COMMUNICATION - MANIPULATION - SERVITUDE
Ne pouvant plus adoucir ses comportements, orthodoxies, us & coutumes ; le mammifère humanoïde se tournera indubitablement sur des arbitraires, en soumission à des impératifs qui dénaturent ses propres fonctions vitales dans une nouvelle scénographie n’ayant plus ni queue ni tête, mais dont il s’en accommodera par l’emprise de ce qui se passe à l’extérieur de son corps.
80 millions de personnes sous le seuil de pauvreté, en 2019, en Europe, soit environ : 14,5% de la population européenne. La France, pays de la Liberté, de l’égalité et de la fraternité ne fait guère mieux, environ 14 %.
PIB de la nation française : 2 200 milliards € annuel ; soit, ‘’THEORIQUEMENT’’ ; environ : 32 000 € par unité humaine présente sur les territoires français, y compris les ACTIFS, les RIENS, les IGNORANTS(ES), les SANS EMPLOI, les CHÔMEURS, les RSA-YSTES, les INACTIFS, les FAINEANTS, les PRECAIRES, les SANS DENTS, les SANS ELECTRICITE, LES SANS HORIZONS, les ENFANTS, les JEUNES, les MOINS JEUNES, les QUADRAS, les QUINQUAS, les RICHES, les PAUVRES, les RETRAITES(ES) et les PLUS VIEUX… sauf les MORTS(ES).
Bien intelligent à ne plus prendre sénestres en argent comptant des nouvelles lois de La REPUBLIQUE ; aux conditions d’une législation affiliée à une TECHNOCRATURE encore assujettie à politiques de l’ENTRE-SOI ; fournies aux teintes de PHILOSOPHIE-CULTU®ELLES tatouées au nombril de leur monde, pour qu’il en soit émancipation en dignité contre opportunisme de positions…
De quel ordre il en pourrait d’y avoir d’une vérité une vertu chez celui que toute institution de bravoure n’est que d’empêcher par tous moyens matériels et outils de communication la perception d’une ignominie en probation de ce qui peut être déterminé des efficiences concernées par modes de vie dignes et honorables si ce n’est d’un verbiage en occultation des utiles savoirs faire et savoirs être modérés afin qu’il n’en soit pas de tant d’érections en contrainte pour y mener jeunesse aux frontons désabusés que des vicieuses quotités envers la vieillesse… ; comme si le peuple ne devrait qu’obéir aux injonctions institutionnelles du maître des lieux, de ses gouvernances et dévots de couardises qui n’ont point d’actions assez légitimes qu’elles en soient d’assez fourbes pour les nommer que même la nature n’en trouve d’assez rampantes pour que le peuple inquiet de la félonie en aseptisation de servitude sociétale ne trouve d’arguments solvables contre ce que le politiquement correct refuse d’analyser et encore moins de comprendre, comme il en est d’une incapacité à s’émanciper de la prédation bestiale, envers ses congénères, la nature et le vivant !
Le déclenchement d’une insurrection de discrimination a, tout compte fait, peu de chances d’aboutir ou tout du moins faible espoir pour changer le conformisme ambiant. Ces possibilités dépendent des faibles capacités de troupes divisées, hétérogènes, égoïstes et sans chefs – Les partis politiques en exercice et ceux en place de potentiel contre-pouvoir, savent cela, les autres divaguent sans but et idéal précis… Mais la probabilité de révolte est toujours permanente, subreptice, souterraine, et toujours présente en fond de toile. Des assauts brefs, indignés et violents sont parfois capables de surprendre. Ils peuvent être enclenchés par deux ressorts sociaux, si évidents, si naturels que leur fondamentale puissance est sous-estimée :
« L’ATTACHEMENT AU BIEN COMMUN ET ; LA PASSION DE L’EGALITE… »
Les aptitudes d’échanges, d’attention et de respect orientent universellement, au sens où elles valent pour tout individu et dans toutes communautés et sociétés, y compris pour celui dont il est question : de la même manière qu’autrui peut considérer comme étant variations associatives pour tout ce qui évoque pour lui, ma propre représentation de ce qu’est ma personne comme même : l’ensemble des choses qui évoquent ma présence à autrui et, réciproquement, comme ces choses d’autrui envers ma présence.
‘’Notons que penser à l’ordre idéal comme écart entre l’économie et la monnaie revient à dire que la monnaie est une imperfection dans une démarche uniquement économique dématérialisée de sa fonction sociale où l’attrait mobilisateur envers le refus social ne saurait être autre que celui d’avoir les moyens individualistes nécessaires à exister hors de ce même système social-économique délétère et fractal envers la légitimité de la communauté de bien(s)… Avec ou sans ‘’s’’ !
