LA SUFFISANCE DE PRECIEUX
- Maudit censeur ! Te tairas-tu ? Ne saurais-je achever mon conte ?
C’est un dessein très dangereux que d’entreprendre de te plaire. ‘’
Les délicats sont malheureux : Rien de saurait les satisfaire.
Jean de La Fontaine
Le principal fléau de l’humanité n’est pas l’ignorance,
Mais le refus de savoir.
Simone de Beauvoir
On connait la célèbre définition qu’a donnée Kant de la dignité : « Dans le règne des fins tout a un PRIX ou une DIGNITE. Ce qui a un prix peut être aussi bien remplacé par quelque chose d’autre à titre équivalent ; au contraire ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n’admet pas d’équivalent, c’est ce qui a une dignité. La dignité, étant ‘’supérieure à tout prix’’, échappe par définition au calcul économique. A ce premier inconvénient, elle en ajoute un second : en tant qu’impératif catégorique, elle constitue un devoir, et pas seulement un droit individuel »
Le temps ne s’impose pas en ennemi intérieur, mais il est une composition particulière par l’énergie extérieure des choses de la vie… L'homme est une création du désir, non pas une création du stockage. Le bonheur, n'est pas un idéal de la raison, c'est un idéal de l'imagination, par la vision de la totalité des satisfactions possibles… Où le murmure entre les sciences et les arts ne saurait, en aucun cas, être une contrainte à l’étude des pensées d’autres temps, analyse et compréhension d’autres savoirs, connaissances et cultures…
LA SUFFISANCE DES PRECIEUX
Qu’est-il marche à ne pas franchir tant avec une rhétorique en calomnies qu’en une violence en épithète de falsification envers la différence d’émissions en contradiction du rapport des institutions frappées au sceau des inepties d’une Démocratie Républicaine achoppée à une scénographie politique dansant aux sceaux de l’injustice sociale-économique ?
Quels contradicteurs, interlocutrices, locuteurs en corporatismes sensés édicteraient nomenclature claire et pluridisciplinaire en ces temps d’individualisme acéré… ; saignés aux consternations du déclassement et des ghettoïsations ???
Quelles énergies faut-il employer pour y entamer force collaboratrice de l’Ecriture dans une potentielle raison en dose d’impédance suffisante aux syllogismes, de la tradition ; ciblés aux vents de la nouveauté épistémologique et sociologique pour ne pas être taxé d’intransigeance intercommunautaire et d’incongruités en sollicitude ; afin de démontrer la logique humainement acceptable qu’il en peut être décelé dans un échange évanescent lorsque le but n’est pas celui intrinsèquement lié à l’envie de tuer son ennemi en trahison que de lui, avoir reçu des coups d’épée par derrière dans une piètre embûche et ainsi qu’il en est que d’acheter un bénéfice qui n’eusse valeur ajoutée que celle d’une soumission à ‘’monnaie de singes’’ comme motif à la résignation, au nom d’un déni apparié à culte d’obsolescence programmée par des usuriers pactisant au seul motif de la possession, tant des objets que des sujets… ???
N’y-a-t-il donc plus matière qu’il en faut toutes les méprisées de ce même triste jeu qu’il en fut du mérite d’être uniquement distribué par le prix de la moquerie comblée au mur de la suffisance de précieux ; courbés sous le joug d’une culture intellectualisée par la fourberie des poisons d’anathèmes… ???
La réelle culture de l’autre, de la nature et du vivant, fusse-t-elle uniquement criée par une poignée d’humanistes que l’autorisation ne saurait être donnée, en aucune néfaste manie, aux désuètes culturations de monothéismes soumis aux seules lois de leur cieux ou de leur enfer… ; et ainsi d’y prétendre suffisance de connaissance en une vérité inabordable émise par leur inique focal…
Quelle fourberie les habite, donc ; pour qu’ils en soient ainsi des serviteurs de prescriptions inaliénables… ?
http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/sciences-sociales/
PLUS RIEN A PROUVER
Je n’ai plus rien à prouver, et surtout pas envers moutons, brebis, bigots, bigotes, soumis(es) et opportunistes de caves se foutant cyniquement de leurs congénères en appartenance de classes sociales-économiques et culturelles différentes… Mais peut-être juste à écouter les murmures de la vie sur Terre, attachement et attention au bien commun ainsi qu’à continuer à échanger avec personnes et groupes réseaux suffisamment lucides pour percevoir que la VIE n’est assurément pas une composition naviguant sur un long fleuve tranquille où les vagues ondulations ne seraient qu’épreuves de soumission envers quelques clans en pouvoir inique agencé par petits potentats, satrapes, Césarines, Césarins et césarisés(es) atteint de perversité narcissique suffisamment malveillante pour laisser croire à leurs subordonnés et soumis(es) que l’existence de chaque ‘’mammifère humanoïde’’, de type bipède ; se souciant plus de la Terre que des Cieux en esprit de ventriloques inopérants, ne serait qu’un cheminement en usure d’un long apprentissage voué à un attachement existentiel borné par les lois et règles en vacuité de réelle bienséance et véritable bienveillance.
Les connaissances et le savoir sont le sel de la vie, les réelles amitiés et la sincère fraternité en sont le sucre. Si l’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude, alors la raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité.
