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« Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire.
Il ne convient pas que chaque contemporain se contente d’attendre et de critiquer.
Il doit servir la cause aussi bien qu’il le peut »
Albert Einstein
Vouloir à tout prix n’est pas savoir à n’importe quel prix. & réciproquement.
N’avouerez-vous, jamais, qu’il ne saurait exister écosystèmes équilibrés sans reconnaissance de ce qui sépara la lumière des fiers(es) rebelles de la servitude des mornes aptitudes… ???
Quelle figurine virtuelle allez-vous, encore, fournir aux goûts incertains, exhalaisons sans saveurs… ???
Il faut pouvoir distinguer l’éthique de conviction et l’éthique de responsabilité.
Vouloir associer valeur morale au seul existentialisme politicien est une gageure affichée à un déterminisme, d’une technocrature liberticide bornée.
[…] - Je vais essayer de formuler le plus clairement possible ma pensée, je vous demande juste une chose, c'est de me laisser aller au bout, même si certains éléments vous paraissent bizarres dans et par l'expression de ceux-ci.
- ‘’D'accord, Mickaël’’. A l’unisson.
- OK est une représentation d'un accord avec ‘’D’’ apostrophe, qui n'est pas ‘’Accord’’, ni ‘’De’’! OK ? Et l’accord en tant que lien existant entre un ‘’quelque chose’’ et un ‘’autre quelque chose’’, serait peut-être perçu autrement par ce ‘’quelque chose’’ appelé chauve-souris, percevant uniquement les ultra-sons. Et pourtant en ne possédant que deux sons, ‘’O’’ ; ‘’K’’, l’émetteur a cette faculté d'en laisser supposer un lien de consonance, avec un potentiel synchronisme, par ‘’accord’’, envers le sujet et l’objet, en ce CAS… KO ou CHAOS ???
OK ou pas d’accord… Mathéo ?
- Mathéo, regardant Emma, en souriant: ‘’Tu vas voir, il va essayer de nous retourner le cerveau, surtout à moi car je suis chauve, mais il me prend pour un sot ?’’ En éclatant de rire. Ce mec est dingue.
- Emma lui rendant son rire: ‘’Je ne pense pas, chéri ! Par contre, je crois que le surnom de ‘’décortiqueur’’, dont tu l'as affublé, lui va comme un gant. Et, je pense aussi que l'expression de sa ‘’fuzzy logic’’ doit parfois agacer, voir irriter.
Je leurs répondis en riant:
- Oui, vous avez raison, mais je ne peux m'en empêcher, car j'ai ressenti que l'ensemble composé de la physique, la logique, la philosophie, la sémiologie, la philologie, la grammaire, la rhétorique, l’ontologie, l’épistémologie, l’arithmétique, la géométrie, l’astronomie tout ça accompagné d’un peu de poésie et d’humour étaient pour moi, une source de joies et de satisfactions immenses et assez extraordinaires. Je me suis aperçu de cela, il y a malheureusement, pas très longtemps. Et puis si parfois j'agace un peu, ce n'est jamais par méchanceté, c'est juste pour essayer de faire partager ces quelques moments de jubilation, devenus une denrée de plus en plus difficile à trouver, tel un arbre n’ayant plus place en nos sociétés et devenu par manque d’attention et formatage du juste nécessaire économique, le producteur presque insignifiant de ces beaux fruits interdits ou défendus par expressions souvent incohérentes, anti-communautaires, antisociales et argumentées par quelques conformistes inopérants en et par leur manque d’imagination, et, qui pourtant, grâce à tous ces échanges linguistiques, littéraires, et sémiotiques nous parvenons souvent à percevoir de belles et parfois merveilleuses ‘’choses’’ dans les zones de bien-être propres aux fabuleuses caractéristiques de la nature et du monde des vivants’. Alors j'essaie de faire de mon mieux pour créer ce type d'espace-temps, m'y adapter, et laisser la porte ouverte à toutes celles et ceux désireux(ses) de s'accorder à cette dimension.
Alors si : ‘’Et si est’’, je peux croire en, ‘’moi ami toi’’ ; ‘’vous’’, bande de cinglés…’’.
Ils éclatèrent de rire tous les trois.
Nous venions de croiser une ludique composition d’« Harmonie », dans son espace de jeu.
- Vous savez tous les deux, que la seule certitude en laquelle nous pouvons croire fermement, est l'accord qui existe entre notre vision et notre toucher, et est beaucoup plus important que les liens existants entre la vision et l'odorat ou l'ouïe, ou les trois ensemble, sauf chez certains ’’autres vivants’’, chez qui l'écart entre ces trois différents ‘’sens’’, dont le principal, en notre possession, chez nous ‘’êtres humains’’, est le couple, vision-toucher, diminue, ou augmente suivant la distance, car leurs sens secondaires sont plus développés pour en percevoir ‘’autres choses’’, que nous. Nous pouvons même imaginer de par la logique physico-chimique et biophysique de la ‘’vie’’, qu'elle nous en a doté d'autres. Mais pour l'instant, contentons-nous de ce que nous maîtrisons apparemment bien. Donc, toi, ‘’Mathéo’’ qui me connaît bien, en tant ‘’qu’être humain’’ existant en ce lieu, tu peux certainement comprendre que certains petits grains de matière organique dont tous sont dotés de ce bel outil qu'est la pensée cognitive, utilisent ce ‘’dispositif’’ de façons très différentes pour essayer de trouver les inconnus(es), nécessaires à leur recherche des ‘’savoirs’’, intérêts personnels, communautaires et collectivistes, même s’ils ont oublié certaines questions existentielles, afin d'en trouver des réponses humainement raisonnables, avec pour singularité à ce que chacun, chacune ‘’d'eux’’ suit son idéologie, et parfois, certains de ces êtres vivants ont des concepts communs, alors ils s'allient… Parfois pour le pire…
Mon ‘’problème’’ à moi, est de croire que la ‘’vérité’’ est présente pour partie infinitésimale dans tout ce, celles et ceux qui nous entourent, et il faut, pour uniquement espérer l'entrevoir par notion de temps, partir à la recherche de tous ces inconnus et inconnues parfois invisibles, intouchables, inodores, inaudibles et incomestibles, ‘’in goutables’’ ou difficilement compréhensibles et acceptables, mais potentiellement existibles par notion de perception, de l’espace touchant, afin de les connaitre au nom de cette recherche, qui a commencé dans les temps d'avant, il y a maintenant fort loin, par autres penseurs… Théoriciens, sociologues, épistémologues, linguistes, sémiologues, scientifiques, psychologues, philosophes, artistes et poètes… Et je m'aperçois d'une chose dans cette société où je vis, surtout en la dimension de la croyance ‘’mégalo-politico-économico-asociale, c'est la perte de cette ‘’essence’’, par oubli du bien commun, au nom d'autres priorités diluées, dans la marmite où cuit la soupe originelle, par démultiplication négative de ses courants initiaux émis par des croyances ‘’cultuelles’’ et/ou ‘’culturelles’’, prosternations addictives et désuètes, au détriment de l’épistémologie des sciences physiques, ontologiques et philosophiques accompagnés des langages nécessaires à la compréhension des accords entre le discours des sciences et des arts, souvent malheureusement déviés de leurs meilleurs liens et covalences, par notion d'oubli ou dictés par de néfastes priorités égocentriques, cupidité, avidité, contraintes et intérêts particuliers ou simplement, manque de temps, ou refus à les observer et les étudier, au nom d'une croyance ‘’supérieure’’, tel un refuge identitaire ou spirituel, alors que toutes réalités alentours, n'existent que d'une seule façon physiquement constatée comme telle à l'instant où l'événement s’est déroulé, qu'il soit proche, ou éloigné de notre perception sensible, ainsi que de notre potentielle analyse et possible juste compréhension.
