LE XXIème SIECLE SERA...
LE XXIème SIECLE SERA META-PHYSIQUE OU NE SERA QUE RIEN…
Trop de logique inhibe l’être sensible… Trop de sensibilité intériorise l’esprit logique…
De maintenir l’équilibre entre ces deux états de la pensée autoriserait juste cette extraordinaire capacité d’être humain dans le Monde Naturel Vivant.
« Les peurs et incertitudes enferment l’être-humain dans la prison de son propre obscurantisme par la croyance que la possession mégalomaniaque de biens matériels empêcherait l’inexorable pression du temps, totalement insensible aux actions physiques des petits grains de matière organique conscients ou inconscients. Et cela peu-importe le type, et le nombre d’assurances prises. Notre propre protection est en celle d’être assuré de pouvoir faire face aux accidents et maladies pour nous-mêmes ainsi que pour les tiers, et pour ces derniers, à minimal, réussir à dédommager – financièrement – ; l’autre lorsque notre inconscience, mauvaise conscience ou viles prétentions ont invectivé des actes néfastes envers d’autres vies, résidentes de la zone sociétale naturelle, des biosystèmes et écosystèmes »…
A méditer, surtout pour les apôtres d’un déterminisme en reliques linguistiques frappées aux sceaux (sots) d’un ségrégationnisme identito-cultu®el inefficient au maintien des libertés d’expression, attentionnées…
Qui soldera le produit de l'injustice, de l'iniquité, des vices, viols, meurtres et autres avilissements des hommes sur Terre... ???
La mort ?
Où cette espèce d’entité faite dieu, par des hommes, à vile intelligence, adoubés à théories filigranées aux esprits désuets, hors attentions envers le réel et véritable sens de notre existence ?
Si le ‘’rien’’ n’a aucune existence réelle ; alors il est de logique sémantique à penser qu’il ne saurait être d’un dessein en appartenance d’un ‘’tout’’ déterminé sans ‘’rien(s)’’ géo-positionnables sur le plan terrestre.
Si ce postulat devient vérité sociologique et distinguée d’un Ensemble (E) de ‘’machines humaines’’ en tant que système socio-économico-culturel ‘’particulier’’, nous pouvons considérer que la masse finie des êtres vivants n’est qu’un amalgame de ‘’choses’’ ethnosociologiques inaptes à considérer le ‘’tout connu’’ comme une structuration communautaire imparfaite balançant ses idéaux entre rapports négatifs ou positifs dans des positions ‘’holistiques’’ intransigeantes cherchant frénétiquement les limites du ‘’rien’’ dans une iconographie apostrophée à la facturation d’une suffisance en finitude d’un ‘’tout inconnu’’ au sens d’un éternel paradoxe entre corps finis et esprits infinis ; affiliés à l’utopie de la réalité de notre continuum espace-temps, divisionnaire…
Fut-il créé pour qu’à la marge de ce nouveau pouvoir soit inscrit les premiers paradoxes entre matérialisme et essentialisme, autorisant élitisme à pouvoir anthropocentrique intrinsèque à disposer des outils et moyens d’avilissement didactique et intellectuellement retransmis envers des cerveaux ; ‘’encore’’, malléables, individus ignorants ou faibles d’esprit, tout en préservant la connaissance épistémologique pluridisciplinaire et savoirs en essentialité ontologique dans l’entre-suit de cultes templiers et autre reliques de bastingages en intronisation de clans iniques pour des raisons que mon esprit insuffisamment tordu ne saurait imaginer qu’en de néfastes utilités dans la superficialité des échanges dégagés de toute forme d’existentialisme en universalité humaniste, pour le reste des ‘’SÛRS-VÏVANTS’’…
Descartes (philosophe et mathématicien) disait: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’. Alors que ; Bergson disait: ‘’La vraie liberté n'est pas la liberté d'indifférence, mais la libération de notre plus intime et originale préférence’’.
Maintenant que sont définis tous les éléments de cette proposition comme étant potentiellement ‘’vrais’’ nous pouvons considérer cette proposition, potentiellement ‘’vraie’’ dans son ensemble de mots, signes et expressions. Mais, existe-t-elle ?, et surtout où ?
Existence de cette proposition.
Nous avons déterminé qu'elle était ‘’vraie’’, nous aurions tout aussi bien pu, la considérer ‘’fausse’’, si au moins un déterminant, ou tous les termes qui composent ce postulat avaient été ‘’faux’’.
Ce n'est pas le cas, et même si cela avait été ainsi, nous n'aurions pas eu la certitude de sa non-existence ‘’ici’’ ou ‘’ailleurs’’, car nos sens, en tant qu'outils mis à notre disposition, ne sont peut-être pas utilisés de la meilleure façon, et d'autres existants potentiellement, pas encore compris et parfois que partiellement identifiés, voir aujourd’hui encore limités de par notre constitution biophysique et intellectuelle… Avec ce que nous avons à notre disposition (sens, perception, connaissances acquises, pensée cognitive, imagination,........ Etcétéra…), et la façon dont nous avons utilisé ces outils, nous avons réussi à déterminer la proposition comme concept de ‘’vrai’’.
Maintenant, considérons la ‘’liberté’’ et ‘’l’indifférence’’, comme deux ‘’quelques choses’’ possédant la propriété d'être ‘’vraie’’, donc potentiellement réelle, tel que:
‘’… « L = Liberté et I = Indifférence »…’’
Et nous avons dans la proposition, un ensemble énonçant:
Un ‘’quelque chose’’ est plus bas qu'un ‘’autre quelque chose’’, synonyme par définition d'un ‘’quelque chose’’ comme étant ‘’subjectivement’’ ; soit la liberté, soit l'indifférence.
