L'EURO ou la théorie de Truffin
La monnaie joue un rôle fondamental dans les économies et les sociétés. La maîtrise de sa création est donc déterminante. On imagine souvent que la fameuse «planche à billets» des banques suffise à créer la monnaie. Il s’agit bien plus de l'activité des banques centrales qui ont capacité à créer de l'argent à partir du potentiel des activités géo-localisées, des biens créés et matières premières disponibles, (PNB et PIB) dans les différents territoires, pays, continents politico-socio-économico-culturels, où ces banques centrales accordent des lignes de conduites, d’investissements et de crédits aux acteurs, actrices, entreprises, sociétés, délimitées par leurs statuts commerciaux et juridiques, dans des zones géographiques. Ces politiques économiques et commerciales gèrent ainsi financièrement des zones d’activités industrielles et productives par les mouvements et les flux monétaires… Et donc, la circularité monétaire. Notamment par la détermination de quantité de monnaie au rapport des potentiels taux de croissance, dans le système socio-économico-culturel. Mais ce pouvoir ne vaut que pour le secteur bancaire dans son ensemble, et pas pour chaque banque prise isolément. Il est loin d'être illimité puisque cette création d’argent est juste une hypothèque sur les potentialités des énergies naturelles et animales essentielles, services humains utiles, et travaux automatisés ou robotisés nécessaires à la création de tous ‘’objets’’, afin de les échanger, les conserver en l’état, ou encore les transformer dans le système économico-productif de consommation établi par la politique monétaire de chaque état souverain, ou continent tel celui européen, par la mise en circulation de l’euro (€) en janvier 2002, faisant passer le franc de la valeur 1 à 6,65652, (J’aimerai connaitre les instances européennes qui ont déterminées cette valeur, et surtout pourquoi, comment et pour qui ?) du jour au lendemain, permettant aux génies de la finance et autres sorciers de l’économie de maintenir les énergies du travail dans la vectorisation intellectuelle considérant que cette composition ne saurait être que la seule meilleure fonction de valorisation croissante et exponentielle du système économico-libéral généralisé, tout en donnant une valeur intrinsèque subjective aux biens en cours, ou déjà acquis, et souvent hors réalité sociale-économique du territoire géophysique, géré administrativement par les exécutifs, la législation commerciale et juridique dans une nation républicaine démocratique… ? Ou ‘’bananière’’ ?...
Devenue en ces temps troublés état à déclassement social-économique. (Les riches deviennent plus riches, les pauvres plus pauvres, et les classes intermédiaires les payeurs soumis à l’imposition inégalitaire…). Voir augmentation des prix de l’immobilier en 30 ans (10 à 20 fois supérieure à celle des salaires), et des biens de consommation courants depuis le changement de monnaie. Accentuation des difficultés à maintenir la stabilité monétaire et celle des bourses, endettement des pays, distorsions sociales, fractures identitaires et culturelles, conflits géopolitiques, crises migratoires… Etc …
Cela s’appelle l’économie virtuelle, ou le côté obscur de l’économie mondialisée, à laquelle peu de systèmes sociétaux étaient préparés, sauf quelques adeptes et initiés aux langages mathématiques ou autres logarithmes boursiers, dans un système devenu celui des territoires soumis à soustraction des savoirs faire et division des savoirs être… Et tout cela au nom de la conservation de ‘’l’objet’’ dans un état physique et matériel susceptible d’être intéressant pour une potentielle revente future à valorisation supérieure de par sa potentielle rareté, où l’acquisition frénétique de tous matériels sans notion d’une quelconque utilité, nécessité, superficialité dans le système à consumérisme endiablé, élime la valorisation élémentaire et essentielle du ‘’sujet’’ non proche, et souvent oublié ou envisagé comme quantité ou élément négligeable… Avec pour prochain défi, dans les décennies suivantes la bonne et juste gestion des ressources ‘’fossiles’’, et la mise en place de celles renouvelables, où le déni de cette réalité sera assurément source de crise civilisationnelle… Dans l’espace virtuel et matériel…
Vastes analyses qui sont assurément d’ordre pragmatique, philosophique, éthique, historique, géopolitique, sociologique, psychologique et j’en passe et des meilleurs. Où la seule certitude que nous puissions avoir, est celle que l’argent ou monnaie est sujet à querelles indéfinissables au même titre que la philosophie politicienne et les prosélytismes religieux. Et tout cela dans une totale incompréhension humainement acceptable… Par une sémantique et une rhétorique en total décalage avec les homomorphismes de l’espace naturel sensiblement reconnaissable et touchant, au profit des dimensions du matériel à potentiel touchable, sonnant et trébuchant. Et peut-être sécuritaire… ???
