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- Le langage est-il un jeu d’imitation… ; lié à singularité politico-philosophique ?
- La ‘’machine’’ est-elle soumise à jeu d’imitation ?
- La pensée multidisciplinaire peut-elle faire évoluer positivement ou négativement les modalités socio culturelles dans un ensemble (E) … ; composé des machines humaines… ???
L’étiquette HUMANISME évoque – sous un aspect faussement anodin – la bataille permanente pour l’être humain qui s’accomplit sous la forme d’une lutte entre les tendances qui bestialisent et celle qui apprivoisent.
De la forme syllogistique, sémiotique et didactique rattachée au nombre le plus grand d’une sociologie respectueuse de la préservation du bien commun issu du monde naturel, tout en y intégrant une épistémologie pluridisciplinaire servant l’évolution civilisationnelle du et des vivants naitra le style MATIERIEL émancipateur de l’être-humain, en finitude d’un stylet de constatations uniquement MATERIELLES…
Pour le moment, si peu de gens, mêmes de celles et ceux, guidés par une volonté de décrire leur perception des rapports inter-humanistes qu’ils en refusent d’en affronter leur propre conscience de peur de mettre en péril leurs certitudes créées par une culture dont la raison exclurait toutes différences, moins de celles déterminées dans le mouvement de l’anthropogénèse – incomplète – à minimal étudiée par l’anthropocène, que de celles fortement attachées au détournement de libertés intellectuelles nécessaires à l’émancipation, dans un contrôle d’experts et spécialistes en cadrage voué au déterminisme économico-financier d’usuriers leur autorisant la composition falsifiée aux sons des attentions illusoires dont les pouvoirs suprêmes en seraient les gardiens intemporels d’un glossaire en étals d’une justice sacrée, m’a toujours laissé dans l’interjection d’une insoluble législation, en intérêts citoyens ; ainsi qu’elle en fut édictée, en des temps reculés, où y subsistasse la singularité d’une voie prolifique clandestine plus que de celle affichée à une pédagogie réellement pragmatique en intéressement collectif…
En tant qu’esprit libre il m’était indispensable, depuis que le temps devint plus respectueux des limites de vitesse du mien, d’être en perpétuel observation des évènements transmis par ma lucarne des résolutions numériques d’images et de résonnances provenant des liens échangés au fil de la toile, telle une agrégation en potentiel perfectionnement d’échanges solubles avec le principe d’ouverture teinté à l’éclectisme des raisonnements humainement acceptables.
Cette phénoménologie échangiste virtuelle conduirait-elle à l’émancipation de chaque individu consistant, encore, à choisir un moyen provisionnel en fonction d'une anticipation sur les croyances des autres ???
Serait-elle source d’une unanimité sur un certain signe de covalence entre les différences communautaires… ?
Cette unanimité contingente peut-elle être stable ?
Autoriserait-elle à vaincre les distensions socio-économico-politiques … ???
Et peut-elle être adaptée à une symbolique collective ?
Mais de ce potentiel état sociétal en améliorations sociologiques, par addition d’utiles savoirs faire et multiplication de réels savoirs être, certaines ‘’entités’’ s’en fichent me semble-t-il ?
Ou alors sont-elles dans d’autres schémas plus proches de l’intendance sectaire, voire de l’obscurantisme servile… Dont cette priorité est obligataire pour intérêts corporatistes particulièrement attachés à l’Homme inculte, de covalences individualistes ou d’éducation discutable, où le monothéisme envers le ‘’Grand Argentier’’ a dépossédé ‘’l’art des gens’’ et de l’innovation… Ou tout du moins mis à la marge.
Mesdames et Messieurs les ‘’sachants’’, élites, experts en toutes matières et soumissionnaires, allez-vous continuer encore longtemps à exercer cette désuète rhétorique consistant trop souvent à faire un déni d’analyse ‘’prévisionnel’’ quant à meilleure évolution des liens interindividuels et échanges intercommunautaires, au nom du bon sens social-économique ?
Au profit des actions et réactions immédiates et irréfléchies ???
Le biologiste François Jacob a utilisé, à propos de notre cerveau une image admirable : ‘’Le cerveau humain est comme une brouette sur laquelle aurait été greffé un moteur à réaction’’.