Nous ne pouvons changer le passé, nous arrivons juste parfois à percevoir la bonne direction du ‘’maintenant’’ par le bon sens, afin de vivre les bienfaits possibles du futur, déjà codé dans l'ordre des choses de l'univers, mais potentiellement changeable par nos désirs de faire pour le mieux ‘’ici’’, grâce à cette vie apparue en, et sur notre planisphère, dont il en faut découvrir toutes ses subtilités, et, où nous sommes élément dimensionnel physiquement existant sur cet espace, et dans un autre, où le dénominateur commun est facteur exponentiel de changement indéfini pour l’instant, en tant que bon ou mauvais marqueurs de celui-ci, mais uniquement reconnus en leurs meilleures propriétés, facultés et effets ressentis consciemment touchant et touchables en nos espaces de vies, nommés biosystèmes et écosystèmes…
‘’Chose’’ – qu’il nous est souvent difficile à définir pour autres différents, mais toujours voulu concevable et obligataire pour ‘’soi-même’’, et pourtant sans cesse rechercher par toutes et tous. Les bases du conformisme ‘’humain’’ ne sont pas toutes néfastes à la belle évolution de ‘’l’être’’, mais certaines inadaptées à l’ensemble communautaire doivent être exclues des bases humanistes ‘’égocentriques’, lorsque leurs fondements donnent la sensation d’induire la ‘’déshumanisation’’ et le démembrement pluridisciplinaire, l’identité-culturelle dominatrice, l’eugénisme physico-spirituel et les déclassements sociaux-économiques ou tout du moins être entrevus comme mauvaises fonctions politico-socio-économico-culturelles, démagogies, ontologies néfastes, déontologies uniquement corporatistes et individualistes, dans le Monde Naturel du Vivant – trop souvent amalgamée à de néfastes tendances politiciennes divisionnaires, religiosité-politiciennes et politiques templières viles ; par soustraction des utiles savoirs faire, et division des meilleurs savoirs être – absout par encore trop d’ignorance pluridisciplinaire et déni d’attention ; ou incertitudes et suppositions prosélytes, invérifiables… Qui pourtant devraient toujours, être sujets-objets de recherche, analyse et étude ; grâce à ces extraordinaires liens du discours entre les sciences et les arts. Alors il y deux hypothèses, soit les pensées obscures et nihilistes se multiplient, soit les ‘’inconnus(es)’’ augmentent exponentiellement au rapport des incertitudes affichées au mal être ‘’sociétal’’, et au manque de... ; solutions pour le bien-être général, par déni d’analyses, de recherches, et de possibles compréhensions attentionnées & Humainement Acceptables…
Je penche pour ces deux postulats avec en plus la soustraction des meilleurs valeurs, savoirs faire et savoirs être, arrimée aux divisions de la pensée humaniste en tant qu'essence présente chez les ‘’esprits-libres’’ au profit de la multiplication de la croyance en ‘’l'avoir sacré’’, par le dogmatisme envers la propriété matérielle absolue accréditée par l’accaparement et la possessivité vénère ; indissociables de la volonté d'aspirer impérieusement au ‘’bien être individualiste’’, par frénésie de monopolisation et d’acquisition attachée au consumérisme endiablé, alors que cette attribution ; originelle …
En ‘’temps’’, que notre extraordinaire TERRE… Est de par son fondement un abri essentiel, nécessaire, utile et indispensable à la survie de notre ‘’présence biophysique’’, au même titre que l'énergie est obligataire à organisme en évolution expansive. Qui sans cette TERRE et l’Energie de notre étoile, le SOLEIL, nous n’existerions même pas, comme autres organismes vivants auxquels H²O est l’élément premier essentiel à la VIE. Et dans cette agitation quotidienne nous avons malheureusement souvent oublié cela, et nous ne sommes attentionnés, à plus grand-chose, sauf à notre zone identitaire et pseudo sécuritaire, quitte pour obtenir cela ; en détruire d’autres… Pour des raisons, causes et devises qui parfois me semblent proches de quelques états psychotiques, atteints de je ne sais quelles fonctions physiquement désorganisatrices à vecteur déstructurant, et assurément dotées de négationnisme, d’inattention, de suspicions, désorganisation et d’irrespect envers la justice sociale-économique, la liberté, l’égalité et la fraternité… Dans, avec et par les droits de l’homme, de la femme et de l’enfance…. Mais cela est une autre histoire.
- Racontes là s’il te plait, dit ‘’Emma’’
- D’accord répondit, Mathéo, nous avons encore un peu de temps pour écouter tes histoires de fou ; en riant.
- Ha ; çà c’est certain, je me demande où il va chercher tout ça.
- Bon, je vais vous raconter une autre histoire, dont le point (.) est le premier signe logiquement représentable physiquement avant le zéro physique ? ; et après le ‘’rien’’, dont j’en ferai la représentation après, mais dont je pense que vous pouvez maintenant en imaginer la forme.
