Mammon et d’un inopérant dieu, ‘’sécuritaire’’, dans le paradigme en usure de femmes et hommes conscients de l’essentialité en l’action utile à la conservation, voire au développement de ce produit engendré par les participants et participantes au système, productif d’échanges de bien(s) et services ; pluridisciplinaire…
LE LIVRE
Le LIVRE s'ouvre sur un poème testament : DEMAIN...
Le vent du lendemain lèvera les ombres ;
Tu souviendras-tu des aubes s'illuminant au film de tes nuits
Pour le jour à ne pas baisser ta garde
A t'efforcer de ne pas défaillir
Lorsque tu tentes de pénétrer dans l'aiguille par la pointe ;
A tourner autour de ces baraques de cendres et de feux
Après que la cause n'eut laissé que meurtrissures
Que les devises de la grande pute royale furent défigurées
Abasourdies par les symboles d'un dieu mort-né
A ne pas condamné la porte à paumelles rouillées
Où le temps n'est que reflet des hurlements lugubres ;
A mon chevet, sous mes feuilles, gardez un visage humain
Illuminons un lieu d’un langage aux reflets des étoiles
Sur la mer, aux vagues de son lit, pareilles aux songes…
Pourtant le locuteur, l’éditeur, l’administrateur, le gestionnaire, le réalisateur, l’imprésario, le scénariste, l’acteur, l’actrice, le guide, le dévot ; etc… ; savent que les interlocuteurs et interlocutrices les observent… Que ces attracteurs(es) et ‘’esprits libres’’ décortiquent leurs lois, règles, covalences, impotences, obsolescences, impudences et partisanneries singulières, où l’auteur(e) des propos sait, également, qu’il est ‘’entendu’’, non pas par un quelconque psychanalyste, néo-scientiste, ou philosophe tatoué au nombril de son monde qui lui aurait prescrit « de dire tout ce qui lui passe par la tête, en ignorant les incohérences éventuelles », et transmis par quelqu’un et/ou quelqu’une, qui, dans son for intérieur, pouvait être d’un autre avis, quant au ‘’sujet-objet’’ étudié… ; dans une interférence générationnelle assujettie aux désirs du plus que le moins bien, pour les suivantes…
Mais par groupes de femmes et hommes essayant de faire de leur mieux…
Il serait donc de bon ton de tenir compte des objections possibles, voire pour les plus férus(es) en pluridisciplinarité se les faire à l’avance, coupant ainsi l’herbe sous les pieds d’un vil contradicteur éventuel servi à la scénologie de l’entre suit, l’entre-jambe et l’entre soi, dans l’ensemble (E) des ‘’machines’’ humaines…
L’ATTACHEMENT
Qui es-tu, toi ; qui est
Quoiqu’à entendre et tendre
Ces doux murmures, écoutes
En d’autres fois ils ont vu
Tant de fois c’est misé
Et sourds ils étaient toujours
Tu voulais juste une écoute
Encore une fois, sourds ils étaient
Un jour ailleurs tu es parti(e)
Pour des jours sans sourdine
Ils t’avaient dit un jour
Dis-nous, nous te soutiendrons
Tu as chanté ton effroi
Et sans peur ils n’ont compris
Juste à entrevoir un départ
Sans aucun état d’âme
L’ouvrage là exécuté
Tu as su l’ignorance
Sans aucune amertume
Tu as vu d’autres lueurs
Et là avec solitude
Sans aucune forme d’effroi
Tu n’as plus voulu croire
Encore une fois parti
Amour pourtant tu veux.
LES MESSAGERS DE LA PLUIE
De la nuit sans contour,
A qui veut s’en détourner,
N’y apposera que le songe sans suite…
Au réveil tiraillé, la lumière absorbe l’imaginaire
Certitude défaillante m’élèvera, jusqu’à la fin du jour
Les traits de pluie discontinus publient à ma fenêtre,
Plus loin sur les courbes de l’horizon vallonné,
Poussées par les vents tourbillonnant
Les gouttes cristallines affectionnent nature et pensées
Elles bichonnent pousses nerveuses et peupliers sagaces,
Ambitionnent entrevue avec les chênes centenaires
Et sur les champs, elles valsent avec les couleurs de l’azur
Les nuages soulagés ont répandu le message de la vie
Peintres et poètes y dessineront les symboles de ses lignes,
Sur quelques feuilles en attentes de vers et desseins
Afin que les monarques, déploient leurs ailes…
Et sous couvert de couleurs noires et orangées,
Accompagnés par le son des albatros,
En d’autres contrées, contre vents et marrées
Portent aux yeux du temps, les larmes des messagers…
Michel Asti – Au Vent des émois…
DROIT A MULTIPLICITE ESPISTEMOLOGIQUE ET ONTOLOGIQUE
Sitôt que j’ai eu acquis quelques notions générales touchant les sciences et les arts, et que, commençant à les éprouver en diverses difficultés particulières, j’ai remarqué jusqu’où elles peuvent conduire, et combien elles diffèrent des principes dont on s’est servi jusqu’à présent, j’ai cru que je ne pouvais les tenir dissimulées, sans offusquer grandement les lois de la transmission et règles de l’attention qui nous oblige à procurer, autant qu’il est en nous, le bien général. Car elles m’ont fait voir qu’il est possible de parvenir à des connaissances qui soient fort utiles à la vie, et qu’au lieu de cette philosophie spéculative, qu’on enseigne dans les écoles, on en peut trouver une pratique, par laquelle, connaissant la force et les actions du feu, de l’eau, de l’air, de la matière, des énergies et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connaissons les divers métiers de nos artisans et entrepreneurs, nous pourrions les employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et gardiens de la Nature.
