Paralogisme social-économique
LE PARALOGISME ENTRE SYSTEME ECONOMIQUE ET SOCIAL EST-IL INSOLUBLE, OU EST-CE UNE ASSOCIATION DE MALFAITEURS… ???
LE PARALOGISME ENTRE SYSTEME ECONOMIQUE ET SOCIAL EST-IL INSOLUBLE, OU EST-CE UNE ASSOCIATION DE MALFAITEURS… ???
N’est-ce pas Mesdames et Messieurs les gestionnaires de rentabilité, dirigeants des ressources humaines, administrations et politiques de tous bords possédant savoirs et capacités d’analyses des systèmes socio-économiques, zones d’activités, entreprises industrielles, sociétés commerciales, d’échanges de biens et services privés et publiques, tout cela, bien évidemment accompagné de la compréhension ontologique suffisante et la juste philosophie envers vos ’’semblables‘’…???
Mammipho-humanoïdes…
Et surtout disposez des compétences nécessaires à définir les règles et lois de la division sociale afin d’y maintenir le règne des possédants addictifs, dont sa constituante principale est en la seule pensée d’exister uniquement par l’avoir et non par l’être. Ce qui est un total paradoxe communautaire, et social sauf pour les inconscients et inconscientes, déterminés(es) à appliquer ce concept des avoirs par refus d’attention, d’étude sociologique, analyses épistémologiques, et philosophiques dénuées de la juste compassion envers des formes de vies toutes aussi honorables et dignes, désirant juste le nécessaire à y accéder par leur ‘’travail’’ empreint de la déontologie des savoirs faire, accompagnée par l’éthique des savoirs être… Dont vous êtes assurément très éloignés des zones d’exercices réelles de ces ’’formes’’ de vie conscientes, et par voies de conséquence assez ignorant quant à leurs codes de fonctionnement, circonvolutions, covalences, convergences, intérêts et autres concessions entre les différents protagonistes de ces zones sociales économiques à ’’réseaux’’ humains, dont leur but de rentabilité reste quand même empreint d’une certaine réelle et juste valorisation manuelle et intellectuelle, en permettant la visualisation et la reconnaissance d’une possible juste équité. Alors que votre enjeu principal, dont vous pouvez aisément en percevoir les ’’magnificences’’, puisqu’il est omniprésent dans vos zones d’échanges de biens et de services dont ils en sont les ’’piliers’’, à savoir, définir le prix des prestations de vente au maximum de leur valeur financière absolue, tout en y appliquant la valeur ajoutée au minimum de son prix de revient (sauf pour les produits de ‘’luxe’’, réservés à pouvoir financier suffisant) avec pour la partie main d’œuvre productive déconsidérée, le minimum admissible (devenant aujourd’hui souvent maximum de son inadmissibilité), pour chaque zone géographique dans laquelle elle est exercée au minimum des quotas économiques et sociaux, bien évidemment facilités par le développement des transports permettant, si les coûts de production ne sont pas assez bas ’’ici’’, d’aller trouver ’’ailleurs’’ de plus petites mains moins chères, vous autorisant, bien évidemment, sans aucun état d’âme quant à l’exploitation ’’anarchique’’ des hommes par l’Homme, voire des enfants, d’en laisser la marge financière maximale à l’acte de vente du produit, invectivée par son potentiel à être objet ‘’essentiel’’, ‘’nécessaire’’ ou ‘’superflu’’ avec comme particularités à ces trois sujets d’incertaines obsolescences, en celles que le premier n’ai aucun besoin à être appuyé par l’offre, le troisième obligatoirement invectivé par l’offre, alors que le deuxième se doit d’être tantôt soutenu par la ’’demande’’ et tantôt assujetti à ‘’l’offre’’, pour la simple raison que le nécessaire n’a pas même signification suivant la projection que se font les pensées et imagination chez ’’l’être humain’’, de l’essentiel quand il le possède et du superflu lorsqu’il le désir, où dans ce système le référentiel en est assurément la ‘’Monnaie’’.