C’est pourtant facile de voir les choses sous cet angle !
De les ‘’percevoir’’ ?... Indubitablement. Mais plus difficile dans et par l’application de statuts plus avenants, ou tout du moins plus équilibrés et teintés à la pluridisciplinarité de meilleures thésaurisations, envers l’objet-sujet économico-financier, car ce salopard d’égo revient à chaque fois à la charge, et il n’entend pas la petite voix lui murmurant : ‘’Arrêtes tes conneries, tu sers à rien, et maintenant tu te calmes !’’…
L’évanescence philosophico-politique des situations SOCIETALES ne saurait être dépouillée du réel SENS affiché à confort de tout à chacun et chacune, et réciproquement, observant et vérifiant à chaque période de modification ethnosociologique les paramètres épistémologiques et les fonctions d’échange interindividuelles dans un Ensemble (E) ; de machines-humaines qualifiées, pensant les contributions législatives et institutionnelles comme des AVENANTS à un potentiel futur respectueux des différences d’états, de positions et de liberté d’expression communautaire au rapport de cet Ensemble économico-sociologique défini par ses aspirations en Droits & Devoirs de justifiables affiliés(es) à toutes classes sociocommunautaires définies par les Délégations des Représentants du Peuple. Cette option quantifiable n’est évidemment pas un CONTRE-POISON à possible violences verbales de part et d’autres des partis, ainsi que dissidences virulentes tant à intérieur qu’à l’extérieur de ses ensembles d’individus composés de femmes et hommes en surgissement des accommodements intergénérationnels, lorsque les lois en vigueur s’éloignent des protections solidaires…
La Démocratie ne saurait en aucun CAS se satisfaire des seuls MOTS en vindicte d’un Président sourd aux voix d’acceptables sujets rédigés aux termes des biens personnels et du BIEN COMMUN affiché à un véritable et compréhensible discours pluridisciplinaire affecté à bienveillance didactique et bienséance comportementale… ; ET RECIPROQUEMENT.
Le non-respect par un Président élu ; aux voix d’une partie du Peuple, dans sa fonction de représentation de la Nation ne peut émettre MOTS intransigeants envers différences de STATUT ; même sous le coup d’émotions exacerbées par la non réalisation de son programme électoral pour des raisons mal évaluées en amont, et sous-estimées au moment de sa volonté d’accession à la fonction la plus haute de l’ETAT DEMOCRATIQUE & de la NATION REPUBLICAINE. Le défaut d’anticipation en pédagogie inadaptée ne peut en aucun cas être une excuse en substitution d’une erreur sensibilisée à PARTISANNERIE de fausses VALEURS envers la Liberté, l’Egalite, la Fraternité et la Justice Sociale-Economique.
Lorsque l’Assemblée et autres Amphitryons se retrouvent dans une expectative relationnelle ne permettant plus analyse objective et compréhension suffisante des rapports entre le Peuple et les Gouvernances de la Nation incarnée par la fonction Présidentielle, alors le libre arbitre de POSITION au rapport d’un temps suffisant permettant d’avoir certitude pour une majorité du Peuple que l’action politique n’est qu’une ZONE DE TRANQUILITE pour une minorité pouvant acheter le TICKET d’entrée, alors le MOUVEMENT initié par agrégation temporelle des frustrations et contraintes deviendra une force telle que même les institutions et les corps intermédiaires ne pourraient en changer le déroulement axé par des ressentiments citoyens.
Le manque d’analyse économico-financier et déni de changement socio-culturel dans une historiographie d’actions, de réactions, de comportements et d’aspirations accordées aux mécanismes biophysiques, psychologiques, physiologiques, philosophiques et déontologiques qui ont conduits aux conditions mêmes de la scission entre les ZONES de VIE ; définies dans les différentes communautés territoriales, régionales, départementales ; agencées à la NATION souveraine n’est aucunement source intellectuelle utile à l’effervescence des pensées intermodales ; mais assurément affiliation à penser le déterminisme aux prix de l’usure en obsolescence programmée aux commissures des terres cessibles par experts en matière divisionnaire voués aux arbitraires d’une bande de soliloques en mauvais augures…
L’orthodoxie culturelle est tant de voisinages déficients à une réelle faculté humaine équilibrée telle que la propriété de l’esprit libre n’y résisterait à l’observer qu’en se bouchant le nez.
Imaginez nombre d’individus suffisant à garder l’analyse objective envers genre grégaire, voire moutonnier pour qu’ils en réussissent conditions générales à remise en question de l’historiographie CULTU®ELLE… Ne serait-ce pas là, encore, écritures faites au nom d’idéaux nouveaux fournis aux prémices d’un illogisme de pratiques sournoises … ???