Ce qui n’est pas seulement à désirer pour une infinité d’artifices, qui feraient qu’on jouirait, sans aucune peine, des fruits de la terre et de toutes les commodités qui s’y trouvent, mais principalement aussi pour conservation de la santé, laquelle est sans doute le premier bien et le fondement de tous les autres biens en l’élan de toute vie ; car même l’esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps que, s’il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu’ils n’ont été jusqu’à présent, je crois que c’est dans les sciences de la nature, us et coutumes, orthodoxies humaines, la biologie et la médecine qu’on doit, en ces épistémologies essentielles, le chercher.
Il est vrai que celles en usage superficiel contiennent peu de choses dont l’utilité soit si remarquable ; mais, sans que je n’ai aucun dessein de les mépriser tant en leur faction scientifique et technologique, qu’en celle ontologique, ou inversement, mais plus à même d’y pratiquer quelques incursions analytiques, tout en m’assurant qu’il n’y a personne, même de ceux qui en font profession en un domaine particulier, qui n’avoue que tout ce qu’on y sait n’est presque rien, à comparaison de ce qui reste à y savoir, et qu’on se pourrait exempter de multiples maladies, tant du corps que de l’esprit, et même aussi de l’affaiblissement de la vieillesse, si on avait assez de connaissance de leurs causes, et de tous les remèdes dont la Nature nous a pourvus.
Or, ayant dessein d’employer toute ma vie à la recherche d’une science si nécessaire, et ayant rencontré un chemin qui me semble tel qu’on doit infailliblement la trouver, en le suivant, si ce n’est qu’on en soit empêché, ou par la brièveté de la vie, ou par le défaut des expériences, je jugeais qu’il n’y avait point de meilleur remède contre ces deux empêchements que de communiquer fidèlement au public tout le peu que j’aurais trouvé, et de convier les bons esprits à tâcher de passer plus outre, en contribuant, chacun et chacune pour son inclination et son pouvoir, aux expériences qu’il faudrait faire, et communiquant aussi au public toutes les choses qu’ils apprendraient, afin que les derniers commençant où les précédents auraient achevé, et ainsi, joignant les vies et les travaux de plusieurs, nous allassions tous ensemble beaucoup plus loin que chacun et chacune…
Les connaissances et le savoir sont le sel de la vie, les réelles amitiés et la sincère fraternité en sont le sucre.
Si l’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude, alors la raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité.
PROLOGUE
Elle l'accompagnât jusqu'à la dernière porte de la maison, elle le regardât avec une immense tendresse, il vit des larmes coulées de ses yeux et sentit les siennes le long de ses joues.
Elle lui dit: « Attends là s'il te plaît, quelqu'un va venir te chercher, moi, j'ai encore tellement de choses à faire ici, et je ne peux maintenant les faire que toute seule, ici, et toi aussi ailleurs »…
Il lui demandât: ‘’Pourrai-je revenir te voir, je sais que tôt ou tard, le manque de toi va me faire sentir sa présence’’.
Elle lui répondit: ’’Je suis désolée ...... ; mais je ne sais pas. Au grès de tout ce temps passé ensemble à essayer de nous comprendre ; je suis certaine du meilleur, pour ce qui suit, et tu trouveras certainement les réponses que je n'ai su te donner, et souvent pas entendues. J'aurais tellement aimé n'être pas toute seule pour t'accompagner jusque-là, mais les autres avaient eux aussi tellement de choses à faire et à penser, par ci, par-là, et toujours ailleurs’’.