Notre perception, nous permet donc de dire qu'il existe un lien de verticalité (hauteur), entre L et I, induit par ‘’le plus bas’’ et ‘’degré’’, permettant de visualiser une position ‘’plus basse’’ quelconque de I par rapport à L. Dans l'état actuel de nos connaissances acquises depuis le début de ce chapitre, la perception la plus évidente s'inscrivant dans notre pensée est au minimum celles représentées ci-dessous :
Et si nous avons acquis quelques connaissances du langage ainsi que notions sémiotiques, nous pouvons aussi visualiser raisonnablement celle-ci:
[IL … LI] ; avec TL, où TL = Temps Libre »…
Mais laissons ‘’TL’’ de côté pour l’instant et considérons que nous avons acquis quelques rudiments de ce langage, et conservons la visualisation: […I…L…] ; plus ‘’utilisable’’ maintenant, sur le support en ‘’trois dimensions’’ qu'est la feuille. Dans les deux expressions écrites initialement, notre pensée grâce à la vision, nous permet de déterminer une direction de L par rapport à I et inversement et dire en premier instance, I est moins (-) que L. Nous pouvons maintenant représenter la direction par une ligne dont les extrémités serait le - (moins) et le + (plus) représentées comme suit:
… « - I _______________________ L… + » …
Nous avons donc fait la représentation visuelle en langage mathématique et textuel de la proposition écrite en langage ‘’compris’’, énoncée par les signes [+ & -] et réciproquement … - l'Indifférence est le plus bas degré de la Liberté… » Par cette petite démonstration, il voulait juste lui faire savoir qu'il avait compris ce qu'elle lui avait raconté, et lui faisait confiance lorsqu'elle lui avait dit: ‘’Je veillerai toujours à ce que soit affecté toutes prédispositions d'utilisation à petits morceaux de matière organique ‘’pensant’’ du meilleur outil nécessaire à l'accomplissement de leur art’’ ; et il pouvait maintenant comprendre ce qu'elle lui avait transmis auparavant, par le texte ci-après :
- « Ces êtres-humains doués (prédispositions) de ce langage (art) pour celles et ceux à qui il va être enseigné, par ceux et celles qui vont l'enseigner (transmissions), par activité de reproduction (dispositions), il a été raconté, et bien souvent admis par raisons de nécessité (apprentissage), puisque c'est la seule raison qu'ils, elles comprendront, car cette raison (cause) d'avant (innée ?) sera forcément celle d'après, peut-être légèrement modifiée (évolution) par association d'appartenance (lien), sauf à qui ce langage transmis ne serait plus la reproduction exacte ou légèrement modifiée (autre) de cette apprentissage (culture), par volonté d'en exprimer un autre (dessein) étonnamment, originalement et intimement différent (devenir) »… Au nom d’une potentielle évolution ; positive ou négative ?
Nous avons maintenant visualisé un système à une dimension, représenté par une droite dont le point le plus bas est défini par le signe écrit (-), et le point le plus haut défini par le signe écrit (+), où I est le degré le plus bas et L ; le degré le plus haut de cet ensemble, et notre pensée peut considérer cette espace à une dimension comme un sujet ‘’vrai’’, et ‘’existant’’.
Cette conclusion peut également être considérée comme ‘’vraie’’, car notre pensée, a ‘’symbolisé’’ dans notre ‘’conscient’’, grâce à sa faculté (propriété) de perception, par l'utilisation de ses ‘’outils’’ (sens), et, lui a permis de déterminer par notion de ‘’vraie’’, ‘’l’exigibilité’’ d'un ensemble, et peut être la non ‘’résistibilité’’ d’un système à une dimension en permettant une possible visualisation logique sur l’espace Euclidien, jusqu'au moment où, par notion de temps, cette pensée trouvera un ‘’quelque chose’’ resté inconnu jusqu'à l'instant de sa découverte, par le processus de la connaissance, la mémoire, la pensée, l’imaginaire et a pu être déterminé comme existant ou potentiellement ‘’réel’’ de, en, sur ou avec cette dimension de réalité, dont les propriétés positives, ou négatives auraient un lien avec les attributs déjà connus et considérés comme ‘’vrais’’, à l'instant où ils ont été perçus comme tels, et durables par notion de temps, dans cet espace quadridimensionnel. (Objet-Sujet 3D matérialisé dans le Continuum Espace-Temps, ET/OU dimension - [TEMPO-REELLE])...
Le ‘’lieu’’ d'existence de la proposition: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’ ; est donc un espace à au moins trois dimensions ‘’considérées’’, de par le fait, didactique, que la ‘’Liberté’’, ‘’l’Indifférence’’ et le ‘’Temps’’ sont chacun, chacune une représentation imaginaire de leur propre espace dimensionnel résidant de la même proposition alphanumérique, nommé Ensemble (E) ou Système (S), dont le lien serait un certain degré, point de vue ou perspective, mais nous ne savons pas où, en dehors de cette dimension qu’est la fonctionnalité textuelle et sémiotique ‘’émise’’, au même titre que la non présence ‘’matérielle’’ du temps dans la proposition, et pourtant existant ‘’réel’’.
À cet instant, il eut la sensation qu'elle le regardait écrire depuis un long moment, il levât les yeux de la feuille, pour la regarder, en laissant la pointe de son stylo sur la dernière lettre du dernier mot écrit, comme s'il attendait une réponse de sa part, afin de savoir s'il pouvait continuer dans cette direction ou pas. Elle dût ‘’entendre’’ sa pensée, car elle dit:
- ‘’Tu vois, grâce à tous ces outils mis à ta disposition, tu as réussi à en percevoir certains et à les ‘’toucher’’, afin d'en acquérir la plus belle des utilisations par et pour ton désir de trouver tous(tes) ces inconnus(es) qui te permettront peut-être de combler quelques vides sur ce grand tableau de la Vie au nom de ton amour d’ELLE…
Par ses mots, ‘’Elle’’ lui laissait espoir à imaginer qu'il devait exister d'autres outils, fonctions, vecteurs, connaissances, savoirs, liens et accords, entre les diverses intelligences humaines. Le tout était de savoir ‘’où’’. Cette pensée excitât son désir de ‘’savoir’’, et l'incitât à continuer vers cette ‘’direction’’…
Il remit le crayon sur la feuille afin de recommencer à écrire ; dans le but de concrétiser ses ‘’idées’’.
- ... Sa présence existe-t-elle dans un autre espace ?
- [...] + (…) … ∞
CHAPITRE 8
L’AUTEUR(E) INCONNU(E)
A moi de jouer…
A ce moment-là, je demandais à mon interlocuteur ‘’d'ailleurs’’:
- Excuses-moi, mais je souhaite t'interrompre.
- Oui, je t'en prie
- Lorsque je t'ai rencontré, tu m'as dit que tu allais me raconter une histoire, et maintenant, je m'aperçois que tu me parles mathématiques, formes & symboles. Je ne comprends plus rien, à ton langage, peux-tu m'expliquer ?
- Oui, Mickael, je vais essayer de te démontrer, quelle porte, tu dois réussir à ouvrir, afin de trouver le lien entre les propriétés, attributs, et facultés de l'inconnu(e) avec la proposition initiale, permettant d’en définir un nouveau postulat potentiellement ‘’existible’’. J'ai supposé par cette conclusion potentiellement vraie qu'il peut exister un ‘’lien invisible’’ ; donc ayant la propriété inconnue pour l'instant, proche ou non du ‘’L’’ ou de ‘’I’’, au même titre qu'il en existe un ‘’visualisable’’, mais inconnu, en dehors de sa visibilité entre le ‘’E’’ et le ‘’T’’, vu en tant que « S »… Je peux donc supposer qu'il existe un lien ‘’S’’, entre ‘’E’’ et ‘’T’’, permettant de former le [EST].
