METAMORPHOSE DES RESEAUX EDITORIAUX
ECRIRE C’EST VIVRE
Être attentif à tout c’est être à l’écoute de l’école de la vie, car tout est signes et leçons…
Il n’est pas de plus belles plumes que celles si paradoxales en la dureté de leurs appuis qu’elles puissent y conduire une raison si légère en ces choses du corps et de l’esprit, qu’aucune autre en ses moindres fautes n’y saurait porter soupçon à la franchise du dessein avec celui d’autres à qui ils en siéraient quelques parties comme il n’en souscrirait à d’autres. M.A
LES ROMANCIERS SE SONT CONTENTES DE PARODIER LE MONDE. IL S’AGIT, AUJOURD’HUI ; DE L’INVENTER…
ARAGON
ECRIRE C’EST VIVRE
Être attentif à tout c’est être à l’écoute de l’école de la vie, car tout est signes et leçons…
Il n’est pas de plus belles plumes que celles si paradoxales en la dureté de leurs appuis qu’elles puissent y conduire une raison si légère en ces choses du corps et de l’esprit, qu’aucune autre en ses moindres fautes n’y saurait porter soupçon à la franchise du dessein avec celui d’autres à qui ils en siéraient quelques parties comme il n’en souscrirait à d’autres. M.A
On connait la célèbre définition qu’a donnée Kant de la dignité :
- Dans le règne des fins, tout a un PRIX ou une DIGNITE. Ce qui a un prix peut être aussi bien remplacé par quelque chose d’autre à titre équivalent ; au contraire ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n’admet pas d’équivalent, c’est ce qui a une dignité. La dignité, étant supérieure à tout prix, échappe par définition au calcul économique. A ce premier inconvénient, elle en ajoute un second : en tant qu’impératif catégorique, elle constitue un devoir, et pas seulement un droit individuel... Dans le cadre de la pensée primitive, la personne humaine est constituée de l’ensemble des choses où sa présence est perceptible par autrui. La personne, c’est son corps, son ombre, toutes les représentations qui peuvent être faites d’elle (photos, enregistrement de sa voix, etc…), les rognures de ses ongles, les mèches de ses cheveux, ses vêtements, la trace de ses pas au sol, voire, dans la pensée rationnelle chinoise, les caractères la représentant dans la langue écrite, etc… Tous ces éléments sont en effet susceptibles d’évoquer à autrui sa présence ; Lévy-Bruhl les appelle les appartenances de la personne.
- Chaque mammifère-humain est enfant de la connexion d’un individu mâle et d’une femelle. Nous sommes enfants d’une rencontre, et parents d’enfants pour la plus grande partie des adultes. Nous sommes affiliés à une origine terrestre dont nous ne connaissons pas encore exactement la date de notre apparition en tant qu’espèce d’hominidés, mais avant tout nous sommes des êtres-vivants de type mammifère-bipède appartenant au genre humain doués des capacités cognitives suffisantes à l’analyse de toute situation constituée de sujets-objets positionnés dans notre zone d’existence. La retransmission de nos valeurs en tant qu’« adultes sensés » est d’une importance capitale pour la, voire les générations suivantes, et ces apprentissages, tant manuels qu’intellectuels ne sauraient être soumis à dogmes particuliers, uniquement individualistes, au nom de prosélytismes n’ayant à cœur que l’expression complotasse d’une thèse en partisannerie sectaire, n’alimentant que les feux de la division générale…
Toutes ces définitions de la personne ; dès qu’elles sont assimilées à leur réelle fonction sociale, philosophique, éducative et culturelle ; attachée à la pensée partagée et à l’idée du débat démocratique, opèrent les commissions individualistes et tendances ségrégationnistes alimentant les corporatismes délétères qui ne sauraient, à terme ; en cette pluridisciplinarité échangiste résister au pouvoir émancipateur du collectivisme…
Ces aptitudes d’échanges, d’attention et de respect orientent universellement, au sens où elles valent pour tout individu et dans toutes communautés et sociétés, y compris pour celui dont il est question : de la même manière qu’autrui peut considérer comme étant variations associatives pour tout ce qui évoque pour lui, ma propre représentation de ce qu’est ma personne comme même : l’ensemble des choses qui évoquent ma présence à autrui et, réciproquement, comme ces choses d’autrui envers ma présence. Au sein des sociétés, le domaine du Moi s’étend bien au-delà de l’image du corps propre à travers de nombreuses ramifications qui nous paraissent excessives, à nous les individus lucides, dont la perception du Moi est beaucoup plus ramassée autour de l’image covalente du « réel » prisme interactif. Ce domaine du Moi, au-delà du corps propre ; correspond aux associations en « APPARTENANCES ».
Pourtant, la propriété privée exacerbée dans nos sociétés contemporaines hyper-médiatisées, étend le domaine de nos appartenances de manière pléthorique, voire incohérentes, multipliant les moyens par lesquels les autres, et les objets eux-mêmes, ont une emprise sur nous. Souvent dans l’imposition liberticide plus que dans la réflexion et l’humilité.
CHAPITRE 8
METAMORPHOSE DES RESEAUX EDITORIAUX
LES DONS
Je vous envoie aujourd’hui le profil de l’audace, la morsure du froid, le gel à pierre fendre, l’auberge espagnol et quantités de menus objets dont vous trouverez bien à vous distraire pendant vos veilles. Quelques autres activités, permettez-moi de vous le dire, sont un puissant réconfort dans l’ennui : ce n’est pas en coupant le brouillard au couteau, ni en filant le train que vous parviendrez à d’excellents résultats, non ; le mieux est encore de jouer à qui perd gagne avec n’importe quoi. Rien de plus sain, rien de plus exaltant que ce jeu. N’hésitez donc pas à me dire vos progrès ou vos revers, je saurai me réjouir avec vous, ou m’irriter… Roger Kowalski
LA SUFFISANCE DES PRECIEUX
Qu’est-il marche à ne pas franchir tant avec une rhétorique en calomnies qu’en une violence en épithète de falsification envers la différence d’émissions en contradiction du rapport des institutions frappées au sceau des inepties d’une Démocratie Républicaine achoppée à une scénographie politique dansant aux sceaux de l’injustice sociale-économique ?
Quels contradicteurs, interlocutrices, locuteurs en corporatismes sensés édicteraient nomenclature claire et pluridisciplinaire en ces temps d’individualisme acéré… ; saignés aux consternations du déclassement et des ghettoïsations ?
Quelles énergies faut-il employer pour y entamer force collaboratrice de l’Ecriture dans une potentielle raison en dose d’impédance suffisante aux syllogismes, de la tradition ; ciblés aux vents de la nouveauté épistémologique et sociologique pour ne pas être taxé d’intransigeance intercommunautaire et d’incongruités en sollicitude ; afin de démontrer la logique humainement acceptable qu’il en peut être décelé dans un échange évanescent lorsque le but n’est pas celui intrinsèquement lié à l’envie de tuer son ennemi en trahison que de lui, avoir reçu des coups d’épée par derrière dans une piètre embûche et ainsi qu’il en est que d’acheter un bénéfice qui n’eusse valeur ajoutée que celle d’une soumission à monnaie de singes comme motif à la résignation, au nom d’un déni apparié à culte d’obsolescence programmée par des usuriers pactisant au seul motif de la possession, tant des objets que des sujets.
N’y-a-t-il donc plus matière qu’il en faut toutes les méprisées de ce même triste jeu qu’il en fut du mérite d’être uniquement distribué par le prix de la moquerie comblée au mur de la suffisance de précieux ; courbés sous le joug d’une culture intellectualisée par la fourberie des poisons d’anathèmes… ???
La réelle culture de l’autre, de la nature et du vivant, fusse-t-elle uniquement criée par une poignée d’humanistes que l’autorisation ne saurait être donnée, en aucune néfaste manie, aux désuètes culturations de monothéismes soumis aux seules lois de leur cieux ou de leur enfer… ; et ainsi d’y prétendre suffisance de connaissance en une vérité inabordable émise par leur inique focal…
Quelle fourberie les habite, donc ; pour qu’ils en soient ainsi des serviteurs de prescriptions inaliénables… ?
CONTRE CEUX QUI ONT LE GOÛT DIFFICILE
Quand j’aurais en naissant reçu de Galliope
Les dons qu’à ses amants cette muse a promis,
Je les consacrerais aux mensonges d’Esiope :
Le mensonge et les vers de tout temps sont amis.
Mais je ne me crois pas si chéri du Parnasse
Que de savoir orner toutes ces fictions.