Et elle s'en alla doucement, sans faire de bruit…
Il attendit un moment, et la porte devant lui s'ouvrit, il fit un pas en avant pour la franchir, malgré la grande fatigue de son corps. Il ne vit plus rien, mais il ressentait une étrange présence. Il regarda plus intensément, mais il ne voyait toujours rien, n'entendait rien et ne touchait rien. Il sentait une odeur, elle était merveilleuse. Ce parfum se posa sur ses lèvres, comme un baiser, il perçut une sensation inconnue et une douceur immense l'envahit. Il essayait de toucher, d'entendre et d’humer cet endroit, mais il ne le pouvait pas. La seule chose qu'il réussissait, maintenant à faire, était de percevoir quelques petites luminosités dans l’espace piqué de ces phénomènes étincelants… Mais elles lui paraissaient tellement distantes qu'il se dit: ‘’Je n'arriverai jamais à m'approcher de ces lueurs, elles me semblent beaucoup trop lointaines’’.
Il ne savait pas par quel mystère, d'ailleurs…
- Comment pouvait-il voir ces diffusions lumineuses, alors qu'il avait cette sensation de ne plus posséder la clairvoyance suffisante, ainsi qu’aucun de ses autres sens connus.
Il essayât de se persuader, sans bouger, de la ’’chose’’, en s'efforçant tout d'abord, d'écouter, de ressentir de toute son ‘’envie de…’’. Il ne sentait plus aucune odeur, n'entendait aucun son, et ne ressentait aucun goût, autre que celui lui laissant légèrement percevoir, cette saveur d'avant, qu'il connaissait en tant que notion de comparaison, et lui permettait de croire encore, au potentiel pouvoir de continuer ici, comme avant, ailleurs grâce à ce désir et cet optimisme, toujours présent en lui ; lui donnant possibilité, au nom du désir de Beau, de Bleu et de Bien, de peut-être, le goûter, ici, ce ‘’quelque chose’’ sans texture particulièrement sensible au toucher, mais tellement touchant, auquel il avait donné le nom de syndrome des ‘’3B’’, et par lequel son désir d'en approcher au moins une partie de toute sa beauté, à cet intouchable, lui conférerait encore possibilité de faire, pour espérer avoir la joie de s’accoquiner une fois de plus à ses effets sensibles, ici
De penser cela, lui permettait de laisser sa peur à distance respectable.
Il lui restait un doute quant à cet autre sens, le toucher, dont, il a toujours pensé que le couple formé par ces deux facultés existantes en le pouvoir de voir et toucher, était quelque chose lui paraissant assez extraordinaire. Il ne savait pas s'il le possédait encore. Alors ce regard apparemment conservé obliquât vers la droite, en cherchant avec une certaine anxiété quelque chose ressemblant à un objet connu, il ne vit rien qui lui semblait suffisamment proche, afin que ce supposé possible référentiel, puisse se laisser toucher, pour avoir la certitude de posséder encore ce sens lui servant de lien physique à ce que sa possible lucidité lui permettait d’entrevoir. Alors, sa vision se portât vers ce qu'il considérait comme étant sa gauche, et là, légèrement en dessous de son regard, il vit cette ‘’chose’’ ressemblant à une tablette carrée, légèrement inclinée, posée sur une sphère.
Cette forme était transparente, il pouvait la comparer à une plaque de cristal. Cet ensemble, d'une hauteur qu'il réussissait à définir comme étant approximativement, les deux tiers de la sienne, en partant de cette surface en dessous d'eux, lui laissant penser qu'elle était aire de référence, avec cette forme rectangulaire positionnée sur ce globe et légèrement inclinée vers sa gauche, devant et en dessous de lui, semblait être une invitation à contempler cette structure, telle une symbolique mystérieuse… Il décela, sans qu'il n’eût besoin de ne diriger autre que son regard vers cette tablette, une inscription visible en sa surface. Il parvint à déchiffrer les assemblages de signes, mots, expressions et lemmes gravés dans le verre, il connaissait cette écriture, elle lui avait été transmise, lors de son passage dans le lieu d'avant.
Il lût donc cet écrit, et, comme par magie, il ressentit, sa pensée inscrire dans sa mémoire, ceci, au fur et à mesure de sa lecture:
… Quoi que tu sois, si tu es doué de la conscience, effaces de ta mémoire toutes ces croyances considérées, sans totale certitude, comme vraies jusqu'à maintenant.
Sauf, le seul élément qui t'a paru incroyable, peut-être à cause de tes convictions, liées à ton existence dans le lieu d'avant.
Essaies de toucher cette tablette, et fais confiance à tout ce qui, t'apparaîtra, après.