A méditer…
L’ETAT PROVIDENCE …
Trop ou pas assez… ???
Pour quoi, pour qui ou pourquoi… ???
Sur la période qui s’étendit de 1948 à 1952, le Plan Marshall dispensa généreusement un don des Etats Unis équivalent à 114 milliards d’euros d’aujourd’hui. Proposé également à l’URSS, qui le repoussa, il relança l’économie des pays occidentaux qui cautionnaient le plan et contribua à enrayer l’expansion de la sphère d’influence russe.
Mais une contribution est inscrite au sein du système monétaire mis en place à Brettons Wood : le << dilemme de Triffin >> du nom de l’économiste belge (1911-1993). Celui-ci attira l’attention sur le fait qu’une monnaie ne peut représenter DEUX RICHESSES DISTINCTS. En l’occurrence celle des Etats-Unis et celle des nations utilisant le dollar comme monnaie de référence à l’extérieur du territoire américain. ($ is rich…)
Encouragé par la Grande-Bretagne, qui y trouvait son compte dans le rôle de chef d’orchestre, le marché des ‘’eurodollars’’ (les dollars en circulation en dehors des Etats-Unis) prit son autonomie et son essor.
Il s’avéra que << défendre le monde libre >> - la sphère d’influence des Etats-Unis dans le cadre de la guerre froide – était de plus en plus couteux. Nixon dénonça l’accord de Bretton Woods en 1971, alors que la guerre au Vietnam, au Cambodge et au Laos, épuisait les ressources pourtant colossales des Etats-Unis.
En 1944, dans le bras de fer qui l’opposait à une Grande-Bretagne exsangue, l’Amérique l’avait emporté.
Mais il restait des atouts à la Grande-Bretagne :
Son EMPIRE COLONIAL
Celui-ci ne tarderait pas à s’effriter, mais le Commonwealth liant les anciennes colonies à la métropole d’autrefois survivait, et la City demeurait le centre d’un empire financier, où les plus petites dépendances constitueraient vite les éléments d’un archipel de moins-disant juridique, offrant l’infrastructure permettant l’éclosion de futurs havres fiscaux ainsi que le moyen pratique pour les grandes puissances de jeter un œil discret sur la réinjection de l’argent sale dans le circuit légal.
L’état providence était né quant à lui en Allemagne sous Bismarck, qui craignait une révolution de type marxiste. William Beveridge, en Grande-Bretagne l’avait codifié dans un rapport fameux en 1942.
Entretemps, les congés payés avaient conquis l’Europe.
L’état providence n’était cependant pas inscrit dans la réalité économique elle-même. Les salaires sont comptabilisés en effet comme coûts devant être réduits à tout prix, tandis, que les bonus des industriels et le dividendes des actionnaires sont vus, je l’ai expliqué, comme parts de bénéfices devant être maximisés coûte que coûte. Dans ce cadre, les dépenses de l’Etat-providence sont ponctionnées sur la croissance, mais une fois servis les détenteurs de capital et les dirigeants d’entreprises.
En octobre 1973, à la suite de la guerre israélo-arabe, les pays de l’OPEP augmentèrent le prix du pétrole de 70% et imposèrent un embargo aux Etats-Unis et au Pays-Bas ; une seconde augmentation eut lieu deux mois plus tard, qui multiplia le prix du pétrole par rapport au niveau antérieur au début des hostilités.