En conclusion, je peux représenter logiquement, cela par les représentations, ci-après, en langage mathématique sur le plan Euclidien, où ‘’ET’’, est la proposition initiale et ‘’EST’’, la localisation finale presque semblable, mais pas totalement, car ‘’EST’’ n'est pas ‘’ET’’, afin que tu comprennes où j'aimerai en venir, même si tu n’envisages pas pour l'instant ma façon d'établir un ‘’lien’’ possible permettant de passer de : ‘’I_L’’_ A _ ‘’E_S_T’’, alors que, lis ‘’Est’, et ‘’Est’’ n’est pas ‘’Et’’, et inversement. Car même s’ils sont proches phonétiquement, ils ne sont pas de compositions et formes semblables, et par la façon peut être presque similaire avec laquelle nous pourrions percevoir un lien potentiellement visible entre les différentes formes permettant de composer le mot ‘’U N I O N ‘’, par le ’’I’’ et le ‘’O’’, tel que ces deux formes-objets initiales (O I) seraient considérées comme des lignes dont une aurait la propriété dimensionnelle d'être fermée et l'autre celle d'être ouverte, et où ‘’I’’ serait le lien Inconnu ‘’vient’’, permettant d'unir le ‘’UN’’ et le ‘’ON’’, sachant que le ‘’ON’’, est un(e) ‘’inconnu(e)’’, potentiellement connectable. Tel le logatome suivant : (<UN>Ï<ON>)...
[…]…
- Oui, je sais cela.
- Oh, je te remercie pour ta pensée, mais tu me connais sur ce sujet. Je pense comme toi, qu'il existe certainement un lien, entre la logique, la physique et l'éthique qui pourrait être présent proche de l’étude ontologique ou de l’analyse psychologique, philosophique, philologique, ethnosociologique, anthropologique et métaphysique… Mais ces dimensions, ont tellement d'inconnus(es), que même, si nous faisons parfois quelques incursions sur leurs territoires, la tâche est tellement difficile que cela en est épuisant, ne serait-ce déjà par le nombre de contradictions existantes chez le mammifère-humanoïde. Et de plus, en hypothèses de pseudo-vérités en contre-mesure de postulats cultu®els, particuliers, la grande majorité ne sont que croyances invérifiables et paradoxales au regard du sens du monde naturel. C'est, certainement, pour cela que je laisse de côté le domaine théologique et l’étude des religions, et en toutes évidences, ici, sur Terre, je n’en ai point nécessité. Le présent proche me suffit et ne m’empêche en aucune façon d’effectuer études diverses sur tout sujet qui apporterait ouverture d’esprit suffisante au maintien d’une ethnosociologie, en conditions humaines ; acceptable pour toute à chacun(e) et réciproquement, tant du domaine épistémologique que de l’ontologie humaine et de l’éthique naturelle. J’'apprécie beaucoup ton attention ainsi que votre venue. Je suis certain, que nous aborderons ces sujets un peu plus tard tous les trois, avec le plus grand plaisir, afin que nos dialogues puissent assurément être sources d’agitations intellectuelles suffisamment imaginatives et sociologiquement, peut-être, utiles à l’équilibre de raisons…
- Merci, Mickaël, je savais que tu ne pouvais répondre que cela.
- Et, de plus, ‘’Emma’’ me fait penser à un être avec lequel j'ai vécu une merveilleuse histoire, et certainement beaucoup plus, par la passion commune qui nous liait à l'époque, et dont elle ne soupçonnait peut être pas, l'existence de ce lien tressé par tout ce que j'aimais de sa dimension affichée à sa personnalité.
- Merci, mon ami ! Je comprends, nous reviendrons une autre fois, alors.
- Oh non ! ‘’Mathéo’’ dit-elle, faites ce que vous aviez envisagé, et si vous le voulez bien, je resterai près de vous en vous écoutant. Je ‘’pressens’’ que cela va me plaire.
Ils se regardèrent tous les deux, et dirent en chœur:
‘’Ho oui, ça c'est bien !’’.
- Prenez des croissants avec le café ou le thé, si l’un d’eux vous fait envie et après nous commencerons !
- Ok, répondirent-ils.
- Prenons notre tasse, et asseyons-nous là-bas, ‘’Monahrie’’ a changé un peu la disposition, elle devait sentir que tu allais venir accompagner, elle te connaît bien.
Aller C’est parti ; allons-nous installer…
D'ailleurs, aujourd'hui, elle est allée je ne sais où, encore, elle ne tient presque jamais en place, je ne sais d'ailleurs toujours pas où elle trouve cette force énergisante. Mais je pense que son désir est aussi fort que le mien, et certainement pour des raisons communes, dont les tiennes aussi pour partie, même si tu penses que l'aboutissement est totalement impossible, même avec l’aide du discours entre les sciences et les arts… Mais pour l’instant, je souhaite seulement trouver des traces dans les propositions écrites, qui me permettraient d’imaginer les phrases et addition de signes, mots et symboles en tant qu’ensembles [Objets-Sujets] ; telles des parties, potentiellement sécables au même titre que n'importe quel morceau de matière physiquement existant, jusqu'à sa plus petite fraction visible, afin d'en déterminer les liens entre ses plus infimes parties et peut-être intimes expressions et impressions, avec les outils que sont les langages mathématiques et logiques accompagnés d’un peu de philologie, philosophie dé-platonisée, desseins sémiotiques, éco-naturalité, scénographie antique, analyse historiographique, étude Aristotélicienne, Irénologie partielle, scénologie moderne, etc… ; afin de parcourir les chemins vers le réel sens de nos existences instruites par gnoses, thèses, épistémologies de bons alois et discours cohérents.
- Vaste programme ! Que veux-tu me faire entendre, par tes propos ?
- Tu concevras indubitablement la finalité un peu plus tard. En attendant je vais vous lire une fable de ma composition, si vous le voulez bien.
- Tu ne m’avais pas indiqué, que ton ami écrivait ce genre de texte, dit Emma.
- Je ne le savais pas moi-même. Par contre, qu’il soit un peu illuminé, ça, c’est une certitude.