Entre raison humainement acceptable et néo-scientisme… ?
Je crois qu’il en serait ainsi …
La malveillance est mère d’insécurité…
Le principe de précaution est fille d’attention…
Si la pauvreté est la mère des crimes, le défaut d’esprit en est le père.
L’essence même de l’existence fait la réalité de chaque vie. Elle ne précède pas l’essence, ni ne la suit – elle lui donne un sens – elle est la seule vérité, toujours changeante, toujours singulière, parfois imprévisible, peut-être imparfaite, mais toujours d’instants en instants à préserver.
Quant au devenir de notre propre vie, est-il suffisamment incertain pour ne regarder que notre nombril, ou trop népotique pour croire que la seule évidence serait d’afficher notre créance sur les tabloïdes des mini-stars… ; en déni de nos propres incohérences et paradoxes.
Les asthénies, le manque de vision alternative, le corporatisme exacerbé et les incompétences de la classe politique de ces quarante dernière années, accompagnée par quelques ‘’génies’’ de l’économie et autres ‘’sorciers’’ de la finance ont malheureusement fait un déni de meilleure évolution communautaire dans la République Démocratique à vectorisation Laïque. Le déclassement social-économique, la destruction de la culture et la ghettoïsation sont, je crois, devenus les standards de ce système sociétal arrivé à bout de souffle. Où la norme devient celle de la starisation politicienne, médiatisée par les mauvais clowns de la logo-atomisation ‘’buzzique’’… Et par majorité des programmes politiques, associés aux ordres de chaires, d’ors, de pompes de notables et de starisation en ‘’branlette’’ intellectuelle ; je ne vois guère de meilleures lumières à l’horizon de ce beau pays ‘’France’’.
Pourtant visibles en d’autres systèmes innovants dont vous n’en percevez encore aucune des possibles belles tendances pour le meilleur avenir de cette civilisation encore atteinte de trop d’individualismes opportunistes !… Transmis par vos ancêtres prosélytes de cultures, concepts et formes ‘’spirituelles’’ provenant de temps révolus et inadaptées aux sensibles considérations et justes attentions envers les jeunes ‘’pousses’’, avec pour particularités, en celles que tous ces artéfacts à invocations douteuses, ne soit que l’opium des peuples, ré-initié par néo-scientistes en fourbes paralogismes. Et utilisés par quelques dealers de mauvaise foi liés à l’inattention, l’iniquité et l’injustice socio-économico-culturelle
Bande de psychopathes délétères… Essayez plutôt, en première instance, d’observer, d’analyser, d’expérimenter, comprendre et faire connaître les différentes pensées nées de l’imagination au nom du ‘’savoir’’, le pourquoi, le comment et le mieux de notre propre existence communautaire dans les différentes contrées du monde avant d'appliquer tout déterminisme, dont ses deux réponses ne sont que [oui] ou [non], et où le « peut-être » ; est juste une méconnaissance ou incertitude temporelle. Ce qui en langage mathématique peut se traduire par 1 chance sur deux d'avoir raison, ou 50% de malchance d'avoir tort, et inversement… Et malheureusement je pense parfois que certains actes, résultant de la pensée égoïste, narcissique et cupide, au détriment de la pensée partagée, sont empreints de trop de conséquences importantes pour se permettre d'en déterminer les choix avec de simples lancers de dés, surtout s'ils sont lancés par un nombre inférieur à deux, n'en permettant pas la perception de la trace d'une possible véracité, hormis celle édictée par le lanceur de dés, qui à ce moment-là n'est plus une trace, mais le risque de son diktat anti-démocratique… ; antirépublicain… ; et anti-laïque.
Bon, quoiqu’il en soit, ils, elles ne sont pas mon sujet du jour. J’ai déjà évoqué quelques dysfonctionnements les concernant et présents chez certains mauvais imprésarios, réalisateurs, acteurs et actrices du monde de l’emploi sous différents et divers statuts ‘’numériques’’ adressés aux concernés(es) depuis mon inactivité professionnelle… Et, bien sûr restés sans réponse, comme vous l’auriez fait, vous les ’’pros‘’ de la gestion comptable, administrative et juridique du travail, qui en avez pris la ‘’mauvaise habitude‘’, puisque majorité n’est même plus tourmentée, par son inaction consistant à ne plus répondre au CV des candidats, et autres demandes, pourtant envoyées par toutes les convenances établies…
C’est du vécu ! Et par plus que moi…
Toutes choses organiques entrent, tôt ou tard, en putréfaction. Le temps est le gardien de toutes les actions vivantes. Cela est-il, toutefois, suffisant pour infliger la lente usure des hautes classes fascinantes, à toutes les ignorances des petites et moyennes… ???
