EXCLUS(ES) AVANT L'HEURE...
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EXCLUS(ES) AVANT L’HEURE…
Non seulement ; l’Administration et l’Etat mettent les salariés(es) Séniors dans une phénoménologie ‘’D’OBSOLESCENCE PROGRAMMEE’’ quant à leurs CONDITIONS D’EXISTENCE, mais en plus de cette infamie, lorsqu’après avoir, pendant des années, œuvré du mieux possible dans ce système social-économique, nombre important d’individus se retrouvent SANS EMPLOI ; même avec toute leur expérience professionnelle et personnelle, et perçoivent la situation dans laquelle les pouvoirs institutionnels ont ‘’dessiné’’ la voie de l’ASOCIABILITE par une mise en ‘’STAND-BY’’ des plus aptes à la retransmission des VALEURS de COVALENCES solidaires, voire, par la pédagogie de la médisance ‘’bien- pensante’’, une mise au PLACARD pour les moins bien adaptés(es), alors les INSTANCES de GESTION USURIERE s’octroient le DROIT d’établir une législation TECHNOCRATIQUE leur autorisant à programmer une veule soustraction des savoirs faire et une vile impudence en division des justes savoirs être, tout cela frappé au sceau d’une GESTION antipatriotique, mais assurément pour les plus aptes au filoutage sémantique, une savante théorisation ECONOMICO-FINANCIERE digne des pires formes d’INIQUITE & d’INJUSTICE…
Pensez-vous sincèrement, Mesdames et Messieurs des SCIENCES HUMAINES, EPISTEMOLOGIE USURIERE & RESSOURCES HUMAINES, tant philosophiques que pragmatiques, qu’il puisse, en l’état actuel des ‘’CHOSES’’, exister une instance publique ou/et privée suffisamment conscientes de cette INEPTIE en CONSERVATION du BIEN COMMUN… ???
Et ainsi, percevoir un éventuel concordat, donnant possibilités à un CHÔMEUR de Longue Durée au statut de RSAYSTE, exclu de l’emploi, depuis l’auspice de ces 54 ans, à disposer d’un EMPLOI en rémunération autorisant existence digne et honorable… ; ayant vision juste pour une FUTURE RETRATE à TAUX PLEIN… Sachant, que les 8 années de non cotisation aux Caisses de Retraites, induite par le statut même du Revenu de Solidarité Actif (RSA), ne peuvent en aucune OPERATION ‘’mathématique’’ apporter certitude assurantielle en TEMPS suffisant à l’obtention de cette retraite à taux plein, conventionnée à 167 trimestres.
Et cela, ‘’BIEN’’ évidemment, en mon cas ; au rapport d’une expérience professionnelle de 34 années dans le secteur des énergies de l’habitat, moyens techniques et outils industriels…, dans une formalisation adaptée aux nécessités, de l’actualisation de mes 125 trimestres; utiles à la présence de ma zone de confort ; quantifiables du bien-être pour tout à chacun et chacune & réciproquement…
EXTRAIT : AU DELA DES QUARANTE MALENCONTREUSES
Bien intelligent à ne plus prendre sénestres en argent comptant des nouvelles lois de La REPUBLIQUE ; aux conditions d’une législation affiliée à une TECHNOCRATURE encore assujettie à politiques de l’ENTRE-SOI ; fournies aux teintes de PHILOSOPHIE-CULTU®ELLES tatouées au nombril de leur monde, pour qu’il en soit émancipation en dignité contre opportunisme de positions…
Vous vivez de telle sorte que rien n’est plus à vous, mais tout est à louer au sort du moins disant. Ceux mêmes du clan qui vous ont fait miroiter que leur destin collectif pouvait être comme vôtre, ne vous ont-ils pas bernés ?
Qui plus est dans cette idolâtrie de marchandising en insuffisance de perception, avez-vous pensé qu’un combat peut se gagner sans nombre suffisant à sa juste cause ?
Et en cette circonspection établir un programme respectant la résistance à la contrainte, entre attachement et liberté… ?
Ce qu’il y eut de plus, ce sont les moyens que vous leurs fournissez pour vous penser de leurs accointances. D’où tirent-t-ils tous ces yeux qui vous épient, si ce n’est de quelques collaborateurs ; en recherche de personnalité retransmise au nom d’une entête apostée à dénégation de corps sans esprit fraternel ? Avaient-ils quelque pouvoir sur vous, qui ne soit une partie de vous-mêmes ?
En quelle manière peuvent-ils vous soumettre ; s’ils n’étaient de quelques covalences en intelligence d’avec vôtre interprétation personnelle qu’une association, inconnue de vous, mais en but partisan inique, voire clandestin, pour des raisons en accord que vous ne les soupçonnez ? Quel mal pourraient-ils vous faire, si vous n’étiez les receleurs des larrons qui vous pillent, les complices en comptes de géodes mystifiées qui vous conditionnent, les imposteurs, calomniateurs, fabricateurs, fabricatrices, opportunistes et traîtres de vous-mêmes ?