Le chemin te sera indiqué,
N'ait plus peur ici, tu en comprendras la raison. […]
Et là son regard resta figé sur cette composition textuelle, même s'il en avait compris tout le sens, une inquiétude l'envahissait quand même. Il ne sait combien de temps il resta comme cela, mais tout à coup il entendit une voix, elle venait de nulle part, il n'y avait aucun son, mais elle s'inscrivait doucement en lui, sans aucune violence. Il comprenait qu'elle lui demandait de lui faire confiance, et de poser sa main ; enfin, ce qui pour lui devait être sa main gauche, sur la tablette. Il réfléchit encore pendant ce qui lui paraissait être quelques instants, en se disant: ‘’ De toute façon je n'ai pas le choix, car si je ne le fais pas, le risque serait certainement de rester là un temps indéterminable. Il ressentit à nouveau la présence de la petite voix, existante sans fond sonore. Elle lui disait doucement: ‘’Je t'ai entendu penser’’ ; avec un petit rire espiègle dont il en appréciât la belle sonorité.
‘’Comment ça, elle m'a entendu penser ?’’ ; pensât-il.
Dans le même temps, interrogatif, il avait complètement oublié ce qu'il devait faire. Et là, avec un grand et beau rire joyeux, elle lui lança: ‘’Je t'ai encore entendu, hihihi iii ; s'il te plaît, pour me faire plaisir, mets ta jolie main sur cette tablette !’’…
Alors ne cherchant plus rien à comprendre, il s'exécutât.
Sa main gauche, légèrement tremblante, se posa sur la tablette, et très doucement, il voyait ce dextre organique et mobile, en tant que partie de son corps, en franchir la surface, et pénétrer sans précipitation, à l'intérieur de cet objet, sans substance matérielle résistante à la légère pression exercée. Sa main, lui transmettait une telle sensation, qu'il pouvait la comparer à celle ressentie avant, lorsqu'il se glissait dans une eau dont la texture aurait été celle de la soie, de par la douceur ressentie. Il n'eut pas le temps nécessaire pour savourer cette sensation, il fut transporter, ne sachant pas comment, dans un autre lieu. En partant, il eut à nouveau l’impression d'entendre ce joli rire espiègle, lui conférant optimisme suffisant à croire qu’il n’était pas seul en ce lieu…
Je vais essayer de vous livrer la suite de ce conte ‘’d'ailleurs’’, certainement imaginaire, teinté de quelques fantasmagories et bizarreries ; ou peut-être pas… Je ne sais pas. Une des réalités que je puisse entrevoir, c'est de le raconter avec ce langage humain, qui m'a été transmis en tant que source de compréhension de cette réalité, afin de vous livrer cette histoire racontée par quelqu'un d’ici, chez lequel j'ai réussi à déchiffrer les quelques codes de son langage, pour ma compréhension afin de vous communiquer par ce langage écrit le maximum de son impression, avec pour souhait, essayer de mettre tous ses signes, symboles et expressions en mots, phrases, chapitres, telle une symphonie livresque ou cacophonie sémiotique en fonction du ; ‘’comment’’, elles seront perçues...
Michel Asti – La Clé du Temps des Murmures
‘’L’espérance est une blague :
Ou bien on arrive à réparer, ou alors on devient fou’’.
Mad Max : Fury Road, film de George Miller (2015)
Les Français enferment quelques fous dans des maisons pour persuader celles et ceux qui sont dehors de ne pas l’être. Montesquieu – Lettres Persanes
Le temps ne s’impose pas en ennemi intérieur, mais il est une composition particulière par l’énergie extérieure des choses de la vie…
La recherche du superflu donne une plaisante excitation, plus grande que l’acquisition du nécessaire.
L'homme est une création du désir, non pas une création du besoin. Le bonheur, n'est pas un idéal de la raison, c'est un idéal de l'imagination, par la vision de la totalité des satisfactions possibles…
Où le murmure entre les sciences et les arts ne saurait, en aucun cas, être une contrainte à l’étude des pensées d’autres temps, analyse et compréhension d’autres savoirs, connaissances et cultures…
DES BROUILLARDS SOUS LA LIGNE D'HORIZON sur : http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/livres-et-liens/des-brouillards-sous-la-ligne-d-horizon.html
La vie est comme un rêve livré à l’imagination.
« C'est nous qui avons rêvé l'univers ».
Nous l'avons rêvé solide, mystérieux, visible, omniprésent dans l'espace et fixe dans le temps… Mais nous avons permis qu'il y eût à jamais dans son architecture de minces interstices de déraison, pour attester de sa fausseté.