Heureusement pour vous, que majorité a toujours du mal à fixer le degré de ‘’l’utile’’, surtout lorsqu’il est ’’martelé’’ par les outils du marketing logo-médiatisant.
Et autres réseaux publicitaires à sémiologie ‘’médicamenteuse’’, dont leurs particularités en sont le ‘’formatage’’ des pensées et la ‘’logo-atomisation’’ de l’imaginaire… Je pense pourtant que vous devriez savoir que la gestion de ressources humaines demande par définition, quelques notions de philosophie, d’histoire, de psychologie, sociologie, ontologie, voire anthropologie adaptées à traiter convenablement ’’l’objet’’ et le ‘’sujet’’ attachés à l’exercice de compréhension, par la logique ‘’humainement’’ acceptable et respectueuse de tous labeurs, besognes et travaux, ainsi que de toutes vies, où les langages phoniques, expressions formelles, impressions logarithmiques, mathématiques, informatiques et alphanumériques, n’en sont qu’une partie de la possible et potentielle compréhension, et se doivent obligatoirement d’être accompagnés par quelques langages poétiques et romantiques, institués par quelques attentions humainement acceptables… Car dans le cas contraire, cette appréhension attachée à la dualité ‘’corps-esprit’’, ne saurait en aucune façon être approchée, et encore moins unifiée ; en tant que complémentarité essentielle à bienséance.
On ne vous a pas appris cela à l’école de la vie ?
Mais bon, le ‘’sujet’’ humain que je suis, ne vous en veux pas. Vous êtes seulement devenus des recruteurs et administrateurs à la solde de quelques chefs et autres dirigeants doués de mauvaises natures, ou dépassés par les évènements du moment, où le plus important de vos désirs et les leurs, sont votre identité anthropocentrique et vos ’’petits pouvoirs’’ exercés par trop d’indécisions et mauvaises perceptions, qui par la mienne me permet de vous visualiser tels des ’’fantômes’’ de la gestion des ressources humaines, administrations économiques et sociétales, qui devraient par ailleurs commencer, très tôt, par l’apprentissage, l’éducation et la retransmission des savoirs et connaissances additionnées à l’histoire de chaque ’’évolution générationnelle’’, avec dans une de ses définitions quelques oublis inconscients de votre part pour ses parfois mauvais cycles et effets, qu’autres grands dirigeants, hommes politiques et modulateurs médiatiques, n’ont bien évidemment pas oublié et surtout n’ont pas omis d’y exercer quelques actions sur ces trois leviers que sont donc, ’’l’essentiel’’, le ‘’nécessaire’’ et le ‘’superflu’’, pour des désirs personnels que vous entreverrez peut-être en lisant mes ‘’mots dits écrits’’, et informations objectives et logiques éditées également sur autres supports… Ailleurs… Accompagnées par quelques extraordinaires consciences… Où les déterminantes justifiables, l’équité, la fraternité et l’humanisme possèdent encore leurs réelles et belles définitions universelles.
Hou la là, la conscience humaine !
Qu’elle est perfide parfois et trop souvent proche de l’inconscience … Et je n’édicte rien quant aux inconscients(es) qui ne souhaitent ou ne veulent plus se faire ‘’soigner’’.