Ce point est perceptible sur son support solide à minimum de deux (2) dimensions : « ; perçues par notion de différence chromatique ou incision dans la matière telles des gravures, ou encore par ajout de matière tel le savoir de l’imprimerie, afin que ce signe (.) ‘’Point’’ est la particularité d’être perceptible visuellement de par sa réalité physique…
Donc ce point de vue est caractérisé sur et son support (objet) en tant que quelque chose (sujet) existant physiquement sur ce référentiel que je nommerai feuille blanche en opposition au point noir dont je peux en faire la représentation en tout endroit du référentiel conceptualisé en tant que feuille quadrillée de format A4 dont le quadrillage de 0,5 mm par 0,5mm est de couleur bleue. Ce support aurait tout aussi bien pu être une feuille de format A0, A1, A2, A3, A5 ; A+ ; avec un quadrillage coloré, de 1 mm de côté, ou un papier calque ou blanc, un tableau, une table, le sol, les murs, le plafond ; etc… » …
Un espace dimensionnel relativement stable.
Je pourrais continuer comme cela jusqu’à plus que maintenant si j’avais suffisamment d’imagination aidée par d’autres outils mis à ma disposition, tel ces stylos, crayons, gommes, règles, équerres, compas, et autres que je ne saurais imaginer qui me permettraient de faire par l’écriture et le dessin ou toutes autres impressions visualisables, des représentations par et avec tous ces signes, lignes, traits, lettres, mots, phrases, textes, symboles, formes et dessins en gagnant du temps pour faire cet exercice. Oh, pardon, faire ce travail d’écriture ou de dessin le plus rapidement possible en ces milieux socio-économiques, où leurs habitants tentent par manque de considération et d’attention pouvoir prétendre vaincre la notion de temps utile et nécessaire, et pour moi, juste à essayer de m’exprimer afin de peut-être réussir à en comprendre une possible belle et juste composition liée à toutes ces locutions et desseins en tant que représentations posées à visualisation extérieure, sur ce référentiel papier et maintenant numérique. Oui, car cette ‘’chose du dedans’’ correspond à ce que je désire exprimer, et que je pense utile à quelques autres ‘’choses du dehors’’, me permettant de croire en la nécessité de faire cette impression de la meilleure des façons qu’il me soit possible. Ce ‘’truc’’, cette ‘’chose’’ édicté(e) par les mécanismes cognitifs liés à la conscience intelligible et exécuté(e) grâce à tous mes outils dont je dispose, ainsi que par mes propres moyens biophysiques, matériels et intellectuels aux fins de combler le vide potentiellement existant uniquement par la présence de ce qui n’a pas été fait. La seule difficulté de cette croyance est de savoir pourquoi je désire faire cela.
Il doit bien y avoir une raison ici ou ailleurs qui me permettrait de combler ce vide avec quelques objets, sujets, expressions et impressions dont j’aurais joie à exprimer et conceptualiser, et où cela, me permettrait par l’acquisition de quelques autres connaissances de combler mes manques, telles de beaux et solides ‘’quelques choses’’, dans ces espaces entre les lignes médianes d’une route dont la représentation au sol me permettrait d’être guidé par cette ligne droite en pointillés tout en me laissant la capacité d’aller à gauche ou à droite, afin de voir s’il existe ailleurs quelques signes me permettant d’avoir certaines libertés à essayer d’interpréter ce que je ‘’fous ici’’, au milieu de je ne sais quoi, pour je ne sais quoi, avec je ne sais qui, mais dont la seule petite certitude est de m’agiter dans tous les sens pour un bien maigre résultat, sachant que je vais tôt ou tard finir dans le même espace que celles et ceux d’avant, sans rien avoir saisi de celui où j’existe physiquement par ce corps qui parfois me fait bien ‘’chier’’, à être la prison de mes pensées, le gardien de mon inconscient et le bourreau de mon imaginaire, hormis la grande incertitude, qu’il n’arrive même pas à combler mon espace vide de presque tout, sauf de l’énergie dépensée souvent pour je ne sais quelle raison illusoire, hormis celle née d’une conscience totalement inconsciente surgie de ma vraie réalité dans ce monde souvent incompréhensible et pourtant réel lui aussi, et où ses éléments, souvent irrationnels, vivant à sa surface veulent en modifier sa nature profonde par actions parfois temporellement violentes envers toutes ces formes existantes elles aussi à sa surface, alors que cette TERRE qui nous héberge et qui sans la présence de sa belle nature profonde nous ne pourrions même pas avoir cette apparence physique nous permettant d’agiter quelques pensées pour en faire tomber quelques grains de pollen sources des pensées envers l’extraordinaire nature de la VIE, en ignorant par inconscience que cette dimension, où nous survivons maintenant dessus, a existé avant nous et existera encore après. Et si nous ne comprenons pas rapidement la chose, elle risquerait bien d’avoir une modification de son bel équilibre avec toutes les conséquences qu’il pourrait s’en suivre pour l’existence de tous ces petits êtres en devenir qui viennent et viendront se poser proches des différentes cultures nourricières…
J’entendis à cet instant-là, les voix d’Emma et de Mathéo…
Qui me disaient : ‘’ Tu vas bien Mickaël ?’’
En me regardant avec des yeux inquiets.
Et, à ce moment-là, je repris mes esprits en leur répondant :
- Oh, Excusez-moi, je crois que j’ai quelque peu dérivé avec certains de mes mots dits’’.
- Ah non, ce n’est pas ça, c’est juste l’intonation que tu avais en les disant.
- Ho, pardon à tous les deux, je ne disais pas cela envers vous. Vous savez les sentiments que j’éprouve pour vous, mais parfois, lorsque je pense à tout ce que je vois alentours, j’ai l’intime conviction que grand nombre d’êtres doués d’inconscience ou dopés à la mauvaise conscience oublient leur essentiel et celui des lieux où ils, elles résident, en la belle nature de la vie présente en eux, et sur cette TERRE au nom de ce, celles et ceux qui viendront s’y arrêter quelques temps. Sauf lorsqu’ils s’aperçoivent de la force des éléments, en leurs signes de rebellions, mais souvent à retardement pour les uns et ‘’las’’ pour autres, et certainement avec le résultat du moins bien pour toutes et tous, dans ces cas-là. Mais ne vous inquiétez pas, j’aperçois encore quelques beaux signes émis par quelques ‘’mammifère-humanoïdes’’, pour ne pas faire un déni de cette ‘’Vie’’. Cela me permet de continuer, je ne sais pas trop comment, où et pourquoi pour l’instant, peut-être juste à essayer de vous parler avec mes mots à moi, car, vous êtes tous les deux de beaux spécimens de vie, et j’aime ceux-là. J’en ai connu quelques-uns parmi tous les moins beaux pour mon acceptable compréhension, et, où par ailleurs, certains et certaines, sont en train de me faire à nouveau, part de ces beaux signes déjà présents en eux lors de nos instants communs. Voilà, je voulais juste formuler ce que je pensais et croyais, en vous voyant, et, ne me tenez pas rigueur pour mes propos exprimés de cette façon, certainement teintés d’un peu trop de passion excessive, mais jamais malsaine, du moins je l’espère.