- Oh, ça va, tu sais bien que ma curiosité envers tout ce, celles et ceux qui m’entourent proches ou un peu plus éloignés(es), n’a aucune limite…Et tout cela au nom de la compréhension de toutes ces lettres assemblées deux à deux au commencement, afin d’en analyser leurs compositions textuelles et fonctions littérales établies en tant que mots, signes, symboles, lemmes et vecteurs de possible compréhension. Je suis certain, de, par les effets produits bons, ou mauvais par la parole prononçant les mots dits et formulations textuelles dans n'importe quelle langue, qu'il existe des traces permettant de répondre à certaines questions existentielles par l'analyse de tous ces langages avec l'aide de la logique, des mathématiques, et autres signes, formes, expressions didactiques, sémiotiques représentations éditoriales, poétiques, voire autres. Bon voilà, je vous lis, mon texte, intitulé :
LA PLEBE, DEMOCRYTOS ET FELONIE
Que nous n’en avons vu passé, depuis tant de temps
Ces palabreurs d’amphitryon, simulacres de Thémis et Théocrite
Savants prétentieux, experts en politique et philosophie
Opportunistes de caves, rats de laboratoire, sorciers de l’usure
Où notre seul ornement fut de plébiscité bouquet d’effervescences
Nous les gens sans étiquette, ni presbytère, temple, et régime
Nous qui adorons, les fées, les contes, les fables et les anges gardiens
Poètes de l’impossible et épistémologues tendres
Artistes à desseins vivants, chantres des sons accordés
Gaies luronnes et joyeux drilles, contre les pisses froid
Par Cyrène et Dionysos irons voiles gonflées, avec lemmes d’Hédonie
Sans tourner vinaigre sur contrée des rois mages et leur colline noire
Les horizons sans lumière, n’ont pour ligne, que songes sans réalité
Les éclairs de Zeus, le Trident de Neptune et le marteau de Thor
Ne nous servent, par dérision faite de notre genre à valeur sagace
Qu’à décrire les fioritures de l’homme d’ignominie, comme malheur
Envers les bonnes natures, et les charmeuses de délicatesses
Où les eaux nourricières, ne sont plus que boues nécrosées
Sur l’échiquier de l’inconscience, les barbares et fous d’exérèse mutilent
Nous en avions déjà cités, des plus félons, par seule linguistique démonstrative
Où les feuilles du temps et de la raison n’ont eu que parachèvement de l’inutile
Par ignorance des mots à sentence éclaircie,
Le couperet de l’injustice, ici et là exerce
Les figurines de la digue des justes, ne sont plus que cris voués à la paranoïa,
Aux soldats des prêcheurs d’obscurantisme, les cycles de l’histoire,
Par l’exigence des hommes incultes, d’avoir guide suprême,
Fit, à chaque cycle, déclin civilisationnel,
Avec chiens de guerre et soldats des dieux
A toute chose, il aurait fallu considérer le sens, avant la fin
Les sacrifices n’ont-ils pas jalonné la chronologie civilisationnelle ?
Des animaux, aux humains, et aujourd’hui à Nature qui les contient
Les communautés humaines, après apogée de leurs sciences,
N’ont-elles pas sombré dans les méandres de la décomposition
Des Aztèques vénérant Soleil et Lune, sacrifiant jeunes vierges
Les pyramides d’Isis et Osiris avec les pharaons d’Egypte
Babylone, avec la loi du Talion en Mésopotamie,
La déesse Kälï, Shiva, l’Hindouisme avec ces castes
La Grèce, Rome, où la plèbe ne réussit à faire entendre meilleure voix
Les nouveaux Empires et Dictatures affichés aux yeux des hommes,
Où dans cette évolution machiavélique, quelques équilibres eurent lieu
Vite dénaturés par commande des dieux, affiliée à quelques sombres dévots
Bienséants à néfastes Catéchèses, Torhanies, Coranies, et autres cauchemars
Tout cela n’est-il pas la limite de l’anathème,
Et pour l’homme à suffire de penser, être un demi-dieu
Alors que sa conscience ressemble encore à celle d’un infâme messager
Agité par expressions mégalomaniaques, attachées à essentialisme de bas compte…
- Bon, je crois qu’il va falloir revenir plusieurs fois sur ton texte, dit Mathéo, en faisant une mimique mi-figue, mi-raisin…
- Donc ces propositions écrites en langage connu, doivent pouvoir être expliqué, par autres définitions et déterminants connus(es) ou encore inconnus(es), afin de leurs appliquer la notion de ‘’possible’’ dans un espace ‘’connu’’ permettant d'en percevoir la direction à prendre dans notre propre espace d'existence, au nom des notions de beau, de bleu, de bien et de bon sens du vent. Car ces mots, signes, symboles et expressions en tant que source du langage, ont parfois cette belle faculté d'amorcer des processus d'accords et de liens entre différents, à la condition qu'ils soient compris par nombre les utilisant, et que leurs justes fonctions, propriétés, facultés et sens en soient découverts, au nom de la potentielle évolution ‘’humaniste’’, pouvant peut être nous permettre de nous approcher de la juste vérité ou meilleure sincérité, grâce à l’art des mots ‘’niés’’, et des signes sans transitions ‘’visibles’’. Les futurs enfants d’Irène – Dans la mythologie, déesse grecque de la réconciliation – deviendront, peut-être ; proches d’une forme d’entente acceptable, entre existentialisme et matérialisme... ; soluble avec une potentielle thésaurisation usurière respectueuse de la conservation du bien commun et du vivant. Et ‘’Mathéo’’ maîtrise le langage mathématique, la logique, et surtout celui des formes et des perspectives.
- Hé, au fait de quelle idée voulais tu me faire part ?
- Je souhaite parler avec toi des diverses forces électromagnétiques, où la lumière et le son en sont des représentations de leurs longueurs d'ondes, perceptibles pour certaines par notre vision et notre ouïe, et dont leurs transitions sont difficiles à appréhender, ne serait-ce simplement de par la célérité à laquelle elles évoluent, par rapport à nous, sauf lorsqu’elles peuvent être stabilisées sur, ou à partir d’un référentiel…
- Ah, ça tombe bien, aujourd'hui je souhaite te soumettre une phrase écrite, en tant que proposition, afin de l'analyser ensemble, et nous aurons besoin de toute la vision sensorielle et possible perception extra-sensorielle…
- Quelle est cette proposition que tu as imaginée, afin que nous la coupions en ‘’petits morceaux’’…
- C'est cette suite de logatomes…
Je l'ai écrite, au tableau, c'est plus facilement compréhensible à la lecture.
[- Si est un là, où est un ? Un est là ? Et si est, alors, non en la, de ci en…
Là, ou 2 si en la ; si 2 si là, alors, SISI là, mais où est un, si non en la et si 2 si là… … ?
Alors peut-être ces ‘’deux’’ la, là ?
Ou 2 L à ‘’EL-LÂ’’, et, 1 S à LAS...
Qui sans ce ‘’L’’, fait ‘’AS’’…
Et avec un autre ‘’S’’ ; c’est un ‘’SAS’’…
Et peut-être une impasse ou une aporie… ??? ].
‘’Emma’’ lu en même temps que ‘’Mathéo’’, et là, je vis son visage se décomposer quelque peu. Elle devait penser que nous étions dingues. Mais en même temps j'eus l'impression que cela s'adressait plus à moi qu'à ‘’Mathéo’’, car elle cherchait désespérément à croiser son regard.
Il dût le sentir car il la regardât à cet instant, elle était à sa gauche, il lui dit:
- ‘’Mon cœur, n'ai pas peur, je ne t'ai pas emmenée dans un asile’’ en riant.
