SAGESSE - MAÎTRESSE
SAGESSE – MAÎTRESSE
- AAAhhhhhhhhh Arrière, Salauds, Fumières, Pleutres, Démons de la LOSE et autres Faces de Bouc….
Diable, Diantre, par Belzébuth, Lucifer et Vampirella… ; la pudibonderie, l’insincérité, le filoutage et la tricherie sont, je crois, traits privilégiés affichés au morphisme de ces opportunistes de caves, soumissionnaires et autres empruntés(es)….
- Oui, je le pense aussi, chère Rhomanie.
Saches également que je n’ai, d’un dieu, son fils, ses saints esprits et autres avoués(es), aucun besoin. Leurs dévots, disciples, mollahs, guides, prêcheurs, ordonnateurs et autres cures iniques m’indisposent, de par l’illogisme de leurs délégations, ainsi que le paralogisme des dénégations à thèses empestées.
Devant aucun maître, ni dieu, je me prosternerai.
Des idoles et idolâtres je m’en méfie comme du virus de la peste noire et de l’inclination d’un Sarrazin, pour la liberté d’une sarrasine.
Du discours des sciences et des arts, en ce genre didactique, par mes armes sémantiques affichées à rhétorique de savantes séances je m’associe, pour y faire extraction des mots-bidon, des expressions désuètes, des symboles de foire de palais et sédition des impressions tordues, afin que nous puissions y constituer patchwork de faux desseins au flux de notre ferveur envers joyeux drilles et gaies luronnes.
- D’aucun de ses félons tu ne veux, cher Einomhra, et cela est ton choix. « Saches aussi que les années n’apportent pas que des rides, une nuit, la sagesse-maitresse dit à la vie ; elle y ajouta : ‘’un jour peut-être nous nous rapprocherons suffisamment pour nous entendre »…
Les lois mêmes semblent offrir leurs armes aux puissants qui sont dans une telle nécessité d’accaparement et de possession qu’ils en oublient le sens même du bien commun.
Les règles de l’usurier et de Monsieur Loyal font elles plus d’état des biens de la Terre aux mondes des vivants, ou font elles moins d’égards de la vie que n’en ont faits les idolâtres mirifiques et les infidèles aux lois de la Nature et du Vivant ?
Ce n’est sur aucun texte de loi expresse, ni de dieu, ni des hommes insincères, mais seulement sur ce raisonnement étrangement arbitraire que la législation statistique, dites-vous, permet de se défendre contre l’envahisseur et de repousser la force physique par la force opposée. Or la défense étant permise, le meurtre est aussi possiblement interventionniste, voire autorisé par les lois du Talion, contre dissidences et insurrections virulentes ?
Si quelqu’un vient à nous démunir, nous frapper, où porter atteinte à nos biens matériels et intellectuels, ainsi qu’aux personnes de nos proches civilités attentionnées, il est bien permis de le repousser par tous moyens, lorsque sa proximité nous nuit ?
C’est donc ce qu’on appelle dans cette position : ‘’Défense de proximité’’, alors que dans votre doctrine, nous sommes plus en évidence de constatations à pouvoir en dire, qu’il s’agit de : ‘’Folie meurtrière disproportionnée’’.
Cela permet de déterminer la valeur pour laquelle il n’est point permis de tuer, mais à se défendre contre l’opposition intransigeante, lorsqu’elle a atteint le seuil d’inadmissibilité humaine.
Qu’on ne lasse pas de demeurer dans la modération d’une juste défense, quoique vous en prenez les armes intellectuelles séditieuses contre celles et ceux qui n’en ont pas de suffisantes, ou qu’on en prenne de plus avantageuses que celles dont vous disposer, n’y suffira, peut-être pas, à notre combat pour la justice.
Mais nous y restons présents.
Je crois qu’ils y en a, mêmes de nos amis(es) qui sont d’un ressentiment contraire à notre évanescence guerrière, mais je n’approuve point leur opinion, même en leurs doléances sécuritaires affiliées à la justice des puissants, car il m’est fort désagréable de n’y voir aucun écrit valable en ce qui traite du droit et des devoirs communs chez ces individus où les lois d’un quelconque ordre idéique frontiste pour les règles du puissant ne sont que trop souvent les accointances des plus forts nantis aux grâces de Mammon, avec piètres contrevenantes quant à la parole des gens de bien(s).
C’est cela même qui est un mal horrible ; d’aimer les covalences opportunes, plus que la simple vie. Et cependant, cette attache vicieuse qui serait capable de souiller les actions des plus nobles chevaliers affectés par les sons des nouvelles amazones, si on les rapporte à cette fin, serait la justification des actes les plus ignobles parce qu’on les détermine à cette fin d’accaparement en la possession fétichiste que peut exprimer cette avance sur l’éternité… ???