Jorge Luis Borges
En toute vraisemblance, je me devais pour me libérer des esprits chancelants, faibles ou par trop opportunistes de ne plus chercher à comprendre leur danse de Saint Guy, et même à m’en éloigner. Car à percevoir leurs gesticules sans véritable fondement pragmatique et par là-même inopérantes à rendre lucidité à leurs actions utiles à la nécessité d’une potentielle préservation du bien commun, ne réussissaient qu’à m’irriter.
Leurs us, coutumes et orthodoxies alliées de l’espace commercial où la réelle valeur du sujet-objet considéré comme provision suffisante en le degré le plus haut de son essentialité étaient pathétiques. Non que je m’offusquasse plus que le commun des hybridations grégaires à ne pouvoir y émettre attentions suffisantes aux raisons de leurs devoirs d’engagement particuliers en l’attachement envers un authentique humanisme, moins à même d’apporter à notre conceptualisation du système socio-économico-culturel affichée à l’esprit de ma communauté formulée par les bienséances d’échanges pour compréhension collectiviste, que la falsification de leurs tares dans un e-commerce, à vacuité de doctes, pourvu à un militantisme anti-pluridisciplinaire, où sous couvert d’inattention ; Big Brother était en train de vaciller sous les coups des applicateurs et applicatrices de B to B, en Bla-Bla des nouveaux monnayeurs d’esclavagisme sans chaînes apparentes…
Quelle bandes de sots, inconscients et inconscientes quant à la facture en solde de leurs enfants soumis aux ravages d’un népotisme culturel et/ou ségrégation d’intérêts particuliers, sans valeurs tangibles où l’information en transmission de savoirs me semblait proche d’une affiche collée au mur du sectarisme intellectuel, en allégation de rares onces de pédagogie, par dissidences de bienveillance intergénérationnelle, au profit de certitude en images de logo-atomisation appropriées par quelques pervers narcissiques, partiellement inutiles aux délais d’apprentissage et de respect des lois naturelles.
J’y mettais entre ces interstices textuels des consistances didactiques en vœux de libre échange imaginatif une espèce de déshérence en sollicitude de dimensions touchantes par une volonté à vouloir vaincre les intendances prônant un empirisme, sans distinction de zones d’existences non sécurisées, en règne de possession absolutiste, avec pour singularité en celle de laisser croire que ce matérialisme inique ne serait pas source malheureuse en grande consommatrice d’énergies falsifiées par accaparante désuétude, mais, souvent, exsangue des forces humanistes. Même si je pensais en comprendre partiellement la peur existentielle de mes congénères, je n’en approuvais guère la méthode et le discours…
MÊME LES SUFFISANTS IGNORENT QU’ILS LE SONT…
Quelle est cette vertu consistant à commencer un échange textuel par quelques ressentiments dénués de certitude, donnant droit à accostage par un verbiage tendu en procès de conjectures lapidaires ?
Qui plus est lorsque l’invective sémantique est une forme palpable asservie à rapidité d’intervention contradictoire au seul but de générer une déconstruction outrancière, en confrontation de colère inutile à une potentielle objectivité, par trop invasive, voire pléthorique, dans un dialogue suffisamment discordant pour en oublier le sens de la liberté d’expression, au détriment même d’un possible libre arbitre, dans la projection constructive du sujet commun.
La stupidité d’une première intervention en prétention de connaissances suffisantes est par toujours, une porte qui se refermera sur un potentiel dialogue d’infortune, par cette tragédie consistant à être sûr que nous avons la performance individuelle, autorisant à bénéficier d’une mansuétude d’esprit compatible avec un meilleur futur commun. Je ne saurai croire, qu’en toutes relations échangistes physiques ou virtuelles, il puisse y exister une seconde porte à ouvrir, alors que la première eut été fermée par ostracisme intellectuel, sensibilité en indifférence ou indigence didactique…
Le surplus d’intransigeances en sera toujours le vestibule du désintéressement… Reléguant les attentions amicales, voire ces pertinences attentionnées, en sincérité partagée, suffisamment éloignées des jouissances égoïstes, pour qu’il n’en reste que le souvenir d’un voyage posé aux quais des émotions sans considération…
Cela n’est-il pas une entame alléguée à forme de sectarisme envers une divergence de point de vue, et cela avant même une réponse de l’inconnu(e) présent(e), de l’autre côté de l’écran, sachant déjà qu’une barrière supplémentaire vient d’être, en suffisance lexicographique, hérissée ?
Faudrait-il, toutes et tous œuvrer pour un monde totalement aseptisé et conforme à une norme sociale édictée par une ou autre intelligence éructant souvent sa vérité sans autres ressources que la suffisance de ses consultations sectorielles, ou bien essayer de prendre temps utile à quelques précieux moments de réflexion en débat de partage et contradictions constructives au nom d’une attentive thèse en bien commun, voire pour les plus fervents une recherche en amélioration multidisciplinaire… ???