Ce qui peut laisser penser, après analyse de cet excellent aphorisme, que la conscience arrive en majorité d’états, à faire un diagnostic objectif, uniquement après la bataille… Et encore pas toujours, lorsque l’égocentrisme fait loi, et accords avec le pouvoir théocratique insidieux, la fonction matérialiste dominatrice et l’existentialisme théologique frelaté…
N’oubliez jamais cela : « Par tout ce que ‘’l’homo-erectus’’ sociologiquement et chronologiquement inculte refuse de circonscrire hors de ses propres intérêts cupides et narcissiques, il ne saurait exister aucune subtile intelligence suffisante pour réussir à vaincre son ignorance qu'il souhaite garder par déni – que je n’ai pas, comme autres amis(es) réseaux – des estimables facettes amendées à la curiosité physique, philosophique, épistémologique, ontologique, sociologique, accompagnée d'un soupçon de poésie et romantisme, et surtout à ne même plus faire une recherche sérieuse et objective, afin de connaitre la réalité qui se cache derrière le ‘’filoutage’’ des images et des sons dans l'espace de la médication logo-médiatisante, déféquée par la sphère audio-visuelle culturellement sectaire prônant dans la cacophonie générale la division des meilleurs savoirs-être... Et soustraction des savoirs faire dont l’homme moderne en est assurément le servile benêt, des imprésarios et réalisateurs de la dramaturgie didactique échangiste, voire civilisationnelle... »
« Et tout cela au détriment de l’utile observance des extraordinaires pensées encore présentes chez quelques philosophes, sociologues, analystes, épistémologues, et théoriciens de justes mots ; à potentielle sémiologie sociologique humaniste... »
RAISON CRITIQUE ENVERS L’ECONOMIE-POLITIQUE
L’Economie est une science uniquement comptable – La sociale-économie EST une étude sociologique ET mathématique… Où les dimensions philosophiques et culturelles ne sauraient être, en aucun cas d’analyse, défigurées. La plupart des politiciens gèrent l’économie, comme une fonction affectée à leur propre philosophie-économico-financière corporatiste par un filoutage médiatico-socio-culturel attaché à forme délétère d’idéologie néo-ordo-libérale souverainiste, social-communisme déficient, technocratie inadaptée, bourgeoisie de démocrate-chrétiens, capitalisme ou socialisme dépassés par la fantasmagorie monétaire ultra-libérale.
Quand le désordre est trop grand, on rackette le contribuable, après avoir baissé ses quotités comme épargnant, assuré ou ruiné le petit boursicoteur, afin de renflouer les puissances féodales, considérées comme les piliers de l’édifice social et les créateurs de richesses économiques. Et pour semer le trouble, on laisse croire que cela serait une concession à l’interventionnisme de l’Etat. Suprême habileté: si cela a un effet positif, on s’empressera de « re-libéraliser » le système, au motif qu’on est sorti de la période de turbulence et si cela rate, on pourra confirmer que l’interventionnisme étatique est inefficace. La plus grande panique étant quand, dans le système démocratique, le peuple, nécessairement ignorant et irresponsable, devient souverain et fait supprimer définitivement, par la loi et la réglementation, la liberté seigneuriale…
De fait, la société néolibérale actuelle est bien un système féodal où des puissances économiques et financières se partagent, non plus un Royaume ou un Empire, mais la planète, échappant ainsi à toute souveraineté nationale. Selon l’état des rapports de forces entre elles, elles passent des accords de non-agression (situation assimilable à un monopole de fait) ou se font une guerre sans merci, avec des dégâts collatéraux considérables, en termes économique, financier, social et environnemental, le tout dans un climat de crise permanente. Quant aux fameuses PME, elles se font une concurrence meurtrière pour pouvoir gagner le droit d’être choisies par (soumises à) ces grandes féodalités oligopolistiques, soit comme fournisseurs soit comme sous-traitants.
On le perçoit aisément lorsque l’on décortique les rapports commerciaux et stratégiques entre les trusts et grands groupes envers les PME, PMI et TPE…
Quant à la fameuse régulation, elle peut être comparée au rôle de l’Eglise d’antan. Celle-ci comptait sur la piété des puissants pour brider leur tendance tyrannique, leur servait de conseil et d’arbitre et, excommuniait exceptionnellement ceux qui mettaient vraiment en péril le système et les principes. Le nouveau clergé technocratique néolibéral ne cesse d’en appeler à la moralisation (!!) des rapports socio-économiques. Il initie stupidement des instances “indépendantes” de régulation dont l’image médiatique est inversement proportionnelle à leur impuissance d’intervention, enfin, mettent de temps en temps au pilori quelques brebis galeuses, de basse baronnie si possible (l’affaire Kerviel en est une caricature), dans l’irréalisme économico-financier.