Voilà, j’en ai fini avec ce point de vue pour l’instant.
- Ah, et bien heureusement, dis donc, car tu en as exprimé des choses sur ce point’’. Dit Emma en souriant.
- Ho non, pardon, en lui rendant son sourire, j’en étais au quadrillage bleu de 0,5 x 0,5 mm sur lequel j’avais défini les deux signes premiers en le point (.) et la ligne [ _______ ], et le troisième qui est en fin de compte le premier ayant existé physiquement en le zéro physique tel un ‘’cercle’’ représentable de deux façons sur un référentiel blanc, mais dont la seule réelle représentation physique de ce zéro est la troisième. Tel :
[(?) (O) (?)] = un (1) ensemble, me permettant d’avoir un système de trois signes premiers en tant que formes initiales tel un ensemble (E) défini sur un plan euclidien. Gardons pour l’instant, uniquement ces trois premiers signes…
De … ; L’ensemble ; (E) ; représenté et, délimité par les deux accolades […].
Tel un plan euclidien ; avec: [Le Point (•), le Cercle (O), le Zéro Physique ?]… Tel de multiples degrés perceptibles par notre vision.
Les délimitations de l’espace d’existence individuel de ces trois signes étant pour l’instant les parenthèses (…), et les deux accolades […] les délimitations en tant que référentiel en plan euclidien de l’ensemble alphanumérique.
La couleur noire est la représentante visuelle sur le référentiel ‘’feuille’’ et les 4 lignes de cette même couleur, le cadre de la forme représentée ; où le point (.) inscrit en sa surface est le symbole de l’unité de matière ‘’première’’ sur cet espace ; le blanc étant les forces invisibles présentes sur et autour du référentiel, et par fonctions de vectorisations présentes proches du point, telle la représentation visible en le cercle autour du point, à l’instant constaté, vu ou non, mais potentiellement existant telle une ‘’onde’’, dont ses effets seraient représentables par une sinusoïdale dont l’origine ne pourrait peut-être, ne pas être définie, mais ses effets ressentis et peut être aussi, non représentables en trois dimensions physiques, et pourtant, causes de sa présence ondulatoire périodique.
Les lignes droites ou courbées qui s’en suivront seront des quelques choses de différents en tant que formes résultantes de celles initiales sur cet espace de référence qu’est la feuille peut-importe ses dimensions, car elles seront justes les délimitations de cet espace de référence en plan euclidien, où les points […], les lignes droites (-\|/-) et les lignes courbées ouvertes (≈), ou fermées ‘’0’’, sont des formes élémentaires nées de l’Origine (O) représentée par le zéro alphabétique et le 0 numérique qui ne sont que deux représentations d’une Origine dont la Matière et l’Energie sont bases d’une théorie connue source d’une origine inconnue, mais suivante ou équivalente à ‘’quelque chose’’, afin que par effet d’expansion énergétique et temporel toutes formes physiquement représentables évoluent vers autres représentations inconnues à tendance à vouloir devenir connues ; maintenant et potentiellement existantes sous autres ‘quelques choses’’ dont je pourrais peut être en représenter quelques formes élémentaires constitutives de l’origine connue de la Matière, tel l’ensemble ci-après, où, à gauche de ‹‹… : ( C’est l’inconnu ou le passé connu et à droite de ›› … -]) E/C² serait… ∞… L’infini grand lointain galactique et cosmologique où l’évolution imaginée est pour l’instant inconnue ; et pour partie existante sur ce référentiel […] – Matériel. Mais potentiellement existible dans le futur, qui n’est juste qu’une représentation du plus (+) que maintenant par la seule certitude que nous avons au minimum cinq origines, en celles de l’univers, de notre galaxie, de notre système solaire, celle de notre Terre, et celle de nous, et malheureusement… Nous n’en connaissons véritablement et complètement aucune, et, même pas notre maintenant…
Mais laissons cet ensemble de ‘’signes’’ de côté pour l’instant, et revenons à nos moutons, j'ai vu vos yeux s'agrandirent avec pleins de points d’interrogation à l’intérieur. Hihihi iii … J’ai cru voir un égrégore.
J’en étais avec mes trois signes dont les formes élémentaires sont le point, la ligne droite et la ligne courbée, tous les trois nés de l’Origine (((O))), représenté par le zéro physique (Lettre Latine Clic Bilabial), (?), où son point central représente le premier élément de matière qu’il m’est possible de percevoir. Je vais donc maintenant, délimiter un espace de 14,14 cm de côté, soit 4 lignes de dimension √200 cm, sur la feuille millimétrée, où je placerais le ’’zéro’’ de l’Origine, dans le quart en bas et à gauche du carré de 14,14213 X 14,14213 cm.
Cet espace […] de travail aurait tout aussi bien pu être de 2 cm², mais pour représenter l’ensemble des signes tel ceux-ci-dessous :
[…]:|[(.°.)?-.°-0+OI||²/||\%-|+/°\°/’|’\°/)-]?-[+Ï?…
Cela serait particulièrement difficile, sauf à l’ordinateur, où il est possible de changer les représentations dimensionnelles du référentiel.
Mais gardons la surface de 408 cm², soit (20,19900n…) ² ; ou 17 x 24 cm.
- Oh, dit donc, il y a des signes en plus, notamment les lignes verticales et obliques en plus des points et cercles ! Dit Emma.
- Oui, c’est vrai, mais ce sont justes des représentations de la ligne (----), en différentes autres longueurs et positions sur l’espace de référence en plan euclidien.
- Ah, d’accord, mais ton zéro, avec un moins (-) et un plus (+), il est nouveau aussi ?
- Non, il a toujours existé, même si nous ne le voyons plus sous sa forme originelle, il est la représentation physique en langage numérique du zéro plus l’origine, ou 0 + ‘’quelque chose’’ dont sa représentation en langage binaire pourrait être : (-I-0+I), qui en langage binaire (hors signes – et +) est IOI, en décimal est le (5), et en langage alphabétique le ‘’cinq’’, et qui pourrait très bien être considéré physiquement comme une valeur médiane de 10 (dix), ou point d’équilibre plus ou moins ‘’quelque chose’’ permettant de trouver un centre de gravité potentiellement existant en la ligne droite ou courbe, par division de leur longueur en parties infinitésimales permettant peut être de s’approcher de ce centre de gravité, ou point d’équilibre et nous pourrions peut être écrire en langage mathématique, la formule ci-après: P° = [((4,999-5) + 5,002) - 10?³] = 5 = I0I Bi = 10/2 = √25 = √100/4…
Mais, là j’écris cela sous le contrôle de Mathéo.