Est-il louable de pérenniser le déni d’attentions au profit d’attachements particuliers… ???
Entre indifférence de notation et attachement de triage, n’existe-t-il rien d’autre que compositions liberticides… ???
L’homme ‘’moderne’’ est-il suffisamment stupide pour être devenu le soumissionnaire d’une imagination encadrée par une sémiologie, de faux contes, aboutée à lobbying de mauvaises factures… ?
La communication intelligible des esprits multidisciplinaires nous libère…
Les communautés ne cesserons de se libérer… ; par la culture, par la révolte, par l’invention, par l’innovation au service de l’Homme, l’économie régulée, les meilleures technologies comprises, les nouveaux comportements, aptitudes et attitudes respectueuses des ressources terrestres et du bien commun… Tout cela s’appelle l’esprit de conservation du et des vivants présents, au nom de la préservation des générations arrivantes, ainsi que la lexicographie affichée au bon sens...
- Début 2015…
Il avait compris qu’aucune réponse concernant ses questionnements épistémologiques, ontologiques, éthiques, philosophiques et peut-être poétiques, séides des échanges entre ces entités humanoïdes présentes dans les différentes zones, contrées ou régions politico-socio-économico-c
Pour lui, cette évolution avait été induite par le fonctionnement de ces grandes métropoles, banlieues et autres lieux grégaires, conflictuels ou ‘’guerriers’’, où les habitants étaient devenus des inconnus(es) pour et par la vraie raison de vivre, et avec lesquels, lui-même avait petitement et inconsciemment participé dans cet ancien espace-temps de précaires échanges désaccordés aux voix de l’incompréhension violente trop souvent teintées aux couleurs tristes et discours galvanisés à l’individualisme opportuniste, sociologiquement inintelligible.
Cela, lui était devenu insupportable. Il n’arrivait plus à appréhender les raisons de ce fonctionnement égoïste, narcissique, cupide et voué à la prédation, où les notions d’inattention, déconsidération et insensibilités envers l’organisme naturel vivant et l’irrespect envers les bons arbitrages étaient devenus des anachronismes au rapport de la liberté de croire, d’aimer, d’imaginer et de s’apparenter aux extraordinaires et merveilleux logogrammes féconds. Avec pour ineptie envers la nature et l’animal, celle d’oublier de faire comprendre à nos enfants toutes les beautés du monde, sauf à les emmener parfois en quelques salons agricoles, certes plus propices à les éloigner des subjectivités des nouveaux parcs d’attraction à thèmes d’échanges de monnaie scripturale inutiles à leurs apporter ouverture d’esprit suffisante et nécessaire à l’analyse de l’interprétation économico-financière, et foncièrement corporatiste ; tout comme cette morose détermination vers d’autres petits horizons gris tout aussi désuets consistant à leurs faire parcourir les allées des anciennes prisons-zoos, heureusement depuis quelques années, remplacées par des zones d’habitats, un peu moins grégaires appelés ‘’Espaces Naturels Protégés’’, et plus à même d’y apporter quelques biens être animal… Où le ‘’Mammifère-Humanoïde’’ possédait parfois de par certains bons côtés quelques aptitudes à pouvoir créer des zones de meilleur confort acceptable, nécessaires, essentielles et utiles pour lui et ses congénères…
Depuis quelques années il ressentait cet état socio-économico-culturel présent dans la ‘’cité moderne’’, totalement chaotique et foncièrement inadapté au sens profond de l’être. Ce sens magique originel qui souvent réduisait les croyances en la seule, possédant le lien de toucher cette merveilleuse ‘’force d’attraction’’, celle qui transforme les êtres, les rend créatifs en leurs laissant imaginer certaines réalités plus hospitalières, qui, lorsqu’elles sont teintées des couleurs de l’arc en ciel, leurs donnent facultés d’être capable de comportements assez extraordinaires, mais où ces systèmes sociétaux pressurisés aux tendances mégalo-politico-économico-
Avec, dans cette incompréhension notoire les flux monétaires…
En l’état actuel de son parcours, sa perception sensible, encore ‘’vivante’’ lui avait permis d’entendre le léger murmure d’un ruisseau de survie au milieu des tourbillons des grands fleuves dont le lit de certains était déjà tari ou en cours d’assèchement par des courants ‘’énergétiquement’’ dispendieux, alors que d’autres réussissaient encore à rejoindre leur lieu d’origine dans un état chargé de mauvais éléments, au milieu des méandres dont la VIE n’était plus la ‘’belle créatrice’’. Tout cela accompagné par la croyance que ce ‘’petit morceau de vie’’ doté de la pensée cognitive avait la capacité de façonner violemment l’endroit où il résidait, avec impérieuse main-forte au lieu d’essayer de l’agencer avec celle de cœur et de raison, à fin minimum de le laisser au moins aussi beau qu’à son arrivée, et à maximum pouvoir espérer laisser cette extraordinaire TERRE suffisamment confortable pour tous ceux et celles d’après, où les espaces Naturels du Vivant seraient assujettis à attentions suffisantes et utiles à vaincre le despotisme territorial, népotisme identitaire et culturel fractal