Les banques, n’ont-elles pas engrangée d’énormes, voire indécents bénéfices, même après la crise de 2008… ?
Après avoir édicté qu’il fallait fiabiliser le système bancaire…
D’autant que, d’un côté de l’économie-sociale de marché, et des politiques néo-libérales, sont énoncés des termes à image positive: personnalité, acteur social, responsabilité, défense des inégalités et de la précarité. De l’autre, des mots à image négative : individu, sous-entendant l’insécurité de la solitude et l’égoïsme de l’individualisme ; assistance, évoquant l’indignité et la servilité vis-à-vis de l’Etat, grand méchant loup qui, certes, a de grands bras pour mieux nous embrasser, mais aussi de grandes dents pour mieux nous manger. Une telle présentation relève, en effet, du conte pour enfants. Sans doute parce qu’on ne serait pas capable de comprendre une analyse trop savante ; à moins que ce ne soit pour éviter de juger en toute connaissance de cause de la valeur de la thèse, qui permettrait un débat contradictoire, mais jugé inopportun à l’égard d’une vérité transcendante et universelle, donc indiscutable. Où la culture et les savoirs ne sont plus que positions anti-universelles, soumises dès le plus jeune âge à concurrence déficiente et à future compétitivité incohérente… Inapte à meilleure forme d’humanisme et de collectivisme, mais ultra-sensible à une sorte de logo-starisation-médiatique, voire de terrorisme intellectuel, dans un potentiel changement de ‘’mythe’’…
Mais peut-être : « Les experts en intelligence sont-ils devenus espèce à sang froid ? Et la politique, la religion et la monnaie sont-elles, pour certains clans, un résultat de pouvoir divisionnaire inique ? Ce qui est certain, c’est que les trois veillent et entretiennent le néo – ordo – ultra – libéralisme social-économique et le capitalisme financier impérieux »
[…]
N’est-ce pas Mesdames et Messieurs les investisseurs, spécialistes des ressources humaines, experts en gestion d’objets et sujets rentables, politiques, économistes, sociologues, autres consultants et communicants possédant capacités d’analyse des systèmes socio-économico-culturels, entreprises et sociétés commerciales, tout cela, bien évidemment accompagné de la compréhension philosophique et ontologique suffisante et juste envers vos ’’semblables‘’ ?...
Mais, je ne vous en veux pas…
Et pourtant, je devrai haïr ce pays brandissant à l’étranger les couleurs de son étendard gonflé par les vents de l’incompréhension envers une démocratie tangible, où les asthénies sont surtout celles de l’ignorance des véritables définitions utiles à une république à tendances laïques dans l’espace du travail, des emplois et des échanges extra et intra géo-localisés des territoires et de la Cité, dont les gouvernances économiques ne sont plus en mesure d’induire l’application d’une juste activité salariale rémunérée au rapport du besoin de certaines personnes et familles en tant que résidents de la démocratie française, ayant pourtant professionnalisations, avérées nécessaires, a exercé un emploi à juste valorisation permettant de vivre décemment dans leur zone de confort acceptable, appelée : ‘’Communauté de bien(s) et services’’…
Où sans prise de conscience de l’avènement de la robotisation, du numérique et de l’intelligence artificielle, la gestion des modalités du travail risque de poser encore d’énormes problèmes, d’ici quelques temps…
Les dégâts risquent malheureusement de devenir énormes au niveau social, si ‘’l’homme démocratique’’, n’arrive pas à assimiler que les notions de travail, de gérescence et d’emploi liées au temps de l’activité manuelle, intellectuelle et culturelle sont en train de changer, dont les concepts et thésaurisations financières, philosophiques, sociologiques, technologiques, scientifiques, voire psychologiques ne réussissent pas à être analysées et étudiés, alors je crains fort que la civilisation humaine ne sombre dans un obscurantisme très éloigné des temps immémoriaux des lumières, grisés depuis longtemps par de néfastes spiritualités politico-religieuses… Avec pour particularité en celle que les aficionados du refus de compréhension laïque envoient certains signes ostentatoires, et parfois malsains, même depuis la loi de séparation des corps républicains et ecclésiastiques, établie chez nous en 1905…
Je pense que les corps intermédiaires sont seulement devenus de petits administrateurs à la solde de quelques chefs, eux-mêmes par prosternations séculaires ou covalences commerciales rampantes, à disposition servile auprès d’entités d’obscures desseins, avec pour particularité à leurs sous-officiers dépassés par les évènements du moment, et à ce qu’ils ne soient plus de véritables responsables de la gestion des ressources, biens terrestres et services ‘’humains’’ ou ‘’robotisés’’, commençant par ailleurs en l’apprentissage, l’éducation et la retransmission des justes savoirs être et utiles savoirs faire.