- La définition mathématique n’est pas fausse, me dit-il avec un petit sourire, mais impossible pour maintenir le point d’équilibre d’un objet immobile à base moins un, sauf à le trouver entre le moins un (-1) et le plus un (+1), soit effectivement –I0I+ en langage binaire ; qui en écriture décimale est ‘’5’’et [(-1)-0+(+1)] en langage numérique = 0 … Avec pour résolution mathématique égale à zéro (0), l’opération : -5 + 5 = 0 = -n + n.
- Tu as tout à fait raison Mathéo, Merci. (?=?)… ??? Tel les deux symboles ‘’sigma lunaire’’ séparés par le signe égal (=)… Oui, je sais, je suis instable, déséquilibré, voire ‘’fêlé’’… Lol…
Quoiqu’il en soit, ce zéro sera origine du reste à venir, et posé en bas à gauche du référentiel, d’où partiront toutes les lignes droites, longitudinales, verticales ou inclinées suivant un angle positif ou négatif, et courbées pour relier deux points entre eux, en passant par un troisième point en délimitant le rayon de courbure par lequel passerait cette ligne, à l’intérieur de l’espace de référence déterminé, avec la règle, l’équerre, le compas et parfois juste le crayon taillé fin, puis moyen et voire, plus que moyen. Mais vous verrez cela en cours de route. Allez les p’tits loups. C’est parti…
- Nous avons compris ton souhait de mimer une personne tentant du mieux possible de retransmettre ses quelques connaissances à autres, tel un(e) enseignant(te) installé(e) sous le portique des bizarreries , me dit ‘’Mathéo’’.
En souriant…
- Oui, ce que tu me dis est vrai. La transmission des savoirs et connaissances est quelque chose m’apparaissant assez extraordinaire… Surtout lorsque que cela est partagé avec quelques belles curiosités et attentions teintées d’un peu d’humour…
- Puis-je te poser une question me demandât Emma.
- Oui, je t’en prie, ‘’Emie’’, tu permets que je t’appelle Emie ?
Je préfère, car je trouve que le ‘’a’’ de ton prénom, placé en fin de mot, formule un passé. Je préfère lorsqu’il est placé comme dans le mot : ‘’aimant’’… Ou ’’attachant(e)’’…
- Oui, si tu veux, même si je te trouve un peu déphasé ou déconnecté… J’aime bien tes expressions un peu loufoques… Lol.
Mais pour quelles raisons fais-tu une description si précise en l’expression de ce que tu souhaites faire, car je pense que ce que tu nous as raconté, c’est toi qui va en exécuter les différentes expressions.
- Oui, tout à fait, et je vous en donnerai les représentations… Plus tard. En premier, de formuler par l’écriture des signes et expressions en contingence de mes pensées et idées, me permet de les concrétiser par ces moyens, afin de peut-être en comprendre une certaine logique, et ensuite je me suis aperçu, il n’y pas très longtemps d’ailleurs, même si je le ressentais depuis plus, qu’il fallait toujours avoir au moins deux bases ‘’solides’’ pour espérer pouvoir construire quelque chose d’autre plus stable, tel un triptyque, qui aurait au moins potentiel à l’être tout autant, car cette troisième base sera l’élément commun troisième permettant d’obtenir la base d’équilibre qui par multiple exponentiel de sa racine cubique en permettrait par notion de temps d’en atteindre un espace volumique relativement stable, tel un Espace-Temps, jamais totalement immobile par phénomène d’attraction négative ou positive. Où chez nous le ‘’point d’équilibre virtuel’’ se trouve certainement entre le savoir inné (génétique), l’apprentissage par retransmissions des connaissances et savoirs acquis par celles et ceux d’avant et ‘’l’Espace Sensible’’ propre aux interconnexions des ‘’Esprits Libres’’, où les langages parlés et écrits en sont les vecteurs, fonctions et desseins essentiels à la meilleure évolution de tous ces ‘’petits grains de matière organique’’ dotés de la pensée cognitive et de l’imaginaire… ; sachant que le mammifère-humanoïde est assujetti morpho-psychologiquement, au triptyque : [ Affectif – Professionnel – Financier].
Par ailleurs, il suffit de relire certains récits historiques, documentaires de toutes sortes, biographies et chronologies pour y déceler une toute petite partie de vérité, même s’il manquera toujours un tout petit élément ‘’inconnu’’ pour arriver à la certitude absolue que rien, ne sera jamais vide de tout et que vide ne sera jamais rien. A ce sujet, je crois d’ailleurs que dans toutes histoires, récits, fables, contes ou légendes, il existe une part dialectologique de réalité ‘’virtuelle’’, petite ou grande, plus ou moins vraie, peut-importe, mais certainement toujours existante de ce qui a été désiré en d’autres temps et peut-être cru ou rêvé par des liens, inconnus, méconnus et devenus pour certains connus, entre l’infini loin passé et le futur in-imaginé, existant peut être toujours en leurs retransmissions désunies de maintenant, où leurs meilleurs accords sont majoritairement inaccessibles à nos capacités, ou non voulus pour ‘’X’’ raisons, ‘’Y’’ devises ou ‘’Z’’ sémiologies causales ; dissonantes ou fractales, sous notre forme biophysique consciente actuelle. C’est pour cette raison que j’essaie d’être le plus précis possible en l’expression ‘’logique’’ de ce que je pense, perçois et crois proche de la réalité de dimensions sensiblement touchantes… Et potentiellement touchables… Même si cette recherche peut paraitre insignifiante et inutile, voire perçu comme idiotie…
Nous ne pouvons changer le passé, ni prévoir le futur plus que très proche du maintenant, mais nous avons possibilité d’en imaginer ces possibles réalités physiques grâce à nos facultés de percevoir la bonne direction par le bon sens, afin de vivre les possibles bienfaits du futur, dont nous sommes responsables par phénoménologie, comportements et actions causales, même si l’univers a déjà codé un certain ordre des choses qui lui appartient, et où la vie est apparue sur un de ses mondes, et qui ‘’Elle’’, a possibilité d’en modifier ses propres codes, et nous également, par acquisitions et compréhension des règles, lois, forces et énergies universelles présentes en notre réalité biophysique. Dans mon temps de maintenant, j'aimerais trouver des alliés dans ma recherche. Toi, ‘’Mathéo’’, tu en fais partie, ‘’Emie’’ va certainement en faire partie, d'autres en ont fait partie dans mon temps d'avant. D’autres ont préféré prendre une autre voie, c'était leur choix, et je leurs ai souhaité le meilleur dans leur quête, quelques autres sont restés(es) proches de moi d'autres, encore, ont éloigné leur présence physique, mais la belle partie d'eux, je l'ai gardée précieusement en moi, cela me permet de trouver la force et l’énergie pour continuer sur ce chemin et je suis sûr que ce dynamisme est le même présent chez MONAHRIE. Ce qui nous permet d'être tant lié, même si nous ne sommes pas physiquement proche tout le temps, et avec autres… Depuis longtemps j'ai perçu la trace de la possible présence de cette puissance, existante tout alentour. Je pensais que cette force s'éloignait et revenait, telle une corde ayant propriétés d'élasticité. Je n'avais perçu que la force était toujours présente, et, c'était moi qui était à un de ses deux bouts ; et en plus, elle me fait tourner en bourrique, car j’ai senti qu’elle s’éloignait toujours par l’incompréhension, l’ignorance, défauts d’analyse, dénis de changement ou émotions exacerbées et inassouvies ; et qui en plus, ont cette fâcheuse faculté de diviser cette insuffisance cérébrale en deux forces bidirectionnelles.