Vous semez vos champs, coordonnez vos émérites pour qu’ils les vendent aux plus offrants, vous meublez et remplissez vos maisons pour alimenter leur commerce d’ailleurs ; et ainsi en d’autres lieux de misère et factures réduites au maximum de l’admissible, vous nourrissez vos enfants pour qu’ils en fassent des soldats dans le meilleur des cas, puis qu’ils les mènent à la guerre, à la boucherie, qu’ils en rendent certains ministres ou ambassadeurs de leurs convoitises et exécuteurs de leurs vengeances, d’antan… Celles qu’ils ont gardées de leurs filiations en soumissionnaires de genre et de couleur…
Vous vous usez à la peine afin qu’ils puissent se mignarder dans veules délices et se vautrer dans de sales connivences. Vous vous affaiblissez afin qu’ils soient les plus forts, et qu’ils vous tiennent plus rudement la bride plus courte. Et de tant d’indignités que les bêtes elles-mêmes ne supporteraient pas si elles les sentaient, ne pourriez-vous vous délivrer si vous n’essayiez même pas d’analyser la promiscuité des pouvoirs ; ni seulement de le vouloir au nom des principes d’une réelle révolution humaniste… Je ne vous demande pas de les pousser, de les ébranler, eux ; leurs guides funestes, despotes et petits potentats… ; mais seulement de ne plus les soutenir, et vous les verrez, interloqués tels des hurluberlus devant un grand colosse dont on a brisé la base, de la sorte fondre sous le poids de l’infamie en bellicisme contemporain et de cet effet l’édifice se rompre.
L’évanescence philosophico-politique des situations SOCIETALES ne saurait être dépouillée du réel SENS affiché à confort de tout à chacun et chacune, et réciproquement, observant et vérifiant à chaque période de modification ethnosociologique les paramètres épistémologiques et les fonctions d’échange interindividuelles dans un Ensemble (E) ; de machines-humaines qualifiées, pensant les contributions législatives et institutionnelles comme des AVENANTS à un potentiel futur respectueux des différences d’états, de positions et de liberté d’expression communautaire au rapport de cet Ensemble économico-sociologique défini par ses aspirations en Droits & Devoirs de justifiables affiliés(es) à toutes classes sociocommunautaires définies par les Délégations des Représentants du Peuple. Cette option quantifiable n’est évidemment pas un CONTRE-POISON à possible violences verbales de part et d’autres des partis, ainsi que dissidences virulentes tant à intérieur qu’à l’extérieur de ses ensembles d’individus composés de femmes et hommes en surgissement des accommodements intergénérationnels, lorsque les lois en vigueur s’éloignent des protections solidaires…
La Démocratie ne saurait en aucun CAS se satisfaire des seuls MOTS en vindicte d’un Président sourd aux voix d’acceptables sujets rédigés aux termes des biens personnels et du BIEN COMMUN affiché à un véritable et compréhensible discours pluridisciplinaire affecté à bienveillance didactique et bienséance comportementale… ; ET RECIPROQUEMENT.
Le non-respect par un Président élu ; aux voix d’une partie du Peuple, dans sa fonction de représentation de la Nation ne peut émettre MOTS intransigeants envers différences de STATUT ; même sous le coup d’émotions exacerbées par la non réalisation de son programme électoral pour des raisons mal évaluées en amont, et sous-estimées au moment de sa volonté d’accession à la fonction la plus haute de l’ETAT DEMOCRATIQUE & de la NATION REPUBLICAINE. Le défaut d’anticipation en pédagogie inadaptée ne peut en aucun cas être une excuse en substitution d’une erreur sensibilisée à PARTISANNERIE de fausses VALEURS envers la Liberté, l’Egalite, la Fraternité et la Justice Sociale-Economique. Lorsque l’Assemblée et autres Amphitryons se retrouvent dans une expectative relationnelle ne permettant plus analyse objective et compréhension suffisante des rapports entre le Peuple et les Gouvernances de la Nation incarnée par la fonction Présidentielle, alors le libre arbitre de POSITION au rapport d’un temps suffisant permettant d’avoir certitude pour une majorité du Peuple que l’action politique n’est qu’une ZONE DE TRANQUILITE pour une minorité pouvant acheter le TICKET d’entrée, alors le MOUVEMENT initié par agrégation temporelle des frustrations et contraintes deviendra une force telle que même les institutions et les corps intermédiaires ne pourraient en changer le déroulement axé par des ressentiments citoyens. Le manque d’analyse économico-financier et déni de changement socio-culturel dans une historiographie d’actions, de réactions, de comportements et d’aspirations accordées aux mécanismes biophysiques, psychologiques, physiologiques, philosophiques et déontologiques qui ont conduits aux conditions mêmes de la scission entre les ZONES de VIE ; définies dans les différentes communautés territoriales, régionales, départementales ; agencées à la NATION souveraine n’est aucunement source intellectuelle utile à l’effervescence des pensées intermodales ; mais assurément affiliation à penser le déterminisme aux prix de l’usure en obsolescence programmée aux commissures des terres cessibles par experts en matière divisionnaire voués aux arbitraires d’une bande de soliloques en mauvais augures…
L’orthodoxie culturelle est tant de voisinages déficients à une réelle faculté humaine équilibrée telle que la propriété de l’esprit libre n’y résisterait à l’observer qu’en se bouchant le nez.