Et là je crûs qu'elle allait disparaître sous la table.
Il posa délicatement sa main sur son avant-bras, comme pour la rassurer. Car il savait qu'elle allait forcément répondre quelque chose
- Tu viens de m'appeler mon cœur !? .
Elle avait totalement oublié la phrase inscrite au tableau, et son visage ne transmettait plus que du bonheur, malgré toute l'ineptie de mon entrée en matière.
Il lui répondit, très fier: ‘’Je voulais déjà te le dire’’.
Alors pour essayer de la rassurer sur nos cas. ‘’Mathéo’’ me connaissait bien, et elle venait d'acquérir, un autre degré de confiance envers lui. Je lui dis:
- Vous voulez bien m'écouter, s'il vous plaît, ‘’Emma’’ ?
- Oui, mais tu peux me tutoyer.
Elle avait repris une allure normale.
- Je te remercie ‘’Emma’’ pour la petite confiance que tu me fais. Tu vois, aujourd'hui ; je n'avais pas prévu votre venue, mais le ‘’temps’’ si, puisque vous êtes là ‘’maintenant’’, et cela me ravit. Je pense, peut-être à tort, que rien n'est totalement dû au hasard, car, même si ma proposition est fausse par son ‘’incohérence’’ textuelle, elle est potentiellement ‘’vraie’’ par certains de ses éléments vers-balistiques qui la compose, et il me serait tout à fait possible d’y ajouter des mots objets, à fin de la prolonger, pour en écrire une petite histoire. Une des raisons, et il y en a d'autres, mais celle-là est la principale, c'est l'effet, ressenti par la réception de l’émission, résultant du locuteur, qui me laisse penser qu'il existe des forces présentes permettant de considérer cette proposition dans son ensemble physiquement vu comme potentiellement réelle, car, lue et dite elle ne peut être considérée que comme fausse ici et maintenant, au nom du n'importe quoi mais pas au nom du ‘’rien’’, car rien serait le ‘’vide’’, tellement vide, qu’il me serait inenvisageable de pouvoir émettre sons et vocalises ; poser sur un référentiel, mots, signes, formes, symboles, expressions, ‘’sujets-objets’’, dessins, gammes, peintures ; écrits et impressions quels qu’ils ou elles soient, ne serait-ce même qu’un point, qu’il soit de couleur noire ou autres.
Et le vide s'il existait réellement, le hasard n'existerait pas, mais le hasard est une phénoménologie incompréhensible, voir inconnu, même si les aléas de la vie font parfois bien les choses. Alors, oui, tu aurais le droit de me dire que le hasard n'est pas un ‘’objet’’, et je serai partiellement d'accord avec toi, temps qu’il n’est pas écrit sur un support visible, et il est assurément un sujet d’analyse philosophique… Il est peut-être aussi, autre quelque chose, potentiellement existible quelque part dans une dimension sensiblement ‘’touchante’’, en tant que force ou énergie. Et d'ailleurs aujourd'hui, les physiciens, les théoriciens avec l'aide des mathématiciens, et autres chercheurs, ont émis la théorie que le ‘’vide zéro’’, n'existe pas, car ils se sont aperçus, qu'il leurs était impossible avec toutes leurs connaissances acquises, de déterminer, avec exactitude physique absolue, les attributs et propriétés de certains corps, et surtout les ‘’énergies’’ liées aux organismes, celles existantes dans les corps en mouvement et ces forces entre elles, où le plus petit élément connu est l’Atome en tant qu’objet, composé de MATIERE & ENERGIES…
Il y a deux phénomènes que nous percevons relativement bien par leurs effets, mais connaissons que partiellement en et de par leurs propriétés physiques. Ce sont, le ‘’son’’ et la ‘’lumière’’, en tant qu’ondes électromagnétiques. Nous savons que la vitesse du son est différente suivant les espaces ‘’physiques’’ et ‘’matériels’’ qu'il traverse, et ce ‘’son’’ n'est qu'audible sous certaines fréquences par notre oreille lorsqu'il est émis dans ‘’autre’’ que vide (voir le fond diffus de l’univers), mais nous pouvons quand même grâce à certains outils, réceptionner son émission, même s'il a traversé les grandes distances du soi-disant vide, et pour la lumière, sa vitesse ‘’universelle’’ n’a su être déterminée avec absolue précision, car il est édicté scientifiquement qu’au moins huit vitesses différentes peuvent être utilisé pour caractériser la propagation de la lumière, à savoir : la vitesse de phases, de groupes, d'énergie, de signal, la constante de vitesse relativiste, la vitesse de rapport d'unités, la vitesse de corrélation, la vitesse cinétique (Centro-vitesse) ; d’un photon dans un espace-temps courbé et une 9ème, liée à la masse d’un objet, soit : la vitesse d’accélération produite par la force gravitationnelle d’un ‘’objet’’ sur un autre. (Voir les trois de Kepler et la force Newtonienne de la loi des périodes).
Sa direction change en fonction du pouvoir de diffraction des éléments qu'elle traverse et rencontre dans le ‘’non vide’’ et causes de ‘’ses’’ différentes singularités. Elle est par ailleurs nommée : ‘’Célérité’’, dont le symbole est : ‘’C’’. Et V= m?-¹, soit pour un objet de masse M et de sens directionnel ‘’S’’, un nombre de mètres(m) par seconde, ou km/h. Cela a été déterminé, mathématiquement. Et pour ‘’C’’, une seule petite partie de son spectre est visible par l'œil ‘’humain’’, en tant que lumière ‘’entendue’’ visible, dans la totalité de ce qui compose le spectre des ondes lumineuses ou forces électromagnétiques, considérées comme telles par leurs timbres et leurs couleurs, elles-mêmes incluses en tant que liens à l'énergie et la matière, permettant de considérer les éléments ‘’physico-chimiques’’ et ‘’matériels’’ comme systèmes ‘’duaux’’, tel un système : [Ondes-Corpuscules] ? … ((((._.)))) …
Voir la dualité onde-corpuscule et la théorie de Schrödinger, ainsi qu’autres conceptualisations émises par les physiciens, mathématiciens, scientifiques et épistémologues, voire philosophes.