Ce choc pétrolier, dans un contexte où la richesse due à la reconstruction montrait des signes d’essoufflement mettait un point d’arrêt aux ‘’TRENTE GLORIEUSES’’.
A partir de ce moment, la protection sociale dans les pays occidentaux se retrouve sur la défensive. Pour tenter de maintenir l’Etat-providence, les Etats s’endettèrent.
Ils encouragèrent alors, petit à petit la privatisation de la protection sociale, les retraites complémentaires apparurent : l’assurance vie, l’assurance maladie-invalidité battant en retraite, l’intervention des mutuelles progressa, jusqu’à devenir obligatoire. La protection sociale devint tributaire de la bonne santé des marchés financiers. On dora la pilule en présentant à la population cette régression massive sous un jour favorable : on lui affirma qu’elle se ‘’responsabilisait’’ et que le contrôle qu’elle exerçait sur sa propre vie s’accroissait. Mais de plus en plus obligés de recourir aux marchés des capitaux, les Etats s’exposèrent à la notification de leur risque de crédit, qui déboucha sur une augmentation du coût de leurs emprunts, et à l’évaluation de leur gestion budgétaire selon les mêmes critères qu’une entreprise commerciale.
Le coût de la crise des ‘’subprimes’’, fut considérable : 8% du PIB pour la zone euro ; à l’automne 2015, 3,3% des 8% avaient été récupérés, mais l’ardoise se montait encore à 4,7% du PIB. Les garanties explicites des Etats de la zone euro au secteur financier équivalaient en 2014 à 2,7 points du PIB (Soit environ pour la France : 54 Mds d’euros au titre de la sphère financière). La dette souveraine des pays s’était aggravée en moyenne sur la zone, de 4,8% de PIB.
La spéculation par le biais de l’instrument financier dérivé qu’est le Crédit-default Swap (CDS) permet qu’un double mécanisme joue simultanément sur la notation de la dette souveraine : d’une part, l’évaluation actuaire du risque de crédit, objective parce que fondée sur la fréquence des pertes observées par le passé en terme de probabilité ; d’autre part, l’offre et la demande pour l’assurance elle-même - et cela, que celui qui la contracte soit véritablement ou non exposé au risque de crédit parce qu’il détient des titres dont le principal pourrait éventuellement ne pas être remboursé par un Etat en défaut.
Un pays en difficulté est ainsi mécaniquement condamné : le risque de crédit de sa dette n’est pas seulement évalué selon des critères ‘’objectifs’’, mais aussi à partir du montant de la prime du CDS, qui augmente avec la demande vis-à-vis du contrat – dont une composante est purement SPECULATIVE.
Au sein de la zone euro, l’une des conditions de fonctionnement d’une monnaie commune n’a jamais été remplie : la mutualisation de la dette souveraine. Le coût de financement de chacun des pays se diversifie alors : un euro grec, victime de la spéculation qui vient démultiplier l’évaluation de la faiblesse financière intrinsèque de la nation, cesse de valoir autant qu’un euro allemand (voir la surévaluation de l’euro allemand au rapport de l’euro ‘’européen’’, et celui de la France sous-évalué au rapport de cette même monnaie européenne, et encore différentes valeurs de la monnaie européenne au rapport géoéconomique de chaque pays de l’EU). La zone euro est écartelée par des forces centrifuges de la Banque Centrale Européenne, et centripètes de la Commission Européenne.
La situation en Europe s’aggrave encore du fait de la crise des réfugiés, car le monde entier se retrouve engager collatéralement et à son corps défendant à prendre parti dans le schisme pourtant millénaire opposant sunnites et chiites.
La solution existe cependant.
Il faut, d’une part, déconnecter l’Etat-providence de la nécessité de la croissance, en inscrivant directement le premier dans les institutions, en instaurant une redistribution équitable de la nouvelle richesse créée, que celle-ci soit conjoncturellement abondante ou médiocre.
Un juste partage exige la remise en cause des règles comptables qui traitent les salaires comme des coûts ‘’intrinsèques’’, et les bonus de la direction et les dividendes des actionnaires comme des parts de bénéfices ‘’absolutistes’’, pour les considérer tous ensemble comme des avances faites au même titre à la production de marchandises, biens et services.