décrit depuis longtemps dans leurs grandes lignes par quelques philosophes, théologiens et poètes où les origines sont historiquement beaucoup plus anciennes et assignées à certains comportements humains irrationnels, voire insensés, dont quelques causes probables ont été démontrées par autres théoriciens, logiciens, anthropologues, épistémologues et analystes Aristotéliciens, Bergsoniens, Cartésiens, Darwiniens, Euclidiens, Freudiens, Gordiens, Kantiens, Leibniziens, Pascaliens, Booléiens, etc… Et intrinsèquement terriens; dans leurs évolutions de types sociologiques, philosophiques, corporatistes et migratoires d’espèces biophysiques, soumises à aptitudes et attitudes souvent psychotiques en et envers les écosystèmes et autres lieux d’habitation du genre humain à tendances communautaires. Où en ces temps troublés, la juste transmission des connaissances et savoirs de ceux et celles d’avant, par celles et ceux de maintenant, et pour après, s’exécutaient trop souvent de façons impropres à maintenir quelques belles universalités. La porte qui pour lui venait de s’ouvrir était celle de l’exclusion de ce continuum espace-temps asocial et grégaire dans lequel il avait résidé quelques décennies.
La vie l’avait emmené là !
En 2013… Lors de sa 54ème année…
Il a respecté ce qu’elle voulait lui montrer, et il se mit alors à chercher les clés ouvrant les quelques portes où derrière il réussirait peut-être à trouver quelques signes et comprendre les différentes expressions, accords et définitions ‘’d’Harmonie’’, aux fins de lui donner petite possibilité de s’approcher encore une fois ‘’d’Elle’’, grâce à ces extraordinaires armes de vie ; que sont l’attention, l’utile curiosité envers toutes ces ‘’choses de l’existence’’ ; présentes en ce Monde et la considération de l’espace touchable, et sensiblement touchant.
Il s’était déjà désisté depuis quelques temps, de ces belles et surprenantes sensations affiliées aux étonnants échanges entre le féminin et le masculin, avec pour première singularité, celle proche de l’insaisissable équilibre entre la liberté et l’attachement… Il pensait que cette merveilleuse force était toujours présente alentour, telle la particularité d’un élastique ayant propriété à se tendre et se détendre en fonction d’attractions inconnues, qui lui donneraient à nouveau petite liberté d’entendre quelques beaux accords émis par la ‘’petite voix’’ du bon sens de la vie, tout cela avec cette sensation d’être depuis longtemps relié à cette voie ‘’vibratile’’ tangible, autorisant en chaque zone géographique, la potentielle vision d’un juste et acceptable ‘’vivre ensemble’’… Et même s’il était quelque peu inquiet, voire triste de et par ce qu’il réussissait à percevoir et ressentir des comportements, actes et pensées primaires émanant de certains de ses congénères, il avait cette petite certitude optimiste lui autorisant à croire que l’éveil des justes consciences, par nombre grandissant, permettra tôt ou tard de transformer les étourdis(es) et inconscients(es), afin d’évincer les néfastes idéaux des malfaisants(es) et malveillants(es)… Permettant peut-être d’engendrer quelques espaces-temporels teintés de quelques meilleures lumières et extraordinaires sons enchanteurs…
A tous ces petits bonhommes sans ouverture, se souciant plus de leur confort individualiste que d’un véritable collectivisme intercommunautaire, et souscrivant allègrement à un ‘’je m’en foutisme’’ généralisé…
A tous ces individus ‘’sectaires’’, pour ne pas dire ‘’vieux cons’’ ou jeunes ‘’imbéciles’’, atteints par une vision suffisamment étroite, pour ne pas voir la réalité affligeante existante hors de leur ‘’zone de confort’’ à morne aseptisation…
A tous ces ‘’petit hommes’’ apathiques, ou ‘’petits rebelles’’ asthéniques, en attitude de clans de ‘’petits mâles’’ en ignorance historico-philosophique flagrante, affiliés à une inculture intergénérationnelle patente, hormis un individualisme de piètres bonhommes sans réelle valeur sociologique humaniste…
A tous ces prétentieux narcissiques, petits césars, satrapes, vils potentats, et autres cyniques empruntés(es) se souciant plus de leur petite assise en césure de fausses factures, lèches-culs, cire-pompes, soumis(es) en perfides comptes, ronds de jambe et starisation de mini-stars parfois assurée en népotisme de sournoise, suffisance ; mais, en tout cas, dans un fonctionnement cognitif en anthropocentrisme inique associé à insuffisance de culture programmée par déni envers communautés attentionnées à valeurs humainement acceptables… Dont la singularité de l’éducation pourrie de ces néo-impérieux est assurément affichée à celle d’un filoutage quant au juste combat affecté au véritable sens des adages suivants :
‘’Toute juste valeur ajoutée se définie par tous ces citoyens et citoyennes proches de la juste conscience lorsqu’elle est exercée avec lucidité, sincérité, honnêteté, accompagnée par tout l’amour et la déontologie des savoirs faire afin qu’ils, elles, puissent aspirer à ce que cela devienne un ‘’art’’ de vivre… Pour les générations arrivantes !... Et celles en partances…
L’entreprise ne fait pas les femmes et les hommes !