Imaginez nombre d’individus suffisant à garder l’analyse objective envers genre grégaire, voire moutonnier pour qu’ils en réussissent conditions générales à remise en question de l’historiographie CULTU®ELLE…
Ne serait-ce pas là, encore, écritures faites au nom d’idéaux nouveaux fournis aux prémices d’un illogisme de pratiques sournoises … ???
Entre raison humainement acceptable et néo-scientisme… ?
Je crois qu’il en serait ainsi …
La malveillance est mère d’insécurité…
Le principe de précaution est fille d’attention…
Si la pauvreté est la mère des crimes, le défaut d’esprit en est le père.
Les autres n’ont pour aiguillon qu’une petite pointe de convoitise qui s’émousse soudain contre le danger, et dont l’ardeur s’éteint dans le sang de leur première blessure. Aux batailles si renommées de Miltiade, de Léonidas, de Thémistocle, qui datent de deux mille ans et qui vivent encore aujourd’hui aussi fraîches dans la mémoire des livres et des hommes que si elles venaient d’être livrées hier, en Grèce, pour le bien des Grecs et pour l’exemple du monde entier, qu’est-ce qui donna à un si petit nombre de Grecs, non pas le pouvoir, mais le courage de supporter la force de tant de navires que la mer elle-même en débordait, de vaincre des nations si nombreuses que tous les soldats grecs, pris ensemble, n’auraient pas fourni assez de capitaines aux armées ennemies ?
Le déni de réalité présent au rapport du passé est devenu une ignorance didactique de bas contes (comptes) divisionnaires adoubée à un futur sans meilleure imagination sémantique et sémiotique, mais assurément malveillant… Cela rejoint le syllogisme consistant à croire que la différence est, trop souvent jugée par une sociologie philosophique exsangue d’épistémologie suffisante, dénuée de sens envers les esprits libres. Ce petit exemple donne une idée de la difficulté à changer la vision ontologique conformiste par une métamorphose radicale consistant à refuser la réalité qui se cache derrière le mur de l’indifférence. Y penser librement ne peut s’établir sans conditions élémentaires à disposer d’un refuge contre les voracités extérieures, ainsi que nourritures terrestres essentielles à chaque ‘’corps organique vivant’’ et accessibilité à pluridisciplinarité intellectuelle intelligible du discours entre les sciences et les arts, autorisant émancipation des esprits attentionnés à la liberté de chacun et chacune…
Il me semble, mesdames et messieurs les experts en toutes matières, petits bonhommes de pacotilles, et associés(es) à veule conceptualisation sociologique, que vos mécanismes cognitifs sont quelque peu endommagés par de délétères conformismes CULTURA-IDENTITAIRES en régence d’ETAT(S) malandrins affichés à suffisants(es), précieux et autres empruntés(es) au culte du ségrégationnisme INTELLECTUEL déféqué par un MATERIALISME inique… Avec pour particularité, celle de laisser croire que le néo-ordo-libéralisme des NEO-MARCHEURS, ne serait pas une mauvaise blague menant invariablement les sociétés ‘’modernes’’ vers une rupture complète du triptyque intergénérationnel entre les grands parents, les parents et le véritable sens de la génération en âge ‘’incertain’’ à réussir à entrer dans la ‘’sphère’’ du travail, de l’emploi et des ACTIVITES utiles… ; en évitant les pièges d’une dialectique en éviction des valeurs attachées à une réelle DEMOCRATIE REPUBLICAINE respectueuse de la LIBERTE, de l’EGALITE, la FRATERNITE et la JUSTICE SOCIALE-ECONOMIQUE ; affichée à une CITOYENNETE équilibrée, même pour les EXCLUS(ES) avant l’heure…
RETRAITE ANTICIPEE… BLAGUE OU LEGISLATION LIBERTICIDE ???
Au RSA depuis 6 ans, après 34 années dans le milieu industriel et le second œuvre du bâtiment, ainsi qu’autres activités diverses et variées affiliées au système social-économique français, ce premier mois de 2019 me faisait entrer dans le cycle de la soixantaine.
Période de la vie, délimitant la perception d’une retraite en futur plus ou moins proche et donc propice à s’y intéresser de près.
Je décidai de me rapprocher des organismes gestionnaires des modalités d’accessibilité à ce revenu en transfert de valeurs par cette forme d’assurance intergénérationnelle française ; mise en place bien avant mon entrée dans le milieu de l’emploi, en octobre 1975, et la venue au monde de mes trois filles. Même si je n’étais pas dupe quant à une JUSTICE-SOCIALE quelque peu ébranlée depuis plusieurs décennies, notamment à partir de la fin des années 1970…, puis les suivantes aliénées aux pires formes de l’individualisme ravageur, j’étais encore relativement confiant, mais non naïf, envers les institutions Républicaines de cette France, soi-disant ; colorée aux principes Démocratiques de la liberté, de l’égalité et de la fraternité.