Sujet trop vaste… Atteint par trop de prosélytismes de mauvaises croyances infondées. Car encore cloisonné par trop d’incompréhensions philosophiques ou teinté de trop de volontarismes liés à la soumission néo-liberticide, envers le sujet ‘’humain’’ et autres organismes vivants… Dépeints dans l’inconscience ontologique… Bordel, ’’Gente’’ de bonne conscience, réveillez-vous ! Et faites travailler votre imagination et vos méninges, par la vraie logique de vos sens! Car, sur ce thème particulier des ’’savoirs faire‘’ et ’’savoirs être‘’, en tant que déterminants de la redevenue nouvelle asociale économie en générale, travail rémunéré à la juste valeur de son exercice particulier et conceptualisation de milieux sociétaux vivables, je ne comprends plus grand chose, tant dans les comportements que dans les bases indispensables, utiles et nécessaires, tel un triptyque attribuable au genre humain, dont les trois ‘’piliers’’ essentiels en seraient « l’affectif, le travail et l’outil » nécessaire aux échanges, à savoir : ‘’La monnaie’’ ; en tant que référentiel utile à la visualisation fiduciaire des énergies humaines, matières premières, biens et objets transformés… Mais par contre, je m’aperçois pour le premier, qu’il est relégué en troisième position après l’argent et derrière le travail, tandis que pour ce dernier, le temps pour accéder à la retraite augmente, l’âge du ‘’sujet’’, lui permettant de commencer à être considéré comme compétent afin de pouvoir entrer dans le secteur du travail rémunéré se décale, la période où nous sommes considérés comme performant diminue. Il me semble malheureusement entrevoir une mauvaise rythmique dans tout cela, pour disposer de quelques menues monnaies…
Les ’’jeunes’’ commencent à recevoir un salaire soumis à cotisations ’’pleines’’ en moyenne vers 23 ans, et à partir de 54 ans, voir avant (c‘était mon âge en 2013), nous sommes soit disant insuffisamment compétitifs pour continuer cette activité professionnelle, qui nous a permis d’exister dans ce ’’système’’ en tant que lien social-économique. Si je compte bien, cela fait environ trente et une années de cotisations, alors qu’il nous faut dans notre pays, plus de 41 annuités en permettant les versements ’’normaux’’ proportionnels à une ’’réelle activité’’ rémunérée exercée au juste montant ’’absolu’’ en tant que déterminant des prélèvements nécessaires à l’obtention d’une retraite par répartition à taux ‘’plein‘’ en adéquation avec des normes de vie acceptables pour ceux et celles en activité, au même titre que les retraités(es) bénéficiant uniquement de cette ‘’rente‘’, me semble-t-il ?
A moins d’avoir réussi à cotiser à quelques fonds de pensions où caisses de retraite complémentaires… ? Encore une fois, me serais-je trompé, ai-je été trompé, maintenant, ou en d’autres temps et par de mauvaises intelligences dont la justice sociale n’est pas le cœur de leurs problèmes ?
Mais, comme souvent en des cas problématiques, je m’aperçois que les réelles définitions de la liberté, de l’égalité et de la fraternité ont été dans notre pays, comme en beaucoup trop d’autres, quelques peu oubliées, ou bafouées tels des arbrisseaux desséchés, présents aux bords des chemins, dont leurs graines réensemencées de façon inadéquate, n’ont assurément pas reçu les attentions nécessaires à leurs belles pousses, et aujourd’hui remplacées par de mauvais germes, dont l’expansion de leurs aires de développement me semble être générée par l’expropriation voire l’élimination des petites cultures et ’’autres insignifiances’’… Et remplacer par des produits de mauvaises influences, fausses factures et néfastes consommations…
Physiques et Intellectuelles… ???
Après ‘’Big Brother’’, ‘’Little Uber’’ sera-t-il le ‘’grand frère’’ du XXIème siècle ?...
Je pense que le développement de toutes ces ’’grandes’’ applications risque malheureusement d’être en celui d’y avoir quelques problèmes supplémentaires d’ici quelques années, pour une grosse partie des générations suivantes à la mienne, en dehors de ceux existants à l’heure actuelle consistant majoritairement dans nos pays modernes à essayer de vendre de ‘’l’intelligence grise’’ pas toujours adaptée à nos systèmes de vies, en perpétuelles mutations, où la vraie réalité sociale économique est pourtant bien en celle de certaines de ses belles entités, proches de l’appareil créateur et générateur de produits manufacturés marchands, mais trop souvent destituées de leurs fonctions logiques par quelques mauvais génies de la finance et autres sorciers de l’économie peu scrupuleux, et sûrs de savoir comment gagner de l’argent par d’autres principes virtuels dénués d‘une quelconque petite éthique, leurs permettant de conserver le contrôle des flux financiers à fin d’augmenter leurs réserves monétaires, ainsi que la croissance de leurs biens matériels, sans considération pour les quelques ’’entités’’ atteintes d’autres souhaits sociologiquement plus engageants ; ainsi que pour le fondement de l’appareil des savoirs techniques exécutables par les savoirs faire manuels et intellectuels, en tant que valeurs ajoutées, apportées par tous ces ’’savoirs’’ pourtant indissociables les uns des autres, se trouvant dans la création, la conceptualisation, la réalisation, la fabrication, la distribution et l’acquisition de ‘’l’objet’’ utile, nécessaire, essentiel, souhaité, désiré… ; jetable, etcétéra, ‘’rejeté’’,…
Néo mieux, néo vieux, néo jeunes, nouvelle économie, nouvelle évolution, que sais-je encore…
Plus, mieux, bien ? Pour quoi, pour qui ?...