Je pense que ce langage SIGMALPHANUMERIQUE est très compliqué à comprendre et à parler, plus qu’à ressentir. J'ai eu cette sensation plusieurs fois dans mon existence, et j'ai obtenu confirmation avec ces êtres nés de mes certitudes, car même si nous nous sommes éloignés parfois les uns des autres, cette force est toujours suffisamment présente, pour toujours nous rapprocher par le potentiel du revenir. C'est cette ‘’chose’’ indéfinissable qui me permet d'exprimer tout ce que je ressens à l'intérieur, vers l'extérieur, avec mes expressions ; à moi. Et même si j'ai parfois des difficultés pour me faire comprendre, si l'on me prend pour un fou, je continuerai dans cette dimension du temps, tant que j’en aurai force car je sais qu'un jour lointain, un autre roi ou une autre reine, comprendront une autre foule d’extravagants. Mais pour le moment, mon seul souhait est de trouver une trace potentiellement existante et compréhensible dans une partie de la proposition suivante: ‘’Et si est un, où est une, et inversement ? Peut-être ?... Ä Temps O + Une Période…
En commençant par : ‘’Et si est un’’… Alors peut-être… Si…Si… Là.
Je vais au tableau afin de matérialiser ma vision.
- Tu as raison, car tu ne te rappelles même pas de la fin de la proposition…
En riant de bon chœur.
- Oui, vous avez certainement raison, en les accompagnants, mais je ne peux m'en empêcher. Je pense qu'une partie des réponses est dans ces signes, lettres, mots, phrases, et toutes expressions de notre pensée mises en ordre sur un référentiel, telles les notes d'une belle symphonie colorée de milles teintes dont le noir en représenterait la matière, et le blanc la partition. Donc commençons petit avec ‘’et si est un’’, 1, 2…, 3 et 4 ; puis 5 et 6 ; allons au bois, et faisons en la représentation au tableau, en langage mathématique, afin qu'elle devienne visualisant potentiellement vrai de la proposition.
- T’es vraiment un grand malade. Dirent-ils en continuant à rire.
- Non, non, je ne pense pas. Parlons un peu de syllogisme, si vous le voulez bien. J’ai écrit, dans un autre de mes manuscrits, un [§…] paragraphe traitant de ce sujet et intitulé :
REPRESENTATION ET INTROSPECTION : http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/theories/representation-introspection-realisme.html
L’Homme est un mammifère : VRAI
Tous les hommes et toutes les femmes sont des mammifères : VRAI
L’Homme est un bipède humanoïde : VRAI
Tous les hommes et toutes les femmes sont des êtres-humains cultivés, rationnels et intelligents : FAUX
L’Homme est un animal grégaire à actions répétitives et réactions désordonnées existant dans un système sociétal multiculturel à conformisme béat et consumérisme endiablé : PEUT-ÊTRE…
Que peut-il rester d’un réalisme ordinaire si le réalisme de la mesure est réduit à néant par un antiréalisme inspiré par la seule préséance de la pensée mathématique sur la pensée analogique?
Et tout particulièrement dans la pensée unique ?
Qu’adviendrait-il du pragmatisme ordinaire ?
Quelle échelle de représentation autoriserait l’une ou l’autre, sans l’une et l’autre – i.e. la pensée analogique sur la pensée mathématique et réciproquement – dans un ensemble (E)… ???
Encore faut-il réussir à ne pas passer outre les calomniateurs convaincus et ne pas recourir à leurs maximes sans analyse des paralogismes particuliers et syllogismes divers, afin que la flétrissure culturelle, sémiologique, sémantique et didactique généralisée ne soit plus une fragrance à en adopter le verbiage, sans attention ni étude envers la divagation ahurissante. Ne serait-ce pas en cette thématique, son reniement choisi ou une adhésion intrinsèque envers reliques en formulation de différence, physico-ontologique, sans preuves véritables… ; autre que celle édictée par un corporatisme inique, en postulats de paradoxes, tout aussi incertain… ???
En l’occurrence si un ou une différente en voudrait établir quelque autre attachement, hors robe, chaire, pair, pompes et intérêts empruntés à doctes en prescription d’adhérence supposée, il et/ou elle, en seraient-ils immédiatement taxés de simples d’esprit ou hérétiques… ?
Que pouvons-nous répondre, par quelques rhétoriques sensées, à tous ces calomniateurs et calomniatrices, infectés(es) par les ‘’choses’’ sans preuves formellement établies, accusant autres de leurs congénères, sexués, sans logique didactique évidente, au rapport d’une sociologie humainement acceptable ?
Qu’ils en bâtissent leurs trésors par une forme clandestine approvisionnée à leur état d’insincérité ?
Que doit-on étudier, de même, à tous ces discours vagues de cette sorte, qui se trouvent dans leurs livres des restitutions réduisant les créanciers humanistes en une usure à ruissellement de lentigos proches de la porte, usée, entrouverte aux germes des imprécations sans foi, ni lois… ?
Ou à pratiquer un suivi circonstanciel, plus à même d’emprunter les ressemblances destructrices d’une colonie munie de pics d’incertitude, au détriment d’actions en construction d’une philosophie-politique et sociologique moins absconse… ?