J’allais vite déchanter, quand je perçus les frasques institutionnels en textualité d’une législation inopérante aux nécessités des ‘’petites gens’’, exclus(es), précaires, citoyens et citoyennes confrontées à des parcours de vie plus difficiles que la norme sociale-économique conformiste et docile édictée par des politiques frappées au sceau des paradoxes sociologiques, philosophiques, économiques, culturels et financiers associées à usuriers en déni de comptes sociaux partagés.
En dépit de cette vision personnelle axée par ma situation sociale-économique, je me mis en demande d’informations auprès de l’ASSURANCE RETRAITE, via la SECURITE SOCIALE.
Quelques semaine plus tard, je reçu un estimatif en disponibilité de revenus mensuels au rapport de deux propositions en ‘’futur retrait’’ du monde de ‘’l’emploi’’ :
- La première est constituée en âge de départ en retraite au 1er avril 2021 – non, non, ne souriez-pas, il est bien indiqué la date du ‘’poisson d’avril’’ sur le document – soit à 62 ans, avec des versements d’un montant net (retraite de base et complémentaires) de 1 310€ / mois pour potentialité en 138 trimestres de cotisation.
- La seconde est constituée en âge de départ en retraite au 1er avril 2026, soit à 67 ans, avec des versements d’un montant net (retraite de base et complémentaires) de 1 830€ / mois pour POTENTIALITE en 158 trimestres de cotisation.
Y compris, dans les deux ESTIMATIFS ; les 10% supplémentaires liés à la retraite de base pour avoir eu la garde principale de mes trois filles, en 1995 ; après deux ans de bataille juridique….
Je lus donc avec intérêt ce document, édité de bonne façon ‘’mathématique’’, et me dis : ‘’EN TOUT CAS, JE N’AURAI JAMAIS LES 167 TRIMESTRES NECESSAIRES A UNE RETRAITE PLEINE’’ ; SAUF A DISPOSER D’UN EMPLOI pour les 42 trimestres ; du RESTE de mon EXISTENCE, soit 10,5 années.
(J’en étais conscient depuis plusieurs années, notamment de par les aléas de ma vie personnelle et le fait que six années au RSA ne permettent en aucune façon cotisations aux caisses de retraites)
Je sortis ma calculette et fis opérations et rationalités au rapport de mes 125 trimestres déjà cotisés.
Le résultat tomba : 1 130€ net par mois.
(Somme suffisante pour mes besoins vitaux et assurément supérieure aux 484€ mensuels du RSA, payés par la CAF – Caisse d’Allocations Familiales)
Je me mis donc en tête de demander un estimatif pour les 125 trimestres, déjà COTISES ; auprès de la Caisse de Retraites, et savoir si les modalités d’une retraite anticipée dans le cadre d’une ‘’carrière longue’’ – à partir de 16 ans ou 20 ans – ce qui pour moi est le cas ; sont compatibles avec la législation en vigueur.
Je me doutais déjà de la réponse. J’avais fait quelques recherches en ce ‘’non-sens législatif’’ d’une RETRAITE ANTICIPEE, hors ‘’REGIMES SPECIAUX’’… ; NORMALISATIONS en retraites affiliées à députations parlementaristes et autres privilégiés(es) d’administrations publiques particulières… En échanges de prescriptions ‘’démocratiques’’ de bien(s) communautaires et services marchands… ???
Quelques temps plus tard, je reçus la réponse suivante – conforme à ce que j’avais envisagé :
Bonjour Monsieur ASTI,
L’âge légal de la retraite pour les assurés nés à compter de 1955 est de 62 ans soit pour vous au 01/04/2021.
La législation prévoit pour l'année 1959 un départ ANTICIPE pour CARRIERE LONGUE selon les conditions suivantes :
57 ans et 8 mois – Début d’activité : 16 ans – Nombre de trimestres cotisés pour un taux plein : 175
Soit 16 ans + 175 trimestres = 59 ans et 8 mois.
60 ans – Début d’activité : 20 ans – Nombre de trimestres cotisés pour un taux plein : 167
Soit 20 ans + 167 trimestres = 62 ans et 8 mois
Où est la possibilité d’avoir une retraite anticipée… même à taux réduit ?
Au 31 décembre 2017 vous comptabilisez 125 trimestres validés dont 125 sont cotisés.
Vous n’avez pas les conditions nécessaires pour pouvoir prétendre à une retraite anticipée pour carrière longue.
Vous pourrez donc prétendre à votre retraite personnelle à compter de l’âge légal (62 ans) soit au 01/04/2021
Pour bénéficier d’une retraite à taux plein, il faut avoir 167 trimestres validés. Si cette condition n'est pas remplie, votre retraite pourra vous être attribuée à taux minoré.
Les démarches sont à effectuer (délai régional) avant le point de départ de votre retraite.
NOTA : Sachez que pour l'étude de droit au départ anticipé pour carrière longue, seuls les trimestres cotisés sont pris en compte (et non l’ensemble de vos trimestres validés) : Il s’agit de l’ensemble des périodes qui ont donné lieu à des cotisations vieillesses à votre charge.