Et qui ne nuirait pas en cette croyance des excès dans l’esprit des opportunistes de biens particuliers ?
Et à ne pas s’indigner à voir tant de gaspillages dans la société des puissants, des bourgeois et de leurs nouveaux idolâtres ?
Il est aisé pour celles et ceux qui n’ont pas de combat à mener envers les mauvais esprits et néfastes consciences, de me juger dans mes propos, et ceux de mes amis(es), contre un idéal de mesquins envers la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice, en ce que j’ai écrit jusqu’à présent sur des corporatismes en combien de relâchements, d’asthénies, d’amoralité, d’iniquité et de tristes dégagements dans vos opinions quand elles sont contraires aux Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, ainsi qu’à votre vindicte associative envers ces salauds, consistant à laisser croire que les lois et règles de l’économie ordo ou/et néo-ultra libérale fractales sont en adéquation avec une mécanique socio-culturelle digne d’une émancipation véritable envers un réel humanisme..
Quelle fourberie vous faites, en cette volatilité de justiciables, envers les communautés attentionnées à l’art des gens et aux devoirs communs.
Ayez donc plus de hardiesse à dire que vos décisions sont conformes à l’esprit d’un intérêt clandestin d’une République autocratique vouée à l’ordre inique des puissants de tous ordres, et plus à même de s’y prosterner devant le dieu Mammon, plutôt qu’à laisser croire à votre volonté bienfaitrice envers cet idéal Démocratique à la française, où la République, cette grande ‘’pute royale’’ devenue, serait plus à même d’y respecter la mutualisation des bons savoirs faire et juste savoirs être.
On vous défie d’en montrer d’aucun et d’aucune de votre clan qui permettent à vos témoins, vos juges, vos magistrats de vos arbitrages, quelques injustices qu’en votre nom furent commises… ; et qu’avec cette autorisation en l’esprit commun qui est vôtre, ces soumissions et obéissances, de n’en prendre considération suffisamment éloignée de vos maximes séditieuses qui ouvrent la porte aux soulèvements auxquels les peuples sont si naturellement portés. Et à enseigner à leurs enfants de ne point céder à la colère et de résister à la violence, ce qui en mon dégoût envers votre vulgaire sémantique, m’incite à penser votre volonté d’impuissance envers les permanences et permissivités perverses de votre thésaurisation quant à l’usure des citoyennes et citoyens français. A vous, plus, soucier de Mammon et de son veau d’or, je crains fort, qu’il n’y est, en des temps futurs, quelques joies à le dépecer, afin d’y voir son sac de fausses pièces, envers les atermoiements affichés aux injustices des usuriers de fausses monnaies d’échange envers les petits d’homme et de femme.
M.A
LE SALAUD
Le salaud a-t-il des représentations dans toutes les couches de la société ? En politique, philosophie et religiosité aussi ?
La salope est-elle l’égale du salaud ?
Le salaud, c’est celui qui est prêt à sacrifie autrui à soi, à son propre intérêt, à ses propres désirs, ses uniques envies de possession, d’accaparement, voire fétichistes au nom d’idéaux souvent voués aux passions médiocres, telles la jalousie, la tricherie, le mensonge, avec pour particularité, en celle d’utiliser tous les outils et moyens affichés à la perversité narcissique, doublée d’un ‘’je m’en foutisme’’ notoire envers toutes zones d’existence proches ou un peu plus éloignées de celle du salaud conscient de son intelligence machiavélique et majoritairement utilisée dans l’ignorance des inconscients et inconscientes, éduqués(es) à la béatitude naïve.
Cela rejoint, en quelques points, la pensée de Sartre qui fit du salaud une catégorie philosophique. Le salaud au sens sartrien du terme, c’est celui qui se croit, qui se prend au sérieux, celui qui oublie sa propre contingence, sa propre responsabilité, sa propre liberté, celui qui est persuadé de son bon droit, de sa bonne foi et c’est la définition même pour Sartre, de la mauvaise.
Le salaud, au fond, c’est celui qui se prend pour une entité idéique supérieure, ou qui est persuadé qu’un quelconque dieu, (ou l’Histoire, ou la Vérité) est dans son camp, et couvre, comme on dit dans certains corps intermédiaires, ou autorise, ou justifie, tout ce qu’il se croit tenu d’accomplir.