Cette démarche en installation de conformité n’est-elle point une volonté d’ignorer sujets trop éloignés de nos facultés personnelles ?
Un refus de savoirs ?
Ou pire une filiation particulière autorisant l’individu à ne plus essayer de changer ces choses de l’infamie envers autres que soi et ‘’étants’’ insuffisamment proches de notre dimension touchable ?
Hors de notre zone de confort, justifiable, en légitimité d’acquis ?
Ou encore une forme d’asthénie intellectuelle atrophiée par une satisfaction matérialiste suffisante à l’inaction envers autres congénères, tout aussi justifiables à disposer de l’essentiel vital ?
Un abandon au profit d’un isolationniste de circonstance ?
Une pénitence en acceptation d’existences mornes ?
Une dichotomie en reconnaissance de népotisme défiscalisé d’affiliation en humanisme ?
Ou tout simplement un ‘’je m’en foutisme’’ généralisé, tant en ascendance qu’en descendance ?
Songez-vous toutes et tous, ainsi, avec toutes sortes de camouflets, que personne ne saurait mesurez vos impostures et calomnies cachées sous les voiles du politiquement correct et/ou la pudibonderie en toutes différences culturelles que vous en ayez suffisance en cette ‘’vertu’’ pour vous-même et les vôtres, dans cette prétention que vos ‘’dons’’ ne sauraient m’irritez, moins de les retransmettre sans analyses autres que la béatitude en prédécesseurs grisés aux voix de l’impénétrable, pour les moins nocifs, qu’une marche en colonie d’élus aux incertitudes des grâces et vierges, pour les plus déficients en défrichage de voies terrestres ?
Mais en toute évidence en procession de terrorisme intellectuel pour les deux clans en écoute de falsification d’outrages portée aux oreilles de prostrés(es) se souciant plus des cieux que de la Terre des hommes, des femmes et des enfants…
Je crois malheureusement que ces consciences grossières ont une chose en commun, formellement, proche d’un mécanisme cognitif logo-atomisé par négociants en spiritualité, guides en reliques cultuelles, despotes, potentats et autres dévots ayant réussi à faire gober les plus ravageurs illogismes au rapport de leur déconsidération envers la condition échangiste naturelle humaine…
Et dans ce paralogisme datant de la naissance de la conscience et des intelligences, concomitantes au mammifère humanoïde, le plus néfaste attribut est, sans doute, l’apparition depuis quelques décennies d’une espèce de scientisme immature indexé en vulgaire marchandising par souscription d’opérateurs en flux d’omission (volontaire ?) d’étude et analyses logiques envers le sujet ontologique au rapport de l’objet physique… Dans le monde naturel du et des vivants…
LA CLE DU TEMPS DES MURMURES
Ce travail qu'il a retrouvé avec joie, en tant que valeur implantée comme plusieurs autres dans sa conscience, par celles et ceux qui l'ont accueilli à son arrivée, et par, cette vie qui le guide depuis le premier jour. Et même si après en avoir exercé plusieurs, il avait toujours cette impression au fond de lui, qu'il n'avait pas encore réalisé une partie essentielle de son ‘’rêve’’, il parcourait les différents chemins indiqués par la ‘’VIE’’, dont il essayait d'en comprendre le sens, afin de trouver la bonne direction. Mais souvent, il n'entendait, et ne voyait pas très bien tous ses signes et expressions qu'<< ELLE >> lui montrait, et dont il ne comprenait pas toujours la signification, et, parfois lorsque le vent soufflait très fort en apportant avec lui les nuages noirs annonciateurs du moins bien que la lumière, il comprenait juste que cette VIE était en ‘’grande dépression’’, et la cause qui en découlait, était, en l’action de déverser cette eau, source d'elle-même, quitte à ce qu'elle le fasse parfois avec fracas.
Lui, apprenait parfois dans la douleur, mais il continuait à regarder ses différents états, afin d'en comprendre sa justification ; et puis, il y avait au moins trois êtres auxquels il souhaitait en montrer certaines facettes, de sa beauté, car, il savait qu'elle avait des côtés merveilleux. Il les avait perçus et ressentis plusieurs fois, dans sa ‘’réalité’’. Il y en avait à l'heure actuelle de son histoire au moins six sûrs, mais il savait qu'ils y en avaient d'autres, plus ou moins proches.