On peut donner du lustre à leurs inventions :
On le peut, je l’essai ; un plus savant le fasse.
Cependant jusqu’ici d’un langage nouveau
J’ai fait parler le Loup et répondre l’Agneau :
J’ai passé plus avant ; les arbres et les plantes
Sont devenus chez moi créatures parlantes
Qui ne prendrait ceci pour un enchantement ?
‘’Vraiment me diront nos critiques,
Vous parlez magnifiquement
De cinq ou six contes d’enfant.
- Censeurs, en voulez-vous qui soient plus authentiques
Et d’un style plus haut ?
En voici : ‘’Les Troyens,
Après dix ans de guerre autour de leurs murailles,
Avaient lassé les Grecs, qui, par mille moyens,
Par mille assauts, par cent batailles,
N’avaient pu mettre à bout cette fière cité ;
Quand un cheval de bois par Minerve inventé,
D’un rare et nouvel artifice,
Dans ses énormes flancs reçut le sage Ulysse,
Le vaillant Diomède, Ajax l’impétueux,
Que ce colosse monstrueux,
Avec leurs escadrons devait porter dans Troie,
Livrant à leur fureur ses dieux mêmes en proie :
Stratagème inouï, qui des fabricateurs
Paya la constance et la peine.’’
- C’est assez, me dira quelqu’un de nos auteurs ;
La période est longue, il faut reprendre haleine ;
Et puis votre cheval de bois,
Vos héros et leurs phalanges,
Ce sont des contes plus étranges
Qu’un renard qui cajole un corbeau sur sa voix :
De plus, il vous sied mal d’écrire en si haut style.
- Eh bien ! Baissons d’un ton. ‘’La jalouse Amarylle
Songeait à son Alcippe, et croyait de ses soins
N’avoir que ses moutons et son chien pour témoins.
Tircis, qui l’aperçut, se glissa entre des saules ;
Il entend la bergère adressant ces paroles
Au doux zéphir, et le priant
De les porter à son amant…’’
- Je vous arrête à cette rime,
Dira mon censeur à l’instant :
Je ne la tiens pas légitime,
Ni d’une assez grande vertu :
Remettez, pour le mieux ces deux vers à la fonte.
- Maudit censeur ! Te tairas-tu ?
Ne saurais-je achever mon conte ?
C’est un dessein très dangereux
Que d’entreprendre de te plaire. ‘’
Les délicats sont malheureux :
Rien de saurait les satisfaire.
Jean de La Fontaine
METAMORPHOSE DES RESEAUX EDITORIAUX OU LA NOUVELLE LIBERTE D’EXPRESSION… ENVERS LES EDICTIONS SECULAIRES…. ??? CONTRE LE CONFORMISME CULTU(R)EL OU L’ASEPTISATION SOCIO-IDENTITAIRE… ?
I – Le langage
I.1 – Fondement de l’écriture
L’écriture est formulée depuis bien longtemps par le désir de transmission de toutes nos pensées, impressions, perceptions, ressentis, émotions, sentiments attachés(es) aux représentations liées à nos dimensions physiques, biophysiques, physiologiques, métaphysiques, philosophiques, spirituelles, poétiques, romantiques, éthiques, sociologiques, économiques, financières, morales et déontologiques en tant qu’autant de signes philologiques et expressions sémiotiques nécessaires à l’observation du monde où nous existons par les rapports de compréhensions phoniques, textuelles, photoniques et imagées entre cette réalité touchable et sensiblement touchante en, par et avec notre pensée cognitive et visualisation de nos desseins, en permettant une certaine forme d’évolution civilisationnelle à potentiel positif (+) ou négatif (-) ; où le déterminant premier en est assurément la faculté à déterminer par analyses et études un possible juste milieu nécessaire à l’équilibre ‘’synchronique’’ de chaque corps dans un espace-temps multidimensionnel, où la première dimension d’existence physique est irrémédiablement celle représentée par [M(ET)], soit [Matière] ; (Energie) et ‘’Temps’’… Et dans ce système (S) tout corps qu’il soit minéral, végétal ou organique (vivant) est constitué de matière et d’énergie, et peut être raisonnablement qualifié tel un système [Ondes-Corpuscules] avec pour dénominateur commun le Temps tel [TEM] + Quelque chose…
Mais, Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi attractif ?
Pour qui ? Avec qui ? Pour quoi ?
Vrai – Faux – Humainement acceptable…
II – Là sont les questions…
II-1 – Emergence du ‘’langage’’
Nos connaissances actuelles nous permettent juste de théoriser l’apparition des expressions et représentations graphiques telles des idéogrammes grâce à trois – Vue, Ouïe, Toucher (VOT) – de nos cinq sens et à l’émergence de la pensée cognitive déterminée à une certaine période de l’évolution de l’animal-homme, dont la possible conscience ou inconscience ; ont été formulées à une période subséquente par la seule probabilité de l’existence des mécanismes de cognition autorisant la sémiologie linguistique, qu’elle eut été ou non, à l’origine des échanges gestuels et sonores précédents ceux des pictogrammes, logogrammes, hiéroglyphes, inscriptions, signes, codes, dessins, mots affiliés aux langages vocaux et écrits. Tout en considérant que TOUT est informations, mêmes celles codées dans l’ADN.
II-2 – Référentiels
Les premiers supports utilisés ont été l’air (pour les sons), la terre, la pierre, le bois, les peaux, le papyrus (dérivé d’une plante) ; puis est apparu le papier et aujourd’hui les supports électroniques et les algorithmes informatiques par l’écriture alphanumérique des signes, symboles, mots et numérisation des expressions picturales, impressions, écrits, photos et messages.
II-3 – Utilités
Nous pouvons constater par cette évolution, l’utilité des différents référentiels créés par ceux et celles d’avant pour la retransmission des connaissances et savoirs envers celles et ceux d’après, dont le dénominateur commun en est bien la compréhension de notre univers, de notre galaxie, de notre système solaire, de notre monde et bien sûr de ‘’nous’’, par l’addition des compétences, savoirs faire manuels et facultés intellectuelles – inversement & réciproquement – enrichis(es) par la pluralité des pensées, des idées, des cultures et des identités. (Nous admettons cela depuis peu, et pas tous)…
III – Objectifs
III-1 – Universalité
Les groupes de population que nous pouvons visualiser comme un nombre communautaire d’individus strictement supérieur à deux, capables de faire évoluer un espace de vie harmonieux, sont ceux et celles qui ont la vision philosophique, humaine, sociale, culturelle, économique et financière la plus objective et la moins spoliatrice possible, accompagnée du respect permanent de la vie, de la liberté et de la nue-propriété, afin d’en atteindre avec raison, amour et sagesse une certaine forme l’équilibre existentiel. Et tout cela à composer avec les énergies terrestres et potentiellement incluses au corpus ethno-anthropologique doté de quelques meilleurs instincts, dont un de ses représentants s’appelle : ‘’L’être humain’’… Et appartient au genre : Mammifère... Et normalement doté de la pensée cognitive et de l’imaginaire… Permettant analyse et étude des sujets-objets visualisables…
Ma méthode dialectique, non seulement diffère par la base de la méthode hégélienne, mais elle en est l’exacte opposée. Pour Hegel, le mouvement de la pensée, qu’il personnifie sous le nom de l’Idée, est le démiurge de la réalité, laquelle n’est que la forme phénoménale de l’Idée. Pour moi, au contraire, le mouvement de la pensée n’est que la réflexion du mouvement réel, transporté et transposé dans le cerveau de l’homme… Karl Marx
La culture met en évidence qu'au fur et à mesure que l'humanité progresse dans l'interrogation des choses, grâce notamment à sa faculté de discernement et d'imagination intellectuels, par lesquels elle s'est créée des instruments concrets d'investigations et de réalisations pratiques, l'humain cultivé aurait à adopter une distanciation mentale à l'endroit des savoirs et une éthique comportementale par laquelle sa dignité à l'égard de soi-même est respectée. Guy Kopp
Avez-vous remarquez la chose suivante ?