Ou alors ont-ils mal été recrutés ?
Ont-ils peur de perdre leur job en ne se conformant pas à la charte des sociétés et systèmes séculiers qui les emplois ?...
Sont-ils dépourvus de vision sociologique et philosophique, ou ont-ils l’esprit étroit… ?
Ou encore, ont-ils mal été formatés aux nouvelles données sociales-économiques et dotés de peu d’imagination quant aux prochaines possibles évolutions de l’économie participative, et de la société des échanges équitables consciente des changements climatiques et comportements plus dignes de l’espèce ‘’humaine’’ ??? . Envers toutes ces alternances citoyennes, acteurs et actrices ‘’invisibles’’ aux yeux du système et insignifiances socio-identitaires vivant avec 15 € par jour, les 9 millions de citadins et ruraux disposant d’un revenu égal ou inférieur à 1 000 € mensuel, soit environ 13,6% de la population.
2019 – 80 millions de pauvres en Europe…
Celles et ceux s’accommodant de moins que le seuil de pauvreté, fixé en France à 890 €, les sans-emploi, les précaires, les mères célibataires, les 3,4 millions de mal logés, les déchus(es), les 6 millions de chômeurs, les sans électricité, sans horizon, les exclus(es) de l’accès à l’éducation, aux apprentissages, aux études par une scolarisation inadaptée aux changements de la société ; notamment par la vision de ce que seront dans quelques années les notions combinées du travail, de l’emploi, de la durée et la rémunération des activités ‘’humaines’’ dédiées à la création, la production, la réalisation, l’échange, la vente, la distribution et la transformation de tout ‘’objet’’ matériel par les bons savoirs faire, justes savoirs être et l’évanescence culturelle, dans la société de bien(s) et services marchande… Française.
A réseau ‘’humanisant’’… ???
Les asthénies, le manque de vision alternative, le corporatisme exacerbé et les incompétences de la classe politique de ces quarante dernière années, accompagnée par quelques ‘’génies’’ de l’économie et autres ‘’sorciers’’ de la finance ont malheureusement fait un déni de meilleure évolution communautaire dans la République Démocratique à vectorisation Laïque. Le déclassement social-économique, la destruction de la culture et la ghettoïsation sont, je crois, devenus les standards de ce système sociétal arrivé à bout de souffle. Où la norme devient celle de la starisation politicienne, médiatisée par les mauvais clowns de la logo-atomisation ‘’buzzique’’… Et par majorité des programmes politiques, associés aux ordres de chaires, d’ors, de pompes et de notables ; je ne vois guère de meilleures lumières à l’horizon de ce beau pays ‘’France’’.
Pourtant visibles en d’autres systèmes innovants dont vous n’en percevez encore aucune des possibles belles tendances pour le meilleur avenir de cette civilisation encore atteinte de trop d’individualismes opportunistes !… Transmis par vos ancêtres prosélytes de cultures, concepts et formes ‘’spirituelles’’ provenant de temps révolus et inadaptées aux sensibles considérations et justes attentions envers les jeunes ‘’pousses’’, avec pour particularités, en celles que tous ces artéfacts à invocations douteuses, ne soit que l’opium des peuples, ré-initié par néo-scientistes en fourbes paralogismes. Et utilisés par quelques dealers de mauvaise foi liés à l’inattention, l’iniquité et l’injustice socio-économico-culturelle… Associés à idéologues voués à l’ordre du ‘’Malin’’, ou philosophes tatoués au nombril de leur monde. Dont une partie de ceux et celles ayant pratiqué leurs allants professionnels dans les sphères de l’occultisme financier indigent, flux monétaires impérieux et clandestinement rentables, vont assurément, une fois à la retraite, dévoiler quelques nauséabondes applications… Pour certains et certaines, cela commence… Afin de peut-être croire que cela permettrait un rachat de leur âme, avant le grand voyage ? Bon, quoiqu’il en soit, ils, elles ne sont pas mon sujet du jour. J’ai déjà évoqué quelques dysfonctionnements les concernant et présents chez certains mauvais imprésarios, réalisateurs, acteurs et actrices du monde de l’emploi dans différents statuts ‘’numériques’’ adressés aux concernés(es) depuis mon inactivité professionnelle… Et, bien sûr restés sans réponse, comme vous l’auriez fait, vous les ’’pros‘’ de la gestion comptable, administrative et juridique du travail, qui en avez pris la ‘’mauvaise habitude‘’, puisque majorité n’est même plus tourmentée, par son inaction consistant à ne plus répondre au CV des candidats, et autres demandes, pourtant envoyées par toutes les convenances établies… C’est du vécu ! Et par plus que moi…
Michel Asti – AU DELÂ DES QUARANTE MALENCONTREUSES
Il y a chez les hommes autant d’incompréhensible indolence que d’activité nocive à des moments et en des lieux déplacés. On prise comme quelque chose de rare ceux qui savent écouter calmement et avec attention ; tout aussi rare est un véritable lecteur ; et rien n’est plus rare que quelqu’un qui laisse opérer sur lui l’influence de ses semblables sans continuellement en détruire l’impression, pour ne pas dire l’anéantir, par son inquiétude, sa vanité, son égoïsme intérieurs.