Nouveaux sujets… ???
Pour croire que nous avons pouvoir d’assertion équitable ?…
Ou d’asservissement … ?
Par la servitude démystifiée ?
Pour les principes, us et coutumes retransmis par ceux et celles d’avant ?
Ou au nom de quelques croyances infondées ?
Ou plutôt à imaginer d’autres systèmes de ’’vies’’ plus respectueux de ‘’l’être vivant’’ ?
Et du monde naturel… ???
Où ce dernier est assurément notre référant existentiel !
Ma génération et celles d’avant ont quand même majoritairement, sacrément foutu la pagaille, vectorisée par l’inconscience d’être pratiquement sûr de n’avoir engendré ni désordre, ni individualisme, qui pourtant, même sans y prêter une attention exacerbée proche du ’’mal de tête’’, sont assez facilement décelables en certains milieux socio-économiques, où la ‘’machine’’ est devenue suffisamment complexe pour ne réussir à en définir uniquement les réponses humainement inacceptables, éloignées des ’’vraies’’ réalités dont leurs ‘’états intelligents’’ sont pourtant statistiquement dotés de solutions convenables, si elles étaient réellement visualisées et comprises, surtout par celles et ceux existants par ‘’ailleurs’’, ne voulant opter pour aucune autre ‘’logique’’, anticonformiste au rapport de leur présent matérialiste et pourtant, par juste rétribution, indispensable à la belle évolution générale…
Ont-ils, ont elles peur que ces changements non propices à leurs croyances et certitudes fortement cloisonnées, défiscalisées ou endettées, aient quelques incidences sur leurs bonnes conditions de ‘’vie’’, où pour certaines, le nécessaire a largement dépassé l’essentiel à l’existence d’une ‘’seule‘’, qui par leurs omissions, peut-être volontaires, ont oublié que l’analyse objective et la conceptualisation associative d’autres possibles ‘’états’’ fonctionnels affétés à la belle évolution ‘’humanisante’’ en permettraient le juste éclaircissement de certaines alternatives sociétales plus adaptées aux ‘’espaces temps’’ du moment, où le privilège serait le véritable ‘’bien-être’’ légitime avant le ‘’tout avoir’’ absolu… ???
Mais malheureusement, cela est trop utopique pour l’instant, l’humanité en tant qu’entité, n’est pas encore prête, même si certains ’’mammipho-humanoïdes’’ le sont… Où le vecteur commun à toutes ces conceptualisations est bien évidemment en l’attrait de la ‘’nouveauté’’, indexée par de belles évolutions ’’technologiques’’, mais maintenant bien souvent établies au détriment des modifications ethnologiques et sociétales ; aujourd’hui humainement inacceptables en certains lieux, car empreintes de trop de ce corporatisme qui lorsque sa définition est appréciée comme insuffisamment communautaire se rapprochera inéluctablement des frontières du sectarisme, où l’effet de ce ’’mauvais élément’’ ne saurait entrainer autres opérations que celle de la division avec toutes les conséquences applicables à ce pandémique phénomène .