Ces êtres doués de ce langage compris pour celles et ceux à qui il va être enseigné, par ceux et celles qui vont l'enseigner, par activité de reproduction; il a été raconté et bien souvent admis par raison de nécessité, puisque c'est la seule raison qu'ils, elles penseront pouvoir interpréter, car cette raison d'avant sera forcément celle d'après, peut être légèrement modifiée, par association d'appartenance ; sauf à qui ce langage transmis ne serait plus la reproduction exacte ou légèrement modifiée de cette apprentissage, par volonté d'un exprimer un autre étonnamment, originalement et intimement différent, né d'une pensée d'un autre ailleurs, où la force principale serait celle qui perle parfois de nos yeux telles des signes d'eau marqueurs de notre tristesse, mais signes de joie lorsque ces gouttes invisibles de loin, se retrouvent accompagner par tous ces rires espiègles, et malicieux, colportés par leurs sons émis avec douceur, réceptionnés avec attention et renvoyés avec cette tendresse, qui permet d'en faire une petite symphonie, et où le nombre de musiciens ne peut être inférieur à deux, afin que ces quelques possibles belles notes émises soient écoutées par plus, et renvoyées par toujours plus. Ces mots écrits ont toutefois cette force négative, certes moins importante que les mots dits, opposés à la force positive que je viens d'évoquer. De cette force, naît la formulation d'une certaine violence, qui a son apogée par ses serviteurs, en la haine, engendrée par l'incompréhension, le refus et la rancœur. Cette violence peut paraître atténuer dans l'écriture, car majoritairement, les mots ajoutés les uns aux autres le sont dans le cadre d'une certaine réflexion, possible par notion de temps plus long et par ces moments de solitude, empreints d'un peu plus de passion raisonnable, afin d'exprimer ce que nous ressentons avec le moins de cette violence possible, lors de rendez-vous avec nous même, alors que les mots dits, sont souvent émis dans des lieux, amphithéâtres et conciliabules où il ne peut régner cette sensation de calme, ne serait-ce de par la propre émission sonore de la parole des parlementaires, protagonistes et amphitryons, empreinte de toutes ces passions et émotions, bonnes ou mauvaises, exprimées dans l'instant par les échanges et disputations renvoyées par leur écho souvent déformé, de tous ses sens premiers.
III-2 – Tendances et comportements
Cette parole émise par ondes sonores vocales, présente depuis longtemps a voulu être mise en forme, en ordre, en accord, en poésie, en musique, telle une histoire. Mais cette histoire, pouvait être entendue par grand nombre, mais seulement comprise par petit nombre, écoutant et ressentant ses variances. Donc, elle a été mise en langage écrit, afin qu'elle ne soit plus seulement entendue, mais, également vue, avec l'espoir qu'elle soit mieux comprise, grâce à l'action conjuguée de l'ouïe et de la vue. Ce nouveau langage créé, dont la faculté commune était la parole… ;’’dite’’, et… ; ‘’écrite’’, et les deux forces celle « émise » et celle » réceptionnée « ; permettaient maintenant, de ne plus seulement entendre, mais aussi voir, cette parole devenue histoire écrite. Cette nouvelle histoire avait cette propriété de pouvoir être comprise par nombre plus important, par transmission sonore, ou visuelle, mais pas les deux en même temps, sauf pour celui ou celle la lisant à voix haute. Cela a duré très longtemps, beaucoup d'histoires ont été racontées et écrites, mais au fur et à mesure que nombre essayait de raconter ou d'écrire l’histoire du monde, chacun et/ou chacune avec son utilisation affectée aux outils de retransmissions, créés par notion de temps, augmentait, plus le nombre, de celles et ceux désirant comprendre les signes, le sens et la symbolique de l’extraordinaire chronologie existentielle, physiologique, physique, épistémologique, biophysique, et culturelle des communautés et peuples terrestres, se fragmentait. Cette situation a encore duré très longtemps sans grands changements notoires depuis la découverte du papier et de l’imprimerie, avant que quelques autres trouvent un lien permettant d'accorder, peut être avec harmonie, les sons entendus et l'image vue dans un nouvel espace de transmissions des signes, codes, images, mots, expressions, compositions, photos et impressions, en tant qu’autant de représentations de notre monde naturel vivant, des comportements, us et coutumes de ses habitants, et leurs idéaux, ainsi que leur imagination, curiosité et desseins à souhait de compréhension du sens de l’existence et du bien commun… ???
Ce nouvel espace créé, était : ‘’l'espace audiovisuel’’.
C'est devenu un espace extraordinaire, car il possédait cette propriété née d'une des facultés de la lumière et une du son, qui mises en commun, permettaient de comprendre un peu mieux l'infiniment petit ‘’proche’’ et l'infini grand lointain, en tant que dimensions inconnues et éloignées de nous. Ce merveilleux espace audio-visuel, plein de vertus, grâce à certaines de ses belles capacités et facultés postées, a seulement une vilaine propriété en celle de nous éloigner de notre propre dimension par désir d'autres potentiellement porteuses d'autres réalités, virtuellement accessibles rapidement, mais intouchables, et pourtant, souvent touchantes, après avoir découvert tout le merveilleux potentiel en l'expression de leurs belles émissions…
Mais, il a espoir que cet extraordinaire outil sera utilisé, par notion de temps, de la plus belle des façons, pour la simple raison que cet espace est devenu interactif par nombre plus important pour y poser tous ces quelques choses présents à l'intérieur, afin de les diffuser à l'extérieur. Et cela peut rester merveilleux ‘’temps’’ que le plus bas degré de la liberté, ne devient pas désir du non-respect de l'expression liée à son attachement, livrée, par non désir de lui, à la voie de l'addiction, puis renvoyer dans l'arène du voyeurisme inconscient de son effet non consenti, en étant conscient que dans ce cas-là, il y aura forcément un endroit dans la ‘’fosse aux lions’’, où régnera la représentation d'une possible incompréhension, déni, refus, voire une potentielle destruction.
IV – L’édition, aujourd’hui
IV-1 – Dilution des ‘’savoirs être’’ par la stigmatisation des ‘’libres pensées’’.
Etant définie, cette ‘’propension’’, souhait, désir, voire passion que nous avons toutes et tous, en et par cette possible envie de vouloir exprimer par tous moyens nos ressentis et appréciations, dont les expressions écrites, vocales et sensiblement touchantes et/ou émotionnelles, qu’elles soient raisonnables, raisonnées ou déraisonnables en sont le fondement de l’échange social communicant ; par covalences et/ou bivalences ; essayons maintenant de comprendre les dérives du système ‘’politico-socio-économico-culturel’’ qui comme tout ‘’espace-temps’’ est intrinsèquement dual, à savoir qu’une société ne peut être potentiellement équilibrée sans à minimal ces quatre déterminants premiers la composant, ([Travail] + [Economie]) / ([Social] + [Monnaie]), soit TE/SM, où la valeur du produit scalaire absolu en est pour majorité, dans nos zones géographiques, le Financier, trop souvent au détriment des ‘’Energies Vivantes’’… Et/Ou-Où ; cet état est également, à différentes échelles, présent dans tous les milieux socio-économiques, biosystèmes et écosystèmes, qu’ils soient d’ordres éditoriaux, technologiques, industriels, culturels, commerciaux, cultuels et marchands en et par l’échange de bien(s) et services, comme en majorité d’autres secteurs d’activités économiques, mêmes certaines ‘’œuvres’’ sociales et caritatives, ou le référentiel se devrait d’être la composition : {[L’art des gens + la monnaie]}… Avec malheureusement trop souvent une détermination trop individualiste n’autorisant plus fonctions suffisantes pour contrecarrer les formes d’obsolescence envers les petites structures au profit des ‘’grosses’’, pour lesquelles les sujets ou objets courants ainsi que tous autres outils nécessaires à leurs fabrications sont devenus des produits aseptisés, et facteurs insignifiants, comme beaucoup d’autres édictés sans aucune formalisation particulière quant à leurs nécessaires utilités, dont les potentielles ventes exponentielles du résultat produit sont majoritairement assujetties aux réseaux promotionnels et marketing, induits par les professionnels de ces domaines médiatiques informatifs protégés. Où dans tout cela nos meilleurs ennemis sont : Curiosité, Attention, Langage Logique, Ethique, et nos cinq sens connus… Dans le continuum espace-temps sensible…Et assurément hors de toutes formes, même partielles, d’aseptisation intellectuelle, de conservatisme corporatiste, de sectarisme, de ghettoïsation, voire d’eugénisme psychologique et physiologique envers les nouvelles attentions.
V – Quelles solutions pour les librairies indépendantes et les auteurs(es) ‘’inconnus(es)’’.