En attribution du prix des accords privilégiés proches du discours entre les sciences, les arts et la poésie… ???
Afin d’imaginer pouvoir faire quelques introspections sur ces sujets, il se doit, en premier lieu, et à minimum, de comprendre Syllogisme et Paralogisme…
SYLLOGISME
Un syllogisme est un raisonnement où, certaines choses étant prouvées, une chose autre que celles qui ont été accordées se déduit nécessairement des choses qui ont été accordées.
La proposition mineure d’un syllogisme est établie, soit par une induction, soit par une hypothèse, soit par une évidence, soit par des syllogismes. Un syllogisme permet de mettre en lien une conclusion à deux termes :
1 – Le majeur
2 – Le mineur
Par un ordre de moyens termes, dans une table de vérité…
Le majeur et le mineur ne doivent apparaître qu'une fois chacun dans les prémisses, le moyen terme est présent dans chaque prémisse (puisqu'il permet la mise en rapport des deux autres termes) tandis que la conclusion expose le rapport entre le majeur et le mineur, de sorte que le syllogisme est un « rapport de rapports » (expression de Renouvier, Traité).
PARALOGISME
Un paralogisme est un raisonnement faux qui apparaît comme rigoureux et où le locuteur est de bonne foi, contrairement au sophisme qui est un argument fallacieux, c'est-à-dire destiné à tromper. Le paralogisme est un antonyme de syllogisme.
Dans la Critique de la raison pure, Kant a identifié les paralogismes comme étant des illusions de la raison.
On peut distinguer deux types de paralogismes : les paralogismes formels et les paralogismes informels.
John Stuart Mill montre dans A System of Logic que le syllogisme classique est lui-même un paralogisme : aucune vérité particulière ne peut être inférée de principes généraux puisque c'est au contraire l'ensemble des premières qui doivent être démontrées pour garantir la validité des secondes :
« [...] Il est irréfutablement avancé par les adversaires du syllogisme que la proposition, Socrate est mortel, est présupposée dans l'hypothèse plus générale : Tous les hommes sont mortels ; que nous ne pouvons être assurés de la mortalité de tous les hommes, à moins d'être déjà certains de la mortalité de chaque homme individuel ; que s'il reste douteux si Socrate, ou tout homme que nous souhaitons citer, est mortel ou non, le même degré d'incertitude doit peser sur l'affirmation – Tous les hommes sont mortels – que le principe général, au lieu d'être donné comme preuve du cas particulier, ne peut lui-même être tenu pour vrai sans exception, avant que toute ombre de doute qui pourrait affecter quelque cas qu'il inclue ne soit dissoute depuis une autre source ; et alors que reste-t-il à prouver au syllogisme ?
Que, en bref, aucun raisonnement du général vers le particulier ne peut, en soi, prouver quoi que ce soit : puisque depuis un principe général nous ne pouvons inférer aucun [cas] particulier, sinon ceux que le principe lui-même présuppose connu. » Mills nous dit ici que, lorsque nous prétendons avec un syllogisme parler de la réalité (ou de toute situation concrète), alors le principe général posé comme point de départ du raisonnement repose en fait lui-même sur une autre affirmation à propos de chaque cas particulier concerné. Les métaphores propres aux mathématiques (théories), lorsqu’elles ne sont pas démontrées scientifiquement, demeurent des métaphores, c’est-à-dire, qu’elles sont des instruments d’interprétation du réel qui peuvent nous tromper utilement ; ou fallacieusement ?
Conclusion partielle :
Ce n’est que par un effet de rhétorique que l’on peut arriver à faire croire que la vérité mathématique en économie incomplète a autorité suprême, comme si toute vérité pouvait s’émanciper de l’utilité d’un pragmatisme d’échelle présent, pour ensuite venir la justifier, en s’émancipant d’une autre thésaurisation, en prémices ordonnées et subordonnées à un passé volontairement rendu valorisant, au profit de postulats en futur particulier… En intérêts pour seuls clans de chaires, d’ors, de robes, de notables, de pompes et autre empruntés(es) en comptes de valeurs ajoutées, falsifiés… Marketing de lobbies, néo-scientistes ou PARAPHEURS en paradigme de faux-culs ?
Le capitalisme n’a plus besoin d’intelligences antithétiques à partir du moment où sa base devient uniquement mécanique. Tout écosystème HUMANOÏDE arrivé à ce stade se contente comme AVOIRS que de disposer d’une armée soumise à l’impérialité du pouvoir dirigeant… ; où les oppositions philosophico-politiques se doivent d’être abolies par l’autorité de commandements, endoctrinées par tous moyens physiques ou corrompues par les outils de la FIDUCIE MONETAIRE…
A ce moment-là le PEUPLE d’une NATION n’a plus la LIBERTE DE CHOIX, et par conséquent le système devient une AUTOCRATURE, voire PIRE…
Pour une sémantique des textes. Questions d’épistémologie.
Au plan épistémologique, le sociologisme issu de certaines formes périmées du Marxisme – Léniniste, du communisme d’antan, puis du capitalisme ‘’débridé’’, et de l’ordo-libéralisme subjugué par principe de subsidiarité, (une utopie hors formes de népotisme), a perdu les moyens théoriques de leurs servir de langage commun ; elles sont confrontées à des tentatives de réductions provenant des neurosciences et de sciences cognitives. Enfin la ‘’techno-logo-médiatisation’’ croissante de la recherche scientifique conduit à ne plus vraiment subventionner que des programmes susceptibles d’aboutir en principal à des brevets rentables et commercialisables ‘’rapidement’’ ; quitte pour arriver au but proche d’un corporatisme absolutiste, à faire fi des notions de responsabilités dans le système à réseaux ‘’humains’’…
Quant à l’objet des sciences sociales, on ne fait qu’accumuler des connaissances sans précédent sur la diversité des langues et des sociétés humaines, avec un effort sans précédent lui aussi, en tant qu’inventaire et conservation du patrimoine culturel à l’échelon mondial, alors que son véritable degré appelle à présent une réflexion théorique afin de penser la diversité de ce patrimoine, dans le temps comme dans l’espace. Nous sommes confrontés au défi de mettre en valeur la diversité culturelle d’aujourd’hui, pour éviter qu’elle ne se réduise à la portion congrue de sa propre incompréhension aseptisée ; voire irrationnelle ou psychotique.