Il faut d’autre part mettre en place un nouveau système monétaire international équilibré, calqué cette fois sur le modèle de la chambre de compensation multilatérale du ‘’bancor’’ proposé par Keynes à Bretton woods, il y a plus de soixante-dix ans.
Le dernier qui s’en va éteint la lumière – Paul Jorion
Ouh la là, nous ne sommes pas sortis de la mauvaise auberge… Surtout si le sujet humain ‘’conscient’’ ne fait pas analyse suffisante, juste et objective quant à sa propre place dans les zones identitaires et culturelles du monde naturel vivant…
Pour une sémantique des textes. Questions d’épistémologie.
Les sciences sociales sont à un tournant. Au plan épistémologique, le sociologisme issu de certaines formes périmées du marxisme, puis du capitalisme ‘’débridé’’, et de l’ordolibéralisme subjugué par le principe de subsidiarité ‘’virtuel’’ a perdu les moyens théoriques de leurs servir de langage commun ; elles sont confrontées à des tentatives de réductions provenant des neurosciences et de sciences cognitives. Enfin la ‘’techno-logo-médiatisation’’ croissante de la recherche scientifique conduit à ne plus vraiment subventionner que des programmes susceptibles d’aboutir en principal à des brevets rentables et commercialisables ; quitte pour arriver au but proche d’un corporatisme absolutiste, à faire fi des notions de responsabilités dans le système à réseaux ‘’humains’’… Quant à l’objet des sciences sociales, on ne fait qu’accumuler des connaissances sans précédent sur la diversité des langues et des sociétés humaines, avec un effort sans précédent lui aussi, en tant qu’inventaire et conservation du patrimoine culturel à l’échelon mondial, alors que son véritable degré appelle à présent une réflexion théorique afin de penser la diversité de ce patrimoine, dans le temps comme dans l’espace. Nous sommes confrontés au défi de mettre en valeur la diversité culturelle d’aujourd’hui, pour éviter qu’elle ne se réduise à la portion congrue de sa propre incompréhension aseptisée…
Voire irrationnelle ou psychotique.
Cela n’exige pas d’opposer un relativisme frileux à un universalisme dogmatique ; mais loin des réductions biologiques anthropologiques, ethnologiques ou sociologiques qui ont tentées depuis l’avènement de l’ère industriel, d’en déterminer uniquement les lois et règles sur les états successifs des fonctionnements des biosystèmes et écosystèmes, en faisant trop souvent abstraction ou déni des liens communautaires et culturels des échangistes en, et entre ces différents systèmes à réseaux ‘’vivants’’… Cela conduit à affirmer l’autonomie concise et la spécificité sociologique de la sphère culturelle, et ainsi à poursuivre dans la direction tracée par l’entreprise philosophique des formes symboliques, permettant d’en définir les potentiels contours d’une sémiologie des cultures, fédérant en premier lieu les échanges par la linguistique, les mathématiques, la philosophie, l’histoire, l’anthropologie, la métaphysique (sachant que méta signifie : plus, après, entre, plus loin…) et l’étude de tous ces langages en tant que sigles, symboles, axiomes, lemmes, mots et expressions multiformes, qu’ils, elles soient émis(es), sous formes sonores ou écrites…
Dans l’espace touchant et sensiblement touchable.
Par conséquent, cette question épistémologique pose la question d’un projet refondateur pour les sciences sociales, depuis naguère, et encore aujourd’hui teintées par diverses idéologies et néologismes ‘’troubles’’ au rapport épistémologique de l’éthique ontologique… ; et culturelle assujetties à la déontologie économique et commerciale.