V-1 - Les réseaux sociaux
Aussi bien pour les libraires que pour les auteurs(es), ils peuvent être un excellent outil promotionnel, avec pour contrainte principale ; le temps admissible afin de pouvoir espérer en avoir les potentielles retombées utiles en termes financiers et accords bénéfiques au maintien de l’activité, où dans ce fonctionnement distributif il est nécessaire pour les auteurs(es) inconnus(es) d’avoir une autre source de revenus, en permettant l’attente de potentiels dividendes induits par l’exercice de l’écriture. Au même titre pour les entreprises du secteur du livre, (comme pour toutes entreprises pérennes), où il est de notoriété publique et comptable que la rentabilité doit être en adéquation avec le fonds de roulement, dont le livre, qu’il soit au format papier ou numérique est ‘’objet’’ de fonds de commerce. Il va de soi, pour l’auteur(e) inconnu(e), ou la petite librairie indépendante, que l’exercice est assez difficile à réaliser dans un système économique indigent, lobbyiste et prônant un néo-ordo-ultra-libéralisme souvent, paradoxalement inopérant à la pluridisciplinarité culturelle… Ou nouvel ordre échangiste ? C’est toutefois l’addition des compétences, savoirs faire manuels et facultés intellectuelles, enrichis par la pluralité des pensées, des idées et des identités, qui font la force collective et sociale. Alors pourquoi ne pas explorer d’autres voies… ???
V-2 - Les blogs
Ils peuvent également être un autre outil affilié aux réseaux sociaux, avec l’avantage certains qu’ils permettent plus d’esthétisme personnel par une plus grande liberté d’utilisation des mises en pages, menus, articles, et surtout pouvoir visualiser l’évolution par les forums, échanges et visites constatées. Mais que ce soit pour les réseaux sociaux ou les blogs, il est nécessaire de garder à l’esprit de ne pas s’éparpiller dans de multiples directions où le sujet désirant être traité, se doit d’être accompagné de quelques connaissances, recherches, analyses objectives et savoirs, nécessaires, utiles et indispensables à visualiser les fonctionnements liés au sujet destiné à être diffusé, dont la difficile adéquation se trouve souvent proche de l’impossibilité à définir les dimensions sensibles et logiques, mais intrinsèquement situées entre l’attachement et la liberté… Entendues et perceptibles proches de la dimension de ‘’l’attention’’, sensiblement reconnue…
Par la juste curiosité ?
Ou voué au seul but d’intérêts financiers impérieux…
Pour l’auteur(e), il est primordial d’adopter une ligne d’expressions, de pensées et d’idées animées à sa personnalité, tout en imaginant aller de temps en temps sur des voies un peu inhabituelles ou méconnues. Mais pas continuellement… ; juste à laisser la porte ouverte à d’autres pensées et surtout avoir le temps nécessaire à exercer cette fonction de recherche envisagée proche de la curiosité envers les arts et les sciences assurément enrichissante permettant l’élargissement des connaissances et par conséquent l’augmentation des communautés de savoirs et d’idées fournies à l’imagination en recherche des actions pour l’intérêt commun. Pour les libraires, ils se devraient d’essayer de créer à plusieurs, leurs propres comités de lecture concernant les ouvrages présentés sur leurs lieux de ventes, et d’en émettre un petit résumé commun (certains blogueurs et blogueuses le font…), malgré les critiques littéraires, qui peuvent être, elles-mêmes, légèrement différentes des résumés émis par l’éditeur et l’auteur(e), afin que les futurs lecteurs et lectrices puissent se repérer dans la jungle des livres dont certains ne correspondent pas nécessairement à leurs besoins et par conséquent certains sujets livresques partiellement et momentanément inutiles au rapport de leurs appétences culturelles, sans au nom de préjugés trop subjectifs, négliger d’autres lectures…, par versatiles sujets identitaires, symbolismes arrêtés, voire fermeture d’esprit. Où la singularité de la 1ère de couverture est importante.
Ce fonctionnement est assurément un travail de besogneux, mais il aura pour avantage à terme de tisser des liens de confiance entre le lecteur, l’auteur(e) et le libraire, où ce lien de sincérité a malheureusement disparu de nos systèmes politico-économico-asociaux ultra-médiatisés, sauf pour les options partisanes, reconnues dans la ‘’mode’’ du moment. En notant dans tout cela, que la confiance est dans nos sociétés actuelles une priorité, au nom d’un potentiel bien vivre par transmissions culturelles, historiques, économiques et pédagogie en futur de bons augures ; dans le système sociétal d’échanges de bien(s) et services… Permettant de comprendre que l’addition des compétences, justes savoirs et utiles devises permet l’évolution qualitative de la communauté à réseaux humains… Où l’indice prioritaire ne saurait se dissimuler dans les corporatismes séculaires, sauf si ceux-ci sont ouverts à autres attentions envers la curiosité intellectuelle… Et l’imaginer dans et par la danse à mille temps, au lieu d’une prosternation devant le monothéisme de la possession matérielle, en tant qu’objet socio-culturel, uniquement soumis à l’inattention et aux seules intransigeances de l’obsolescence programmée... Des sujets … Inadaptés… ???
V-3 – Entre autoédition, édition alternative et classique.
L’autoédition est à l’heure actuelle le vecteur utile à la liberté d’expression, hors des contraintes économiques, financières, commerciales, corporatistes, sectaires, en clair et sans décodeur, permettre de tout à chacun et chacune de redevenir une actrice, un acteur de son potentiel secteur social-économique et un consommateur libre, en privilégiant la reconnaissance des vraies compétences en tant que ‘’valeurs ajoutées’’, au nom des véritables savoirs faire et savoirs être, ne pouvant s’établir que par le ‘’libre arbitre’’, formalisé par la pluridisciplinarité des échanges… Ainsi que par addition des connaissances, savoirs pluridisciplinaires et les bonnes pratiques sectorielles… Sans intransigeantes réactions discrétionnaires envers la dissidence émancipatrice.
Il est clair que cela est une tâche pouvant paraître assez ardue au rapport des systèmes commerciaux médiatisés où le combat est primordialement celui d’acquérir le maximum de parts de marchés, et où la meilleure raison des petits créateurs seraient de ne pas lutter directement contre ces ‘’géants’’, mais de fédérer les meilleures aptitudes et attitudes dans et par les corps intermédiaires au regard d’une vision moins égocentrique et plus à même de transgresser les lois et règles du consumérisme à offres ‘’lobbyistes’’, et demandes ignorées ou dévalorisées. Il me semble bien qu’il y a de nobles axes à explorer, dont un proche de certaines pratiques qui se font de plus en plus, par les ‘’clubs auteurs(es)’’, libérés des doctrines et impositions de certaines maisons d’édition axées sur la rentabilité commerciale intrinsèque, où l’auteur(e) ‘’inconnus(e)’’ n’y trouve que rarement la place qu’il espère, pour quatre raisons principales :
- Ses écrits n’entrent pas dans la charte ou la ligne de publication de l’éditeur, pour des raisons qui lui sont propres, et souvent d’ordre ou conformisme idendito-culturel, voire politique-templière et autres religiosités culturelles iniques…
- L’ouvrage envoyé demande un travail de correction et de mise en page important, donc obligatoirement coûteux, et par conséquent seulement accessible à celles et ceux qui en ont les moyens financiers.
- La maison d’édition a suffisamment de livres en cours de réalisation, et n’a pas envie de s’emmerder avec de nouveaux auteurs(es). Qui plus est avec écrits en dissidence de charte.