Cette vie, il l’a aimé dès qu'il a réussi à lui donner un nom, même avant je pense, et il l'aime toujours. C'est elle la source de toutes ces leçons qu'il a retenu en tant que prémices de la compréhension. Il l'a regardée, écoutée, touchée, sentie, goûtée et ressentie. Oh, bien sûr, parfois il l'a détestée, sur l'instant, mais ensuite, il a compris ce qu'elle voulait lui dire.
Il a plusieurs fois éprouvé la présence de ‘’celle’’ qui la suit sans arrêt, et a trop souvent voulu parler à un autre être proche, qui comme lui avait été engendré par cette vie. Il ne l’aime pas ! Alors qu'elle, ‘’ELLE’’ est sa plus belle maîtresse. Mais son inconscient sait ce que sa conscience élude par notion d'ignorance, incompréhension et refus, qu'un jour sa copine voudra l’emmener, mais pas trop tôt si possible…, dans son ordre des choses, malgré que bien souvent il ne comprenne pas très bien sa disposition phagocytée et entachée d’injustice, accaparement, cupidité et iniquité chez les hommes…
Alors, oui, aujourd'hui en ce lieu nommé Val d'Isère, où le nombre de ‘’petits grains de matière organique’’ doté de la pensée, est faible, et où il peut trouver ces instants pour être seul avec ELLE, il lui a donné un rendez-vous intime, et il souhaite lui parler longuement, peut être jusqu'au moment où elle lui ouvrira la dernière porte de cette maison, et où à cet instant il pourra se débarrasser de son ‘’ego’’, en espérant qu'il deviendra avant cet événement, presque insignifiant, ou tout du moins, suffisamment proche de sa pensée, afin qu'elle ne le combatte plus.
Mais pour arriver à cela, elle avait ancré dans son subconscient, qui lui était impossible de lui parler à voix haute, et la seule solution pour que cette entité narcissique ne l'agresse plus de ses intentions anthropocentriques, il lui suffisait d'ouvrir toutes les portes de ses sens afin de percevoir toute l’extraordinaire beauté, de par tout ce, celles et ceux qui faisaient partie de ses espaces touchants, afin d'avoir la merveilleuse sensation de ressentir au fond de lui, tout ce ‘’qu’ELLE’’ avait pour lui, le temps qui leurs était imparti…
Maintenant !
Il commençât à lui raconter, par ces mots : […
… Comment pouvons-nous réussir à bouger ce corps tous les matins, réveiller en même temps cette conscience, qui d'instants en instants nous fait croire à toutes ses convictions, bonnes ou mauvaises, qui deviennent souvent notre vérité, sans nous dire comment avons-nous agit le jour d'avant ? Comment, avons-nous instinctivement ou délibérément prononcé ces paroles, produit ces actes que notre esprit à engendrer pour une raison ou une autre, sans préjuger de nous-mêmes, le jour d'après ? Comment pouvons-nous croire que ce que nous avons fait le jour d'avant puisse être la vérité pour le jour d'après, sans réveiller notre conscience, en nous disant, qu'avons-nous pas fait de bien, pour prétendre penser faire moins mal après, afin de peut-être un jour réussir à nous dire, aujourd'hui, je ne prononcerai pas ces paroles violentes souvent dopées au pouvoir de détruire ou produire et organiser par soumission aux prosélytismes fallacieux, le chaos, alors que peu de fois, elles sont aussi dotées de cette merveilleuse faculté, de créer un peu de beau, de bleu et de bien, en et de par leurs dimensions attentionnées, et peut-être attachantes. Comment tous les jours pouvons-nous avoir cette extrême prétention de croire que nous sommes meilleurs que ce qui nous a créé, sans penser une seule seconde que ce, celles et ceux que nous pouvons voir, entendre et toucher ont été créé par même.