PREFACE
J’avais, parfois, cette triste et omniprésente sensation, que l’Homme dans son conditionnement sociétal grégaire général, au détriment de certaines édifiantes singularités imaginatives connues, ne possédait pas encore suffisamment de connaissances ontologiques, philosophiques, morales, psychologiques, épistémologiques, sémiotiques et surtout la pratique oubliée de ce langage assigné à la poésie et au romantisme permettant de souscrire aux beautés naturelles de ce monde, et malheureusement en train d’être destitué de ces bénéfiques pluralités, dans de néfastes espaces temps fractals menant invariablement, à l’état de déliquescence physique et psychologique par l’obscurantisme intellectuel. Malgré cette sensation, je souhaitais vivement continuer ces extraordinaires exercices de lecture, d’écriture et de recherche, m’autorisant de meilleures visions envers cette espèce humaine teintée aux furieuses voix du paradoxe ||Féminin-Masculin||…
Envers la Liberté et l’Attachement. Alors que leurs accords sont toujours extraordinaires, et parfois merveilleux…
Avec pour particularité, en celle que l’entité humanoïde n’ait souvent qu’invalidantes obsolescences rendant difficile la détermination de la meilleure forme de mobilité, accompagnée par quelques belles essences lui donnant gestuelle élégante, afin de virevolter avec la liberté, plutôt qu’à s’agenouiller devant l’attachement séculaire, en ignorant que la danse à mille temps est beaucoup plus enrichissante que les blâmes de la génuflexion. Cette vision n’est bien évidemment qu’une de mes expressions parodiées et dépeintes dans et envers la sémiotique livresque affectée par quelques abstractions scénographiques suffisantes, en autorisant peut-être, la fantasmagorie textuelle détroussée hors des tabloïdes mythologiques…
Missive à l’indigence masculine, et peut-être celle féminine, moins fréquente me semble-t-il, où à ce jour, je n’ai pas eu analyse suffisamment objective pour la définir avec certitude ; mais assurément avec le désir sensible envers ses belles représentantes, autorisant l’extraordinaire sensation de la merveilleuse transition bijective touchante, véritablement existante lors des rapprochements du corps et de l’esprit, avant que ce lien ne t’étiole parfois trop tôt par l’incompréhension, la cupidité, la possession, l’égocentrisme et la jalousie, dans l’espace des peurs inconscientes… Et autres incertitudes en méfiance d’attachement inquisiteur, voire forme de possession en servitude malsaine, souvent sources de mal-être et vacuité en jeux de [Corps-Esprit]…
Ce que j’ai aimé en premier lieu lorsque je t’ai lu(e), entrevu(e), perçu(e), et par la même rencontré(e), ceux sont tous ces mots émis avec cette jolie contenance, protégée par le voile des expressions légèrement frémissantes, composées avec ces mots adoucis que j’aime tout particulièrement, et qui font la beauté dans la recherche des meilleurs accords, permettant la magie de la symphonie verbale. Après nos échanges, qui m’ont permis de te connaître un peu mieux, accompagnés par cette petite impression me laissant penser que pour toi, il existe cette même sensation, même si cet ‘’outil’’ extraordinaire que nous utilisons pour communiquer, ne permet pas l’intégralité de cette connaissance envers l’autre, où l’aboutissement ne peut que s’imaginer, voire s’exprimer dans la rencontre plus proche physiquement…
Je t’ai fait parvenir, tout au long de mes émissions écrites, quelques textes protégés, mais sans pudeur ni quelques fausses modesties, dans lesquels, je me dévoile quelque peu, grâce aux sympathiques subterfuges propres aux respirations textuelles. Car j’ai suffisamment de modération et discernement, pour ne laisser entrevoir le fond de moi, qu’aux quelques êtres très proches, percevant entre les lignes, l’indécence de mes expressions, et surtout aux merveilleux ‘’êtres femmes’’ avec lesquelles j’ai vécues, de merveilleuses histoires d’amour, où envers autres, je dévoilerai uniquement ce qu’il restera de beau au fond de mon âme, et dans les méandres de mon corps. Où, la fin de la dernière, m’a permis d’atterrir en août 2013, sur cette colline de Montméal, afin de me ‘’poser’’ pour réaliser un vieux rêve, à savoir écrire sur quelques feuilles, tout ce que j’ai de parcellaire à l’intérieur, envers ce ‘’monde’’ qui m’entoure.
Intérieur, extérieur, ne sont-ils pas tous deux qu’une simple petite retransmission de ce que nous n’osons jamais dire de sincère au rapport du beau, du bleu, du bien et du bon sens du vent….
Pourquoi ?
N’est-il pas plus sain et honnête de dire, plus que de cacher ce qui, à un instant de notre vie, nous a atteints, faits mal et est souvent teinté aux couleurs de l’incertitude, de l’incompréhension et de l’ignorance ?