Ceux sont les écosystèmes sociétaux de ceux et celles d’avant et de maintenant qui les éduquent, les imaginent, les composent, les ordonnent et les font vivre, afin qu’ils, elles participent par l’addition de leurs savoirs faire et compétences particulières à l’évolution de la belle sensibilité socio-économico-culturelle
Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que ceux du désespoir… De la rancœur… Et de l’indifférente violence… Psychologique… Où celle physique risque malheureux d’apparaitre.
Je crois que votre posture de suffisance, prétention intellectuelle, narcissisme de ‘’branleurs’’, pouvoir de Méphistophélès et édiction de petits bonhommes de pacotille ne réussiront jamais à vous apporter ouverture d’esprit suffisante pour ne plus croire que TOUT les chômeurs de courte, moyenne ou longue durée sont des fainéants, sots et incultes, où le statut de ‘’ sans emploi’’ est rarement choisi, pour la simple raison que tout travail et toute activité MANUELLE ou/et INTELLECTUELLE est toujours présente, sauf après la mort, et par votre insalubrité intellectuelle la valeur usurière fractale y entame déclin civilisationnel.
Le pouvoir n’est pas une donnée tombée du ciel ou sortie des tréfonds de la terre. Il est une volonté de certains ‘’mammifère-humanoïdes’’ à se croire au-dessus du monde Naturel, aux faits holistiques des vicissitudes de femmes et hommes, ignorants ou non instruits au réel et juste ordre intelligible de la meilleure attention et transmission possibles quant à une existence humainement acceptable, entre attachement et liberté, envers les leurs, TERRIENS & TERRIENNES. Corpus universaliste n’est en aucune façon, l’abri des éruditions unipersonnelles de l’entre soi, mais le partage du TOUT...! Dans la mesure des connaissances actuelles et savoirs acquis. Cela devrait être la première des maximes à acquérir dès le plus jeune âge, après le langage, et bien avant, vouloir à n’importe quel prix humain, confiscation de l’usure ou valeur ‘’sacrificielle’’, faire comprendre les potentiels bienfaits ou malfaisances des anciennes écritures ou nouvelles servitudes, de n’importe quel ordre, source, origine, philologie, sémiologie, ou sémantique que sont les émanations textuelles, desseins d’ici et pensées d’ailleurs ; et réciproquement.
Il n’en est hélas pas souvent le cas, notamment chez ces femmes et hommes en doctrine à peu de considération envers leurs congénères de toutes échelles, socio-culturelles et de tous âges, entre les deux dimensions théologiques et ontologiques que sont celles des : – Cieux et de l’Enfer – Entre : Liberté et Attachement. Alors que chez l’homme, ce dogmatisme en étude paradoxale n’est en fin de compte, qu’affaires de droit, d’intérêts individualistes, d’hideux conflits et pouvoir entre les possédés(es) et possédants(es)…
Faust pactisa avec le maitre des profondeurs obscures.
Machiavel savoura plaisir et sévérité du pouvoir, et ses arcanes. Le marquis de Sade explora le sadomasochisme, et formes extrêmes de soumission et subordination.
Freud cherchât l’esprit du père, de la mère, du fils et de la fille… Et l’aspect charnel de femme et homme.
Descartes considéra l’indifférence comme le plus bas degré de la liberté.
Rousseau eut des enfants sans véritablement leurs apporter éducation essentielle et transmissions utiles (il le regretta); laissant ces apprentissages à autres considérations…
Pascal laissa voguer ses pensées aux ‘’grâces’’ de l’austère et la vision attractive de la société libertine.