Pour information, la durée d’assurance validée comprend :
- Les périodes de travail pendant lesquelles vous avez cotisé. Tous les régimes obligatoires comptent.
- Les périodes assimilées pendant lesquelles vous cessez votre activité et pour lesquelles vous avez touché des indemnités pour chômage, maladie, maternité, accident du travail, invalidité.
Pour les retraites anticipées longue carrière, une distinction entre les trimestres « cotisés » et les trimestres « validés » doit être faite.
Les trimestres « cotisés » sont ceux pour lesquels vous avez versé une cotisation retraite. Sont aussi considérés trimestres cotisés :
- service national, dans la limite de 4 trimestres;
- chômage indemnisé, dans la limite de 4 trimestres;
- perception d'indemnités journalières au titre de la maladie, des accidents du travail dans la limite de 4 trimestres;
- trimestre acquis au titre de la maternité;
- trimestres acquis au titre de la pension d'invalidité, dans la limite de 2 trimestres.
Précision : même si certains trimestres ne sont pas retenus « en cotisés » pour étudier votre droit à départ anticipé, ils sont pris en compte dans le calcul de votre retraite pour le taux et pour votre durée d’assurance.
Cordialement,
Voilà les CONDITIONS LEGISLATIVES pour que PRATIQUEMENT personne ne puissent bénéficier d’une RETRAITE ANTICIPE dans le CADRE d’une CARRIERE LONGUE.
Et qui plus est, une retraite qui n’est pas à TAUX PLEIN additionne des CONTRAINTES SUPPLEMENTAIRES pour celle et ceux désireux, d’avoir une ACTIVITE complémentaire associée à FAIBLES REVENUS de leur RETRAITE.
Comme il en fut de la modification des CONTRATS à TEMPS PARTIELS dans le CADRE des LOIS affiliées aux bénéficiaires du RSA, effectuée en 2014, et obligeant les entreprises à ne plus pouvoir conclure ce type de contrats pour une durée inférieure à 24 h hebdomadaire. Ce qui n’eut que pour effet d’en diminuer le nombre et ; ainsi, le retour à l’emploi des chômeurs, notamment ceux de ‘’longue durée’’ ainsi que les personnes au RSA. Par contre, les emplois en Intérim et les CDD de moins de 24H hebdomadaires, voire les emplois d’une journée sont, me semble-t-il, validés sans aucune contrainte législative particulière…, au nom d’une ‘’irréelle’’ baisse du chômage…
Vous êtes vraiment une bande de nazes – en terme de fatigués(es) et fatigants !
L’ETAT, LEGISLATEURS & ASSEMBLEES D’AMPHYTRIONS…
C’est une blague ou alors une législation foireuse de technocrates inefficients, politiciens ségrégationnistes véreuxet autres experts en sociétés liberticides… ???
Nous pensons, nous, les ‘’ESPRITS LIBRES’’ ; que vous avez pris depuis, plus de QUARANTE ANS – Manuscrit : AU DELA DES QUARANTE MALENCONTREUSES – les citoyens et citoyennes
françaises pour des ‘’MOUTONS DE PANURGE’’ installés dans le cercle des incompréhensions SOCIALES-ECONOMIQUES…
Il est temps que cela change !
Notamment pour la juste évolution des SOCIETES HUMANISTES…
- Si la jeunesse peut être un atout dans l’aventure sociale-économique et culturelle ; l’expérience est également un facteur clé de réussite pour toutes relations en échanges interpersonnels, interprofessionnels, intercommunautaires et intergénérationnels, par l’addition des utiles savoirs faire et justes savoirs êtres.
Il n’y a pas d’âge pour entreprendre ! Parait-il… Mais cela est une autre histoire que nous vous raconterons plus tard ou ; peut-être déjà écrite en certains de mes manuscrits, depuis 2013, période à laquelle ; je devins AUTEUR RSAYSTE SENIOR…
Après avoir égrené les premières années de ma vie à essayer d’appliquer les règles et théories éducatives destinées à toutes et tous dans le système socio-économico-culturel démocratique, puis avoir exercé mon métier pendant un peu plus de 36 ans, je souhaitais me sortir de ce statut de chômeur bénéficiant uniquement du RSA, asservi à quelques avantages sociaux, où avant cet état d’assistanat économique, j’étais encore un professionnel du bâtiment avec pour spécialisation celle propre aux énergies, dont maintenant la principale était d’éditer mes compétences et mon cursus par cette suite chronologique nécessaire à l’établissement de mon profil, pour les professionnels du recrutement et les ressources humaines.
A savoir pour moi :
- Naissance le 21 mars 1959 à Bobo-Dioulasso au Burkina Faso. Au bout de ces trois années, nous revenions en France, ma mère, mon frère et moi, alors que notre père nous rejoignait tous les ans pour deux mois, lors des vacances estivales. Nous avons vécu de cette façon tous les trois jusqu’à l’été 1969. Cette année nous allions nous rapprocher de notre père. Notre lieu de destination était Pointe-Noire au Congo…
- Eté 1972, retour en France.
- Education scolaire jusqu'en seconde technologique.