Saloperie des inquisiteurs. Saloperie des croisés. Saloperie du « socialisme scientifique ». Saloperie du « Reich de mille ans ». Saloperie, aussi bien, du bon bourgeois tranquille, qui vit la richesse comme son essence et le capitalisme comme un destin. Saloperie de la droite, disait Sartre (« de droite, pour moi, ça veut dire salaud »), ce qui illustre assez bien une saloperie de gauche.
Le salaud, c’est celui qui est sûr d’avoir bonne conscience. C’est ‘’l’ayant-droit’’, comme dit François Georges dans ses ‘’Deux études sur Sartre’’, autrement dit, celui qui est convaincu de sa propre nécessité, de sa propre légitimité, de sa propre attitude, de la validité de ses propres pragmatismes, facultés et aptitudes.
C’est pourquoi, aucun salaud ne se croit tel : ‘’Tous les salauds sont de mauvaises foi et néfastes intendances, qui ne cessent de se trouver des excuses ou des justifications’’…
Aussi le contraire, pour ces salauds et mafieux, n’est-il pas d’abord le saint ?
Ni le sage, ni le héros, mais l’homme lucide, sincère et authentique, comme dirait Sartre, celui qui assume sa propre liberté, sa propre solitude, sa propre gratuité, son propre altruisme.
Le salaud, dit un jour l’auteur de ‘’La Nausée’’, « c’est le gros plein d’être ». Anthropocentrique vaniteux ?
Et le contraire cette saloperie du moi, c’est la conscience, qui est néant, qui est impossible coïncidence de soi à soi, qui est exigence, attachement, liberté, responsabilité, mais aussi questionnement perpétuel quant à la responsabilité de ‘’l’être humain’’.
Culpabilité, mauvaise conscience ?
C’est quoi la bonne ? Celle de la dénégation ? Ou la confirmation ?
Qu’est-ce qu’un salaud, et une colonie de salauds… ???
C’est un égoïsme qui à bonne conscience, persuadé d’être un type bien, et que le salaud, en conséquence c’est l’autre ?
C’est pourquoi il s’autorise le pire, au nom du meilleur de soi, ou celui de son clan – d’autant plus salaud qu’il croit avoir justification à l’être, et pense donc être dans son bon droit à ne pas l’être, voire à l’exprimer par l’étendard du népotisme déifié.
Les hommes ne sont pas méchants ; ils sont mauvais et médiocres, et se croient doter d’une bonne foi émancipatrice.
Saloperie : égoïsme de bonne conscience et de mauvaise foi. Les salauds, leurs adorateurs et adoratrices sont convaincus de leur innocence.
Mieux vaudrait un égoïste lucide et se sachant responsable de ce qu’il est, a été, de ce qu’il fait et conscient de ce qu’il a fait, qu’un égoïste satisfait de soi et convaincu de son bon droit.
En langage sartrien : ‘’Mieux vaut un égoïste authentique qu’un vrai salaud’’.
Mais le seul égoïste authentique, le seul égoïste insatisfait, c’est celui qui ne se résigne pas à l’être.
C’est ce qui peut, dans, par et avec la linguistique humaniste, être nommé la ‘’conscience morale’’, et c’est le contraire de la saloperie.
A.C.SP
Donc, de par toutes ces sensations sensiblement touchantes et proches de tous ces êtres, il m’était impossible de ne pas croire en la possibilité de vivre encore de précieux et joyeux instants, accompagnés par ’’eux’’, et peut-être proches d’autres que je ne connaissais pas encore. Avec le souhait de compréhension envers toutes celles et ceux que j’aurai encore la chance de côtoyer de par leurs effets sensiblement affectant, accompagnés par ce désir toujours présent en moi, me poussant à rechercher à reconstruire quelques petites zones où règneraient les belles facettes d’un agencement harmonieux, dont les accords en seraient entendus par toutes ces personnes proches ou un peu plus éloignées, que j’aime, tout en gardant précieusement dans ma mémoire, tous ces cadeaux reçus d’autres aujourd’hui éloignées, dont les merveilleux souvenirs en permettent la simple ignorance des moins bons et heureux, et où les plus mesquins avaient parfois essayé, en certains temps compliqués d’en détruite leurs belles représentations liées à la belle vie et au bon temps, sans qu’ils aient, jusqu’à présent réussis à annihiler toute forme d’optimisme, m’autorisant encore une fois à imaginer des petites portes, où derrières j’aurai joie à ressentir la présence de quelques murmures enchanteurs et belles lumières attisant ma curiosité suffisante et utile à continuer cet extraordinaire chemin, vers l’attachante liberté de croire à l’intelligence de cœur…
Je laissais à cet instant une autre pensée surgir dans mon présent, dont cette insurrection se manifestait assez fréquemment par la présence de cette petite voix intérieure me prodiguant ses signes sous la forme d’un code proche de celui déchiffrable en les langages de l’attention et de l’estime envers cette vie qui m’emmenait encore sur un chemin parsemé de gros cailloux et autres petites grimpettes en permettant l’accession à quelques postes de vigie, afin de me donner satisfaction à en percevoir à nouveau toute sa beauté. Il est vrai que je ne l’avais pas toujours écoutée, j’avais souvent eu la prétention de croire qu’il me suffisait de foncer tête baissée en direction de portes suffisamment solides pour m’y avoir trop souvent cassé la tête.