Einstein précisa que l’homme est une infime partie du tout que nous appelons ‘’Univers’’… Et le jour où la technologie dépassera les capacités humaines, le monde risque alors de voir une génération de parfaits imbéciles.
La Fontaine fut le premier à entrevoir que l’homme est très souvent un animal ridicule, prétentieux et égocentrique, dopé aux pires reliquats de la vénalité, l’accaparement systémique et la soumission au Grand Argentier ou Grand Ordonnateur…
Et tout cela au nom du dieu de la possession au lieu d’un alléluia envers la divinité de la sagesse, où les enfants d’Irène, déesse Grecque de l’équilibre et de la réconciliation, n’auront eût que peu de persuasion à ce que la descendance de Caïn, puisse faire un déni du dogme du père leurs ayant édicté : « L'infernale convoitise pousse les enfants de Caïn à s'emparer de tout ce qui est à leur portée, et comme si ce n'était pas assez qu'un seul accapare ce qui suffisait à des milliers de ses semblables, il voudrait s'y établir, lui et toute sa couvée pour toute l'éternité ». Mais peut-être, comme le stipulait Nietzsche : ‘’Parfois, les gens ne veulent pas entendre la vérité, parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions se détruisent.’’ Par conséquent, nous pourrions peut-être considérer cela, comme un impossible accord entre le corps et l’esprit, ou matérialisme et existentialisme, ou encore la dualité [Onde-Corpuscule], soit ‘’Matière-Energie’’. Laissons ce dernier de côté, il s’agit d’un autre domaine d’étude. La dimension cognitive attachée à cette théorie, sont les savoirs et, la connaissance nécessaire au recours à un certain type de représentations collectives, totems, signes, expressions, symboles et statuts pour fonder les institutions, notamment celles attachées à une véritable sociologie permettant à l’humanité évolution acceptable dans son milieu naturel, sans dégradation intempestive de ses zones de vies, et autres écosystèmes.
Ces interrogations rejoignent celles des ‘’Esprits Libres’’ quand elles analysent la position d'un pur rationalisme pragmatique, aux termes de laquelle l'utilisation de ces représentations apparaît comme un détour inutile, où l’application des bases d’avant, est considérée majoritairement sans valeur cognitive intrinsèque, mais juste à être reproduite. La thèse pragmatique se suffit-elle à elle-même…?
Pourquoi ne pas simplement recommander l’évanescence psychologique et physiologique contre l’ordre matérialiste individualiste despotique et les corporatismes impérieux servis par de vils comtes et barons mafieux… ?
La réponse est : ‘’Qu'une simple convention sociale serait trop transparente’’. Il est besoin d'un principe naturalisateur qui lui donne le sceau de la légitimité. L’homme dans sa majorité condescendante est trop souvent un animal moutonnier à comportements répétitifs, soumis aux peurs, à l’incertitude et la servitude envers les guides à néfastes philosophie-ontologique.
Il y a deux sortes de pouvoirs ;
- 1 : Le pouvoir matériel et physique (conflits armés)
- 2 : Le pouvoir psychologique (conflits des idéaux)
Lorsque le deuxième a atteint la limite de son ‘’propre’’ pouvoir lié à la dialectique, la sémantique et la rhétorique, alors le clan, la tribu, la communauté, la secte ou tout autre système à réseau échangiste et par là-même connecté à l’information de cet espace de dialogue multidisciplinaire en échanges multiculturels, intercommunautaires, intergénérationnels et multi-identitaires, créé, sera affecté par la seule loi régissant le but d’imposition à la différence ou non-conformité du clan d’en face, une forme de soumission ou de ‘’terrorisme’’ intellectuel, permettant de créer une dimension fractale, débouchant dans la plupart des cas, lorsque que les règles du matérialisme et l’opposition géophysique sont réunies, sur guerres et violences physiques entre les belligérants des deux camps, déterminés comme opposition intellectuelle ou territoriale, entre ces deux clans, ou communautés. Et avoir les moyens et outils suffisants et nécessaires à engager le conflit au rapport des idéaux de la tribu par son chef élu, que ses prosélytismes soient bons ou néfastes envers ses congénères, et autres, hors de son clan ou sa ‘’fratrie’’ au nom de sa survie ou la postérité de ses lois, règles et dogmes.
Par là-même le zèle du chef de la dynastie et le dévot ne permet plus l’évolution de quelque clan ou communauté, quel qu’il ou elle soit, car ils proclament qu'ils ne déguiseraient jamais leurs sentiments pour quoi que ce fût : que c'était leur créance ; et que lui et tous les siens la défendraient jusqu'à la mort, comme étant la pure doctrine du maître de leurs ‘’cieux’’ ou de leur ‘’enfer’’.