(Vastes sujets)…
L’étude des objets culturels complexes apporte en ce sens de multiples enseignements. Aussi, François Rastier (Directeur de recherche au CNRS) aborde dans ses analyses et par sa compétence, quelques questions et réflexions sur la ‘’sémantique du texte’’. La linguistique en reste bien souvent à la phrase et la morphosyntaxe, et constitue de l’avis général son domaine de prédilection. Elle doit encore beaucoup à l’héritage séculaire de la grammaire: ‘’La linguistique historique et comparée fondait ses fonctionnalités sur l’analyse morphosyntaxique’’…
Le positivisme contemporain a renforcé cette prédilection… Où le vecteur le plus disqualifiant en est assurément la liberté de croire que l’attachement ne saurait être en aucune façon facteur déstabilisant par le manque d’attentions et le déni de justes curiosités envers ‘’ce’’, ‘’celles’’ et ‘’ceux’’ présents en ce monde…
Le déterminant ‘’particulier’’ peut être désigné par le terme d'individualisme ou parfois égocentrisme. Avec cette idéologie émerge une conception des institutions sociales qui dénie toute légitimité à ces formes archaïques de relations humaines que sont aux yeux de l’échangiste, la confiance aveugle ou l'obéissance routinière. Cette conception des relations sociales trouve dans l'économie ou, pour le moins, de larges secteurs de cette discipline, une formalisation précise et très élaborée.
En effet, la tradition économique voit dans les contrats, librement négociés par les sujets rationnels, au mieux de leurs intérêts réciproques, la relation sociale de base. En tant qu'ils reposent sur une adhésion consciente intelligible des sujets. Le contrat est la forme emblématique des valeurs individualistes entre deux ‘’entités’’ où le sujet du contrat est l’objet désigné en tant que bien ou service commercialisable. (A savoir que les trente dernières années, la profession d’avocats en droit des affaires a augmenté notablement au rapport de la ‘’complexification’’ juridique des échanges commerciaux contractuels nationaux, internationaux et intercontinentaux. Les connaissances et savoirs juridico-commerciaux sont vendables et achetables…).
La question à laquelle nous nous intéresserons est de savoir si, contrairement aux thèses précédentes, le fait monétaire est réductible aux relations contractuelles. Ou, pour le dire sous une forme plus polémique, la monnaie est-elle pleinement contemporaine des valeurs individualistes ?
On se trouve alors confronté à un problème dont la difficulté technique vient du fait qu'il s'agit de penser la présence de réalités collectives au sein d'une vision du monde totalement allergique à de telles catégories. Toute l'économie politique témoigne de cette difficulté. Elle s'exprime dans le fait que la monnaie, en tant qu'elle est une assignation sur la société tout entière, prend une forme médite : « La monnaie est une traite sur laquelle le nom du tiré est manquant ». Et par conséquent, toute la démarche analytique, devrait être axée en première intendance sur l’épistémologie de la sémantique, de la rhétorique et de l’éthique envers ‘’l’objet’’ au rapport de la moralité du ‘’sujet’’ justifiable…Voire justiciable.
Avec pour particularité en ces systèmes sociétaux modernes, en celle que le classement dans l’échelle sociale s’effectue majoritairement par la fonction de représentation au rapport de la possession du bien matériel et fiduciaire, et le déclassement communautaire au regard de la sémiologie des immoralités ‘’reconnues’’ ou des différences ‘’fautives’’ confirmées.
‘’Notons que penser à l’ordre idéal comme écart entre l’économie et la monnaie revient à dire que la monnaie est une imperfection dans une démarche uniquement économique dématérialisée de sa fonction sociale où l’attrait mobilisateur envers le refus social ne saurait être autre que celui d’avoir les moyens individualistes nécessaires à exister hors de ce même système social-économique délétère envers la légitimité de la communauté de bien(s)…’’. Avec ou sans ‘’s’’ !
Le contrôle économique est extraordinairement concentré. Il est tout à fait exceptionnel qu’une seule étude nous force soudain à nous représenter l’univers qui nous est familier d’une manière tout à fait différente de ce qui prévalait jusqu’à présent.
On évoque alors un changement de paradigme.
<< Parfois les gens ne veulent pas entendre la vérité, parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions se détruisent >>… Friedrich Nietzsche
Date de dernière mise à jour : 19/05/2017
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