Mais bon, ‘’Elle’’ m’avait donné un conseil non dénué de toute belle logique applicable à majorité en tant qu’autant d’états propres à la condition humaine, dans chaque lieu d’existence du ‘’vivant’’.
Cette citation que ma belle amie la ‘’Vie’’ avait bien voulu m’envoyer en d’autres circonstances dans un langage connu et déchiffrable était la suivante: << Ne te déni de rien, ni ne prédis sur ton sort par de mauvaises suppositions, tant (temps) ; que je suis à tes côtés, aux mêmes titres que les biens nécessaires et indispensables à ‘’mon’’ honorable et digne entretien, car par la force de cet apitoiement inutile en ce cas, t’apparaîtra le désespoir, voire la rancœur source de bien des maux. Si tu possèdes déjà juste cela, dis-toi que le temps n’est plus ton ennemi et qu’il t’apportera au fur et à mesure de ses passages, ces bienfaits essentiels à l’acquisition de ’’ma’’ belle vie et peut-être la compréhension !...
A toi de trouver la direction du bon sens du vent… En tous ces signes de ‘’moi‘’, qu’il te faut continuer à apprendre, à observer et ressentir proches de tes espaces sensibles… Et tu ressentiras peut-être à nouveau les parfums subtils de l’espace potentiellement touchant…>>
Et elle avait raison, je disposais encore en ce jour, de l’essentiel à assurer l’entretien matériel de ce corps, et surtout les quelques sensations autorisant à croire, avoir encore possibilités à entrer en contact physique avec ce sentiment particulièrement troublant et proche de cette invraisemblance qu’est l’amour, dont ses autres effets singuliers proches du ’’touchable’’ m’avaient déjà fait ressentir toute la beauté et les magnificences de la fervente composition à mille temps, assujettie à tous ces extraordinaires sentiments qui resteront, jusqu’à la fin, dans les méandres de mon corps et au cœur de mon ’’âme’’…
Elle m’avait également raconté la parabole suivante:
LA MORT ET LE LABORIEUX
Un pauvre esprit à peu d’estime envers son fardeau demanda à la mort :
- Pourquoi ta copine la pénitence fait tant et tant par l’effort mon obéissance ?
La mort lui répondit :
- L’effort que tu consacres à possible jouissance matérielle ne sera jamais suffisant au ravissement du moment partagé. Reposes toi de temps en temps, afin de t’ouvrir à autres médites existentielles envers le bon temps et la belle vie !
- Est-ce là un luxe pour un des plus pauvres œuvrant douze heures par jour et toute une vie pour cette machine infernale ? Ma femme, nos enfants, mes créanciers, mes contraintes, l’impôt, la corvée et l’usure, font mon tableau noir et toujours inachevé.
- Alors tu aimes donc la vie !
Elle est une extraordinaire et laborieuse semeuse, alors que moi, je ne suis qu’une petite faucheuse.
Le malheureux bûcheron courbé sous son fagot lui dit :
- Je ne comprends rien à ce que tu me racontes.
Si je n’étais pas si paresseuse, possédés(es) et possédants(es), je vous aurais tous fait mourir d’efforts et de chagrin, lui répondit-elle.
Et lorsque tu auras compris, que le pire n’est pas moi, mais la souffrance, l’injustice, l’accaparement, la cupidité et l’iniquité chez les hommes, alors tu sauras que je n’y suis que pour peu de choses quant à la lourdeur de ton fardeau.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années. On devient vieux parce que l’on a déserté son idéal.
Vous êtes aussi jeune que votre enthousiasme, vos désirs, vos souhaits, votre bienveillance, vos attentions et votre belle curiosité, aussi vieux que votre air désabusé, votre morne attitude, vos certitudes conformistes, votre malveillance intergénérationnelle. Nous sommes aussi jeunes que notre confiance en nous et aussi vieux que notre abattement, nos peurs notre refus d’analyse et notre acceptation d’ostracisme.
Michel Asti
Date de dernière mise à jour : 20/01/2018
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