- Les écrits sont hors modes du moment, et donc ne s’adressent qu’à un faible nombre de lecteurs et lectrices, de par l’édiction des fonctionnalités de rentabilité, ainsi que les présuppositions éditoriales vues commercialement et économiquement non viables, envers l’ouvrage de l’auteur insuffisamment lucratif. Et donc, par voie de conséquence ces manuscrits sont considérés hors rapport de rentabilité ‘’maxi’’, par l’ensemble de leurs ventes prévisionnelles. Et par vision économico-éditorialiste, nuls ou non conformes à la politique commerciale de la maison d’édition…
Les clubs auteurs, comme les groupes de discussions présents sur le ‘’Net’’, ont l’avantage certain, qu’ils permettent la mise en relation des ‘’apprentis’’ écrivains, auteurs(es) inconnus(es), avec les lecteurs et lectrices, par ces groupes publics sur les réseaux sociaux. Et de plus, il en existe un nombre important sur le Net, autorisant d’en intégrer quelque uns, et en fonction de leurs attraits et des potentialités de l’auteur(es), pouvoir participer à des salons du livre ; régionaux ou départementaux, autres rassemblements, évènements dédiés à la passion subtile de la lecture et de l’écriture, et même faire la promotion de son manuscrit, si celui-ci est terminé, corrigé, et conforme aux règles de publication et de mise en page des écrits, où ces aides sont indisponibles sur les plateformes d’autoédition, sauf en l’utilisation de leurs logiciels, avec pour diligence de leur part, celle de ne pas faire de promotion éditorialiste. En faisant partie de ces groupes d’échanges d’idées et de pensées, accompagnés de quelques bons conseils, il est également possible de poser quelques écrits, articles, documents informatifs, textes, représentations, poèmes et autres, permettant d’alimenter la communication et ces mêmes échanges de connaissances affectés et affichés aux thèmes choisis par les administrateurs de groupes. Par conséquent utiles, évanescents et enrichissants par multidisciplinarités, sauf sur quelques sites sectaires ou suffisamment incultes, pour n’alimenter que le buzz imbécile. Alors il est vrai, que ce n’est pas ce type de promotion qui permettra une vente exponentiel de l’ouvrage, mais cela autorise à comprendre certains fonctionnements sociaux-économiques et culturels concernant l’objet marchand, en l’occurrence, ici le livre et ainsi peut-être réussir à entrevoir notre propre position à l’intérieur de ce même système sociétal et multiculturel, où nos prétendues connaissances et compétences, ne sont pas nécessairement en adéquation avec le sujet.
Alors, il est certain, que cette démarche littéraire permet de se libérer des diktats des ‘’grosses’’ maisons d’édition, mais en aucune façon pouvoir croire que c’est la solution la plus simple et la moins longue pour réussir à gagner beaucoup ‘’d’argent’’, et surtout rapidement… Mais bon, la vie est faîte de choix, et faut juste entrevoir les bons, les mauvais, les utiles, les compliqués, les plaisants, les passionnants… Et en toutes évidences, tous les artistes ne sont pas devenus riches dans le jeu de ‘’Monnaie’’ (Lol, facile celle-là). Aller, revenons à notre sujet initial, veuillez bien m’excuser, je me suis, textuellement, un peu égaré, du sujet livresque… Quelques maisons d’éditions de moyennes importances, proposent, bien sûr, lorsque le manuscrit est doté de qualités en permettant son honorable lancement éditorial, des contrats de publication où la somme demandée est relativement abordable et proposent des règlements échelonnés sur quelques mois de la participation financière comprenant la réalisation du bon à tirer (BAT), les services promotionnels, déclaration à la bibliothèque de France, première édition de 300 à 1 000 exemplaires, gestion de la commercialisation avec les distributeurs, mise en vente sur leur librairie virtuelle, 20 à 30 exemplaires gratuits donnés à l’auteur, et possibilité d’éditer le manuscrit au format e-book, et tout cela avec des rétributions en pourcentage sur les ventes tout à fait honnêtes et équitables aux rapports de leurs prestations. Mais il faut du mieux possible essayer d’entrevoir celles relativement indépendantes et les autres maisons affiliées aux gros éditeurs nationaux, et considérées par ces derniers comme des ‘’satellites’’ au service du recrutement adhésif et intrinsèquement covalent à la charte de ces ‘’grandes maisons’’.
Une autre pratique est apparue depuis quelques années, c’est l’édition de l’ouvrage, en premier lieu au format numérique, puis une diffusion du livre papier, à la demande, et par conséquent libérée de la participation financière liée aux quotas de livres déterminés dans les contrats de publication à compte d’éditeur. Certains maisons, peu indépendantes pratiquent déjà ce système, mais elles sont soumises à des demandes de rentabilité et retour sur investissements tellement rapides de la part du groupe d’investissement, auquel elles appartiennent et dépendent, que leur professionnalisme, et la qualité d’édition des manuscrits ne sont pas primordiales, et donc ces maisons sont dans l’obligation de réduire leurs coûts au strict minimum, avec toutes les conséquences qu’il est possible d’envisager par le doute concernant un véritable comité de lecture ; ainsi que l’inutilisation de l’outil promotionnel, (trop cher), laissant par conséquent cette option commerciale à leurs ‘’Clubs auteurs’’, dirigés subtilement par celui du maitre-éditorialiste, ses experts en la matière, commerciaux, ‘’génies’’ du secteur et ses consultants. Donc indépendance faible (sauf à adhérer au concept édicté) et remises sur l’achat des livres par l’auteur(e) trop faibles pour pouvoir en faire une promotion personnelle, ne serait-ce que dans le cadre d’un statut commercial minimum de type autoentrepreneur. Où ce dernier, par analyse économique, peut être affiché à une certaine forme de ‘’filoutage’’ économico-financier, affilié au dumping-social et à ‘’l’Ubérisation’’…Par conséquent ce système d’édition est quelque peu contraignant, surtout si l’auteur(e) souhaite garder une certaine forme de liberté vis-à-vis de ces systèmes commerciaux quelques peu discutables et peu sujet à rentabilité pour la et le premier intéressé, car bizarrement les pourcentages de rétributions ne sont pas les mêmes suivant le type de ventes de l’ouvrage sur leur site, ou effectuées par les distributeurs extérieurs. Ils peuvent varier de 30% à 10% au format papier, et de 70% à 15% au format numérique suivant les ventes du livre réalisées en, ou hors de leur site.com.
Où va la différence ?...
Et surtout à chercher les subtilités économico-commerciales… ? Ainsi que celles vouées à la seule capitalisation financière de ‘’l’objet livresque’’ au nom du seul mercantilisme éditorial… ? Et de par ce fait, pourquoi les dividendes commerciaux dus à l’auteur(e) sont réglées une fois par an ? Je ne vois pas les raisons injustifiées à ce que ces revenus attachés à l’activité d’écriture de l’auteur(e), ne soient pas payés au minimum tous les six mois… Je ne pense pas que les ‘’petits salariés’’ du livre aient à supporter le fond de roulement financier des entreprises et sociétés du secteur de l’édition… Drôle de concept !
Qui prend le facteur risque… ; à être leurré ?
C’est souvent de la poudre aux yeux éditée par des entités assez éloignées du respect de l’écriture et de ses adeptes. Et pourtant en aucun cas une diffusion élargie d’un manuscrit ne saurait être réalisée sans toutes les réelles compétences éditorialistes aux rapports de l’ouvrage vendable, connaissances des réseaux de distribution, ainsi qu’une médiatisation ‘’ciblée’’ au rapport des potentialités applicables aux données commerciales affectées à la publication du manuscrit… Visualisable et potentiellement achetable. Il existe pourtant des maisons d’édition honnêtes, professionnelles et respectueuses. Il se doit d’effectuer un travail de recherche, parfois long… ; pour trouver les accords nécessaires à la diffusion du manuscrit, que la diffusion du livre soit classique ou sur le Net. Les versements financiers contractuels induits par les ventes de l’ouvrage par ce genre d’éditeur ne sont pas fiables, et en général relativement faibles… Mêmes s’il existe de belles sujétions littéraires dans l’ouvrage.
Dans tous les cas l’auteur(e) peut en avoir des retombées réalistes, assurément suffisantes et logiques si elles n’ont pas été ‘’floutées’’ par certains types de contrat de publication, déterminés et compris dans et par leurs termes spécifiques, comme un protocole contractuel pas toujours juste et équitable pour tous les intervenants au rapport du prix de vente de l’objet-livre.
Un contrat clair, simple et compréhensible est pourtant la base de toutes transactions commerciales honnêtes. Alors, par cette évidence, il ne sert à rien de croire, que certains éditeurs puissent prétendre proposer la ‘’Lune’’ à des ‘’Terriens’’, qui plus est, lorsque ceux-ci sont déjà dans la lune. Toutes les pratiques commerciales et financières édictées avec un minimum d’honnêteté, sincérité et possible équité permettraient assurément de favoriser le juste prix du livre, hors nombre exponentiel d’ouvrages vendus, où cette option est en pratique actuelle seulement envisageable pour les écrivains(es) célèbres, voire auteurs(es) devenus(es) connus(e), ou ceux et celles pouvant intégrer facilement les chemins de la médiatisation, avec toutes ses possibles incongruités, ignorances ou cultures éparses soumises aux tendances des corporatismes SOCIO-POLITICO-CULTU(R)ELS… Voir par exemple certaines émissions télévisuelles où l’inculture, l’imbécilité et le ‘’buzz’’, intellectuellement dévalorisant en sont les moteurs du marketing médiatico-social-économique… Où le seul désir est assurément celui de l’idiote reconnaissance narcissique, telle l’image reflétée par le miroir des illusions… Devenue celle des incohérences ataviques...