Par lequel trop ’’d’entités’’ de ce monde se donnent autorisation à se foutre de tout ce, celles et ceux qui se trouvent hors de leurs zones de confort ou champ de possibilités à justes, honorables et dignes accessions par différents ’’d’eux’’, sauf pour les objets et sujets fonctions d’acceptables covalences envers et entre les ‘’possédants‘’, ou autres, ’’très proches’’, dont les ‘’amis(es) ne sont considérés comme tel, que si, ‘’ils’’ ou ‘’elles’’ (les humains), ont possibilité à être touchés(es), accaparés(es) ou, pour ceux et celles non conformes à la norme sociale-économique, évincés(es)… ; en oubliant qu’autres ressemblants ont également le potentiel à être touchant, où ce sentiment est trop souvent oublié hors de notre champ émotionnel, sauf en quelques visions d’autres corps meurtris, dévalorisés, dénaturés, gravement détruits ’’psychologiquement’’, ou encore trop endommagés physiquement, ainsi que trop de laissés(es) pour compte dans des ‘’no man land’’ ou zones de non-vie, au nom d’intérêts esclavagistes procédant à trop de cruautés envers les femmes et les enfants de tous pays…
Pourquoi faut-il en arriver à de telles visions extrêmes pour percevoir l’obscur manichéisme déstructurant de ce monde de folies et d’inconscience ?
L’être humain serait-il devenu aveugle et sourd ?
Utilise-t-il ses facultés et propriétés au nom de la convoitise, de l’accaparement, du narcissisme et de la cupidité ? ...
Ou alors est-il maintenu dans le filoutage et les peurs suffisantes et utiles à engendrer l’asthénie intellectuelle et physique … ???
L’autre monde existant, étant bien évidemment celui des ’’exclus (es)’’ du système sociétal établi… Où ils, elles, eux (et autres espèces vivantes), n’ont apparemment plus aucune utilité, propriété ou faculté, qu’elles soient ’’touchables’’ ou ‘’touchantes‘’, sauf celle d’être considéré et affilié à des incapables, bons à rien, donc inutiles, obsolètes, incompatibles et forcément atteints d’instabilités et de déraisons… Et donc susceptibles d’être ‘’stabilisé’’ par une ordonnance de vie proche d’une certaine forme légère d’eugénisme dans le paradigme virtuel et psychologiquement lobotomisant…
Conclusion, par définition de ‘’ce’’ qui est établi proche de l’indifférence, du refus ou du déni, ne peut devenir à terme, ‘’qu’exclusion’’ du système établi par règles et lois, sans en avoir l‘absolue certitude, que toutes soient adaptées pour l’ensemble des acteurs et actrices vivant dans la zone ‘’gérée’’, depuis un temps supérieur à celui d’une génération, où une partie de la suivante ne souhaite, trop souvent, que le conformisme modifié par la puissance des nouvelles technologies, alors que la précédente par peur de pertes d’acquis refuse tout changement socio-économico-culturel, où les réelles sensibilités sont oubliées, par préférence corporatiste ou, et cultuelle… Certains esprits sont parfois un peu ‘’inconscients’’ dans la conceptualisation de fonctionnements politico-socio-culturels illogiques, uniquement hors de leurs concepts et portées imaginées trop souvent inflexiblement corporatistes ou électoralistes, et parfois tordues déontologiquement par des programmes logiquement indispensables aux développements de leurs intérêts lobbyistes, à tendance particulièrement unilatérale, invectivée par quelques sources dysfonctionnelles nécessaires à l’acquisition du tout avoir, tel une prosternation devant le dieu de la possession plutôt qu’un alléluia envers la déesse de la sagesse, où la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice n’ont plus que l’apparence de statures disloquées.
Hou la là, que de sujets indélicats et épineux car insensiblement dépourvu de ce que je nomme: l’intelligence de cœur.