Ce qui laisserait imaginer qu’il existe peut-être une vitesse ‘’lumière noire’’ (longueur d’onde), toujours légèrement supérieure à toutes ‘’célérités’’. Mais pour l’instant laissons cela de côté, car aucun outil actuel ne permet de vérifier cette hypothèse… Mais peut-être aux alentours d’un ‘’trou noir géant’’ ; inaccessible pour pouvoir définir la théorie du Multivers. Ce qui permettrait peut-être de compléter la structure du spectre électromagnétique, par l’hypothèse même de la courbure de l’espace-temps… Et les quelques liens manquants dans la théorie d’unification de l’univers, où sa plus petite mesure démontrée ‘’physiquement’’ est de l’ordre de 10P-29 m, au rapport de la dimension la plus grande et encore inconnue de l’Univers… Mais pour l’instant d’un ordre de grandeur équivalent à la taille de l’univers théorisé…
N'oublions pas ; et j'arrêterai là, la lumière est exprimée en mètre par seconde, où, le mètre, est l'unité de mesure mathématique de la ‘’distance’’ et la seconde l'unité de mesure ||physique]à… Du temps. Donc nous pourrions très bien considérer la lumière comme élément d'un ‘’espace-temps’’, à quatre dimensions minimum, dont le couple ‘’Temps-Lumière’’ serait l'inconnu potentiellement connu en tant que 4ème dimension de notre espace ‘’connu’’ constitué des trois autres que sont les deux distances représentantes de la longueur et la largeur ou hauteur ‘’matérielle’’ telle une visualisation en plan ‘’euclidien’’, dont la profondeur ou l’épaisseur permet de donner une texture palpable aux objets 3D par assemblage de leurs ‘’atomes’’ ; (de l’ordre de grandeur de 10P-15 m), grâce aux forces et énergies les liant, et dont chaque objet est défini chacun par un début et une fin matériellement tridimensionnelle leur permettant d’être réel de par leur forme physiquement et mathématiquement considérée comme plus ou moins proche de nous en tant que volume, autre que sphérique ou cubique, à tendance ovoïdale, telle une planisphère ou notre sphère d’existence à nous, où nous sommes résidents à sa surface (plan euclidien), elle-même installée à l’intérieur d’un système considéré comme espace stellaire en mouvement, en tant que composant galactique, qui avec autres corps célestes en déterminent notre galaxie la voie lactée, elle-même faisant partie d’un espace-temps partiellement connu et théorisé… En tant qu’univers en expansion, conceptualisé de par l’effet entropique.
Permettant à notre perception aidée, si nécessaire par des outils, si celle-ci ne permet plus l’accessibilité en l'infiniment petit et l'infini grand lointain, en tant que dimensions éloignées de notre perception et sensibilité, afin, que dans notre espace d'existence les formes coexistent entre elles en tant que telles, par leur dimensions représentantes de leurs volumes finis et par leurs lignes visuellement considérées comme des distances définies par notion de stabilité, résultat de l'équilibre interne de leurs molécules, éléments de la matière, en tant que constituantes d’elle, dont l’autre fondement en est l’énergie, où tous les éléments premiers, en autorisent une composition quantique, atomique, physique, corpusculaire, mécanique, matérielle propre à chaque objet touchable et visualisable, en fonction des capacités assignées à l’organisme vivant, avec pour l’être humain, la faculté de la pensée cognitive et de l’imaginaire, en autorisant ce que l’on nomme : L’évolution scientifique, technologique et métaphysique par les connaissances et savoirs, avec potentielle accessibilité humainement acceptable par les langages, ainsi que leur compréhension en tant que liens nécessaires, utiles et essentiels aux échanges entre les êtres vivants… Et cette évolution humaine a commencé il y a fort longtemps, par à l’origine, l’utilisation et la transformation manuelle des objets déjà existants sur ‘’TERRE’’, la maitrise du feu, l’élevage, l’agriculture, la transformation du fer et la construction, l’emploi du vent, la canalisation de l’eau ; puis la compréhension et la domestication de l’électricité, et enfin depuis longtemps l’étude de la physique (le mot atome existait déjà dans la grammaire grecque) et depuis environ deux siècles, celle des énergies, de la biologie, la matière corpusculaire, biophysique, la mécanique quantique, l’informatique, les nanotechnologies, la chimie moléculaire, la génétique, l’astrophysique et la cosmologie en tant qu’autant de systèmes matérialisées, formes et dimensions physiquement représentables, en tant qu’ensemble [Objets-Sujets] tridimensionnels ; défini sur un référentiel en plan euclidien ou dans tout espace-temps, et espace mathématique, tel celui défini par Minkowski, appelé : Espace de Minkowski.
N’oublions pas la notion de relativité consubstantielle à ce postulat : « Tout [ce qui peut être OBJET de notre connaissance] n’est que le SUJET d’une REPRESENTATION remarquable. »
La dignité sociologique ne saurait s’imputer du prix de chaque dignité personnelle en usure du montant d’un bien communautaire.
En oubliant, ce précepte philosophico-sociologique, il ne saurait advenir que division, sans autre prescription qu’un affaiblissement civilisationnel, instruit par des Etats liberticides…
‘’Représentation – Objet – Sujet’’…
N’aurais-je pas oublié un 4ème terme…???
Cette faculté dont personne ne saurait se passer !
Et permet de croiser les savoirs et connaissances, pour toute évolution civilisationnelle… Bonne, mauvaise ou néfaste, cela est autres sujets…
En effet qu’en est-il de la PENSEE…?
La scénographie moderne serait-elle seulement possible sans la pensée ?
Que celle-ci soit philosophique, épistémologique ET/OU ontologique ?
Je n’ose prendre le temps d’approfondir tout de suite cette question des plus invasives chez le ‘’mammifère humain’’.
Son histoire ne fait que commencer.
Quelques minutes, à l’échelle de l’univers connu…
L'ESPACE N'EST PAS VIDE : CE QUE LE MONDE ENTIER DEVRAIT SAVOIR DU VIDE EST QUE LE VIDE (0), N’EXISTE PAS…
Depuis plus d’un siècle, il est bien connu que : le vide de l’espace qui remplit l'univers est le substrat réel (vrai) de l'univers.