Dont les réponses consistent malheureusement parfois, envers autres, à envoyer des mots orduriers et violents, n’alimentant que le feu de la jalousie, du rejet, du déni d’analyse et d’attentions, ou de l’indifférence… Voire de la détresse émotionnelle, non maitrisée par les élans du cœur devenus ceux de la défiance, de la calomnie, de l’incompréhension, du mépris, de la rancœur, sources potentielles de haine. Nous ne voulons jamais le dire avec quelques mots empreints de douceur, d’attentions, de poésie, de romantisme et de compassion, car nous aurions peur d’enlever le voile de nos infortunes passées, avec cette particularité masculine de croire que nous serions incapables, d’avoir à l’esprit cette certitude, que nous ne serions pas autorisés à sensibilité féminine, vis à vis de cette société machiste, trop souvent polluée par les souillures de l’obscurantisme assassin et de la possessivité impérieuse…
Alors, aujourd’hui, je suis en train de percevoir au loin, derrière encore quelques brouillards, son ‘’irréalité’’ paradoxale, où mes moteurs ont été toutes ces années de joie, et parfois de tristesse, en tout premier lieu, toutes les merveilleuses rencontres peintes aux couleurs subtiles de la liberté d’aimer, de croire et de partir, souvent accordées aux et par les espoirs de mes trois ‘’petites devenirs’’… Et maintenant ma p’tite fille et mes deux p’tits fils, et pour vous parents, j’espère cette même motivation, au nom du toujours plus que le moins bien… Avec pour l’instant, cette espèce d’impossible sérénité à ne pas savoir si je vais revivre le plus beau que la minute de silence, accompagnée par cette infortune prétention de pouvoir dire à qui veut l’entendre : ‘’Ce que j’ai vécu de merveilleux, je ne peux que le souhaiter envers et pour tous ces êtres extraordinaires et merveilleux que j’ai eu la chance de rencontrer’’… Physiquement & au gré des échanges sur la ‘’toile’’… Et pour bel avenir, celui de penser pouvoir ressentir à nouveau tout cela… Alors même si je ne sais pas encore quand ; je souhaite juste continuer à échanger avec vous, par les réseaux d’écriture aux formats papier ou numérique… Avec le désir, un jour prochain, d’avoir l’espoir de percevoir que l’homme et la femme ne soient que complémentarité… Sans avoir dans l’attente de cette possible réalisation que celle de pouvoir vous souhaiter d’entendre les voix, vous autorisant à toucher les magnificences de cette invraisemblance qu’est l’amour…
Tout cela, en souhaitant que tous les hommes puissent entrevoir la femme en dehors de l’objet de possession, et juste à entrevoir les possibles plaisirs du singulier partage amoureux et sexuel, où celui du verbe aimer ne saurait disparaître qu’en cas de déni de la fin d’aimer… Encore… Ailleurs… Avec cette singularité de croire que la vie n’est en aucune façon celle d’espérer que la plus belle fin de chapitre, ne soit pas le commencement d’un autre encore plus merveilleux…
Alors au nom de cela, s’il-vous-plait, vous les hommes, lorsque qu’une femme ne désire pas votre contact ‘’touchable’’, ou n’éprouve plus cet espace sensiblement ‘’touchant’’, (Et peut-être inversement) ; ne veut pas se soumettre à vos diktats narcissiques ; et qu’elle vous le fait entendre par ses signes et expressions utiles à vaincre le mensonge, et l’enfermement psychologique, ne soyez pas virulent ! Gardez précieusement tout ce qui a agrémenté l’histoire, même si elle doit se terminer avec l’incapacité à en accepter la simple séparation tout en préservant, malgré l’éloignement physique, ce que vous avez créé ensemble, dont son anathème a obligatoirement commencé avec ces belles notions d’attentions et de partages, et surtout pas pour l’unique déraison que vous ne pouvez plus accéder à la dimension charnelle de son corps touchable…
Tout cela, pour la simple incompréhension qu’il est compliqué, lorsque le lien affectif est brisé, voire impossible temps qu’il n’est pas tissé de créer ou reconstruire l’allégeance du corps et de l’esprit. A ce moment-là, au lieu… Au lieu d’employer les mots de l’indigence mesquine, de la suffisance de chaires narcissiques ou autres actes phallocratiques cyniques, utilisez ceux de l’intelligence de cœur… Emis par les signes de l’attention envers la liberté de partir, de croire et d’aimer encore… Sans rancœur maintenant… Ces mots, signes et expressions, en rassemblements pertinents émis par l’écriture ou autres compositions textuelles et livresques, parfois grandes forces, elles ont… En espérant que les jeux des mots dits & cris, contribueront à éloigner l’homo-économico-erectus infecté par les misérables croyances infécondes, arrosées aux poisons de la supériorité prédatrice inefficace au maintien des libertés, où la seule sienne eut été de se dresser sur ses deux pattes de derrière, tout en ayant oublié, qu’à l’inutilité d’être une mauvaise langue, il aurait été mieux inspiré, en donnant la sienne au chat de l’écrivain. Du poète, du philosophe, de l’humaniste… De l’épistémologue tendre, du versificateur esthète, de la poétesse en murmures de légèreté et réciproquement ; ainsi qu’autres amoureux des signes-mots.
Heureusement pour moi, ma belle maitresse la ‘’VIE’’, m’a donné la certitude des belles rencontres passées, et la joie de celles d’aujourd’hui, triées, je l’avoue par quelques incertitudes sacrifiées sur l’autel de certaines inconsciences féminines et masculines, tout en ayant entendu les accords proches des bonnes natures, où la perception des belles et suffisantes présomptions charmeuses, m’a souvent autorisé à explorer les chemins de l’exaltation, sans quoi…
J’aurai, me semble-t-il, déjà franchi le portique des illusions désamorcées…
Effectivement il semble que nous ne vivons pas en vain…
Nous avons des devoirs vis-à-vis des générations arrivantes. Nombre majoritaire d’individus appartenant au genre humain devraient en être convaincu. Aussi bien dans la dimension matérialiste qu’en celle de l’existentialisme, où l’essentialisme pour toutes et tous ne saurait en aucun état s’émanciper de vies décentes à minimum digne et honorable.
Une partie de nos actions et comportement vient des devoirs des générations passées. Leurs connaissances nous ont légués le présent. Qui, lui, nous confie la garde du mouvement humaniste ; afin que les songes, pensées et aptitudes des anciennes causes restent dans la mémoire collective. Et si l’on peut dire – pour l’avenir des bonnes facultés et justes devises…
S’agit-il de croire que tous les morts, pour autant que cela dépende de nous, n’aient pas vécu en vain ?
Effectivement personne ne vit la ‘’chose’’ en vain…
Par définition même de l’exigence de la vie.
Ne s’agit-il pas, là, de continuer une histoire qui nous précède, qui nous dépasse, qui nous traverse… ???
Mais ne s’agit-il pas, plutôt, de transmettre ce qui nous reste de mieux et un peu plus si nous le pouvons ?
Cela ne vaut pas que pour toutes les richesses.
Cette retransmission vaut aussi pour les mauvaises histoires nationales, voire internationales, où le déni d’anciennes réalités ne saurait, en aucun cas, éveiller quelques émancipations salvatrices pour les nouvelles tendances.
Cela vaut aussi et davantage pour le monde naturel – c’est ce que signifie l’écologie respectueuse du temps de la transformation « voulue »…
Ne dit-on pas qu’un bon vin se bonifie avec le temps des bonnes conditions de garde … ?