Et malheureusement, j’ai bien l’impression dans ce système sociétal, que le fonctionnement primaire est bien en celui des baiseurs et des baisés, où les premiers se doivent de dépenser une énergie phénoménale s’ils ne souhaitent pas faire partie de la deuxième catégorie, et où dans toute cette agitation, ceux qui ont le vrai pouvoir ‘’enculent’’ tous les autres… Mêmes celles et ceux croyant en avoir un petit… De pouvoir…Tout cela en évinçant les potentielles meilleures formes de la liberté d’expression, ou la plus névrosée est celle de faire un déni d’analyses et d’études envers de potentielles meilleures compréhensions. Où en ces temps troublés, je réussis souvent à percevoir cette capacité assez particulière, affichée par certaines ‘’entités humanoïdes’’ leur laissant supposer qu’elles détiennent la ‘’vérité’’ par leurs croyances en certains évènements survenus bien avant leur présence sur cette belle planète verte et bleue nommée ‘’TERRE’’. Au nom de je ne sais quelle propriété physique ou immatérielle dont ils en seraient les détenteurs, les autorisant à prétendre savoir interpréter les mots, signes et codes venus d’autres époques où les conditions générales d’existence de majorité de ces petits grains de matière organique inconscients n’étaient qu’effrois, anxiétés, dénuements et incompréhensions quant aux fonctionnements physiques de la Matière, des Energies de la Nature et du Vivant, où les moins septiques réussissaient à émettre quelques théories qui s’avèreront ‘’vraies’’, alors que les ‘’autres’’ trouveront de par leurs incapacités d’analyse et défaut de compréhension a seulement y accoler les mots miracles ou magies.
Et depuis des siècles d’évolutions scientifiques et technologiques, l’espèce humaine n’a réussi que petitement à indexer certains dogmes, vers d’autres possibles vérités plus proches du ‘’vrai’’ sens ontologique de la représentation de l’être physique… Qui est pourtant juste celui d’essayer de comprendre ses espaces ‘’touchables’’ et ‘’touchants’’, où cette deuxième ‘’dimension’’ ne peut commencer à être perceptible que grâce à ‘’l’Intelligence de Cœur’’… Ici ! Là ! Maintenant !
Au nom de nos petits et petites devenirs…
Et pour comprendre cela, il n’y a aucun besoin d’invoquer certains ‘’paradigmes’’, que nous n’avons de toutes façons, en l’état de nos connaissances, savoirs, et ‘’compositions’’ biophysiques aucun pouvoir à approcher ! Alors que pourtant ; depuis longtemps les plus beaux espaces temps se trouvent assurément en certains merveilleux jardins existants, encore en quelques petits recoins, de cette belle ‘’sphère’’ bleue teintée aux couleurs de l’arc en ciel, devenant malheureusement de plus en plus rares, où le principal vecteur à ce phénomène de déstructuration, engendré par l’inconscience et l’égocentrisme, en est sans aucun doute, encore aujourd’hui le ‘’facteur humain’’, trop souvent volontairement hermétique à penser que certains de ses objectifs et intérêts corporatistes ne sont que sources de chaos lorsque les zones de ‘’libertés’’ apprêtées aux meilleurs savoirs être et savoirs faire se réduisent comme peau de chagrin, où encore en trop d’états ces ‘’fous’’ de croyances spéculatives envers d’irréels modèles, ont dévié le véritable sens sémiologique des écritures par leurs incultures épistémologiques, philosophiques, éthiques, biophysiques, anthropologiques, paléontologiques, spirituelles, philologiques, au détriment de laisser liberté à croire en d’autres pensées et cultures beaucoup plus logiques et réelles, et assurément plus proches du respect de la Nature, du Vivant et des belles théories…