Et tout cela car la dialectique entre les échangistes présents dans les différentes communautés et cités n’est plus en mesure de s’accorder à la sémiotique des échanges sincères entre les différents protagonistes de la grande scène des rapports ‘’humains’’… La poésie, la musique, la danse, le romantisme, la culture, l’humour ne sont plus les extraordinaires accords autorisant la merveilleuse parodie, respectueuse des harmonies personnelles et des jeux duaux… Soumis à opprobres perfides.
Enfin, le logis n’est-il pas chose utile au même titre que la nourriture nécessaire à l’action et au mouvement ?
Quant à la présence de l’eau, n’est-ce pas là aussi évidence essentielle à l’existence du vivant ?
Alors, à moins d’être en capacité de construire un gîte, de pouvoir cueillir, faire pousser, de réussir à chasser ou élever animaux et enfin connaitre les processus utiles à générer cultures vivrières, je ne saurai voir autres facultés utiles à pratiques nourricières et structures protectrices des corps vivants, que celles de l’échange et la transmission des savoirs, dans la société des hommes, des femmes et des enfants…
Je ne peux me constituer qu’en ces quelques maximes afin que je puisse m’exposer en la raison d’obéir à ces lois de la nature… ; que toutes contestations envers elles ne résulteraient que du produit d’un refus administré par des régences sans provisions quant à la ritualité d’une éthique de conservation et de protection pour tous.
Si toutes autres coutumes en mon pays, retiennent constamment les instructions données par des opinions modérées, telles qu’elles ne fussent en pratiques d’us séculaires que celles de mots affiliés à d’incommensurables reliques abasourdies par des prises de garde sans attentions envers les différences de modes partagés, alors je crains que la médisante sécularisation n’y vienne défigurer quelques vivacités suffisamment éloignées des excès d’opportunistes pour que je n’y puisse point trouver inclination sensée près d’une appartenance avec laquelle j’aurais à vivre en contrées françaises, ainsi qu’en l’éventualité d’y partager quelques effervescences textuelles, d’ici ou d’ailleurs, auquel d’aucun cas qui ne puisse m’engager à ne pas croire aux bienfaits des expositions, pour que j’hume volonté de justesse à l’affection inspiratrice, afin de les modeler avec bienséance, par-delà les ombres fermées aux sensibilités des échanges de groupes, ouverts à pluridisciplinarité et intéressement envers ces choses de la nature et du vivant…
Vouloir à tout prix n’est pas savoir à n’importe quel prix. & réciproquement.
N’avouerez-vous, jamais, qu’il ne saurait exister écosystèmes équilibrés sans reconnaissance de ce qui sépara la lumière des fiers(es) rebelles de la servitude des mornes aptitudes… ???
Quelle figurine virtuelle allez-vous, encore, fournir aux goûts incertains, exhalaisons sans saveurs… ???
Il faut pouvoir distinguer l’éthique de conviction et l’éthique de responsabilité. Vouloir associer valeur morale au seul existentialisme politicien est une gageure affichée à un déterminisme, d’une technocrature liberticide bornée.
Le travail politique demande vision à long terme, ou tout du moins à moyenne portance, tout en disposant d’un pragmatisme de mesure et d’échelle, tant de près que de loin. Mais cela, Mrs les élites d’affaires politiques et gouvernances de divers ordres, ne parait pas, en votre ordinaire d’intellectualisation, d’évidentes dispositions ; source d’une véritable démocratie. Votre instruction, en ‘’grandes écoles’’ fut-elle celle d’un déterminisme de rigueur fixé à un impérialisme axé sur viles figurines en capitalisation financière dépassées par l’horizon des évènements nationaux, internationaux et continentaux… ?
A vouloir faire, à n’importe quel prix, une culture dogmatique aliénée à votre inique style de vie, sans s’attacher à autre système de valeurs veillant sur les particularismes démocratiques mène invariablement à une défaite républicaine. En l’occurrence, tous vos actes, depuis plus de quarante ans, ne sont que versatiles occasions servant les obscures valeurs de votre clan de bornés(es) qui détruisant méthodiquement le fragile équilibre que fut celui des valeurs d'un peuple attentif à une véritable démocratie républicaine qui détournées de cet équilibre serait sans force et sans vraisemblance pour y percevoir quelque institutions désireuses d’une réelle Nation frappée au sceau de la liberté, de l’égalité, de la fraternité et de la justice sociale… Dans le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfance.
Date de dernière mise à jour : 01/02/2021
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