Ce que nous nommons ‘’vide’’, dans un état circulant, devient la matière. L'électron est la particule fondamentale de la matière et est un tourbillon d’ondes (électrons, neutrons …) à l’extérieur du proton, de corpuscules (protons) au centre de l’atome, et autres éléments (bosons et quarks…) à l’intérieur du proton, et cet ensemble est dynamiquement stable. La vitesse de la lumière quant au vide est la vitesse maximale que la nature a fournie et est une propriété inhérente du vide. Le vide est un liquide subtil inconnu dans des médias matériels (substrats); le vide est sans masse, continu, non visqueux et incompressible et est responsable de toutes les propriétés de la matière, et ce vide existait toujours et existera pour toujours. Alors des scientifiques, des ingénieurs et des philosophes des temps d’avant, et de maintenant, veulent laisser leurs responsables dans la croyance du créationnisme, s’opposant à la théorie de ‘’l’évolution du vivant’’, édictant que l’univers serait non inflationniste, et par conséquent que les énergies de l’évolution, n’aurait aucun effet sur notre ‘’monde’’, sachant que la science moderne a trop souvent ignorée l’effet holistique (tendance dans la nature à constituer des ensembles qui sont supérieurs à la somme de leurs parties, au travers de l'évolution créatrice). Dans notre poursuite pour découvrir la réalité, depuis l’avènement de la compréhension des phénomènes électriques, électromagnétiques, électrostatiques, mécaniques, chimiques et gravitationnels, forces faibles, fortes… ; etc… ; par la physique, la chimie, les mathématiques, la mécanique des matériaux, la physique quantique ; la physique moléculaire et la physique cosmologique (L’infiniment petit, à l’infini grand ‘’lointain’’), accompagnées par les connaissances, savoirs et théories des scientifiques tels que : Galilée, Léonard de Vinci, Newton, Kepler, Tesla, Ampère, lois de Kirschoff, Avodagro, Gay Lussac, Bernoulli, Malbranche, Dalton, Lavoisier, Faraday, Bolzman, Mendeleïev, Pierre et Marie Curie, Leibniz, Effect, Pointcarré, Schrödinger, Planck, Dirac, Einstein…, etc… , en physique-chimie ; Euclide, Aristote, Taylor, Minkowski, Hausdorff, Krull, Von Koch, Wheeler, Turing… , etc… en mathématique, et bien d’autres ‘’Chercheurs-Trouveurs-Assembleurs-Attracteurs(es)’’ – CTA2 – depuis les temps immémoriaux, de la naissance des langages, de l’intelligence ‘’humaine’’ et des ‘’lumières’’…
Ce susdit a été le sujet de discussion dans les domaines de la physique, l'astronomie et la cosmologie pendant des décennies avec l’aide des mathématiques et le langage de la logique. Au tournant du XIXème siècle, les physiciens ont commencé à explorer la relation entre l'énergie et la structure de matière. Ce faisant, la croyance qu'un univers matériel physique, Newtonien qui était au cœur même du savoir scientifique a été délaissé par la conception édictant que la matière n'est rien qu'une partie du réel connu, et l'a partiellement vérifié. Les scientifiques ont commencé à reconnaître que majeure partie dans l'Univers est soumise aux lois de l’ENERGIE et des Ondes Electromagnétique, dont la lumière visible (au même titre que le son) est une composante, oscillant entre 400 et 770 THz (Téra hertz = 10?² Hertz). Les physiciens quantiques ont découvert que les atomes physiques sont composés de vortex d'énergie, qui sont en perpétuelle vibration (Ondes), chaque rayonnement à sa propre signature d'énergie unique.
Cela est également connu comme définition du ‘’Vide’’ ou ’’Champ de Point zéro’’.
Voir également le fond diffus de l’Univers.
Ce qui est encore plus fascinant est que les ‘’choses et phénomènes’’ dans cet espace peuvent être accessibles et utilisés, notamment de par les ‘’nouvelles technologies’’. Ceci a été expérimentalement confirmé quand Casimir Effect a illustré le point zéro ou l'énergie à vide d'état, qui prévoit que deux assiettes métalliques s'attirent de façon rapprochée en raison d'un déséquilibre dans les fluctuations quantiques (la source). En envisageant la nature de notre réalité et ce que nous percevons, comme étant notre dimension physique, aucun point (aucune raison) n'est plus central que ceci, cet espace n'est en aucune façon vide, c'est la place (le siège) de la physique la plus violente. Wheeler
En hypothèse, nous pourrions bien imaginer que l'espace d'existence de la matière ‘’inerte’’ ou ‘’mobile’’ serait un espace d'existence commun, à cinq dimensions, longueur, largeur ou hauteur formant le plan euclidien horizontal ou vertical, exploitable que de par ces deux dimensions visibles, mais pouvant être représentées sur un support en tant que référentiel a plus que ses deux dimensions, l'épaisseur déterminée en tant que réalité ou la profondeur perceptible et définie réellement ; représentantes du volume permettant la perception en dimensions finies des ‘’objets volumiques tridimensionnels’’, où, leur espace d'existence perceptible ou non, serait le couple (Energie-Temps), en tant qu’espace tempo-réel ; tel : ([L ou l] x [H x P] + (ET)) = ([ _|/ ] + (ET…)), avec ET = Energie Temporelle ; permettant la réalité de ces objets par l'existence d'au moins ces cinq éléments, (L x H x P + E + T) plus encore un multiple commun en les différentes forces en tant qu’énergies connues et/ou inconnues…
Pour moi, il en manque encore trois (6, 7 et 8), pour aller jusqu'à neuf, afin qu'il reste toujours une force en tant que ‘’lien’’, pour, faire le (1) de la base 10, qui serait le dixième élément de la base d'avant, et le premier après le ‘’un’’ de la base d'après, par notion du 2 écrit en base binaire (IO), représentant du ‘’troisième élément’’ (0 ; 1 ; 2) de la base décimale, plus ‘’quelque chose’’, pour faire la base ‘’trois’’ après la ‘’deux’’, où le dix numérique serait le premier nombre à deux chiffres après le neuf positif, avec pour passage avant la base suivante, les deux déterminants 0 et 1, tel le nombre 10?² = 0,?²1° en tant que degré (°) de passage entre deux bases physiques, où le ‘’un’’ (1) serait correspondant d’un ‘’quelque chose’’ de physiquement existant et le ‘’zéro’’ (0), un quelque chose inconnu, mais dont ses effets seraient potentiellement perceptibles dans notre espace tridimensionnel défini par les trois distances physiquement perceptibles de par leurs volumes massiques par au minimum ces cinq ‘’briques’’ essentielles à notre espace de réalité, composé de la matière par les protons déjà en trois dimensions à l’échelle quantique; ‘’l’énergie’’ en ses diverses forces , faibles, fortes, électromagnétiques, attractives et gravitationnelles permettant de lier les éléments premiers en les atomes, molécules, particules, corpuscules, etcétéra…, et la ‘’distorsion temporelle’’, afin qu’existe un potentiel équilibre dans cet espace ‘’TEMPOREEL’’ multidimensionnels. En considérant que l’exigibilité de donner texture à cette théorie réside majoritairement en l’analyse de tous les langages dont le langage binaire est le dérivé second de la base physique qui est ‘’rien’’ ou ‘’quelque chose’’ en énonçant le zéro (0) et le un (I) communs à toutes les bases, en tant que ‘’quelque chose’’ pour le ‘’un’’, et ‘’rien’’ pour le ‘’zéro’’ où sa représentation mathématique est un ‘’cercle’’ (O), malgré qu'il n'est ‘’rien’’, et qui physiquement devrait s’écrire en langage SIGMALPHA-NUMERIQUE, ([-I?²I+])…