- Entrée dans le monde du travail en 1975 (confiserie - chocolaterie). Et oui, cela ne correspondait pas à mon apprentissage scolaire, mais je souhaitais travailler rapidement à cette époque.
- 1979, armée dans les transmissions pendant un an, mariage, et premier enfant en 1980
- Apprentissage du métier de plombier - chauffagiste en CFPA, puis 2 ans d'intérim dans ce secteur d’activité.
- 1982, embauche dans une société exerçant dans ce domaine plus celui du froid et de la climatisation.
Exercice du métier de plombier - chauffagiste, plus cours du soir pendant deux ans afin d'apprendre théorie et pratique de celui de frigoriste-climaticien.
- Fin 1984, changement de société afin de faire évoluer ma carrière, deuxième enfant.
- Eté 1986, accès à un poste de technicien SAV en froid climatisation, troisième fille.
Ce sera la dernière. (Je les adore)
A partir de 1986, j'exerce différents postes dans le secteur de l'énergie en tant que technicien SAV, puis metteur au point d’installations, jusqu'en 1992. Je crée mon entreprise cette année-là, mais malheureusement ne possédant pas de réseaux commerciaux suffisamment denses, ainsi que des capitaux propres trop faibles et pourtant nécessaires à la création d’une entreprise, cela n'a pas été couronné du succès que j'escomptais. Mais cette période m'a permis d’analyser et comprendre certains éléments constitutifs et nécessaires à la gestion d’une société. Quoiqu'il en soit après être retourné en 1997 dans le secteur salarial en y exerçant diverses fonctions telles que, chargé d’affaires, responsable d’agence, responsable technique, j'ai continué ma carrière professionnelle en tant qu’employé jusqu'au printemps 2005. Après une association ratée, et certains travers de la vie, j’ai intégré en 2008 une période sabbatique. Puis afin d’essayer de palier à cette situation assez difficile financièrement, j’ai exercé mon activité dans le cadre d’un statut d’autoentrepreneur à partir de 2009, jusqu’en 2012.
Enfin, pour des raisons d’ordre privées, mais pouvant être divulguées en d’autres circonstances, je suis venu m’installer à Montméal (42), et, je recherche depuis plus de cinq ans un emploi dans le secteur d’activité de la construction, la gestion technique d'opérations ou le développement et le suivi d'affaires dans le secteur énergétique de l'habitat et notamment en celles d’installations de systèmes de chauffage, climatisation, frigorifiques, ventilation, plomberie, électricité, ainsi que toute la synergie nécessaire à leurs mises en œuvre, techniques d’entretien et de dépannage avec comme spécifié par mon cursus professionnel, une expérience de 34 années, me permettant de prétendre à l’exercice d’un poste de chargé d’affaire, conducteur de travaux, responsable d’agence, ou technico-commercial. Sans bien sûr pour le moment, avoir obtenu une quelconque réponse positive, m’autorisant rémunération honorable et décente…
Je suis peut-être trop vieux ?
Mes compétences professionnelles et personnelles sont-elles mal vues… ???
Considérées comme instabilités ?
Ou alors cela tient-il à des causes que j’ignore, et peut-être assujetties à un système socio-politico-économique quelque peu hermétique à certains sujets pragmatiquement trop qualifiés, mais dénués de diplômes validant ‘’hautes’’ études ou peut-être exagérément ouvert à concept pluridisciplinaire permettant, en les imaginations tordues de la nébuleuse des ressources humaines de croire que les cadres et petits chefs n’auraient qu’une faible emprise envers ce type d’individus éclectique, et de par les illogismes intellectuels et suppositions vénères des politiques sociales-économiques pouvoir, sans analyse individuelle, prétendre que ces gens sortant du ‘’cursus standardisé’’ seraient obligatoirement ingérables ou alors de par les manichéismes corporatistes obsessionnels, ont-ils peur des confrontations quant aux véritables professionnels du monde de l’emploi et du travail… Hors asservissement clientéliste, uberisation exaltée, productivisme despotique ou dumping social déficient. Pôle des Astres – Essai remis à mon employeur le Pôle Emploi début 2015, suivi du ‘’Journal d’un RSAyste’’.
En conséquence, pour finir ma présentation, en parallèle à cette recherche d'un emploi rémunéré, j'exerce une autre activité, qu'il m'était difficile de pratiquer avant, par manque de temps, à savoir l'écriture. Aujourd'hui j'ai écrit trois manuscrits, dont pour chacun d’entre eux, j'ai eu joie à constater des propositions de publications positives, mais malheureusement, je n'ai réussi à trouver les ‘’accords’’ nécessaires et utiles à la diffusion de mes écrits avec un éditeur, notamment mon impossibilité à abonder à la participation financière demandée par les maisons d’édition ‘’classiques’’ (Variant de 1500 à 6000 € suivant les contrats de publication et le type de manuscrit). J’ai travaillé deux ans avec une maison d’édition dite ‘’alternative’’ m’ayant répondu favorablement, en août 2013, pour mon premier manuscrit, et avec laquelle je pensais qu’il m’aurait été possible d’envisager un juste partenariat utile à la diffusion de mes écrits, notamment par le fait que cet éditeur ne demandait pas de participation financière, hormis celle nécessaire aux corrections dont je n’avais autres utilités que de réussir à les faire moi-même. Au bout de deux ans, nous allions rompre notre collaboration, pour des causes évoquées dans : ‘’Le journal du sot inconnu dans le milieu éditorial’’.