La jeunesse est si forte dans l’intuition qu’elle a d’elle-même, et en même temps si fragile et si faible dans son comportement ; c’est ce qu’il y a, en elle ; d’ambigu et de démonique.
Par conséquent, ce n’est pas un titre de gloire qu’un spectateur puisse mieux juger de certaines choses que ceux qui les ont sous les mains ; et pas un sujet de honte pour ces derniers d’améliorer leurs tours de main d’après les observations d’un oisif.
HAMANN à son frère, en 1760
Envoutés par l’image, les électeurs votent en fonction des sentiments que leurs inspirent les candidats. Ils votent pour le slogan, le sourire, la sincérité présumée, le charme ainsi que le récit de vie du prétendant, rédigé avec le plus grand soin. Tout est dans le style, dans le scénario, rien dans le contenu, dans les faits.
Les politiciens ont saisi que, pour obtenir des votes, ils doivent reproduire cette fausse identité avec le public que savent si bien créer les célébrités de tout acabit.
Chris Edges.
Etre dans une pure logique du calcul c'est donc reconnaître la pleine conventionalité des objets élus, sans analyse particulière, autre que celle thésaurisée par la valeur mathématique de l’objet ou de l’ensemble (E) validé par la somme des objets matériels et sujets virtuels, et inversement ; symboliquement reconnus comme seul pouvoir capitalistique ostracisé dans l’activité économico-financière, et uniquement celui-là.
L’effet holistique du système collectiviste humain se veut en cette contingence économique, sociale et politique intrinsèquement obérer.
La question qui est alors posée est de déterminer l’effet en retour de ce savoir sur la stabilité de la convention.
Ce point est central.
Selon la réponse qu'on lui apporte, ce sont deux perspectives d'analyse divergentes qui s'ouvrent à nous.
1 - La confiance en la réalisation d’une véritable sphère démocratique citoyenne
2 – La défiance envers les gouvernances politico-socio-économiques représentantes de l’hyper-sphère
TEMPS DE CONFIANCE…
Silence des justes combats,
Ostentation sur lignes désuètes,
Tautologie aux langues sournoises,
Ségrégationnisme en partitions poussives,
Vociférations surbookées par une dialectologie en prémices de sujets diligentés aux seules aptitudes de funestes pertes, l’aiguille transperce les marignanaises embrigadées aux articles bidons, structures sans charmes.
Que de l’oubli de ce qui n’a jamais existé, nous resterons debout, face aux productions faxés par les gestes d’une amnésie cernée aux obligations des imprécations vaseuses ; en marigots suspects.
Amphitryons en branlette cognitive,
Intelligence de petits narcissiques,
Caricatures d’un guide de pacotille,
Divagations nationales filtrées aux séquences des ordonnateurs de schismes, calques en sémio-centrismes du roi ‘’buzzique’’ ;
Balbutiements d’une veule prestance frappée aux doigts d’honneur d’adolescents incultes.
Coqs de basses coures,
Absurdités aux ordres Gendres,
Trottine en paternalisme hagard,
Révolte livresque de présidences larguées par sphères en practices de ghettoïsation sociologique.
Intérieur en fourberies d’un castagneur au raz d’un éloge mafieux, porte-parole d’une philosophie-politique aux pieds d’argile, casse instituée par destruction anti-créatrice.
Détournement des sources hydriques, essence taxée aux volontés d’un bricolage écologique sans vitalités homogènes, virulence de gouvernances cinglées aux censures en horizon d’effort au nom de césures sous encres sympathiques.