Alors il va de soi, pour utiliser un blog ou publier en autoédition, qu’il est nécessaire de disposer des connaissances informatiques suffisantes. Mais sachez que ces compétences professionnelles (comme dans tous systèmes législatifs sociaux-économico-professionnels) sont vendues par les éditeurs via leurs ‘’concepteurs’’ de livres, sous-traitants (Imprimeurs) ou salariés (Service éditorial, mise en page, création du BAT) et en appliquent leurs marges d’éditeur qui pour leurs compétences ajoutées sont, outre celles énumérées et souvent sous-traitées, la mise en œuvre de leurs outils marketing et promotionnels valorisés par la potentielle accessibilité à la visualisation de leurs auteurs(es) reconnus(es), sur les réseaux médiatiques et autres vecteurs promotionnels utiles et nécessaires à la commercialisation en grand nombre de tout ouvrage… S’ils le veulent bien, pour des raisons qui leurs appartiennent en amont, mais saurez sans aucun doute en visualiser certaines, maintenant… Où tout du moins envisager, les moins fastes à votre propre cas d’auteur(e). Qui ne sont en fin de compte qu’une anamorphose d’une société à tendances anti-démocratiques, anti pluridisciplinaires, aseptisées, iniques, corporatiste, anti-laïques, inégalitaires et fourvoyées dans les immondices de la télé-réalité, par des imprésarios qui n’ont d’autres vanités intellectuelles, que celles de l’égocentrisme, la perversité vouée à la cupidité, le narcissisme et à la logo-aseptisation des idées et pensées destituées des véritables cultures proches de la liberté d’expression, du libre-arbitre, de l’imagination poétique et de l’humanisme, sans autres analyses que l’hémiplégie intellectuelle associée à l’ordre du cynisme anthropocentrique, masculin et/ou – moins prononcé – féminin.
Il faut également savoir qu’en 2009, l’autoédition dépasse l’édition traditionnelle en nombre de livres aux Etats-Unis. Selon un sondage Ifop réalisé pour le Figaro Littéraire, 6 % des Français possèdent un manuscrit et souhaitent le publier, soit 2,5 millions de personnes. Trois livres autoédités ont été classés parmi les 10 meilleures ventes d’Amazon d’octobre à février 2012. (Dernier élément informatif à prendre en compte au regard de leur puissance distributive et commerciale)…
Il est également notable de par la multiplication des plateformes d’autoédition, accompagnée d’une certaine métamorphose évolutive de l’objet livre, ainsi que de par le développement des réseaux d’informations accessibles par et pour le plus grand nombre depuis quelques années, que certaines ‘’choses’’ présentes en nos zones socio-économico-culturelles sont en train de changer, encore faut-il entrevoir la véritable bonne utilisation de tous ces langages, codes, expressions, lemmes, postulats et axiomes… Et autres communications affichées par certaines formes d’Ubérisation dans le monde du travail et de l’emploi…
Aujourd’hui, incompréhension kaléidoscopique dans et par l’image télévisuelle, dont le numérique n’est pas encore devenu le moteur essentiel de l’économie, sauf pour les producteurs de la starisation évènementielle à grande échelle, et en aucune façon seule ressource financière pour majorité des petits acteurs et actrices du milieu des arts et de la culture… Où dans cette scénologie de ségrégations identito-culturelles les plus mal lotis, sont appelés les ‘’intermittents du spectacle’’, et par conséquent également, comme autres ‘’intermittents du travail’’, soumis aux subtilités du Pôle Emploi, souvent inadaptées à tous secteurs socio-professionnels, et tout particulièrement à celui de la création et des arts. Il serait, peut-être, temps de reconsidérer les notions de tâche, labeur, travail et ouvrage, que ceux et celles-ci le soient dans le cadre d’un emploi salarial, ou d’une activité indépendante rémunérée à sa juste valeur professionnelle, et accompagnée par quelques garde-fous affectés au monde du travail et de l’employabilité, (Revenu Minimal Vital – RMV : http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/sciences-sociales/rmv-revenu-minimum-vital.html , véritable fléxi-sécurité…) relativement simples dans la société marchande, par l’échange de biens et services, en tant que constituants d’une sociale-économie équitable, valorisante et stabilisante…
Tous ces éléments analysés et décrits, me laissent supposer, qu’aujourd’hui, en ces systèmes économiques arriver à bout de souffle, existe une néfaste et paradoxale application de ce que devrait être un utile et nécessaire travail rémunéré, et reconnu à sa juste valeur sociologique, autorisant les accords suffisants et utiles dans le marché de bien(s) et services à juste déontologie ajoutée au rapport des besoins individuels, économiques, sociaux, fraternels, collectivistes, culturels et communautaires, hors des logatomes politico-économico-financiers à uniques tendances partisanes et corporatistes des ‘’gentilshommes’’ d’hier et d’aujourd’hui… ; soumises à la division des savoirs faire et la soustraction des énergies de la nature et du vivant, dans et par l’irrespect et la déconsidération envers les bons sociétaires, justes imprésarios médiatiques, réalisateurs économiques, sociaux et culturels dotés de l’utile vision, de la bonne conscience, des belles pensées et doués de la plus extraordinaire imagination dans l’espace à réseaux humains… Au nom des écosystèmes biophysiques, plus vivables pour majorité des organismes vivants, où les lois et règles de vies sociales honorables et équitables nécessaires à franchir les difficiles passages pour celles et ceux n’ayant même plus l’essentiel à leur simple et pourtant digne existence, devient un exercice d’équilibriste compliqué et foncièrement soumis à trop de servitudes…. Dans la notable incompréhension du discours entre les arts et les sciences, encore trop souvent affecté par les adjudicataires d’ors, de chaires, de pompes, de notables, de robes et de castes iniques.
Il me semble que l’homme ‘’moderne’’, n’a plus les capacités suffisantes nécessaires à thésauriser les meilleurs et justes concepts, afin d’arriver à évincer l’obscurantisme identitaire ambiant… Où l’outil utilisé par ses néfastes occurrences, en est celui de limiter le temps de la libre culture, à l’unique absorption des images et sons impropres à la belle évolution sociale-économique, par occultation de la magie liée à la pluralité des idées et pensées, assurément présentes chez les attachés(es) à la liberté des meilleurs arbitrages, dans et par l’expression sonore et visuelle échangée par les protagonistes apprêtés à la plus extraordinaire des libertés d’expressions, ‘’touchante’’ et respectueuse de la nature, de la culture et du vivant accompagnée par toute l’attention possible pour toutes sujétions louables envers le ‘’Sujet-Objet-Vivant’’.
Tout cela au nom de la véritable raison de l’existence de notre propre monde, souvent destitué de ses belles valeurs par celles et ceux qui n’en ont plus, hormis celles de leurs néfastes et mauvais prosélytismes.
Que n’est-il pas de chemin plus difficile que de changer sa position, aux sensations de ce qu’il nous fut mal imaginé, par une justice soumise aux seules intransigeances des lois pour qui n’aurait pas sujets suffisamment attirants, afin qu’elles en abordassent les chemins et voix des inutilités désobligeantes ; versés à la liberté d’opinions prolixes…
Quel est le plus important : réussir ou trouver un sens à votre effort de réussir… ???
Si l’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude, alors la raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité.
La culture, les savoirs et la connaissance sont le sel de la vie. Les véritables amitiés et la réelle fraternité en sont le sucre.
Les yeux de l’homme ne réussissent à percevoir les choses que par la… ; connaissance de leur superficialité ; pourtant l’intelligence humaine a les ressources pour donner forme à leur essentialité.
TRAVAUX EN COURS
J’aimerais beaucoup connaitre la véritable définition du TRAVAIL, ainsi que le réel déterminant d’une ACTIVITE à juste valeur ajoutée, dans le monde des actions, réactions, mouvements, mobilités, savoirs faire et savoirs être, de même que la notion d’EMPLOI rémunéré au rapport de l’utilité et l’essentialité dans la sphère, d’échanges de bien(s) et services, marchande, notamment par la dialectique assujettie à ces savants en toutes matières épistémologues, philosophes, théologiens, théoriciens, politiciens, experts de tous ORDRES, génies des sciences économiques et financières, ET/OU sorciers de L’USURE.