Pour la sphère familiale – c’est ce que signifie la famille suffisamment éloignée du népotisme outrancier et tangiblement accoutumée aux biens particuliers ; pour la culture – c’est ce que signifie l’école et les apprentissages à utiles savoirs faire et bons savoirs êtres – le tout associé à multidisciplinarité efficiente…
Enfin pour l’humanité, et c’est cette propension à l’humaniste versatile dont il est question même !
C’est le vrai progressisme, ou en vérité affichée à temps anciens et au présent, c’est plutôt le seul.
Du passé ne faisons pas table rase, ou alors nos rêves d’un futur bienfaisant, n’auront que l’apparence d’un voile cachant la présence d’un essentialisme à billets de bas compte, où les nouveaux jeunes seront assurément incapables d’y percevoir quelques extraordinaires expressions, proches d’un existentialisme à réelle bienséance intergénérationnelle.
Le temps ne s’impose pas en ennemi intérieur, mais il est une composition particulière par l’énergie extérieure des choses de la vie…
La recherche du superflu donne une plaisante excitation, plus grande que l’acquisition du nécessaire.
L'homme est une création du désir, non pas une création du besoin.
Le bonheur, n'est pas un idéal de la raison, c'est un idéal de l'imagination, par la vision de la totalité des satisfactions possibles… Où le murmure entre les sciences et les arts ne saurait, en aucun cas, être une contrainte à l’étude des pensées d’autres temps, analyse et compréhension de divers savoirs, connaissances et cultures…
Elle l'accompagnât jusqu'à la dernière porte de la maison, elle le regardât avec une immense tendresse, il vit des larmes coulées de ses yeux et sentit les siennes le long de ses joues.
Elle lui dit: « Attends là s'il te plaît, quelqu'un va venir te chercher, moi, j'ai encore tellement de choses à faire ici, et je ne peux maintenant les faire que toute seule, ici, et toi aussi ailleurs »…
Il lui demandât: ‘’Pourrai-je revenir te voir, je sais que tôt ou tard, le manque de toi va me faire sentir sa présence’’.
Elle lui répondit: ’’Je suis désolée ...... ; mais je ne sais pas. Au grès de tout ce temps passé ensemble à essayer de nous comprendre ; je suis certaine du meilleur, pour ce qui suit, et tu trouveras certainement les réponses que je n'ai su te donner, et souvent pas entendues. J'aurais tellement aimé n'être pas toute seule pour t'accompagner jusque-là, mais les autres avaient eux aussi tellement de choses à faire et à penser, par ci, par-là, et toujours ailleurs’’.
Et elle s'en alla doucement, sans faire de bruit…
Il attendit un moment, et la porte devant lui s'ouvrit, il fit un pas en avant pour la franchir, malgré la grande fatigue de son corps. Il ne vit plus rien, mais il ressentait une étrange présence. Il regarda plus intensément, mais il ne voyait toujours rien, n'entendait rien et ne touchait rien. Il sentait une odeur, elle était merveilleuse. Ce parfum se posa sur ses lèvres, comme un baiser, il perçut une sensation inconnue et une douceur immense l'envahit. Il essayait de toucher, d'entendre et d’humer cet endroit, mais il ne le pouvait pas. La seule chose qu'il réussissait, maintenant à faire, était de percevoir quelques petites luminosités dans l’espace piqué de ces phénomènes étincelants… Mais elles lui paraissaient tellement distantes qu'il se dit: ‘’Je n'arriverai jamais à m'approcher de ces lueurs, elles me semblent beaucoup trop lointaines’’.
Il ne savait pas par quel mystère, d'ailleurs…
- Comment pouvait-il voir ces diffusions lumineuses, alors qu'il avait cette sensation de ne plus posséder la clairvoyance suffisante, ainsi qu’aucun de ses autres sens connus.
Il essayât de se persuader, sans bouger, de la ’’chose’’, en s'efforçant tout d'abord, d'écouter, de ressentir de toute son ‘’envie de…’’. Il ne sentait plus aucune odeur, n'entendait aucun son, et ne ressentait aucun goût, autre que celui lui laissant légèrement percevoir, cette saveur d'avant, qu'il connaissait en tant que notion de comparaison, et lui permettait de croire encore, au potentiel pouvoir de continuer ici, comme avant, ailleurs grâce à ce désir et cet optimisme, toujours présent en lui ; lui donnant possibilité, au nom du désir de Beau, de Bleu et de Bien, de peut-être, le goûter, ici, ce ‘’quelque chose’’ sans texture particulièrement sensible au toucher, mais tellement touchant, auquel il avait donné le nom de syndrome des ‘’3B’’, et par lequel son désir d'en approcher au moins une partie de toute sa beauté, à cet intouchable, lui conférerait encore possibilité de faire, pour espérer avoir la joie de s’accoquiner une fois de plus à ses effets sensibles, ici
De penser cela, lui permettait de laisser sa peur à distance respectable.
Il lui restait un doute quant à cet autre sens, le toucher, dont, il a toujours pensé que le couple formé par ces deux facultés existantes en le pouvoir de voir et toucher, était quelque chose lui paraissant assez extraordinaire. Il ne savait pas s'il le possédait encore. Alors ce regard apparemment conservé obliquât vers la droite, en cherchant avec une certaine anxiété quelque chose ressemblant à un objet connu, il ne vit rien qui lui semblait suffisamment proche, afin que ce supposé possible référentiel, puisse se laisser toucher, pour avoir la certitude de posséder encore ce sens lui servant de lien physique à ce que sa possible lucidité lui permettait d’entrevoir. Alors, sa vision se portât vers ce qu'il considérait comme étant sa gauche, et là, légèrement en dessous de son regard, il vit cette ‘’chose’’ ressemblant à une tablette carrée, légèrement inclinée, posée sur une sphère.