Ce qui me permettra de recouvrer l’intégralité de mes droits intellectuels, pour mon premier manuscrit : ‘’La clé du temps des murmures’’. Cela m’avait paru souhaitable, au regard de leur manque de considération envers l’auteur inconnu déjà partiellement entrevu dans leur contrat de publication, charte d’éditeur et une certaine forme de refus du format du futur livre déterminé par leur logique éditoriale, et auquel je ne souhaitais adhérer, le trouvant trop petit. Avec un prix de vente prohibitif, inadapté au juste montant de ce manuscrit car 76 € pour 425 pages, cela me semble totalement impropre à engendrer quelques ventes pour un premier livre, écrit par un apprenti écrivain et concepteur néophyte ; bien que paradoxalement cet éditeur alternatif permet l’accès à diffusion d’écrits d’auteurs(es) inconnus(es) pour un montant proche de la gratuité…
Ont-ils pour des raisons, que j’ignore, pas voulu aller au bout du processus de publication ?
Ou alors ont-ils voulu par ce prix prohibitif, donner contraintes supplémentaires à diffusion de mes écrits, notifications, statuts et expressions ?…
Bon, il est vrai ; ce n'est pas un milieu facile que celui de la publication éditoriale ‘’médiatisée’’, surtout pour un auteur inconnu de 54 ans, apolitique et agnostique, en désaccord avec certains protectionnismes fermés à l’addition des meilleures attitudes et justes aptitudes, comme par ailleurs nombre de sociétés ‘’corporatistes’’ présentes dans beaucoup de secteurs géo-économico-sociaux, où le milieu éditorial en fait aussi partie, et souvent affilié à quelques viles philosophies élitistes.
Je n’avais évidemment pas en ce début d’exercice d’écriture, toutes les connaissances et compétences nécessaires à en réaliser une composition suffisamment cohérente pour en imaginer la possibilité qu’elle puisse devenir un livre proche du désir subtil de la lecture. Mais au lieu d’évoquer des stratégies impropres à la diffusion d’un ‘’objet’’ non abouti, j’aurais préféré qu’il me soit signifié que mon manuscrit l’était aussi…
Outre la ferveur envers l’activité textuelle m’autorisant encore à écrire aujourd’hui, surtout en étant un inconnu dans la sphère livresque, je me dis que c’est en forgeant que l’on devient forgeron, avec pour fondement principal donnant pour l’instant, impossibilité à édition et diffusion de mes manuscrits, celle de ne toujours pas avoir les finances nécessaires et indispensables à souscrire à un contrat de publication, auprès des professionnels reconnaissables dans la jungle de l’édition traditionnelle ou alternative… ; sérieux et compétents, mettant un œuvre une certaine forme de véritable et sincère partenariat avec l’auteur(e) non médiatisé(e)…
Entre aujourd’hui et le commencement de cet exercice d’écriture, outre les deux ouvrages déjà réalisés, j’en ai un en finition, un en projet et celui-ci en cours d’écriture.
Cette activité facilitée en termes de temps disponible, initialisée en partie par le statut de chômeur de longue durée que je suis devenu permet à mon ‘’esprit’’, par transmissions des informations présentes sur les différentes chaînes médiatiques, encadrées par quelques recherches complémentaires et autres lectures, accompagnées par d’excellents et enrichissants échanges rédactionnels sur les différents réseaux sociaux, d’entrevoir les mauvais et néfastes comportements de ces entités politico-économico-financières considérant certaines classes sociales, catégories, genres comme éléments dotés d‘incapacités de travail, voire socialement inutiles, et dont l’amalgame est de penser que tous leurs représentants sans emploi sont des crétins, sots et incultes profitant de l’assistanat social, auxquels pourtant, certains, avant d‘en bénéficier y ont cotisés quelques années…
Mais de cet état sociétal, certaines entités, corporatismes et organismes civiles et civiques s’en fichent me semble-t-il ?
Ou alors sont-ils dans d’autres schémas plus proches de l’intendance dissidente incohérente, voire de l’obscurantisme servile… Dont cette priorité est obligataire pour intérêts corporatistes particulièrement attachés à l’homme inculte, de covalences sectaires ou d’éducation discutable.
Vous avez raison, gente de mauvaises raisons et néfastes devises, continuez à prendre ‘’petites gens’’ pour des lapin-crétins de trois semaines ou poussins de trois jours !
Comme autres de vos aficionados aiment à y collaborer !