Plutôt qu’à m’attacher à ce qu’ils proposaient, je préférais prendre garde à ce qu’ils faisaient. Non seulement parce que les actions qu’ils proposaient n’étaient pas en phase avec la réelle idée d’un collectivisme communautaire, mais surtout car à l’extérieur de leur parti, groupe, communauté et clan, ils oubliaient ce qu’ils n’avaient exprimé pour rendre la chose cohérente et omettaient ce qu’ils avaient récité, auparavant, en circonstances simiesques. Particularités qu’ont tous les politiciens envers les experts en toutes doctes et réciproquement, m’a toujours laissé dans la même interjection, que celle d’un simulacre de façade orientée vers toutes opérations falsifiées aux obsécrations théologiennes se prétendant être au-dessus de la condition humaine du moment. Leur première loi est d’obéir aux coutumes du maitre des savoirs retenant en tout enseignement religieusement templier les conditions mêmes par lesquelles ils furent élus par leurs disciples pour les grâces suffisantes d’être instruit par un de leurs prosélytes…
N’est-il pas là perversité maligne à laisser croire choses indéfinissables, à celles et ceux qui dans leur propre existence ont déjà quelques jugements douteux dans la raison qui ferait qu’une orthodoxie soit, sans agitation de consciences, meilleure que de se laisser aller de sa propre inconstance à décider des choses, sans affection ni attention particulière, à ce qu’ils en prescrivent la valeur usurière de leurs congénères… ???
Ma tâche, plutôt qu’à essayer de vaincre la fortune, était de changer mes désirs sur le sort inéluctable à ne pouvoir y changer la fin, par un accommodement de ce qu’il m’était impossible de modifier des choses extérieures, et ainsi pour me rendre des entendements, inacceptables, à m’avouer que je n’étais pas au bon endroit avec tous les biens qui m’étaient hors de portée. Il est certain que ce que nous considérons, chacun ET/OU chacune des choses du bien n’ont pas égalité dans la volonté immodérée à vouloir les posséder, surtout lorsque ce pouvoir nous est éloigné de notre souhait à s’en accaparer à n’importe quel prix ou valeur sacrificielle. Et ainsi considérer tous ces biens qui nous sont, dans l’instant, inaccessibles, comme réellement insuffisant à notre désir de conquête accaparante dans un présent qui nous fournis le confort suffisant ; car notre volonté à réaliser les choses de notre entendement n’est peut-être qu’une façon de désirer le superflu lorsque nous avons déjà le nécessaire.
Que n’est-il point-là travail utile, en ces sociétés modernes, pour ne pas être migrant en son pays… ?
LE CLAN, LE ROI, LE PRINCE ET LES ADORATEURS
Des signes éclairés aux foudres du ciel
Du feu sorti des entrailles de la Terre
Le nouveau prince se sentit pousser des ailes
Et par cette ignorance de la nature et des hommes
Il s’autoproclama messager du grand ordonnateur
A l’éloge de son père, petit bourgeois de province
La louange fut sienne et par là même, la chose engagée
Le discours encore confus, il s’en alla déterminer
Prêt à lire philosophes et engager conversation usurière
Et par autres voix chercha Sophia, fille de
Vénus et Sémonide…
Ceux sont là bien des maximes bonnes et valorisantes ;
Auxquels nous voudrions en porter ferveurs et allégeances,
Rousseau n’en dit pas moins, et quant à moi y souscrit,
Mais l’homme moderne n’en est pas moins un génuflecteur
Adorateurs, adoratrices, néanmoins il mange, boit, dort et aime…
La sélection naturelle l’a fait robuste et agile,
La maladie, l’existentialisme humaniste, la mort il veut s’en décharger,
Il n’a même pas conscience de son activité grégaire chancelante,
Ses sens communs sont d’une extrême vivacité accaparante
Sa sensibilité n’est souvent que réflexion matérialiste,
Son objectivé s’arrête aux frontières de la cour des contre-mesures.
Par son dieu, il construit les suspicions aux abords des politiques templières,
Il se soucie plus de la voûte céleste que du monde des vivants.
Le beau prince par narcisse envoya bordée d’échos à droite et à gauche,
Oubliant que peuple ne peut s’abouter à justes devises sans réelle bienfaisance,
Que bienséance ne se résume à transmission inique sectorisée.
Si les convives ne sont choisis qu’aux abords des guéridons du clan,
Si peur de perdre dû, n’est que gré de la louange du roi,
Alors Festine et Bacchus de votre table de mauvaises humeurs ;
Ne riront, mangeront, boiront et ne festoieront point.
Le prince par vénalité absconse, par la sottise et l’injustice ajoutées,
Son aveuglement et abus, exemptèrent le juste contrat social,
Serviteurs s’y fourvoyèrent avec les oboles du riche charitable,
Par soumission et idolâtrie envers reines de Sabbat et rois de Pique,
Adorateurs furent incapables de s’afficher à la cour des reines de cœur et poètes esthètes,
Les chevaliers des temps modernes sous couverture des nouvelles amazones,
Prirent voies vers la presqu’ile de Lemme…
Et sans perdre le prix des vers, avertirent le clan des domestiques,
Sous les pendules des justes et des innocents d’antan,
Que le discours des nouveaux adorateurs du prince,
Associés aux chants falsifiés des sirènes du souverain d’éloquence,
Ne pourront empêcher, par temps faire, dans les conspirations du pouvoir,
Que cette maison, dans les oubliettes du château, ne sombre à l’envers.
Pourtant jadis, l’Olympe et le mont Parnasse avaient frères et bons amis(es)…
A contre-courant de la mondanité libertine,
Dans le silence de Port Royal, au pinacle de l’austère,
Des solitaires aux ordres de l’abbesse Angélique, Pascal,
Par les lettres de Louis de Montalte, provincial de ses amis,
Pestèrent reliquats symboliques, aux grâces divines entre Jésuites et Jansénistes,
Adossées à disputations des soixante et onze docteurs de la Sorbonne.
L’échange fut grandiose, à examiner ce qu’il y avait de faux ou de réel,
Epanchement exercé par la véritable conscience des uns et des autres
Dans ce qu’il y avait de bon en dieu, ou de mauvais chez les hommes ;
Ne surent rien, avec certitude définir, même pas leur portée,
Vide de l’esprit flirtant aux accords enchanteurs entre charnel et extase.
Au présent des commissures entre attachement et liberté,
Les coercitions des anciens, à l’attention des connexions nouvelles,
Les néo-jeunes ne purent s’affranchir des nouvelles vacuités cessibles,
Emancipées aux évasions virtuelles,
Où flottent encore quelques vagues à l’âme…
M.A
« Un homme vivant seul répond à une frappe à sa porte. Devant lui se tient Tyrannie, armée et toute puissante qui lui demande: ‘Te soumettras-tu ?’ L’homme ne répond pas et la laisse entrer. L’homme la sert durant des années, puis Tyrannie devient malade par empoisonnement de sa nourriture. Elle finit par mourir. L’homme ouvre alors sa porte, se débarrasse du corps encore chaud, retourne dans sa maison, ferme la porte derrière lui et dit: ‘Non ! » (Bertold Brecht)
TÊTES DE CÏTÊS
Têtes de linottes courbées vers bornes mortes
Notes dévisagées à l’ordre purin
Gestes livrés aux Sieurs la langue pendante
Ombres d’un Cloud qui les traversent lentement
L’orage de l’inachevée bande le cluster.
Bancs forgés aux cités de certitudes
Midi compte les troupeaux des fragiles rues
Minuit lâche des démons de l’usure tue
Zombies des heures creuses que les vues prennent
Les boussoles sans aiguille pointent les vides serments.
L’attirance frénétique s’est mue cause
Que des vils profits en néfastes devises
Accords triangulés aux actes souillés
Ce chant bas, par quoi débutât le mime
Ce vieillard, cet enfant, le verbe las…
Quelle orthodoxie faut-il lire et dire… ?
Lysiane quelle fureur faut-il prononcer… ?
Ils nous avaient promis les calques sereins
La liberté de choix avant la niche,
Des chattes sur un toit, brûlant, au quatre vents ;
Têtes de cités, têtes de limon, obscures,
Vos cris lointains, d’orfraie, ne rassurent pas.
LES SOTS DE L’AMULETTE ET DU MULET
A l’exigence de l’absolu, vivre quelques grâces,
Le sot avisa qu’ils étaient gens habiles.
A tyranniser les sirènes et les innocents,
Suite à farcir choses de la duperie,
Au nom des plus grossiers menteurs
Les plus fieffés fanatiques, poison, absorbèrent.
A l’éminence des hommes de suffisance,
Ne dit-on pas des cartes défaussées,
Au cache des valets, sans encre efficiente,
Le cercle des indifférents, créèrent défaillances.