Plusieurs années avant nous ‘’l’Homme’’ ne comprenait rien aux éclipses, ni aux autres phénomènes physiques saisonniers, circonvolutions astrophysiques et autres transformations, covalences ou évolutions inexplicables à l’époque, qu’elles soient assignées à notre Terre, notre Système Solaire, ou plus ‘’loin’’ dans l’Univers… Ils, elles croyaient que les dieux et les déesses étaient les auteurs(es) responsables de ces fonctionnements. Et depuis la révolution industrielle liée aux avancées scientifiques et technologiques devancées par quelques génies et théoriciens des sciences physiques et chimiques des temps immémoriaux des lumières ; puis grâce aux découvertes de quelques ‘’Chercheurs-Trouveurs-Assembleurs’’ ; dont leurs prédécesseurs avaient déjà commencé à évoquer quelques théories, ils, elles, nous ont permis d’apprendre et de comprendre pour parties, en l’état de nos savoirs, certains aspects et paramètres de la physique, de l’astrophysique, de la mécanique quantique, la biophysique, la chimie et de par la gnose, la phénoménologie ; l’étude des assemblages permettant cette composition minérale, végétale et organique terrestre incluse dans l’univers cosmologique, où dans cet espace-temps intrinsèquement métaphysique, l’homme se prend trop souvent pour un ‘’dieu’’, alors que son apparence ressemble encore à celle d’un ‘’âne’’ dopé à la culture sectorielle antisociale, anti-communautaire et antihumaniste source de fractures, à contrario de celle multidisciplinaire en rapport avec les magnificences du monde, de la nature, de l’univers connu, et les ‘’espaces’’ ayant potentiel à être reconnus dans leurs dimensions ‘’touchantes’’… Proches des langages poétiques, du romantisme et de l’imaginaire…
Pour cette simple raison qu’en l’analyse, et l’étude sémiologique autorisant la compréhension des ‘’liens’’ entre la physique, la philologie, la philosophie, la logique et les ‘’langages’’ mathématiques et peut-être autres plus songeurs, nous en sommes toujours à ‘’l’âge de pierre’’ concernant la nature ontologique de l’être humain. Et tout cela car souvent les mauvaises consciences prédatrices, narcissiques et cupides sont devenues sourdes et aveugles aux vrais sens de l’existence du vivant. Sont-elles persuadées d’être proche d’un dieu décideur et organisateur, alors que bien souvent ‘’ils’’, ‘’elles’’ ont revêtis les habits des croyances fantomatiques indéfinissables, voire imbéciles, déraisonnables et sont irrémédiablement étanches au savoir universel… ? Avec pour les plus mauvais esprits, le prix d’excellence dans l’exercice de la désorganisation, où dans ces états l’activité de prédilection en est généralement l’art de la guerre, qu’elle soit idéologique, territoriale, éducative, économique, sociale, intergénérationnelle, religieuse et bientôt civilisationnelle, avec pour seule indigence intellectuelle celle de maintenir un équilibre suffisant et nécessaire, afin que le genre anthropocentrique puisse éloigner d’eux les conflits ethniques, sociétaux ou culturels, afin que les libertés d’expression consistant en l’art de penser autrement, ne puissent entraver leurs ‘’dogmatismes’’ frappés au mur de l’incertitude, ou malheureusement, les hommes et femmes sincères envers leurs sensibilités partagées et surtout les enfants en subissent les pires outrages pour des intérêts individualistes et didactiques trop souvent voués à l’ordre du ‘’Malin’’.
Tout cela en étant inconscient que dans cette illogisme, tous et toutes pourront, à terme, avoir la certitude que le ‘’monde’’ ne sera plus seulement proche de la mauvaise évolution, mais assurément devenu à ce moment-là, synonyme de chaos, destructions, obscurantisme et asthénies enclavées dans la caverne de Platon… Certaines ‘’entités’’, ont elles également éclipsé cette adage universel édictant… ? :
- ‘’Tout élément soustrait ou diviser tend invariablement vers le moins… Et aucune vie n’a possibilité à être vue, entendue et touchée par moins d’une, tout simplement car moins (-) d’une vie n’a aucune définition réelle en ou hors de son lieu d’existence biophysique et matériel’’…
Mais bon, nous entrons là dans le domaine du réalisme philosophique, où lorsque cet ‘’art’' de l’analyse aura disparu, alors l’incompréhension sera totale, avec pour état final la désintégration de la nature et du vivant.