Caches en pleurs sans méthode,
Arabesques sur toiles falsifiées,
Triolisme aux écueils planifiés,
Quelle est cette alarme silencieuse qui n’eut ; aux besoins arborés de cris refugiés sous bruyères, que solistes en vague idée d’une ordonnance empruntée à l’imaginaire structurée au piètre bellicisme sans issue ?
Fiancée configurée dans plus hautes sphères d’un gratte-ciel surdimensionné aux ignorances des pointes en rêves jaunis, sans courbures, le regard n’atteint plus que les zones tendues aux services des crépuscules sans mémoire.
Le bon sens ne s’émeut point,
Instrumentalisation accaparatrice,
Défilements de prostrées(es),
Offrandes en éventaires figés,
Médias en cache misère, l’image des mains travailleuses s’est mue consumérisme sans arborescences utiles, la voie ainsi tracée aux maux déjà castrés de l’alchimie vitale, le néo-scientisme éviscère les ventres mous.
Qu’est-ce donc en cet état le sens de conservation du bien commun ?
Colonie des pics perdus dans les méandres d’un combat marqueté par les outils robotisés, automatismes liés aux prémices d’un langage entravé aux nombres ciselés par quatrain en triangulation porteuse de sang neuf ?
Débat-piège aux postiches d’abbesses fiduciaires ?
Paradoxe sans soins à misère,
Appâts pour vers soyeux,
Perspectives en esprits surnaturels,
Ethologie d’émoticônes déshumanisés,
Le conformisme d’actions déséquilibrées s’est pris dans les rets d’un filet maillé aux règles d’une éthique sans conservation, Droits et Devoirs n’ont plus que l’apparence de statues disloquées aux membres factices,
Les minorités viles se sont immiscées aux records des majorités coites, politiques des villes et naturalité circulaire des champs ; la CONFIANCE, c’est uniquement lorsqu’elle est réciproque, qu’elle fonctionne.
JE NE VEUX PAS OUBLIER
Vous ne serez jamais plus loin que vous
La surabondance n’est qu’un état de plus
S’il n’existait moins que ce qui vous êtes
A jamais les confidences n’auraient accords.
Je ne crois plus à l’élitisme
Aux sourcilleux des formes éclairées
J’avoue y être écarquillé au bon sens
La magie y fera-t-elle office ?
Assurément, avec chaque part endossée.
N’est-il pas plus opprobre que l’oubli
N’est-ce pas la recherche inhospitalière
Qui fait joie à l’obsolescente incertitude
Qu’évanescence ne soit pas que langueur
Pour les ‘’Oh là’’ des esprits vivifiants.
Je ne crois plus à désenchantement
Le reste du temps ne saurait me statufier
Je partirai sans certitude
Mais avec la joie des rencontres
Sans plus que l’imminent épris.
Je crois au mieux que plus de rien
Et juste à dire merci à vous…
Les artistes, poètes, auteurs, créateurs du
Bon sens du vent, et parfois, du bizarre…
Il existe une grande malédiction chez les hommes d’indigence textuelle et sémiotique qui n’ayant aucune compréhension logique des actions en flux d’échange intercommunautaire, ou qui en refusent l’analyse usurière, par peur d’en perdre leurs acquisitions liberticides, s’en crûrent capable de faire des lois donnant insolvabilité à tous sujet-objets n’entrant pas dans les règles de leurs pastiches textuels en paralogisme népotique d’affiliation à pouvoir de division et soustraction au bénéfice d’un déterminisme matérialiste impérieux de clans formatés aux pires formes de l’herméneutique sophistique fracturant allègrement le bien commun…
Michel Asti – AU VENT DES EMOIS
Si le phénomène de l’humanisme mérite aujourd’hui l’attention, c’est surtout parce qu’il rappelle – fût-ce d’une manière camouflée et embarrassée – le fait que les êtres humains, dans les cultures civilisées, sont constamment revendiqués par deux puissances culturelles à la fois – par souci de simplification, nous les nommerons ici, pour réduire la complexité du phénomène, influence inhibante et influence désinhibante. On trouve dans le credo de l’humanisme que les hommes sont des "animaux sous influence", et qu’il est par conséquent indispensable de les soumettre aux influences adéquates.
L’étiquette "humanisme" évoque – sous un aspect faussement anodin – la bataille permanente pour l’être humain qui s’accomplit sous la forme d’une lutte entre les tendances qui bestialisent et celle qui apprivoisent.
Peter Sloterdijk
Date de dernière mise à jour : 02/07/2019
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