Puisqu’à la confession des attachements,
La triste parodie n’y trouva point remède.
Où sommes-nous m’écriai-je ?
Est-ce chose insuffisante que l’originalité ?
Extravagance, en ronds de jambe inefficaces,
J’y admettrai bien enlacements braves,
A l’appel des libertés, grâces formelles,
Lumières du jour, recyclent lemmes songeurs.
Sans rêve, aux sons des désirs inavoués,
Je nie faux comtes et reliques hydriques,
Des eaux, aux sources vaseuses,
Dans le tumulte des entraînements,
Au lit de vos entendements obscurs
J’y refuse vos habits de vestibule.
Au vert de St Nicolas, St Patrick L’Irlandais,
Du rouge des vaines, Noël s’y alanguit.
Aux soleils noirs des potentats cardinaux
Les éclairs des recyclages orientaux
Par les orthodoxies des diables sans verves,
D’Est en Ouest, depuis des siècles,
Axiomes et postulats croisent le fer.
Les messagers de la liberté, drilles et devenirs
Aux sons des cloches sans tintamarre
S’y affligèrent avec les mots de controverse
Sans pâlir sous l’aiguille de leur langue acerbe
Pour les réseaux de la gente de sollicitudes
Voulurent s’ajouter aux sauts des bons dires…
JE N’ECRIS PAS POUR…
Tant bien même existerait-il une communication tentant de tenir compte d’une translation intercommunautaire telle qu’elle ne saurait conduire à des fonctions d’accaparement, de telle ou tel, sans qu’il ne soit d’un besoin extrinsèque de n’y point faire attraction d’un équilibre existentiel d’avec un utilitarisme à les appliquer pour qu’il n’en soit, et fut, d’une accession à connaissances de ce qu’il n’y aurait de son égocentrisme, que la diffusion de pensées plus à même d’élargir le champ des possibles, ne saurait se défaire des abords en contraction d’une forme d’universalisme en sciences humaines, pour qui ne pourrait s’exonérer d’une exposition d’avec une recherche en universalité du monde, dans une éthologie du mammifère-humanoïde, si cette communication, tant virtuelle que physique, n’eusse, ait et soit nœuds de convergence d’entre plusieurs esprits – libres – incomparablement meilleurs qu’en seul pour ce qu’on saurait si bien concevoir de ces ‘’choses de la vie’’ de l’observer, voire de l’apprendre, de la somme des partages plus que de croire intrinsèquement l’avoir d’une incommensurable prétention en tenue de voix(es) qui ne les décrivent qu’avec les iniques et uniques pensées fort déraisonnables envers ce qui peut être lu, di, questionné, imaginé et établi d’une représentation collectiviste, voire solidaire d’entre les liens en approvisionnement, tant des intellectualisations et des souvenirs que des projets dictés aux sons d’un humanisme de conservation de ce qu’il peut rester d’une effervescence du bien commun dans le monde naturel du et des vivants.
J’écris et pose, de-ci et de-là, mes mots et expressions non pour une exclusive appartenance générationnelle, ni moins pour les errances guerrières de celles d’avant, mais notablement pour la génération de mes filles affecté du souhait d’un sens sociologique de meilleure nature envers mes p’tits enfants, car je suis absolument convaincu – comme devrait être sûr de cela toutes communautés de mammifères humains raisonnables – de par le langage de la logique sémantique, qu’il est totalement impossible de changer quelque notion physique concernant l’historiographie passée, tant de ces choses qui ont existé que des écrits effectués et édités depuis les origines de la conscience qu’elles eussent été jonchées du malheur ou de quelques joies affichées à formes de bonheur, fugaces, non moins à s’y approcher que de s’y soumettre sans analyse plus qu’émettre évidences sur ce qu’il pourrait en être de l’évolution d’un véritable humanisme en émancipation d’une potentielle lignée d’avec conservation affectée par une réelle protection du et des bien(s) communs dans notre monde naturel sans y omettre les facultés à s’intéresser, outre à la construction introspective perpétuelle en collaboration du discours entre les sciences et les arts, à l’introspection destructive patente des autres à ne point vouloir faire juste et possible élaboration collaborative.
Pour le reste de mon existence personnelle je ne puis la laisser qu’en certains paradoxes d’entre le corps et l’esprit sans, au nom de cela, avoir prétention de ma seule tristesse envers pertes proches comme des possibilités sereines à ne pas faire preuve de fanfaronnades en particularisme d’intransigeances outrancières entre ce qu’il m’est possible d’évaluer des notions de retrait envers les mauvais passages ainsi que des bons moments de la vie, et ainsi à ne, jamais, croire que les plus néfastes ne seraient que ceux ayant uniquement affecté la mienne. Et en cet état de correspondance de penser réussir à passer les dernières années d’avec l’image de quelque sagesse m’autorisant à ne pas franchir les portes de l’indifférence, tant du proche touchable que du plus éloigné touchant, entre le passé, le présent et un futur toujours incertain.
Quant à la rancœur, parfois, difficile à contrecarrer temps qu’elle n’est pas devenue rancune, avant la haine, je préfère m’en éloigner, physiquement, non sans cela à essayer d’interroger celle virtuelle reléguée dans les paradoxes d’une métapsychologie politique de mêmes mesures qu’il en est des contradictions en religiosités n’ayant pour spiritualité que celle de l’accent circonflexe de ‘’Ô mon dieu’’ au lieu d’essayer de se défaire des chaînes instaurées par les poisons d’anathème inoculés aux membres ignorants des vacuités congénitales concernant ces fallacieux poissons d’argent en usure patente de leurs congénères, sans qu’il y soit d’une instance en justice social à se défaire d’une reconnaissance attractive versée aux conditions mêmes des mots et images d’avec confrontations de dissidences en production de synthèses louables utiles à évincer les fractures mortifères, quant à l’incertitude de nos fragiles existences, détournées de leurs précieux espaces de liberté dans le confort d’une servitude bien agencée …
INEXTINGUIBLE
Tant de fois je souhaitais te sortir de ce lieu
Sans force, mais juste avec précaution utile
Afin de t’indiquer un avenir moins sombre
Un beau lieu pour toi, et les êtres que tu aimes
Cette porte si dure à ouvrir par trop de clés jetées
Tu n’y crois plus depuis trop de profondes blessures
Le pessimisme est devenu depuis tant de temps
Ton compagnon de grisaille et de désespoir
Ne peux-tu pas ou ne veux-tu plus imaginer
Qu’il existe une douce et paisible clairière
Où cours au milieu une eau tranquille et limpide
Afin que je puisse enfin me poser près de toi
Pour te murmurer que la vie est une opportune
Qu’elle attend toujours des nuits et des jours meilleurs
Que mon optimisme t’indiquera le bon passage
Afin de voir et ressentir le bon sens du vent
Et tu entendras au loin les sons de la défaite
Car ton optimisme retrouvé les effacera
Le pouvoir de l’esprit brillera à nouveau
En toi et autour, tu envisageras le mieux
Tu verras que l’optimisme engendre l’optimisme
Tout ce qui se ressemble en ce lieu, s’assemble
Et lorsque ton regard sur la vie sera juste
Il créera le beau, le bon et le bien tout autour
Et s’il est entouré d’espoir et d’attention
Cette minuscule étincelle s’embrasera
Grandira, grandira jusqu’à ce que tu brûles
Du feu de l’esprit qui, lui est inextinguible
LE LIVRE
Le LIVRE s'ouvre sur un poème testament : DEMAIN...
Le vent du lendemain lèvera les ombres ;
Tu souviendras-tu des aubes s'illuminant au film de tes nuits ;
Pour le jour à ne pas baisser ta garde,
A t'efforcer de ne pas défaillir
Lorsque tu tentes de pénétrer dans l'aiguille par la pointe ;
A tourner autour de ces baraques de cendres et de feux ;
Après que la cause n'eut laissé que meurtrissures,
Que les devises de la grande pute républicaine,
Royalties en servitudes clandestines, furent défigurées ;
Abasourdies par les symboles d'un dieu mort-né,
A ne pas condamner la porte à paumelles rouillées
Où le temps n'est que reflet des hurlements lugubres ;
A mon chevet, sous mes feuilles, gardez un visage humain
Illuminons un lieu d’un langage aux reflets des étoiles
Sur la mer, aux vagues de son lit, pareilles aux songes…
Michel Asti
Date de dernière mise à jour : 02/01/2021
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