Cette forme était transparente, il pouvait la comparer à une plaque de cristal. Cet ensemble, d'une hauteur qu'il réussissait à définir comme étant approximativement, les deux tiers de la sienne, en partant de cette surface en dessous d'eux, lui laissant penser qu'elle était aire de référence, avec cette forme rectangulaire positionnée sur ce globe et légèrement inclinée vers sa gauche, devant et en dessous de lui, semblait être une invitation à contempler cette structure, telle une symbolique mystérieuse… Il décela, sans qu'il n’eût besoin de ne diriger autre que son regard vers cette tablette, une inscription visible en sa surface. Il parvint à déchiffrer les assemblages de signes, mots, expressions et lemmes gravés dans le verre, il connaissait cette écriture, elle lui avait été transmise, lors de son passage dans le lieu d'avant.
Il lût donc cet écrit, et, comme par magie, il ressentit, sa pensée inscrire dans sa mémoire, ceci, au fur et à mesure de sa lecture:
… Quoi que tu sois, si tu es doué de la conscience, effaces de ta mémoire toutes ces croyances considérées, sans totale certitude, comme vraies jusqu'à maintenant.
Sauf, le seul élément qui t'a paru incroyable, peut-être à cause de tes convictions, liées à ton existence dans le lieu d'avant.
Essaies de toucher cette tablette, et fais confiance à tout ce qui, t'apparaîtra, après.
Le chemin te sera indiqué,
N'ait plus peur ici, tu en comprendras la raison. […]
Et là son regard resta figé sur cette composition textuelle, même s'il en avait compris tout le sens, une inquiétude l'envahissait quand même. Il ne sait combien de temps il resta comme cela, mais tout à coup il entendit une voix, elle venait de nulle part, il n'y avait aucun son, mais elle s'inscrivait doucement en lui, sans aucune violence. Il comprenait qu'elle lui demandait de lui faire confiance, et de poser sa main ; enfin, ce qui pour lui devait être sa main gauche, sur la tablette. Il réfléchit encore pendant ce qui lui paraissait être quelques instants, en se disant: ‘’ De toute façon je n'ai pas le choix, car si je ne le fais pas, le risque serait certainement de rester là un temps indéterminable. Il ressentit à nouveau la présence de la petite voix, existante sans fond sonore. Elle lui disait doucement: ‘’Je t'ai entendu penser’’ ; avec un petit rire espiègle dont il en appréciât la belle sonorité.
‘’Comment ça, elle m'a entendu penser ?’’ ; pensât-il.
Dans le même temps, interrogatif, il avait complètement oublié ce qu'il devait faire. Et là, avec un grand et beau rire joyeux, elle lui lança: ‘’Je t'ai encore entendu, hihihi iii ; s'il te plaît, pour me faire plaisir, mets ta jolie main sur cette tablette !’’…
Alors ne cherchant plus rien à comprendre, il s'exécutât.
Sa main gauche, légèrement tremblante, se posa sur la tablette, et très doucement, il voyait ce dextre organique et mobile, en tant que partie de son corps, en franchir la surface, et pénétrer sans précipitation, à l'intérieur de cet objet, sans substance matérielle résistante à la légère pression exercée. Sa main, lui transmettait une telle sensation, qu'il pouvait la comparer à celle ressentie avant, lorsqu'il se glissait dans une eau dont la texture aurait été celle de la soie, de par la douceur ressentie. Il n'eut pas le temps nécessaire pour savourer cette sensation, il fut transporter, ne sachant pas comment, dans un autre lieu. En partant, il eut à nouveau l’impression d'entendre ce joli rire espiègle, lui conférant optimisme suffisant à croire qu’il n’était pas seul en ce lieu…
Je vais essayer de vous livrer la suite de ce conte ‘’d'ailleurs’’, certainement imaginaire, teinté de quelques fantasmagories et bizarreries ; ou peut-être pas… Je ne sais pas. Une des réalités que je puisse entrevoir, c'est de le raconter avec ce langage humain, qui m'a été transmis en tant que source de compréhension de cette réalité, afin de vous livrer cette histoire racontée par quelqu'un d’ici, chez lequel j'ai réussi à déchiffrer les quelques codes de son langage, pour ma compréhension afin de vous communiquer par ce langage écrit le maximum de son impression, avec pour souhait, essayer de mettre tous ses signes, symboles et expressions en mots, phrases, chapitres, telle une symphonie livresque ou cacophonie sémiotique en fonction du ; ‘’comment’’, elles seront perçues...
M.A – La Clé du Temps des Murmures
‘’L’espérance est une blague :
Ou bien on arrive à réparer, ou alors on devient fou’’.
Mad Max : Fury Road, film de George Miller (2015)
Les Français enferment quelques fous dans des maisons pour persuader celles et ceux qui sont dehors de ne pas l’être. Montesquieu – Lettres Persanes
La vie est comme un rêve livré à l’imagination.
« C'est nous qui avons rêvé l'univers ».
Nous l'avons rêvé solide, mystérieux, visible, omniprésent dans l'espace et fixe dans le temps… Mais nous avons permis qu'il y eût à jamais dans son architecture de minces interstices de déraison, pour attester de sa fausseté.
Jorge Luis Borges
En toute vraisemblance, je me devais pour me libérer des esprits chancelants, faibles ou par trop opportunistes de ne plus chercher à comprendre leur danse de Saint Guy, et même à m’en éloigner. Car à percevoir leurs gesticules sans véritable fondement pragmatique et par là-même inopérantes à rendre lucidité à leurs actions utiles à la nécessité d’une potentielle préservation du bien commun, ne réussissaient qu’à m’irriter.