Où votre passe-temps favori est de jongler avec les médias, pour des raisons évidentes d’égocentrisme, de cupidité… Et de ‘’filoutage’’ nécessaire à faire disparaitre les bons esprits, lanceurs d’alerte et autres entités humainement justifiables, dans le système sociétal des justiciables…
Eh oui, chers(es) amis(es), par quelques aléas de la vie, je suis devenu chômeur de longue durée, depuis trop longtemps à mon goût, et cela me met parfois en colère contre ce système teinté de trop d’injustices alimentées par la tricherie, le cynisme, l’intransigeance et le mensonge présent chez les mauvais joueurs, opportunistes de cave et autres inconscients d’effets collatéraux… Et pourtant, je vous assure mon expérience professionnelle me permettrai logiquement d’accéder à un emploi dans mon ancien domaine d’activité, à savoir, le bâtiment avec toutes les spécialités attribuables aux énergies, et pour les miennes actuellement, ‘’celles’’ utiles à retrouver un emploi rémunéré au réel savoirs faire, source d’une vie honorable lorsque l’on ne possède que cette rente financière, en tant qu’attribution liée à l’exercice de son ’’travail ’’, rétribué à sa juste valeur considérée.
Je n’ai pas écrit de bêtises, j’espère ?
Mais, je suis peut-être devenu trop incompétent, ou pas assez rentable pour en assumer ‘’un‘’, avec cette pensée proche de celles des ’’esprits recruteurs’’, leurs laissant croire que le professionnel arrivé à un moment de sa vie n’a plus capacité de productivité, au même titre que la disparition des expériences, savoirs faire, et bien-sûr en celle d’avoir la certitude qu’il était impossible pour quelqu’un tel que ’’moi’’ de pratiquer ou retransmettre ses compétences, voire en acquérir d’autres en adéquation avec ses capacités professionnelles et personnelles, et tout cela avec déni de cette possibilité de flexibilité et d’adaptabilité m’autorisant pourtant à exercer en d’autres lieux géographiques…
Depuis 72 mois au statut de ‘’RSAyste’’…
Super expérience… ?
La droite a écrasé petites gens, étouffée la classe moyenne, et la gauche a fait le baiser de Judas au peuple de France, au nom d’un déni de réalité fractale. ‘’Les hommes naissent égaux et libres’’, répétaient-ils sûrs d’eux. ! Pfffff… Copie à revoir…
Où dans cette cacophonie généralisée, la culture des temps immémoriaux des Lumières, s’est quelque peu assombrie…. De sorte qu'après tant d'épreuves de leur faiblesse, ils ont jugé plus à propos et plus facile de censurer que de repartir, parce qu'il leurs est bien plus aisé de trouver des fidèles à leurs veules raisons usurières, que semer alentours belles et justes pensées…
Avec pour premier fondement sociologique, voire philosophique, celui se trouvant invariablement dans les communes rurales, proposant cultures à tailles animales et humaines ; et supportables par adéquat bien-être et confort approprié… Et la deuxième constituante essentielle, nécessaire et utile, s’envisage sans équivoque proche de la retransmission des utiles connaissances et savoirs par celles et ceux d’avant, et ceux et celles de maintenant, pour les vies d’après…
Dans toutes les communautés de communes, départements, régions, territoires, cités et contrées…
Par conséquent, par mes écrits je tiens à faire savoir que j’ai toujours soutenu et soutiendrai encore sans aucune restriction ces deux ‘’indispensables’’…
Petite notification : En 1992, j’avais 33 ans, j’étais technicien SAV en froid et climatisation, mon salaire était en équivalent euros d’environ 2 000€ net par mois.
Chercher l’erreur…
Actuellement, à même fonction le salaire net est compris entre 1300 et 1 600 €. Alors qu’il me semble bien que les conditions de vies sociales-économiques ont quelque peu changé depuis 1989, après la chute du mur de Berlin, puis le changement de monnaie où la valeur de l'euro est vectorisée par les sorciers de la finance à 6,55957 Francs en janvier 2002… Soit une multiplication de l’argent ‘’Franc’’ par plus de 6 …
Du jour au lendemain.
Irréalité monétaire, prétention économique européenne ou machiavélisme financier ?
En 24 ans, où est passée toute cette valorisation nationale manuelle, technique et obligatoirement intellectuelle ? Déficience de l’EU… ?
Dumping social économique par le déclassement des savoirs faire… ?
Incompétences et défaillances politiciennes en matière de sciences économiques… ?
Elle a été thésaurisée par ces gestionnaires de produits économico-financiers, uniquement pour leur gueule ?
Par destitution de meilleurs savoirs être… ???
Dans la fantasmagorie de la monnaie scripturale…
Où la pluridisciplinarité, autorisant les accords entre les discours des sciences et des arts est devenue le culte de l’inattention philosophique et ontologique, avec pour singularité, en celle que la curiosité envers la sémiologie didactique des imprésarios de la dramaturgie communautaire est une triste farce dopée à l’inculture économique et sociale des mauvais imprésarios, des incompétents et de la starisation politicienne… Avec pour particularité, en celle que la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice ne sauraient qu’être destituées, par les cyniques fantômes des droits de l’homme, de la femme, de l‘enfant… Assujettis à obscurs et néfastes esprits citoyens…
Michel ASTI – AU DELA DES QUARANTE MALENCONTREUSES
Date de dernière mise à jour : 29/10/2019
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