Cela n’exige pas d’opposer un relativisme frileux à un universalisme dogmatique ; mais loin des réductions biologiques, anthropologiques, ethnologiques ou sociologiques qui ont tentées depuis l’avènement de l’ère industriel, après la Renaissance et le temps des Lumières, d’en déterminer uniquement les lois et règles sur les états successifs des fonctionnements des biosystèmes et écosystèmes, en faisant trop souvent abstraction ou déni des liens communautaires et culturels des échangistes en, et entre ces différents systèmes à réseaux ‘’vivants’’…
Cela conduit à affirmer l’autonomie concise et la spécificité sociologique de la sphère culturelle, et ainsi à poursuivre dans la direction tracée par l’entreprise philosophique des formes symboliques, permettant d’en définir les potentiels contours d’une sémiologie des cultures, fédérant en premier lieu les échanges par la linguistique, les mathématiques, la philosophie, l’histoire, l’anthropologie, la métaphysique (sachant que méta signifie : plus, après, entre, plus loin… Et pas autres choses spéculatives non prouvables par les connaissances épistémologiques) et l’étude de tous ces langages en tant que sigles, symboles, axiomes, lemmes, mots et expressions multiformes, qu’ils, elles soient émis(es), sous formes sonores ou écrites…
Par conséquent, cette question technique pose la question d’un projet refondateur pour les sciences sociales, depuis naguère, et encore aujourd’hui teintées par diverses idéologies et néologismes ‘’troubles’’ au rapport épistémologique de l’éthique ontologique… ; et culturelle assujetties à la déontologie économique et commerciale. (Vastes sujets)…
L’étude des objets culturels complexes apporte en ce sens de multiples enseignements. Aussi, François Rastier (Directeur de recherche au CNRS) aborde dans ses analyses et par sa compétence, quelques questions et réflexions sur la ‘’sémantique du texte’’. La linguistique en reste bien souvent à la phrase et la morphosyntaxe, et constitue de l’avis général son domaine de prédilection. Elle doit encore beaucoup à l’héritage séculaire de la grammaire – la linguistique historique et comparée fondait ses fonctionnalités sur l’analyse morphosyntaxique… Le positivisme contemporain a renforcé cette prédilection. Où le vecteur le plus disqualifiant en est assurément la liberté de croire que l’attachement séculaire ne saurait être en aucune façon facteur déstabilisant par le manque d’attentions et le déni de justes curiosités envers ce, celles et ceux présents en ce monde naturel, assujetti à phénomènes holistiques incompréhensibles… Et en constante évolution…
VOULOIR A N’IMPORTE QUEL PRIX…
Vouloir à tout prix n’est pas savoir à n’importe quel prix. & réciproquement.
N’avouerez-vous, jamais, qu’il ne saurait exister écosystèmes équilibrés sans reconnaissance de ce qui sépara la lumière des fiers(es) rebelles de la servitude des mornes aptitudes… ???
Quelle figurine virtuelle allez-vous, encore, fournir aux goûts incertains, exhalaisons sans saveurs… ???
Il faut pouvoir distinguer l’éthique de conviction et l’éthique de responsabilité. Vouloir associer valeur morale au seul existentialisme politicien est une gageure affichée à un déterminisme, d’une technocrature liberticide bornée.
Le travail politique demande vision à long terme, ou tout du moins à moyenne portance, tout en disposant d’un pragmatisme de mesure et d’échelle, tant de près que de loin. Mais cela, Mrs les élites d’affaires politiques et gouvernances de divers ordres, ne parait pas, en votre ordinaire d’intellectualisation, d’évidentes dispositions ; source d’une véritable démocratie. Votre instruction, en ‘’grandes écoles’’ fut-elle celle d’un déterminisme de rigueur fixé à un impérialisme axé sur viles figurines en capitalisation financière dépassées par l’horizon des évènements nationaux, internationaux et continentaux… ?
A vouloir faire, à n’importe quel prix, une culture dogmatique aliénée à votre inique style de vie, sans s’attacher à autre système de valeurs veillant sur les particularismes démocratiques mène invariablement à une défaite républicaine. En l’occurrence, tous vos actes, depuis plus de quarante ans, ne sont que versatiles occasions servant les obscures valeurs de votre clans de bornés(es) qui détruisant méthodiquement le fragile équilibre que fut celui des valeurs d'un peuple attentif à une véritable démocratie républicaine qui détournées de cet équilibre serait sans force et sans vraisemblance pour y percevoir quelque institutions désireuses d’une réelle Nation frappée au sceau de la liberté, de l’égalité, de la fraternité et de la justice sociale… Dans le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfance.
Un peuple, qui sans observance de certaines pratiques liberticides, se plie sous son propre sort est un peuple qui meurt ; mais un peuple qui s’oublie, qui s’ouvre indéfiniment aux influences extérieures, néfastes... ; ainsi qu'aux brassages sans éthique, ni morale citoyenne, meurt aussi. Ni l’un ni les autres ne peuvent atteindre ce qui est juste, comme de réussir à penser que la loi du plus fort fut, et soit, encore, la plus juste…
LES MEDAILLES DU CASTAGNEUR
Il y eut des cris et des flaques de sang sur les Champs,
Des fractures sans triomphes sous l’arche de l’Arc,
Dans cette soûlographie en existences violentées,
La Terre continue de tourner, même sous yeux perdus.
Elle s’en fout de vos pitoyables conneries,
L’ordre et le désordre des choses sociales, écosystèmes vivants,
Et puis, les marches de zombies en but sans justes devises,
C’est pareil que vos immatures castagnes sans dignes causes.
Les médailles accrochées au poitrail de costumes sur mesure,
Les récompenses pour services rendus à la République,
Les vivants, les morts, les régiments, les enterrements,
C’est une mascarade, grandement, farcie aux trompettistes sonnés.
La grisante lessive étatique a une odeur de chiendent,
La citoyenneté vocifère contre les livres de comptes,
Le peuple contre les privilèges des vils comtes,
Mais la Nature, elle en ricane de vos contes à la noix.
Vous aurez beau, beuglé, pleuré, gémir, pestiféré,
Femmes, hommes et enfants, dans des hauts le cœur,
Les portes cadenassées, les vitres cassées,
L’espérance, les prières, les médailles de pacotilles,
La Terre fait la roue, et les temps sans conscience, le reste.
Vos questions d’argent, raisons hors éthique humaniste,
Vos banquets tagués aux plaintes sans point d’écoute,
Les gris-veaux de chaires, le parisianisme sur bases frivoles,
La surface du Globe saccagée ne vous cirera pas les pompes,
Ni ne rugira, la médaille d’or, d’argent ou de bronze,
Dans le derrière, vous les aurez…
M.A – Le RSA-yste Senior et Gilet Jaune 2.0
Date de dernière mise à jour : 31/07/2019
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