Pourquoi ne pas nous reposer de temps en temps afin d'entendre cette petite voix au fond de nous, avec laquelle nous passons le plus clair de notre temps à ne pas l'écouter, et après avoir fait le contraire de ce qu'elle a bien voulu nous faire comprendre, nous avons parfois l'impression que nous aurions mieux fait d'écouter ses murmures…
Elle lui répondit cela:
‘’Même si tu as peur de te tromper encore une fois, par pressentiment de croire que ce que tu as vécu avant, sera situation comparable où tu penserais ne rien ressentir de ce que tu désires du meilleur, fais comme l'enfant qui apprend à marcher, tombe et se relève jusqu'à ce qu'il apprenne l'art de marcher. Entrouvres encore avec moi cette porte devant toi, tout doucement, sans faire de bruit, afin de ne pas faire entrer ton fardeau de convictions et de préjugés qui t'ont été inculqués par celles d'avant et ceux de maintenant, et derrière tu trouveras certainement encore une clé qui te permettras peut-être d'ouvrir la porte suivante, afin de trouver un jour, ce que tu cherches depuis longtemps, cette beauté qui ne s'achète pas, l'art d'aimer, pour la paix de ton âme et le repos de ta conscience, et à cette instant tu toucheras peut être du doigt, le Beau, le Bleu, le bien et le Bon Sens du Vent…
LE CLAN, LE ROI, LE PRINCE ET LES ADORATEURS
Des signes éclairés aux foudres du ciel
Du feu sorti des entrailles de la Terre
Le nouveau prince se senti pousser des ailes
Et par cette ignorance de la nature et des hommes
Il s’autoproclama messager du grand ordonnateur
A l’éloge de son père, petit bourgeois de province
La louange fut sienne et par là même, la chose engagée
Le discours encore confus, il s’en alla déterminer
Prêt à lire philosophes et engager conversation usurière
Et par autres voix chercha Sophia, fille de Vénus et Simonide
Ceux sont là bien des maximes bonnes et valorisantes
Auxquels nous voudrions en porter ferveurs et allégeances
Rousseau n’en dit pas moins, et quant à moi y souscrit
Mais l’homme moderne n’en est pas moins un génuflecteur
Adorateurs, adoratrices, néanmoins il mange, boit, dort et aime
La sélection naturelle l’a fait robuste et agile
La maladie, l’existentialisme humaniste, la mort il veut s’en décharger
Il n’a même pas conscience de son activité grégaire chancelante
Ses sens communs sont d’une extrême vivacité accaparante
Sa sensibilité n’est souvent que réflexion matérialiste
Son objectivé s’arrête aux frontières de la cour des contre-mesures
Par son dieu, il construit les suspicions aux abords des politiques templières
Il se souci plus de la voûte céleste que du monde des vivants
Le beau prince par narcisse envoya bordée d’échos à droite et à gauche
Oubliant que peuple ne peut s’abouter à justes devises sans réelle bienfaisance
Que bienséance ne se résume pas à transmission inique sectorisée
Si les convives ne sont choisis qu’aux abords des guéridons du clan
Si peur de perdre dû, n’est que gré de la louange du roi
Alors Festine et Bacchus de votre table de mauvaises humeurs
Ne riront, mangeront, boiront et ne festoieront point
Le prince par vénalité absconse, par la sottise et l’injustice ajoutées
Son aveuglement et abus, exemptèrent le juste contrat social
Serviteurs s’y fourvoyèrent avec les oboles du riche charitable
Par soumission et idolâtrie envers reines de Saba et rois de Pique
Adorateurs furent incapables de s’afficher à la cour des reines de cœur et poètes esthètes
Les chevaliers des temps modernes sous couverture des nouvelles amazones
Prirent voies vers la presqu’ile de Lemme
Et sans perdre le prix des vers, avertirent le clan des domestiques
Sous les pendules des justes et des innocents d’antan
Que le discours des nouveaux adorateurs du prince,
Associés aux chants falsifiés des sirènes du souverain d’éloquence
Ne pourront empêcher, par temps faire, dans les conspirations du pouvoir
Que cette maison, dans les oubliettes du château, ne sombre à l’envers.
Pourtant jadis, l’Olympe et le mont Parnasse avaient frères et bons amis(es)
A contre-courant de la mondanité libertine
Dans le silence de Port Royal, au pinacle de l’austère
Des solitaires aux ordres de l’abbesse Angélique, Pascal
Par les lettres de Louis de Montalte, provincial de ses amis
Pestèrent reliquats symboliques, aux grâces divines entre Jésuites et Jansénistes
Adossées à disputations des soixante et onze docteurs de la Sorbonne.
L’échange fut grandiose, à examiner ce qu’il y avait de faux ou de réel
Epanchement exercé par la véritable conscience des uns et des autres
Dans ce qu’il y avait de bon en dieu, ou de mauvais chez les hommes
Ne surent rien, avec certitude définir, même pas leur portée
Vide de l’esprit flirtant aux accords enchanteurs entre charnel et extase
Au présent des commissures entre attachement et liberté
Les coercitions des anciens, à l’attention des connexions nouvelles
Les néo-jeunes ne purent s’affranchir des nouvelles vacuités cessibles
Emancipées aux évasions virtuelles, où flottent encore quelques vagues à l’âme…
Au vent des Emois - Michel Asti – Auteur
Après 34 ans dans le secteur des énergies, second œuvre du bâtiment et l’industrie.
JUSTICE SOCIALE-ECONOMIQUE
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Date de dernière mise à jour : 02/04/2019
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