Et en toutes les façons, en premier lieu par invective déshumanisée, car cette belle ‘’TERRE’’ pourra, même sans ‘’nous’’, encore tourner rond pour environ 4,5 milliard d’années…
Ce qui n’est pas le cas de toutes et tous…
Citation
L’ouvrage ‘’Universalis’’ n’a pas pour objet de prétendre apporter une analyse et étude complète sur tous ces sujets, objets, concepts, théories si complexes que nous pouvons approcher tout au long de la vie, et assurément proches de ces neuf arts libéraux nommés communément :
La Grammaire
L’Astronomie
La Logique
La Géométrie
La Physique
L’Arithmétique
La Rhétorique
La Musique
La Philosophie
[…]
Mais réussir à trouver les clés permettant d’éveiller quelques curiosités et intéressements envers le savoir ‘’universel’’, qui par le lien de ce dixième art un peu singulier en la ‘’poésie’’ et le ‘’romantisme’’ autoriserait peut-être le juste bénéfique apport envers certains merveilleux entendements, agrémentés par les extraordinaires imaginaires ; sensibilisés aux belles pensées cognitives, déjà émises par ceux et celles d’avant, depuis les origines de la conscience… Au nom des meilleures compositions, pour tous ces ‘’petites et petits devenirs’’ arrivant sur cette belle sphère bleue… ; verte et teintée aux autres couleurs de l’arc en ciel…
LES PLUS PETITS D’ENTRE LES NOTRES
Ceux qui n’auront connu de la vie qu’une nuit rouge et la mort,
la mort à la place du jour inexplicablement absent,
ceux qui n’auront connu d’autre poids sur leur corps
que celui d’une terre qui n’auront jamais vue
chaleureuse sous le frisson de ses nuages d’herbes,
ceux qui ne connaitront jamais la douceur d’une main,
la force d’une épaule,
le sourire ébloui sur le pas de la porte,
et sur leurs lèvres,
l’eau, le vent et le feu d’autres lèvres,
ceux qui ne verront jamais l’aurore dessiner l’horizon,
le soleil à midi comme un poing abattu sur les tables de l’été,
et l’ombre se glisser à travers les fougères,
ceux qui ne chanteront pas en chœur en se chauffant le cœur,
à la flamme d’une guitare,
ceux qui n’auront jamais faim et ne connaitront pas le sel,
aiguisé de la soif,
ceux qui ne goûteront pas l’eau de mer de leurs larmes,
ceux qui n’auront jamais rempli leurs poches du trésor de leurs rêves,
ceux à qui on a volé le plaisir de voir clair et de penser,
ceux à qui on a pris leur paysage et le temps de leur vie,
l’espace de la liberté et le loisir de la bonté,
ceux qu’on a exilé de la joie et du malheur,
de médite et d’angoisses,
de la louange et de l’insulte,
de la paix et du remord,
ceux à qui les miroirs ne répondront jamais,
ceux dont les yeux n’auront pas le temps de prendre la couleur
que déjà ils portaient, prête à naitre, en secret,
ceux qui n’auront jamais de nom,
ceux dont la mémoire flottera vide dans l’éternité,
ceux qui auraient ajouté une ligne au savoir des hommes,
un pétale à sa tendresse,
une image à son espoir,
une loi à sa justice,
une espérance à sa douleur,
ceux qui auraient donné leur sang, leur sueur et leurs songes,
celui qui aurait sauvé une maison, qui sans lui, s’effondrera,
celle qui aurait pris une main, qui sans elle, demeurera déserte,
celui qui aurait débroussaillé un chemin qui, sans lui, s’effacera,
celle qui aurait transmis mot à mot le réel,
celui qui aurait parlé à un mourant qui, sans lui, mourra seul,
celles qui se seraient tenues debout, au pied de toutes les croix,
qui resteront plantées comme des arbres morts,
celui qui aurait inventé un astre, une chanson,
ceux qui n’auront entendu battre leur cœur,
que jusqu’à l’heure où s’est tû comme un pas qui s’éloigne
un cœur indifférent au silence que la mort inscrit d’une main,
précise et machinale,
ceux qui seraient devenus des saints,
ceux qui seraient devenus des misérables,
enfants saignés au nid,
enfants de buée qu’un geste a effacés de la vitre du temps,
enfants en herbe coupés au ras de l’espérance,
peuple détruit au bord de son histoire,
enfants réels, enfants sans traces,
vous qui étiez des hommes vivants,
soleils éteints, fruits abolis,
vous aviez droit au jour des hommes,
à la chaleur d’une main tendue.
Vous dont le regard est à jamais perdu…
Les innocents assassinés.
Charles Rambaud
La vie nous donne des tests, nous apprenons ses leçons.
Être attentif à tout, c’est être à l’écoute de l’école de la vie….
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