Leurs us, coutumes et orthodoxies alliées de l’espace commercial où la réelle valeur du sujet-objet considéré comme provision suffisante en le degré le plus haut de son essentialité étaient pathétiques. Non que je m’offusquasse plus que le commun des hybridations grégaires à ne pouvoir y émettre attentions suffisantes aux raisons de leurs devoirs d’engagement particuliers en l’attachement envers un authentique humanisme, moins à même d’apporter à notre conceptualisation du système socio-économico-culturel affichée à l’esprit de ma communauté formulée par les bienséances d’échanges pour compréhension collectiviste, que la falsification de leurs tares dans un e-commerce, à vacuité de doctes, pourvu à un militantisme anti-pluridisciplinaire, où sous couvert d’inattention ; Big Brother était en train de vaciller sous les coups des applicateurs et applicatrices de B to B, en Bla-Bla des nouveaux monnayeurs d’esclavagisme sans chaînes apparentes…
Quelle bandes de sots, inconscients et inconscientes quant à la facture en solde de leurs enfants soumis aux ravages d’un népotisme culturel et/ou ségrégation d’intérêts particuliers, sans valeurs tangibles où l’information en transmission de savoirs me semblait proche d’une affiche collée au mur du sectarisme intellectuel, en allégation de rares onces de pédagogie, par dissidences de bienveillance intergénérationnelle, au profit de certitude en images de logo-atomisation appropriées par quelques pervers narcissiques, partiellement inutiles aux délais d’apprentissage et de respect des lois naturelles. J’y mettais entre ces interstices textuels des consistances didactiques en vœux de libre échange imaginatif une espèce de déshérence en sollicitude de dimensions touchantes par une volonté à vouloir vaincre les intendances prônant un empirisme, sans distinction de zones d’existences non sécurisées, en règne de possession absolutiste, avec pour singularité en celle de laisser croire que ce matérialisme inique ne serait pas source malheureuse en grande consommatrice d’énergies falsifiées par accaparante désuétude, mais, souvent, exsangue des forces humanistes. Même si je pensais en comprendre partiellement la peur existentielle de mes congénères, je n’en approuvais guère la méthode et le discours…
MÊME LES SUFFISANTS IGNORENT QU’ILS LE SONT…
Quelle est cette vertu consistant à commencer un échange textuel par quelques ressentiments dénués de certitude, donnant droit à accostage par un verbiage tendu en procès de conjectures lapidaires ?
Qui plus est lorsque l’invective sémantique est une forme palpable asservie à rapidité d’intervention contradictoire au seul but de générer une déconstruction outrancière, en confrontation de colère inutile à une potentielle objectivité, par trop invasive, voire pléthorique, dans un dialogue suffisamment discordant pour en oublier le sens de la liberté d’expression, au détriment même d’un possible libre arbitre, dans la projection constructive du sujet commun.
La stupidité d’une première intervention en prétention de connaissances suffisantes est par toujours, une porte qui se refermera sur un potentiel dialogue d’infortune, par cette tragédie consistant à être sûr que nous avons la performance individuelle, autorisant à bénéficier d’une mansuétude d’esprit compatible avec un meilleur futur commun. Je ne saurai croire, qu’en toutes relations échangistes physiques ou virtuelles, il puisse y exister une seconde porte à ouvrir, alors que la première eut été fermée par ostracisme intellectuel, sensibilité en indifférence ou indigence didactique…
Le surplus d’intransigeances en sera toujours le vestibule du désintéressement… Reléguant les attentions amicales, voire ces pertinences attentionnées, en sincérité partagée, suffisamment éloignées des jouissances égoïstes, pour qu’il n’en reste que le souvenir d’un voyage posé aux quais des émotions sans considération…
Cela n’est-il pas une entame alléguée à forme de sectarisme envers une divergence de point de vue, et cela avant même une réponse de l’inconnu(e) présent(e), de l’autre côté de l’écran, sachant déjà qu’une barrière supplémentaire vient d’être, en suffisance lexicographique, hérissée ?
Faudrait-il, toutes et tous œuvrer pour un monde totalement aseptisé et conforme à une norme sociale édictée par une ou autre intelligence éructant souvent sa vérité sans autres ressources que la suffisance de ses consultations sectorielles, ou bien essayer de prendre temps utile à quelques précieux moments de réflexion en débat de partage et contradictions constructives au nom d’une attentive thèse en bien commun, voire pour les plus fervents une recherche en amélioration multidisciplinaire… ???
Cette démarche en installation de conformité n’est-elle point une volonté d’ignorer sujets trop éloignés de nos facultés personnelles ?
Un refus de savoirs ?
Ou pire une filiation particulière autorisant l’individu à ne plus essayer de changer ces choses de l’infamie envers autres que soi et ‘’étants’’ insuffisamment proches de notre dimension touchable ?
Hors de notre zone de confort, justifiable, en légitimité d’acquis ?
Ou encore une forme d’asthénie intellectuelle atrophiée par une satisfaction matérialiste suffisante à l’inaction envers autres congénères, tout aussi justifiables à disposer de l’essentiel vital ?
Un abandon au profit d’un isolationniste de circonstance ?
Une pénitence en acceptation d’existences mornes ?
Une dichotomie en reconnaissance de népotisme défiscalisé d’affiliation en humanisme ?
Ou tout simplement un ‘’je m’en foutisme’’ généralisé, tant en ascendance qu’en descendance ?
Songez-vous toutes et tous, ainsi, avec toutes sortes de camouflets, que personne ne saurait mesurez vos impostures et calomnies cachées sous les voiles du politiquement correct et/ou la pudibonderie en toutes différences culturelles que vous en ayez suffisance en cette ‘’vertu’’ pour vous-même et les vôtres, dans cette prétention que vos ‘’dons’’ ne sauraient m’irritez, moins de les retransmettre sans analyses autres que la béatitude en prédécesseurs grisés aux voix de l’impénétrable, pour les moins nocifs, qu’une marche en colonie d’élus aux incertitudes des grâces et vierges, pour les plus déficients en défrichage de voies terrestres ?