Soit (5) en langage numérique, ‘’cinq’’ en langage alphabétique, (IOI) en langage binaire, ‘’V’’ en écriture romaine, où cinq est la moitié de dix, et donc le ‘’double’’ du deuxième nombre premier (3 ; 5), avec pour premier nombre deuxième ‘’Deux’’ (2), où son multiple exponentielle positif existe à partir de deux égal à (1+1), et son diviseur exponentiel négatif à partir de -10, tel 0,1 égal 1x10 puissance -2 (10?²), sachant que racine carré de 2 (√2) et le nombre Pi (π) sont deux inconnus ‘’Phi’’, ? en Latin, et φ en Grec, mais non irréels, puisque le premier est vecteur du plan euclidien, -[\] ou +[/] et ‘’Pi’’, π est le vecteur expansif du ‘’point’’ (.³), à potentiel sphérique tendant vers une racine cubique à déterminant ovoïdal et le nombre d’or valant (1 + √5) / 2 soit environ 1,618… Autorisant par cette petite analyse alphanumérique et autres études, pouvoir penser que l’espace multidimensionnel est une réalité de la sémantique métaphysique, et le multivers une possibilité de l’espace-temps relativiste… De par la théorie de la relativité générale. Au même titre que la théorie des cordes… Pour l’infiniment petit…
Mais soyons pour l'instant plus réalistes et revenons sur Terre avec nos moutons, que nous connaissons bien, car je crois que mon exposé a peut-être potentiel, à m’attirer certaines foudres, attachées à autres croyances, prosélytismes obscurs et dogmatismes aléatoires…; trop éloignés des distinctions propres aux agnostiques, athées et attachés(es) aux à la gnose comme des savoirs alliés à l’épistémologie, l’ontologie, les arts et la culture, autorisant potentiel discours pluridisciplinaire entre les arts et les sciences… ; ici, dans le monde naturel du et des vivants par les thèses et théories affichées à meilleures formes d’universalité, en confrontations d’édictions sectaires, impérieuses et souvent nihilistes d’avec allégories créationnistes… ; accompagnées de quelques études philologiques, dialectologiques et linguistiques en recherche et échanges de bons alois…
Je pense qu'il était temps que je dise cela de par ma dernière phrase exprimée, car j'avais l'impression, que la pensée ‘’d'Emma’’, était assaillie par un nombre incalculable d'inconnus(es)…
D'ailleurs Mathéo devait être en accord avec elle, car il me dit :
- Tu as raison, Mickaël’’, en sous entendant : Il va falloir que tu m’expliques cette théorie fumeuse… Je sentis que j'entrais, tout de même, quelque peu dans la dimension artistique d'Emma, qui était sûrement celle que m'avait indiqué Mathéo, à savoir la spiritualité, ou peut-être la métaphysique, dont le préfixe ‘’Méta’’, veut dire : plus ; après, entre, voire plus loin… Mais je préférais quand même changer de conversation ; elle n’était pas prête à en entendre plus. Je disais donc, en m'adressant à tous les deux: ‘’Je suis ravi que vous soyez là. D'ailleurs, je crois qu'il existe un lien entre toi et Mathéo, que je ne connaissais pas avant, car je n’étais parvenu à l’imaginer de par ma, non présence physique proche de vous. Aujourd'hui, je peux percevoir qu'il existe un accord entre vous deux, peut-être un, entre vous et moi, et un potentiellement ressenti existible entre vous et, Monahrie.
Cela n'est pas impossible ?
N'est-ce pas ?
Elle ne répondit pas, mais malgré son expression quelque peu teintée, d'incompréhension, de doutes, voire de refus, engendrés par ce que j’avais émis auparavant. Je sentais quand même qu'elle avait encore une petite confiance en la situation, et je vis, sur le visage de ‘’Mathéo’’ l'expression: ‘’Vas-y, tu peux continuer’’.
Et il s'adressât à elle : ‘’Ne t'inquiètes pas, chérie. Je surnomme ‘’Mickael’’, le ‘’Décortiqueur’’. Mais je suis certain qu'il fait cela pour une bonne cause.
- J'essaie de le faire de mon mieux, mais mes savoirs sont parfois insuffisants. Je voulais te demander ‘’Emma’’, si tu voyais l'endroit où, nous sommes ?
- Oui, bien sûr, je ne vois pas comment je ne pourrais le percevoir.
D'un ton sec.
Le regard de ‘’Mathéo’’ me disait: ‘’Mickaël, ne vas pas trop loin’’ !...
- Pardon ‘’Emma’’, pour ma stupide question.
- Ce n’est pas grave.
- Eh bien, cet endroit n'était pas comme cela avant !
- Comment était-il ?
- Si tu veux bien, je te répondrai plus tard, car pour l'instant, je pense que cela n'est pas très important.
- D'accord, tu as peut être raison.
- Donc la semaine dernière, ‘’Monahrie’’....
- Excuses-moi, mais je voulais déjà te demander, d'où venais ce nom ?
- Je suis désolé, mais je ne sais pas, et non plus si c’est un nom ou un prénom.
- Je t'ai demandé cela car tu l’avais déjà prononcé, et je le trouvais bizarre.
- Tu as raison, mais qu'est-ce que j'aime ce prénom !
- Oh, pardon, Mickael, je ne voulais pas t'offenser.
- Ne t'inquiètes pas, ça fait toujours ça la première fois. Hihihi ; iii…
- Je comprends, en me rendant mon sourire.
- Je continue, ‘’Monahrie’’ a disposé ces chaises autour de cette table, de telle façon, que nous puissions voir le tableau fixé au mur, car, lorsque nous sommes, tous les deux, en grande discussion avec ‘’autres’’, nous nous sommes aperçus que chaque idée voulant être exprimée, lorsque nous sommes plus de deux, était plus ‘’facilement’’ compréhensible, par ceux et celles qui la visualisant de cette façon.
A cet instant, j'entendis la voix de ‘’Mathéo’’, accompagnée par un rire franc et sincère: ‘’Vous êtes vraiment deux dingues !’’.
- Peut-être, lui répondis-je en riant.
‘’Emma’’ se mît à rire avec nous, en disant: ‘’Oh non ! Ce n’est pas vrai’’.
Et là, je ressentis une fois de plus la joie, dont sa belle particularité était de rendre certains moments, assez extraordinaires.
Après cette joyeuse récréation, nous pouvions continuer.
- Comme tu peux t'en apercevoir, cette proposition est source d'anachronisme littéraire, suivant façon dont nous la visualisons, au même titre que lorsque nous regardons sur un support à deux dimensions, que nous pouvons considérer être une feuille, alors que ce référentiel, est en ‘’trois’’ dimensions physiques réelles, dont nous percevons juste les deux dimensions nécessaires à notre compréhension de ce qui s'y trouve inscrit dessus à l'instant où nous le voyons, sur ce ‘’référentiel’’, en tant que plan Euclidien..
- Oui, et alors !?
LA CLE DU TEMPS DES MURMURES - Michel ASTI
Date de dernière mise à jour : 06/01/2020
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