Mais en toute évidence en procession de terrorisme intellectuel pour les deux clans en écoute de falsification d’outrages portée aux oreilles de prostrés(es) se souciant plus des cieux que de la Terre des hommes, des femmes et des enfants…
Je crois malheureusement que ces consciences grossières ont une chose en commun, formellement, proche d’un mécanisme cognitif logo-atomisé par négociants en spiritualité, guides en reliques cultuelles, despotes, potentats et autres dévots ayant réussi à faire gober les plus ravageurs illogismes au rapport de leur déconsidération envers la condition échangiste naturelle humaine…
Et dans ce paralogisme datant de la naissance de la conscience et des intelligences, concomitantes au mammifère humanoïde, le plus néfaste attribut est, sans doute, l’apparition depuis quelques décennies d’une espèce de scientisme immature indexé en vulgaire marchandising par souscription d’opérateurs en flux d’omission (volontaire ?) d’étude et analyses logiques envers le sujet ontologique au rapport de l’objet physique…
Dans le monde naturel du et des vivants…
Ce travail qu'il a retrouvé avec joie, en tant que valeur implantée comme plusieurs autres dans sa conscience, par celles et ceux qui l'ont accueilli à son arrivée, et par, cette vie qui le guide depuis le premier jour. Et même si après en avoir exercé plusieurs, il avait toujours cette impression au fond de lui, qu'il n'avait pas encore réalisé une partie essentielle de son ‘’rêve’’, il parcourait les différents chemins indiqués par la ‘’VIE’’, dont il essayait d'en comprendre le sens, afin de trouver la bonne direction. Mais souvent, il n'entendait, et ne voyait pas très bien tous ses signes et expressions qu'<< ELLE >> lui montrait, et dont il ne comprenait pas toujours la signification, et, parfois lorsque le vent soufflait très fort en apportant avec lui les nuages noirs annonciateurs du moins bien que la lumière, il comprenait juste que cette VIE était en ‘’grande dépression’’, et la cause qui en découlait, était, en l’action de déverser cette eau, source d'elle-même, quitte à ce qu'elle le fasse parfois avec fracas.
Lui, apprenait parfois dans la douleur, mais il continuait à regarder ses différents états, afin d'en comprendre sa justification ; et puis, il y avait au moins trois êtres auxquels il souhaitait en montrer certaines facettes, de sa beauté, car, il savait qu'elle avait des côtés merveilleux. Il les avait perçus et ressentis plusieurs fois, dans sa ‘’réalité’’. Il y en avait à l'heure actuelle de son histoire au moins six sûrs, mais il savait qu'ils y en avaient d'autres, plus ou moins proches.
Cette vie, il l’a aimé dès qu'il a réussi à lui donner un nom, même avant je pense, et il l'aime toujours. C'est elle la source de toutes ces leçons qu'il a retenu en tant que prémices de la compréhension. Il l'a regardée, écoutée, touchée, sentie, goûtée et ressentie. Oh, bien sûr, parfois il l'a détestée, sur l'instant, mais ensuite, il a compris ce qu'elle voulait lui dire.
Il a plusieurs fois éprouvé la présence de ‘’celle’’ qui la suit sans arrêt, et a trop souvent voulu parler à un autre être proche, qui comme lui avait été engendré par cette vie. Il ne l’aime pas ! Alors qu'elle, ‘’ELLE’’ est sa plus belle maîtresse. Mais son inconscient sait ce que sa conscience élude par notion d'ignorance, incompréhension et refus, qu'un jour sa copine voudra l’emmener, mais pas trop tôt si possible…, dans son ordre des choses, malgré que bien souvent il ne comprenne pas très bien sa disposition phagocytée et entachée d’injustice, accaparement, cupidité et iniquité chez les hommes…
Alors, oui, aujourd'hui en ce lieu nommé Val d'Isère, où le nombre de ‘’petits grains de matière organique’’ doté de la pensée, est faible, et où il peut trouver ces instants pour être seul avec ELLE, il lui a donné un rendez-vous intime, et il souhaite lui parler longuement, peut être jusqu'au moment où elle lui ouvrira la dernière porte de cette maison, et où à cet instant il pourra se débarrasser de son ‘’ego’’, en espérant qu'il deviendra avant cet événement, presque insignifiant, ou tout du moins, suffisamment proche de sa pensée, afin qu'elle ne le combatte plus.
Mais pour arriver à cela, elle avait ancré dans son subconscient, qui lui était impossible de lui parler à voix haute, et la seule solution pour que cette entité narcissique ne l'agresse plus de ses intentions anthropocentriques, il lui suffisait d'ouvrir toutes les portes de ses sens afin de percevoir toute l’extraordinaire beauté, de par tout ce, celles et ceux qui faisaient partie de ses espaces touchants, afin d'avoir la merveilleuse sensation de ressentir au fond de lui, tout ce ‘’qu’ELLE’’ avait pour lui, le temps qui leurs était imparti…
Maintenant !
Il commençât à lui raconter, par ces mots : […
… Comment pouvons-nous réussir à bouger ce corps tous les matins, réveiller en même temps cette conscience, qui d'instants en instants nous fait croire à toutes ses convictions, bonnes ou mauvaises, qui deviennent souvent notre vérité, sans nous dire comment avons-nous agit le jour d'avant ? Comment, avons-nous instinctivement ou délibérément prononcé ces paroles, produit ces actes que notre esprit à engendrer pour une raison ou une autre, sans préjuger de nous-mêmes, le jour d'après ? Comment pouvons-nous croire que ce que nous avons fait le jour d'avant puisse être la vérité pour le jour d'après, sans réveiller notre conscience, en nous disant, qu'avons-nous pas fait de bien, pour prétendre penser faire moins mal après, afin de peut-être un jour réussir à nous dire, aujourd'hui, je ne prononcerai pas ces paroles violentes souvent dopées au pouvoir de détruire ou produire et organiser par soumission aux prosélytismes fallacieux, le chaos, alors que peu de fois, elles sont aussi dotées de cette merveilleuse faculté, de créer un peu de beau, de bleu et de bien, en et de par leurs dimensions attentionnées, et peut-être attachantes. Comment tous les jours pouvons-nous avoir cette extrême prétention de croire que nous sommes meilleurs que ce qui nous a créé, sans penser une seule seconde que ce, celles et ceux que nous pouvons voir, entendre et toucher ont été créé par même.
Pourquoi ne pas nous reposer de temps en temps afin d'entendre cette petite voix au fond de nous, avec laquelle nous passons le plus clair de notre temps à ne pas l'écouter, et après avoir fait le contraire de ce qu'elle a bien voulu nous faire comprendre, nous avons parfois l'impression que nous aurions mieux fait d'écouter ses murmures…
Elle lui répondit cela:
‘’Même si tu as peur de te tromper encore une fois, par pressentiment de croire que ce que tu as vécu avant, sera situation comparable où tu penserais ne rien ressentir de ce que tu désires du meilleur, fais comme l'enfant qui apprend à marcher, tombe et se relève jusqu'à ce qu'il apprenne l'art de marcher. Entrouvres encore avec moi cette porte devant toi, tout doucement, sans faire de bruit, afin de ne pas faire entrer ton fardeau de convictions et de préjugés qui t'ont été inculqués par celles d'avant et ceux de maintenant, et derrière tu trouveras certainement encore une clé qui te permettras peut-être d'ouvrir la porte suivante, afin de trouver un jour, ce que tu cherches depuis longtemps, cette beauté qui ne s'achète pas, l'art d'aimer, pour la paix de ton âme et le repos de ta conscience, et à cette instant tu toucheras peut être du doigt, le Beau, le Bleu, le bien et le Bon Sens du Vent…
LE CLAN, LE ROI, LE PRINCE ET LES ADORATEURS
Des signes éclairés aux foudres du ciel
Du feu sorti des entrailles de la Terre
Le nouveau prince se senti pousser des ailes
Et par cette ignorance de la nature et des hommes
Il s’autoproclama messager du grand ordonnateur
A l’éloge de son père, petit bourgeois de province
La louange fut sienne et par là même, la chose engagée
Le discours encore confus, il s’en alla déterminer
Prêt à lire philosophes et engager conversation usurière
Et par autres voix chercha Sophia, fille de Vénus et Simonide
Ceux sont là bien des maximes bonnes et valorisantes
Auxquels nous voudrions en porter ferveurs et allégeances
Rousseau n’en dit pas moins, et quant à moi y souscrit
Mais l’homme moderne n’en est pas moins un génuflecteur
Adorateurs, adoratrices, néanmoins il mange, boit, dort et aime
La sélection naturelle l’a fait robuste et agile
La maladie, l’existentialisme humaniste, la mort il veut s’en décharger
Il n’a même pas conscience de son activité grégaire chancelante
Ses sens communs sont d’une extrême vivacité accaparante
Sa sensibilité n’est souvent que réflexion matérialiste
Son objectivé s’arrête aux frontières de la cour des contre-mesures
Par son dieu, il construit les suspicions aux abords des politiques templières
Il se souci plus de la voûte céleste que du monde des vivants
Le beau prince par narcisse envoya bordée d’échos à droite et à gauche
Oubliant que peuple ne peut s’abouter à justes devises sans réelle bienfaisance
Que bienséance ne se résume pas à transmission inique sectorisée
Si les convives ne sont choisis qu’aux abords des guéridons du clan
Si peur de perdre dû, n’est que gré de la louange du roi
Alors Festine et Bacchus de votre table de mauvaises humeurs
Ne riront, mangeront, boiront et ne festoieront point
Le prince par vénalité absconse, par la sottise et l’injustice ajoutées
Son aveuglement et abus, exemptèrent le juste contrat social
Serviteurs s’y fourvoyèrent avec les oboles du riche charitable
Par soumission et idolâtrie envers reines de Saba et rois de Pique
Adorateurs furent incapables de s’afficher à la cour des reines de cœur et poètes esthètes
Les chevaliers des temps modernes sous couverture des nouvelles amazones
Prirent voies vers la presqu’ile de Lemme
Et sans perdre le prix des vers, avertirent le clan des domestiques
Sous les pendules des justes et des innocents d’antan
Que le discours des nouveaux adorateurs du prince,
Associés aux chants falsifiés des sirènes du souverain d’éloquence
Ne pourront empêcher, par temps faire, dans les conspirations du pouvoir
Que cette maison, dans les oubliettes du château, ne sombre à l’envers.
Pourtant jadis, l’Olympe et le mont Parnasse avaient frères et bons amis(es)
A contre-courant de la mondanité libertine
Dans le silence de Port Royal, au pinacle de l’austère
Des solitaires aux ordres de l’abbesse Angélique, Pascal
Par les lettres de Louis de Montalte, provincial de ses amis
Pestèrent reliquats symboliques, aux grâces divines entre Jésuites et Jansénistes
Adossées à disputations des soixante et onze docteurs de la Sorbonne.
L’échange fut grandiose, à examiner ce qu’il y avait de faux ou de réel
Epanchement exercé par la véritable conscience des uns et des autres
Dans ce qu’il y avait de bon en dieu, ou de mauvais chez les hommes
Ne surent rien, avec certitude définir, même pas leur portée
Vide de l’esprit flirtant aux accords enchanteurs entre charnel et extase
Au présent des commissures entre attachement et liberté
Les coercitions des anciens, à l’attention des connexions nouvelles
Les néo-jeunes ne purent s’affranchir des nouvelles vacuités cessibles
Emancipées aux évasions virtuelles, où flottent encore quelques vagues à l’âme…
Michel ASTI
Date de dernière mise à jour : 10/02/2020
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